l'avatar des scénarios ou membres des familles sont totalement discutables pour autant qu'ils ne soient pas dans le bottin !
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bonjour les YFTiens et pleins de calins pour vous ainsi que tout notre amour !
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Lenaëlle G. Martins et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! Un petit plus MY LIFE TREE: There's no safer place for youthan here with me
| mot doux de Lenaëlle G. Martins ► un Mar 8 Sep - 14:42 | | | Jensen & LenaëlleAll I want to do is loving you Je n’avais pas voulu avouer d’emblée à Jensen comment j’avais appréhendé ce rendez-vous, me contentant de lui dire que j’étais impatiente de le voir, ce qui était là la pure vérité, essentiellement parce que je ne voulais pas qu’il me prenne pour une cinglée, de peur qu’il commence à me craindre si je lui avouais que j’avais tout préparé d’avance, que j’avais tourné en rond comme un chacal et tout ce qu’il venait avec. Cependant, le jeune homme, clairement, n’avait pas les mêmes réticences que moi à se confier, me laissant d’ailleurs plutôt surprise quand il me dit qu’il avait regardé l’heure, mis des alarmes, s’était fait des films, le lot entier. Dans un premier temps, j’en écarquillai même les yeux, puis à la fin, je ris doucement. Non pas parce que je me moquais de lui, mais tout simplement de soulagement, comme quoi j’avais trouvé quelqu’un d’aussi maniaque que moi. Enfin, maniaque était un mot un peu exagéré, mais la signification était là, et cela faisait en sorte que Jensen me plaisait encore plus qu’avant, si cela était possible. Par conséquent, je n’eus aucun problème à lui dire : « Tu n’as pas à t’inquiéter une seule seconde. Ça ne pourrait être plus parfait. » d’un ton que je voulus détendu. En effet, je trouvais cela qu’adorable de la part du jeune homme de s’être autant attardé par rapport à cette soirée, essentiellement parce que j’avais fait pareil, mais aussi, cela me montrait que cela lui tenait à cœur, et je n’aurais pas pu en être plus flattée. Puis, à ma grande surprise, au fur et à mesure que la discussion avançait, j’en appris davantage sur mon cavalier pour la soirée. Alors que j’étais persuadée que ma journée monotone ne ferait pas long feu niveau discussion, je m’étonnai à écouter Jensen limite envier cette journée tranquille que je venais de passer, puisque si je me fiais à ce qu’il me disait, il ne pouvait pas s’adonner à ce genre de chose bien souvent. Trouvant cela triste d’une certaine façon, parce que même si ce n’était pas productif, rester tranquille pendant une journée pouvait faire du bien parfois, je fus tout de même en mesure de lui dire : « Pas du tout ! » avec un petit sourire. Pendant un instant, je m’étonnai même à penser à la prochaine fois, ou la fois d’après, bref, à un moment où Jensen pourrait s’octroyer une journée de congé et qu’il aurait du temps pour lui. Si rester à ne rien faire lui ferait si plaisir, pourquoi ne pas le lui permettre à un moment ou un autre ? Bien sûr, je projetais plus loin, peut-être trop loin pour le moment, mais pour être honnête, m’imaginer en sa compagnie à passer la journée dans le canapé à regarder des films, ou bien ce qui passerait à la télévision, tout banalement, me faisait plaisir, et je me voyais bien faire cela. Cependant, je n’osai pas vraiment lui en parler, pas pour le moment, et de toute façon, même si j’avais voulu le faire, nous arrivâmes au restaurant avant. Je le sus non seulement quand Jensen gara la voiture, mais quand il lâcha ma main – et c’est là que je me rendis compte que mes doigts n’avaient jamais quitté les siens, à croire que c’était vraiment naturel, presque normal – pour sortir de la voiture et revenir de l’autre côté, m’embrassant sur la joue par la même occasion. Je n’allais pas le cacher, je demeurai d’abord quelque peu surprise par son initiative, mais celle-ci provoquant chez moi de délicieux frissons, je ne pouvais pas m’en plaindre. Les joues roses, un large sourire aux lèvres, le cœur battant un peu plus fort, entre autres en raison du fait qu’il m’avait appelée « princesse », je m’extirpai du véhicule, ne me résolvant pas à lâcher le bouquet de roses qu’il m’avait offert. Je craignais limite que celles-ci fanent si je les laissais dans la voiture, alors je les pris avec moi, et en compagnie de Jensen, je commençai à marcher en direction du restaurant. Rapidement, je pus considérer la devanture de celui-ci, et déjà, celui-ci me semblait élégant, si bien qu’il me laissa impressionnée, à un tel point que je ne pus m’empêcher de dire à Jensen : « Wow, il me semble magnifique ! » Tournant la tête en sa direction, je le considérai avec un air plus que ravi, n’arrivant pas encore à croire qu’il avait prévu cette soirée pour moi. À quoi devais-je m’attendre une fois à l’intérieur ? Je ne savais pas trop, mais une chose était certaine, c’était que maintenant, j’étais plus qu’impatiente de le découvrir.
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| | | Jensen A. MacCallister et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais !
| mot doux de Jensen A. MacCallister ► un Dim 13 Sep - 16:28 | | | Bon, d'accord je me sentais totalement nul de stresser comme ça. Ca ne m'étais pas arrivé depuis un sacré moment. La dernière fois que je m'étais bouffé les doigts d'angoisse comme ça ça avait été en attendant les résultats d'examens scolaires avec ma petite soeur. Je me faisais toujours tellement de soucis pour elle que j'étais au moins aussi nerveux qu'elle finalement, ce qui ne manquait pas de faire rire toute la famille. C'est juste que ma famille avait toujours été un point crucial de ma vie, enfin.. Mon frère et ma soeur quoi. Sans eux, tout aurait sans douté été bien plus difficile et ce depuis toujours. C'est bien pour cela que même à l'heure d'aujourd'hui, je serais prêt à me battre pour m'assurer que tout allait bien pour eux même pour Aiden alors qu'il était pourtant l'aîné de la fratrie. Il avait fait tellement pour moi .. assumé un rôle bien plus fort que celui d'un frère. Et parfois j'avais l'impression de ne pas savoir rendre assez de tout ce qu'il avait pu me donner. Du coup quand je pouvais faire quelque chose pour mon neveu et ma nièce je le faisais, en tant qu'oncle ou pédiatre. C'était aussi simple que ça. En l'entendant rire suite au petit récit de ma journée je souriais nerveusement, ça y est maintenant je me sentais encore plus bête c'était officiel, et ça ne me plaisait pas franchement mais bon, j'avais préféré jouer la carte de la franchise plutot que celle du mec super classe qui ne se laisse perturber par rien du tout au monde. « C'est vrai ça..? Si je peux faire quoi que ce soit qui..Rendrait la soirée meilleure.. Je le ferais en tout cas, soit en certaine. Je veux que tu sois bien.» Lui avais-je assuré, prêt à me plier en quatre si ça pouvait lui faire plaisir. J'aurais fais littéralement nimporte quoi, juste pour son plaisir. Juste pour voir un sourire illuminer son sublime visage. Tous les mots que je pouvais prononcer n'étaient jamais dans le vent, et avec elle je faisais toujours de mon mieux pour être fidèle à moi même. J'étais quelqu'un de droit dans mes bottes qui disait les choses comme elles étaient et ce même si ça pouvait vêxer. C'était un risque, tout simplement, un risque que j'étais prêt à assumer sans grand problème. Mais ouvrir son coeur à une femme c'est rare que ça soit négatif par la suite, si elle était la c'était bien que ma compagnie lui faisait plaisir après tout! Biensur je n'allais pas me jeter sous sa fenêtre et lui réciter un truc à la Roméo, mais commencer par lui faire comprendre que sa compagnie m'était agréable était déjà un bon début pour cette soirée qui ne faisait que commencer. Allez savoir ce que le reste pouvait nous réserver, je préférais laisser les choses se faire sans trop me poser de question du moins pour le moment. Enfin arrivé j'avais posé mon regard sur le restaurant tout près de nous, ce lieu m'inspirait, j'avais toute confiance en l'endroit qui me semblait romantique à souhait, parfaitement approprié pour un rendez vous galant puisqu'après tout c'était bien ce que c'était. L'endroit m'avait même poussé à aller lui faire un petit bisou, directement sur la joue avec une véritable douceur. Elle n'avait pas l'air vêxée par mon initiative bien au contraire, j'avais pu la voir rougir, puis sourire malgré la surprise qui se lisait dans ses grands yeux. J'étais fier de moi pour le coup, j'avais su dépasser ma timidité et faire quelque chose de bien, qui ne pouvait que jouer en ma faveur. Mon bras noué au sien en prenant bien garde aux roses qu'elle tenait j'avançais en direction de l'entrée du restaurant avec un petit sourire collé aux lèvres. « C'est vrai, ça te plait? Je suis content alors. Allez.. Viens.. On rentre. Je meurs de faim et je veux que tu découvres le reste! » Lui soufflais je avec un air enchanté tel un gamin tout fier d'avoir décoré lui même le sapin de noêl de cette année. Je la guidais alors, les portiers nous ouvrant bien grand les portes du restaurant dans le quel régnait une ambiance douce, agréable, tamisée, pas de musique désagréable comme dans certains restaurant. Juste une véritable ambiance ou on se sentait directement à l'aise. J'annonçais notre réservation pour deux, et nous laissait guider jusqu'à un coin au fond de la vaste salle du restaurant, pas trop de monde autour, juste nous et c'était très bien comme ça. Je lui tirais moi même la chaise. « Si mademoiselle veut bien se donner la peine. »
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| | | Lenaëlle G. Martins et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! Un petit plus MY LIFE TREE: There's no safer place for youthan here with me
| mot doux de Lenaëlle G. Martins ► un Lun 14 Sep - 12:59 | | | Jensen & LenaëlleAll I want to do is loving you « Je le suis, crois-moi. Tout est parfait, Jensen. » furent des mots peut-être assez forts pour réconforter Jensen afin que celui-ci cesse de stresser autant par rapport à tout ce qu’il avait préparé, mais ce n’était pas assez fort pour exprimer ce que je ressentais réellement par rapport à tout cela, tout ce qu’il avait fait pour moi. En effet, je me sentais comblée, à croire que j’étais tout simplement dans un rêve. Allais-je me réveiller à un moment donné, retomber dans cette spirale dans laquelle je m’étais enfoncée au cours des dernières années et qui m’avaient poussée à me convaincre que ce genre de soirée, ce genre d’attention qu’un homme pouvait avoir en ma personne sans avoir de mauvaises intentions derrière pouvait exister ? Si c’était le cas, alors je préférais dormir éternellement, parce que je ne voulais pas que ce moment s’arrêter. Sur un petit nuage, je n’hésitais même plus à m’exprimer, m’exclamer quand quelque chose me plaisait, par exemple quand je vis le fameux restaurant qui me semblait à la fois chaleureux, mais aussi élégant, bref, un autre choix excellent de la part de mon cavalier. Je n’hésitai même pas une seconde à le lui confirmer par un signe de tête quand il me le demanda, lui souriant doucement quand il me dit qu’il mourait de faim. Mon bras enroulé autour du sien, je ne pouvais pas me plaindre de ressentir une nouvelle fois son contact qui me faisait sentir en sécurité, qui me faisait sentir bien. Ce fut ainsi que nous marchâmes jusqu’à l’entrée, et très rapidement, je me rendis compte que l’intérieur était aussi coquet que la façade. Trop occupée à regarder les environs, je ne portai pas vraiment attention quand Jensen discuta réservation avec le maître d’hôtel, me contentant de simplement suivre quand nous fûmes guidés jusqu’à notre table. Pendant le trajet, puisque j’avais relevé l’impatience de Jensen que je voie le tout, je lui chuchotai doucement : « Ça semble superbe à l’intérieur aussi, tu as fait un excellent choix. » Je venais tout juste de lui sourire doucement quand nous arrivâmes finalement à cette petite table dans un coin isolé, intime, l’idéal. Prête à aller prendre place sur une des deux chaises, je fus toutefois devancée par le bellâtre qui tira ma chaise, m’arrachant malgré moi un petit gloussement. Pouvait-il être plus parfait que ça ? J’avais du mal à croire que c’était possible tant il était attentionné, galant, romantique, juste parfait quoi. Prenant place sur la fameuse chaise, je lui lâchai un chaleureux : « Merci, mon cher ! » avant de considérer le maître d’hôtel qui me remettait maintenant le menu avec… la carte des vins. Je fus soulagée qu’à ce moment, j’avais baissé le regard pour consulter les plats proposés, parce qu’ainsi, j’avais pu peut-être dissimuler un peu le malaise que j’avais éprouvé en voyant cela. C’était une des premières fois que cela m’arrivait depuis un bon moment maintenant, parce que depuis longtemps, j’avais appris à vivre avec ma sobriété, à accepter le fait que je ne buvais pas d’alcool depuis plus d’un an maintenant, et je me sentais bien avec cela, sauf que là, nous étions dans un restaurant italien où clairement, le vin était à l’honneur. Bien sûr, je pourrais très bien me contenter d’eau, ce n’était pas ça qui me gênait de plus. En fait, mon malaise était surtout dû au fait que je ne croyais jamais avoir discuté de cela avec Jensen auparavant, et j’en venais à me demander ce qu’il penserait de moi si je lui disais que je ne buvais pas d’alcool, mais pas du tout. Je me doutais bien que ce ne serait pas son genre de me juger, mais je ne voulais pas non plus que ça jette un froid dans la discussion ou quelque chose comme cela. Croisant les doigts pour que cela n’arrive pas, je tentai de me concentrer sur le menu et retrouver mon enthousiasme momentanément perdu. La seconde partie ne fut pas très difficile à réaliser, puisque je n’eus qu’à relever le regard vers ce charmant jeune homme qui m’accompagnait pour soudainement retrouver ma joie, celle d’être avec lui, celle qu’il soit capable de me faire sentir si spéciale, qui me donnait envie d’être constamment avec lui. Étais-je accro ? Oui, c’était possible, mais là, je sentais que cette addiction n’avait rien de mauvais, bien au contraire. Un sourire flottant aux lèvres au bout du compte, je finis par lui demander, au bout de quelques secondes de silence : « Hum… As-tu une idée de ce que tu vas prendre ? Ou bien, que me conseilles-tu ? Tout me semble délicieux ! » J’espérais simplement que le tout passerait crème pour le moment, mais je n’en doutais pas vraiment. Maintenant que j’avais mis la carte des vins de côté sur la table, je me sentais déjà un peu mieux, et même prête à oublier mes soucis pour profiter pleinement de cette délicieuse soirée.
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| | | Jensen A. MacCallister et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais !
| mot doux de Jensen A. MacCallister ► un Mer 23 Sep - 19:33 | | | « Tu es adorable.. J'essaie vraiment de faire de mon mieux. » Parfait, elle trouvait ça parfait et cela suffisait à me rassurer suffisamment pour que je puisse me détendre et soit un peu moins tendu par rapport à la suite de la soirée que je voulais vraiment parfaite après le temps qu'il m'avait fallu pour trouver le courage de l'inviter et tout mettre en place de mon mieux. C'est que j'étais un peu.. Rouillé par rapport à tout ça suite à toutes mes déceptions amoureuses plus ou moins catastrophiques mais vraiment variées qui me faisaient me méfier de tout du coup. Est ce que la vie s'était décidée à être plus sympa avec moi? Je l'éspérais.. Lenaëlle était ma nouvelle chance, du moins c'était e que je pensais la tout de suite. Et rien ne me faisais plus plaisir que l'idée de prendre vraiment soin d'elle autant que possible, en commençant par ce soir déjà. Tout près d'elle je l'avais amenée tranquillement jusqu'à la table réservée pour nous deux, un sourire plein de tendresse aux lèvres, et en même temps l'air très très fier d'être vu en si bonne compagnie. Nimporte qui m'envierait surement d'être aux côtés d'une si belle femme, en tête à tête pour un dîner. Mais manque de pot,je comptais bien la garder pour moi et rien que pour moi! Egoïste me direz vous, oui c'était certain. Je ne la laisserais pour rien au monde maintenant qu'elle avait accepté ma demande de rendez vous. « J'éspère qu'on mangera bien alors! Wow ça fait longtemps que je suis pas sorti au restau avec quelqu'un. Même en famille donc avec une présence féminine .. Encore moins. J'aurais du te demander bien avant. » Avouais-je avec une petite moue, forcément maintenant je regrettais vraiment mais avant je ne trouvais juste pas le courage de me lancer. En avait elle eu l'idée aussi au moins? Est ce qu'elle aurait déjà eu l'idée de sortir avec moi? Dur de savoir si elle ne le faisait pas par manque d'envie ou alors parce qu'elle estimait que c'était le rôle typiquement masculin, celui d'inviter l'autre. Certaines filles aimaient ça apparement et je pouvais concevoir les choses sans soucis, mais avec quelqu'un de timide comme moi forcément ça n'avait pas aidé du coup à faire avancer les choses. Un doux sourire avait étiré mes lèvres en l'entendant rire, bon au moins je voyais que mes petites attentions lui faisaient plaisir c'était l'essentiel. Peut être que ça faisait très oldschool de faire les choses comme ça et d'appuyer sur la galanterie mais je le faisais tout naturellement, par simple envie de faire les choses bien et non pas pour l’impressionner spécialement. Je voulais qu'elle voit ce soir quel homme j'étais réellement, dans la vie de tous les jours. C'est ainsi que je serais avec elle chaque fois, que ça dure une heure..Un jour..une semaine.. Un an.. Dix? Enfin bon, vous avez compris l'idée. Je prenais les deux cartes que l'on nous tendait à chacun, remerciant le serveur d'un sourire poli avant de relever les yeux sur la jolie jeune femme en face de moi. Sa carte ne comportait pas de prix, comme le voulait la politesse dans ce genre de restaurant lorsqu'un homme invitait une femme à dîner. Tout comme plus tard j'irais payer discrètement la note sans lui demander un seul centime, une autre marque de politesse et j'étais ravi de l'inviter. L'argent ne fait pas le bonheur. L'amour par contre, oui. Et je voulais gagner son coeur tout comme elle avait instantanément gagné, que dis-je, volé, le mien. J'avais ouvert les deux cartes, pas spécialement tenté par le vin. J'étais quelqu'un d'assez simple de manière générale et je ne voyais pas l’intérêt de boire de l'alcool aussi chic que ça puisse faire. Forcément ça fait moins sérieux et adulte de demander un soda mais ça me convenait très bien. Du coup je jetais un coup d'oeil aux cocktails sans alcools, fruité, pétillants, bien parfumés mais sans l'arrière gout de l'alcool qui pourrait éventuellement m'empêcher de rouler. « Hmm déjà à boire je vais prendre le mojito sans alcool parfumé à la fraise. Ouai bon ça fait très féminin comme boisson mais j'aime beaucoup ce qui est à base de fruits, et le mélange fraise et menthe c'est juste mortel, je te le conseille vivement. Ensuite.. Hmm.. Je ne sais pas pleins de choses me tentent à vrai dire. Un bon plat de lasagne peut être.. Ou alors l'escalope de dinde au jambon cru et à la mozarella.. Oh oui je vais prendre ça, avec des tagliatelles sauce fromage! » Annonçais-je finalement avec un énorme sourire qui apparaissait sur mon visage alors que mon ventre me pressait un peu dans mon choix. Je mourrais de faim! Je reposais des yeux désolés sur elle, je passais pour un ventre sur pattes, mais malgré la beauté de l'endroit c'était juste le moment de manger après tout. « Alors, tu t'en sors dans la carte? »
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| mot doux de Lenaëlle G. Martins ► un Lun 28 Sep - 17:19 | | | Jensen & LenaëlleAll I want to do is loving you Je savais bien que cela ne changeait pas vraiment au comportement que j’avais depuis que Jensen était passé me prendre, compte tenu de toutes ses petites attentions et ses propos, mais je me surpris à rougir quelque peu encore une fois quand il vint à me dire qu’avoir su, il m’aurait invitée avant aujourd’hui. Pourquoi ? D’abord parce que je m’en montrais flattée, je n’allais pas le cacher, mais aussi parce que d’une certaine façon, je me sentais gênée que ce rendez-vous n’ait pas eu lieu avant. Ce n’était certainement pas parce que l’envie me manquait, bien loin de là, mais il fallait que je l’avoue, jamais je n’avais eu le courage de le lui proposer. Non pas parce que je prenais pour acquis que l’homme devait être celui qui faisait les premiers pas, mais plutôt parce que le simple fait de retomber amoureuse me faisait peur. Ce n’était pas nouveau, ce n’était pas surprenant compte tenu de mon passé, mais au final, j’avais décidé de me jeter à l’eau et pour tout dire, dans l’immédiat, je ne le regrettais pas. Au bout du compte, j’en vins donc à la conclusion que mieux valait ne plus regretter le passer, et se concentrer sur le présent, ce qui fit en sorte que je finis par dire au jeune homme : « Eh bien maintenant, tu n’auras plus de raisons de ne pas le faire. » avec un petit sourire amusé. Je ne disais pas cela parce que je voulais le forcer à m’inviter, bien loin de là, mais plutôt pour lui signifier que maintenant, je n’avais plus peur de passer du temps avec lui et ce, même si cela revenait à lui exposer mes plus sombres secrets à un moment ou un autre, même si je ne le voulais pas tout de suite. Je craignis pendant un instant que ce serait ce qui arriverait concernant la carte des vins. En effet, rares étaient les adultes qui n’aimaient pas en consommer avec leur repas. Moi, je faisais partie des marginaux qui refusaient toute goutte d’alcool, et même si je n’avais plus de mal avec ça depuis un moment maintenant, il n’en demeurait pas moi que de l’admettre à ce jeune homme que j’appréciais beaucoup, dont je voulais l’attention et non le rejet, me faisait peur. Toutefois, à ma grande surprise, il n’eut pas de réaction étrange. Pendant un instant, je me demandai même s’il n’avait pas lu dans mes pensées, puisqu’il avait pris la peine de me dire ce qu’il allait boire; un cocktail, sans alcool… Mon regard s’illumina automatiquement de soulagement à son propos, et je me sentis si bien que je me demandai si ce n’était pas un rêve. Pouvait-il être plus parfait que ça, franchement ? Enfin, je n’écartais pas la possibilité qu’il boive de l’alcool autre part, et je ne pouvais pas le lui en priver, mais pour cet instant précis, je n’aurais pas pu demander mieux. Bien sûr, il faudrait bien que je le lui avoue un jour ou l’autre que je ne buvais pas une seule goutte, et que je lui explique pourquoi aussi, mais ne pas être obligée de le faire ici et maintenant, je ne pouvais pas m’en plaindre. Je pourrais choisir le moment idéal pour le lui en parler et surtout, profiter pleinement de ma soirée. Toute souriante de nouveau, je l’écoutai alors me parler du repas qu’il allait prendre, ne pouvant m’empêcher d’être amusée devant son hésitation très semblable à la mienne ; il y avait tant de choix, comment s’arrêter sur un seul en quelques minutes ? Ce fut finalement au bout d’un bref moment qu’il fit son choix, choix qui sembla le mettre encore plus en appétit, vu comment son estomac gronda. Eh non, je ne l’avais pas échappé, et le regard qu’il me servit ne fit que me confirmer ce que j’avais entendu, mais je ne passai quelconque commentaire, mon but n’étant certainement pas de le gêner, mais aussi parce que d’une certaine façon, c’était limite… mignon ? D’accord, ce n’était peut-être pas le meilleur terme pour la situation, mais je n’avais pas trouvé mieux, me disant que de toute façon, tout me paraissait mignon chez Jensen, aussi cliché cela soit-il. Maintenant appelée à regarder mon propre menu, vu la question de mon cavalier, je considérai celui-ci d’un œil nouveau, beaucoup plus détendu. Au bout d’une seconde ou deux de réflexion, je dis : « Tu m’as tenté avec les lasagnes… » Cependant, puisque je ne pouvais pas arrêter mon choix à cette simple constatation, je regardai encore un peu plus, et je vins à dire : « Ou les tortellinis ? » Fronçant les sourcils et esquissant une petite moue songeuse, je conclus ma réflexion en affirmant : « Les tortellinis ce sera ! » Cependant, je ne fermai pas mon menu à ce moment-là, tournant la page pour considérer les entrées. Ce n’était pas mon habitude d’en prendre une, raison étant que c’était toujours trop gros pour que je mange tout toute seule – surtout parce que bien souvent, je voulais un dessert à la fin aussi – mais parfois, je pouvais m’en sortir par une petite alternative, alternative que je voulus proposer à Jensen en lui demandant, aussi timide qu’une gamine : « Ça te dirait qu’on… partage une entrée ? » Après, je n’étais pas difficile, il pourrait très bien prendre celle qu’il souhaitait, à condition qu’il accepte, bien évidemment. Après, si je n’en prenais pas, ce n’était pas la fin du monde, mais disons que cela pourrait nous permettre de tenir encore un peu avant l’arrivée des plats principaux, et je n’allais pas le cacher, celles-ci semblaient aussi délicieuses que les plats de résistance, alors il était plus que tentant d’y goûter, n’est-ce pas ?
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| mot doux de Jensen A. MacCallister ► un Dim 4 Oct - 12:47 | | |
Elle était vraiment belle quand elle rougissait comme ça avec ce petit air tellement sensible au visage. Oui elle semblait fragile, le genre de personne qu'on a automatiquement envie de protéger envers et contre tout. Du moins c'est ce que moi j'avais envie de faire pour elle, veiller sur elle et m'amuser à la taquiner un peu juste pour le plaisir de voir ses joues rougir de cette façon. J'avais envie d'embrasser sa peau, de passer le bout de mes doigts dessus, j'avais envie de veiller sur elle un maximum maintenant et visiblement elle n'avait rien contre cette idée puisque tout comme moi elle semblait ravie par le fait que nous sortions enfin ensembles. Elle semblait différente de mon ex, et rien que pour ça j'avais envie d'y croire. Elle semblait si douce..Sincère. Pas le genre à planter son fiancé le jour du mariage en partant avec le meilleur ami de celui ci qu'elle se tapait depuis un moment déjà..Ne restait plus qu'à éspérer qu'elle n'était pas non plus comme mon autre ex que la mort m'avait pris sans me laisser le temps de me faire à l'idée.. Tout s'était juste fini, soudainement, brusquement. Et ça m'avait fait tellement de mal. Alors je souhaitais de tout coeur que l'amour me laisse enfin un peu en paix, que je puisse me remettre de ces blessures la et me projeter dans un avenir meilleur avec une femme qui en valait vraiment la peine surtout. « Fais attention à ce que tu dis ma jolie, si je ne te lâche plus tu vas dire que je t'étouffes alors.. Je resterais raisonnable t'en fais pas mais oui je n'hésiterais plus à t'inviter maintenant. » Elle pouvait compter sur moi pour ça je ne laisserais pas un autre homme me la voler et je ne demandais qu'à me rapprocher d'elle autant que je le pouvais. Devant elle j'avais un peu honte quand même de ne pas commander de vin ou au moins un petit verre d'alcool. La honte pour un homme de ne pas aimer ça, ça faisait sacrément serieux généralement. Mais moi je n'aimais pas ça du tout. Limite une petite gorgée de vin avec un très bon plat mais habituellement j'aimais bien mieux quelque chose de neutre, sans alcool, parfumé oui mais sans alcool. Il y avait tellement d'autres gouts intéressants, pourquoi se forcer juste pour entrer dans une catégorie, ou juste pour faire comme les autres? Du coup je m'étais mordu fort la lèvre, me passant une main dans les cheveux en soupirant légèrement. Mais étrangement.. Elle souriait. Elle avait l'air.. Contente. Avait elle des mauvaises experiences avec des gens qui buvaient? Si ça la rassurait que je ne bois pas, tant mieux. Elle n'aurait jamais besoin de s'en faire pour ça en tout cas, même en soirée je n'avais jamais été bourré. Moi non plus je n'aimais pas les gens alcoolisés, beaucoup avaient l'alcool violent et s'en prenaient aux autres. Combien de cas de violence y'avait il déjà eu à cause de ça? Je prônais haut et fort la sobriété, et son attitude me rassurait vraiment beaucoup. Cette femme était parfaite, voila encore un élément de plus qui me prouvais que nous étions faits l'un pour l'autre, nous nous correspondions sur tant de points de vues différents. J'avais alors posé ma main sur la sienne, comme une manière de la remercier. Pourquoi? Pour êre qui elle était tout simplement. Pour la remercier de me faire me sentir si bien chaque fois que j'étais auprès d'elle. C'est mon ventre qui m'avait rappelé à la réalité en gargouillant comme si un dinosaure se planquait dedans, ouai bon c'était pas du tout charmant pour le coup mais bon c'était parfaitement humain non? Et elle aussi semblait avoir bien faim, tant mieux, si je me retrouvais seul à manger ça serait pas franchement sympa comme rendez vous. D'autant plus que j'avais un appétit pas mal énorme même si à me regarder comme ça on aurait pas dit. Mon frigo ne tenait jamais la semaine quand j'allais faire les courses, je piochais dedans toute la journée de manière générale pour pouvoir manger, grignoter, par faim ou par plaisir de manger quelque chose qui me plaisait tout simplement. En l'entendant je pouffais doucement de rire en penchant la tête sur le côté, bon au moins elle était aussi perdue que moi apparement. L'appel de la nourriture rendait le choix complexe. Elle était belle quand elle réfléchissait, avec ce petit pli juste entre ses sourcils fins et parffaitement dessinés. Je gardais ma main sur la sienne, l'attirant pour déposer un petit bisou dessus avant de la relacher pour la laisser s'en servir avec la carte. « Hm délicieux choix.. mais seulement si tu me laisses gouter parce que j'adore ça!» Et parce que piquer dans les assiettes de mes amis était loin de me déranger, alors dans celle de la femme qui me plaisait encore moins. On dit que l'amour nous fait tout partager, alors la nourriture était la stricte base de tout ça, pour moi du moins. Et décidément cette femme me plaisait de plus en plus, ne serait ce que pour ce qu'elle venait de me demander. Partager une entrée, quelle fabuleuse idée. « Oh. Oui avec grand plaisir Lena. C'est une plutôt bonne idée pour attendre les plats et pouvoir gouter à quelque chose d'autre. Qu'est ce qui te tenterais? Il y a des croquettes de mozarella.. Des toast chèvre et tomate.. Un ensemble de mini pizzas.. Ou d'autres choses à base de poisson, de salades, qu'est ce qui te tenterais? Je suis tout sauf difficile! » Je mangeais tout. Strictement tout. Pour ça je n'avais jamais posé de problème dans mon enfance, on pouvait mettre tout et nimporte quoi dans mon assiette sans que j'en laisse une miette et ce sans jamais me plaindre. Je me rapprochais alors de la jeune femme pour pouvoir regarder avec elle et prendre une décision.
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| | | Lenaëlle G. Martins et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! Un petit plus MY LIFE TREE: There's no safer place for youthan here with me
| mot doux de Lenaëlle G. Martins ► un Lun 5 Oct - 14:36 | | | Jensen & LenaëlleAll I want to do is loving you Le propos de Jensen concernant les éventuelles invitations qu’il pourrait me faire m’arrachèrent un nouveau sourire, non pas parce que je me délectais essentiellement d’être invitée encore une fois – pas besoin de sortir constamment pour passer un bon moment, après tout – mais plutôt parce que je trouvais cela adorable qu’il parle de ne pas me lâcher et m’étouffer, en venant à me dire que non, je ne voulais pas qu’il me lâche. Plus maintenant, en tout cas. Alors que je craignais avant ce rendez-vous de m’attacher de nouveau, de prendre un risque encore une fois dans ma vie, maintenant, j’avais la quasi-certitude que j’avais fait le bon choix en décidant de me laisser aller, en décidant de me laisser une chance, de laisser une chance au jeune homme. Je me sentais bien avec lui, je ne pouvais plus le nier, comme je ne pouvais pas nier mon désir que cela ne s’arrête pas. Alors Jensen pourrait m’inviter une fois par semaine, tous les jours, cela ne me dérangerait pas, parce que si tout se passait aussi bien qu’en ce moment, jamais je ne pourrais me faire prier pour le voir, c’était sûr et certain. Je voudrais que les occasions se multiplient de pouvoir lui parler, passer du temps en sa compagnie, m’amuser, même si ce n’était qu’en hésitant sur un menu qui proposait trop de choix intéressants, comme actuellement. Il ne m’en fallait pas beaucoup pour être heureuse, dans ce cas-ci le simple fait qu’il me demande de goûter à mon plat fut suffisant pour me faire rire doucement avant de m’arracher un : « Avec plaisir, si tu me laisses goûter le tien, évidemment ! » dans le but de le taquiner un peu. Après, s’il ne voulait pas que je touche à son assiette, je n’en serais pas vraiment vexée, même si au fond, j’étais quand même curieuse de goûter à ce qu’il avait choisi, parce que cela me semblait tout aussi délicieux. Puis, j’en vins limite à me dire que cela ne le gênerait peut-être pas si nous venions à partager une entrée, compte tenu qu’il avait accepté, allant même jusqu’à congratuler l’idée, à ma grande surprise d’ailleurs. Pourquoi ? Parce que je savais que les gens normaux aimaient bien prendre une entrée pour eux seuls et qu’en proposant de partager, je faisais un caprice, d’une certaine façon. Ce n’était pas un gros caprice quand même, mais je fus heureuse de voir qu’il semblait jouer le jeu, même si cela impliquait que je devais maintenant choisir ce que nous allions prendre, me mettant ainsi face à un nouveau dilemme. Bien décidée à aller au bout de celui-ci, je tournai la page du menu pour considérer les choix proposés tout en écoutant mon cavalier m’exposer les possibilités, même si celles-ci ne me donnèrent pas une idée précise de ce qu’il aimait, vu comment il semblait peu difficile, tout comme moi, en fait. Les légumes verts à part, je mangeais pas mal de tout, à croire qu’effectivement, nous pourrions prendre grand plaisir à faire des sorties culinaires dans le futur. Ou peut-être simplement cuisiner à la maison, pourquoi pas ? Après tout, n’était-ce pas Jensen qui avait dit qu’il n’avait jamais, ou presque jamais, passé une journée à ne rien faire ? Peut-être aurais-je le pouvoir de changer les choses ? Je ne voulais pas prévoir trop d’avance, mais je ne pouvais pas m’empêcher d’y songer, parce que clairement, ce ne serait pas le dernier moment que nous allions passer ensemble. J’en avais eu la confirmation plus tôt de la part du jeune homme, et maintenant, j’en avais ma propre certitude tandis que je cherchais encore et toujours dans ces fameuses entrées. Finalement, je vins à arrêter mon choix, mais avant que je puisse en faire part à Jensen, le serveur vint à notre rencontre, venant prendre les commandes. Puisque nous avions tous les deux choisi notre repas, je ne vis pas pourquoi nous ne pourrions pas passer commande, alors j’acquiesçai, puis je commençai en affirmant la première : « Je vais prendre les tortellinis sauce rosée avec l’ensemble de mini-pizzas… Avec deux fourchettes, s’il vous plait ! » Un petit sourire de gamine éclaira mon visage à ce moment, mais le serveur ne sembla pas en tenir compte, puisqu’il me demanda ensuite si je voulais quelque chose à boire, ce à quoi je répondis : « Un mojito à la fraise, sans alcool, s’il vous plait. » Sur ces mots, je considérai mon tendre ami d’un regard complice, me contentant de hausser les épaules sur mon dernier choix en espérant qu’il ne m’en veuille pas d’avoir copié son idée. Quoique… Dans un sens, c’était sa faute, c’était si tentant ! Quoiqu’il en soit, je ne dis rien d’autre, le laissant commander, puisque c’était maintenant après lui que le serveur attendait à présent.
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| | | Jensen A. MacCallister et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais !
| mot doux de Jensen A. MacCallister ► un Dim 18 Oct - 15:58 | | | Biensur quand je parlais d'invitations ce n'était pas forcément des invitations à dîner. Il n'y avait pas que les sorties en restaurant dans la vie. On pourrait faire tellement de choses sympa tous les deux! Sorties au bowling, cinéma qui était aussi un endroit assez mignon finalement ou être ensembles.. Prendre la main de l'autre pendant le film,s'embrasser dans le noir l'air de rien. Ca pouvait être vraiment un bon moment biensur si l'autre avait la même façon de voir les choses sinon on risquait de se prendre un sacré vent et c'était pas ce qui était souhaité. Mais non à ce que je comprenais ou du moins de ce qu'elle me faisait comprendre elle n'avait rien contre l'idée et moi j'avais envie d'y croire de toutes mes forces et ainsi la garder tout près de moi, ne pas risquer de la perdre comme j'avais pu perdre dans le passé d'autres femmes que j'avais aimé.Biensur je ne pouvais pas prévoir ce que l'avenir nous réservait tant à l'un qu'à l'autre mais si on avait pas la foi alors qu'est ce que ça pourrait donner? Elle était géniale comme femme, tout ce que je recherchais, et sa présence faisait toujours de moi un homme vraiment heureux on ne pouvait pas dire le contraire. Maintenant j'avais vraiment envie qu'elle ose venir vers moi aussi, du genre ne serait ce que par les sms, peut être rétrécir un peu cet écart entre nous qui différenciait l'amour de l'amitié. En tout cas à mes yeux l'amour était vraiment une chose certaine dont je ne pouvais pas douter. Je l'aimais juste de toutes mes forces c'était aussi simple que ça et je ne pourrais même pas expliquer pourquoi. C'était un tout! Le son de sa voix, la beauté de ses yeux, sa façon de rire, son merveilleux sourire, la douceur de sa peau quand j'avais pu serrer sa main. Son caractère, sa gentillesse, sa bonté, sa douceur quand je la voyais avec mon neveu et ma nièce. « Bon.. Tu es autorisée à piquer dans mon plat mais c'est exceptionnel, tu es bien la seule que j'autorise à le faire. » Partager un plat ce n'était pas grand chose, je voulais tout partager avec elle alors autant commencer par quelque chose que j'aimais, la nourriture ! Biensur que je préférais Lenaëlle à la nourriture de toute façon, le contraire serait bien triste. J'avais déposé un petit bisou sur sa main avec un grand sourire, qu'est ce qu'elle pouvait être craquante! J'avais eu bien raison de m'impatienter pour cette soirée, c'était encore mieux que ça l'avait été même dans mes rêves. J'adorais la voir réfléchir, avec ce petit froncement entre ses deux sourcils et ce serieux sur son visage. Qu'est ce qui pouvait ne pas être parfait chez elle de toute façon? Tout me plaisait en tout cas, pour ce que je connaissais d'elle et avec le temps j'en connaissais déjà pas mal tout de même mine de rien. Pendant qu'elle réfléchissait j'en profitais pour caresser doucement sa main du bout de mes doigts avant de remettre les mèches de ses cheveux en place, un petit sourire aux lèvres. Je pouvais tellement me projeter avec elle dans le futur, c'était plutôt dingue non? Mais c'était naturel, nous avions un super feeling tous les deux et j'avais envie que les choses changent, c'était en tout cas mon but et j'éspérais trouver la bonne façon de faire les choses avec elle pour lui faire comprendre ce que je voulais entre nous sans pour autant me montrer déplacé ce n'était pas mon but ni ma façon d'être de manière générale. Je riais légèrement quand le serveur débarqua, ça y est on allait pouvoir passer commande et enfin prévoir de manger! J'avais annoncé mon plat également avant de la laisser décider pour leur entrée et la boisson. Bon et bien elle avait bon gout c'était déjà ça! Si elle avait décidé de prendre une salade ou du poisson en entrée à partager j'aurais sans doute très peu apprécié puisque ce n'était pas ma tasse de thé en tant que grand gourmand invétéré qui aimait bien trop les choses grasses pleines de gout. Bon d'accord c'était pas génial mais mon boulot était assez prenant et mon activité à côté pour m'occuper et faire de l'exercice et me tenir en forme. « Mini-pizzas hein? Non mais j'ai une femme parfaite en face de moi la, je crois que je vais t'épouser. Très très bon choix ! Woh j'en peux plus je meurs de faim la. » Je me plaignais un peu en posant ma tête sur la table avec une grosse moue boudeuse digne d'un gamin avant de légerement rire, lui accordant un grand sourire en voyant qu'elle avait suivi mes conseils, en éspérant maintenant qu'elle apprécie. Biensur ça ne serait pas pareil que les boissons alcoolisés mais pour ma part je préférais les choses comme ça donc autant la faire profiter de ça également. Je remerciais le serveur d'un sourire pour qu'il reparte en cuisine, reprenant pour la part la main de mon amie. « Qu'est ce que tu me répondrais si je te proposais de venir chez moi après ce dîner? »
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| | | Lenaëlle G. Martins et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! Un petit plus MY LIFE TREE: There's no safer place for youthan here with me
| mot doux de Lenaëlle G. Martins ► un Ven 23 Oct - 13:51 | | | Jensen & LenaëlleAll I want to do is loving you Même si cela faisait partie des quelques propositions que Jensen avait fournies lorsque vint le temps de choisir une entrée, je fus contente de voir que le choix des mini-pizzas semblait le satisfaire. Le gratifiant d’un sourire par rapport à sa réaction, je me surpris toutefois à rougir encore une fois quand il vint à me dire que c’était à un point qu’il allait m’épouser. Je me doutais bien que personne ne faisait une demande en mariage basée sur un choix d’entrée au restaurant, mais quand même, ce fut assez pour faire réagir mon esprit assez à fleur de peau et lui donner des idées dignes de contes de fées, parce que j’avais vraiment l’impression que ce que j’étais en train de vivre avec Jensen actuellement. Je n’allais pas jusqu’à imaginer que j’allais l’épouser la semaine prochaine, sachant déjà que si j’étais en train de franchir plutôt bien cette première étape dans une nouvelle relation, en train de m’affranchir de toutes ces peurs qui m’empêchaient d’avancer depuis six ans parce que je sentais que j’avais trouvé la bonne personne pour le faire, le mariage, c’était tout autre chose dans ma tête. C’était source de craintes, parce qu’après tout, c’était après mon premier mariage que tout avait dérapé, et par conséquent, si la journée en soi s’était bien déroulée, je n’en gardais pas les meilleurs souvenirs qui soit. Enfin, je me doutais bien que je n’avais pas à m’en faire pour le moment, que Jensen faisait une blague des plus adorables. De plus, c’était pas mal plus intéressant de profiter du moment présent, de sa petite moue boudeuse enfantine qui était plus que mignonne, si bien que j’en ris doucement, n’ayant pas le courage de passer un commentaire quelconque comme si je craignais que le fait d’ouvrir la bouche pourrait gâcher ce moment, aussi bref soit-il. Ensuite, une fois que le serveur eut quitté notre table pour aller faire commander nos plats – ou du moins, j’espérais qu’il soit allé faire le détour pour transmettre les demandes, parce que moi aussi, je commençais à avoir particulièrement faim – Jensen prit ma main, et je ne me fis pas prier pour entremêler encore une fois mes doigts entre les siens, appréciant autant que la première fois le contact de sa main dans la mienne, qui me semblait si naturel, comme s’il était fait pour exister. Toutefois, je perdis ce petit sourire et air ravi qui flottait sur mes lèvres pendant un instant lorsque Jensen vint à me poser une question à laquelle je ne m’attendais pas du tout. Non pas que cela me gênait de dépasser le stade du simple dîner au restaurant, bien loin de là. Toutefois, j’avais l’impression que cela venait raviver certaines craintes que j’avais que je tentais tant bien que mal d’effacer depuis le début de cette soirée, sauf que là, je me rendais compte que le trajet, le restaurant, ce n’était rien, c’était simple comparativement à une offre comme celle-ci. Je me sentais comme devant un défi que je ne savais pas si je devais relever, ou bien écarter en le fuyant. Auparavant, il était sûr que j’aurais dit non, n’ayant pas assez confiance pour cela, mais en ce moment, je me rendais compte, à mon étonnement d’ailleurs, que je préférais me dire que j’étais stupide de penser que Jensen me voudrait du mal. Cela ne se pouvait juste pas, et quand une once de doute ne faisait que songer à s’installer, je repensais à cette petite moue boudeuse qu’il m’avait servie précédemment et je comprenais que ce n’était juste pas possible. Timide, je retrouvai lentement mon sourire, tentant de finir de me convaincre. J’en vins à me demander si c’était une bonne idée, si ce n’était pas aller trop vite, alors que je ne savais même pas ce que nous ferions. Nous pourrions aussi bien jouer une partie de cartes que regarder un film, quelque chose comme cela. Et puis, même si ce n’était pas cela, j’avais vingt-neuf ans, il ne fallait pas que je l’oublie, même si depuis le début de cette soirée, j’avais l’impression d’en avoir quinze, d’être redevenue comme une adolescente amoureuse pour la première fois. Sauf que j’étais une adulte, je n’avais pas de parents qui surveillaient mon heure de retour à la maison, alors pour toutes ces raisons, après avoir inspiré profondément, je finis par lui dire : « Je te répondrais que ce serait avec grand plaisir. » en lui servant un sourire sincère, comme si prononcer ces mots venait de m’enlever un poids. C’était tout comme, à vrai dire. Je me sentais bien, je me sentais heureuse, et puis, maintenant que j’y pensais, je ne pouvais qu’être gagnante, parce que si la soirée se poursuivait au-delà du restaurant, je pourrais apprendre à le connaître encore plus, profiter de sa présence encore plus longtemps, alors ça ne pouvait que me convenir. Puis, avant que je dise quoi que ce soit, le serveur – qui, visiblement, avait eu la présence d’esprit d’aller passer commande tout de suite – revint avec nos cocktails pour commencer. Je le remerciai d’un sourire lorsqu’il les déposa devant nous, puis sitôt qu’il eut tourné les talons, je pris mon verre, regardai Jensen en le levant légèrement et en proposant : « On trinque ? »
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| mot doux de Jensen A. MacCallister ► un Dim 8 Nov - 22:22 | | | Le pire c'est que je serais bien capable de faire une demande en mariage devant une pizza... Ben quoi? J'aime la nourriture, je pourrais passer mon temps à grignoter ou même manger des trucs hyper consistants! Sortir déjeuner à deux je trouve ça romantique. Donc oui c'est le genre de chose que je pourrais faire, ou planquer une bague dans un gâteau. Je souriais avec amusement à cette idée dans ma tête, avant de reposer les yeux sur ma jolie Lenaëlle qui semblait avoir viré au rouge une nouvelle fois, c'était tellement adorable quand ses joues prenaient cette adorable teinte. C'était une jeune femme craquante, je ne pouvais que l'admettre. Tout chez elle me faisait craquer de toute façon c'était juste de la folie, comme si elle avait été faite pour me plaire à 100% et même plus que ça. Bon sang que je pouvais être amoureux, la simple idée de ne pas la voir un ou plusieurs jours me rendait mal.. Oui je l'aimais, depuis la première seconde ou j'avais croisé son regard et j'étais bien décidé à ne plus la laisser filer. La tout de suite j'avais envie de tout envoyer valser, l'attraper contre moi comme dans les plus beaux films d'amour et embrasser ses lèvres avec romantisme. Je voulais lui ouvrir mon coeur, mais chaque chose en son temps je ne voulais pas la brusquer le moins du monde. Sa vie n'avait pas été des plus simples et j'en étais conscient, la mienne non plus, du coup je ne comptais pas précipiter les choses et j'avais attendu. Mais ce soir je voulais vraiment un pas en avant, restait à trouver comment je pourrais bien faire ça. Ce n'était pas le genre d'évènements qu'on avait envie de faire. Je voulais qu'elle se souvienne de ce moment surtout si pour elle les sentiments étaient partagés et il me semblait bien que c'était le cas. C'était une bonne chose, un bon début pour essayer de surmonter ma timidité et aller vers elle en prenant mon courage à deux mains. Je penchais ma tête sur le côté, mes yeux posés sur elle et un sourire sans doute niais collé aux lèvres. Je ne pouvais plus m'en empêcher. Je jouais du bout de mes doigts avec le sien, un petit sourire collé aux lèvres au contact doux de sa peau. Ce moment ne nécessitait aucun mot et c'était juste fabuleux, la magie de l'instant, cette alchimie entre nous que personne ne pourrait jamais nous enlever même si pour le moment nous n'avions mis aucun mot sur nos sentiments mutuels. Nous le ferions sans doute dès que nous serions prêts à le faire. Je l'étais. Mais et elle alors? Je lui avais proposé de se revoir, chez moi entre autre, et j'avoue que j'avais été terriblement nerveux à l'idée de me prendre un vrai rateau en direct live devant tout le monde dans le restaurant. Bon d'accord, personne ne nous regardait spécialement mais.. Je n'avais pas envie de l'entendre me dire que ce n'était pas ce qu'elle voulait, qu'elle et moi ça n'arriverait jamais. Pour une fois je me permettais de rêver, et de me lancer. Du coup quand enfin elle avait répondu par l'affirmative, mes lèvres s'étiraient en un grand, que dis-je, énorme, immense sourire jusqu'aux oreilles. C'était assurément la meilleure nouvelle de toute la journée, de toute la semaine entière! « Wow, c'est vrai? Tu veux bien qu'on passe une soirée chez moi, enfin.. Tous les deux? C'est génial, je suis super content c'est.. C'est vraiment génial.. Je meurs d'envie de passer plein de temps avec toi et.. Le plus tôt sera le mieux! » Bon la je passais pour un impatient comme c'était pas permis mais quand même, c'était la pure et simple vérité. J'avais tellement envie d'apprendre à mieux la connaitre et être plus proches dans une ambiance un peu plus intime que quand on se croisait habituellement pendant qu'elle bossait..ou que je bossais d'ailleurs. C'était aussi simple que ça. Je ne demandais pas la lune mine de rien. J'attrapais le verre entre mes doigts, relevant les yeux vers elle et hochais la tête visiblement, plongeant mes yeux dans les siens en approchant mon verre du sien pour pouvoir trinquer comme il se devait. « Ca me semble approprié oui! Et à quoi est ce qu'on va trinquer alors? Je te laisse choisir, honneur aux femmes! » A quoi trinquer d'ailleurs? Au futur..? Au destin? A l'amour naissant? Aux nouveaux départs? J'aurais pu en énoncer tellement, je préférais la laisser choisir pour le coup, peut être que ça m'éclairerais un peu. |
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