l'avatar des scénarios ou membres des familles sont totalement discutables pour autant qu'ils ne soient pas dans le bottin !
Venez car plus on est de fous et plus on rit, non ? Chocolat et guimauves en cadeaux !
bonjour les YFTiens et pleins de calins pour vous ainsi que tout notre amour !
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Invité et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! Invité
| mot doux de Invité ► un Ven 23 Oct - 1:55 | | | lullaby & joan So it goes He can't keep his wild eyes on the road Takes me home La journée s’était agréablement bien passée pour l’instant. Je m’étais mise à ranger tout ce qui trainait encore de mes préparatifs pour le cimetière suite à l’assemblée de sorcière pendant la sieste des enfants. J’avais pris congé car je bossais bien trop au café en ce moment. J’en avais réellement mais réellement besoin. Je m’étais mise à m’occuper de mes papiers enfin nos papiers mais j’étais un peu plus douée qu’Aiden dans tout ça. Enfin presque bien entendu. Pas plus douée mais un peu plus donc je m’occupais principalement de ceux du café pour l’instant. Un simple jean assez moulant et un pull bordeaux sur mes épaules, j’attendais que mon téléphone ne s’alarme pour les 17 heures car je savais que cela serait l’heure de l’arrivée de Joan pour faire un peu des préparatifs pour Halloween assez surprise. Nora était encore avec Lenaelle pour l’instant mais nous avions prévus une petite surprise. Dylan endormi dans son cosy, je terminais de feuilleter tout ce qui était de la comptabilité. Je remplissais aussi le bon de commande pour la semaine prochaine et c’est quand je me relevais pour aller remplir ma tasse à nouveau d’un bon café que je chutais un peu, me rattrapais à temps mais le fond de la tasse (vous voyez celui qui est dégueulasse et assez froid pour vous décoller de votre chaise et vous forcer à le foutre à la poubelle) se retrouvait magiquement sur mon bon de commande. Je soupirais doucement avant de grogner. « Merde ! », disais-je alors d’un ton un peu fort qui suffisait à réveiller le bambin bien endormi. Je me hâtais à courir vers lui avant de l’entendre pleurer. Je détachais la sangle et je me prenais dans mes bras en allant vers mes papiers. Par chance, il ne pleurait pas mais il lorgnait dans mon décolleté. Je ne remarquais pas encore son regard criant famine car j’allais m’occuper de ramasser les papiers. Je le secouais doucement ce qui n’était peut-être pas une bonne idée et faisait descendre la coulée de café aux endroits précédemment secs mais bon. J’allais alors le mettre à la poubelle en faisant attention à Dylan encore dans mes bras. Je prenais une serviette en retournant vers la table que je tentais d’essuyer rapidement Par chance, il n’y avait pas plus de dégâts que le bon de commande mais je savais que j’allais devoir recommencer et ça, ça m’énervait assez. « Ils pourraient passer à l’électronique quand même ! », soufflais-je avec agacement alors que je soupirais aussitôt. Je posais tout de même le regard vers le bébé toujours pervers. Je lui souriais doucement. « Toi, t’as faim ! », lui annonçais-je avant de me pencher pour déposer un baiser sur sa joue. J’allais vers le porche de la maison en ouvrant la porte de l’entrée intérieur que j’ouvrais pour marcher sur le devant. Je me rendais vers le banc ou j’avais laissé un plaid que je prenais pour me couvrir ainsi que le bébé. Discrètement, je le nourrissais à l’air libre mais bien au chaud. De toute façon, le voisinage n’était pas là et n’allais rien remarquer de si loin. Je prenais mon temps avant de revenir à un état : normal. Enfin on ne voyait plus que j’allaitais et le bébé dormait juste dans mes bras. Je le berçais jusqu’à ce qu’il dorme avant d’aller le recoucher mais cette fois dans sa chambre. Une fois revenue au salon, j’égayais avec un peu de musique avant de recommencer le bon mais je n’avais eu le temps que d’écrire quelques mots quand mon portable s’agitait et que la porte de l’entrée s’ouvrait. Je sursautais aux bruits mais je me relevais aussitôt pour me rapprocher de la « mamie » pour une étreinte des plus tendres avant de reculer. « T’es arrivée à l’heure, on progresse ! », disais-je d’un ton taquin. Bien entendu, je plaisantais. Elle n’était pas si souvent en retard, voir pas vraiment à mes yeux mais après ça dépend des points de vues. Je reculais, mes talons frappant le parquet alors que j’allais vers le frigo. « Je te sers un verre de vin ? », lui demandais-je alors que je sortais du jus de fruits pour moi et j’attendais de savoir pour elle. J’allais chercher deux verres à vins. Qu’importe la boisson, je voulais faire comme si mais avec l’allaitement, je ne pouvais pas. De toute façon, cela ne me manquait pas tellement de boire du vin ou des boissons alcoolisées. Je n’en étais pas déjà très fan à l’origine donc bon. J’aimais bien cette routine presque saine et fruitée que j’avais. Tout était bio ou presque sous les conseils du pédiatre de Dylan ce qui était une bonne chose pour mon corps aussi. « Ou autre chose ? », lui demandais-je aussitôt. Je souriais doucement. « Tu veux t’occuper des biscuits ou des potirons ? », lui demandais-je à nouveau. Que de questions, que de questions mais nous n’avions pas énormément de temps pour terminer le tout. Donc autant régler les questions badines rapidement. |
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| mot doux de Invité ► un Lun 2 Nov - 10:37 | | | Je ne pense pas que les gens peuvent réellement changer, en fait, je crois plutôt que c’est leurs masques qui tombent. Les gens sont comme ils sont, et quoiqu’ils puissent faire, ils resteront toujours la même personne. Cependant, pour ma part, j’avais appris à accorder ma confiance, et également, j’avais enfin compris la véritable définition du mot famille. Et ça, voyez-vous, ça faisait toute une différence dans le caractère d’une personne. Bien sûr que je resterais toujours cette garce de Joan, mais, désormais, et étonnamment, ma famille passait avant tout. En réalité, il faut juste prendre le temps comme il vient, les gens pour ce qu'ils sont, et l'argent pour ce qu'il vaut. De toute manière, je ne pouvais pas espérer mieux qu’être auprès de mes enfants à cet instant de ma vie. Certes, j’étais loin d’être la mère parfaite, mais je faisais des efforts, énormément d’effort pour essayer d’être plus ou moins une bonne mère mais surtout, une grand-mère dont tous les p’tits enfants rêveraient d’avoir.
D’ailleurs, en parlant d’enfants et de petits enfants, j’avais promis à ceux-là, que j’allais accorder une journée entière à faire des petits biscuits en forme de fantômes, de citrouilles, de sauve-souris, de sorcières, et que sais-je d’autres encore et bien sûr, sans oublier le potiron. Je n’étais pas douée pour la cuisine, du moins, j’avais perdu la main, mais Lullaby était là pour m’aider et à me conseiller sur les ingrédients à mettre. Quand j’étais plus jeune, à une époque, j’adorais passer mes journées dans la cuisine, à préparer toutes sortes de choses, mais ma vie avait pris une tout autre tournure qui m’empêchait un peu d’être une femme normale.
Enfin bref, maintenant, je vivais l’instant présent, et le passé…. Et bien, le passer restait derrière moi. À quoi bon se retourner et se morfondre sur nos péchés ? De toute manière, le mal était fait, et ça, je ne pouvais malheureusement pas réparer toutes mes erreurs. La seule chose dont je pouvais faire, c’était d'avancer la tête haute, et m’excuser surtout auprès de la famille Jones, mais… chaque chose à son temps et un temps pour chaque chose.
Étant donné que je savais que j’allais être au fourneau toute la journée, je m’étais permis de mettre un vieux jean boyfriend avec un simple t-shirt Rolling Stones que j’avais acheté il y a bien longtemps dans un voyage d’affaires à Londres. Et de ce pas, je me rendais jusqu’à chez ma fille, et ce, à l’heure.
« T’es arrivée à l’heure, on progresse ! » Oh, il ne fallait pas abuser non plus. Il m’arrivait d’arriver à l’heure de temps en temps ... quand je le voulais bien, mais sinon, ouais, elle n’avait pas tort. Je n’étais pas quelqu’un de très ponctuel, mais que voulez-vous ? J’étais la big boss d’une entreprise internationale, alors oui, on se permettait de faire beaucoup de choses dont, les employées n’oseraient pas faire un quart de ce que je fais.
JOAN _ « C’est parce que vous me manquiez horriblement » disais-je en lui donnant une petite bise sur la joue. Je vivais seule dans une énorme demeure qui – sincèrement – me rendait encore plus seule que je le suis déjà. Quoique, j’avais mes deux chiens, mais cela dit, je me voyais mal leurs faire un câlin et quant à mon chat, et bien, lui il avait tout bonnement disparu… Triste, mais vrai. Je rentrais dans sa belle cuisine, et je déposais mon sac à main sur la table. « C’est bien gentil, mais j’essaie de diminuer ma consommation… Mais un verre d’eau fera l’affaire, ou un jus d’orange, peu importe. » Je m’étais rendu compte que je buvais un peu trop et je préférais mettre un frein maintenant avant que cela ne soit trop tard « Euh, tu sais la dernière fois que j’ai fait des petits biscuits, c’était quand Cordi avait quoi sept ans ? Donc, je pense qu’il est préférable pour éviter toute intoxication, que tu les fasses. » Lullaby avait peut-être grandi sans sa vraie mère, mais, Cordi n’avait pas non plus la chance de partager tant de choses qu’une mère était censée partager avec sa fille. Néanmoins, j’avais essayé d’être auprès d’elle le plus souvent possible, ou encore l’emmener avec moi pendant mes voyages d’affaires. « Bon, tu me donnes un couteau pour que je te fasse un chef-d'œuvre digne d'un o'brady ?. Je m'installais à côté de la petite Nora, et d'Apple. « hmm je suis bien chanceuse dis donc, je suis entourée des deux plus belles princesses du monde»
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| mot doux de Invité ► un Jeu 28 Jan - 22:54 | | | lullaby & joan So it goes He can't keep his wild eyes on the road Takes me home Certains diront que la journée commençait mal pour moi avec la catastrophe du café mais je ne dirais pas vraiment ça en fait. Enfin je n’en savais rien mais j’attendais ma mère qui arrivait assez vite enfin presque. Ca dépend de comment on y pense. Enfin on s’en fout. Quand elle me disait la dernière fois qu’elle avait fait des biscuits, je riais doucement car après tout, c’était amusant de l’imaginer en train de faire des biscuits. Enfin imaginer satin tricoté était aussi bizarre dans cette optique. Alors qu’elle me demandait un couteau, avait tendance à rire nerveusement pour le chef d’œuvre. « Avec ton passé de violence, j’hésite ! », disais-je avant de lui tendre tout de même un couteau tout naturellement. Nous faisons alors ça pendant une grande journée, une grande demi-soirée. Enfin c’était la fête à la maison ? Des biscuits décorés aux couleurs d’Halloween. Certains ressemblaient à Joan avec un côté sorcière et d’autres avait un air de famille avec Jane mais en plus vilain. C’était une façon pour moi d’être créative ? On va dire ça. Ahah. Il y avait certaines citrouilles et tout. La journée avait été bonne pour mes fourneaux et mon art de la décoration après tout. Pour Joan ? J’espérais qu’elle n’ait pas pris trop de plaisir à embrocher ces citrouilles car je pense qu’il suffisait de peu pour me paniquer tout de même. De peu, oui. Bon après Joan s’installait à côté de deux chaises vides comme Nora et Apple étaient absentes mais c’est Joan. Elle boit un peu trop parfois, on va lui pardonner, je pense. Chuuuut… |
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