(funny hot) + Walls of insincerity Shifting eyes and vacancy Vanished when I saw your face All I can say is it was enchanting to meet you - feat Toby - Page 3
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mot doux de Invité ► un Mar 20 Mai - 1:00
enchanting to meet you
featuring - toby smith
Méritais-je remerciement alors que le moment était partagé ? Je n’en étais pas sûre, c’était tellement attendrissant qu’il ne me dise merci pour si peu à mes yeux que j’en souriais doucement mais tout en sachant qu’à ses yeux, c’était bien différent dans un sens, plus profond, une première fois ce qui n’est rien même à 31 ans. Je me demandais comment ça devait être dans sa tête à propos de ça. C’était différent qu’à 14 ans ? Je n’en avais aucunes idées. Je souriais doucement. « Merci aussi ! », me contentais-je de souffler à mi-voix alors que j’étais réellement reconnaissante et oui, c’était agréable et il avait ce côté tellement gentil, tellement respectueux et tellement doux alors que ses lèvres n’avaient à nouveau pas tardée à retrouver les miennes pour ce fin baiser qui m’enivrait tandis que l’eau m’éclaboussait, souriant alors qu’il me disait que je n’aurais aucunes chances. Je lui souriais quand il disait que je n’avais aucune chances, alors là, c’était bien un homme. Je riais légèrement en arquant un sourcil. « Hummm… », disais-je dans un faux grognement en fronçant du nez comme un lion. C’est alors après quelques secondes de réflexion à idéaliser futilement le moment en le regardant que me vint cette question, cette interrogation bien plus sérieuse que dans le passé. Je n’étais pas là juste plus plaisanter mais dans le fond, c’était différent même si je ne voulais pas encore réellement le voir, ça changeait et cette question me semblait tellement importante. Dans le fond, tellement fondée, tellement logique mais tant curieuse à la fois. Etais-ce mon attitude de peintre qui jouait ? Je n’en savais rien, réellement rien. Je vis alors de moi-même la réaction à cette question, m’en voulant presque naturellement de l’avoir posée car comment être plus idiote ? Je n’en savais rien mais littéralement ? Aussi dingue soit-il, c’était l’homme le plus gentil, comment ne pas s’en vouloir de le voir perdre son sourire. Je ne savais pas trop comment réagir sur le coup. Je le laissais s’installer, m’en voulant un peu et me demandant s’il accepterait au final de répondre à cette question partant pourtant d’un bon sentiment. Je me plaçais alors tout contre lui en souriant doucement et fermant légèrement les yeux, cela me faisait limite même pas bizarre d’être là ou même plus. C’est chelou, vraiment. Cela pourrait me faire peur de me sentir aussi rapidement à l’aise. Je l’écoutais alors, sentant le sérieux dans sa phrase alors qu’il finissant même par dire qu’il n’avait plus de famille. Je tournais mon regard vers lui, le regardant alors attentivement tandis qu’il m’embrassait, y répondant en souriant contre ses lèvres alors qu’il me proposait de me savonner. Je souriais doucement en fronçant le nez légèrement à son clin d’œil, sentant le côté coquin dans celui-ci. « Je veux bien à une seule condition, tu gagnes un massage en sortant du ba… » et c’est là que mon estomac choisi son moment pour brailler et se manifester. Pire qu’un bébé, il voulait son biberon mais dans le fond, il ne faisait pas dans sa couche. C’est la différence entre un estomac et un bébé. Ils n’ont pas besoins d’être langés et pleurent moins souvent. C’est vachement plus facile à vivre dans le fond, non ? « Désolée, je crois qu’il est affamé… un massage et une glace pour mon estomac en sortant avec des pâtes car c’est mal de prendre le dessert avant le diner ! », disais-je en riant légèrement. Je n’avais jamais été du genre à ne pas suivre les règles d’un bon repas même si j’avais parfois été moins regardante à ça quand j’étais une étudiante mais je le suis encore. Laissant alors mon pied faire des ronds dans l’eau, je le regardais alors rapidement. « C’est étrange sur ta planète et un peu triste. », disais-je alors en laissant une moue se dessiner légèrement. « Tu dois bien avoir une famille quelque part… enfin c’est normal, on a tous des parents, peut-être pas qu’on connaisse ou qui nous connaisse ! », soufflais-je cette fois en toute connaissance de cause car je ne connaissais pas mes parents dans le fond enfin disons que les parents qui m’ont élevés, si mais ceux qui m’ont donnés une partie d’eux ? Pas réellement. Je souriais doucement en inspirant, me redressant donc ainsi, c’était plus simple pour savonner. « Comment tu es arrivé ici ? », demandais-je alors en demandant techniquement comment il avait quitté sa planète.
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mot doux de Invité ► un Mar 20 Mai - 11:45
Toby regardait toujours Billie avec ce regard touchant qui le caractérisait tant. A travers ses grands yeux bleus, on pouvait lire beaucoup d'émotions et de sentiments aussi. C'était peut-être touchant de les voir ainsi. Si quelqu'un entrait dans la salle de bains et les regardait, il se dirait que cela faisait des années qu'ils étaient ensemble et que Lucy était leur fille à tous les deux. Mais ce n'était pas le cas. En fait, ils avaient juste couché ensemble... Et même si Toby était amoureux- il faudrait être fou pour ne pas s'en rendre compte- cela ne faisait pas d'eux un couple. Enfin, du moins, pas clairement. Il était juste un trentenaire complètement accaparé par celle qu'il jugeait à présent comme étant la plus belle de toutes les représentantes du sexe féminin de cette planète. Il ne put s'empêcher de la câliner un peu de nouveau, se collant presque à elle, et l'éclaboussant encore une fois avant de lui tirer simplement la langue. Mais quel gamin ce grand garçon ! Pourtant, il avait l'air d'être quelqu'un de responsable... par exemple lorsqu'il prenait soin de Lucy quand sa mère ne le pouvait pas. Et puis, il payait toujours sa part du loyer depuis qu'il était arrivé. Certes, il faisait n'importe quel boulot au noir pour trouver un peu d'argent, mais il en trouvait, c'était ce qui comptait. Sans doute était-il en train de gâcher ses capacités... Mais si c'était pour rester prisonnier toute sa vie, mieux valait faire comme s'il n'avait aucun génie, jouer celui qui ne savait même pas ajouter 2+2. D'ailleurs, il était curieux d'apprendre encore des tas de choses sur la Société, la façon dont on vivait en fait. C'était ce qui lui avait si longtemps manqué.
Il rit en entendant le ventre de Billie venir troubler leur conversation. Il posa sa main dessus en riant, le caressant comme s'il s'agissait d'un petit animal qui demandait de la tendresse. « Haha, va pour la glace et les pâtes... et le massage ! » s'exclama-t-il, avant de venir déposer un autre petit baiser, assez chaste celui-là, contre les lèvres de sa colocataire. Il rempli ensuite la paume de sa main droite d'une noisette de gel douche pour commencer à en envelopper le corps de sa partenaire, dans une douce et lente caresse, la savonnant ensuite attentivement. Il était concentré dessus comme si cela représentait le plus important des travaux. Bon, avouons qu'il en profitait pas mal, surtout au niveau de la poitrine et de la chute des reins... Oui oui c'est un mec. Un mec qui ne savait rien au sexe quelques heures plus tôt, mais un mec. Et un mec amoureux. Alors il la touchait comme si elle était faite de porcelaine ou d'une matière si pure et si rare qu'il n'avait pas le droit de l'abîmer. Il déposa un petit baiser dans son cou, tandis que la mousse se répondait dans l'eau. Il hocha la tête lorsqu'elle reprit la parole à propose de son hypothétique planète. « Oui, je crois que je ne m'en rendais pas forcément compte. Mais c'était triste.... » déclara-t-il, bonnement. Il était temps de conclure sur le mélodramatique pour redonner du peps à la situation. « Mais on s'en fiche, maintenant je suis bien, avec toi... » dit-il en souriant de plus bel. Ils étaient tous les deux redressés car c'était plus simple pour le savonnage. Manquait plus que de rincer la belle. « Ah je crois que c'est bon, t'es toute propre... » dit-il ensuite pour définitivement trancher. Il se sentait totalement à l'aise avec elle, sauf pour parler de sentiments, alors valait mieux perdre ce qu'il avait dit à propos de la façon dont il se sentait à ses côtés dans d'autres informations. « Comment je suis arrivé ici ? Tu ne vas jamais me croire... Je me suis enfui ! J'ai piqué une soucoupe et paf ! Me voilà ! » Il rit. Il ne savait même pas ce que c'était une soucoupe volante avant. C'était Billie, en lui parlant d'alien, qui lui avait tout raconté.
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mot doux de Invité ► un Mar 20 Mai - 14:23
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Quelle est ce sentiment étrange que ressent tout être humain ? Ce sentiment de plénitude, de bonheur. Je n’avais jamais réellement été une femme qui avait tendance à tomber facilement amoureuse ou même s’amouracher d’inconnus dans la rue en bavant et se demandant si cet apollon pouvait lui faire des bébés sur place. Disons même que j’étais un peu choquée par ce besoin d’être parent au plus vite même. Je n’avais réellement pas eue besoin de ça dans ma vie d’adolescente. Je ne comprenais dans le fond pas la moitié des filles, comprenant l’autre moitié enfin des femmes pour être plus précises même si à tous les âges, nous restons dans le fond des filles. Et pourquoi tomber amoureuse ? A quoi sert l’amour ? Je n’en avais aucunes idées, c’était un complexe sentiment tellement inspirant pour la peintre en moi. Tellement de toiles pourraient être peinte d’un couple enlacé. Tellement de toile par contre pourrait aussi être peinte d’un couple qui se déchire mais combien de toile sont à propos de ce sentiment grandissant ? Je n’en avais aucunes idées non plus. Je ne cherchais pas vraiment à el comprendre, me confrontant simplement au doux son de sa voix qui m’apaisait et pourtant ce qu’il disait n’était pas des plus joyeux, pas du tout même. Ne pas avoir de familles ? Je comprenais tellement car c’était le fouillis dans ma vie à ce niveau. Me retrouver à poursuivre ce père dans toutes les rues de Pasadena ou même dans ce supermarché et ne pas savoir réellement qui est ma maman. Bien sûr, j’avais des parents mais cela faisait tellement longtemps que je n’avais plus eue le cœur de dire : maman et papa. Tellement que je ne savais pas quand était la dernière fois que j’avais prononcé ces mots à ceux-ci. Là, tout était différent, il était tellement rare que je ne me pose pas tellement de questions et que tout semble stable. Tellement rare, oui. Je souriais doucement alors que cette sensation n’était que peu commune à d’autres que l’on appelle parfois bonheur mais ce n’était pas totalement ça, c’était différent d’une façon que je ne pouvais pas tellement exprimer. Je me laissais alors faire, le laissant s’amuser de ses mains sur ma peau, ne restant également pas de marbre au toucher de ses mains, décrochant quelques frissons. C’était tout simplement agréable. Réveillant les sens de ma peau. On ne pouvait pas dire qu’il ne se rattrapait pas en tout cas. Parler à nouveau de sa planète était d’une curiosité, peut-être folle. Je ne savais pas si je m’attendais réellement à une réponse positive ou pas de sa part et pourtant je la désirais. C’était étrange, je ne voulais pas être triste, non enfin disons que c’était étrange même si nous parlions métaphore, je ressentais cette étrange tristesse à son égard. Je ne comprenais pourtant rien de la situation mais cela semblait tellement enfin… je l’écoutais sagement, souriant alors qu’il disait qu’il était avec moi et bien. C’était un brin effrayant dis comme ça, me connaissait-il réellement ? Allait-il réellement être bien ? Je ne me sentais pas comme la femme la plus incroyable qui allait être une personne bien. Dans le fond, j’étais irresponsable et j’avais fait fui un homme, j’avais un peu abandonnée ma fille en quelques sortes. J’étais un brin lâche. Je ne me sentais pas comme un havre de paix et pourtant j’étais bien. Etais-je égoïste ? Je n’en savais rien. Je me sentais bien et même si une part de moi en avait peur, j’avais toujours cette petite voix. Etrange soit-elle qui me disait que cela changeait tout. Tellement de choses. En étais-je préparée ? Je riais doucement quand il me disait que j’étais propre, le regardant alors que je me posais contre lui, face à lui enfin plus sur le côté que sur le dos, prenant à mon tour un brin de gel douche, fronçant le nez en l’écoutant. Mon regard se pose sur lui quand il parlait de soucoupe volante. Je regardais dans ses beaux yeux bleus, lui savonnant légèrement le haut du torse en remontant à ses épaules. Je le croyais sauf pour la soucoupe. « Et tu ne savais pas ce qu’étais cet engin avant de me rencontrer ? », je riais doucement en levant les yeux et reposant aussitôt mon regard dans le sien. « Tu sais d’ailleurs que c’est typiquement incorrect de faire… », je riais ne sachant pas réellement comment exprimer ça. « … des bébés avec une colocataire ? », disais-je en fronçant les sourcils. « On ne fait pas toute ça, je te rassure ! », disais-je en riant nerveusement. N’étant pas réellement sûre de ce que je disais en fait. Je ne savais pas si j’essayais de dire que ce n’était pas commun que je fasse ça avec des colocataires ou qu’il était loin d’être seulement un colocataire enfin j’étais perdue dans ma tête, comme toujours me diriez-vous.
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mot doux de Invité ► un Mar 20 Mai - 17:55
Billie avait commencé à le savonner à son tour. Il l'observait, la regardait toujours droit dans les yeux, en souriant. Il était vraiment bien, bien comme il ne l'avait jamais été jusqu'à présent. Il passa une main sur la joue de la demoiselle, pour la caresser rapidement tandis qu'elle relevait le fait qu'il ne savait même pas ce que c'était une soucoupe volante avant qu'elle ne le lui explique. Décidément, il avait vraiment beaucoup de retard et de choses à apprendre. Des fois, Lucy savait plus de choses que lui, en ce qui concernait les sucreries et les jeux. Il sourit, levant les mains en l'air, comme si elle venait de le braquer. Mais c'était pour rire encore, bien évidemment. Il prit un air grave, presque solennel, comme s'il allait dire le secret du siècle. « Bon okay okay, j'avoue tout. J'ai pris le bus en fait. » déclara-t-il. Oui, bon, c'était moins mystérieux que de la laisser croire qu'il était un extraterrestre, mais il fallait avouer qu'il avait été très difficile pour lui de s'extirper du centre. Il avait vraiment dû se balader dans tous les Etats-Unis pour trouver finalement un peu de repos ici. Mais il avait peur, peur de ce qu'il ressentait à présent pour Billie... Et s'il devait repartir ? Comment vivrait-il sans elle maintenant ? Il préféra ne pas y penser. Pourquoi les scénarios catastrophes devaient toujours passer avant les bonnes visions ? Ce n'était pas juste. Toby pensait qu'il avait le droit à un peu de bonheur après avoir passé trente ans dans une prison. Puis, Billie lui fit remarquer qu'il n'était pas correct de « faire des bébés » à sa colocataire, que d'habitude on ne le faisait pas comme ça, sur un coup de tête. Il sourit avant de froncer les sourcils. Il avait beau être un homme intelligent, tout cela était si nouveau pour lui qu'il ne comprenait pas vraiment où elle voulait en venir. D'ailleurs, cela commençait à l'inquiéter. Il fit une moue un peu étrange. « Qu'est-ce que tu veux dire par là ? » demanda-t-il donc sur un ton assez bizarre. Il était inquiet, mais en même temps, il avait le sourire, un petit sourire qui donnait un air moins triste à la situation et à son inquiétude plongeante. De toute façon, sur le moment présent, il n'y avait pas de raison d'être triste... A moins que ? « Tu regrettes ce qu'on vient de faire ? » demanda-t-il finalement. Alors là, ce serait vraiment très dommage car lui, cela lui avait tant plu. Il avait compris que son cœur battait plus fort pour Billie que pour toute autre personne sur Terre. Il avait compris qu'il pourrait lui refaire autant de fois l'amour qu'elle le voudrait, tout simplement car lui donner du plaisir le rendait heureux. Avec ses reins contre ses reins, il avait compris qu'elle n'était pas qu'une amie, ni qu'une colocataire, qu'il y avait d'autres choses. Des choses qu'il ne pouvait pas comprendre pleinement, mais qui le rendait fou. A chaque regard, il voulait la combler de bonheur. Il ne se voyait plus vivre ailleurs qu'avec elle. Il ne se voyait plus loin d'elle. Pauvre petit fou. Mais était-ce fou que d'aimer ? Il baissa les yeux, prenant une des mains de la belle dans la sienne, avant d'ancrer de nouveau ses yeux dans les siens. « Avant de répondre, je veux juste que tu saches que je suis heureux que t'aies voulu le faire avec moi... Et que je crois que c'était le destin. Enfin, je le referais si c'était à refaire et t'es... Enfin, je suis comblé de t'avoir offert ma première fois. » Paf, il rougit. Non, ne parle pas de sentiments. Ne casse pas ce moment de plénitude par des histoires de sentiments....
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mot doux de Invité ► un Mar 20 Mai - 20:02
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Que voulais-je dire par là ? Tellement de choses. Une et l’autre mais je n’en étais pas tellement sûre. Laquelle ? C’était en fait peut-être les deux en même temps. Je n’étais pas une fille qui couchait avec tous les colocataires qui passaient tout simplement. Et même si on m’avait dit plutôt que ça allait arriver, je n’y aurais pas crue. Je n’y avais pas pensée même s’il était canon et pas qu’un peu mais j’ignorais même jusque-là que je l’intéressais également. Comment le deviner aussi ? Ce n’était à mes yeux pas réellement possibles. On ne pouvait pas le deviner, c’était certain enfin sauf en lisant dans les pensées ou même ailleurs mais je ne descendais pas mes yeux ailleurs en général. Voyons, je ne suis point comme ça sauf dans le dos. Je souriais doucement alors qu’il me demandait ce que je voulais dire, je sentais à son ton que ma question était surement mal formulée, sans nul doute même enfin c’était une question ? Je n’en étais plus trop sûre avec moi-même. Je fronçais les sourcils à sa question suivante. N’ayant pas eue le temps de répondre. Oh non, le pauvre mais non, je suis stupide. Je me sentais tellement stupide. Réellement. J’avais l’impression que trouver le premier trou pour m’y enterrer serait plus intelligent que l’impression qu’il doit avoir de ma légendaire gaffe. Je sentais alors sa main se serrer à la mienne, son regard se plonger dans le mien. Fichus yeux bleus qui me rendaient encore plus attirée par lui, oh non, c’était terrible. Et j’avais quoi avec les yeux bleus en plus ? Je ne l’avais jamais sue mais c’était magnétique et pire qu’une… qu’une quoi ? Aucunes idées mais c’était la tentation suprême. Certains sont attirés par les vampires mais moi c’était par un alien aux yeux bleus. Chacun son truc. Dans le fond, je trouvais ça assez normal. Je l’écoutais ainsi quand il me parlait, tellement mignon. Il était adorable et ne me donnait qu’une envie, c’était étrange et ça me rendait en émoi mais je me laissais glisser face à lui, n’était même plus sur le côté ou sur le dos. Laissant alors mes lèvres rencontrer à nouveau les siennes, posant une main sur sa nuque d’une caresse légère. « Je ne regrette rien, je suis heureuse aussi ! », disais-je alors même si c’était effrayant. Je n’étais pas du genre à mentir ou même n’importe. J’étais une personne avec beaucoup de valeur, je ne mentais pas vraiment ou si peu sauf quand j’avais peur d’être jugée. Je n’aimais pas ça mais il n’allait pas me juger d’être heureuse. Personne et même pas moi. Je souriais doucement, l’embrassant alors avec une certaine tendresse mélangée à une petite dose toute légère de fougue qui s’éparpillait dans la tendre guimauve de mes lèvres. Je reculais alors, laissant un baiser tout simple au coin de celle-ci et le regardant avec un beau sourire. « Je voulais dire par là, ce n’est pas avec tous les colocataires que je le ferais, enfin pas avec tous les hommes tout simplement aussi, faire ça en quelques sortes aussi vite, dès le premier soir ! », je souriais doucement. « Certaines personnes me qualifierais de fille facile en fait. Ces filles qui plongent dans les yeux d’un alien pour finir par pif paf pouf être séduite et boum ! », disais-je en riant doucement. « Ca fait des chocapics ! », disais-je aussitôt en haussant les épaules. « Pour faire plus simple, très simple, j’en avais envie, je ne le regretterais pas et je recommence quand tu veux ! », disais-je aussitôt avec une facilité tout simple, comme si l’on me demandait comment j’allais car c’était vrai, c’était honnête.
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mot doux de Invité ► un Mer 21 Mai - 19:02
Toby redoutait la réponse que sa colocataire pouvait bien lui donner. Après tout, il était un homme assez étrange et une fois les pulsions du moment passées, la belle pouvait très bien regretté son acte. Il suffisait de regarder Toby droit dans les yeux pour savoir qu'il ne ferait pas de mal à une mouche, mais qu'il serait risqué de lui offrir une si grande partie de sa vie. Car la lueur triste forgée par les années passées au centre de recherches demeurait malgré tout. Loin, ancrée profondément en lui, même lorsqu'il était heureux, comme à présent, arborant un magnifique sourire et assurant à sa partenaire qu'il ne regrettait rien. En vérité, il avait peur de finir un jour par lui faire du mal, sans le vouloir. Oui, ignare qu'il était en la matière des sentiments, il pouvait très bien être à l'origine de troubles et de souffrances... Mais il préférait ne pas y penser et profiter de la peau de Billie contre la sienne. Puis, de ses lèvres qu'elle vînt à nouveau poser contre les siennes. Il frissonna, il se laissa à nouveau porté par tant d'enthousiasme... Et par l'amour qu'il ressentait pour elle. L'amour bien présent, mais auquel il ne saurait définitivement pas donner un nom, ni même une définition précise. Pour l'instant, ce n'était représenté dans son esprit que par des milliers de papillons qui le chatouillaient de partout.
Lorsqu'elle prit la parole à nouveau, il l'écouta attentivement. Alors elle était heureuse également ? Cette nouvelle le combla de bonheur, après le stress de la réponse tant redouté. Et pour marquer le coup, elle lui avait avoué que c'était quelque chose de spécial pour elle, qu'elle ne l'aurait pas fait avec n'importe qui. En bref, elle lui faisait bien comprendre que ce qui s'était passé ce soir-là, ou plutôt cette nuit-là à la vue de l'heure déjà tardive qu'il était, n'avait rien à voir avec des pulsions hormonales et toutes ces histoires scientifiques. C'était au-delà. Il lui plaisait, voilà. Cela tombait rudement bien car lui était complètement, totalement, subjuguée par le charme de la demoiselle. Qui l'eut cru ? Il y avait une grande différence d'âge entre eux, ils n'avaient pas les mêmes centres d'intérêts... Et pourtant. Pourtant, ils étaient semblables quelque part, chacun ayant sa façon d'être bizarre, d'étonner l'autre. Évidemment, pas de la même manière, mais cette étrange énergie les unissait. Billie avait été le guide de Toby pour s'installer en ville. Elle lui avait ouvert la porte là où beaucoup la lui auraient claqué au nez. Alors pourquoi ne deviendrait-elle pas définitivement son guide pour le restant de son existence ? Drôle de pensée, mais pensée qui le rendait particulièrement heureux... Béat. Comme un idiot devant un chef d'oeuvre. Impossible pour Toby de comprendre ce qui lui arrivait, mais il n'en perdit pas le nord... D'ailleurs, il reprit la parole à son tour, l'air assez malicieux.
« Quand je veux, c'est vrai ? » demanda-t-il ensuite en la regardant profondément dans les yeux, venant l'embrasser délicatement et passer une main dans son dos. Ah bah oui, s'il pouvait s'améliorer de suite, ce ne serait pas plus mal... Si le centre l'avait enlevé alors qu'il n'était qu'un bébé, c'était parce qu'il assimilait très vite les connaissances après tout... Et Billie ne serait sans doute pas fâchée de l'apprendre, pour son propre plaisir. C'est en forgeant que l'on devient forgeron, non ?
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mot doux de Invité ► un Ven 30 Mai - 0:11
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Les aimants, voilà ce que l’on pouvait utiliser pour nous comparer. Lui un alien, moi une humaine et tellement d’autres choses qui nous séparaient telle que l’âge et d’autres mais on s’en fout dans le fond ? Les opposés s’attirent, les opposés font découvrir des choses d’un côté ou de l’autre aux intéressés. Les contraires sont tellement mieux que ceux qui sont sortis d’un même moule. Tellement plus passionnant, tellement plus divertissant. Parfois je me demandais pourquoi je n’arrivais que rarement à m’entendre avec les gens qui me ressemblaient trop. Le même âge ? J’avais tendance à avoir plus de coups de cœur pour les hommes plus âgés. Où est le mal ? Nulle part, j’étais juste ainsi et j’ignorais pourquoi. Cela peut être dans ma nature. Un truc que je tiens de mon père biologique ou de ma maman biologique ? Sûrement mais je n’en savais rien. L’un ne me connaissant que comme la folle du supermarché et l’autre étant d’après ce que je pensais, morte. Mais tant bien même, je n’y pensais pas. Comment me plaindre alors qu’il n’avait même pas de familles. Je repoussais la mienne ou j’avais peur de l’autre moitié mais lui ? Il n’avait pas de chances. Je ne voulais pas me plaindre, je ne voulais même pas penser à quoique ce soit d’autres. Malgré moi, j’avais les idées totalement ailleurs, totalement dans ce bain et cette ambiance d’après. Tandis que je profitais simplement de me détendre. Ce qui était plutôt rare en ce moment alors que je courrais partout pour remplir le frigo, le compte en banque et j’en passe mais aussi pour terminer mes études à temps. Et tandis que je laissais penser qu’on recommencerait quand il voulait, je fus peu surprise à sa réaction, riant doucement alors qu’il me répétait en quelques sortes. J’haussais les épaules, laissant mon regard se plonger dans le sien comme magnétique. J’approchais à la main qui passait dans mon dos, embrassant alors ses lèvres et lui mordillant légèrement, allant alors glisser à son oreille mes lèvres, frôlant sa peau sur la route et souriant légèrement devant son oreille. « Quand tu veux ! », disais-je pourtant tellement confiante mais à la fois effrayée. Un paradoxe féminin mais dans le fond, je ne contrôlais pas ce que je ressentais et encore moins ce dont j’avais envie. Même si je ne voulais pas aimer, je ne voulais pas souffrir. Ne pas vouloir ne suffisait jamais car je restais une guimauve, un cœur d’or et cette fille qui pouvait devenir un amour tout comme le pire des cauchemars aussi mais il avait de la chance, je n’étais pas son pire cauchemar. Pas pour l’instant alors que je laissais tenter le désir pour lui apprendre encore les filions du métier d’être un homme, un vrai.
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