l'avatar des scénarios ou membres des familles sont totalement discutables pour autant qu'ils ne soient pas dans le bottin !
Venez car plus on est de fous et plus on rit, non ? Chocolat et guimauves en cadeaux !
bonjour les YFTiens et pleins de calins pour vous ainsi que tout notre amour !
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Lenaëlle G. Martins et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! Un petit plus MY LIFE TREE: There's no safer place for youthan here with me
| mot doux de Lenaëlle G. Martins ► un Mar 29 Déc - 2:19 | | | Jensen & LenaëlleAll I want to do is loving you Ce « les gens que j’aime » que j’avais mentionné était carrément sorti tout seul de ma bouche, comme si c’était pour moi la chose la plus naturelle à dire. Il fallait que je m’avoue que d’une certaine façon, c’était le cas; je ne mentais pas quand je disais que j’aimais prendre soin des autres, surtout quand ceux-ci m’appréciaient suffisamment pour me montrer de la reconnaissance. Je ne demandais rien en retour, mais disons qu’un sourire, un simple merci, pouvait être très gratifiant, plus que certains ne pourraient l’imaginer. Cependant, en prononçant ces mots, je n’avais pas évalué la portée de mes propos. Je m’en rendis compte simplement quand je vis la réaction de Jensen et que je l’entendis me demander de lui confirmer si je l’aimais. Au début, je dus admettre que cela me rendit un peu gênée, mais contrairement aux fois précédentes, je ne rougis pas et je ne me sentis pas si timide que ça - ou du moins, pas autant qu’à mon habitude - parce que je me rendais compte qu’en fait, peu importe le sens que ce propos prenait, je l’assumais parfaitement. C’était devenu une évidence ces dernières minutes que je ne détestais pas Jensen, que c’était même tout à fait le contraire, et que tout ce que je devais faire, c’était l’admettre à moi-même. Déjà, le fait que j’hoche la tête positivement avec un petit sourire fut un bon début à mon avis, même si cela me fit quand même étrange dans ma tête. Dans mon cas, dire que j’aimais quelqu’un était quelque chose de relativement gros, parce que depuis l’échec monumental de mon mariage et toutes les séquelles que celui-ci avait laissés sur ma personne, maintes fois j’avais pris peur de souffrir de nouveau. Je n’allais pas cacher que dans le cas de Jensen, oui je m’étais remise en question quelques fois avant ce rendez-vous, mais maintenant, je ne voulais plus le faire, je voulais simplement profiter du moment et ce, sans flipper. J’étais persuadée que c’était là un signe, ou du moins, je l’espérais fortement, parce que je ne voulais pas être blessée, être déçue, même si en ce moment, je ne voyais pas en quoi je pourrais être malheureuse, bien loin de là, et cela ne fit que continuer. En effet, mon cavalier rendit le moment encore plus adorable quand il vint à me dire qu’il était désireux de prendre soin de moi également. Comment pouvais-je refuser une telle proposition ? Ce n’était juste pas possible, pas pour moi en tout cas. Du coup, pour sûr que je prendrais soin de lui s’il le souhaitait, et je me laisserais dorloter si c’était possible. Je le méritais bien, moi aussi, non ? Plus que ravie, ce fut le coeur encore plus léger que je terminai de manger ma dernière part de pizza, mettant ainsi fin à la case « Entrées » de notre repas. Sans que je n’aie à lever le petit doigt, Jensen demanda au serveur d’apporter les plats principaux, et sitôt que le principal concerné quitta vers les cuisines - fort probablement - je regardai le jeune homme et je dis: « Oui, c’était super bon, en effet. » en prenant moi aussi une gorgée de mon Mojito sans alcool. Je venais tout juste de reposer mon verre quand le serveur revint avec nos plats, à croire que ceux-ci étaient prêts avant même que Jensen ne les demande. Franchement, on ne pouvait pas se plaindre de l’efficacité du service ! Me retrouvant soudainement devant un plat de pâtes qui me semblait tout simplement délicieux, je ne pus m’empêcher de lâcher un petit: « Wow… » avant de regarder le bel homme qui m’accompagnait avec un large sourire pour lui souhaiter silencieusement bon appétit. Sans attendre plus longtemps, parce que l’odeur du plat était tout simplement irrésistible, j’en pris une première bouchée, et après l’avoir plus que dégustée, je ne pus que venir à la conclusion: « C’est tout simplement délicieux… » Après, je n’étais pas une experte en cuisine et je n’avais pas le palais le plus fin qui soit, mais tant et aussi longtemps que ça me plaisait, en mon sens, c’était l’essentiel. Puis, comme si je voulais m’assurer que je ne trompais pas, je pris une autre bouchée, et mon avis ne changea pas, si bien qu’après l’avoir terminée, je ne pus me retenir de dire à l’adresse de Jensen: « Si tu souhaites goûter à mon plat, je te conseille de le faire rapidement… Sinon je vais tout manger ! » en lui lançant un petit air espiègle pour lui montrer que je n’étais pas goinfre au point de tout engloutir en quelques secondes. c’était tout simplement pour lui montrer que j’adorais ce que je mangeais, j’adorais ce restaurant, j’adorais ma soirée, tout simplement.
Dernière édition par Lenaëlle G. Martins le Mer 13 Jan - 15:58, édité 1 fois |
| | | Jensen A. MacCallister et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais !
| mot doux de Jensen A. MacCallister ► un Lun 11 Jan - 11:50 | | |
J'avais envie de taper dans mes mains en sautillant sur place depuis que ces quelques mots avaient franchi la barrière de ses lèvres, c'était trop génial de se sentir enfin.. Aimé. Enfin, pas vraiment aimé aimé, ou du moins je ne savais pas trop à quoi m'en tenir mais en tout cas c'était plus qu'avant. Ce n'était plus simplement une connaissance, loin de la. Peut être qu'elle commençait à ressentir des sentiments qui se rapprochaient de ce que moi je pouvais ressentir pour elle depuis un moment déjà. Moi même je ne savais pas gérer les sentiments que j'avais pour elle, ça me dépassait totalement par moments. Comprendre un amour si fort et évident n'était pas facile mais je ne précipiterais pas les choses, petit à petit je voulais me rapprocher d'elle et ne pas la mettre au pied du mur dès maintenant en lui disant ouvertement ce que je ressentais. Je préférais le suggérer, essayer de la faire comprendre et voir si je pouvais obtenir des petits signaux de sa part qui me renseigneraient sur ce qu'elle pouvait penser de moi. Elle n'avait même pas rougit quand je lui avait demandé de confirmer ce qu'elle venait de me dire, dommage, je la trouvais craquante avec ses joues qui rougissaient quand je la taquinais un peu. Et pour le coup je ne savais plus vraiment comment interpréter ça, mais elle me l'avait confirmé sans essayer de se reprendre. Elle m'aimait. Je ne savais pas de quelle façon, mais en tout cas elle m'aimait et c'était déjà un grand pas en avant pour nous deux la tout de suite. Je me sentais complètement heureux, les yeux pétillants de bonheur alors que j'avais reposé les yeux sur elle, directement dans les siens, la remerciant du regard pour cette petite confession. Ce rendez vous était une grande première pour moi et ce depuis un sacré moment d'ailleurs. Sortir à nouveau avec une femme, ça n'avait pas été facile après mes grandes déceptions amoureuses loin d'être banales. Ca avait eu le chic pour me détruire à chaque fois et ça avait été vraiment très difficile pour moi de m'en remettre. Je n'avais plus envie d'y croire, plus envie de me relancer avec qui que ce soit pour ne pas risquer de me faire tromper, ou quitter, ou pour ne plus me dire que d'un jour à l'autre je pourrais perdre la femme que j'aimais à cause d'une maladie.. Ou dans un accident par exemple. C'était totalement déprimant, mais quand je l'avais rencontrée elle, quand j'avais appris à la connaitre, ses qualités et ses défauts, sa façon de faire, sa gentillesse avec les autres. Tout m'avait plu en elle et j'avais eu envie d'y croire à nouveau. Je lui avais promis que je prendrais soin d'elle si elle le voulait bien, et je le ferais elle pouvait compter sur moi! Je la protègrais, je serais la pour l'aider peu importe pour quoi.. Je l'écouterais quand elle aurait besoin de parler, je serais les bras qui la serreront quand elle voudra un calin, l'épaule sur laquelle elle pourra pleurer avant que je vienne essuyer chacune de ses larmes. « Le fait d'être la avec toi rend déjà le moment parfait Lena. » Je me reculais un peu pour laisser le serveur poser nos assiettes sans le gêner, le remerciant d'ailleurs poliment. Mon ventre grognait rien qu'à l'odeur qui se dégageait de l'assiette, un véritable ventre sur pattes malgré l'entrée bien fournie. Je souhaitais dans la foulée un bon appétit à ma cavalière du soir avant d'attaquer, soupirant de bonheur. Ca c'était la vie! La viande était fondante, parfumée, bien relevée. Les pâtes bien cuites avec une sauce à en crever de bonheur. Oh oui je reviendrais, c'était certain, quit à la kidnapper pour qu'elle vienne avec moi afin de pouvoir revivre ce moment parfait que nous partagions depuis tout à l'heure. Je pouffais de rire en l'entendant et me rapprochait d'elle pour tendre ma fourchette vers elle et lui piquer un peu de son plat pour pouvoir les goutter à mon tour avant qu'elle n'avale tout comme elle me l'avait fait comprendre. « Faut pas me le dire deux fois! Tu peux m'en prendre aussi un peu si ça te tente! Je pense qu'on peux dire que cet endroit est testé et approuvé! On va revenir ! »
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| | | Lenaëlle G. Martins et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! Un petit plus MY LIFE TREE: There's no safer place for youthan here with me
| mot doux de Lenaëlle G. Martins ► un Mer 13 Jan - 17:50 | | | Jensen & LenaëlleAll I want to do is loving you Si je n’avais pas rougi lorsque je lui avais dit que j’aimais prendre soin des gens que j’aimais, c’était parce que je me rendais compte que je l’assumais parfaitement, que cela me ferait plus que plaisir de compter Jensen parmi ces gens que j’aiderais sans poser de questions, à qui j’apporterais une soupe chaude et du thé en cas de rhume, des trucs comme ça… Enfin, rien ne me rendrait plus heureuse, je le comprenais maintenant. Quoiqu’il en soit, ça n’avait rien à voir avec un manque d’intérêt ou pas, c’était le contraire; ça montrait seulement que je prenais un peu plus confiance en moi, en ce qui se passait, et ça ne pouvait être que pour le mieux. Après, ça ne voulait pas dire que cette confiance m’empêcherait de me sentir rougir ou flattée de quelconque façon, bien au contraire. Je le prouvai très rapidement quand Jensen lâcha à tout hasard que le simple fait d’être avec moi rendait le tout parfait, me montrant encore une fois que je n’avais pas fini de découvrir son côté mignon qui me plaisait déjà énormément. Immédiatement, mes joues rosissent, et je fis mon possible pour lui servir mon plus beau sourire pour lui montrer que même sans mots, ce moment était parfait pour moi également. Voir ses yeux pétillants de bonheur à l’idée que je sois là, la légèreté d’esprit que je ressentais, je n’aurais certainement pas pu demander mieux. D’accord, un bon repas, ça aidait pour sûr, mais je ne voyais pas pourquoi je m’en inquiéterais, vu l’entrée délicieuse que nous avions partagé, puis ces plats principaux qui sentaient divinement bon et ce, dès leur arrivée sur la table, me donnant encore plus faim. Heureusement, je n’eus pas besoin d’attendre longtemps avant de juger le moment opportun pour attaquer mon plat et confirmer qu’effectivement, celui-ci était tout simplement divin. J’avais un bon appétit en temps normal, mais je n’étais pas du genre à prévenir que j’allais racler mon assiette avec ma fourchette pour m’assurer de ne rien laisser dans l’assiette, alors dans mon cas, c’était surprenant, mais amusant que je vienne à prévenir Jensen de la sorte que s’il voulait goûter, il ferait mieux de le faire rapidement. Le principal intéressé ne se fit pas prier très longtemps avant de piquer dans mon assiette comme je lui avais proposé, ce qui ne me gênait pas du tout, bien au contraire. Cependant, quand il me proposa de faire la même chose, je ne me ravisai dans un premier temps, non pas parce que je n’en avais pas envie, mais plutôt parce que mon cher cavalier avait dit quelque chose qui m’avait sitôt donné envie de lui répondre: « Ah bon ? Tu ne préfères pas que je laisse ma place à… « d’autres femmes » ? » Bien sûr, je disais cela essentiellement pour le taquiner. Après tout, c’était lui qui avait commencé à me piquer avec ce propos il y a quelques instants auparavant. Ce n’était pas pour lui montrer que je le prenais mal, bien au contraire ! C’était surtout parce que j’étais curieuse de voir comment il allait réagir. Parce qu’au fond, j’étais plus que ravie qu’il dise cela, qu’il semble prendre pour acquis que nous allions de nouveau s’organiser des sorties de la sorte. Franchement, je ne saurais pas lui dire non, bien loin de là, et encore moins dans ce restaurant, puisque niveau ambiance, nourriture et service, je n’avais rien à redire. De plus, peut-être que cet endroit deviendrait un lieu spécial pour nous ? Celui de notre premier rendez-vous ? Au fond de moi, je l’espérais bien, mais chaque chose en son temps, je me contentai plutôt d’attendre la réponse du jeune homme tandis que je profitais de l’occasion pour effectivement aller piquer une petite bouchée dans son assiette, et la manger sans le quitter des yeux, tentant de demeurer la plus impassible qui soit, bien que je devais admettre que le goût de ce plat me donnait envie d’esquisser un large sourire de satisfaction, parce que je devais admettre que tout comme le mien, son plat était tout simplement délicieux. Était-ce comme ça pour la totalité de la carte ? Peut-être bien qu’il nous faudrait revenir pour le découvrir, au bout du compte !
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| | | Jensen A. MacCallister et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais !
| mot doux de Jensen A. MacCallister ► un Sam 23 Jan - 13:50 | | | Cette soirée était superbe, et elle promettait d'être vraiment fabuleuse, c'était un premier pas l'un vers l'autre qui rendraient les autres bien plus faciles surtout. Nous nous étions sensiblement rapprochés, et j'aimais beaucoup ça. A l'avenir je serais surement moins timide pour m'avancer vers elle, même si du temps serait encore très certainement nécessaire pour qu'on se rapproche.. Vraiment. Au point que je lui ouvre mon coeur au sujet de mes sentiments pour elle, que je ressentais depuis la première fois que je l'avais rencontrée. C'était dingue ce genre de coup de foudre, j'avais juste été complètement scotché sur place, incapable de dire bonjour pendant un petit moment avant de partir dans un petit rire nerveux et enfin retrouver mes esprits. C'était à peu près cet effet qu'elle me faisait même encore maintenant quand je la croisais dans un moment innatendu, je me mettais à sourire bêtement, et ça n'avait échappé aux yeux de personne dans notre entourage mutuel. Peut être qu'elle seule ne s'en était pas encore rendue compte d'ailleurs. Nous avions tout le temps pour ça, nous devions apprendre à nous découvrir plus dans l'intimité au travers de moments dans ce genre la. Parler l'un avec l'autre, en apprendre plus sur nos gouts, sur nos personnalités. En tout cas pour le moment, tout ce que je voyais ne faisait que confirmer cette attirance que j'avais à son égard. Pas que physiquement, biensur que non je n'étais pas superficiel. Mais nous étions semblables de ien des façons et j'étais absolument persuadé que nous étions faits pour nous entendre, nous nous convenions, nous étions.. Complémentaires et similaires selon les points. Je ne me privais pas de quelques gestes tendres sans grande conséquence, de petites caresses sur sa main, des sourires ou des regards particulièrement charmeurs sans etre trop insistants. Comme dis précédemment je ne comptais pas tenter quoi que ce soit ce soir, je ne voulais juste pas être catégorisé dans la classe amis et rendre très compliqué une avancée dans un autre sens tout simplement. C'était ça la difficulté avec les filles, ça a vite fait de nous considérer comme des amis et ensuite ouvrir une porte sur une opportunité amoureuse devient très compliqué. Alors avec Lenaëlle je préférais assurer un peu mes arrières, puisque clairement être son ami ne me suffirait pas, je ne voulais qu'elle et avait envie de bâtir quelque chose de beau dans l'avenir avec elle si elle m'en donnait l'occasion du moins. Mais si elle était la c'était bien que je lui plaisais au moins un peu, après tout c'était un rendez vous. Ayant piqué dans son assiette pour gouter comme elle me l'avait gentiement proposé j'avais passé ma langue sur ma fourchette ensuite, jouant avec du bout de mes dents en l'entendant avant de sourire en coin. « Oh non.. Pas du tout. Je n'emmènerais que toi. Tu dois être ma cavalière officielle, j'insiste. » Quelle importance pouvaient avoir les autres sur ce point? J'éspérais bien pouvoir la garder pour moi, et inversement j'avais bien envie d'être son seul cavalier si je le pouvais. Pas question qu'un autre se l'approprie sous peine de subir ma colère. Elle me donnait envie de rire, elle était aussi enthousiasmée par la nourriture que je l'étais de mon côté, et ça m'amusait franchement. Je secouais doucement la tête en piquant dans ma propre assiette, relativement concentré sur ce que je faisais pour ne pas risquer de me mettre de la sauce sur le menton ou sur la chemise et ainsi passer pour un véritable gamin incapable de manger. Je relevais souvent les yeux vers elle, scrutant son beau visage, sa façon de sourire, la beauté de ses yeux. Elle était la avec moi, et je peinais encore à la comprendre mais c'était bel et bien le cas ce qui faisait de moi quelqu'un de pas mal chanceux quand même. Je posais mes mains sur mon ventre aussitôt le repas avalé, le tapotant légèrement. « On enchaine sur le dessert et un café ou on prend ça chez moi du coup? C'est comme tu préfères! » Je penchais doucement la tête sur le côté en jetant un coup d'oeil à la carte, les desserts étaient nombreux et on aurait de quoi faire. Mais chez moi j'avais pleins de sortes de glace, des gâteaux.. De la brioche aussi sans doute. Pas mal de choses à manger, j'en doutais jamais. « Dis.. Je t'ai jamais demandé. Je te vois t'occuper de la petite famille de mon frère mais.. Et toi alors? Tu veux des enfants un jour? Simple question, t'as le droit de pas répondre! »
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| mot doux de Lenaëlle G. Martins ► un Lun 25 Jan - 20:13 | | | Jensen & LenaëlleAll I want to do is loving you Au bout du compte, Jensen avait décidé de ne pas mordre à l’hameçon par rapport à ma blague et me dire sérieusement qu’il ne voudrait pas emmener quelqu’un d’autre que moi dans ce restaurant dans un futur proche ou éloigné. Je ne m’en montrai pas du tout vexée, raison étant que moi-même, je n’étais pas capable de jouer le jeu bien longtemps quand je savais que c’était une blague. Et puis, comment pouvais-je l’en blâmer ? Il venait de dire ce qu’au fond de moi, je voulais très précisément entendre. Étais-je un peu jalouse ? Au fond, c’était fort possible. Ça ne m’était jamais arrivé avant, mais là, j’avais réellement envie d’être la seule femme qu’il emmène au restaurant, avoir son attention, comme il savait capter la mienne, comme en ce moment, en fait. S’il voulait que de moi, et que moi je voulais que de lui, que demander de plus ? C’était en mon sens, juste parfait. Le coeur léger, je continuai à manger mon repas jusqu’à ce que mon cavalier reprenne la parole, songeant déjà au dessert pour le coup. Cela m’amusa, je n’allais pas le cacher, et ça me fit penser qu’après un repas aussi copieux, jamais je n’aurais de la place pour un dessert ! Enfin… Non, j’en trouverais bien, on trouvait toujours de la place pour un dessert. Mais pour sûr, je ne serais pas prête à enchaîner immédiatement avec celui-ci. Par conséquent, il serait peut-être plus sage de le manger chez lui, mais en regardant la carte des desserts, sans enlever quoi que ce soit à son potentiel de pâtissier ou ce qui se trouvait dans ce garde manger, ce qui était proposé semblait tout simplement délicieux. Y aurait-il le moyen d’avoir le meilleur des mondes ? Pendant un instant, j’y réfléchis, et je décidai de proposer ce qui me semblait être un compromis relativement raisonnable, soit: « Et si on les prenait pour emporter et qu’on les mangeait chez toi, ça le ferait ? » Personnellement, si on demandait à ce qu’ils soient emballés, qu’on les payait et qu’on partait avec, je ne voyais pas vraiment le problème. À moins que ce soit mal vu dans un restaurant aussi élégant ? Je n’en savais trop rien, mais dans ma tête, c’était là la meilleure solution que j’avais trouvée. Après, je n’étais pas fermée à une autre proposition, par exemple marcher et aller prendre une glace ou un truc du genre. Restait juste à voir ce que Jensen avait à proposer. Abordant quoiqu’il en soit un sourire un peu juvénile, je le perdis quelque peu - mais pas trop, pas de quoi s’affoler - quand le jeune homme vint à me poser une question un peu plus personnelle, un peu plus délicate. Enfin, celle-ci était particulièrement légitime, compte tenu de mon boulot qui trahissait grandement le fait que j’aimais les enfants, mais elle devenait délicate compte tenu de mon passé, compte tenu de mon mariage, de cette fausse couche, de cet enfant jamais né dont je n’avais jamais su faire totalement le deuil… Pour le coup, la réponse la plus honnête serait certainement de lui dire que j’avais failli l’être, que j’étais à six semaines de le devenir, et que pour sûr, j’aurais été plus qu’heureuse d’avoir cette petite fille que j’attendais avec tant d’impatience. Cependant, parce que je voyais bien que pour lui, c’était une question tout à fait candide, je ne me voyais clairement pas entrer à ce point dans les détails, même si je ne voulais pas lui mentir non plus. C’était difficile à nier après tout que j’aimais les enfants, c’était même mon rêve le plus cher de devenir mère un jour, même si j’avais eu beaucoup de mal à le caresser ces dernières années. Au final, je repris mon sourire d’origine, puis je finis par lui répondre: « Oui, j’aimerais bien… Beaucoup même… J’adore les enfants ! Enfin, je ne crois pas que ce soit un secret ! » À ce dernier propos, je ris doucement, marquant ainsi une petite pause dans mon discours, avant de lui demander: « Et toi ? » en adoptant la même attitude curieuse que Jensen précédemment, me disant que j’étais quand même en droit de le lui demander. Après tout, lui aussi travaillait avec les enfants, ça voulait sûrement dire quelque chose, non ?
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| | | Jensen A. MacCallister et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais !
| mot doux de Jensen A. MacCallister ► un Jeu 28 Jan - 22:35 | | |
J'aurais pu la taquiner encore, et essayer de la rendre jalouse en lui disant que le service était plein de belles infirmières qui auraient sans doute été ravies de m'accompagner au restaurant à l'occasion. J'aurais pu oui, et de bien des façons d'ailleurs. Mais c'était juste que je ne voulais surtout pas voir une once de tristesse dans ses yeux. Pas même un peu. Même si elle doutait, ou qu'elle savait que je pouvais plaisanter, je savais que certains mots pouvaient faire mal et je n'avais pas envie qu'elle y repense en se demandant si j'étais du genre dragueur sur mon lieu de travail. Ce n'était pas le cas. Je travaillais et m’efforçais de faire un peu de sport pour prendre soin de mon corps, et je ne pouvais me plaindre de mon torse ou de mes épaules dont j'étais assez fier quand même! Je ne me trouvais pas magnifique, mais pas désagréable à regarder non plus. Mais ce n'était pas pour autant que j'avais envie de draguer tout ce qui bougeait. Mon coeur avait été volé par cette jolie blonde en face de moi, alors quelle importance? Les infirmières auraient pu tout aussi bien se promener toutes nues que je n'aurais pas tenté plus que ça. Je me tapotais le ventre du bout des doigts, rien de tel que cette sensation de plein. Le plein total. Je n'aurais pour le moment pas pu avaler quoi que ce soit. Bien qu'une boisson chaude que ce soit thé, café, chocolat chaud, serait passé bien volontiers maintenant mais pour ça je préférais amplement attendre d'être chez moi pour pouvoir me poser tranquillement et laisser le temps à tout ce que je venais de manger de peser un peu moins dans mon estomac pour regagner un peu d'appétit. En l'entendant je jetais un coup d'oeil à la carte avant de hocher la tête positivement. « Oui certaines choses sont à emporter, ils ont un service traiteur aussi! Ca peut le faire! Tu n'auras qu'à regarder ce qui te fais envie et je leur demanderais au moment de régler l'addition. T'en as des bonnes idées toi dis donc ! » Lui avais-je confié en riant bien volontiers, les yeux pétillants. Nous serions mieux chez moi, se poser un peu, papoter avant que je ne la raccompagne en bon gentleman. Restait à voir maintenant si elle trouvait quelque chose qui lui plaisait sinon je n'avais rien contre flâner un peu en ville pour trouver ce qui pourrait nous plaire ailleurs, moi je n'étais pas difficile et leurs crèmes brulées avec mousse fruit rouge par dessus me tentait bien. Le sucré mêlé à l'acidulé, le craquant du caramel sur le dessus.. J'avais déjà bavé dessus tout à l'heure, et ça me semblait plus que tentant. Je ne l'influencerais pas cette fois ci, j'en avais déjà assez fait pour ce soir. Un petit sourire aux lèvres j'avais doucement siroté mon verre jusqu'à le terminer avant de faire une petite moue face à ce que je pouvais voir sur son visage, craignant d'avoir fait une petite bourde avec ma question. Ce n'était pas mon but je pensais au contraire lui faire plaisir en parlant de quelque chose qu'elle aimait, et elle semblait tellement à l'aise avec les enfants que je n'avais jamais douté du fait qu'elle les adore totalement. Avais-je gaffé? Je m'en voulais, mais je préférais ne rien dire pour le moment. Je m'étais simplement excusé du regard, caressant doucement sa main. « Moi aussi.. Comme l'indique mon boulot. J'envie mon frangin, il a une famille superbe. Un jour, ça sera mon tour! Allez viens, on y va! La soirée est à nous ! » Je l'avais attirée avec moi, passant avec douceur sa veste sur ses épaules avant d'aller régler à l'accueil et récupérer nos desserts. Je voyais juste, la soirée était à nous, une soirée entre amis, avec de la douceur pleine de promesse dans nos regards. Chaque chose en son temps, mais quand je l'avais laissée ce soir la je savais que bientôt nous serions réunis, d'une façon ou d'une autre. J'avais besoin d'elle, je l'aimais, je veillerais sur elle, et ce soir plus que jamais je savais qu'elle faisait partie de moi, après tant de déceptions, cette soirée était un premier pas vers la perfection de mon âme soeur enfin trouvée.
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