l'avatar des scénarios ou membres des familles sont totalement discutables pour autant qu'ils ne soient pas dans le bottin !
Venez car plus on est de fous et plus on rit, non ? Chocolat et guimauves en cadeaux !
bonjour les YFTiens et pleins de calins pour vous ainsi que tout notre amour !
|
|
| |
| |
---|
Invité et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! Invité
| mot doux de Invité ► un Mar 24 Fév - 4:52 | | | alvin & melodybehind the blue eyes Folle ? Une case en moins ? Nouilles ? Sûrement oui. Et pourquoi pas ? On s’en fiche.Après tout, la colère et l’impulsivité rend fou. Je voulais le rendre dingue et pas dans le sens que l’on imagine. Je voulais le voir fulminer au point qu’il me paie pour que je le laisse partir. Oui, bah l’inverse de la rançon mais punaise qu’est-ce qu’il me voulait ? Non, je voulais tout savoir. Qui était cet homme ? Qui était-il réellement. Je ne savais pas du tout quoi penser de lui. Il débarquait ainsi avec une arme. Il voulait quoi au juste ? Ces réponses vagues et surtout insatisfaisante m’avait peu convaincue. Lancée dans ma mascarade, j’allais donc dans mon bain. Et c’est alors que bingo, une main devant la bouche. Je regardais cet homme me dire de me taire alors que j’étais nue dans mon bain. Autant dire que la situation entre nous devenait de plus en plus gênante mais je m’en fichais enfin… non, c’était faux. A moitié vraie plus vite. J’ignorais si je devais obéir ou non mais je devais avouer que le voir fouiller partout me donnait la sensation que je devais mieux la boucler même si j’avais envie de sortir et l’étrangler pour tout ranger. Je le laissais fouiller en arquant un sourcil à chaque fois qu’il changeait de fouilles. Sortant de mon bain, j’enfilais une serviette autour de la taille. Je profitais qu’il ait le dos tourné. Non, il n’était pas en train de vider ma boite de tampon ? Un peu énervée, je fulminais en attrapant ma loufa et lui balançant dessus mais je ratais ma cible. Parfait, je suis nulle pour frapper avec des lampes autant que pour viser. De mieux en mieux. Je soupirais doucement en le regardant retirer un truc de sous le carton. Il montrait un bazar noir ridiculement petit et le laissait tomber par terre en l’écrasant. Et puis ce prénom. Arquant un sourcil, je regardais ce qu’il venait d’écrase. « Vous savez, il n’est pas si petit… même si enfin je ne peux pas comparer ce qu’il y a dans son boxer… », disais-je en arquant un sourcil. C’était vrai. C’était le seul homme que j’avais connu mais je tentais surtout de plaisanter car je ne pigeais carrément rien. J’inspirais doucement en tournant les talons et le suivant dans la chambre. Alors qu’il fouillait, je riais doucement, augmentant le son de la musique pour aller vers mes tiroirs. J’attrapais un boxer en dentelle et un soutien à gorge assorti pour retourner dans la salle de bain et les enfiler. Dans le fond, on ne dirait pas mais je suis quand même un peu pudique. Surprenant ? Tellement. Je suis vraiment chelou quand même. Je revenais en attrapant un slim noir et un débardeur. C’était mieux qu’être nue, encore pire qu’une danseuse lascive. Les lingeries en dentelle aussi… ? Je les enfilais et retournais dans la salle de bain. « Non mais quand même, le rangement, ça vous connais ? », disais-je en soupirant doucement alors que je me mettais à ranger tout ce qu’il avait déplacé et au millimètre prés. Ça me rendait dingue, réellement. Je soupirais doucement, fulminant. « Monsieur entre et fait son petit bazar tranquillement, non mais ce sont bien des hommes pour foutre le bordel dans les vies quand ils ne veulent pas vous diriger, ils veulent vous diriger et merde… fais pas ceci, fais pas cela… tatatata… et j’en passe. Les connards ! », disais-je en parlant toute seule et rangeant tout autour de moi comme une cinglée car quand il était question de rangement, c’était ce que je devenais. « Et ils sont là avec des beaux yeux à vous dire… ça alors que vous vous en avez marre d’être un pantin mais punaise… », disais-je toujours en parlant toute seule. Non, je ne suis pas folle. Et pourtant on pourrait croire alors qu’au fil de mes mots, j’en perdais le maintenu de mes émotions. Des larmes avaient glissés au balcon de mes yeux et j’avais commencée à trembler. Il n’en résidait d’une voix de fille en larmes. Je n’aimais pas du tout ce qui se passait. Je ne savais même pas quoi faire pour gérer cette parade d’émotions. Tout se bousculait en moi et c’était étrange. C’était enivrant. Je devenais folle. Tellement d’idées, tellement de sensations. Mon cœur battait faire, trop fort. Je ne savais point comment contrôler ce festival de tristesse. Cet élan de faiblesse. Je n’étais pas du tout une fille qui aimait montrer ses émotions. Je voulais toujours me montrer forte et insolente pour ne pas que l’on me marche dessus mais cet homme, il changeait toute la donne. Il changeait tout ce que je pensais être moi pour en faire du caca d’oie. Aussi étrange soit l’idée. Il était comme le parasite qui venait pour me guérir de je ne sais quoi ? Je n’en savais rien. Je regardais ma bête à poil dans un coin. Oréo était loin d’être un léopard mais c’était un chaton comme un autre qui dans le fond ignorait ce monde cruel dans lequel nous vivions. Comment était la vie d’un animal ? Je n’en savais rien. Vraiment rien. La mienne était morose en ce moment. J’aimerais être un animal. Voila. Qu’en dirait Freud ? Mais je pourrais griffer ou mordre ou même m’assoir sur le danger car je me fous du danger, ahahaha comme un hippopotame. J’inspirais doucement, je ne savais pas quoi faire. Sous ma poitrine mes organes dansaient le tango. C’était loin d’être de la passion. « Je devrais devenir gay… oui, voilà… les filles sont moins encombrantes et au moins, elles savent ranger… », disais-je en plaisantant bien entendu mais bon, c’était assez amusant de se dire ça. « Et en plus, ils écrasent des petits bazars et leurs donnent des prénoms, ils sont bizarres ces hommes… », murmurais-je alors que je semblais peut-être stupide mais j’ignorais ce qu’il avait écrasé et je pense que ça me rendait un peu nerveuse. J’étais surtout totalement chamboulée, oui et c’était même certain. Je pourrais savoir ce que c’était si même je prenais le temps de bien réfléchir. Je n’étais pas stupide, j’étais geek. L’informatique était un peu mon paradis mais j’étais déconnectée du monde extérieur. Paniquée. Chamboulée. Je me sentais comme perdue dans l’Océanie. Autant dire que j’étais réellement loin de la métropole. |
| | | Alvin R. Prescott et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! ❝ Métier : Ancien agent du FBI, qui fut un temps bodyguard, maintenant sans emploi ❝ cupidon : Veuf et même si parfois ses pensés vont à sa défunte femme, son coeur est prit par Melody ❝ post-it : Lieu de naissance, New Jersey → Né d'un père alcoolique et d'une mère battue, je connus la violence physique très jeune. → À six mois, j'ai fuis avec ma mère le New Jersey pour ma propre protection. → Je n'ai jamais vécu bien longtemps dans une ville. → À 5 ans, ma mère se fit assassiner par mon père qui nous avait retrouvé. Je suis retourné vivre chez ma tante. → Je suis fils unique, mais ma tante a adoptée une petite fille lorsque j'avais dix ans, Liv. → Je n'ai jamais revu mon père depuis qu'il a tué ma mère, je suppose qu'il s'est fait arrêter. → Je suis tombé amoureux d'une infirmière urgentiste et deux ans plus tard nous étions marié. → Après notre mariage on a déménagé à Pasadena. → Même si j'étais un bourreau de travail, j'ai toujours sut rester fidèle. → Après six années de mariage, elle a été assassiné par mon coéquipier. → J'ignorais et j'ignore toujours qu'elle avait une liaison avec celui-ci. → Je ne suis pas très habile avec les enfants. → J'ai découvert que mon coéquipier était un flic véreux et faisait affaire avec la mafia. → On me soupçonne d'avoir assassiné ma femme. → Le FBI m'a suspendu jusqu'à preuve du contraire. → Je suis donc rendu un flic ripou, alors que je n'y suis pour rien. → Je vais tenter de blanchir ma réputation ! → J'ai kidnappé la copine de mon coéquipier pour trouver une façon de faire éclater au grand jour la vérité. Seulement, ce n'est pas si facile que ça...
❝ pseudo : monocle. ❝ crédits : angel180886 @vava / tumblr @gif / strawberry insane @sign ❝ avatar : Matthew Bomer ❝ présence : Présent(e) ❝ préférences : Rp Roses ❝ disponibilité : 1 à 2 rp encore ❝ autres comptes : AIDEN ▬ (a.levine) l'ambulancier qui veut aider son prochain, mais ne s'aide pas lui-même. GRANT ▬ (g.gustin) L'homme à la tête d'adolescent pré-pubère. CARTER ▬ (a.kendrick) la maman qui ne s'est pas quoi penser du père de son enfant. JONAS ▬ (r.amell) le pro du spacecake, wesh ! DEVON ▬ (k.graham) la métisse qui retrouve son passé abandonné. JAMIE ▬ (d.gillies) l'homme qui ne comprend pas le sens du mot amour et encore moins de celui de la fidélité. GWEN ▬ (s.johansson) celle qui raffole de la nourriture américaine et vendrait son âme pour un hot-dog !
anciennement : baptist ▬ parti travailler en Afrique ❝ Points : 3186 ❝ Messages : 1428 ❝ depuis : 23/02/2015 ❝ mes sujets : melody ▬ commémoration love it's some shit but it's the life
| mot doux de Alvin R. Prescott ► un Mar 24 Fév - 5:08 | | | alvin & melodybehind the blue eyes Passant à la chambre, je fouillais chaque recoin comme je l'avais fait dans la salle de bain. Je manquais même de courtoisie, mais qu’importe. Je tirais sans ménagement les tiroirs sortant ceux-ci de leur meuble. Je vidais le contenu sans prendre conscience de ce que c'était. Je regardais à l'intérieur, dessous et même derrière. Pour elle, ça devait être terrible de voir une personne complètement anonyme farfouiller dans ses effets. Mais là encore, qu’importe. C'était ainsi que j'avais trouvé deux mouchards et une caméra. En fait Edward était un vicieux, un pervers qui se laissait emporter facilement. C’était à se demander s’il préférait le voyeurisme à la fellation. Je regardais un instant le modèle de la caméra. Nul doute il n'avait pas pu me voir avec cette petite chose. Sûrement un plaisir lubrique qui l'avait poussé à mettre cette caméra sur la tête de lit. J'ignorais même si elle était au courant de ce petit fantasme. Sa chambre était dans un bazar incroyable, mais je ne m'en préoccupais pas plus que cela, j'avais trouvé ce que je cherchais tout du moins dans ses deux pièces, car ce ne devait pas être les seuls encore. Je me dirigeais vers la salle de bain, prenant appui sur le cadre de la porte. Je l'écoutais parler toute seule. « Je n'ai pas donné un nom à ce mouchard. En fait, lui tout comme ceux-ci... », je montrais ceux que j'avais trouvé, pas loin d'une dizaine de petits boîtiers noirs tenaient dans ma main. « C'est Edward, votre cher fiancé qui les as dissimulé chez vous. » J'avais vendu la mèche, je venais de lui dire que je savais comment s'appelait son fiancé. Je déposais mes trouvailles sur le comptoir qu'elle venait de nettoyer. « Et j'ai trouvé en prime une caméra espion dissimulé sur votre tête de lit. Votre fiancé a de drôle de passe-temps. » Passion ? Union ? Ou Feu ardent, Edward en avait profité pour lui cacher quelques petites surprises. Dommage, ça n’avait rien d’une douce praline que l’on croque, non, c’était froid une coutume peu orthodoxe. Cette fois, je lui mettais la caméra dans sa main. Je croisais son regard baigner de larme, mais j'en restais totalement indifférent. Si j'avais plié pour si peu jamais je n'aurais pu être considéré comme l'un des meilleurs agents de ma promotion. « Edward n'est pas la personne que vous croyez connaître. S'il était comme vous le pensiez est-ce qu'il aurait pu mettre autant de mouchard chez sa fiancée ? Je ne crois pas. Il vous cache quelque chose et vous n'êtes pas la seule à qui il cache bien des choses. Je sais qu'il travaille pour votre père comme agent infiltré et corrompu du FBI. Je dois trouver pourquoi il agit ainsi et vous allez m'y aider. Ce n'est pas une simple demande, je vous forcerai à m'aider s'il le faut. » J'étais déterminé et cela plus que jamais. Je ne lui avais pas tout dit, omettant de parler de Katrina qu'il avait tué et dont j'ignorais la raison véritable, même si le doute régnait en moi. Je la regardais une fois de plus, un sourire apparaissant sur mon visage. « Et ne dite pas que vous désirez devenir lesbienne seulement parce que les hommes sont compliqués. Après tout, vous les femmes vous l'êtes tout autant. » Je ne croyais pas ses paroles, je n’avais pas à les croire. Elle semblait abalourdir en disant cela, mais les nouilles peuvent tout de même avoir un certain charme. Je quittais la pièce, m'approchant de la porte. « Ah oui ! Je sais faire le ménage, mais disons que je vous punis pour ce petit tour de passe-passe devant la caméra. Et au vu de l'heure vous feriez mieux de dormir, tout à l'heure vous irez travailler et je vous accompagnerai. Disons que je serais simplement votre nouveau concierge. » Je prenais la poignée de la porte et je refermais celle-ci timidement ou plutôt doucement. Je n’allais pas lui faire de gâterie. Ça c’était certain, mais je pouvais être courtois, charmant et démontrer une forme d’élégance. « Dormez bien miss Dashwood. » Je refermais la porte, me dirigeant dans les autres pièces pour trouver d’autres mouchards.
|
| | | Invité et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! Invité
| mot doux de Invité ► un Mar 24 Fév - 5:13 | | | alvin & melodybehind the blue eyes Je parlais seule et c’était mieux de parler seule que mal accompagnée, non ? Il en fallait peu pour que je me mette dans ma bulle et surtout que je m’enferme dans celle-ci pour finir par me parler à moi-même. Cela m’arrivait bien souvent car j’étais de celles à être bien mieux seule que mal accompagnée au risque de me répéter mais c’était tellement vrai. Je ne me rendais pas souvent compte que la clé était face à moi. Ma vie n’était qu’une succession de choses bizarres mais surtout de mauvaises décisions qui n’étaient pas si mauvaises aussi étrange soit l’idée. Pourquoi ? Alors que j’étais amoureuse et comblée. Etais-ce seulement de l’apparence ou un filet de sécurité ? Je n’en savais rien. C’est en entendant celui-ci que je me retournais après avoir dit tellement de bêtises enfin non pas vraiment. Pour moi, c’était logique. Réellement logique pourtant sans l’être. Comment cela peut être logique d’être fiancée depuis aussi longtemps ou même de vivre dans ces conditions ? A croire que cupidon m’envoyait un signe pour mon montrer qu’Edward n’était pas ma destinée. Etais-ce peut-être un karma d’être menacée d’une arme ? Je n’en savais rien. Je voulais juste être une blonde qui bossait et retrouvait ensuite son chat et son chien mais j’étais quoi là ? Une cible ? J’étais perdue. J’inspirais doucement en l’entendant et me retournant vers lui. Je laissais une main aller effacer mes larmes en l’écoutant parler de mouchard. Comme dans les films ? Je l’écoutais parler de la caméra et de qui a placé tout ça mais pourquoi ? J’inspirais doucement. Je n’y croyais pas dans un sens. Je voulais ne pas y croire et m’enfermer dans ma tour de merveilles pour ne pas souffrir. C’était mieux. Je préférais être dans une reproduction vivante d’une bête pièce de théâtre. Molière ou Shakespeare tant que je ne mourrais pas. Oui, ne pas souffrir. Est-ce pour ça que j’étais tellement naïve ? Sûrement. Je le laissais parler jusqu’au bout mais qu’est-ce qu’il me chantait ? Mon père ? Il n’était qu’un bête vendeur de voiture qui fumait son tabac à chaque Ferrari en moins. Il était loin d’être bavard sur son travail mais plutôt taciturne pourtant j’avais confiance en lui. Je voulais croire que mon père était encore plus riche que Charlie Chaplin par ce qu’il était bon et gagnait son argent proprement. Je riais doucement en l’entendant. Je n’avais pas vraiment idée de comment je pourrais aider, je ne suis qu’une… enfin une fille. Je ne pouvais rien faire. Je ne suis qu’un parasite dans cette vie si… dangereuse. Je n’étais pas le genre d’aventurière capable de vivre dans un monde policier sauf à travers des livres. Et quand il reprenait le fait que je pensais changer d’orientation, j’arquais un sourcil. Mais de quoi il se mêlait ? Je me parlais à moi-même. Insolente que je suis et ça se lisait sur mon regard que je pensais ainsi. Non en fait, c’était même logique que je pense ainsi. Roh et ensuite, il me donnait encore un ordre et s’embauchait lui-même. Je le suivais à la porte quand il la fermait et allant l’ouvrir en le regardant. Perplexe, je le suivais toujours comme un toutou. « Vous êtes sérieux ? », demandais-je en riant doucement. « Ok, il y a des choses étranges chez moi mais qui me dit que vous ne les avez pas installés ? Vous auriez eu le temps, non ? Et puis mon père, ok… il est bizarre et parfois il fait peur mais… il vend des voitures… en quoi le FBI aurait un souci surtout qu’Edward est un bon agent. Il ne ferait jamais ça et surtout ne pas me surveiller. Il n’y a pas plus fidèle que moi… excepté le fait que vous en ayez vus plus que… enfin… vous êtes les deux seuls hommes sur cette planète à m’avoir vu nue, félicitation… Et puis pourquoi je devrais vous croire ? Vous êtes entré par infraction dans ma maison, vous m’avez frappé, mis un flingue sur la tempe… vous m’avez surveillés… guetté ou maintenant vous voulez que je vous aide en vous faisant confiance aussi ? C’est le monde à l’envers… », disais-je en levant les yeux. Il ne manquerait plus qu’il ne me demande une gâterie même s’il était sexy, je ne comptais pas lui faire une fellation et l’accompagner dans mes draps en satin. « Vous êtes un idiot ! », rajoutais-je aussitôt, sérieuse. « Surtout en me pensant utile… vous voulez que je fasse quoi ? Que j’écrive vos histoires avec des lapins et des nounours sur la couverture ? Je ne suis qu’une scientifique, je ne pourrais que chercher des formules magiques qui résumes de A à Z comment on peut comme par magie vous innocenter qui… certes je roule en moto et je peux être un vrai casse-pied mais mon seul don n’est pas d’être une espionne ou de botter le cul… à ce que vous dites être des méchants… mon don… est sûrement bien loin. Je ne suis pas de celles qui sont badass et que vous devriez recruter. J’aime ma petite vie tranquille… Et je serais très heureuse si vous la laissiez tranquille ! », disais-je en soupirant doucement. Je pouvais toujours rêver, je crois. Il semblait tellement tenace. Je devais faire un truc mais quoi ? Je ne pouvais rien faire. Il était la force et j’étais la faiblesse. Je comprenais bien vite que ma seule arme était ma voix et ma persuasion. Allais-je me montrer chiante ? Totalement. Après tout, je suis parfois douée pour obtenir ce que je veux et j’aime surtout obtenir ce que je désire même si je savais être raisonnable. J’ai avant tout un cœur et des sentiments mais je n’en reste pas non plus généreuse. Mais qui était réellement cet homme ? Tout ce qu’il m’apprenait me rendait réellement perplexe. Je ne voulais toujours pas croire à ces histoires. Cela me semblait irréel. Je me demandais dans quel cauchemar je venais de débarquer mais serais-je dans le mien ? Je devrais peut-être me pincer mais non. Je n’avais vraiment pas le temps de prendre cette futilité comme action. Me pincer ? Je ne pouvais pas, j’allais passer pour plus naïve que je ne passais. Et si jamais cet homme canon disait vrai ? |
| | | Alvin R. Prescott et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! ❝ Métier : Ancien agent du FBI, qui fut un temps bodyguard, maintenant sans emploi ❝ cupidon : Veuf et même si parfois ses pensés vont à sa défunte femme, son coeur est prit par Melody ❝ post-it : Lieu de naissance, New Jersey → Né d'un père alcoolique et d'une mère battue, je connus la violence physique très jeune. → À six mois, j'ai fuis avec ma mère le New Jersey pour ma propre protection. → Je n'ai jamais vécu bien longtemps dans une ville. → À 5 ans, ma mère se fit assassiner par mon père qui nous avait retrouvé. Je suis retourné vivre chez ma tante. → Je suis fils unique, mais ma tante a adoptée une petite fille lorsque j'avais dix ans, Liv. → Je n'ai jamais revu mon père depuis qu'il a tué ma mère, je suppose qu'il s'est fait arrêter. → Je suis tombé amoureux d'une infirmière urgentiste et deux ans plus tard nous étions marié. → Après notre mariage on a déménagé à Pasadena. → Même si j'étais un bourreau de travail, j'ai toujours sut rester fidèle. → Après six années de mariage, elle a été assassiné par mon coéquipier. → J'ignorais et j'ignore toujours qu'elle avait une liaison avec celui-ci. → Je ne suis pas très habile avec les enfants. → J'ai découvert que mon coéquipier était un flic véreux et faisait affaire avec la mafia. → On me soupçonne d'avoir assassiné ma femme. → Le FBI m'a suspendu jusqu'à preuve du contraire. → Je suis donc rendu un flic ripou, alors que je n'y suis pour rien. → Je vais tenter de blanchir ma réputation ! → J'ai kidnappé la copine de mon coéquipier pour trouver une façon de faire éclater au grand jour la vérité. Seulement, ce n'est pas si facile que ça...
❝ pseudo : monocle. ❝ crédits : angel180886 @vava / tumblr @gif / strawberry insane @sign ❝ avatar : Matthew Bomer ❝ présence : Présent(e) ❝ préférences : Rp Roses ❝ disponibilité : 1 à 2 rp encore ❝ autres comptes : AIDEN ▬ (a.levine) l'ambulancier qui veut aider son prochain, mais ne s'aide pas lui-même. GRANT ▬ (g.gustin) L'homme à la tête d'adolescent pré-pubère. CARTER ▬ (a.kendrick) la maman qui ne s'est pas quoi penser du père de son enfant. JONAS ▬ (r.amell) le pro du spacecake, wesh ! DEVON ▬ (k.graham) la métisse qui retrouve son passé abandonné. JAMIE ▬ (d.gillies) l'homme qui ne comprend pas le sens du mot amour et encore moins de celui de la fidélité. GWEN ▬ (s.johansson) celle qui raffole de la nourriture américaine et vendrait son âme pour un hot-dog !
anciennement : baptist ▬ parti travailler en Afrique ❝ Points : 3186 ❝ Messages : 1428 ❝ depuis : 23/02/2015 ❝ mes sujets : melody ▬ commémoration love it's some shit but it's the life
| mot doux de Alvin R. Prescott ► un Mar 24 Fév - 5:34 | | | alvin & melodybehind the blue eyes Entrant dans ce qui semblait être un bureau, je ne mis pas longtemps à trouver ce que je cherchais. À fouiller toutes les pièces, j'avais fini par comprendre sa méthode pour les dissimuler. C’était presque une évidence, qui me rendait chèvre. Comment avait-elle pu passer au-dessus de tout cela ? Je les trouvais de plus en plus rapidement, sans chercher pour autant. C’était simple, trop même. Ça cachait sûrement quelque chose ou il la trouvait trop bête pour s’en apercevoir. Ce que je ne pouvais pas tout à fait nier. Je regardais au ciel lorsqu'elle s'adressait à moi. J'avais été comme elle, incapable de croire qu'Edward pouvait être le méchant, mais maintenant que j'avais découvert la vérité il m'était impossible de penser autrement. S'en était même évidant, tout comme un nez au beau milieu du visage. Je râlais exaspéré. « Vous ne savez donc pas vous taire ! », disais-je en tirant sur le mouchard. Je connaissais ces femmes dites pipelettes, mais elle, elle battait des records j’aurais pu souffrir de mutisme pour deux. Et encore là, elle trouverait le moyen de parler, encore et encore. Il me faudrait plus qu’un morceau de scotch pour la faire taire. En plus, je redoutais qu’elle comprenne mon exaspération vis-à-vis de ses paroles. J’en avais plus qu’assez. « Edward n'est pas l'homme que vous croyez ! Il n'a aucune morale pour avoir eu l'audace de tuer une innocente ! », je m'étais retourné vers elle furieux, le visage déformé par la haine et la colère. J'avais trop parlé et je devais reprendre mes esprits. Pourtant, je sentais ce feu ardent en moi, ce bouillonnement qui parcourrait mes veines dans ce silence que j’avais fait après avoir réalisé mes mots. Ma passion pour Katrina était encore visible et je tentais de refouler mes sentiments devant miss Dashwood. « Je ne les ai pas installé, car se sont de vieux modèles, nous n'utilisons plus cela de nos jours. » Je lui mettais une nouvelle fois un mouchard dans les mains, mais cette fois accompagné de ceux que j'avais installé. Le modèle que j'avais mis était plus petit, plus discret et malgré sa taille plus performant. Ça devait être à y rien comprendre pour elle, mais j’en avais que faire. Je n’étais pas là pour lui offrir une petite gâterie ou pour la rendre plus princesse. Ce qu’elle semblait déjà être, me laissant sans admiration pour elle. Je tentais toute de même, de mieux lui expliquer la chose. « Celui-ci date de cette année et l'autre de 2010. Si ce n'est pas Edward comme vous le sous entendez et bien il y a quelqu'un d'autre qui tient à savoir ce que vous faites. Et je ne serais pas surpris d'apprendre que nous ne sommes pas deux à vous avoir vu nue. » Pendant que j'avais parlé, j'avais pointé les objets que j'avais daté. Puis ma plénitude était revenue espérant tout de même échapper à une migraine. « Je ne suis pas idiot comme vous pouvez le penser. Ces hommes vous cachent bon nombre de chose et c'est justement pour cela que vous êtes la meilleure personne que je puise avoir à mes côtés. Ils ne se méfieront jamais de vous, ils pensent que vous ignorez tout de leurs complots et leurs magouilles. Je ne vous ai pas choisis parce que vous êtes une scientifique ou bien même une hackeuse, mais parce que vous êtes la seule personne qui me relie à eux. » Je soupirais levant les yeux au ciel à nouveau sachant très bien qu'elle ne serait pas aussi simple de la convaincre. Je devais me donner à elle, pas physiquement… Mais me livrer, dévoiler plus de chose, aller jusqu’à lui dire la terrible vérité et pourtant, je ne me sentais pas encore prêt à franchir ce pas. Ce n’était pas une chose que je désirais aborder, même si ça me faisait gagner des points. Parler de Katrina, me terrifiait allant jusqu’à me paralyser. Je ne pouvais pas, mais si je voulais être pris au sérieux ou au moins qu’elle daigne m’aider, je devais piler sur mon orgueil et franchir le cap. Je reposais mon regard sur elle, j’espérais, oh oui… Mais je savais que tout ne serait pas sans peine.
|
| | | Invité et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! Invité
| mot doux de Invité ► un Mar 24 Fév - 5:45 | | | alvin & melodybehind the blue eyes Bon d’accord, je me permettais un peu trop de choses comme de dire à cet homme qu’il est idiot. Ce n’était sûrement pas une bonne chose. Allais-je l’énerver ? Je m’en fichais. J’avais rapidement compris qu’il ne me voulait pas morte. Il l’aurait déjà fait alors. Je me trompe ? Alors que je regardais cet homme se défendre. Il me parlait avec un air énervé. Avais-je touchée des cordes sensibles en le disant idiot ? Peut-être ou peut-être pas mais qu’importe. Comment pourrais-je être sensible à sa colère ? L’était-il pour moi ? J’arquais un sourcil en l’écoutant et même en le voyant me plaidoyer sa cause avec les dates de mes mouchards. Ok… donc ça faisait 4 ans qu’un tordu m’écoutait. Et alors ? Enfin peut-être pas car une partie de moi semblait trouver ça idiot, une autre trouvait ça comme du viol d’intimité. Et j’en soupirais doucement. Je le laissais parler en étant un peu déconnectée. Je l’écoutais attentivement pourtant mais je n’enregistrais que le fait qu’il m’avait choisi car j’étais reliée à eux mais comment ça ? J’inspirais doucement en le regardant. « Et avez-vous des preuves ? », demandais-je alors en arquant un sourcil. « A part des puces noirs, je ne vois rien comme preuve, je ne vois rien qui me prouve… que mon père fait je ne sais quoi avec des voitures. Un trafic d’allume-cigares ? Ouh, c’est mal ! », disais-je en penchant la tête, un peu amusée mais je ne voyais pas vraiment le rapport avec le boulot de mon père. Sûrement que j’allais encore passer pour un casse-pied mais bon. Je devais bien défendre un peu ma famille. Je n’avais juste aucunes preuves. J’avais beau être curieuse mais pas pour ça. Je ne m’en mêlais tout simplement pas. C’était comme une… répulsion. Le marketing et toutes ses choses qui me rendaient dingue. Je me sentais comme un hippopotame sur un lit de pétales surtout les roses noires une fois qu’ils parlaient. Quant à savoir si les draps étaient en satin ? On s’en fichais mais j’étais un parasite dans les affaires. « Ok, je suis violée en quelques sortes dans mon intimités. Ouais, je n’en suis pas ravie mais qu’est-ce qui me prouve le reste ? », demandais-je à celui-ci, sérieuse. Comment devais-je le croire ? Rien ne me prouvait ses dires. Il n’était presque qu’un inconnu, un anonyme. La coutume voudrait qu’il ne m’accoste avec de la courtoisie mais là, même pas. Ou en étant la galanterie ? Il ne fallait pas rêver. Il devait être un homme dont la passion était son arme. Autant dire que c’est loin d’être romantique. Edward n’était pas non plus romantique et même si cet homme semblait être un étalon… mon karma ne voulait pas me faire rêver. L’homme parfait ? Vaste blague. « Avez-vous au moins une preuve ? », demandais-je alors à celui-ci. Je n’en avais pas l’impression. Ce n’était pas vraiment facile de faire confiance à cet homme. « Je ne vous connais même pas alors pourquoi devrais-je vous croire ? Vous ne pouvez pas venir dans ma vie… me dire ça et penser que je vais sauter avec vous dans cette… querelle sans même avoir la preuve que vous dites la vérité… vous êtes sérieux ? », finissais-je par demander même si j’ignorais si c’était réellement une question mais dans mon esprit, c’était vraiment du grand n’importe quoi en fait. Oui, voilà. Du grand n’importe quoi. Je soupirais doucement. « Et puis d’abord, une chose importante… ok, vous voulez faire votre dur… mais votre arme, vous faites comme avec les autres, vous la rangez dans votre boxer… », disais-je en fronçant les sourcils. « Vous voulez que je coopère, ok mais on le fera à ma façon aussi comme vous semblez avoir tellement besoin de moi ! », disais-je avec un sourire sournois. « Que vous le vouliez ou non, vous ne pourrez rien faire sans que je ne coopère… ne dites pas le contraire… », soufflais-je un peu trop sûre de moi mais je ne voulais pas seulement jouer à la plus futée mais je voulais aussi savoir ce qui se passait dans sa tête et ce qu’il avait prévu. Là, c’était cette fichue curiosité mais aussi cette gentillesse. Il n’en était pas moins que je n’étais pas du tout comme il dépeignait mes proches. Je n’étais pas une mafieuse, je n’étais qu’une scientifique qui voulait qu’on lui fiche la paix. Il ne fallait pas rêver. |
| | | Alvin R. Prescott et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! ❝ Métier : Ancien agent du FBI, qui fut un temps bodyguard, maintenant sans emploi ❝ cupidon : Veuf et même si parfois ses pensés vont à sa défunte femme, son coeur est prit par Melody ❝ post-it : Lieu de naissance, New Jersey → Né d'un père alcoolique et d'une mère battue, je connus la violence physique très jeune. → À six mois, j'ai fuis avec ma mère le New Jersey pour ma propre protection. → Je n'ai jamais vécu bien longtemps dans une ville. → À 5 ans, ma mère se fit assassiner par mon père qui nous avait retrouvé. Je suis retourné vivre chez ma tante. → Je suis fils unique, mais ma tante a adoptée une petite fille lorsque j'avais dix ans, Liv. → Je n'ai jamais revu mon père depuis qu'il a tué ma mère, je suppose qu'il s'est fait arrêter. → Je suis tombé amoureux d'une infirmière urgentiste et deux ans plus tard nous étions marié. → Après notre mariage on a déménagé à Pasadena. → Même si j'étais un bourreau de travail, j'ai toujours sut rester fidèle. → Après six années de mariage, elle a été assassiné par mon coéquipier. → J'ignorais et j'ignore toujours qu'elle avait une liaison avec celui-ci. → Je ne suis pas très habile avec les enfants. → J'ai découvert que mon coéquipier était un flic véreux et faisait affaire avec la mafia. → On me soupçonne d'avoir assassiné ma femme. → Le FBI m'a suspendu jusqu'à preuve du contraire. → Je suis donc rendu un flic ripou, alors que je n'y suis pour rien. → Je vais tenter de blanchir ma réputation ! → J'ai kidnappé la copine de mon coéquipier pour trouver une façon de faire éclater au grand jour la vérité. Seulement, ce n'est pas si facile que ça...
❝ pseudo : monocle. ❝ crédits : angel180886 @vava / tumblr @gif / strawberry insane @sign ❝ avatar : Matthew Bomer ❝ présence : Présent(e) ❝ préférences : Rp Roses ❝ disponibilité : 1 à 2 rp encore ❝ autres comptes : AIDEN ▬ (a.levine) l'ambulancier qui veut aider son prochain, mais ne s'aide pas lui-même. GRANT ▬ (g.gustin) L'homme à la tête d'adolescent pré-pubère. CARTER ▬ (a.kendrick) la maman qui ne s'est pas quoi penser du père de son enfant. JONAS ▬ (r.amell) le pro du spacecake, wesh ! DEVON ▬ (k.graham) la métisse qui retrouve son passé abandonné. JAMIE ▬ (d.gillies) l'homme qui ne comprend pas le sens du mot amour et encore moins de celui de la fidélité. GWEN ▬ (s.johansson) celle qui raffole de la nourriture américaine et vendrait son âme pour un hot-dog !
anciennement : baptist ▬ parti travailler en Afrique ❝ Points : 3186 ❝ Messages : 1428 ❝ depuis : 23/02/2015 ❝ mes sujets : melody ▬ commémoration love it's some shit but it's the life
| mot doux de Alvin R. Prescott ► un Mar 24 Fév - 5:50 | | | alvin & melodybehind the blue eyes De mes yeux océaniques, je la regardais. J'étais entrain de perdre le contrôle, je le sentais. Je fermais un instant les yeux, j'avais des preuves, mais pas assez pour que le FBI me croit, mais elle peut-être. J’avais gros à perdre et tout autant à parier. Pourtant, je ne sais pas encore si je devais lui dévoiler toute mes cartes. C’était une pensé tabou dans ma tête, glissant ma main sur mon front j’essayais de faire fuir la migraine que je sentais venir. Ce n’était pas chose facile et pourtant je savais que je devais faire ce pas en avant. Si je voulais mener ce tango, je n’avais d’autre chose que de prendre les rênes et de ne pas me laisser dictée le prochain couplet. Je sortais mon arme de mon boxer dévoilant un peu la peau de mes abdos. Aguicheur ? Très certainement, mais cela n’était pas conscient. Un simple mouvement naturel, presque une coutume sachant que je mettais toujours mon arme à cet endroit. Tout du moins, depuis que j’avais été suspendu et que je tentais de la cacher. Puis, je déposais mon flingue avec violence sur le bureau. « Vous voulez jouer à ce petit jeu-là avec moi ? Eh bien vous serez servi miss Dashwood. » Ma voix avait haussé d'un ton, laissant la pièce dans un écho taciturne. « Vous voulez des preuves, alors je vais vous en donner. Et n'allez pas croire que parce que je fais l'idiot ou bien que c'est ce que j'ai l'air que j'en suis un. Si je dois me débarrasser de vous je le ferai sans hésiter. Et je trouverai un autre moyen pour arriver à mes fins. » J'aurais pu y aller un peu plus en douceur, mais je perdais vite mon sang froid, un reproche que me faisait souvent Katrina. Katrina, celle que j'avais toujours crue importante aux yeux d'Edward, tout comme moi d'ailleurs. Mensonge. Tout n'avait été que mensonge. Jusqu'où ces mensonges allaient-ils ? Je n'étais visiblement pas le seul trahit dans toute cette histoire. J'attrapais le poignet de mon otage et reprenant mon arme, je me dirigeais vers le salon. Je n'usais d'aucune délicatesse, bien au contraire. J'étais dure et brutal dans mes gestes et la pression que je faisais sur son poignet. J'arrivais en bas de l’escalier dans un foutoir incroyable. Peu m'importais, je me dirigeais vers l'un des ordinateurs. Un glissement de doigt sur la souris et l'écran laissa place à un système vocal. Je n'avais que faire qu'elle remarque où j'avais mis les caméras, tout ce que je voulais lui montrer se trouvait dans le quatrième ordinateur. Quelques clics et une page audio apparut à l'écran. « J'ai enregistré cet échange il y a environ un mois. » Un mois s'était écoulé depuis l'instant où j'avais douté sur l’agissement de mon coéquipier alors qu'il avait omit quelques détails important dans son rapport. Je l'avais donc suivit pour arriver dans un entrepôt près des docks. J'appuyais sur play. « La marchandise devrait arriver du Mexique demain. Arrange-toi pour qu'elles puissent passer les douanes sans encombre. Je ne veux pas perdre un onze. Tu m'as bien comprit ! » « Oui patron. » « N'oublie pas notre dîner dimanche, je ne veux pas que Mel... » On entendit un bruit. « Qui va là ? » Et l'enregistrement ce terminait ainsi. Je me passais la langue sur mes lèvres, incertain. Je n'osais pas la regarder. Il n'avait pas dit son nom, mais on reconnaissait la voix d'Edward.
|
| | | Invité et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! Invité
| mot doux de Invité ► un Mar 24 Fév - 5:56 | | | alvin & melodybehind the blue eyes Je soupirais doucement ne le voyant balancer son arme, non mais il pouvait la garde là, si elle se mettait à faire un pan pan, ça serait son sifflet qui en périrait et pas des innocents. Je m’en fichais de ses couilles au final. J’inspirais doucement en regardant celui-ci hausser le ton. Il ne me faisait pas peur avec sa grosse voix. Pas du tout même. Il me donnait plus envie de soupirer que d’être effrayée. Je l’écoutais avant qu’il ne m’attrape comme l’on chope une poupée gonflable. Donnant un coup de remous de l’épaule pour m’en dégager ce qui fut un échec total, je me laissais guider dans ma maison. « Vous savez, je suis chez moi… si vous me dites salon, je m’y rends ! », disais-je d’un ton rempli de logique en roulant des yeux. Je regardais alors l’état de la pièce tandis qu’il allait près de ses ordinateurs et arquant un sourcil. J’écoutais alors qu’il avait un échange et la suite. Tout cela en ne pensant qu’à une chose : MON SALON ! Non mais allo, il était du service de l’entretien du FBI ou quoi ? J’écoutais aussi la conversation mais qu’est-ce que cela prouvait. Je soupirais doucement en le regardant. « Je ne sais pas si vous vous rendez compte mais cela ne prouve pas grand-chose… ok, ce sont eux mais et alors ? Mon père se fait livrer des cigares comme tous les hommes riches de Manhattan… », Disais-je en levant les yeux au plafond et le regard. « Je ne veux pas faire la… difficile mais vous vous rendez compte que vous voulez me faire avaler que mon père et mon fiancé sont… ce que vous dites… MON PÈRE ET MON FIANCE ! », disais-je en insistant. « Je ne peux pas prendre à la légère vos accusations. », soufflais-je en me demandant réellement s’il se rendait compte de ce qu’il tentait de me faire croire. « Mon but n’est pas juste de vous rendre chèvre, ok, vous les accusez mais vous accusez quand même ma famille, je ne sais pas si vous vous en rendez compte… je ne peux pas croire ça, il n’y a aucune preuves dans le fond, vous n’avez rien d’autres ? », demandais-je en arquant un sourcil. En fait, je me rendais compte que j’étais difficile. Sûrement un peu trop. « Je comprends votre agacement mais si vous étiez moi… me croyiez-vous si vous étiez débarqué… en mode vilain qui me prend… en otage chez moi… et me menace d’un flingue et sérieusement, vous vous y connaissiez en rangement ? », demandais-je en fronçant les sourcils. « Enfin vraiment… vous n’avez rien d’autres ? Ce sont leur voix mais qu’est ce qui me prouve que c’est illégal ? Ok, ça parle de douane mais sincèrement, tout le monde télécharge illégalement… pourtant personne n’en meurs et les cigares non plus… ils ne tuent que les poumons mais bon ! », je soupirais doucement. Soit cet homme était cinglé ou alors il allait me rendre cinglé. J’allais alors vers ma cuisine. Oui, pourquoi ? Un thé. J’avais vraiment besoin d’un thé au caramel. Je mettais de l’eau dans la bouilloire en soupirant doucement. |
| | | Alvin R. Prescott et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! ❝ Métier : Ancien agent du FBI, qui fut un temps bodyguard, maintenant sans emploi ❝ cupidon : Veuf et même si parfois ses pensés vont à sa défunte femme, son coeur est prit par Melody ❝ post-it : Lieu de naissance, New Jersey → Né d'un père alcoolique et d'une mère battue, je connus la violence physique très jeune. → À six mois, j'ai fuis avec ma mère le New Jersey pour ma propre protection. → Je n'ai jamais vécu bien longtemps dans une ville. → À 5 ans, ma mère se fit assassiner par mon père qui nous avait retrouvé. Je suis retourné vivre chez ma tante. → Je suis fils unique, mais ma tante a adoptée une petite fille lorsque j'avais dix ans, Liv. → Je n'ai jamais revu mon père depuis qu'il a tué ma mère, je suppose qu'il s'est fait arrêter. → Je suis tombé amoureux d'une infirmière urgentiste et deux ans plus tard nous étions marié. → Après notre mariage on a déménagé à Pasadena. → Même si j'étais un bourreau de travail, j'ai toujours sut rester fidèle. → Après six années de mariage, elle a été assassiné par mon coéquipier. → J'ignorais et j'ignore toujours qu'elle avait une liaison avec celui-ci. → Je ne suis pas très habile avec les enfants. → J'ai découvert que mon coéquipier était un flic véreux et faisait affaire avec la mafia. → On me soupçonne d'avoir assassiné ma femme. → Le FBI m'a suspendu jusqu'à preuve du contraire. → Je suis donc rendu un flic ripou, alors que je n'y suis pour rien. → Je vais tenter de blanchir ma réputation ! → J'ai kidnappé la copine de mon coéquipier pour trouver une façon de faire éclater au grand jour la vérité. Seulement, ce n'est pas si facile que ça...
❝ pseudo : monocle. ❝ crédits : angel180886 @vava / tumblr @gif / strawberry insane @sign ❝ avatar : Matthew Bomer ❝ présence : Présent(e) ❝ préférences : Rp Roses ❝ disponibilité : 1 à 2 rp encore ❝ autres comptes : AIDEN ▬ (a.levine) l'ambulancier qui veut aider son prochain, mais ne s'aide pas lui-même. GRANT ▬ (g.gustin) L'homme à la tête d'adolescent pré-pubère. CARTER ▬ (a.kendrick) la maman qui ne s'est pas quoi penser du père de son enfant. JONAS ▬ (r.amell) le pro du spacecake, wesh ! DEVON ▬ (k.graham) la métisse qui retrouve son passé abandonné. JAMIE ▬ (d.gillies) l'homme qui ne comprend pas le sens du mot amour et encore moins de celui de la fidélité. GWEN ▬ (s.johansson) celle qui raffole de la nourriture américaine et vendrait son âme pour un hot-dog !
anciennement : baptist ▬ parti travailler en Afrique ❝ Points : 3186 ❝ Messages : 1428 ❝ depuis : 23/02/2015 ❝ mes sujets : melody ▬ commémoration love it's some shit but it's the life
| mot doux de Alvin R. Prescott ► un Mar 24 Fév - 6:01 | | | alvin & melodybehind the blue eyes Aussi têtue qu'une mule cette nana ! Je la regardais me traiter comme un chien, un vulgaire larbin bon a rien. Bien sure que je savais que ce n'était pas assez, après tout ce n'était pas pour rien que j'étais suspendu du FBI. On me voyait comme le pire flic qui soit et je n'allais pas laisser passer cela sans rien dire ou même agir. Je la regardais serrant les poings. Si elle savait, mais comment lui ouvrir les yeux. Elle partait dans la cuisine et je soupirais. Je n'avais plus d'autre moyen que d'usé des plus grands. Je n'allais plus être gentil, j'allais être son kidnappeur. Fini la rigolade, je me dirigeais vers la cuisine. Allumant la radio je montais le son et je pointais mon arme sur elle. « Vous ne vous pas me croire, bien je ne vous donnerai plus le choix. Prenez moi pour un fou, mais je sais ce que je dis. Et puis on ne parle pas ainsi de cigare, pauvre idiote ! » J'appuyais sur la gâchette, laissant la balle filer et passant à quelque millimètres de son oreille. « VOUS VOULEZ JOUER AVEC MOI, FAIRE LA FILLE FORTE ALORS TRÈS BIEN. MAIS NOUS ALLONS ÊTRE DEUX À JOUER. » J'étais furieux. « Je me contre fou de vous et de votre famille, je veux récupérer ma vie et pour cela je vous utiliserai comme bon me semble. Je me fiche que vous soyez une fille gâtée pourrie par votre père et espionnée par je ne sais qui. VOUS ALLEZ VOUS ASSEOIR ET FERMEZ VOTRE PUTAIN DE GRANDE GUEULE DE GOSSE DE RICHE ! » J'avais frapper le comptoir avec mon arme. J'avais l'impression de parler à une fillette de dix-huit ans. Je m'étais montrer un peu trop gentil depuis le départ et voilà où cela me menait. « Maintenant, j'en ai que faire si vous me croyez ou non, vous allez faire et dire ce que je veux sinon j'enverrai un doigt de votre jolie main à votre fiancé. » Je levais la jambe et sortais un poignard d'un étui accroché à ma cheville et je le plantais dans le comptoir. « Maintenant allez vous couchez ! Et je ne plaisante pas ! » J'appuyais mes dires en pointant la porte de la cuisine avec mon arme à feu.
|
| | | Invité et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! Invité
| mot doux de Invité ► un Mar 24 Fév - 13:03 | | | alvin & melodybehind the blue eyes Oui, je me préparais un thé et j’étais sûrement cinglée, vraiment. Je voulais boire un thé dans cette situation et je soupirais en l’entendant la musique augmenter. Je le voyais venir déjà. Je ne fus pas surprise à sa réaction. Je ne prenais même plus attention à la gâchette. Bizarrement, j’avais du mal à avoir peur de lui. Peut-être par ce qu’il aurait pu tirer depuis… plus de 5 heures ? Je l’écoutais sans vraiment montrer de réaction, impassible. Il haussait le ton, il était furieux mais je le laissais évacuer… par contre, c’était moi qui le devenais alors qu’il me jugeait. C’est à ce moment-là que je commençais réellement aussi à m’énerver. Non il n’osait pas me dire pourrie gâtée ? La pilule ne passait pas. Je le laissais terminer et même faire mumuse avec son poignard. « Oh ouais, maintenant cassez mon meuble de cuisine aussi ! », disais-je en arquant un sourcil alors qu’il me disait d’aller me coucher. Je le regardais attentivement. Je fulminais et ça se voyait de plus en plus. « Vous croyez que vous me faites peur ? », disais-je en approchant et avançant même au point de… le gifler. « Ne vous avisez plus de me juger ou même de me dire que je suis une gosse de riche. Vous ne me connaissez pas. Si tant même que vous me connaissiez, vous remarqueriez que dans cette maison… allo mais ou trouvons-nous un signe de richesse ? Mon père pourrait m’offrir tellement mieux et je n’en ai rien à foutre. Vous pouvez penser ce que vous voulez de moi mais je vous assure que vous ne me connaissez pas. », disais-je avec insubordination. « Vous pouvez dire ce que vous voulez, vraiment mais si vous vouliez réellement me tuer, vous l’auriez déjà fait… vous en avez eu l’occasion et en plus… si je meurs… qui serait accusés directement ? J’ai fortement l’impression que ça serait vous. Si je suis tellement utile pour vous… », disais-je en arquant un sourcil. « Vous voulez votre vie, ok… mais vous vous rendez compte que vous mettez la mienne en jeu aussi ? Vous ne me connaissez pas… pas du tout sinon vous vous rendiez compte qu’en fait… je n’en ai rien à caler du pognon de mon frère ou même de l’argent en général. Je distribue son argent dans son dos à tous ceux qui en ont besoins… Vous voulez votre vie, ok… gâchez la mienne, ok mais il faudra arrêter vos airs… car utilisez-moi si vous voulez mais n’oubliez pas que vous gâchez aussi la vie d’une innocente en passant… Vous la détruisez car vous savez pertinemment que si vous arrivez à me prouver ce que vous tentez de me prouver… ça changera toute ma vie, tout ce que j’ai pensée… ça détruira ma vie. Vous pouvez penser ce que vous voulez d’eux mais rien que cette idée ne vous rends pas meilleurs… non, ça vous rends égoïste ! », disais-je en fronçant les sourcils. « En fait si vous dites vrai, vous n’êtes pas meilleur qu’un autre… », rajoutais-je. « Alors oui, je vous juge aussi sans vous connaitre mais ça, c’est ce que vous pensez. Pensez-vous pendant 50 minutes que je pourrais avoir gardée autant mon calme… si je ne pensais pas que vous soyez un tant soit peu de confiance ? Si vous voulez vraiment être le type bien, faites les choses bien… », soufflais-je d’un ton insolent mais avec bien plus de sérieux. « Soit on fait ça ou alors on continue de jouer au plus fort… mais en ce moment, vous ne m’en donnez pas envie… vous agissez avec moi comme ils le font… », disais-je en fronçant les sourcils. En fait à mes yeux pour l’instant, il ne valait simplement pas mieux qu’eux et j’ignorais si j’avais réellement réussie à lui faire comprendre. « On n’obtient pas toujours ce qu’on veut avec une grosse voix et une arme à feu… et si je voulais fuir ou que sais-je… ou ne pas vous écouter, je ne le ferais pas. Je fais l’effort de tenter de vous comprendre… vous vous en foutez, certes mais vous ne seriez pas là si quelqu’un d’autres acceptait de vous écouter. Je me trompe ? », demandais-je en testant car dans le fond, je n’étais pas totalement sûre de ma théorie. Cerner les gens rapidement était une chose que je pouvais faire quand je n’étais pas aveuglée bien entendu. Pour Edward et mon père, je l’étais un peu trop. |
| | | Alvin R. Prescott et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! ❝ Métier : Ancien agent du FBI, qui fut un temps bodyguard, maintenant sans emploi ❝ cupidon : Veuf et même si parfois ses pensés vont à sa défunte femme, son coeur est prit par Melody ❝ post-it : Lieu de naissance, New Jersey → Né d'un père alcoolique et d'une mère battue, je connus la violence physique très jeune. → À six mois, j'ai fuis avec ma mère le New Jersey pour ma propre protection. → Je n'ai jamais vécu bien longtemps dans une ville. → À 5 ans, ma mère se fit assassiner par mon père qui nous avait retrouvé. Je suis retourné vivre chez ma tante. → Je suis fils unique, mais ma tante a adoptée une petite fille lorsque j'avais dix ans, Liv. → Je n'ai jamais revu mon père depuis qu'il a tué ma mère, je suppose qu'il s'est fait arrêter. → Je suis tombé amoureux d'une infirmière urgentiste et deux ans plus tard nous étions marié. → Après notre mariage on a déménagé à Pasadena. → Même si j'étais un bourreau de travail, j'ai toujours sut rester fidèle. → Après six années de mariage, elle a été assassiné par mon coéquipier. → J'ignorais et j'ignore toujours qu'elle avait une liaison avec celui-ci. → Je ne suis pas très habile avec les enfants. → J'ai découvert que mon coéquipier était un flic véreux et faisait affaire avec la mafia. → On me soupçonne d'avoir assassiné ma femme. → Le FBI m'a suspendu jusqu'à preuve du contraire. → Je suis donc rendu un flic ripou, alors que je n'y suis pour rien. → Je vais tenter de blanchir ma réputation ! → J'ai kidnappé la copine de mon coéquipier pour trouver une façon de faire éclater au grand jour la vérité. Seulement, ce n'est pas si facile que ça...
❝ pseudo : monocle. ❝ crédits : angel180886 @vava / tumblr @gif / strawberry insane @sign ❝ avatar : Matthew Bomer ❝ présence : Présent(e) ❝ préférences : Rp Roses ❝ disponibilité : 1 à 2 rp encore ❝ autres comptes : AIDEN ▬ (a.levine) l'ambulancier qui veut aider son prochain, mais ne s'aide pas lui-même. GRANT ▬ (g.gustin) L'homme à la tête d'adolescent pré-pubère. CARTER ▬ (a.kendrick) la maman qui ne s'est pas quoi penser du père de son enfant. JONAS ▬ (r.amell) le pro du spacecake, wesh ! DEVON ▬ (k.graham) la métisse qui retrouve son passé abandonné. JAMIE ▬ (d.gillies) l'homme qui ne comprend pas le sens du mot amour et encore moins de celui de la fidélité. GWEN ▬ (s.johansson) celle qui raffole de la nourriture américaine et vendrait son âme pour un hot-dog !
anciennement : baptist ▬ parti travailler en Afrique ❝ Points : 3186 ❝ Messages : 1428 ❝ depuis : 23/02/2015 ❝ mes sujets : melody ▬ commémoration love it's some shit but it's the life
| mot doux de Alvin R. Prescott ► un Mar 24 Fév - 18:52 | | | alvin & melodybehind the blue eyes Mon sang froid s'était envolé en un instant. J'avais dépassé mes gestes comme mes paroles, j'avais été trop loin en disant des mots que je ne pensais pas. Je le savais, mais je n'allais très certainement pas lui dire. Je l'écoutais parler, je savais déjà tout cela. Oui, je le savais. Je l'avais juger par colère, en fait j'étais le pire des cons. Je retirais mon poignard de son comptoir, le déposant plutôt. Je me levais rangeant mon arme dans mon pantalon. Car qui dit que je portais des boxer ? Bref. Je la regardais. « Soit. » Ce simple mot avait été ma conclusion. Je tournais les talons et tournait la poignée de la porte qui menait au jardin. Je ne pouvais plus reculer, c'était trop tard, mais je pouvais encore réfléchir. Toute cette histoire prenait une tournure à la quelle je ne m'attendais aucunement. À l'extérieur, je soupirais. Si je ne l'avais pas prit en otage et mis tout ce matos chez elle, j'aurais tout simplement fuit. Non pas par lâcheté, mais simplement par principe. Voulais-je vraiment gâcher sa vie ? Je ne savais plus quoi penser. Je m'assoyais sur une marche de pierre regardant le ciel noir. Aucune étoile à l'horizon. « Katrina, je ne sais plus ce que je dois faire. Je ferai tout pour trouver la vérité. J'aimerais tellement que tu sois encore à mes côtés. » Je me passais la main sur le visage effaçant ces larmes qui étaient apparues au balcon. « J'aurais tant voulu te protéger et pourtant je ne sais pas quoi faire. J'ai changé depuis que tu m'as quitté, je suis beaucoup plus colérique. » Je restais silencieux comme si j'attendais un signe. Seulement, il n'y avait rien, pas un son à part le brouhaha des voitures, les sirènes de police et autres urgences. Je poussais un soupire, tout en finissant par me prendre la tête entre les mains. « Je suis véritablement un piètre kidnappeur... Tu dois bien rire de moi en me regardant aller, mais je n'ai pas la moindre idée de comment faire pour avoir son aide sans détruire cette idée qu'elle a d'eux. Je ne veux pas gâcher sa vie, mais je ne peux n'en vouloir qu'à moi. Tout ceci n'est autre que ma faute, cette soirée, ta mort... Le fait que je ne sois plus rien aux yeux de mes supérieurs. Si je n'avais pas entendu cette conversation aussi, jamais il n'aurait eu à te tué pour me faire chanter... » Je laissais une larme couler sur ma joue, mais je la faisais disparaître instantanément. Je ne devais pas pleurer, pas maintenant.
|
| | | Contenu sponsorisé et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais !
| mot doux de Contenu sponsorisé ► un | | | |
| | | |
Sujets similaires | |
|
| Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |
|