Don't you step on my blue suede shoes
You can do anything but lay off of my blue suede shoes

En même temps c’est vrai que je tire un peu plus sur le garçon manqué ! Faut dire qu’avec un père mais, aussi un frère qui lui m’as toujours appris à faire des trucs de mecs.. Enfin voilà quoi. C’est sûr que j’ai ce petit côté garçon manqué en moi. Donc je ris légèrement à ce que me dis Dean mais le pire c’est qu’il a bien raison ! Puis pour en rajouter une couche je viens à parler de ma série préféré et de l’un de ses personnages principaux, Daryl Dixon. Homme pour qui je serais bien prête à tout faire pour mettre dans mon lit. Bref, je me suis qualifié de folle auprès de Dean mais, lui me dit que je suis une tarée mais qu’il m’aime comme cela. J’eus un léger sourire.

« Et je m’amuse comme tel frangin ! Et j’avoue que même si nous n’avons pas de lien de sang c’est tout comme et je t’aime aussi. »

Dis-je avec un léger sourire. Je sais que j’ai d’autres frères et sœurs mais, je n’ai pas la même relation avec eux que je peux bien avoir avec Dean. Pourtant il n’est pas mon frère de sang mais, entre nous est-ce vraiment très important ? Ce n’est pas important puis ce n’est pas de ma faute si j’ai plus d’affinité avec Dean que mes propres frères. Lorsqu’il me parle de son garage, je lui demande pour son voisinage mais, vu comment Dean m’explique les faits je dois bien avouer que Dean a surement raison. Puis après vivre dans un quartier avec plein de petits riches qui n’aime pas se salir leurs mains, un garage est une bonne solution.

« J’avoue que tu as eus une excellente idée mon frère ! » Puis sur un ton ironique : « C’est bien ! Je suis très fière de toi mon frère ! »

Lorsque que je lui parle de la prochaine formation au niveau de la pâtisserie française, la réaction de Dean ne ce fait vraiment pas attendre. C’est vrai que New-York n’est surement pas la meilleure des villes pour la sécurité mais, je dois bien avouer que j’ai vraiment envie d’y aller. Surtout que c’est une ville très active, il y a Broadway et plein d’autre endroit que je meurs d’envie de visiter. Et après si je fais que regarder les mauvais côtés de chaque ville, je ne ferais surement pu rien. J’hausse les épaules.

« Je suis très sérieuse façon ce n’est pas pour très longtemps non plus et cela ne me fait pas peur. Après je pense que je vais rencontrer des personnes à mon stage donc au finale je ne serais surement pas seule. Mais si tu veux venir, tu es le bienvenu mais, si on n’y va en moto, nous avons intérêt à partir quelques jours avant le début de mon stage. Après tu n’es pas obliger de venir avec moi, ne t’inquiète pas. »

Dean sera toujours le bienvenu avec moi mais, bon pour le coup je ne veux pas qu’il se sent dans l’obligation de venir avec moi à New-York.

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Partir sur les routes en moto avec Dean est une idée qui me plait vraiment beaucoup. Je serais ravie qu’il m’accompagne même si je n’ai pas envie qu’il s’ennuie à New York. Enfin non, c’est vrai qu’il a des amis dans la big apple.

« Je nous vois bien dormir dans des motels le soir avec pour compagnie mon vieux pote Jack Daniels. Non mais, sérieusement je pense que ca peut être une excellente expérience. Puis on pourrait s’arrêter à des endroits qu’on veut voir, ou que l’on doit voir au moins une fois dans sa vie. »

J’ai toujours était émerveiller devant certaine photographie sur internet. L’idée de Dean me vend du rêve au finale et maintenant j’ai vraiment hâte de partir pour New York. Ce voyage ne sera surement pas de tout repos mais, ce n’est pas bien grave. L’important ce sont les souvenirs qui restent en nous. Et pas le contraire. D’ailleurs en parlant de repos, je commence à sentir que le marchant de sable ne va surement pas tarder à vraiment arrivée. Je commence à avoir envie d’aller retrouver mon lit douillet. Bref, ce n’est pas grave, je regarde Dean avec un léger sourire :

« Je me prendrais bien un bon café noir ! Après je pense que je vais rentrer chez moi. »

J’eus un léger rire lorsque je vis Dean reluquer les siens de la serveuse. Il n’est pas possible ! Enfin après tout c’est un mec. Lorsque la serveuse commence à prendre ce qui reste sur la table, je récupérer le donut’s que j’avais pris pour le désert mais, que finalement je n’ai pas mangé. Je le mets dans une serviette à papier. Une fois qu’elle part je regarde mon frère.

« Tu n’est pas possible ! » Dis-je en riant. « Quoi que, faut bien avouer qu’elle était plus mignonne la serveuse. » Je lui fis un clin d’œil.

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Pour partir avec Dean, je ne vais prendre que je strict nécessaire. Un sac à dos et j’achèterais des trucs en chemin et je verrais bien après si je les garde ou pas. Sinon je remplacer mes anciens vêtements par des nouveaux. Je lui adresse un léger sourire et lui répond doucement :

« Ne t’en fais pas, on verra bien une fois sur la route. Et je prendrais que le strict nécessaire. »

Lorsque la serveuse prend nos dernières commandes, je ne peux pas m’empêcher d’observer Dean. Puis ce qu’il me dit me fit sourire une nouvelle fois. Nous avons des yeux pour regarder c’est sur mais bon tout de même ! Après c’est du Dean tout cracher et cela ne m’étonne vraiment pas du tout. La fatigue est entrain de m’envahir. Heureusement que je n’habite qu’à quelques immeuble d’ici. Je serais rapidement chez moi et au chaud dans mon lit. Je ne prends même pas la peine de lui répondre pour être honnête. Puis lorsque la serveuse revient avec nos boissons, il demande l’addition. Mais avant il me fixe avant de rire pour au finale regarder la serveuse. Il termine par payer l’addition et la serveuse repart. Je prends mon café en main et commence à le boire. Et une fois que nous avons terminé avec Dean, on quitte le Dinner.

« Ce n’est pas la peine de me ramener, je ne suis pas loin. A plus fraté ! »

Je viens lui faire la bise et prends la direction de mon appartement. Lorsque j’arrive devant ma porte, je vois un sans abri entrain de faire les poubelles. J’eu un petit pincement au cœur et repense que j’avais récupérer le donut’s du café des années 50. Je m’approche de lui et lui donne le gâteau soigneusement emballé dans un papier souple. Autant que je lui donne, sinon il va rester sur ma table et je vais devoir le jeter demain matin. Puis je n’en ai pas besoin et cet homme doit avoir faim pour faire les poubelles. Il me remercie et je pars me coucher.