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il faut que tu voles comme un papillon mais que tu piques comme une abeille, tu vois ? - feat malvin


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mot doux de Invité ► un Mar 24 Fév - 23:31
alvin & melody

il faut que tu voles comme un papillon mais que tu piques comme une abeille, tu vois ?
J’inspirais doucement, laissant les collégues sortir du laboratoire et laissant surtout celui-ci finir par fermer alors que je ranger les flacons avant d’aller les mettre dans le coffre pour ceux toxiques bien sûr. Je paniquais, oui, totalement. Il mettait les mains sur mes épaules et me parlais d’un ton assez confiant mais il était sûrement plus confiant que moi sur ce coup. J’inspirais doucement en prenant le micro à mon oreille. Et le compliment, bing, je souriais et j’en rougissais même. Bah oui, vous ne rougissez pas même si vous en doutez un peu ? Tout le monde le ferait et mine de rien… l’autre imbécile ne me complimentait pas spécialement souvent depuis un moment. J’inspirais doucement en hochant la tête. « On ne va pas exagérer ! », disais-je en riant alors qu’il était que j’étais une princesse et surtout, je n’étais pas la sienne. « J’espère que si j’ai un souci, vous retrouverez votre monture à temps quand même ! », disais-je en arquant un sourcil. J’allais merder, j’en étais sûre et je priais pour que son cheval soit opérationnel si ça arrivait. J’inspirais doucement en hochant la tête, nous ferions-mieux d’y aller, c’est certain. Incertaine par contre, je le suivais en mettant les mains dans mes poches pour sortir de la pièce et fermer derrière moi. Je ne savais pas si c’était une bonne idée, pas du tout. J’étais assez nerveuse. J’approchais en lui piquant son chapeau pendant quelques secondes et le plaçant sur ma tête en souriant. « Ça serait mieux ainsi, non ? », je riais nerveusement en finissant par lui rendre et fronçant le nez. « Ça fait un moment que je rêvais de le porter ! », plaisantais-je en allant vers le trottoir et traversant la route. Mon sac à la main et surtout ma motivation de ne pas me planter. J’allais en direction de l’arrière court pour prendre la moto et inspirant doucement. « Cameron, portes-moi chance. », murmurais-je alors que je sortais de l’allée le moteur allumé et mettant le casque en surveillant qu’il soit prêt avant de démarrer et zouh, je me mettais en route vers l’immeuble du studio dans des quartiers riches, encore plus riches. Je soupirais doucement une fois arrivée, retirant mon casque et regardant si Alvin était arrivée. Je ne me sentais pas bien. J’avais l’impression de trahir mon fiancé en quelques sortes. C’était dingue car je l’aime dans le fond mais j’avais l’impression de devoir aider cet homme et une petite voix en moi me donnait envie aussi d’aider Edward car oui, sûrement qu’il se trompe ? Je ne le connaissais pas ainsi mais je suis tellement naïve. J’inspirais en retirant mon casque et attachant la moto à une barrière. Je savais de toute façon qu’elle ne risquait rien. J’allais vers l’entrée alors qu’un portier m’ouvrait. « Bonjour mademoiselle Dashwood ! », disait-il et je riais. « Hey, Norman ! », disais-je en passant les bras autour de son coup pour une étreinte affectueuse. J’aimais cet homme, il était formidable et tellement souriant. « Passez une bonne soirée ! », disait-il en souriant alors que j’allais vers les ascenseurs pour monter au bon étage. « Vous êtes là ? », demandais-je à l’oreillette pour me sentir un peu en sécurité. « J’espère que vous ne m’en voudrez pas, je vous ai piqué un mouchard ! », disais-je en souriant doucement. Il fallait bien que je l’informe que j’avais eue dans l’idée de planquer un mouchard dans son bureau ce qu’il n’avait pas prévu mais j’avais surtout envie de me venger d’avoir eue moi aussi des mouchards partout et surtout une caméra dans ma chambre. J’entrais alors que j’étais au bon étage. Pas besoin de frapper, il savait que je venais mais j’étais nerveuse et je devais me calmer. Accueilli par Edward, il déposait un baiser sur ma joue en fermant la porte. Je n’avais pas le temps de rentrer qu’il me plaquait contre la porte fermée, les bras de part et d’autres de moi alors qu’il laissant une main remonter ma cuisse. Oui, bon d’accord… cela faisait deux semaines mais quand même, il est ou le bonsoir ? Je sentais l’odeur des spaghettis qu’il avait sûrement préparés mais je sentais surtout ses lèvres à mon cou. « La framboise ? Pas mon favori mais on s'en contentera ! », Commentait-il alors que j’étais effrayée qu’il ne voit ce que j’avais dans l’oreille. Non, non, non… il ne devait pas le voir. Je le laissais dévorer mon coup, c’était agréable et pourtant j’étais absente, je n’en profitais pas vraiment. Je souriais tout de même et le repoussant doucement pour rencontrer ses lèvres. « Tout doux, on a toute la soirée ! », disais-je en espérant que ça le calme. Il souriait. « Ça va ? », me demandait-il en reculant doucement. « Tu n’as  pas l’ai… », j’inspirais en le coupant. « Non, ça va. Juste un peu épuisée. Longue journée ! », je souriais doucement en allant retirer ma veste et la posant sur le porte manteau alors que je le regardais attentivement et ensuite la pièce. J’avais l’impression qu’il tentait de se rattraper du weekend passé. Je culpabilisais un peu. « Ca sent bon ! Le traiteur ? », demandais-je alors que j’approchais de la cuisine. « Non, je me suis mis au fourneau ! », j’hochais doucement la tête en me tournant vers lui et fronçant le nez alors qu’il nous servait deux verres de vin. Vin ? Ah oui, l’idée était que je fasse en sorte qu’il aille sous la douche. J’inspirais, réactive. Je n’allais pas faire ça ? Non. J’allais le faire, oui. Non, pas maintenant. Trop tôt. Je prenais le verre en souriant. « Merci ! », disais-je en allant alors contre le plan de travail alors qu’il venait contre moi. Il buvait une gorge de vin et je le regardais attentivement dans les yeux. Il laissait ses mains glisser à mon flan et descendre au bas de mon dos pour aller sur mes fesses et retournant à mon cou mais l’autre côté. Je le laissais faire, souriant cette fois un peu plus à l’aise. « Je dois envoyer un ou deux mails à mon fournisseur… ça te dérange si j’utilise ton bureau pendant que tu termines le diner ? », demandais-je alors qu’il haussait les épaules en hochant la tête. « Bien sûr mais d’abord ! », il me hissait alors sur le plan de travail en se laissant aller à embrasser son cou, descendant à l’entrée de mon décolleté pour s’en délecter de plaisir mais je me sentais un peu gênée… j’avais cette mauvais impression d’être… un peu un objet. Il ne parlait pas tellement. Je me laissais faire jusqu’à ce que la minuteuse sonne. Je souriais doucement en reculant et allant de l’autre côté du plan de travail. « Temps mort ! », disais-je en souriant un peu, j’avais du mal. J’étais toujours autant nerveuse. « Je reviens ! », je lui volais alors un baiser. J’ignorais si j’étais convaincante ou comme d’habitude mais j’avais l’impression que non. J’allais alors vers le bureau. J’avais eue de rares occasions d’y aller. Une fois un peu à l’écart, j’inspirais. « Je me dirige vers le bureau… », j’ouvrais la porte pour la fermer derrière moi et m’installer sur la chaise en ouvrant mon adresse mail, ne sait-on jamais. J’ouvrais un mail rapidement avant de regarder autour de moi. « Je cherche ou ? », demandais-je tandis que je trouvais un dossier sous une pile. Je l’ouvrais rapidement pour découvrir un emballé de pièce à conviction. J’y voyais deux cigarettes comme celles que fument toujours mon père et un père de gant en cuir. J’arquais un sourcil en prenant mon portable pour faire une photo. « Je vous envoie une photo ! », disais-je en inspirant. Je ne me sentais pas bien, là, pas bien du tout. Avait-il raison ? Pourquoi Edward cacherait ça ? Je voyais des photos de cette fameuse cigarette égarée. « Je vais pas y arriver… », soufflais-je en paniquant vraiment. Mon souffle s’accélérant, je continuais à chercher. Je tombais sur un tiroir fermé à clé et j’inspirais doucement. Je relevais le regard, sur son bureau… il y avait une photo d’Edward et Alvin avec une femme, je la regardais attentivement. Je l’avais déjà vue sur une photo du fond d’écran d’Alvin. J’arquais un sourcil, était-ce sa femme ? Je tentais de chercher la clé du tiroir. Je mettais alors le mouchard sous le bureau pas loin du téléphone. « Il y a un tiroir mais… », c’est alors que les pas des chaussures approchais-je que je me stoppais net tandis que la porte s’ouvrait. Il me regardait les yeux posés sur le tiroir. « Qu’est-ce que tu fais ? », je faisais une moue en le regardant. « Rien… », il me regardait, suspicieux. Il fallait que je trouve une excuse… qu’importe. Le regard dans les yeux, je cachais mes mains qui tremblaient légèrement. Me relevant, je les mettais avec appui. Une idée, une idée… il approchait et me regardait attentivement. « Melody ? », demandait-il alors qu’il empoignait mon bras et me rapprochait bien moins doux que précédemment. Je commençais un peu à paniquer et il me faisait mal en plus. « Qu’est-ce que tu cherches dans mon bureau ! », continuait-il d’un ton plus froid. « Une arme ! », lâchais-je alors débilement comme ça d’un coup. Et pourquoi ? Il me regardait du genre : continues. « J’ai trouvée des mouchards chez moi, je ne voulais rien dire en fait mais… j’ai peur… et… je les ai écrasés mais je ne comprends pas comment ils sont arrivés. », il arquait un sourcil. « Un mouchard ? », disait-il en souriant et lâchant mon poignet. « C’est moi, je voulais te protéger… au cas où ! », j’arquais un sourcil, surprise. « Au cas où ? Me protéger de quoi ? Je suis une grande fille ! Préviens-moi la prochaine fois… », disais-je en étant un peu vexée enfin non, je faisais semblant. J’étais en plein dans le mensonge et j’ignorais si j’étais convaincante car j’avais réellement peur de lui en ce moment. « Tu sais quoi, je vais aller aux toilettes, réfléchis-y bien en attendant. La prochaine fois que tu m’espionnes… », disais-je en arquant un sourcil et lui laissant un sourire sarcastique alors que je m’éloignais d’un pas rapide pour aller dans la salle de bain et claquant violement la porte pour m’adosser contre celle-ci. Je ne me retenais plus, je sentais ma gorge se serrer et les larmes monter. Je ne devais pas pleurer, non.
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Alvin R. Prescott
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❝ Métier : Ancien agent du FBI, qui fut un temps bodyguard, maintenant sans emploi
❝ cupidon : Veuf et même si parfois ses pensés vont à sa défunte femme, son coeur est prit par Melody
❝ post-it : Lieu de naissance, New Jersey → Né d'un père alcoolique et d'une mère battue, je connus la violence physique très jeune. → À six mois, j'ai fuis avec ma mère le New Jersey pour ma propre protection. → Je n'ai jamais vécu bien longtemps dans une ville. → À 5 ans, ma mère se fit assassiner par mon père qui nous avait retrouvé. Je suis retourné vivre chez ma tante. → Je suis fils unique, mais ma tante a adoptée une petite fille lorsque j'avais dix ans, Liv. → Je n'ai jamais revu mon père depuis qu'il a tué ma mère, je suppose qu'il s'est fait arrêter. → Je suis tombé amoureux d'une infirmière urgentiste et deux ans plus tard nous étions marié. → Après notre mariage on a déménagé à Pasadena. → Même si j'étais un bourreau de travail, j'ai toujours sut rester fidèle. → Après six années de mariage, elle a été assassiné par mon coéquipier. → J'ignorais et j'ignore toujours qu'elle avait une liaison avec celui-ci. → Je ne suis pas très habile avec les enfants. → J'ai découvert que mon coéquipier était un flic véreux et faisait affaire avec la mafia. → On me soupçonne d'avoir assassiné ma femme. → Le FBI m'a suspendu jusqu'à preuve du contraire. → Je suis donc rendu un flic ripou, alors que je n'y suis pour rien. → Je vais tenter de blanchir ma réputation ! → J'ai kidnappé la copine de mon coéquipier pour trouver une façon de faire éclater au grand jour la vérité. Seulement, ce n'est pas si facile que ça...
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❝ crédits : angel180886 @vava / tumblr @gif / strawberry insane @sign
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mot doux de Alvin R. Prescott un Mar 24 Fév - 23:43
alvin & melody

il faut que tu voles comme un papillon mais que tu piques comme une abeille, tu vois ?
La panique. Voilà ce qui émanait d'elle, je la sentais et je ne serais sûrement pas le seul. Intérieurement, j'espérais qu'elle se calme, qu'elle trouverait le juste équilibre. Je sortais le premier, me dirigeant directement à ma voiture. Enfin une location, Rolls Royce 79 d'un noir nuit. Ouvrant la valise, je balançais mon borsalino, mon blouson pour en sortir un veston noir que je mettais par dessus ma chemise, une casquette de chauffeur et des gants en cuir noir. Lissant avec ma main mes cheveux, je mettais la casquette tout en me dirigeant avec ma mallette derrière le voleur de cette sublime bagnole. La clé dans le contact, j'allumais les phares éclairant la moto et Melody par la même occasion. J'avais entendu le prénom qu'elle avait prononcé juste avant que j'entre dans le véhicule. J'oubliais néanmoins très vite pour me concentrer sur la route. Ralentissant non loin du bâtiment, je me garais un peu plus reculer que l'entrer. Retirant mes gants, je sortais de la poche de gauche du veston une cravate que je noyais à mon cou rapidement. Puis j'ouvrais la valise qui se trouvait sur le siège passager. En moins de deux je piratais l'immeuble où elle entrait. Je l'entendais parler et je roulais les yeux. « Oui je suis là. » avais-je répondu avant d'entendre ce qu'elle me disait. Je fronçais les sourcils, j'aurais mieux fait de la fouiller. Seulement, il était trop tard pour que j'aille lui reprendre. Tout pouvait échouer si Edward trouvait le mouchard. Je croisais les doigts. « Respirez, je suis avec vous. » Je regardais l’ascension de l'ascenseur sur un plan 3D sur l'écran du laptop. J'avais glisser un localisateur dans la poche de sa veste en cuir alors que je lui avais fait la bise. Je pouvais donc suivre ses mouvements. Pianotant mes doigts sur le clavier, je connectais les caméras de surveillance à mon système. Je la voyais debout devant la porte de l'appartement d'Edward. La partie allait commencée. Elle venait de disparaître de mon écran. « Bonne chance Melody. », avais souffler entre mes lèvres. J'entendais alors un bruit sourd qui me faisait froncer les sourcils. La voix de mon ancien coéquipier arrivait à mes oreilles et j'en grinçais des dents. « J'aime bien l'odeur de la framboise. » Je venais d'échapper cette phrase, alors que je serais ma main autour du volant. Je regardais dans mon rétroviseur. Pile à l'heure. Un couple d'une soixantaine d'année marchait sur le trottoir. Je sortais de la voiture et marchant de bon pas, je me dirigeais vers la porte et lorsqu'ils arrivèrent je l'ouvrais. Je replaçais mes lunettes aviateurs que j'avais préalablement mises sur mon nez et j'entrais à leur suite. « Bonne soirée. », avais-je dit. L'homme à la réception que Melody avait appeler Norman me regardait. « Bonsoir, je suis le nouveau chauffeur des Price. Sont-ils toujours si peu bavards ? Est-ce que ça vous dérange si j'avance ma voiture, ils m'ont demandé d'attendre ne sachant pas s'ils allaient ressortir. » J'avais mener mon enquête, une fois sure deux ils ressortaient après être rentrer chez eux. Edward me les avait déjà présenter il y a quelques années, d'où le fait que je connaissais leur nom. L'homme m'autorisait à faire comme bon me semblait et je le remerciais. En sortant, je remettais mon oreillette que j'avais retiré pour ne pas déconcentrer Melody alors que je savais que j'allais parler. Je m'autorisais un bref regard vers l'intérieur regardant le comptoir où j'avais coller un micro dans un des sillons du design. J'entendais la voix de Melody qui soufflait son idée pour s'introduire dans le bureau. Je lissais ma cravate d'un revers de la main, puis j'entrais dans la voiture. Je revenais me stationner devant la grande porte, coupant le moteur, je saluais d'un signe de la main ce cher Norman. Des bruits d'objets qui se déplaçaient se fit entendre et je détournais mon regard de l'écran. Même si je ne pouvais pas savoir ce qui se passais réellement, j'avais de gros doute. Prenant appui sur le rebord de la porte, je portais mon index ganté à mes dents que je mordillais attendant. « N'oubliez pas d'abaisser la jupe de votre robe. » C'était ma réponse à son affirmation sur ce qu'elle faisait. Je n'avais pas la moindre idée du look de sa jupe, mais quel homme ne l'aurait pas toucher ? Je perdais mon sang froid. Pourquoi ? Je n'en avais pas la moindre idée, pas même un soupçon, car cette éventualité était tout simplement impossible. « Regardez sur le bureau, puis si vous ne trouvez rien vérifiez les tiroirs. » Je branchais mon portable à l'ordinateur pour ainsi télécharger directement sur celui-ci. J'entendais tout le brouhaha. Soupirant, j'observais l'écran où s'affichait la photo qu'elle m'avait envoyé. Me pinçant les lèvres j'agrandissais puis releva mon regard au son de la voix de se traître. « Melody jouez de vos charmes ! » Elle ne m'avait pas écouter et je me tapais le front avec la paume de ma main. Pourquoi lui disait-elle cela ? Eh merde ! Il allait très certainement revenir chez elle en poser maintenant qu'il savait qu'elle les avait retiré. Je me passais la main sur ma bouche. « Melody ? », avais-je dit en l'entendant claquer la porte. « Gardez votre sang froid. » J'entendais un sanglot. Je poussais un soupire. « Écoutez-moi, n'écoutez que ma voix. Vous savez le livre que vous aviez mit près de moi le premier soir. Je ne vous ai jamais remercier. Ce livre retient enfoui bien des secrets que je veux oublié. Mais j'ai besoin de compagnon courageux, avec du coeur et de l'esprit. Je sais ce n'est pas facile, mais je suis avec vous et je vous protégerai s'il arrive quoique se soit, tout comme tout comme j'ai cru en vous, croyez en moi. N'abandonnez pas, soyez l'homme de fer, le lion et l'épouvantail et sachez que je vous retrouverai sur le chemin de brique jaune. Je serais toujours là et avec mes souliers rouges nous rentrons chez nous sans embûche. » Je faisais une pause. « En fait c'est complètement idiot comme discours... » Je passais une main sur ma nuque. « Ayez tout simplement confiance en moi. »
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mot doux de Invité ► un Mar 24 Fév - 23:55
alvin & melody

il faut que tu voles comme un papillon mais que tu piques comme une abeille, tu vois ?
Qu’étais-je ? Effrayée ? Paniquée ? Tellement de choses mais j’ignorais simplement ce que j’étais, qui j’étais… en fait, je perdais totalement le fil. Les preuves que j’avais trouvées suffisait-elle ? Un peu sans pour autant suffire. C’était étrange dans ma tête, tellement. Je me laissais perdre à mes idées et à mes larmes. J’inspirais doucement en l’écoutant. Je ne bougeais pourtant pas. Je restais assise sur le sol de la salle de bain que je regardais comme si c’était la dernière pièce que je voulais regarder. Je le laissais terminer et me levant tant bien que mal. J’inspirais doucement en allumant l’eau du robinet pour masquer. « Je suis là, j’ai confiance… j’ai juste… », j’inspirais doucement en fronçant les sourcils. « Ça va… et ma jupe va bien aussi ! », soufflais-je alors. En fait, j’étais effrayée… mais je savais surtout que je voulais surtout sortir mais non, je ne pouvais pas. J’étais entrée et je devais aller au bout. Tout ce que j’avais dans l’esprit était cette boite. Comme une énigme à résoudre ou une envie de juste savoir ce qu’il cache au point de s’être emporté à ce point. Je savais enfin qu’il avait eu raison pour les micros. De la surveillance. Pour me protéger ? Bon d’accord, des tentatives d’otages mais ça n’avait servi à rien dans le fond. « Je veux juste ouvrir ce tiroir et je l’ouvrirais… », disais-je en inspirant doucement. « Là, je vais user de mes charmes… et après ce que vous allez entendre, je pense qu’on va pouvoir se tutoyer ! », disais-je en arquant un sourcil sous forme de prévention pour qu’il sache un peu ce que j’avais en tête car bon… voilà que j’allais réellement me mettre à faire dans la finesse. Ou pas. Je regardais mes yeux, waterproof. Rien de grave sauf un peu de fard à paupière. Je souriais doucement en remettant du rouge à lèvres et je sortais de la salle de bain après avoir coupée l’eau. Je retournais à la cuisine ou il semblait être allé et allant dans son dos. Je déposais un baiser sur son épaule. « Désolée de m’être emportée et d’avoir fouillée… je panique depuis quelques jours. J’y ai vu une opportunité et… », il souriait en se retournant et me rendant mon verre de vin. « Je comprends ! », disait-il en penchant la tête. « Désolé de m’être énervé… Tu me pardonnes ? », demandait-il en me rapprochant et posant la main dans mon dos pour me coller à lui. « Bien sûr ! », soufflais-je en allant détacher quelques boutons de sa chemise. « T’es sexy quand tu es en colère… mais je suis affamé aussi ! », disait-il en fronçant les sourcils et me guidant à la table. Ça sentait tellement bon, je souriais doucement enfin je me forçais et j’y arrivais bien. Simuler un sourire est simple par moment. Plus que l’on ne peut le croire mais je me sentais presque dégoutée de le faire à cet homme… qui m’effrayait plus qu’autres choses. En colère ? La colère me rendait insolente mais je m’efforçais à me calmer car elle était là. Nous mangions calmement, je profitais qu’il aille rapidement à la toilette pour parler. « C’est peut-être un enfoiré mais ses spaghettis sont délicieux ! », disais-je en fronçant le nez, taquine car j’avais crue entendre un bruit d’estomac. Je ne faisais que lui donner encore plus faim ? Je souriais quand il revenait et l’attirant à moi pour un baiser assez passionné… bon, je venais de terminer mon assiette et lui aussi mais ça, il l’avait rapidement compris alors qu’il m’attirait à lui en me faisant lever. Je reprenais ce baiser, cela m’écœurait en quelques sortes mais je m’en fichais. Je devais le faire même si je savais pertinemment que j’allais le regretter. Mes lèvres s’unissant aux siennes, je laissais ses mains se balader ainsi que les miennes détachant sa chemise avec un peu trop de fougue alors que j’arrachais tout simplement les boutons. Vite fait, bien fait. Il fallait que je montre cette fougue, cette envie que je n’avais pas nécessairement. Je me sentais alors hissée sur la table tandis qu’il recommençait à nouveau à s’en prendre à mon décolleté. Il retirait la robe de sa tirette dans le dos, le détachant. Chose que j’avais oubliée ? Mon micro. Comment j’allais faire ? Cette pensée me traversait l’esprit alors que je devais aussi faire en sorte d’être là… avec Edward pour ne pas éveiller des soupçons. Comment faire en sorte de retirer le micro. Je profitais qu’il se redresse pour le repousser doucement en souriant. Je m’éloignais doucement vers la porte de sa chambre. « Rejoins-moi ! », disais-je en laissant tomber ma robe et mes talons haut pour les abandonner sur la route. Une fois dans la chambre, je déposais le micro sur un meuble et le couvrant avec mon soutien à gorge… je n’allais pas attendre qu’il entre car j’en avais besoin comme « couvercle » et aussitôt qu’il arrivait… il ne rentrait pas vraiment couvert mais normal… après bon, pas besoin d’écharpe. J’étais fidèle et protégée. Entre simulation de ma part et pas du tout de la sienne, je prenais beaucoup sur moi. Tellement. En fait, c’était horrible d’être dans cette situation. Bon, certes ce n’était pas compliqué, ce n’était pas non plus sans consentement… c’était juste sans passions ou envies de ma part. Je me forçais littéralement et cette simple idée rendait la nuit horrible dans un sens. Après cette première partie, je faisais mine de m’endormir. En fait, je ne me sentais pas vraiment bien émotionnellement. En fait, je me sentais un peu… j’avais horreur de ce que je venais de faire. C’était… mais je savais que ça fonctionnerait. Il s’endormait toujours après le sexe. Question d’habitude. J’attendais alors une bonne grosse demi-heure et je me retournais vers lui. Il semblait dormir à point fermés. Attendant encore une vingtaine de minute, cela faisait plus de deux heures que je n’avais pas donnée de nouvelles sauf les bruits qu’on ne voudrait peut-être pas entendre des autres. Je me redressais délicatement sans faire de remous des draps ou du moins, je tentais. Une fois levée, j’allais chercher mon shorty tombé à côté du lit et prenant mon soutif et le micro pour remettre le second puis le premier. « Je suis là ! », chuchotais-je en allant vers le bureau encore ouvert. « Je vais l’ouvrir à l’ancienne ! », je prenais alors une barrette encore accrochée à mes cheveux et l’utilisant pour crocheter la serrure. J’inspirais doucement. Oui, je savais comment faire depuis… en fait très longtemps. Cameron me l’avait appris quand j’étais adolescente car j’avais tendance à trop souvent oublier mes clés ou perdre celles de mon journal intime par exemple. C’est en entendant le petit clic que je savais qu’il était bien ouvert. Je tirais avec délicatesse en ouvrant celui-ci assez plein. D’abord, une arme. Un silencieux comme on les voyait dans les films. Je tentais de ne pas parler pour ne pas réveiller Edward. Je prenais un peu tout ce que je trouvais. Il y avait un paquet de lettres au cachet de l’entreprise de mon père et au nom d’Edward mais pas à cette adresse. Je prenais une photo avec mon portable à nouveau et continuant ma recherche. Je croisais alors un portefeuille avec les initiales de C. D., mon frère. C’était un cadeau que maman lui avait fait. Intriguée, je l’attrapais et l’ouvrant. Ils n’avaient jamais retrouvés ses papiers. J’inspirais doucement. « Il a tué mon frère ! », disais-je alors en sentant les larmes remonter. Non, non, non et non. Je prenais alors l’arme… et la chargeant dont le bruit se fit bien entendre. « Il va aller en enfer ! », murmurais-je à nouveau.
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Alvin R. Prescott
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❝ post-it : Lieu de naissance, New Jersey → Né d'un père alcoolique et d'une mère battue, je connus la violence physique très jeune. → À six mois, j'ai fuis avec ma mère le New Jersey pour ma propre protection. → Je n'ai jamais vécu bien longtemps dans une ville. → À 5 ans, ma mère se fit assassiner par mon père qui nous avait retrouvé. Je suis retourné vivre chez ma tante. → Je suis fils unique, mais ma tante a adoptée une petite fille lorsque j'avais dix ans, Liv. → Je n'ai jamais revu mon père depuis qu'il a tué ma mère, je suppose qu'il s'est fait arrêter. → Je suis tombé amoureux d'une infirmière urgentiste et deux ans plus tard nous étions marié. → Après notre mariage on a déménagé à Pasadena. → Même si j'étais un bourreau de travail, j'ai toujours sut rester fidèle. → Après six années de mariage, elle a été assassiné par mon coéquipier. → J'ignorais et j'ignore toujours qu'elle avait une liaison avec celui-ci. → Je ne suis pas très habile avec les enfants. → J'ai découvert que mon coéquipier était un flic véreux et faisait affaire avec la mafia. → On me soupçonne d'avoir assassiné ma femme. → Le FBI m'a suspendu jusqu'à preuve du contraire. → Je suis donc rendu un flic ripou, alors que je n'y suis pour rien. → Je vais tenter de blanchir ma réputation ! → J'ai kidnappé la copine de mon coéquipier pour trouver une façon de faire éclater au grand jour la vérité. Seulement, ce n'est pas si facile que ça...
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mot doux de Alvin R. Prescott un Mer 25 Fév - 0:02
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il faut que tu voles comme un papillon mais que tu piques comme une abeille, tu vois ?
Tentant de lui redonner la pêche de la pire façon qui soit, je me calais dans le siège de la voiture. Ce n'était pas ma première surveillance, loin de là. Je regardais la porte sachant que je ne pouvais faire plus. Je croisais mes bras sur mon torse, baisant la palette de ma casquette juste au dessus de mes lunettes fumées. La voix d'Edward parvenait de nouveau à mes oreilles. « Connard ! », c'était plus fort que moi, son baratin était quelque chose que je n'avais jamais aimé. Je trouvais qu'il sonnait toujours faux lorsqu'il parlait aux femmes. Puis, j'entendais le cri de la fourchette gratter le fond de l'assiette. Je savais ce qui allait arriver, mais pour l'instant j'avais simplement faim. J'entendais mon ventre crier famine. « Taisez-vous ! », grognais-je dans ma barbe. J'étais mort de faim, mais je pouvais éviter ce genre de commentaire. Par chance, je n'avais pas l'odeur pour faire frétiller mes narines. La chance commençait, j'entendais la vaisselle se briser et j'hésitais à retirer mon micro. Je n'avais pas envie d'un porno live et surtout que je n'avais pas la moindre idée d'où elle se trouvait dans l'appartement puisque le point rouge sur mon écran avait arrêter de bouger aussitôt qu'elle avait retiré sa veste. Je savais simplement qu'elle se déplaçait par ses paroles. Un instant, je retirais mon oreillette, je n'allais pas passer le reste du temps à les écouter. Prenant mon portable je regardais dans mon registre et j'appelais un restaurant chinois où le patron était un ami. Je commandais un double menu, puis je remettais le micro dans mon oreille. Un cri de plaisir arriva à ce même instant, je grimaçais sortant de la voiture j'allais m'adosser sur la porte passager. Une voiture se stationna derrière moi et je regardais le serveur lui faisant signe. Lui donnant un bon pourboire, je séparais mes baguettes et entreprit de manger. « Bon appétit. » Une heure s'était écoulé et j'entendais toujours leur ébat. Au début gêner, maintenant j'étais lassé de les entendre. Je me dirigeais vers la porte de l'immeuble, l'ouvrant je demandais si je pouvais jeter mes déchets. « Vous travaillez tard ! » Je regardais Norman avec un sourire. « J'ai l'habitude. » Il me sourait. « Si vous le souhaitez vous pouvez rester dans le hall en attendant. » « Merci, mais je ne voudrais pas qu'il arrive quelque chose à la voiture. » Un cri d'extase masculin arriva jusqu'à mon oreille et je fermais les yeux. Je sortais regardant le ciel noir voyant une lumière d'hélicoptère. Je tournais mon regard vers l'immeuble. La voix de Melody résonna dans mon oreille alors que je regardais la fenêtre de l'appartement d'Edward qui donnait sur la cuisine. Cette dernière était toujours tamiser. J'avais passé les dernières quarante-cinq minutes à regarder la grosse pomme adossé sur la Rolls Royce. Je commençais à en avoir marre des lunettes fumées qui me cachait une partie de ma visibilité même si les verres étaient adapté pour la noirceur tout comme le jour. « J'espère que se sont des murs de béton. » Je venais d'être méchant et je le savais, mais je sentais en moi quelque chose qui me faisait haïr cet idiot encore plus. Une voiture se stationna devant moi et un homme vêtue de noir en sortit. Je le regardais alors qu'il soulevait son veston et que je voyais son flingue. J'entendais aussi les paroles dans mon oreille, mais le bruit du chargeur me fit réagir. Je me précipitais dans la voiture alors qu'un second homme sortait pour suivre le premier qui venait de percer les pneus de la moto. « MELODY SORS DE L'APPARTEMENT TOUT DE SUITE. », avais-je hurler dans la voiture alors, que les deux hommes entraient. J'ouvrais le coffre à gant prenant mon arme. Je regardais l'ordinateur sans porter mon attention sur les téléchargements. « Il y a deux hommes qui montent et ils sont armés. Dépêche-toi et n'oublies pas ta veste, je pourrais te guidez. » Je regardais l'écran de l'ascenseur trois. « Quand tu sortiras de l'appartement, ne prend pas les ascenseurs, descend par les escaliers. Je vais bloqué ceux-ci pour ne pas qu'ils arrivent jusqu'à toi. » Mes doigts pianotaient déjà sur le clavier et en quelques secondes les ascenseurs étaient tous hors d'usage. Je la voyais dans la cage d'escalier. « Bouche tes oreilles, ça va sonner fort ! », disais-je en déclenchant l'alarme d'incendie de tout l'édifice. Je voyais le réceptionniste, garde de la sécurité et portier s'affoler dans le hall. Il quittait son poste alors que le chauffeur de la voiture devant moi sortait. Seulement, je me trouvais déjà derrière lui étant sortit après avoir déclencher l'alarme. Avec mon index je tapotais son épaule, il se retournait. « Vous êtes le chauffeur des Price ? », demandais-je avec tout innocence. « Non ! », me répondait-il agacé. « Dommage ! » Et alors, qu'il se retournait je le frappais avec mon crochet de droit. « Mauvaise réponse mon pote ! » Je retournais dans la voiture, mettant la clé dans le contact. « Quand tu sors, ne va pas à ta moto. Ils ont crevé tes pneus. » Je regardais la porte d'entrer commençant à voir du monde affluer dans le hall, alors qu'au loin on entendait les pompiers.
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mot doux de Invité ► un Mer 25 Fév - 0:05
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il faut que tu voles comme un papillon mais que tu piques comme une abeille, tu vois ?
on génial, au moins… je n’avais plus à avoir peur que le coupable courre encore les rues. Je venais de coucher avec le coupable. Pourquoi le savais-je ? Cameron n’avait jamais rencontré Edward enfin du moins, je le pensais. Ils auraient dû après nos retrouvailles mais non. Je commençais à faire le rapport. Mon père ne devait pas savoir qu’il était en ville mais j’avais tout dis à mon fiancé. Stupide. C’était peut-être de ma faute ? Là, tout ce que je voulais était d’aller dans ce lit et lui tirer entre les deux yeux. Et bing. C’était stupide, je n’étais pas ce genre de filles mais je me sentais dans un état second. Je ne saurais expliquer. La voix par contre assez forte dans ma tête me disait de sortir. Non mais non, je ne pouvais pas. J’allais passer pour quoi ? J’inspirais doucement en regardant alors le tiroir. Je prenais le portefeuille et je décidais même de garder l’arme en main. Au cas où. Oui, c’était stupide mais en l’entendant, c’était un réflexe. Je quittais alors le bureau sans faire un bruit pour ne pas réveiller ce connard qui dort. J’inspirais doucement pour avoir un peu de courage. Toujours silencieuse, je ne voulais pas risquer de le réveiller. Si cela se trouve, il l’était ? Je me rendais alors vers le porte-manteau directement. Je l’enfilais et rebroussant mon chemin pour attraper ma robe et mes chaussures de ma main libre. Je cachais alors mon arme sous ma veste… au cas où un voisin arrive et je suivais le guide. Je me guidais alors vers les escaliers. Je courrais le plus vite possible, marches par marches. En manquant une mais me rattrapant et shit… je m’étais un peu faite mal à la cheville sous ma chute. J’inspirais doucement en continuant à marcher. « Ok… j’y suis. », je me bouchais alors les oreilles alors qu’il me conseillait de le faire et je me rendais vers le hall mais il y avait bien trop de monde. J’inspirais. « Je vais sortir par derrière ! Il y a une ruelle qui donne de l’autre côté de la rue ! », disais-je alors que je prenais le chemin vers la conciergerie. Je laissais ma main glisser par-dessus le chambranle et découvrant alors une clé. Je savais que Norman l’y cachait toujours pour ses fringales et j’avais déjà eue l’occasion de le voir ouvrir la porte pour me faire sortir par derrière à plusieurs reprises. J’ouvris la porte sans trop me faire remarquer. En fait, j’étais tellement stressée et paniquée que je ne captais pas de suite que je venais aussi de perdre ma moto ce qui était génial. Vraiment. J’inspirais doucement en refermant la porte derrière moi sans trop faire de bruit. J’avais froid, cette pièce était humide. J’entendais un peu de bruits mais je me mettais simplement à courir un peu plus vite vers la porte. Une de ses portes Exit que l’on voit souvent. J’en sortis alors et marchant à nus pieds dans la ruelle pour en sortir… La seule sortie. Je courrais un peu plus vite, entendant alors que j’entendais la porte se rouvrir. « Arrêtes de courir ! », disait un homme en me regardant de dos. « On ne va pas te faire de mal ! », disait-il mais comment le croire ? Je m’arrêtais cependant de courir, je me retournais pour voir mon interlocuteur qui se rapprochait avec une arme pointée sur moi. Il avait un tatouage sur la tempe et un look assez étrange surtout sa coiffure. Je reculais lentement par peur. Je ne dis rien. « Là, je crois que j’ai un problème ! », murmurais-je alors que j’étais assez loin pour ne pas être entendue mais je me sentais un peu coincée.
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Alvin R. Prescott
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mot doux de Alvin R. Prescott un Mer 25 Fév - 0:08
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il faut que tu voles comme un papillon mais que tu piques comme une abeille, tu vois ?
La foule se ruait à l'extérieur comme quoi que les alertes incendies du lycée ne leur avaient rien apprit. J'entendais Melody et alors qu'une femme s'approchait de la Rolls Royce, je me mettais en marche arrière. Un coup de volant et je faisais un U-turn devant tout ses gens. Mes pneus criaient alors que j'accélérai, passant à coté des pompiers. Je tournais au premier croisant brûlant le feu rouge. Environs cinq mètres plus loin je coupais la voie de gauche m'engouffrant dans la ruelle. Mes phares éclairaient une silhouette féminine. « Derrière-toi ! » Je roulais seulement un peu vite pour la ruelle. « Pousse-toi ! » Le pied enfoncer dans le frein, je m'arrêtais à coté d'elle ouvrant la porte derrière moi. « Monte ! » Deux possibilités s'offraient à moi, aller de l'avant ou de reculons. Je regardais la silhouette de l'homme devant nous. Je n'allais pas lui faire plus peur, mettant mon bras sur l'appui tête du siège passager je regardais par le pare-brise arrière. « Cache-toi. » J'évaluais le chemin alors que l'homme avançait accélérant le pas. Je prenais une bonne respiration et ramenant ma main sur le bras de vitesse, je mettais de reculons. J'appuyais sur l'accélérateur et dans une vitesse folle la voiture se mit à reculer, alors que l'homme tirait sur nous. Je baissais la tête tout en regardant derrière moi. Aussitôt que mes roues avant touchèrent le trottoir, je décélérais changeant de vitesse et un coup de volant nous fit tourner. J'entendais les voitures freiner derrière nous. Le windshield avait quelque impacte de balle, mais la vitre tenait toujours. Une chance, que je n'étais pas un mauvais agent ! « Tu n'as rien ? » Je roulais toujours aussi vite, puis tournant dans une petite rue sombre, je ralentissais pour ne pas éveiller des soupçons sur nous. Retirant les lunettes fumées et la casquette que je balançais sur le siège à coté de moi sur l'ordinateur. Je conduisais jusque devant l'endroit où j'avais loué la voiture. Je me stationnais et me tournais. « Laisse moi te regarder. » Je me tournais sur le siège et prenait son visage entre mes mains. Je l'examinais entièrement, puis soupirait. Je m'en serais tellement voulu s'il lui était arriver quelque chose. « Je suis désolé pour ta moto et je crains qu'on ne pourra pas retourner chez toi. S'ils sont venu là-bas, ils savent aussi où tu habites. On va devoir se trouver une cachette. » Je me passais une main dans les cheveux. « Habilles-toi, on ne doit pas rester ici. » Je ramassais à la va-vite l'ordinateur et mes effets, avant de sortir de la voiture pour ouvrir la valise. Je me changeais retirant l'uniforme de chauffeur que je fourrais sans ménagement dans un sac de tissus.
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mot doux de Invité ► un Mer 25 Fév - 0:10
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il faut que tu voles comme un papillon mais que tu piques comme une abeille, tu vois ?
Comment une vie peut changer de tout au tout ? Cela n’existe que dans les films, non ? Dans les écrans. Ma vie avait changé que je ne le veuille ou non. Avais-je été volontaire ? Je voulais me dire que non en fait et pourtant je l’étais un peu. Je ne pouvais plus faire chemin retour. J’inspirais doucement alors que j’entendis les crissements des pneus. Tournant mon regard vers la voiture, je me poussais pour finir par monter quand il fut à ma hauteur. Que me voulait-il ? S’ils bossaient pour mon père, pourquoi tuer la fille du patron ou même la menacer ? Je regardais cet homme toujours face à nous, il courrait alors que la voiture reculait. Pourquoi ne pas lui foncer dessus ? Je n’avais plus vraiment envie qu’il nous courre après. C’était plus fort que moi. Les bruits des pneus me faisant un peu sursauter même si je m’y attendais, je tentais de rester impassible. Un peu ailleurs, perdue dans tellement de mondes différents, je le laissais conduire jusqu’où il voulait et je ne me souciais même pas de l’endroit. Je n’avais qu’une envie… oui, cette impression que mon estomac ne tenait plus. Cette sensation de dégout. Alors qu’il me demandait si je n’avais rien, je ne répondais pas car dans le fond ? Si. Cela ne se voyait simplement pas. Alors qu’il s’arrêtait, je fus surprise qu’il veuille me regarder et le laissant prendre mon visage mais j’allais bien enfin aucunes blessures si ce n’est des yeux humides mais c’était si surprenant ? Non pas vraiment. « Ca va ! », disais-je un peu ailleurs en l’écoutant ensuite mais j’en calculais sans pourtant calculer ou évaluer la situation. J’étais vraiment sur une autre planète. J’ouvrais la portière alors qu’il me disait de me préparer mais en fait, j’avais chaud, très chaud. J’avais besoin de respirer. Je m’adossais contre la voiture et finissant par aller dans un coin, je me tenais au grillage, tentant de respirer assez fort. Je n’étais pas asthmatique, non mais aussi crûment parlant, j’avais envie de vomir et c’était ce qui se passait tout simplement. Le haut le cœur passé, je me sentais pâteuse, j’avais soif mais bon… ou trouver une boisson ? Mon sac n’avait qu’assez d’insuline pour 3 jours, peut-être 4 et aucunes bouteilles d’eaux. Elles étaient dans la moto, voyez-vous. J’inspirais en le regardant alors. « Je lui ai piqué son arme… », disais-je alors en lui tendant et me disant en riant nerveusement. « Bien sûr, il en a sûrement d’autres mais qui sait… il a peut-être utilisé celle-ci pour… », enfin il savait ce dont je parlais et même si sur le coup, je n’avais pas pensée à cela… j’y avais plus songée en descendant les escaliers bien entendu. C’est le moment propice pour réfléchir. En descendant des escaliers. On le fait tous ? Non. Ah bah tant pis. J’inspirais doucement, prenant ma robe et retirant ma veste pour l’enfiler. Je remis aussitôt ma veste et tendant à celui-ci le micro. « Qu’est-ce qu’il s’est passé ? C’était la brigade anti-orgasme ? Et ce n'est pas drôle, je sais bien... mais je comprend pas, il dormait... », demandais-je sur un ton sarcastique sans trop comprendre là où j’avais fautée ou même comment. « Tu n’as pas de l’eau ? », demandais-je en évitant de grimper dans la voiture à nouveau. J’attendais celui-ci pour emboîter le pas.
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mot doux de Alvin R. Prescott un Mer 25 Fév - 0:13
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il faut que tu voles comme un papillon mais que tu piques comme une abeille, tu vois ?
Gardant ma chemise, j'enfilais mon blouson de cuir, je lissais mes cheveux et fermant la valise de la voiture, je passais mon sac contenant mes vêtements en bandoulière. Je tirais sur le noeud de ma cravate pour la défaire et la mettre avec mes affaires. Prenant ma valise, je me dirigeais vers elle. Pour moi ça n'avait rien d'exceptionnel, poursuite, fusillade et tout ce qui fait un peu gangster. Glissant mon arme dans mon pantalon, je m'arrêtais près d'elle. Je la laissais reprendre sur elle. Elle me tendait une arme et sortant un bout de tissus je prenais celle-ci dans mes mains. « En fait, il y a tes empreintes dessus, donc... » Je n'osais pas continuer de peur qu'elle se sente mal. J'évitais donc de lui parler d'un mandat. En fait dans les films on ne montre que très rarement le côté paperasse. Avec le chiffon, je nettoyais l'arme pour retirer les empreintes et l'enroulait dans l'étoffe. « On s'en débarrassera plus tard. » Ailleurs qu'ici, je voulais dire. Je savais qu'il viendrait fouiller dans le coin. Comme j'avais loué la voiture à son nom se serait à lui de payer les dégâts qui n'était pas donné. Il n'y a pas que les ados qui peuvent se faire faire de faux papier. Je regardais Melody qui semblait sous le choc malgré ce qu'elle tentait de montrer. Je ne disais rien, à quoi bon ? Je déposais mon borsalino sur sa tête. « Je n'en sais rien, moi-même je n'ai rien vu venir et pourtant... » Je soupirais. « Cherchons un endroit pour acheter des bouteilles d'eau et quelques trucs à manger. » Je commençais à marcher, après avoir déposer le trousseau de clés sur le pneu avant côté conducteur. J'essayais de ne pas aller trop vite. Et puis de toute façon, j'étais concentré à essayer de comprendre pourquoi on s'en était prit à elle. Quel avait été notre erreur ? Les mouchards ? Peut-être. Norman ? En fait, je n'en savais rien. À moins qu'il y avait plus que seulement Edward et son père d'impliqué. Il n'y avait pas grand chose d'ouvert à cette heure-ci. Je la regardais du coin de l'oeil. Je n'osais pas lui demander ce qu'elle avait trouvé pour ainsi dire ses paroles avant que je ne la pousse à quitter l'appartement. Puis on arrivait devant un restaurant connu par sa lettre gigantesque en forme de mouette d'un jaune canaris. « Allez rentrons. » Je regardais le menu n'étant pas très frayant de ce genre d'endroit, mais c'était vingt-quatre heures. « À part de l'eau tu veux quelque chose ? »
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il faut que tu voles comme un papillon mais que tu piques comme une abeille, tu vois ?
J’étais là, debout face à ce qu’on pourrait dire ma vie de champ de mine. J’inspirais alors qu’il parlait de l’arme. Il fallait peu de temps pour que je comprenne qu’elle en devenait inutile sauf peut-être pour me rendre coupable de meurtre. De toute manière, j’étais persuadée qu’elle aurait été déplacée entre temps. J’avais aussi les photos, c’était déjà ça ? Ah oui, l’adresse, je l’oubliais encore pour l’instant. J’inspirais doucement en regardant Alvin et parlant. Mais parler ? J’avais du mal en fait, je voulais retourner dans ma bulle ou tout semblait plus simple même si au final, j’y pensais toujours donc pourquoi cette bulle ? Peut-être pour penser à des choses que je voulais encore garder pour moi. Je rêverais même d’une douche, je me sentais sale. J’inspirais et marchant à sa course. Je ne cherchais pas encore plus à savoir ce qui s’était passé. En fait, je restais calme. Il ne m’avait sûrement pas entendu moins bavarde qu’en ce moment-même. J’inspirais doucement à nouveau et entrant avec lui dans une bâtisse à laquelle je n’avais même pas fais gaffe et encore moins à l’intérieur. Je le suivais toujours, secouant la tête en fermant les yeux à sa question. Je me posais alors sur la table, une table dans un coin mais pas trop proche des fenêtres. Il ne semblait pas y avoir grand monde sauf deux ou trois derniers clients qui étaient au bar et papotaient avec une serveuse. Je n’écoutais pas leur conversation surtout car ça me passait over my head en ce moment. Je me pris alors la tête entre les mains et posant mes coudes sur la table. Je soupirais doucement en tentant de me calmer mais j’avais du mal. C’était le fouillis. J’avais quand même ma vie sans dessous et si c’était seulement ma vie aussi ? Je venais quand même de me forcer à coucher avec un homme comme une catin sauf que ce n’était pas pour de l’argent. « Non merci, je ne veux que de l’eau ! Peut-être du dentifrice mais on n’en trouve pas sur la carte, un jeans, un t-shirt et j’en passe ! », disais-je en arquant un sourcil alors que je me sentais toujours aussi mal dans cette robe. Puis les talons n’étaient pas vraiment pratique. Je redressais alors ma tête, posant les mains sur la table et levant les yeux au plafond. J’avais du mal à le regarder, un peu. C’était surtout que je ne me sentais pas spécialement trop bien. Une serveuse arrivait vers nous, elle souriait et me regardant avec étonnement mais sûrement par ce que j’avais encore la coiffure trop belle d’une fille qui avait passée deux heures sur un oreiller. Je souriais légèrement, me forçant. Je connaissais ma coiffure très étonnante après ce genre de fêtes… en fait mes cheveux avaient l’air de finir en bazar et pas du tout l’un à côté de l’autre. Rajoutez ma faute et c’était le mélange parfait. « Oui ! C’est un dieu au lit ! », disais-je en fronçant les sourcils pour dire qu’elle ne me regarde plus et oui pour la mettre mal à l’aise. Je quittais aussitôt mon sourire en soupirant. « Vous voulez quelque chose ? », demandait-elle alors.
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Alvin R. Prescott
Alvin R. Prescott
et oui, j'habite a pasadena tout comme toi
et peut-être que je te saluerais !
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❝ Métier : Ancien agent du FBI, qui fut un temps bodyguard, maintenant sans emploi
❝ cupidon : Veuf et même si parfois ses pensés vont à sa défunte femme, son coeur est prit par Melody
❝ post-it : Lieu de naissance, New Jersey → Né d'un père alcoolique et d'une mère battue, je connus la violence physique très jeune. → À six mois, j'ai fuis avec ma mère le New Jersey pour ma propre protection. → Je n'ai jamais vécu bien longtemps dans une ville. → À 5 ans, ma mère se fit assassiner par mon père qui nous avait retrouvé. Je suis retourné vivre chez ma tante. → Je suis fils unique, mais ma tante a adoptée une petite fille lorsque j'avais dix ans, Liv. → Je n'ai jamais revu mon père depuis qu'il a tué ma mère, je suppose qu'il s'est fait arrêter. → Je suis tombé amoureux d'une infirmière urgentiste et deux ans plus tard nous étions marié. → Après notre mariage on a déménagé à Pasadena. → Même si j'étais un bourreau de travail, j'ai toujours sut rester fidèle. → Après six années de mariage, elle a été assassiné par mon coéquipier. → J'ignorais et j'ignore toujours qu'elle avait une liaison avec celui-ci. → Je ne suis pas très habile avec les enfants. → J'ai découvert que mon coéquipier était un flic véreux et faisait affaire avec la mafia. → On me soupçonne d'avoir assassiné ma femme. → Le FBI m'a suspendu jusqu'à preuve du contraire. → Je suis donc rendu un flic ripou, alors que je n'y suis pour rien. → Je vais tenter de blanchir ma réputation ! → J'ai kidnappé la copine de mon coéquipier pour trouver une façon de faire éclater au grand jour la vérité. Seulement, ce n'est pas si facile que ça...
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mot doux de Alvin R. Prescott un Mer 25 Fév - 0:19
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Prenant place devant Melody à la table, je déposais sac et mallette à mes côtés. Silence, voilà ce qui émanait de nous. En même temps, elle avait beaucoup plus de chose à digérer que moi sur ce coup-ci. Je me pinçais la lèvre lorsqu'elle énuméra ce qu'elle souhaitait. Je ne disais rien, voyant la serveuse arriver. À sa réplique poignante, je tournais la tête pour ne pas montrer mon sourire. J'aurais du être choqué ou du moins étonner, mais après une semaine avec elle cette parole était presque trop douce dans cette situation. Je me passais une main dans les cheveux, lissant quelques mèches qui s'étaient déplacés. À la demande de la serveuse, je la regardais tout souriant. Elle pouvait rêver, elle ne saurait jamais si j'étais un dieu au lit. Je levais l'index, puis le majeur tout en passant ma commande. « Une verre d'eau et une bière blonde en bouteille, s'il-vous-plaît. » Je regardais un instant les deux hommes au bar. « Vous avez le wifi ? » Elle me regardais, puis jetait un regard à Melody avant de revenir à moi. « Oui. Il n'y a pas de code. » Je la remerciais, alors qu'elle retournait au bar. Je me passais la main sur mon front, sortant de ma poche mon portable. Je l'allumais, regardant un instant le visage de Katrina qui apparaissait, puis je me connectais au réseau. « Je n'ai peut-être pas de dentifrice, mais j'ai cela... » Je prenais de ma main le sac de tissus à coté de moi. Je le déposais sur la table. « Je te rassure, je ne savais pas que ça arriverait, mais je t'ai prit des vêtements de rechange au cas où. Et on ira acheter demain ce qu'on a de besoin comme du dentifrice. » Mon sourire se révélait plus tendre. Je la laissais aller se changer alors que je me connectais sur le clone du portable de la serveuse. Je ne voulais pas passer par le mien par précaution si Edward surveillait ce que je faisais. Ouvrant internet en faisant abstraction de ce que je pouvais trouver, je me mettais à chercher un motel pour passer la nuit. J'en trouvais un dans le Bronx, peu recommandable, mais c'était abordable et personne ne se soucierait de nous. On déposait la bière devant moi et le verre d'eau. « Votre copine, elle ... » « Elle a eut une dure nuit, elle ne tien pas le rythme. » Je donnais un billet de dix, trop généreux en vu du coup de ma bière et la gratuité de l'eau. Elle me souriait, alors que ma simple envie était de rire. J'ignorais si elle avait relié ma réponse avec ce que lui avait la jeune Dashwood ou bien pour autre chose, mais ça m'amusait. Je reportais mon regard sur le portable et appuyant sur le numéro je téléphonais à la réception du motel. Une voix rauque me répondit. « Bonsoir, j'aimerais savoir si vous aviez une chambre de libre pour quelques jours. » La femme ou l'homme, j'étais pas trop certain me baragouinait quelque mots dans un accent du ghetto. « Je vous la réserve au nom de Petterson, Edward Petterson. Merci. » Je me passais une main sur la bouche alors que je raccrochais le téléphone. Mon regard se portait au peu de brou qu'il y avait dans mon verre. Je prenais une gorgée.
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