l'avatar des scénarios ou membres des familles sont totalement discutables pour autant qu'ils ne soient pas dans le bottin !
Venez car plus on est de fous et plus on rit, non ? Chocolat et guimauves en cadeaux !
bonjour les YFTiens et pleins de calins pour vous ainsi que tout notre amour !
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Invité et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! Invité
| mot doux de Invité ► un Lun 21 Sep - 3:42 | | | alvin & melody par ce qu'aprés un moment, les gros bidons ça fait boum mais avant... faut résoudre un soucis : les hommes font réellement peur avec le romantisme raté ! Le travail était parfois compliqué. Ce ventre semblait prendre tellement de places. Je jouais un peu avec mes robes amples pour donner un effet mais je devais avouer aimer ce ventre seulement pour ça et l’idée que dedans, ça bouge. Ça j’adorais mais conduire ? Avoir cette boule qui frôle parfois les tables au laboratoire ? C’était complexe surtout que je devais porter un masque et éviter de manipuler certaines choses sans être sûre que j’en ai le droit. Je gérais enfin en général mais c’est vers 15 heures que je recevais un appel de Jonah qui m’annonçait qu’un fleuriste était là pour une livraison à mon nom. J’y allais pour découvrir un beau bouquet bien coloré et une carte non signée qui m’invitait à une adresse inconnue. Alors que je paniquais déjà silencieusement énormément depuis quelques semaines, je sentais cette frayeur d’un piège grandir en moi aussi vite qu’avait grandie cette petite fille. Je retournais travailler jusqu’à une heure avant le rendez-vous ou je me préparais et je me rendais un peu plus élégante. Je chantais mes ballerines confortables par des talons même si c’était insupportable avec les pieds qui gonflaient et j’échangeais la queue de cheval contre des cheveux que je lâchais simplement sur mes épaules. Je remettais alors le singe dans sa petite chambre et j’allais vers la sortie. J’ignorais ce qu’était ce rendez-vous mais je me disais qu’on donnerait des fleurs pour un rendez-vous galant ? Même si je paniquais, je voulais être prête à toutes les situations même si je me rendais stupide. N’ayant plus droit à les armes depuis avoir été enfermée dans le walmart pour ma propre sécurité et bien je prenais simplement une batte de baseball dans le coffre de ma voiture pour la prendre à l’avant avec moi. Je roulais vers l’adresse qui m’était communiqué et je me rendais vers les lieux de l’adresse. Le bouquet juste à côté. Je me demandais comment j’allais transporter le bouquet mais aussi la batte et cela discrètement. Je soupirais en changeant simplement d’avis. J’allais laisser la batte là. J’aurais simplement à prendre mes chaussures ? Pour moi la défense est avec ce qu’on a à porter de mains et des talons aiguilles peuvent réellement faire mal. Je sortais de la voiture et je marchais vers l’allée. Je me rendais vers les quelques escaliers avec la peur au ventre. Je montais les marches et je me sentais un peu vaciller mais je tenais bon. Ce n’était pas un manque d’insuline mais juste cette peur qui me faisait presque tourner la tête. Mauvais signe ? Je n’en savais rien. Je savais dans un sens que même si c’était un piège… Je devais régler ça et faire face à cet homme et si c’était Alvin ? Je laissais cette idée réconfortante mais le pourquoi me travaillait tellement et pourtant n’avait-il pas signé ? C’est vrai qu’il se sentait bien plus rassuré que moi ou voulait juste ignorer qu’Edward pourrait revenir mais pas moi. Je ne l’ignorais pas. Je me contentais de pousser la porte qui semblait ouverte. Je retirais mes talons aiguilles et j’entrais. J’avais peur. Tellement peur. Une lueur provenait d’une pièce mais j’avais toujours de pas lents. |
| | | Alvin R. Prescott et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! ❝ Métier : Ancien agent du FBI, qui fut un temps bodyguard, maintenant sans emploi ❝ cupidon : Veuf et même si parfois ses pensés vont à sa défunte femme, son coeur est prit par Melody ❝ post-it : Lieu de naissance, New Jersey → Né d'un père alcoolique et d'une mère battue, je connus la violence physique très jeune. → À six mois, j'ai fuis avec ma mère le New Jersey pour ma propre protection. → Je n'ai jamais vécu bien longtemps dans une ville. → À 5 ans, ma mère se fit assassiner par mon père qui nous avait retrouvé. Je suis retourné vivre chez ma tante. → Je suis fils unique, mais ma tante a adoptée une petite fille lorsque j'avais dix ans, Liv. → Je n'ai jamais revu mon père depuis qu'il a tué ma mère, je suppose qu'il s'est fait arrêter. → Je suis tombé amoureux d'une infirmière urgentiste et deux ans plus tard nous étions marié. → Après notre mariage on a déménagé à Pasadena. → Même si j'étais un bourreau de travail, j'ai toujours sut rester fidèle. → Après six années de mariage, elle a été assassiné par mon coéquipier. → J'ignorais et j'ignore toujours qu'elle avait une liaison avec celui-ci. → Je ne suis pas très habile avec les enfants. → J'ai découvert que mon coéquipier était un flic véreux et faisait affaire avec la mafia. → On me soupçonne d'avoir assassiné ma femme. → Le FBI m'a suspendu jusqu'à preuve du contraire. → Je suis donc rendu un flic ripou, alors que je n'y suis pour rien. → Je vais tenter de blanchir ma réputation ! → J'ai kidnappé la copine de mon coéquipier pour trouver une façon de faire éclater au grand jour la vérité. Seulement, ce n'est pas si facile que ça...
❝ pseudo : monocle. ❝ crédits : angel180886 @vava / tumblr @gif / strawberry insane @sign ❝ avatar : Matthew Bomer ❝ présence : Présent(e) ❝ préférences : Rp Roses ❝ disponibilité : 1 à 2 rp encore ❝ autres comptes : AIDEN ▬ (a.levine) l'ambulancier qui veut aider son prochain, mais ne s'aide pas lui-même. GRANT ▬ (g.gustin) L'homme à la tête d'adolescent pré-pubère. CARTER ▬ (a.kendrick) la maman qui ne s'est pas quoi penser du père de son enfant. JONAS ▬ (r.amell) le pro du spacecake, wesh ! DEVON ▬ (k.graham) la métisse qui retrouve son passé abandonné. JAMIE ▬ (d.gillies) l'homme qui ne comprend pas le sens du mot amour et encore moins de celui de la fidélité. GWEN ▬ (s.johansson) celle qui raffole de la nourriture américaine et vendrait son âme pour un hot-dog !
anciennement : baptist ▬ parti travailler en Afrique ❝ Points : 3185 ❝ Messages : 1428 ❝ depuis : 23/02/2015 ❝ mes sujets : melody ▬ commémoration love it's some shit but it's the life
| mot doux de Alvin R. Prescott ► un Lun 21 Sep - 18:56 | | | alvin & melody par ce qu'aprés un moment, les gros bidons ça fait boum mais avant... faut résoudre un soucis : les hommes font réellement peur avec le romantisme raté ! À force de m’être transformé en homme au foyer, j’avais trouvé une occupation : Vendre ma maison. C’était sans doute précipité, mais que voulez-vous ? Je pouvais toujours faire entreposer mes meubles dans un entrepôt et ramener un peu plus de mes effets chez Melody. De toute manière, je n’y allais plus et si tout partait en vrille avec Melody j’avais assez d’argent pour me payer un petit chez moi rien qu’à moi. Alors pourquoi garder une maison dont je payais encore les factures pour simplement la garder fonctionnelle ? En tentant de la vendre, j’avais aussi commencé à regarder ce qui se trouvait sur le marché. Pourquoi ? Tout simplement parce qu’on commencerait peu à peu à manquer de place. Y fallait bien agrandir. J’étais en train de préparer une salade, épluchant une poignée de carottes et lavant des poivrons lorsque mon portable se mit à vibrer dans ma poche. Je décrochais pour entendre la voix d’une jeune femme. Je la remerciais, avant d’appeler un autre numéro. « Bonjour, ce serait pour faire livrer des fleurs à quelqu’un. » disais-je tout en continuant de préparer la salade. La voix de la jeune femme à l’autre bout du fil semblait timide, peut-être était-ce sa première journée ? Je n’en faisais pas non plus tout un plat. « Je voudrais un bouquet de rose blanche mélangé avec des pivoines de même couleur à livrer à cette adresse. » Je donnais l’adresse du laboratoire. « Si vous pouviez mettre un mémo écrit : Rejoins moi à cette adresse à 20 heures, signé Alvin, se serait apprécié. » continuais-je en donnant l’adresse de la maison dont j’avais obtenu la clé pas moins de dix minutes plus tôt. La jeune femme répétait mon mémo, mais je n’écoutais pas attentivement m’étant coupé avec le couteau. « C’est cela. Voici ma carte. » Je donnais mon numéro pour la transaction, puis je m’afférais aux fourneaux. Comme Rosie allait chez Isobel pour la soirée, c’était ainsi dire le temps parfait. J’avais fini une heure et demie à l’avance et remballant le tout, je prenais la direction de la nouvelle maison. Je trouvais la clé sous un caillou dans la cours, une demande que j’avais fait à l’agente immobilière. Un tour vite fait du propriétaire, puis j’entrais dans la maison. Il n’y avait encore rien, mais j’étais passé chez moi prendre table et chaise pliante, ainsi que quelques accessoires pour rendre cela un peu plus romantique. Par chance, l’électricité était déjà payer pour le mois. J’allumais deux chandelles, laissant dans les thermos le plat même si j’avais ramené mon micro-onde. Prévoyant le mec, non ? Tamisant la lumière, j’attendais que les minutes passent, jusqu’à ce que la porte d’entrée s’ouvre. Un sourire s’affichait sur mes lèvres. Je la voyais là se tenant dans l’entrée, alors que j’étais tapi dans l’ombre non loin d’elle. À pas de loup, je m’approchais d’elle par derrière. Sans commentaire. Doucement, j’allais passer ma main sur son dos, laissant mes lèvres caresser son oreille. « Bienvenue chez toi. » disais-je dans un souffle.
Dernière édition par Alvin R. Prescott le Mer 23 Sep - 4:13, édité 1 fois |
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| mot doux de Invité ► un Lun 21 Sep - 20:01 | | | alvin & melody par ce qu'aprés un moment, les gros bidons ça fait boum mais avant... faut résoudre un soucis : les hommes font réellement peur avec le romantisme raté ! Non mais j’avais peur. Un pas dans la maison à aller vers cette pénombre suffisait à faire battre mon cœur. Ce n’était pas de l’amour que je ressentais mais une panique tout simplement. Je serrais une main contre ses chaussures que je tenais et que je venais de retirer avant d’entrer. Les pieds nus sur un plancher un peu froid mais pourtant assez réchauffé. Je laissais la porte se refermer naturellement en avançant. Je ne voyais rien enfin je ne voyais pas cet idiot caché dans le sombre de mon dos. Je sentais simplement cette main frôlant mon échine que je m’en glaçais le sang en lâchant une de mes chaussures volontairement car une seule suffira et avec deux cela sera assez compliqué. C’est à la porte qui se refermait et à un semblant de murmure que sans réfléchir, je me retournais sans même reconnaitre la voix. J’aurais pu mais mes pensées prenaient le pas. La panique était en mois. Je me retournais donc d’un coup sec et je frappais cet homme d’un coup de chaussure enfin non pas le talon dans l’œil tout de même mais je cognais son crâne tout de même avant de reconnaitre cette personne qui n’était qu’Alvin. Je me sentais con, réellement con mais je me sentais aussi soulagée et énervée par cette frayeur sûrement pas contrôlée de sa part. Je fronçais les sourcils. « Non mais t’es dingue ! », lui disais-je alors simplement en arquant les sourcils. « Tu me fous les jetons en sachant qu’on a totalement raison d’avoir les jetons… », disais-je en faisant aussitôt une moue et inspirant doucement alors que je relâchais la chaussure dans mon bras. Je mettais une main à ma taille et remontant l’autre dans mes cheveux pour y passer une main. Les secouant un peu en inspirant. Je posais mon regard sur lui en baissant celui-ci aussitôt. « Désolée, j’ai paniquée… », je me rapprochais doucement en posant la main là ou j’avais frappée et riant doucement. « Mais halloween, c’est dans un mois… », lui disais-je comme si je pensais réellement qu’il l’avait fait exprès. C’était assez dingue tout de même de gaffer comme ça et donc pour moi c’était une blague. |
| | | Alvin R. Prescott et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! ❝ Métier : Ancien agent du FBI, qui fut un temps bodyguard, maintenant sans emploi ❝ cupidon : Veuf et même si parfois ses pensés vont à sa défunte femme, son coeur est prit par Melody ❝ post-it : Lieu de naissance, New Jersey → Né d'un père alcoolique et d'une mère battue, je connus la violence physique très jeune. → À six mois, j'ai fuis avec ma mère le New Jersey pour ma propre protection. → Je n'ai jamais vécu bien longtemps dans une ville. → À 5 ans, ma mère se fit assassiner par mon père qui nous avait retrouvé. Je suis retourné vivre chez ma tante. → Je suis fils unique, mais ma tante a adoptée une petite fille lorsque j'avais dix ans, Liv. → Je n'ai jamais revu mon père depuis qu'il a tué ma mère, je suppose qu'il s'est fait arrêter. → Je suis tombé amoureux d'une infirmière urgentiste et deux ans plus tard nous étions marié. → Après notre mariage on a déménagé à Pasadena. → Même si j'étais un bourreau de travail, j'ai toujours sut rester fidèle. → Après six années de mariage, elle a été assassiné par mon coéquipier. → J'ignorais et j'ignore toujours qu'elle avait une liaison avec celui-ci. → Je ne suis pas très habile avec les enfants. → J'ai découvert que mon coéquipier était un flic véreux et faisait affaire avec la mafia. → On me soupçonne d'avoir assassiné ma femme. → Le FBI m'a suspendu jusqu'à preuve du contraire. → Je suis donc rendu un flic ripou, alors que je n'y suis pour rien. → Je vais tenter de blanchir ma réputation ! → J'ai kidnappé la copine de mon coéquipier pour trouver une façon de faire éclater au grand jour la vérité. Seulement, ce n'est pas si facile que ça...
❝ pseudo : monocle. ❝ crédits : angel180886 @vava / tumblr @gif / strawberry insane @sign ❝ avatar : Matthew Bomer ❝ présence : Présent(e) ❝ préférences : Rp Roses ❝ disponibilité : 1 à 2 rp encore ❝ autres comptes : AIDEN ▬ (a.levine) l'ambulancier qui veut aider son prochain, mais ne s'aide pas lui-même. GRANT ▬ (g.gustin) L'homme à la tête d'adolescent pré-pubère. CARTER ▬ (a.kendrick) la maman qui ne s'est pas quoi penser du père de son enfant. JONAS ▬ (r.amell) le pro du spacecake, wesh ! DEVON ▬ (k.graham) la métisse qui retrouve son passé abandonné. JAMIE ▬ (d.gillies) l'homme qui ne comprend pas le sens du mot amour et encore moins de celui de la fidélité. GWEN ▬ (s.johansson) celle qui raffole de la nourriture américaine et vendrait son âme pour un hot-dog !
anciennement : baptist ▬ parti travailler en Afrique ❝ Points : 3185 ❝ Messages : 1428 ❝ depuis : 23/02/2015 ❝ mes sujets : melody ▬ commémoration love it's some shit but it's the life
| mot doux de Alvin R. Prescott ► un Lun 21 Sep - 21:28 | | | alvin & melody par ce qu'aprés un moment, les gros bidons ça fait boum mais avant... faut résoudre un soucis : les hommes font réellement peur avec le romantisme raté ! Prenant ma vie un peu plus calmement, je n’avais pas pensé que mon idée pourrait lui faire peur. De plus, j’ignorais que mon message ne s’était pas rendu au complet. Qu’il ne portait pas mon nom et j’allais subir le courroux de la femme enceinte et en pleine panique. M’approchant derrière elle, je lui susurrais quelques mots avant qu’elle ne retourne et m’assigne un coup de chaussure. Ayant des réflexes de tigre… Bon peut-être pas, mais ayant tout de même de bon réflexe je mettais mon bras entre nous évitant ainsi les dégâts. On pouvait dire que l’effet de surprise n’avait pas fonctionné comme je l’avais espéré. Abaissant mon bras, je la regardais alors qu’elle semblait sous le choc. « Pardon. Je ne pensais pas te faire peur. » avouais-je alors que je n’avais pas de raison de croire qu’elle puise avoir les jetons. L’idée même que tout ceci ne soit qu’un piège ne m’était jamais venue à l’esprit. Je n’avais pas pensé à mal, j’étais simplement sur mon petit nuage comme on dit. La regardant, j’affichais une moue attristé. Oui je l’étais, après tout je me sentais mal de lui avoir fait peur. Ce n’était certes pas mon intention, loin de là. « Ce n’est pas grave. » disais-je après qu’elle se soit excusée. J’aurais dû anticiper le fait qu’elle puisse avoir peur, mais je me voyais surtout comme un gamin simplement avide de romantisme. Après tout, on avait très peu eu de ce genre de moment et ça manquait un peu à notre vie. Un sourire naissait sur mes lèvres. « Je fais peur au point de prendre cet instant comme un moment d’Halloween ? » disais-je en riant doucement. J’allais doucement chercher sa main, entrecroisant mes doigts. « Je voulais simplement te faire une surprise. Non pas te faire peur. J’ai peut-être perdu en romantisme finalement. » avouais-je alors que j’ignorais même si j’en avais déjà eu un jour. C’était con, mais voilà. L’attirant à moi, j’allais l’embrasser essayant de chasser ces peurs qui la hantaient à ce point. M’éloignant un peu, je relevais mon regard vers elle. « En fait, je pensais inviter ma copine à un dîner aux chandelles, mais peut-être que tu préfères que je t’offre des bonbons ? » ajoutais-je en souriant, avec cet air espiègle.
Dernière édition par Alvin R. Prescott le Jeu 1 Oct - 3:12, édité 2 fois |
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| mot doux de Invité ► un Mer 23 Sep - 3:54 | | | alvin & melody par ce qu'aprés un moment, les gros bidons ça fait boum mais avant... faut résoudre un soucis : les hommes font réellement peur avec le romantisme raté ! Non mais les hommes sont parfois des abrutis. Bon j’adorais celui-ci mais je savais reconnaitre une bêtise et là ? Ça en était une. C’était fou à quel point je remarquais être la seule à ne pas réellement être zen après tout ce qui nous flottais au-dessus de la tête. Non. Je n’étais pas zen. Mon père était après tout un mafieux qui avait assassiné mon frère et voulait encore me faire marier avec un crétin en délit de fuite. Autant dire que j’étais réellement mais réellement sur le point de péter un plomb par moment mais là, je me contentais de l’avoir frappé avec une chaussure. Je m’en voulais tellement c’est sans nul doute pour ça que je me retrouvais incapable de l’engueuler au point de réellement l’engueuler mais j’étais gentille, j’étais désolée et lui aussi apparemment. Je restais sans mots pendant un moment. Ce n’était rien ? Non, ce n’était rien pour lui mais pas pour moi. « Tu ris ? Je crois n’avoir jamais été aussi violente avant qu’on ne se rencontre ! », disais-je en plaisantant au souvenir de notre rencontre ou je l’avais par ailleurs aussi frappé mais avec une lampe pas une chaussure. Bon d’accord, je n’avais pas réussi et c’était pour finir moi qui avait été assommée mais c’était pardonné dans le fond. Bah oui sinon je n’aurais pas cédée à ses charmes. Voyons. Je le regardais sourire ce qui était un très bon moyen de ne même pas céder à ses émotions. Je penchais doucement la tête en fronçant les sourcils. Je le laissais être nerveux et se sentir con alors que mes doigts serraient un peu plus la sienne au fil de ses mots mais aussi à ce baiser alors qu’il m’attirait à lui. Je restais penchée à ses lèvres en plongeant mon regard dans le sien. Je riais doucement au mot copine, c’était tellement mignon quand il le disait. Enfin voir un homme avec sa classe, sa maturité et avoir l’âge que nous avons, c’était plus qu’amusant d’être une girlfriend. C’était attendrissant quand il le disait. Ce rire était léger, je restais toujours ensorcelée par celui-ci. Je laissais un léger sourire s’afficher. « Non… », disais-je alors d’un murmure alors que j’allais rechercher ses lèvres pour un baiser des plus sensuel tandis que je laissais mes lèvres contre les siennes en souriant contre à nouveau. « Je préfère un sort à vrai dire ! », murmurais-je contre celle-ci en lâchant la chaussure que j’avais sur les mains et glissant celles-ci à son dos pour me lover un peu plus contre moi. « Tu pourrais être romantique si je n’étais pas névrosée… », disais-je en riant doucement. « Si on ne pense pas à… », je reculais doucement en me pinçant les lèvres. « Voldemort enfin notre version du Voldemort… et bien c’est romantique et presque sexy même… cette pénombre… », soufflais-je avec un regard qui en disait tellement long. Lunatique ? Oui. |
| | | Alvin R. Prescott et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! ❝ Métier : Ancien agent du FBI, qui fut un temps bodyguard, maintenant sans emploi ❝ cupidon : Veuf et même si parfois ses pensés vont à sa défunte femme, son coeur est prit par Melody ❝ post-it : Lieu de naissance, New Jersey → Né d'un père alcoolique et d'une mère battue, je connus la violence physique très jeune. → À six mois, j'ai fuis avec ma mère le New Jersey pour ma propre protection. → Je n'ai jamais vécu bien longtemps dans une ville. → À 5 ans, ma mère se fit assassiner par mon père qui nous avait retrouvé. Je suis retourné vivre chez ma tante. → Je suis fils unique, mais ma tante a adoptée une petite fille lorsque j'avais dix ans, Liv. → Je n'ai jamais revu mon père depuis qu'il a tué ma mère, je suppose qu'il s'est fait arrêter. → Je suis tombé amoureux d'une infirmière urgentiste et deux ans plus tard nous étions marié. → Après notre mariage on a déménagé à Pasadena. → Même si j'étais un bourreau de travail, j'ai toujours sut rester fidèle. → Après six années de mariage, elle a été assassiné par mon coéquipier. → J'ignorais et j'ignore toujours qu'elle avait une liaison avec celui-ci. → Je ne suis pas très habile avec les enfants. → J'ai découvert que mon coéquipier était un flic véreux et faisait affaire avec la mafia. → On me soupçonne d'avoir assassiné ma femme. → Le FBI m'a suspendu jusqu'à preuve du contraire. → Je suis donc rendu un flic ripou, alors que je n'y suis pour rien. → Je vais tenter de blanchir ma réputation ! → J'ai kidnappé la copine de mon coéquipier pour trouver une façon de faire éclater au grand jour la vérité. Seulement, ce n'est pas si facile que ça...
❝ pseudo : monocle. ❝ crédits : angel180886 @vava / tumblr @gif / strawberry insane @sign ❝ avatar : Matthew Bomer ❝ présence : Présent(e) ❝ préférences : Rp Roses ❝ disponibilité : 1 à 2 rp encore ❝ autres comptes : AIDEN ▬ (a.levine) l'ambulancier qui veut aider son prochain, mais ne s'aide pas lui-même. GRANT ▬ (g.gustin) L'homme à la tête d'adolescent pré-pubère. CARTER ▬ (a.kendrick) la maman qui ne s'est pas quoi penser du père de son enfant. JONAS ▬ (r.amell) le pro du spacecake, wesh ! DEVON ▬ (k.graham) la métisse qui retrouve son passé abandonné. JAMIE ▬ (d.gillies) l'homme qui ne comprend pas le sens du mot amour et encore moins de celui de la fidélité. GWEN ▬ (s.johansson) celle qui raffole de la nourriture américaine et vendrait son âme pour un hot-dog !
anciennement : baptist ▬ parti travailler en Afrique ❝ Points : 3185 ❝ Messages : 1428 ❝ depuis : 23/02/2015 ❝ mes sujets : melody ▬ commémoration love it's some shit but it's the life
| mot doux de Alvin R. Prescott ► un Mer 23 Sep - 4:38 | | | alvin & melody par ce qu'aprés un moment, les gros bidons ça fait boum mais avant... faut résoudre un soucis : les hommes font réellement peur avec le romantisme raté ! Bien que la maison fût plongée dans la pénombre pratiquement entière, je trouvais le moyen de me sentir mal. Surtout pour elle, j’oubliais qu’elle n’avait pas l’habitude d’être confronté à une vie mouvementée. Bien que mon intention ne fût pas de la rendre plus surréaliste, je réalisais qu’elle était plus craintive qu’elle ne le laissait paraître. « Plus violente ? Je ne trouve pas, c’est toi qui m’avais attaqué le premier jour. » soulignais-je avec un sourire espiègle, je ne lui en voulais pas, mais je m’amusais un peu de cette situation. Me rapprochant d’elle, collant nos corps l’un contre l’autre, alors que je posais mon regard dans le sien. On avait tellement brûlé d’étape que j’en perdais le court. Je pouvais me considérer comme conformiste, ou vieux jeu, mais j’aimais bien suivre les états d’une relation. Le premier baiser devant sa porte, un café, quelques sourires… Des rendez-vous à la pelle. Des sourires échangés sans arrière-pensée. Une première fois dans un environnement romantique, planifier et sensuelle, mais tout ce qu’on avait était de répondre à nos impulsions et bim elle se retrouvait enceinte. J’avais tellement brûlé de feu rouge que je me retrouvais près au bout de la rue après avoir à peine commencé le chemin. Je pouvais me le dire, on aurait mieux fait d’avoir un chaperon ! Nos regards valsant en silence, je lui souriais, laissant mes doigts se refermer sur sa main. Même si tout avait été rapide, en ce moment tout me semblait paisible et je voulais garder cet instant de plénitude nous entourer. Je la laissais parler, ponctuant ses paroles de léger sourire. Ma vie n’était désormais plus celle que je souhaitais, mais elle avait atteint un niveau supérieur. Je regrettais ma femme, mais sans sa mort, jamais je n’aurais rencontré cette femme extraordinaire qui se tenait devant moi. C’était idiot, mais elle m’avait ensorcelé. « Voldemort n’est qu’un mot. Une formule qu’on se répète pour alimenter nos peurs. Il suffit qu’on soit tous les deux pour créer cette lumière dont on a besoin pour vaincre cette force. » Je souriais un peu plus, reculant de quelques pas pour tendre l’une de mes mains et ainsi remonter progressivement la lumière qui dévoilait notre table pour deux. « Je sais qu’on a une vie complexe, mais on ne doit pas non plus arrêter simplement de peur qu’il détruise ces moments. Au contraire, vivons les pleinement et sans regret. » continuais-je à amenant sa main jusqu’à mes lèvres pour lui faire un baise main délicat et chaste. Dans mon bas ventre je sentais s’envoler une pluie de papillon et je m’en pinçais les lèvres de retenues. « Miss Dashwood, voulez-vous passer cette soirée en ma compagnie ? » Je continuais de sourire, puis mes joues s’empourpraient. « Dans cette maison que j’ai acheté pour notre petite famille. » Je me sentais comme un gamin qui offrait une simple marguerite à une jeune fille bien trop jolie pour lui alors qu’il était entièrement couvert de boue. « Enfin, si tu veux qu’on y déménage ensemble. » |
| | | Invité et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! Invité
| mot doux de Invité ► un Mer 23 Sep - 5:00 | | | alvin & melody par ce qu'aprés un moment, les gros bidons ça fait boum mais avant... faut résoudre un soucis : les hommes font réellement peur avec le romantisme raté ! Voldemort, une personne ou un moyen de masquer un mot qui me faisait peur même s’il avait été un petit ami, un amant, un ancien amour, le premier amour mais il avait bien changé. Je l’écoutais alors, je le voyais même avec cette pénombre alors qu’il me rassurait. Voldemort ? On ne devait plus le nommer, on ne devait plus y penser pour être fort mais j’avais ce besoin de me sentir en sécurité. J’avais le besoin de savoir que tout irait bien. Je me sentais en sécurité avec lui mais pas seule. « Quand t’es là, c’est possible mais pas quand je suis seule ! », avouais-je alors que cette force n’était pas du tout une magie pour moi, non. Pas quand il était absent et je ne voulais pourtant pas définir ma vie après lui. Je fermais délicatement les yeux pour les rouvrir aussitôt et voulant chasser ces peurs alors que je voyais son sourire et cette table ! Je penchais la tête pour regarder un peu plus ce qu’il avait préparé alors qu’il prenait ma main après ces mots assez doux pour mes pensées. Je regardais ses lèvres comme si elles étaient un steak aussi classe soit l’idée mais mes hormones m’enchainaient dans des réactions ne chaine. Je souriais en entendant alors son invitation, je regardais celui-ci rougir ce qui était adorable à mes yeux. Je plongeais mes pupilles bleues dans les siennes alors qu’il me parlait d’une maison achetée. Cette maison ? Je n’y croyais pas sur le coup. Il plaisantait ? Bon d’accord, on était pas du tout prêt pour un bébé qui pourrait débarquer et faire coucou demain ou après-demain. Je riais doucement en penchant la tête. « On ne peut pas déménager de cette maison… on y est pas encore mais on peut y emménager ! », disais-je alors que je me rapprochais de lui, taquine à mon tour mais j’allais déposer un baiser sur ses lèvres en reculant aussitôt. « Ouep, ça peut se discuter mais seulement si tu t’occupes de porter les cartons ! », lui disais-je alors en souriant alors que je reprenais rapidement mon sérieux en me rapprochant pour répondre avec sérieux d’un baiser léger. « Bien sûr que j’accepte… autant pour la soirée que pour emménager même si je n’ai rien visitée, j’aime les surprises et l’aventure… », disais-je alors en riant doucement. Je baignais dans l’inconnu mais après tout l’inconnu n’était plus vraiment effrayant à mes yeux. J’avais plus effrayant qu’une maison vide, non ? Je reculais doucement en serrant ma main dans la sienne et j’allais m’approcher de la table garnie. Je laissais un sourire se dessiner en tournant mon regard vers lui. « Il y a quoi au menu ? », lui demandais-je alors en souriant. « Je suis affamée et par toutes les propositions de repas même si tu étais mon menu ! », lui disais-je alors que je mettais le doigt dans une sauce qui semblait être au poivre et pas trop forte. Je le portais alors à ma bouche avec un regard espiègle. « C’est hot aussi… y a de la concurrence ! », disais-je alors en riant doucement. « Je peux visiter avant le dessert ? », lui demandais-je en regardant autour de moi, oui, j’étais un peu comparable à une puce. Je sautillais sur moi-même. |
| | | Alvin R. Prescott et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! ❝ Métier : Ancien agent du FBI, qui fut un temps bodyguard, maintenant sans emploi ❝ cupidon : Veuf et même si parfois ses pensés vont à sa défunte femme, son coeur est prit par Melody ❝ post-it : Lieu de naissance, New Jersey → Né d'un père alcoolique et d'une mère battue, je connus la violence physique très jeune. → À six mois, j'ai fuis avec ma mère le New Jersey pour ma propre protection. → Je n'ai jamais vécu bien longtemps dans une ville. → À 5 ans, ma mère se fit assassiner par mon père qui nous avait retrouvé. Je suis retourné vivre chez ma tante. → Je suis fils unique, mais ma tante a adoptée une petite fille lorsque j'avais dix ans, Liv. → Je n'ai jamais revu mon père depuis qu'il a tué ma mère, je suppose qu'il s'est fait arrêter. → Je suis tombé amoureux d'une infirmière urgentiste et deux ans plus tard nous étions marié. → Après notre mariage on a déménagé à Pasadena. → Même si j'étais un bourreau de travail, j'ai toujours sut rester fidèle. → Après six années de mariage, elle a été assassiné par mon coéquipier. → J'ignorais et j'ignore toujours qu'elle avait une liaison avec celui-ci. → Je ne suis pas très habile avec les enfants. → J'ai découvert que mon coéquipier était un flic véreux et faisait affaire avec la mafia. → On me soupçonne d'avoir assassiné ma femme. → Le FBI m'a suspendu jusqu'à preuve du contraire. → Je suis donc rendu un flic ripou, alors que je n'y suis pour rien. → Je vais tenter de blanchir ma réputation ! → J'ai kidnappé la copine de mon coéquipier pour trouver une façon de faire éclater au grand jour la vérité. Seulement, ce n'est pas si facile que ça...
❝ pseudo : monocle. ❝ crédits : angel180886 @vava / tumblr @gif / strawberry insane @sign ❝ avatar : Matthew Bomer ❝ présence : Présent(e) ❝ préférences : Rp Roses ❝ disponibilité : 1 à 2 rp encore ❝ autres comptes : AIDEN ▬ (a.levine) l'ambulancier qui veut aider son prochain, mais ne s'aide pas lui-même. GRANT ▬ (g.gustin) L'homme à la tête d'adolescent pré-pubère. CARTER ▬ (a.kendrick) la maman qui ne s'est pas quoi penser du père de son enfant. JONAS ▬ (r.amell) le pro du spacecake, wesh ! DEVON ▬ (k.graham) la métisse qui retrouve son passé abandonné. JAMIE ▬ (d.gillies) l'homme qui ne comprend pas le sens du mot amour et encore moins de celui de la fidélité. GWEN ▬ (s.johansson) celle qui raffole de la nourriture américaine et vendrait son âme pour un hot-dog !
anciennement : baptist ▬ parti travailler en Afrique ❝ Points : 3185 ❝ Messages : 1428 ❝ depuis : 23/02/2015 ❝ mes sujets : melody ▬ commémoration love it's some shit but it's the life
| mot doux de Alvin R. Prescott ► un Ven 2 Oct - 20:51 | | | alvin & melody par ce qu'aprés un moment, les gros bidons ça fait boum mais avant... faut résoudre un soucis : les hommes font réellement peur avec le romantisme raté ! Dans la pénombre de la pièce, je parlais avec des mots que je n’avais pas l’habitude d’utiliser. Voldemort… Soyons franc, j’ai une tête à lire Harry Potter ? Pas vraiment, mais à la sortie des livres tout le monde en parlait tellement que j’avais quelques notions. Rien de bien fantasque, mais assez pour tourner ma phrase en ce sens. J’écoutais ses craintes, mais serions-nous encore seul une fois installés dans cette maison ? Je ne savais pas, enfin je ne pouvais être certain de rien, surtout pas avec Edward, mais je pouvais y penser demain. Ce soir, j’avais envie de passer cette soirée avec elle et personne d’autre ne pouvait entacher ce moment. Je souriais, comme à mon habitude, je ne voulais pas vendre la mèche trop tôt, mais bon… Commençant par révéler la table qui se trouvait devant nous, attendant qu’on y prenne place pour un repas loin d’être gastronomique. Des gestes doux, mais une nervosité tout aussi présente, je me retrouvais à dire une bêtise, alors que j’avais tenté d’être sérieux. Mon sourire ne se décrochant pas de mes lèvres, je la regardais. « Tu peux rire. » disais-je avant que ses lèvres n’entre en contact avec les miennes. Je partageais ce baiser avec elle, déposant ma main sur la chute de ses reins. « Je pensais laisser Rosie s’occuper des cartons ! » disais-je avec amusement, de toute manière j’étais bien trop gentlemen pour laisser une femme porter ceux-ci qu’elle soit enceinte ou non. C’était plus fort que moi, j’étais un simple reflet d’une vieille époque. Il n’y avait plus d’homme comme ou alors très peu, mais je préférais cela à l’individualiste qui ne pense qu’à lui et son plaisir. Mais je n’étais pas non plus une forte tête dans le couple. Je la suivais, laissant mon sourire s’étirer à sa question. Un rire s’échappait d’entre mes lèvres. Moi au menu, fallait pas rêver tout de même. Je n’allais pas me badigeonner de sauce ou me couvrir de sushi pour qu’elle me mange ! « J’ai fait une lasagne. » disais-je en sachant que ce n’était rien d’extraordinaire, mais elle baignait dans la sauce tomate. Je regardais Melody tremper son doigt dans la sauce je me mordais la lèvre jusqu’à ce qu’elle dise qu’il y allait avoir de la compétition. « Et qui dit que je m’offrais ? » demandais-je amusé de la voir tant désirer un plat cannibalisme. Certes ces derniers temps j’avais eu des égards de conduite, laissant mes pulsions prendre le dessus, mais ce n’était qu’un égarement, non ? Enfin, je n’avais jamais autant désiré une femme et maintenant c’était une sensation que je vivais à chaque minute. « Tu peux la visitée sans problème. » disais-je en allant lui tirer la chaise pour qu’elle puisse s’asseoir. « Mais avant autant commencé par ce qui est chaud. » disais-je avant de lui susurrer à l’oreille : « Enfin y’a peut-être plus chaud, mais ça devra malheureusement attendre. » Attendre ou pas… Tel était la question. Restant debout, je coupais les parts de lasagne et mettant une part dans une assiette, accompagnant ces pâtes d’une salade vinaigré à ma sauce. Enfin, pas ma sauce personnelle, mais simplement une vinaigrette fait maison. Puis une fois servit, je débouchais une bouteille de vin sans alcool. « T’en fais pas c’est sans alcool. » disais-je avant qu’elle ne me prenne pour un abruti. |
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| mot doux de Invité ► un Dim 4 Oct - 1:09 | | | alvin & melody par ce qu'aprés un moment, les gros bidons ça fait boum mais avant... faut résoudre un soucis : les hommes font réellement peur avec le romantisme raté ! Laisser une pauvre enfant s’occuper des cartons ? Je pouvais en rire bien entendu mais j’étais trop préoccupée par ses lèvres. C’était troublant d’avoir ces hormones en ébullitions qui réveillaient des envies encore plus forte pour lui. Je laissais un léger sourire se dessiner sur mes lèvres alors qu’il riait quant à l’idée d’être un menu tout charmant. Je souriais doucement en l’entendant. Une lasagne ? Je penchais la tête en m’imaginant le gout d’une lasagne préparé par ses mains. Je baignais mon doigt dans la sauce pour gouter alors qu’il semblait ne pas vouloir être du menu. Je fronçais les sourcils. « Hummm ? », disais-je d’un ton négatif avant qu’il ne dise que je pouvais la visiter sans problèmes cependant j’avais tout autant faim que cette envie de la visiter. Je le regardais en riant doucement alors qu’il me disait qu’on allait commencer par ce qui était chaud, je m’installais sur la chaise en fronçant les sourcils. « On n’allait pas commencer par moi ? », disais-je d’un ton taquin mais coquin à la fois tandis que j’affichais un risquée, faussement choquée en tournant mon regard vers lui pour voir sa réaction. « Je plaisante ! », rajoutais-je avant qu’il ne finisse à fuir chez les morts pour chercher un protège dents dans quelques tombes afin de m’éviter tout simplement. Peut-être allait-il même chanter Spider-cochon ? Il n’y a rien de pire pour tuer l’amour mais chut. Je le regardais me servir comme une princesse. Je n’avais tellement pas l’habitude de me laisser autant faire pourtant avec lui, c’était comme naturel. Il devait être l’étoile qui avait toquée à la porte de mon ciel. « J’espère que c’est croustillant… », lui disais-je avec un clin d’œil pour le taquiner mais je parlais bien d’autres choses car des lasagnes croustillantes ? Si on y met une pluie de chips, sûrement. Onh oui, des chips. Femme enceinte, bonjour. Tiens ça me rappelle ce cinglé qui sautait pieds joints dans les chips. Ah oui, lui. Comment osait-il me juger alors qu’il faisait ça ? Tordu ce Declan, Américain. Je le regardais alors déboucher la boisson de couleur bordeaux en riant doucement alors qu’il disait qu’elle ne contenait pas d’alcool. « Tu sais, ce n’est que du vin. Il y a assez peu d’alcool pour saouler le bébé ! », disais-je alors sans vraiment être sérieuse à l’idée que le vin pourrait être alcoolisée. J’étais trop soucieuse de tous ces petits détails pour être sérieuses. Déjà que j’avais été à l’hôpital pour une chute de rien du tout amortie par un canapé et dont le coupable était une fraise. Une bête fraise qui trainait sur le sol. Je riais doucement. Je baissais le regard vers la bouteille et je relevais le regard vers lui en fronçant le nez. « Et comme ça, tu as réellement achetée une maison ? », demandais-je alors sans vraiment savoir pourquoi je demandais ça mais cette idée était tellement… enfin soudaine pourtant sans l’être mais cette surprise n’était pas un troll, j’en étais sûre pourtant, c’était néanmoins assez surprenant. Je reposais le regard vers le lasagne en me léchant les babines avant de tourner subitement la tête vers lui avec un air paniqué. « Mais si tes lasagnes sont un massacre, je fais comment… je continue à manger pour te faire plaisir ou j’appelle les urgences ? », lui disais-je alors un peu moqueuse mais ça m’amusait mine de rien. Je me sentais taquine mais surtout ? Je voulais l’ennuyer un peu pour me venger de cette trouille horrible que j’avais eue. |
| | | Alvin R. Prescott et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! ❝ Métier : Ancien agent du FBI, qui fut un temps bodyguard, maintenant sans emploi ❝ cupidon : Veuf et même si parfois ses pensés vont à sa défunte femme, son coeur est prit par Melody ❝ post-it : Lieu de naissance, New Jersey → Né d'un père alcoolique et d'une mère battue, je connus la violence physique très jeune. → À six mois, j'ai fuis avec ma mère le New Jersey pour ma propre protection. → Je n'ai jamais vécu bien longtemps dans une ville. → À 5 ans, ma mère se fit assassiner par mon père qui nous avait retrouvé. Je suis retourné vivre chez ma tante. → Je suis fils unique, mais ma tante a adoptée une petite fille lorsque j'avais dix ans, Liv. → Je n'ai jamais revu mon père depuis qu'il a tué ma mère, je suppose qu'il s'est fait arrêter. → Je suis tombé amoureux d'une infirmière urgentiste et deux ans plus tard nous étions marié. → Après notre mariage on a déménagé à Pasadena. → Même si j'étais un bourreau de travail, j'ai toujours sut rester fidèle. → Après six années de mariage, elle a été assassiné par mon coéquipier. → J'ignorais et j'ignore toujours qu'elle avait une liaison avec celui-ci. → Je ne suis pas très habile avec les enfants. → J'ai découvert que mon coéquipier était un flic véreux et faisait affaire avec la mafia. → On me soupçonne d'avoir assassiné ma femme. → Le FBI m'a suspendu jusqu'à preuve du contraire. → Je suis donc rendu un flic ripou, alors que je n'y suis pour rien. → Je vais tenter de blanchir ma réputation ! → J'ai kidnappé la copine de mon coéquipier pour trouver une façon de faire éclater au grand jour la vérité. Seulement, ce n'est pas si facile que ça...
❝ pseudo : monocle. ❝ crédits : angel180886 @vava / tumblr @gif / strawberry insane @sign ❝ avatar : Matthew Bomer ❝ présence : Présent(e) ❝ préférences : Rp Roses ❝ disponibilité : 1 à 2 rp encore ❝ autres comptes : AIDEN ▬ (a.levine) l'ambulancier qui veut aider son prochain, mais ne s'aide pas lui-même. GRANT ▬ (g.gustin) L'homme à la tête d'adolescent pré-pubère. CARTER ▬ (a.kendrick) la maman qui ne s'est pas quoi penser du père de son enfant. JONAS ▬ (r.amell) le pro du spacecake, wesh ! DEVON ▬ (k.graham) la métisse qui retrouve son passé abandonné. JAMIE ▬ (d.gillies) l'homme qui ne comprend pas le sens du mot amour et encore moins de celui de la fidélité. GWEN ▬ (s.johansson) celle qui raffole de la nourriture américaine et vendrait son âme pour un hot-dog !
anciennement : baptist ▬ parti travailler en Afrique ❝ Points : 3185 ❝ Messages : 1428 ❝ depuis : 23/02/2015 ❝ mes sujets : melody ▬ commémoration love it's some shit but it's the life
| mot doux de Alvin R. Prescott ► un Dim 11 Oct - 4:52 | | | alvin & melody par ce qu'aprés un moment, les gros bidons ça fait boum mais avant... faut résoudre un soucis : les hommes font réellement peur avec le romantisme raté ! Tentant de garder un self-control, je ne réagissais outre mesure à ses propos. Le menu était simple et il n’était pas agrémenté de bout de viande si je puis dire. Enfin, même si dans ses propos c’était nous la viande. Je devais bien me l’avouer, j’avais toujours autant de mal à la toucher de cette façon en la sachant enceinte. Elle pouvait me dire ce qu’elle voulait, que c’était meilleur, pour moi c’était un enfer. Je ne me sentais pas habile dans mes mouvements et je perdais le nord ayant trop peur de lui faire mal ou quelque chose comme ça. Tout ce dont j’avais envie c’était que ce soit fini, peut-être que là j’aurais un appétit sexuel plus débordant qu’en ce moment. Je me concentrais donc pour la servir, essayant tout de même de ne pas en mettre partout. « Si tu veux je te donne le rebord. Les feuilles de pâte doivent être plus croustillantes comme tu dis. » proposais-je sans y voir de double sens, en fait, je n’avais pas cette faculté de voir les allusions sexuelles aussi simplement. Il me fallait plus vite un dessin ou un schéma et si j’avais droit au mime c’était bien plus préférable. Débouchant la bouteille de vin, pas du jus de raisin, mais du vin, je la regardais. Elle se foutait de ma poire, mais après je l’avais averti, je n’y connaissais rien aux bébés ou aux enfants. « J’y connais rien grossesse. » avouais-je en lui versant un verre de vin sans alcool. « Je suis pas le genre de mec à passer son temps à lire et se documenter sur le sujet. C’est déjà bien que je sache qu’on ne doit pas donner de l’alcool à une femme enceinte. » rajoutais-je en affichant une moue dépitée. J’avais tout fait cela, mais en fait depuis qu’elle était arrivée je n’avais pas eu droit à un remerciement. Je ne le faisais pas pour cela non plus, mais j’ignorais si elle appréciait le geste. Déposant la bouteille sur la table après m’être servi aussi, je prenais place devant elle relevant mon regard vers elle. « Oui… J’ai vendu la mienne. De toute manière, je n’arrivais pas à y vivre. Donc bon. Et sachant qu’on allait manquer de place chez toi, je me suis permit d’acheter plus grand. » Je prenais une pause me pinçant les lèvres. « Je n’aurais peut-être pas du. » avouais-je finalement, trouvant tout cela peut-être trop farfelu, dénué de sens. J’étais heureux, mais maintenant je sentais la raison me frapper. Passant ma main dans mes cheveux, je relevais mon regard vers elle. « Euh… Je peux te réserver une place près de la pierre tombale de ma femme, il parait que je tue les femmes que j’aime. » Je ne savais plus trop si c’était une plaisanterie ou non, mais c’était sorti bien malgré moi. Réalisant mes mots, je me figeais avant de croiser son regard. « Ce n’est pas ce que j’ai voulu dire… Je… Je me sens bizarre tout à coup. J’ai peut-être été un peu trop emballé. Je n’avais jamais dit à personne je t’aime, que ce soit avant ou après Katrina… Enfin avant toi. Je crois que je me suis laissé aller par mes émotions. » |
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