(funny hot) + Walls of insincerity Shifting eyes and vacancy Vanished when I saw your face All I can say is it was enchanting to meet you - feat Toby - Page 2
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Invitéet oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais !
Invité
mot doux de Invité ► un Lun 19 Mai - 14:00
enchanting to meet you
featuring - toby smith
Non mais qu’est ce qui se passait ? Avait-il une soudaine chaleur dans l’air ? On dit souvent que pendant la pluie, il fait lourd mais non, l’air n’était pas chaud. C’était étrange, tellement enfin disons que non en fait, c’était étrange de le voir agir ainsi, lui cet alien dont je me demandais d’où était sa planète. Savait-il au moins ce qu’il faisait ? Je n’en avais aucunes idées car il était tellement un mystère à mes yeux. Une découverte, une carte, un plan que je voulais explorer pour en découvrir ce qu’il cachait. Je ne savais pas du tout ce que cachais sa vie ou il n’avait tellement pas connu des millions de choses, c’était fou. Mais là ? J’étais peureuse, des changements, j’en avais des gros à gérer que cela soit au niveau de ma famille, de ma fille et même de vivre en colocation avec un homme. Et alors qu’il semblait répondre, je m’étais mise à plaisanter. Oui, c’était pour plaisanter même si c’était mieux ainsi à mes yeux. Oui, c’est en embrassant que l’on fait des bébés mais n’avais-je pas commencée ? Etais-je le genre de fille à faire : ne fais pas ce que je fais ? Je n’en savais aucunes idées. Peut-être, peut-être pas. Je souriais, le regardant caresser mon épaule et sa main descendre pour m’enlacer à nouveau, cette sensation tellement étrange. Cette question qui me fit glousse de rire légèrement aussi alors que j’arquais un sourcil. « Je suis plus douée avec les hamsters ! », disais-je lors que je retrouvais ses lèvres enfin il retrouvait les miennes techniquement. Me retrouver contre lui était tellement étrange, tellement enfin tellement de choses. Je n’étais guère pucelle, loin de là mais je n’étais pas certaine de ce que j’avais lancé. Au départ, ce n’était qu’un jeu mais cette douce sensation de ses lèvres contre les miennes retirait ce jeu. Je me retenais tellement à continuer cette partie alors que mes mains se laissait aller à se poser à sa taille, remontant mes mains sous son t-shirt surtout involontairement, c’était le pire. Ce n’était même pas volontaire mais les coquines avaient décidées que c’était plus facile de passer en dessous qu’au-dessus du tissu. Normal. J’étais surtout tellement occupée à me retenir que je ne me rendais même pas compte que je me jetais droit dans le mur. Métaphoriquement parlant. Je tentais un brin de me calmer, stoppant le baiser pour juste chuchoter contre ses lèvres. « Dis-moi, tu as mis quoi dans les pâtes ? », ou qu’avait-il mis dans le gâteau ? Enfin du chocolat, c’est bon pour ça, non ? Je me posais alors la question en repensant à tout ce que je savais. Toutes les choses qui sont comme les huitres. Aphrodisiaque. Les minis bn peut-être ? Je suis sûre qu’ils doivent l’être. Je le regardais alors, sentant même le souffle de celui-ci sur mes lèvres. Je tentais de garder contenance, réellement. C’était difficile, mes lèvres appelaient les siennes malgré moi, c’était la tentation. Ils disent qu’il vaut mieux y céder. C’était agréable, un baiser est toujours agréable mais il y a quelque chose de différent chez lui, un truc de spécial qui me met plus à l’aise. Je sais que son but n’est pas de profiter de moi. Enfin disons que c’était ainsi, il n’était pas un connard, il était paumé enfin un extra-terrestre. Et étais-ce légal de coucher avec un extra-terrestre ? Aucunes idées. J’inspirais doucement, le regardant dans les yeux, y plongeant mon regard. Et cédant. Oui, littéralement alors que c’est à mon tour que je l’embrassais, me lâchant, ne me retenant pas à y ajouter une sorte de fougue. Un peu d’envie dans mon baiser bien plus électrique tandis que mes mains remontaient de sous son t-shirt, relevant celui-ci comme l’un ouvre les rideaux… donc facilement. Visons les expressions chelou. Je prolongeais ce baiser, remontant encore le t-shirt pour ainsi même l’inviter à le retirer. Mais bon dieu, qu’est-ce que je faisais à mon pauvre Alien de compagnie ? Non mais sincèrement ? Devenais-je folle ? Tellement mais il me cherchait, il me trouvait.
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mot doux de Invité ► un Lun 19 Mai - 14:24
Les joues rouges, Toby ne pouvait plus défaire son regard de celui de Billie, ni même s'empêcher de la caresser. C'était inconscient. Tous ses gestes étaient inconscients, il posait délicatement ses lèvres encore et encore contre celles de son interlocutrice, en silence. Et cela ne semblait pas la gêner, au contraire, elle se laissait faire avant de venir l'enlacer à son tour. Les mains de la demoiselle étaient passées sous son t-shirt et il frémissait à la façon dont sa peau ne cessait de frôler la sienne avec tendresse. Il ne comprenait pas ce qui lui arrivait, mais il se sentait aussi mal que bien. Il avait l'impression que Billie... était une sorte de bonheur enfoui. Qu'elle pouvait être son bonheur, celui qu'il avait cherché en fuyant le centre de recherches dont il avait été si longtemps prisonnier. Il s'écarta quelques secondes étonné par la question de son interlocutrice. Dans les pâtes ? Bah oui, il était trop innocent pour comprendre le sens de cette question, il sourit donc légèrement, avant de répondre par une question : « Rien de particulier, pourquoi ? ». Il était si enfantin que c'en était presque trop bizarre ce désir qui l'animait. Le désir d'un homme pour une femme. Ils s'embrassèrent de nouveau, se laissant aller à leurs caresses. Toby ne se souciait plus de savoir si ce qu'il faisait était bien ou mal, il se sentait juste heureux. Oui heureux et si bien dans les bras de la demoiselle. On aurait dit qu'il avait des étoiles dans les yeux, tellement il adorait la sensation qui l'envahissait. Il ne savait pas comment irait la suite, mais il ôta bien évidemment son t-shirt lorsqu'elle l'y poussa en lançant le geste. Toby se surprit à passer lui aussi ses mains sous le haut de la demoiselle... pour venir lui caresser finement le dos. Il était tout rouge. Non, il ne voulait pas profiter d'elle. Et il n'était pas innocent au point de ne pas comprendre qu'ils voulaient tous les deux des rapports sexuels. Et oui, il avait beau être puceau, il comprenait que c'était humain ce genre de choses. Pour se calmer à cette pensée il déposa de nouveau un baiser sur les lèvres de sa partenaire, se laissant aller à l'ultime tendresse, lui enlevant son haut pour se rincer ensuite l'oeil. Et oui, mais il rougissait de plus en plus. C'était si nouveau, mais c'était si bon. Il la souleva dans ses bras pour l'emmener vers le canapé du salon, ses gestes étaient intuitifs, y avait pas besoin de cours pour câliner quelqu'un de cette manière... Lucy dormait, il n'y avait rien à redouter de ce côté-là. De toute façon, il était trop omnibullé par Billie pour s'en soucier d'une quelconque façon. Encore des baisers, encore des caresses. Oh ce qu'il pouvait aimer la chaleur de ce corps contre le sien. L'envie devenait de plus en plus grande et ce fut quand le geste fut lancé de se déshabiller complètement qu'il commença à stresser. Bah oui, elle avait un enfant, elle s'y connaissait, mais lui... Lui il était novice ! Ce fut gêné, mais vraiment gêné qu'il s'écarta un instant. « Je n'ai jamais fait ça... » souffla-t-il. Leurs regard s'étaient croisés, ils comprenaient qu'ils le voulaient tous les deux avec la même intensité, combien-même cela changerait totalement le reste de leur relation, et pas besoin de donner une définition de « ça » dans la phrase de Toby. Son regard fut un peu triste, un peu honteux lorsqu'il s'ancra de nouveau dans celui de Billie. « Faudrait... faudrait que tu me montres. » finit-il par avouer en riant un peu, avant de voler un nouveau baiser à la demoiselle. Il avait beau avoir des gestes doux et intuitifs, ce ne serait peut-être pas suffisant... Il avait peur que la demoiselle le rejette. Pour le coup, cela lui ferait énormément de peine. Car ce qu'il ressentait à ce moment-là était fort et pur.
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mot doux de Invité ► un Lun 19 Mai - 15:57
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La canicule des corps augmentait. Qu’est-ce que je faisais avec ce pauvre E.T. ? Il y avait peut-être une loi contre ça ? Contre le fait d’abuser des extra-terrestres venus d’une autre planète ? Oui, qu’importe et même si je n’étais pas stupide, il restait un martien à mes yeux. Cela serait encore mieux s’il me tendait un mars ou un snickers. Oui, zut, j’en oubliais presque que j’avais faim. J’étais affamée mais cela passait en second plan. J’avais l’esprit occupé, en quelques sortes alors que je retirais ce fichu t-shirt qui semblait tellement gêner mes mains. Les coquines. Laissant celui-ci retomber totalement sur le sol et me demandant pendant une minute : savait-il comment s’y prendre ? J’avais ce doute tellement il était complexe, tellement il était un mystère mais alors que ses mains passèrent sous mon débardeur, je regardais ses yeux contempler mes deux petites montagnes. Je le voyais rougir et c’était amusant en fait. Je me sentie soulever, par réflexe, mettant alors mes jambes autour de sa taille pour trouver un accroche. C’était loin d’être difficile pour moi, tout ça. Ce n’était pas nouveau. Les réflexes étaient pourtant humains. La première fois, je n’avais pas trop sue ce que je pouvais faire ou ce que je devais faire. Bizarrement ça n’était pas comme dans les films tout nazes que l’on voit partout. Les films romantiques ou l’homme et la femme se rencontrent par hasard. La situation continuait, la chaleur augmentait en quelques sortes. Ses baisers, ses caresses, mes baisers, mes caresses qui restaient elle assez soft, mes mains parcourant simplement les zones accessibles de son corps sans aller trop loin, sans être trop vif. Une part de moi doutait encore de son côté chaste, son côté pur et pourquoi ? Des habitudes, c’était juste différent qu’avec un homme qui s’y connaissait. Dans le fond, je n’avais connu que ça dans le passé, des hommes qui s’y connaissaient. C’est alors qu’il s’écarta, je me demandais un peu pourquoi, tout naturellement en me disant : il se passe quoi ? Une question logique dans la situation. Je souriais doucement, penchant doucement la tête sur le côté. Le regardais alors dire qu’il ne l’avait jamais fait. Non mais pourquoi cela ne me surprenait pas ? Bon, d’accord, cela me coupait un peu l’herbe sous le pied alors que j’étais sous lui, à moitié nue mais bon, normal. On est tous sous notre colocataire à moitié nue à un moment de notre vie. Non ? Enfin peut-être pas normal. Non, pas du tout enfin disons que oui ou non. Cela dépendait. Et soit, je me perdais dans mes pensées sur le coup en retrouvant mon attention sur lui. Alors que son regard d’extraterrestre battu se plongeait dans le mien, je laissais mes yeux se plonger dans l’océan, souriant légèrement en l’entendant et ne pouvant même pas retenir un léger rire alors qu’il me volait un baiser. Je laissais ma main douce aller se poser sur sa joue, le regardant dans les yeux. Autant vous dire que j’ignorais ce que je faisais, tellement car je n’avais jamais été dans cette situation. Je n’étais pourtant pas surprise de cette nouvelle enfin disons que oui et non. Je ne restais pas de marbres, me laissant simplement couler par la situation. C’est-à-dire ? Qui vivra verra. « Tu te souviens de ce film que je regardais avant-hier ? Inspire tant ! Sois naturel, à ton rythme… », Disais-je sans trop savoir si j’étais utile ou pas mais au moins, c’était dit. Je ne me souvenais pas vraiment de ce film sauf de cette scène ou cette homme prenait réellement son job au sérieux enfin tout en restant chaste car c’était tout public en fait du coup. Je ne regardais jamais des films trop osés, sûrement aussi par ce que ma fille n’était pas loin. Ca j’étais sûre d’être responsable de ce côté. Mais j’en oubliais totalement ce côté responsable alors que j’étais sur le canapé avec mon colocataire dans cette position des plus ambigus. J’avais fait ça à l’époque de la conception de Lucy et ça avait semblé fonctionner même si dans un sens, c’est loin d’être la femme qui fait le job pour faire un bébé mais bon. Je fronçais les sourcils, laissant alors mon autre main caresser son dos du bout des doigts, oui, j’étais joueuse par moment et peut-être que je ferais mieux de me calmer, non ? Etre moins joueuse, plus, normale ? Je n’en savais rien. Je me redressais légèrement sur les coudes, embrassant alors ses lèvres, jouant même légèrement avec celle-ci. « On peut aussi prendre notre temps si tu veux… », soufflais-je au cas où pour lui laisser une porte de sortie mais je ne savais pas s’il était prêt aussi fou soit-il de penser ça pour un homme qui a 30 ans. Mais c’était plus fort que moi, cette question apparaissait tout naturellement tout de même car c’était une chose importante pour un homme qui pouvait atteindre sa fierté. Cela me rappelait une série, Supernatural quand le pauvre Castiel passe enfin à l’acte. Douce et patiente, j’étais loin d’être une cretinne sur le coup et pourtant je continuais mes caresses et jouant toujours avec ses lèvres. « Il ne faut pas avoir peur aussi, je ne mords pas ! », disais-je alors en riant légèrement, un peu taquine. « Pas les aliens du moins ! », rajoutais-je aussitôt, me disant que plaisanter un peu ne pourrait que le détendre.
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mot doux de Invité ► un Lun 19 Mai - 16:26
Toby se rendait compte qu'après la trentaine, le fait de ne pas avoir eu ce genre de rapports pouvait soulever l'étonnement, mais aussi un bon nombre de questions. Surtout en ce qui concernait un homme. Pour un homme, les hormones jouaient un rôle très important dans la reproduction et toutes ces choses qu'ils étaient, en quelques sortes, en train d'aborder à présent. Mais Billie ne semblait pas gênée, au contraire, au lieu de faire rougir encore davantage les joues de notre pauvre petit alien, comme elle aimait tant le surnommer, elle se montra très tendre et attentive. Et surtout très compréhensive. En bref, elle lui prouvait qu'elle le voulait et qu'elle n'était pas prête de rebrousser chemin si lui aussi voulait aller jusqu'au bout. Malgré sa timidité et le fait d'avoir peur de mal faire, Toby se laissa tout de même aller à de nouvelles caresses, plus osées cette fois-ci, parcourant des mains la poitrine de sa colocataire avec délicatesse. Elle lui dit qu'il fallait qu'il prenne exemple sur un film qu'elle avait vu il y a peu et que le plus important était qu'il soit naturel, qu'il se laisse guider par son désir. Les gestes précis, il vînt donc laisser vagabonder sa langue le long du torse de Billie, la sentant frémir sous ces frôlements. Il était encore un peu hésitant, mais devenait tout de même bien plus entreprenant. Elle le caressait, l'attirait à elle, jouait avec lui et Toby ne fit que répondre à ses appels de la chair. Il déposa des petits baisers dans le cou de la demoiselle. « Moi non plus, je ne vais pas te mordre, promis ! » déclara-t-il en riant face à la plaisanterie de la jeune femme. « Sur ma planète, on ne mord pas les femmes qu'on aime... » dit-il en se pinçant les lèvres du bout des dents. Il parlait de sentiment sans s'en rendre compte. Un jeu bien trop dangereux pour notre petit être innocent ici présent. Il entreprit finalement d'ôter les vêtements qui restaient encore présents sur le corps de la jeune femme. Mais aussi les siens. Et les voilà nus comme des vers sur ce canapé, là, comme si la situation était normale. Toby avait le cœur qui battait trop vite, tellement vite qu'il pourrait en faire un malaise, mais au lieu de cela, il écouta les conseils de Billie, à propos du film et laissa ses lèvres et sa langue vagabonder à la découverte du corps de la jeune femme. Partout. Quand je dis partout, c'est partout, surtout là où ça fait du bien... Fallait croire qu'il avait plus d'initiative et plus d'instinct qu'il n'y semblait de premier abord avec sa timidité excessive et son regard d'enfant perdu sur terre. Il remonta le long du ventre de la demoiselle pour venir s'emparer avidement de ses lèvres. Il était déjà tout chaud tellement le désir était monté en lui. Drôle d'effet. Une drôle d'expérience. Oui, en tant que scientifique, il voyait cela comme une expérience... Et une bonne ! Il sentait son petit soldat se mettre au garde à vous. Il avait vraiment envie d'aller au combat celui-là ! Le cœur tambourinant dans sa poitrine, Toby était à deux doigt de passer à l'étape supérieur. Mais, naturellement, il attendait un regard de la part de sa partenaire pour savoir comment s'y prendre. C'était elle l'experte... Il espérait juste la combler un peu. Bah oui, il avait beau avoir vécu loin de la civilisation, il savait ce que c'était que les envies primaires des hommes. Enfin un peu près. Ce fut donc après avoir embrassé la demoiselle de nouveau avec ardeur qu'il demanda, timidement... « Et.. Et maintenant... ? » Ah bah oui, techniquement cela voulait dire, aide-moi, mon petit soldat a besoin de creuser le tunnel...
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mot doux de Invité ► un Lun 19 Mai - 17:51
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Non mais dans quoi je me suis fourrée encore ? Autant surprenant soit-il, je ne voulais même pas arrêter cette folie ou même cette envie étrange qui m’habitait. Je ne savais pas réellement si elle avait réellement une raison, de l’amour ? Aucunes idées. Ce sentiment était tellement différent que d’autres. L’amour était pour moi tellement refoulé, tellement effrayant sachant que le dernier homme que j’ai aimé m’a lâché en apprenant que j’étais enceinte. Après ? Ce n’était pas réellement de l’amour mais plus un besoin d’affection. Maintenant avec Toby ? Je n’en savais rien car c’était un amour d’extra-terrestre mais tellement compliqué à la fois. Etais-je folle ? Devenais-je folle ? Je n’en savais rien, je ne savais rien du tout, c’était le fouillis dans ma tête. Réellement et alors qu’il disait même qu’ils ne mordaient pas les femmes qu’ils aiment sur sa planète, je me mettais dans ma tête en position de défense. Comment ça ? Oui, ce moment où vous vous dites sans réfléchir que ce n’est que pour dire qu’on apprécie et pas aimer dans l’amour du « Je t’aime ». 3 mots tellement complexe, tellement compliqué. C’était étrange de les prononcer. Je ne savais pas réellement si j’étais prête à les dire ou même les entendre en ce moment, en fait, je n’y pensais tout simplement pas et il ne m’aidait pas à ne pas y penser alors qu’il se mettait en action. C’était le cas de le dire tandis que je le laissais découvrir ardemment mon corps avec ses lèvres. Je ne m’attendais sûrement pas au partout alors qu’il s’y employait, me décrochant plus d’un soupire de plaisir et d’un frisson. Non mais je crois que si on m’avait dit qu’il oserait tant le partout, j’aurais rigolée en rougissant sans vraiment y croire d’ailleurs sûrement même que j’avais rougie en m’en rendant compte. C’était étrange mais cela semblait tout autant tellement naturel. Oui, c’est naturel dans un sens de se faire embrasser nue partout par notre colocataire qui est puceau, connait encore moins de choses que ma fille sur la vie. Oui, très étrange. C’était tellement agréable, tellement doux que j’en perdais littéralement conscience de la situation quelque peu différente, hors du commun mais tout autant normale pour un homme et une femme. Autant dire que c’était normal tout simplement. Naturelle, la vie et le fil des choses. C’est alors que ses lèvres arrivèrent à mon ventre, remontant pour s’emparer des miennes, souriant au contact de nos lèvres. Pourquoi ? Je n’en savais rien mais avoir le sourire, c’est juste que c’est agréable. C’est alors que je l’entendis, sentant en même temps le soldat contre ma cuisse qui semblait réveillé et prés pour la bataille, loin d’être navale. On aurait peut-être dû aller sous la douche pour ça ? Mais qu’est-ce que j’allais dire ? Comment expliquer ? Quand même pas style : maintenant on fait comme les poupées russes, on emboite ! Ou comme les légos. J’aurais l’air un brin stupide ? Je n’en savais rien car sur le coup de l’envie, oui, je le désirais tout simplement. J’avais envie qu’il trouve le tunnel. C’était tellement poétique. Je lui mordillais alors les lèvres, laissant une main glisser le long de son torse, m’attardant légèrement à l’infirmière de la base militaire. Je souriais doucement contre ses lèvres. « A toi de voir, certains sont doux, certains sont plus brusques, certains mêles les deux. Il faut juste aller et venir d’un rythme… », je me trouvais tellement chelou en disant ça, tellement… enfin tellement bizarre. Voilà que je faisais un cours de sexualité sans lui dire : il faut porter une capote. D’ailleurs heureusement que je prends la pilule. Quoique, je le tue si j’ai oubliée de la prendre. « Laisses-toi aller, sous juste… danse, oui, danse enfin pas avec les bras partout… », ouais, voilà, je me sentais gênée de dire tout ça et me pinçant alors les lèvres en le regardant, lui montrant même rapidement au niveau du soldat de quel façon on dansait en général. « Un peu comme ça ! », disais-je donc mais comment lui apprendre ? J’étais novice en institutrice à ce niveau même si je m’y connaissais un peu mieux. Je me sentais clairement ridicule, un brin nulle. J’en rougissais même légèrement. Je crois que c’était mon expérience la plus comique de toute si on ne compte pas celle où un soldat… il s’était en dormi en pleine guerre.
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mot doux de Invité ► un Lun 19 Mai - 18:59
Le corps de Toby était brûlant contre celui de la demoiselle. Il était encore un peu hésitant, mais ses gestes se faisaient de plus en plus vifs et alertes. Il n'y allait pas de main morte, au contraire. Du bout de la langue, il n'avait pas hésité à explorer jusqu'aux parties les plus intimes de sa partenaire. Cela l'avait même surpris lui-même qu'il puisse tant oser. Mais il ne s'arrêta pas en si bon chemin, embrassant les moindres parcelles de la peau de la demoiselle. Son cœur était en feu, et pas seulement à cause du stress de mal faire, mais aussi car il ne comprenait pas ce qu'il ressentait envers sa colocataire au moment présent. De l'amour ? C'était bel et bien possible que ce picotement en lui soit le signe d'un amour naissant, car notre jeune homme avait toujours eu une énorme affection pour la demoiselle. Elle l'avait aidé, accueilli chez elle malgré le fait qu'il soit un parfait inconnu. Ce n'était plus le cas, à présent. Et là, alors qu'ils se découvraient de façon si intime, cela l'était encore moins. Il tâchait de rester concentrer sur ses gestes, un peu tremblant par moment, pour ne pas perdre le fil et ne pas faire de mal à la belle. C'était sa hantise : et s'il lui faisait mal ? Après tout, quand on ne savait pas faire quelque chose, on pouvait faire mal non ? Surtout dans ce genre de cas ? Le trentenaire chassa cette pensée de son esprit en hochant la tête, avant de s'emparer de nouveau des lèvres de Billie, lui demandant ensuite timidement comment allait se passer la suite des événements. Elle lui expliqua un peu, l'ai gêné, avant de passer une main pour caresser le soldat et montrer rapidement comment il fallait faire. Il poussa un large soupir de plaisir et de satisfaction à son contact, les joues plus rouges que jamais. Puis vînt le moment d'explorer le tunnel, d'aller à l'inconnu... Ce fut donc assez naturellement, rassuré par la demoiselle que le soldat se faufila dans l'école militaire. Au moment de cette pénétration, Toby ne put s'empêcher de laisser échapper un large gémissement de plaisir. C'était la première fois qu'il ressentait quelque chose de si fort et de si bon. Il avait l'impression que cela avait donné des frissons à Billie. Il suivit ensuite ses conseils en entamant un léger va-et-vient. « C'est bon comme ça ? » demanda-t-il en accélérant un peu. Elle était sous lui, ses jambes l'entourant et il devenait un peu brusque. Il n'avait pas besoin de lui demander, il voyait qu'elle en voulait plus, par ses soupirs, son regard. D'ailleurs, tout du long, le regard de Toby était ancré dans celui de la demoiselle. Tandis que le soldat attaquait vaillamment, tantôt doucement, tantôt plus fort. Les soupirs de plaisirs emplirent la pièce. Toby fit ce qu'il pouvait pour se retenir, mais... Ce moment ne dura pas si longtemps qu'espéré. Pourtant, plus c'est long, plus c'est bon. Mais... Bah oui, c'était une première fois, fallait pas s'attendre à quelque chose de fou, même si cela n'avait pas semblait déplaire à Billie. Et puis, y avait bien eu une petite bataille là-dedans ! Enfin, il l'espérait, il ne pouvait pas en être sûr du fait que la demoiselle ait aimé ce moment autant que lui. Le coup était parti tout seul, le soldat avait tiré et sa semence chaude vînt se déverser dans le corps frêle de la jeune femme. Tout rouge, Toby eut un petit sourire gêné en déposant un nouveau baiser sur les lèvres de sa colocataire. « Ce... c'était nul, tu penses ? » demanda-t-il en baissant le regard, craintif de la réaction de la demoiselle. « Je.. Je ferais mieux la prochaine fois... » dit-il en souriant de nouveau, ses yeux bleus croisant de nouveau ceux, magnifiques de Billie. Ah bah oui, pour lui y avait aucun doute que y aurait de nombreuses autres fois... Parce que son cœur s'embrasait rien qu'à la regarder, encore couché sous lui, n'ayant pas défait l'emprise de ses jambes autour de lui.
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mot doux de Invité ► un Lun 19 Mai - 21:32
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C’était étrange, tellement étrange. Oui, je me sentais presque ridicule dans mes explications enfin c’était des plus déconcertant. C’est bien différent d’apprendre à une personne à faire un gâteau avec la peur qu’il fasse mal son gâteau ou même enfin j’ai des métaphores assez foireuses sur le coup mais allait-il réussir à bien enfourner avec la bonne température ? Hummmm… un bon chef y arriverait mais c’est un chef en apprentissage et était-il même un cuisinier ? Enfin cuisinait-il tout seul ? Je n’en avais aucunes idées pour ça, je ne savais pas s’il était déjà allé jusque-là, tellement étrange de rencontrer un alien. Une rencontre du troisième type si l’on veut. C’était rare alors que je laissais mes jambes l’entourant tout naturellement alors que le petit soldat prenait d’assaut le tunnel pour contrôler la circulation. Réagissant de même d’un gémissement léger que je retenais légèrement en mordillant mes lèvres. J’allais éviter de réveiller Lucy quand même enfin disons que je n’y pensais pas réellement mais chut. Et c’est alors qu’il commençait que j’entendis sa question. J’aurais pu rire si nous n’étions pas tellement occupés à naviguer entre plaisirs et je me contentais d’hocher la tête en lui souriant légèrement. C’était tellement étrange. Bien entendu, cela devenait bien plus naturel une fois que tout s’enclenchait cette danse de corps laissant le petit soldat faire la circulation. Répondant d’attraction au désire par des multiples soupires, j’appréciais tellement les attaques militaires. Oui, vraiment, c’était loin d’être désagréable et j’avais vécue pire comme relation sexuelle. Lui au moins, il allait au bout. C’était loin d’être désagréable même si… en fait, ça n’était pas loin alors que la fin annonçait l’arrivé de l’explosion nucléaire. Et bim, ça fait des chocapics. Et oui, pas seulement chez lui dans le fond car un léger soupire se laissait échapper, bien plus fort même à la fin, mes doigts en ayant même profitée pour être tellement plus crispés à ses épaules. Mais zut, encore un peu et je gagnais la grosse étoile ! Je le regardais alors qu’il terminait, sentant donc la semence s’éparpiller tandis que je lui souriais, retrouvant mon souffle mélangeant ce baiser tendre qu’il déposait. Cette question, je m’en souvenais encore de la fois ou je l’avais moi aussi posée, c’était bien sûr différent enfin disons que c’était dans une autre situation et bien lointaine. Je me contentais de secouer doucement la tête en retrouvant toujours mon souffle un peu péniblement tandis que je laissant mon sourire s’agrandir à la prochaine fois. On peut dire qu’il a apprécié s’il voulait recommencer une prochaine fois, c’était certain. La sueur légère de la chaleur de nos corps commençait à laisser place à un effet froid alors que mon corps retrouvait petit à petit sa chaleur ambiante sans pour autant me donner froid. Je souriais doucement, allant rapidement jouer avec ses lèvres. « Non, ce n’était pas nul du tout ! », disais-je en l’embrassant rapidement, laissant ma main être tendre alors que j’allais caresser son dos du bout de doigts, laissant la pression retomber lentement. La tendresse après était toujours la partie la plus douce, j’avais toujours eue envie d’y arrêter le temps et là encore plus, ses yeux. Mais punaise, j’étais sûre que c’était à cause de ses yeux que c’était arrivé. Je n’avais donc aucunes volontés et je ne me rendais pas encore compte de ce que je venais de dire. Je venais de coucher avec mon colocataire puceau. Cela avait encore du mal à pointer le bout de son nez dans ma tête car c’était… et en plus c’était tellement rare que je ne fasse ça aussi vite sur l’impulsion. Je souriais doucement, relâchant alors l’emprise de mes jambes. « Ne doutes pas de toi, les prochaines fois sont toujours meilleures et elles rendent même addictif ! », disais-je en lui souriant. Enfin techniquement, pas besoin de la prochaine fois pour ça et surtout pour une fille mais pour un mec ? Je ne savais pas trop comment se passait la première fois pour eux car dans le fond même pour nous, c’est tellement différent d’une personne à l’autre. « Et moi ? Je n’ai pas été un prof trop nul ? », soufflais-je alors en me pinçant doucement les lèvres, fronçant les sourcils. « Tu sais ce qui est encore plus agréable après ? Une douche ! », proposais-je alors en souriant.
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mot doux de Invité ► un Lun 19 Mai - 21:58
Si on lui demandait un jour comment s'était passé cette première fois, Toby le dirait simplement : il avait pris son pied. Enfin, il pensait que c'était ça prendre du plaisir, sentir toute cette sorte de bonheur venir lui voler des étoiles dans le ventre. Il sentait que Billie n'avait pas trouvé cela déplaisant, au contraire et c'était d'ailleurs ce qui le fit le plus sourire. Lorsqu'elle le lui affirma, il était aussi heureux qu'un enfant qui vient d'apprendre à lire. Et oui, après tout, cela n'aurait pas été étonnant qu'il soit pire que nul dans la situation présente, surtout sous le stress. Mais, au lieu de cela, il avait fait l'amour à Billie assez simplement, leurs regards ne s'étaient pas quittés une seconde tout du long de leur danse. Cela avait un petit côté romantique. Même fâcheusement romantique à vrai dire. Peut-être que ce sentiment qu'il ressentait pour Billie après cela était le plus gênant dans l'histoire... Car il ne comprenait pas ce que c'était au fond. Cela formait une boule dans sa gorge et dans son ventre. Cela le rendait autant heureux que malheureux. Le plaisir, c'était bien plus simple à comprendre, il n'y avait pas trop de questions à se poser, mais là, c'était plus complexe. Délicatement, il caressa le visage de la demoiselle, l'embrassant de nouveau à plusieurs reprises, déplaçant les mèches qui tombaient sur son front derrière les oreilles de la demoiselle. Il se sentait encore mieux à présent, tout contre elle, à profiter de ce moment de caresses. Il aimerait prolonger le temps, en cet instant. Mais, en tant que scientifiques, il savait que ce ne serait pas possible... Du moins... Une nuit blanche était possible. Il sourit de son sourire habituel à la demoiselle s'écartant pour qu'elle puisse s'asseoir, la position dans laquelle elle se trouvait pouvait peut-être devenir chiante à force. Il ne put s'empêcher de déposer un petit baiser sur sa joue par la suite. Voilà le problème : comment ferait-il à présent pour s'empêcher de l'embrasser tout le temps ? Il n'avait qu'une envie : la serrer de nouveau dans ses bras. Comment se contrôler ? « Tu as été parfaite... Et pas seulement comme prof... » dit-il en rougissant de nouveau. Et oui, Billie avait été le meilleur des instructeurs possibles pour le petit soldat de Toby ! Il était complètement intimidé, comme d'habitude. Normal pour une première fois, surtout avec son petit cœur qui faisait des sauts dignes des plus grands dans sa cage thoracique. Qui ne l'aurait pas été en de telles circonstances ? Trois mots passèrent furtivement dans son esprit, mais il ne les souffla pas... Car il n'en connaissait pas la véritable signification au fond. Il se leva, suite à la proposition de la demoiselle. « Tu as sans doute raison, madame le professeur... » souffla-t-il en lui prenant la main, l'aidant à se relever pour la serrer ensuite pleinement dans ses bras, son corps nu contre le sien et l'embrasser de nouveau, très langoureusement. Aucun de ses baisers précédents ne valait celui-ci, si fort et intense. La tenant toujours par la main, ils se faufilèrent dans la salle de bains. Toby avait passé la tête d'abord pour vérifier que la porte de la chambre de Lucy était bien fermé. Il aurait été problématique que la petite les voit marcher nus dans l'appartement comme ça. Quoi que la nudité était naturelle au fond... Surtout pour une enfant. Il y avait assez de place dans la baignoire pour deux... Enfin, ils en trouveraient suffisamment. Après ce qu'ils venaient de faire ce n'était pas un problème de partager une douche ou un bain ensemble. Au contraire, Toby ne se lassait pas de se rincer l'oeil à regarder la moindre des courbes de Billie. Ils durent attendre que la baignoire se remplissent. « Tu sais.... Je voulais te remercier. » conclut Toby simplement, encore rouge. Et pour se détendre, il éclaboussa la demoiselle avec un peu d'eau, en riant. Pas trop fort pour ne pas réveiller l'enfant qui dormait dans la pièce d'à côté.
Invitéet oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais !
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mot doux de Invité ► un Lun 19 Mai - 23:36
enchanting to meet you
featuring - toby smith
Faire l’amour n’est pas toujours la chose la plus évidente et surtout quand la situation est aussi délicate. Alors que nous venions de le faire et plutôt bien même si on n’en compte pas trop les facteurs perturbateurs comme la situation, le fait qu’il soit puceau enfin qu’il était ou même tellement d’autres. C’était désarmant. Vraiment. Oui, car nous nous en sortions bien, vraiment. Et c’était le plus disons étrange à mes yeux. Dans un sens, je pourrais tellement comprendre ce qui « cloche » en moi mais le voulais-je ? Peut-être pas, je profitais simplement de ce moment tendre alors que nos positions étaient loin d’être confortable et même loin de ça mais pourtant agréable. L’idée de la douche m’effleura. Quelle autre façon de faire durer un moment passionnel et romantique que sous une douche ou même dans un bain ? C’était des plus agréables dans mon esprit. Avant de le proposer, bien entendu j’entendais que j’avais été douée et pas seulement en professeur et pourtant j’avais l’impression d’avoir été si nulle aussi. Je n’y pouvais rien, c’était ma première fois en tant que professeur. L’idée de la douche s’échappa alors, c’était une bonne idée à mon sens mais peut-être pas pour lui ? Le désirai-t-il ? Plus de chichi, être nue devant lui n’était plus un souci, je m’assieds alors que j’en étais libre en prenant sa main, me sentant alors attirée à lui alors que nos lèvres se rencontrèrent. On ne parle pas souvent du baiser idéale. Le baiser qui réveille les petits papillons. Il est unique et tellement rare enfin disons qu’il n’arrive jamais trop naturellement, trop vite. Ce baiser réveillant mes fichus papillons que je voulais taire, réellement. Etais-je prête de les sentir voler en moi ? Les sentir s’agiter comme des carillons qui en fleur s’excite pour dandiner leur cloche. Alerte. Soucis. Danger. Mais non, dans le fond. Un extra-terrestre n’était pas un danger pour moi. Je souriais doucement en reculant alors, le suivant et le laissant même contrôler que la porte soit fermée. J’étais bien la dernière à y penser. Tellement étrange comme sensation d’être cette fille parfois qui y pense, parfois non. Etais-je juste en train d’apprendre inconsciemment à devenir responsable ? Je n’en savais rien, trop tôt pour le dire alors que plutôt, je l’avais oubliée à l’école donc bon. Je remarquais bien ses yeux sur moi, profitant aussi de mes yeux sur son corps. J’allais me gêner, je ne me sentais pas comme… étrange ou psychopathe maintenant. C’était bizarre comme une simple relation sexuelle ou juste faire l’amour change tout. Je lui souriais pendant que la baignoire se remplissait, prenant alors deux serviettes, totalement à l’aise avec ma nudité ? Non pas vraiment car j’étais tout de même un brin gênée mais après tout, c’était loin d’être comme s’il n’en avait pas profité. Il connaissait mon corps mais comme toute femme, je me disais : suis-je vraiment jolie ? Je souriais en l’entendant me remercier, me retournant vers lui et fronçant doucement le nez. « Pourquoi ? », lui demandais-je par curiosité en posant les serviettes sur une tablette à côté de la baignoire tandis que j’approchais doucement et me faisant alors éclaboussée, penchant la tête avec un léger sourire, un brin de gaieté alors que je riais légèrement de bon cœur. « Tu cherches la bataille d'eau ? », demandais-je alors en lui tirant la langue. Un peu taquine, un peu enfantine, un peu joueuse mais j’assumais alors que je faisais de même à mon tour. Lui souriant aussitôt en me mettant sur le bord de la baignoire en le regardant attentivement. Oui, tellement, tentant même de savoir ce à quoi il pensait, me disant même qu’il serait merveilleux que j’ai un pinceau et de la peinture en ce moment-même ou mon appareil photo. L’art était primordial pour moi, je voulais capturer le moment en quelques sortes. L’avoir un peu plus longtemps alors qu’un sourire benêt se dessinait sur mes lèvres, sans raisons. Je ne m’en rendais pas compte de mon euphorie soudaine. « Est-ce que c’était cool sur ta planète ? », demandais-je un brin concernée, presque inquiète enfin dans le sens où je me demandais réellement d’où il venait. Je savais qu’il n’était pas un alien mais qu’est-ce qu’il avait vécu ? Dans le fond, je n’en avais pas réellement la réponse car je ne posais pas vraiment les bonnes questions. Comment aussi ? Je ne savais pas lesquels poser. C’est alors que la baignoire fut pleine que je coupais tout naturellement l’eau, laissant mes pieds dans celle-ci en retenant une petite grimace sous la sensation de l’eau chaude. Je me laissais alors totalement glisser, attendant qu’il s’y plonge en lui laissant la place de son choix.
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mot doux de Invité ► un Mar 20 Mai - 0:06
Et voilà que Billie lui demandait pourquoi il la remerciait. Elle ne savait donc pas ? Mais pour tout, pour être la femme qu'elle était, pour tout ce qu'elle avait fait pour lui jusqu'alors. Mais aussi.... « Pour ce merveilleux moment qu'on vient de passer... » déclara-t-il en souriant de nouveau et caressant la joue de la demoiselle, qui venait de poser des serviettes à côté de la baignoire. Il ne perdait plus son sourire, son regard restant posé sur Billie comme s'il s'agissait du plus précieux des diamants du monde. Mais c'était le cas, pour le cœur de Toby, il n'y avait rien de plus précieux au monde en cet instant que cette femme assise à côté de lui. Ils venaient de faire l'amour et il était complètement incapable de lui avouer ce qu'il ressentait, ou pensait ressentir. C'était bête. Mais en même temps, à quoi pouvait-on s'attendre de sa part ? Il ne connaissait rien à l'amour, il était débutant total en la matière et il n'osait pas se poser de questions à ce sujet. Et encore moins en parler avec la femme qui était possiblement l'élue de son cœur. Au moins, lorsqu'il était au centre, il n'était jamais confronté à ce genre de problèmes : les problèmes du monde extérieur. Sa prison avait eu cela de bon de le protéger. Enfin, était-ce une bonne chose ? Difficile à dire aux vues de la situation. Délicatement, il déposa un baiser sur les lèvres de Billie, encore une fois. Bah oui, ses lèvres étaient comme aimantées, il ne pouvait s'en défaire plus de quelques minutes d'affilée. Il rit en l’éclaboussant et elle se vengea aussi rapidement que possible. « Tu sais très bien que tu n'as aucun chance dans une bataille d'eau avec moi ! » s'exclama-t-il en riant encore davantage. Ce qu'il pouvait se sentir bien. En fait, il se sentait vivant. Oui, c'était cela : tout simplement vivant comme il ne l'avait jamais été de sa vie. Drôle de sensation, drôle d'impression pour un homme qui avait déjà dépassé la trentaine. La question qu'elle lui posa ensuite lui fit perdre son sourire l'espace de quelques secondes. Peut-être qu'il devrait parler, se livrer davantage sur son passé qu'il ne l'avait fait jusque-là. Après tout, chaque jour que Dieu faisait, il vivait sous le toit de Billie et s'occupait de sa fille, Lucy, alors ce serait honnête. Mais en même temps... Il avait compris dans le son de la voix de la demoiselle que cette question était sérieuse pour le coup, que ce ne faisait plus partie des jeux sur l'alien. Non, c'était une question métaphorique, certes, mais qui lui demandait sa vie d’antan. C'était vrai qu'il était étrange de rencontrer un homme qui savait si peu de choses de la vie quotidienne. Pourtant Toby en savait long sur la physique, les maths, et même la biologie et les sciences de la Terre... Drôle de paradoxe. Il ne répondit pas et préféra entrer dans l'eau dès que celle-ci fut prête. Le trentenaire décida de venir se blottir au plus près de Billie, pour l'avoir encore tout contre lui et profiter de sa chaleur, accentuée par celle de l'eau dans laquelle ils se trouvaient tous deux. « Sur ma planète, je n'avais pas le droit de sortir, je vivais à part de l'humanité. Je travaillais tous les jours et on me mentait sans cesse. J'ai jamais été enfant. » finit-il par déclarer. « Je n'avais pas de famille. » continua-t-il ensuite, avant de sourire de nouveau. Ce n'était pas le moment de casser l'ambiance. Il se pelotonna donc dans les bras de Billie pour l'embrasser tendrement avant de prendre la bouteille de gel douche en main. « Tu veux que je te savonne ? » demanda-t-il en laissant échapper un petit clin d'oeil amical, mais aussi assez coquin vu ce qui s'était passé plus tôt. Il avait bien envie de la caresser encore...
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▬ (funny hot) + Walls of insincerity Shifting eyes and vacancy Vanished when I saw your face All I can say is it was enchanting to meet you - feat Toby ▬