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mot doux de Invité ► un Lun 7 Avr - 12:42
you've got a secret smile
featuring -  eric w. wright

Etre détective me rendait peut-être plus forte ou moins forte ? Lui, pompier ? Je n’en savais rien. Allions-nous pouvoir sauver le monde chacun de notre côté ? Sommes-nous plus forts ? Alors que je l’avais entendu dire qu’il ne bravait pas tous les feux, j’avais souris, c’était vrai. Je voulais tellement me persuader de pouvoir tout guérir toute seule dans ma vie, tout sauvé. Peut-être que je refusais de le laisser y entrer car j’avais encore tellement de secrets. J’inspirais doucement en ne sachant que dire sur le coup mais continuant, disant même que je voulais l’embrasser ce qui ne rendrait pas dans l’oreille d’un sourd alors qu’il le relevait assez rapidement ce qui me fit rire alors qu’il disait qu’il avait aussi d’autres choses en tête mais c’était le bazar dans ma tête aussi, je me demandais encore quelle mouche m’avait piquée ce soir-là. Je souriais doucement en le regardant, bon mon sourire cachait des mensonges avec surtout un mensonge et une omission aussi grosse que Sebastian mais bon bien qu’il ne soit pas gros mais vous avez compris le principe, non ? Je m’embrouille ? Moi mais pas du tout. Bon bref, c’est alors qu’il dit... la phrase ultime qui me fit rire. Cela faisait longtemps que je n’avais pas entendue ça. Très longtemps, trop longtemps. Je le prenais du coup plus avec le rire qu’avec du sérieux et le regardant en levant les yeux. Je souriais doucement en le regardant. « Tu t’en souviens encore ? », demandais-je alors tout simplement en étant amusée, en l’écoutant alors me dire qu’il était juste bien avec moi et c’était rassurant. Heureusement qu’il ne se sentait pas mal sinon ça craignait. Je me poserais même beaucoup de question si c’était le cas mais non, je m’en voyais nettement rassurée en lui souriant et penchant la tête alors qu’il me disait toutes ses choses tellement mignonne sur moi qui me firent sourire mais encore plus culpabiliser pour le côte honnête mais punaise, c’était fou mais si seulement il savait. Il m’en voudrait et je me sentais mal, je voulais lui dire mais on en avait assez sur la patate en ce moment déjà avec ce message et puis je suis sûre, il arriverait encore à me trouver des excuses et ne m’en voudrait pas. Shit. C’était trop facile. Ça me rendait dingue car même si je me disais ça, je savais que c’était une grosse omission, trop grosse que pour passer crème. Et c’est alors que je déraillais dans son oreille ou même hors de son oreille en parlant d’être ailleurs mais surtout pour dire d’aller ranger les courses dans mon frigo… au départ alors que je laissais supposer même que je pourrais tout simplement l’acheter. Je riais à sa réaction alors qu’il me disait pouvoir faire un prix pour les clients fidèles et si j’étais infidèle ? Ahah. Il prenait de gros risques mais je l’étais par chance. Je sentais alors qu’il m’entrainait avec lui, sur le coup, j’étais assez surprise. Qu’avait-il en tête ? Les cadis nous suivaient comme des toutous et je le regardais alors qu’il nous faisait entrainer dans la réserve. Il était fou, pas possible autrement et il devait sûrement consommer des drogues illicites. Non ? Je riais en l’entendant. « T’es complétement cinglé ! », disais-je alors qu’il approchait pour m’embrasser et là, j’étais nerveux, oui, nerveusement. C’était comme si un type jouait de la guitare dans mon ventre. Oui, des papillons, on dit ? C’est complétement ringard de le dire ainsi mais dans le fond, c’était un peu ça. Je me laissais porter telle une plume enfin vous me direz, je suis assez légère tout de même. Répondant à ce baiser  avec la même impression que nous nous languissions de chacun, telle une tentation que nous menions plus au besoin vitale. Bon, les papillons laissèrent rapidement place à des frissons alors que ses mains voyageaient, les miennes naviguant de son cou à ses bras. Elles restaient chastes, les petites mains. Je souriais légèrement contre ses lèvres, remontant mes mains à son cou que je lâchais alors qu’il reculait. Je tentais de retrouver mon souffle. D’ailleurs, j’avais une écharde qui me piquait les fesses à travers mon slim. Rien de bien agréable en fait. Je riais doucement en l’entendant. « Je te le fais pas dire, j’ai une écharde qui veut faire picoti, picota avec moi ! Entre mon coeur qui joue des maracas et les fesses qui crient Aie...», disais-je en gigotant un peu pour que l’écharde me lâche et lui souriant doucement en passant mes cuisses autour de sa taille et le regardant dans les yeux autant soit possible de le voir dans cette pièce sombre. J’aurais pu même me tromper et regarder deux boules dans un coin au lieu de ses yeux tellement je ne voyais presque rien. Autant dire que dans le popotin d’un africain, je verrais mieux et pardonnez-moi du langage. « Ça peut se faire ! », disais-je en lui souriant. « Avec un peu plus de lumière et un peu moins d’eaux aussi… », disais-je en laissant un fin rire s’entendre. Je souriais mais il ne le verrait peut-être pas ? Penchant la tête avant d’aller poser mes mains à ses joues et me rapprochant pour chuchoter à son oreille. « Et la victoire sera au dernier à dire Picoti, picota ! », disais-je d’un ton taquin en laissant légèrement mes lèvres descendre à son cou et juste le frôler. Bon, d’accord, j’étais vilaine là mais c’était assez amusant de se lâcher après la pression que nous nous mettions. Je reculais aussitôt en le regardant.
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mot doux de Invité ► un Lun 7 Avr - 19:37

Nobody knows it
Ariel & Eric

Lorsqu’elle me dit ‘tu te souviens encore’ ma seule réponse fut un rire, comme si je pouvais oublier quoi que ce soit, mais ça elle ne le savait pas évidement. J’avais en mémoire chaque chose que j’avais vécu, lu ou même vu, je n’avais pas besoin d’un bouton pour remettre le film au début, mon cerveau pouvait le faire. Bon j’évitais, c’était fatiguant de retourner dans ses souvenirs enfin surtout au début quand on commence à tut se souvenir. En vieillissant j’avais appris à maîtriser et ne plus ressentir ses fortes migraines que j’avais pu ressentir avant. Mais aussi je revivais moins mes souvenirs, j’essayais d’éviter la nostalgie, ce n’est pas toujours simple mais au moins ça m’évite les remords, j’en ai assez comme ça. Mais à cet instant précis j’étais de nouveau dans l’insouciance et j’avais simplement envie de profiter d’un petit moment avec elle. Bon ce n’était pas l’endroit parfait mais j’avais juste envie de l’embrasser sans que personne ne soit témoin de ça, après tout ça ne regardait que nous. Elle me disait que j’étais cinglé et en réalité, je l’étais mais seulement avec elle, c’est comme si je ne réfléchissais plus et j’agissais simplement, et à cet instant sa bouche était la seule chose dont j’avais envie. Mais on reprit notre souffle, trop vite, j’avais envie de l’embrasser encore mais j’essayais de ne pas être trop pressant, par respect pour elle. Mais alors que j’allais faire une tête de chat potté pour la faire craquer, elle me sortit son histoire d’écharde je riais. « Ton cœur joue aux maracas ? Intéressant. » C’était une information bonne à prendre, si elle savait que le mien était prêt à sortir de ma poitrine à la façon d’un cartoon, avec ma langue qui se déplie ensuite en la voyant. J’aimerais tout de même un jour l’inviter à dîner, agir comme des gens civilisés qui ne se planquent pas dans des douches, des placards ou autre pour s’embrasser. Elle avait l’air partante, mais la nervosité s’empara de mon être, j’imaginais déjà les heures avant le stress que tout soit parfait. « J’essayerais d’organiser ça … Mais le dessert se sera toi » je marquais une petite pause. « Qui l’apporte. » Je me retenais de rire, je m’amusais comme un petit fou, on était encore dans ce petit jeu entre nous et ça faisait du bien. Je me demandais comment elle faisait, il y a encore une dizaine de minute j’étais sur les nerfs en train de m’imaginer frapper un homme totalement inconnu et maintenant je pensais à préparer un diner pour lui plaire. Quelque chose ne tourner pas rond chez moi, elle avait cet effet indescriptible sur moi, encore plus fort qu’au lycée, je ne pensais pas ça possible et pourtant. « Tu me défis là ? Tu crois vraiment que je vais craquer ? Je suis un roc. » Bon j’avoue pas tant que ça, surtout qu’elle était sublime et si elle commençait à jouer à me faire craquer et que j’essayais de la faire craquer aussi ça allait être compliquer. « Puis je suis un peu irrésistible. » Je me penchais pour embrasser son cou, puis je passais de l’autre côté. Quitte à jouer on pouvait commencer maintenant, j’effleurais sa cuisse avec ma main alors que ses jambes étaient enroulés autour de moi. Je ne savais pas comment ça allait finir cette histoire mais je savais qu’il y aurait du rire à la clé. Mais alors que j’allais m’attaquer de nouveau à sa bouche la porte de la réserve s’ouvrit, je me retrouvais un peu con pour le coup, je n’avais pas pensé à cette possibilité. Un petit jeune nous regardait bouche-bée en se demandant surement ce qu’on faisait là. Je rougissais légèrement mais heureusement on était dans le noir et personne ne pouvait s’en apercevoir. J’avais même envie de rire tellement il semblait choquer. Je me retournais vers Ariel, après tout elle allait devoir trouver un truc à dire quand je ne comptais pas parler. C’était méchant mais c’était une petite vengeance pour m’avoir séduit plus tôt, si elle ne m’avait pas demandé si elle pouvait m’acheter on ne serait pas là. Donc elle allait se débrouiller avec le petit jeune et moi j’allais m’amuser en regardant tout ça.  
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mot doux de Invité ► un Mar 8 Avr - 0:49
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featuring -  eric w. wright

Les maracas, c’était ça ? Oui, les bomboms et les BAM chicawowo que je sentais alors qu’il avait les lèvres contre les miennes, c’était exactement la bonne expression. Les maracas. Comment faire mieux ? Je ne pouvais pas sans avoir peur de passer pour une cinglée dignement sortie d’un asile ce que j’avais parfois déjà l’impression d’être alors que je me retrouvais dans la réserve avec la folle envie de l’embrasser et rien que ça, c’était déjà surprenant pour moi car je ne m’étais jamais retrouvée avec ces envies subites ou incontrôlable. Je devenais dingue, dingue de lui et alors qu’il trouvait ça intéressé, je riais légèrement car c’était une sorte d’aveu, non ? Je me sentais gênée du coup mais dans le noir, je ne pouvais pas vraiment voir sa réaction et tant mieux car il verrait que je suis rouge comme une tomate. Je souriais doucement en regardant alors celui-ci alors que nous parlions d’une autre rencontre, tout autre, plus sérieuse dans un sens mais je refoulais un peu cette idée car je n’étais pas habituée à ce que cela soit si sérieux. Des rencards ? J’en avais eue mais ça semblait l’être en tout différent aussi. Je ne savais pas vraiment comment me rendre compte que tout était différent qu’avec les autres hommes. Je souriais en l’entendant. Je penchais alors la tête alors qu’il disait que je serais le dessert et arquant les sourcils. Intéressée ? Moi ? Mais non, mais bon, c’était enfin ça me rendait nerveuse du coup car voilà, c’était enfin c’était compliqué. Oui, ce mot, je l’adorais. Compliqué. Oh oui, tellement. Je riais nerveusement alors qu’il disait que je l’apporterais. « Et si je suis nulle en cuisine ? », demandais-je alors que c’était faux car j’étais douée enfin surtout en pâtisserie mais chut. Je ne savais pas trop comment il allait prendre ce que je venais de dire et pourtant je repris aussitôt avec cette séduction un peu trop perceptible mais je ne voulais pas cacher que telle était mon attention en ce moment. Je disais alors que c’était le gagnant au dernier à craquer et souriant à sa réaction alors qu’il me demandait si je le défiais. Moi ? Meuh pas du tout, voyons. « Euh… », disais-je en riant légèrement et fronçant le nez. « Modestie… voyons, je suis du roc aussi ! », je levais les yeux en l’entendant dire qu’il était irrésistible. Je n’eue le temps de réagir qu’il allait à mon cou. Tentait-il de prendre le dessus de ce défi et me faire céder ? Car mon corps entier était en train de frissonner, là ! Le sentait-il ? Le salopiot mais c’est qu’il pourrait gagner si je n’étais pas du genre à adorer les défis et compter gagner cette fois-ci mais chut. Dans le fond, il fallait être deux pour gagner et perdre ce défi, nous le ferions en même dans en quelques sortes. Logique humaine. On ne peut pas faire l’amour tout seul. Et ouais. Je riais légèrement alors que j’étais prête à me dire qu’on allait se faire prendre car c’était totalement possible. Les allés et retours étaient tellement nombreux que je m’y attendais vraiment. J’inspirais doucement en le regardant alors. Ce gamin tandis que j’avais sursautée quelques secondes avant quand il ouvrait la porte. Heureusement j’étais habillée et Eric n’avait pas eu dans l’idée de défaire mon chemisier car on aurait été très mal. Je souriais alors au gamin, je tirais la langue à Eric car je sentais que ça l’amusait bien trop à mon gout et je me décrochais alors de sa taille et me dégageant un peu pour me glisser sur le côté et ainsi retomber sur mes pieds sans le pousser, ahah. Plus simple comme ça. Je lui souriais en fronçant le nez et tournant le regard vers le gamin qui devait avoir quoi ? 12 ans ? L’âge de Sebastian en gros. Il semblait choqué, très. Je grimaçais doucement. « Je cherche les toilettes ! », disait-il alors que je souriais, attendrie par sa bouille. J’approchais alors, l’instinct de maman qui se réveillait quelques peu. Je cherchais alors la lumière car oui, on n’avait même pas cherchés la lumière. Je l’allumais en regardant alors après la porte des toilettes. Bingo. Je me doutais qu’il n’était pas là s’il n’y en avait pas. « Ou est ta maman ? », demandais-je alors un peu inquiète car il était seul donc. « Elle est restée au rayon charcuterie ! », disait-il. « Vous en faites pas madame, je sais me débrouiller ! En plus, vous me faites peur, vous êtes des vampires ? Le monsieur vous suçais le sang ? », je souriais doucement en secouant la tête. « Oui, c'est un gentil vampire tout mignon tout doux qui ne mange pas le sang des petits garçons et des gens gentils ! Petit gars, éteins la lumière en sortant ! », disais-je en le laissant alors aller vers les toilettes et me retournant en me levant aussi pour regarder Eric ! « Je crois qu’on devrait s’en tenir à choisir un jeux vidéo avant de choquer tous les bas âges de l’hypermarché, non ? », lui demandais-je alors en riant légèrement et approchant d’un bas lent, me posant devant lui pour simplement lui voler un baiser et reculer aussitôt en allant vers la porte, retournant les caddys. « Et peut-être qu’on peut reparler du dessert que je dois apporter ? », lui disais-je alors en arquant un sourcil et laissant aussitôt un sourire coquin se dessiner.
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mot doux de Invité ► un Mar 8 Avr - 2:56

Nobody knows it
Ariel & Eric

Nulle en cuisine, je grimaçais légèrement pour rire, de toute façon quand elle verrait mes talents culinaires c’est elle qui allait partir en courant, je n’étais doué que pours quelques plats, mon principal problème étant le manque de patience en cuisine, autant je pouvais passer des heures à polir le même bout de bois, autant éplucher des carottes ce n’était pas mon truc. Puis de toute façon je ne m’intéressais pas à Ariel par rapport à ses talents culinaires loin de là, alors je m’en fichais elle pouvait se mettre elle sur une tartine de pain que ça m’irait comme dessert, se serait d’ailleurs un très bon dessert, Ariel. Mais je chassais ses pensées de ma tête sinon j’allais faiblir et je ne voulais pas. « Hum si tu ne sais pas cuisiner et bien je pense qu’on devra se passer de dessert. De toute façon je ne suis pas très fan de sucré. » Bon je mentais peut-être un peu, j’étais gourmand comme tout à chacun, mais je n’étais pas non plus du genre à grignoter, il fallait éviter ça quand on était pompier pour éviter de trop grossir ou pour éviter de devoir faire plus de sport le lendemain. Puis de toute façon je sentais qu’elle me mentait dans son air, je maudissais le fait que je ne pouvais pas la voir à cause du noir, je ne pouvais pas déterminer si elle me mentait ou pas. J’étais partie à la découverte de son corps enfin en tout bien tout honneur, car j’étais un gentleman. Mais un gamin vint nous déranger, le pauvre il devait à peine commencer sa puberté, je me sentais un peu mal à l’aise quand même mais bon il n’y avait rien de particulièrement chaud, on parlait tout simplement en essayant de se défier l’un l’autre. Mais c’est alors qu’un côté d’Ariel ressortit, le côté maternel, elle agissait parfaitement bien avec cet enfant, ça ne devrait pas m’étonner vu qu’elle a visiblement un neveu et surtout d’autres enfants autour d’elle mais il y avait quelque chose et je n’arrivais pas à mettre le doigt dessus. Je l’écoutais simplement parler calmement au garçon, d’une douce, la voix d’une maman. Non ce n’était pas possible, Ariel me l’aurait dit si elle avait eu un enfant, j’étais stupide de penser ça, j’avais surement été traumatisé par l’envie d’enfant de June, à une époque elle râlait parce que toute ses amies avaient des enfants, alors je m’étais mis à imaginer des enfants à tout le monde. Mais pas à Ariel, ce n’était pas possible, elle m’avait dit qu’elle n’avait jamais réussi à construire quelque chose avec un homme après son viol. J’étais vraiment stupide parfois n’est-ce pas ? « Je peux t’aider à choisir tout ce que tu veux. » Je lui sortais mon sourire charmeur, celui auquel peut de femme résister, après tout la partie avait commencé et je devais utiliser mes atouts. Maintenant que le jeu était installé entre nous je sentais les coups bas venir, elle commençait déjà en me reparlant du dessert. Je prenais un air détacher comme si de rien était en me dirigeant de nouveau vers le rayon de jeux-vidéos. « Pas de chocolat, il parait que c’est aphrodisiaque et je pense qu’on en a pas besoin. » Je lui lançais un petit clin d’œil, à ça non je n’avais pas besoin de plus pour m’attirer chez Ariel, elle réussissait plutôt bien sans artifice pour l’instant et même sans chemisier parfois. On était enfin de retour au fameux rayon, dire qu’à la base j’avais peur de la revoir. Je me tournais vers elle tout sourire. « Alors mademoiselle que puis-je faire pour vous ? Quel âge à votre neveu pour commencer, que j’évite les jeux trop violents, sa mère va me détester sinon. » Je jouais les gentils petit vendeur, mais pour être honnête je connaissais peu de jeux non violent, j’étais plutôt du genre à en prendre avec du sang, des boss à tuer et des explosions comme titanfall par exemple mais bon je n’étais pas le meilleur joueur de la planète. Je m’approchais vers son oreille pour lui glisser quelques mots. « Vous savez je m’occupe aussi du service après-vente si vous le souhaitez. J’ai un canapé très confortable. » J’avais envie de rire, c’était tellement drôle tout ce petit jeu et ses allusions, j’espérais que ça dure. Après tout je pense qu’aucun de nous deux n’étaient vraiment prêt pour sauter le pas mais ça faisait du bien de se sentir envier enfin pour moi c’était le cas. Après si elle se jetait sur moi ce ne serait pas du viol qu’on soit d’accord, je n’allais pas jouer les hommes en détresse mais j’avais envie qu’on prenne notre temps, qu’on réapprenne à se connaître pour ne pas faire de connerie et surtout ne rien forcer. Après ce qu’elle avait vécu je ne voulais pas la brusquer, puis ça ne nous ferait pas de mal d’attendre, on n’est pas des lapins après tout, on se retrouve simplement dans des endroits originaux pour s’embrasser.  
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mot doux de Invité ► un Mer 9 Avr - 20:27
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Cette situation n’avait d’égale avec une autre. On se retrouvait rarement dans les coulisses d’un hypermarché à être prise pour une pauvre victime mordue par un vampire. Dans le fond, je n’avais jamais été très fan de tout ça, sûrement pour le côté dominé par le vampire, le côté envouté et… enfin ça me rappelait que l’on n’avait parfois jamais le libre arbitre dans une chambre. Je n’avais jamais été attirée par les films d’horreur étant une trouillarde dans l’âme à l’avance. Le sang ? Je pensais réellement que ça en était et ça me foutait la chair de poule. Vous allez me dire une détective peureuse ? Mais what the fuck ? Mais dans le fond, on n’est pas censée vivre dans le danger dans ce métier. Bien souvent, nous chassions les infidèles et les membres d’une famille. Nous recherchions aussi les fugueurs. Les enquêtes plus sombres étaient disons moins fréquentes mais pas inexistante. A Los Angeles, elles étaient bien plus régulières. Dans le fond, je me mettais toujours dans des situations loufoques en gros même si j’étais une trouillarde. Ca il ne devait peut-être pas le savoir ? Ou si peut-être ? J’avais toujours été cette gamine qui sursautait pour un oui ou non mais qui détestait les films d’horreur tout comme Pretty Woman. Oui, ça me fait peur, je vous le dis comme un secret mais gardez-le pour vous, promis ? Je souriais aussitôt en regardant alors celui-ci tandis qu’il me sortait son sourire de tombeur qui me faisait détourner le regard en secouant la tête. Est-ce que je rougissais ? Possiblement mais je n’en avais aucunes idées. « Même des nuisettes ? », disais-je en plaisantant alors que je retournais vers le rayon, je me sentais nulle car j’allais choisir des jeux vidéos avec lui pour un gamin qui pense que lui-même est son père alors que pas du tout en sachant aussi que celui-ci existe son existence mais pense qu’il est mon neveu. Dans ma tête, s’était tellement normal dans le fond. Mais vraiment. Une vie tellement logique. Deux et deux font 1. C’était enfin… Parfois je me disais que c’était du grand n’importe quoi ma vie. Comment en étais-je arrivée là ? Comment et pourquoi même alors que je n’avais jamais rien fait de mal contre personne ? L’injustice. Voilà quoi. Je riais alors qu’il disait qu’il ne fallait pas de chocolat et qu’on n’en avait pas besoin. « Evites les huitres aussi alors. », disais-je d’un ton léger et plaisantin alors que je souriais en me disant que oui, mince, on n’en avait pas besoin mais ce petit jeu pourrait durer longtemps que je ne pense pas que ce besoin serait tellement nécessaire. Je me plaisais dans cette situation actuellement. Je me plaisais à ce temps léger et le peu de peur car je savais qu’elles pourraient revenir à tout moment dès que cela deviendrait plus sérieux. Cela restait à l’étape du jeu. Je ne pensais pas encore danger. Je n’avais pas encore allumée mon stop que j’allumais toujours en général. Etais-ce mieux ainsi ? Je n’en savais rien, une petite voix en moi se mettait en alerte rouge sans que je ne le cherche vraiment à chaque fois que j’étais avec un homme. Parfois je l’avais éteinte avec le temps mais d’autres fois, je n’avais pas réussie. C’est alors qu’il en revenait au jeu vidéo que je me vidais la tête de toutes ces questions et lui souriant en haussant les épaules et m’apprêtant à répondre mais riant aussitôt en l’entendant parler du service après-vente. Je levais les yeux en lui souriant. « Coquin ! », disais-je en approchant légèrement de lui, glissant même la main dans la poche arrière de son jeans, assez naturellement mais aussi pour le taquiner alors que j’arquais un sourcil en allant contre ses lèvres. « Si c’est devant un film d’horreur et que tu me protèges des méchants loups ou des vampires, tes camarades… pourquoi pas ? », disais-je alors en reculant légèrement mais ne retirant pas ma main pour autant. Non en fait, j’en profitais. Je voulais voir lequel serait le plus fort de nous avant de céder à la tentation, je trouvais ça amusant. « Il a 11 ans, Sebastian ! », disais-je en me sentant un peu soulagée aussitôt que je disais ce prénom car oui, c’était comme si le secret se dissipait un peu et rendait le mensonge moins gros ou l’omission. Je souriais doucement en secouant la tête. « Non, pas de jeux vidéo… trop violent ! », disais-je comme le dirait une maman dans le fond mais c’était un peu plus fort que moi disons. C’était sur un ton ferme un peu comme une évidence ou comme… enfin c’était pour moi ce que je disais toujours à Sebastian quand il me parlait de jeux trop violent. Je ne voulais pas que mon fils ne devienne un monstre comme son possible père biologique même si je m’efforçais à ne jamais y penser. Je prenais alors deux ou trois jeux au pif en main et lui montrant. « Ton avis ? », lui demandais-je alors en souriant.
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mot doux de Invité ► un Jeu 10 Avr - 1:44

Nobody knows it
Ariel & Eric

Ariel était déchainée, elle essaye de me séduire et de gagner ce petit jeu qu’on venait d’instaurer, ce qu’elle ne savait pas c’est que j’étais têtu mais surtout trop fier et que je voulais que ce soit elle qui me demande, ce n’était pas par égocentrisme, seulement après tout ce qu’elle avait vécu je voulais être certains que c’était ce qu’elle voulait. Ça ne me dérangeait pas de continuer le jeu de la séduction et de faire les choses en douceur, après tout on en avait besoin. Certes, on se plaisait toujours après toutes ces années mais on avait changé, on devait réapprendre à se connaître. Mais elle était forte à ce jeu, j’avais du mal à lui résister et je pense qu’elle s’en doutait car elle enfonçait à chaque fois un peu plus le couteau. « Des nuisettes ? On a déjà envie de passer la nuit chez moi mademoiselle. » J’arquais un sourcil, tout ça était drôle, on se taquinait, on s’appréhendait et ça m’allait totalement, j’étais bien avec cette situation, après tous ces moments sont les meilleurs dans une relation non ? Parce qu’après vient la routine, le mariage, les gosses et on s’éloigne, on se perd, on reste ensemble parce que c’est la chose à faire. Bon d’accord j’avais eu une mauvaise expérience je l’avoue, à la fin j’étais avec June juste parce qu’un bout de papier nous lier mais mon cœur était loin, à savoir si j’avais un cœur d’ailleurs. Dans tous les cas, je n’étais plus dans cette relation depuis longtemps contrairement à June qui faisait tout pour nous sauver mais ça revenait à sauver le Titanic, c’était impossible. Deux mondes trop différents, j’avais l’impression qu’elle continuait se manège pour les apparences, pour faire le couple bien sous tous rapports alors que dans notre propre maison nous étions devenus des fantômes qui s’évitaient. Je me noyais dans le travail et elle … Je ne sais même pas, elle s’occupait surement. C’était compliqué, enfin pas autant que toute cette relation avec Ariel, mais ce n’était pas les mêmes complications. June voulait quelque chose que je ne pouvais pas lui donner. Ariel avait l’air de simplement me vouloir moi, ce qui est fou car elle ne connaissait rien ou pas grand-chose, pourtant je me sentais plus proche d’elle que de n’importe qui dans ma vie. Peut-être que les connexions ne s’expliquent pas par ce qu’on sait mais ce qu’on est. J’avais passé ma vie à me cacher, à tout cacher sur ma mémoire, mes parents et pourtant j’avais envie de tout révéler à Ariel, comme une évidence, comme si elle seule pouvait me comprendre. Ariel glissa sa main dans la poche arrière de mon jean et m’embrassait chastement, bien loin de ce qu’on avait partagé dans la réserve. D’un point de vue extérieur on nous prenait surement pour un couple, mais ça ne m’effrayait pas, j’avais presque envie qu’on pense que j’étais son mec, car elle était un peu à moi quand même. Je ne suis pas du genre prêteur, c’était mon Ariel, ma sirène tout comme j’étais à elle, c’est de la logique comme un et un font deux et pas deux et deux font un. « Fais attention c’est peut-être moi le plus méchant. » J’avais envie de rire, il n’y avait pas plus gentil que moi, je ne tuerais même pas une mouche. Mais bon elle me cherchait puis je ne pensais plus très clair avec elle aussi proche de moi, avec sa main sur mes fesses comme si j’étais sa propriété, j’aimais ça dans un sens. Je devrais peut-être me faire un tatouage sur la fesse droite : Propriété d’Ariel PAS TOUCHER. Pas sûr que ça la fasse rire, quoi que elle était peut-être possessive. Elle me donnait des informations sur son neveu, mais quelque chose clocher dans sa façon de parler, je préférais ne pas m’y attarder après tout j’étais surement juste parano. « Hum si il y a onze ans je dirais celui-là » Pour être honnête je choisissais un peu au hasard, j’étais tellement perturbé par elle, je m’en fichais du jeu video, je pensais déjà à notre rendez-vous ou on pourrait être tranquille et surtout seul. Je n’aimais pas la foule et surtout j’avais envie d’intimité, que ce soit juste nous deux. Retourner dans nos petites bulles et y rester. « Même si tu devrais plutôt m’acheter moi, je suis plus intéressant qu’un jeu vidéo. Je pourrais raconter des histoires de pompier à ton neveu et pour toi je mettrais l’uniforme. » Je souriais et je m’approchais de sa bouche, j’avais tellement envie de l’embrasser encore, je n’avais pas eu ma dose de ma drogue Ariel. « Je suis plutôt pas mal dedans à ce qu’on dit. » Bon personne n’avait trop dit ça vu que j’ai très vite été marié mais ça n’empêcher pas certaines demoiselles de venir me draguer. Visiblement avoir un uniforme attire, ce qui est plutôt fou. Mais bon c’était drôle, parce qu’autant une fois sans l’uniforme elles ne se seraient jamais retournés. Je trouvais ça stupide et superficiel mais bon je n’allais pas me plaindre d’intéresser la gente féminine, sauf qu’une seule m’intéressait aujourd’hui et on sait tous qui c’est.  
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mot doux de Invité ► un Jeu 10 Avr - 15:45
you've got a secret smile
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D’une nuisette à une main dans la poche, tout s’enchainait comme par magie d’une liberté peut commune pour moi. Je ne comprenais pas réellement quel était ce don magique qu’il semblait avoir. Peut-être simplement une alchimie ? Nous en avions un peu au lycée mais c’était plus discret. Dans le fond, j’étais une pucelle qui avait peur de tout ça, ce monde qui était autour d’elle, le sexe et aussi… totalement trop concentrée dans les études. Je pouvais réviser partout et pendant un long moment sans me soucier de ce qui se passait autour de moi quand je n’avais pas été plongée entre les lignes d’un roman à l’eau de rose que l’on lit depuis des siècles. Je souriais quand il disait peut-être être le méchant mais ne réagissant pas juste d’un sourire car j’aimais bien l’idée du film d’horreur mais je ne le voyais pas du tout méchant surtout qu’il avait été tellement gentil et un crétin aussi pour me pardonner d’être idiote mais comment on faisait pour ne pas arriver à s’en vouloir dans un sens car voilà, il m’avait caché son côté veuf et j’avais fouinée dans sa vie, c’était horrible de fouiner. Je le savais. M’en voudrait-il moins quand je lui annoncerais aussi être maman ? Je n’en doutais pas, c’était gros quand même. Cela faisait un peu plus d’un mètre ce qui n’est pas rien. Je passais alors les informations de ce grand mensonge d’ailleurs tout en proposant 3 jeux, riant alors qu’il me proposait au pif ce jeu que je ne connaissais pas avec des carottes sur la jaquette. Il était sérieux ? Je n’en savais rien mais le jeu en valait peut-être la peine ? Je souriais doucement en levant les yeux alors que je croisais son regard à ses mots. Je pouvais sentir son souffle sur mes lèvres alors qu’il se rapprochait. Je souriais doucement en penchant la tête, le regardant, inspirant alors en baissant mes yeux à ses lèvres. La même tension qui coulait dans les douches alors que j’étais hésitante mais surtout par ce qu’il y avait du monde et que je ne voulais pas trop m’afficher. Je souriais doucement. Retiens-toi, retiens-toi. « Plutôt, oui ! », soufflais-je en reposant mon regard dans ses yeux et déplaçant ma main qui était dans sa poche le long de son dos pour la remonter à sa nuque tout en me hissant sur la pointe des pieds pour l’embrasser avec une sorte de tendresse même si je retenais la fougue car nous étions en public quand même. Ce n’était point un bordeyl, comme dirait Duncan. Mon meilleur ami qui rigolerait bien de moi alors que j’embrasse des hommes dans les réserves du supermarché pour me faire prendre par un enfant en plein bécotage. Je souriais doucement en laissant durer ce baiser une petite minute, posant mon autre main sur sa joue pour terminer aussi par lui mordiller légèrement la lèvre telle une lionne mais surtout pour continuer ce jeu avant de reculer et lui sourire. « Gardes l’idée en tête… », murmurais-je alors. « C’est tentant, très tentant de t’acheter… », soufflais-je en reposant mes talons sur le sol et fronçant légèrement le nez. « L’uniforme aussi… et peut-être même avec une nuisette… oui, pourquoi pas ? En dentelle ou en satin… qui sait ? Ou peut-être rien du tout ? », ma main toujours posée sur sa joue, je laissais mon doigt aller caresser ses lèvres en lui offrant un sourire séducteur. Charmeuse jusqu’au bout, je reculais d’un pas. « Je te laisse imaginer l’avant-gout si je t’achète. », disais-je en riant légèrement, reculant toujours. « Mais il faut que je rentre, mon neveu m’attend ! », soufflais-je tandis que je profitais de cette touche… de séductrice pour partir en me disant que j’allais surement être difficile à oublier mais c’était mon but, je suis une peste du coup ? Je n’en savais rien mais j’avais envie qu’il ne se languisse de moi… car je m’en languissais déjà.
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