l'avatar des scénarios ou membres des familles sont totalement discutables pour autant qu'ils ne soient pas dans le bottin !
Venez car plus on est de fous et plus on rit, non ? Chocolat et guimauves en cadeaux !
bonjour les YFTiens et pleins de calins pour vous ainsi que tout notre amour !
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Invité et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! Invité
| mot doux de Invité ► un Mer 1 Juil - 14:18 | | |
Les ruelles de Pasadena, 15h30, fin du service de Dahlia. « Fais bien attention à toi Dahlia : que je te reprenne avec ce type, et ton petit minois sera tellement déformé que Lucas ne pourra pas te reconnaître. » Mon souffle court sonne dans ma tête, j'ai peur : mes pieds ne touchent pas le sol, je ne suis pas au ciel. Je suis dans l'enfer qui me sépare d'une mort certaine, et d'une vie paisible. « Nathan, arrête ... je n'arrive ... plus à respirer... » Il me relâche, je tombe au sol : ma main vient se poser sur mon cou alors que je tousse pour reprendre une respiration décente : c'est un cauchemar, ce n'est pas possible. Je sens sa main sur mon menton, le serrant d'une violence à couper le souffle : je lève les yeux vers lui, et admire son sourire sadique. « Tu comprends ou tu es trop stupide pour ça ? Maintenant, je veux que tu fasses tes valises, que tu te barres de cette ville : et si tu me rejoins bien gentiment, je ne ferais de mal à personne. » Je hoche la tête, et les larmes coulantes, il m'a relâché violemment. « Si tu en parles à quelqu'un, je le saurais, ne l'oublie pas. » J'ai hoché de nouveau la tête, et j'ai entendu ses pas s'éloigner, me laissant seule dans la ruelle.
Chez les Knowles, 16h22. J'ai essoré le linge dans l'évier et j'ai tamponné mon menton doucement. J'ai grimacé en voyant la marque de ses doigts, et en descendant un peu mes yeux, j'ai fermé les yeux en croisant les marques de ses mains sur mon cou. Je ne pouvais plus attendre : je devais partir, maintenant. Pour vous situer dans le temps, j'avais vu Dean il y a 2 semaines, et Lewis la semaine dernière : Nathan avait continué à me harceler, je n'avais rien dis. Mais aujourd'hui avait été le jour de trop. La sonnerie de mon téléphone me fit sursauter et je laissais tomber le linge dans le lavabo. Je m'essuyais les mains avant de décrocher et de coller le téléphone à mon oreille. « Allô ? » La maîtresse de Lucas : j'ai jeté un œil à la pendule et j'ai paniqué. « Merde Lucas ! » Cela devait faire 20 minutes qu'il était seul à la sortie de l'école. Je fus soulager en entendant Elisa me dire qu'il allait bien, qu'il était avec elle : alors elle me le passa, et les larmes coulèrent en entendant sa voix. « Tu vas bien mon chat ? » J'ai poussé un soupire de soulagement. « Maman va bien mon cœur, ne t'inquiètes pas. J'ai juste beaucoup de travail tu comprends ? Je ne vais pas pouvoir venir te chercher ce soir. Ce sera Alice, d'accord ? »
Devant la maison de Lewis, 18h30. C'était le jour, je devais lui dire. Je devrais bientôt partir, et laisser Lucas entre les mains de son père : et pour cela, il fallait que Lewis sache qu'il était ce père. J'ai inspiré, mes lunettes de soleil sur le visage, une écharpe autour du cou pour masquer les marques : oui, vous allez me dire que par 30°c, personne ne va se douter qu'il y a quelque chose qui cloche. Mais je n'avais pas le choix : je devais cacher ça pour ne pas avoir ces regards sur moi, pour ne pas avoir honte de moi-même. J'ai avancé dans l'allée, et j'ai inspiré de nouveau et j'ai grimpé les trois marches jusqu'à la porte de mon seul amour : j'ai toqué 3 fois lentement et j'ai fermé les yeux en baissant la tête. « Lewis ... » J'ai posé ma tête contre la porte, complètement épuisée. « C'est Dahlia, ouvre-moi s'il te plaît. » Je savais qu'il m'en voudrait encore pour la dernière fois, alors j'ai soupiré, et j'ai posé une main sur la porte. « Je dois te parler, c'est urgent. »
Dernière édition par Dahlia Knowles le Sam 1 Aoû - 19:48, édité 1 fois |
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| mot doux de Invité ► un Jeu 2 Juil - 16:12 | | | Ma journée fut sous le signe du sport ! En même temps, depuis hier, j’ai pu retirer l’écharpe autour de mon cou mais, il ne me reste que l’atèle pour le moment. Chose, qui ne m’empêche pas de faire un peu de sport ! Donc aujourd’hui, j’en ai profité pour reprendre mon travail, j’ai eu quelques élèves. Le souci fut la chaleur qui a dominé une large partie de l’après-midi. Une fois à la maison, j’entends une petite voix criait : « PAPA ! PAPA ! » Je vois ma fille arriver avec un large sourire et elle me saute dans les bras. « Qui a-t-il ma puce ? » Elle passe ses bras autour de mon cou : « Tata, part à Disney World pour voir la Reine des neiges ! Elle veut bien m’emmener avec elle, seulement si tu es d’accord ! Je peux . » Comment voulez-vous que je lui refuse la reine des neiges ? Elle est justement en train de me regarder avec ces petits yeux de chat battu. Je lui fais un bisou sur la joue : « Vas avec Tata ! Et revient habiller en belle petite princesse ! » « OUIIIIIIIIIIIIIIIII ! Promis papa ! » Elle me fait un gros bisou et part en courant dans sa chambre. Je me dirige vers mon réfrigérateur pour prendre une bouteille d’eau, je la bois rapidement et la jette à la poubelle. Inaya vient me voir pour me parler un peu de sa journée et vice-versa. Après un petit moment de discussions, je les laisse partir et je m’enferme. Je pars dans la salle de bain pour prendre une douche glaciale, j’en ai vraiment besoin !
Une fois être bien rafraîchis, je descends dans le salon avec un simple boxer. Je me rends à nouveau dans ma cuisine pour prendre une briquette de jus de fruit et je me mets sur l’ordinateur pour commander sur un site internet, une petite surprise à ma petite princesse. Je regarde l’heure, il n’est que 18 heures, je m’installe sur le canapé et je joue assassin creeds unity sur ma xbox one. Mais au bout d'un petit moment, le live de la console bug, pourquoi ? Bonne question. Donc je me mets un film, née un 4 juillet avec Tom Cruise, je ne l’ai pas vu depuis longtemps en plus ce film. Bref, je commence à regarder le film mais, au bout de quelques minutes j’entends frapper à la porte. Je n’attends personne pourtant. Je mets le film sur pose et je me dirige vers la porte pour ouvrir. Le truc c’est qu’à ce moment, je ne me rappelle put que je suis qu’en boxer.
Lorsque j’ouvre la porte, je trouve Dahlia habillé bizarrement. Pourquoi une écharpe ? « Salut Dahlia, entre… » Je n’ai pas revu la jeune femme depuis mon accident de cadre. Je la laisse donc entrer et referme la porte derrière elle. Je passe ma main sur mon menton tout en la détaillant au niveau du visage. Avant d’ouvrir la porte, je l’ai entendue dire que c’était important donc je me demande bien ce qu’elle doit me dire… Je finis par m’avancer un peu vers elle : « désolé de ma tenue très légère mais, je ne n’attendais personne. » Je m’assieds sur une chaise et l’invite à s’asseoir. Je suis peut-être froid mais, la dispute qu’on a eue ensemble la dernière fois… Enfin, je ne comprends pas vraiment Dahlia. Elle m’aime mais, elle veut partir. Je ne comprendrais jamais les femmes. « Tu voulais pour parler. »
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| mot doux de Invité ► un Jeu 2 Juil - 16:54 | | | - Quand la porte s'ouvre, je me redresse et retire mes lunettes de soleil avant de lui sourire légèrement : à ce moment précis, je remercie l'écharpe autour de mon cou qui remonte un peu sur mon menton car elle me laisse le temps de souffler avant une énième dispute avec Lewis. La première chose que j'observe sur le jeune homme c'est sa tenue : ou plutôt son manque de tenue. Effectivement, Lewis ne se rend pas tout de suite compte qu'il est seulement en boxer : et après un regard gêné vers son vêtement, je détourne le regard et je rentre. « Salut. » J'ai murmuré, me suis courbée sur moi-même, et j'ai avancé à l'intérieur de chez lui. Quand il s'est approché de moi, j'ai sentis son odeur, et une envie de pleurer dans ses bras est montée en moi : mais c'était l'envie d'un câlin qui primait sur l'envie de pleurer. Mais je n'ai rien dis, et j'ai souris à sa phrase. « Je te dérange ? Je n'en ai pas pour très longtemps de toute façon. » Je relève les yeux, et je regarde autour de moi, le laissant s'asseoir près de la table : lorsqu'il m'y invite, je m'assois avec plaisir, et je soupire en prenant ma tête entre les mains. « Je venais pour m'excuser. » J'ai redressé le visage, posant mes mains sur mon écharpe, cachant les marques des coups de cet après-midi. J'ai soupiré, légèrement, et j'ai finis par tendre une main vers lui pour qu'il me la donne. « Pas pour ce que je t'ai dis, mais pour t'avoir laissé partir. Parce que je n'en avais pas envie, et on n'avait pas finis notre conversation. » Je lui ai souris, et j'ai déplacé un peu ma chaise pour être proche de lui. « Lewis, je voulais que tu saches que tu es la personne la plus importante pour moi, et … Parce que je sais de quoi tu es capable, j'aimerais que tu comprennes pourquoi je ne veux pas que tu t'en mêles : je ne risquerais pas ton avenir, et celui de ta petite fille pour ça. Pour ce mec. » J'ai levé ma main et j'ai caressé sa joue doucement, tendrement : il me fallait encore un peu de courage pour continuer. D'où le fait que je tournais autour du pot quoi. « En plus, j'ai appris pour toi et cette femme : je te félicite, j'espère que ça durera. » J'ai laissé ma main retomber puis j'ai inspiré et je me suis lancée : lentement, j'ai défais mon écharpe, lui laissant le temps à chaque fois de s'y faire. Mais la vérité était telle que j'étais complètement défigurée : sur mon menton, on voyait la marque du pouce, de l'index et du majeur des deux côtés ; et sur mon cou la marque de 10 doigts, de chaque côté. J'ai inspiré, et j'ai détourné le visage. « S'il te plaît, reste calme. Je crois que … J'ai juste besoin de réconfort ce soir. » J'ai inspiré, j'ai soupiré, j'ai fermé les yeux : les secondes de silence se sont transformées en minutes, et plus le temps passait, plus j'entendais le sang de Lewis bouillir. Alors j'ai décidé de reprendre la parole. « Il faut que tu gardes Lucas. » Et j'ai tourné la tête vers lui, le regardant droit dans les yeux. « Il faut que tu protèges ton fils. »
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| mot doux de Invité ► un Jeu 2 Juil - 18:03 | | | Dahlia entre dans la maison, je la détaille un léger moment puis elle me demande si sa présence me dérange. « Non, tu ne me dérange pas, je regarder un film. » Puis je finis par l’inviter à s’assoir à ma table. Ce qui m’inquiète c’est que mon ex petite amie n’est vraiment pas comme d’habitude. Déjà sa façon de se tenir et cette écharpe qui n’a rien à faire sur elle surtout qu’il fait hyper chaud à l’extérieur de la maison. Dahlia est venu pour s’excuser, je la regarde sans rien dire et sans rien laisser paraître sur mon visage. C’est du rare que je sois ainsi, aussi non expressif, surtout avec elle. Mais, notre dernière journée ensemble c’était vraiment très mal terminé. Mais lorsqu’elle me tend la main, mon masque tombe et je finis par lui prendre la main dans la mienne et je la serre doucement. Elle finit par s’excuser par se quel m’a dit l’autre soir et de m’avoir laissé partir. « Tu n’aurais pas réussi à me retenir Dahlia. J’étais trop énervé de toute manière, pas seulement contre toi. Je l’étais surtout contre moi. » Puis elle continue à me parler. Dahlia a raison dans le fait qu’elle me connaît très bien et qu’elle sait parfaitement de quoi je serais capable pour protéger les personnes que j’aime. Et je pense qu’elle se doute que je n’aurais jamais réagi ainsi si je ne tenais pas encore à elle. Puis elle me parle de ma fille, ma petite Rose mais, je peux très bien les protégés toutes les deux ! Mais, je fus un peu choqué lorsqu’elle me parle d’une femme dans ma vie. Je n’ai personne ! Je suis toujours aussi célibataire, à moins qu’elle pense que je suis en couple avec Inaya.
Lorsque je m’apprête à lui répondre, je vois Dahlia retirer son échappe. Je la regarde sans rien dire mais, là colère continue à monté petit à petit. Dans ce qu’elle me dit à ce moment même, je n’entends que les mots : calme et réconfort. Comment elle fait pour m’annoncer cela aussi calmement ? Je deviens fou à l’intérieur de moi et j’ai une véritable envie de meurtre à ce moment là ! Ce type est un homme mort, il vient de le signer. Même si, je dois suivre Dahlia de loin partout, je finirais par le trouver ce type ! Mais, elle finit par me demander de protéger Lucas et elle finit par me dire que ce petit est mon fils. Je la regard sans trop rien dire. Faut vraiment que je reste calme ! J’ai besoin de boire un truc ! Je me leve et soupire un bon coup. Je n’arrive pu à mettre mes idées en ordres. Lucas mon fils, Dahlia qui se fait agresser par l’autre qui a signé son arrêt de mort ! Puis comment elle à pu me cacher que j’avais un fils avec elle ? Surtout que le petit, je le vois régulièrement. Je pars dans la cuisine et me sors une bière que j’ouvre et commence à boire. Je reste seul quelques minutes seul et je finis par revenir dans le salon. Je vais mettre ce type de côté pour le moment. Je reviens me mettre assis en face d’elle, je pose ma bière sur la table. « Pourquoi tu ne m’as rien dit pour Lucas ? Tu sais très bien que j’aurais assumé notre fils ! » Dis je sur un ton assez sec et en la regardant dans les yeux. « J’aurais tout fait pour votre bonheur. » Je lui prends les mains, je réfléchis un petit moment. Je connais Lucas, j’ai appris à le connaitre comme étant le fils que j’aurais aimé avoir. Je suis vraiment sous le choc et je n’arrive vraiment pas à m’en faire une idée. « Lucas est au courant que je suis son papa ? » Demandai-je en la regardant dans les yeux. Puis je finis par lui demander : « Et pourquoi me le dire maintenant ? Tu aurais pu me le dire depuis qu’on s’est revue il y a maintenant un bon moment ou alors, lorsque je te posais la question. » Puis je finis par faire le rapprochement, j’eus un petit rire, le genre de rire mauvais : « J’ai compris. Tu me le dit à cause de se mec ! De celui qui t’as encore tabassé ! »
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| mot doux de Invité ► un Jeu 2 Juil - 18:58 | | | - Je ne sais pas ce qui m'a fait le plus mal dans sa réaction : le fait qu'il soit aussi acerbe envers moi, ou qu'il ne prête pas du tout à mon mal-être. Quoi qu'il en soit, sa réaction était digne d'un coup de poing dans le ventre, et d'une déchirure ventriculaire : j'ai eu mal à m'en couper le souffle, et quand il s'est éloigné, mon malaise était encore plus présent. Je m'en suis voulue : non pas de lui avoir cacher la vérité, mais de lui avoir tout dit. Parce que dans cette réaction, j'y ai vu tout ce que j'avais pu détester de lui auparavant : de la colère, de l'indignation, de l'amer. Tout ce que j'avais redouté depuis ma venue ici. Et pourtant … J'aurais pu me lever, m'en aller, partir et abandonner mes souvenirs ; j'aurais pu quitter cette ville, ne jamais revenir, déposer Lucas chez une amie, obéir à mon plan. Mais je n'en ai rien fait : il y a eu ce silence, cette bière, ces pas incessants ; il y a eu cette chaise, ce bruit fracassant, et Lewis qui a finit par … Par ne plus rien faire. J'ai fermé les yeux, j'ai repris mon écharpe : j'ai enroulé ce qu'il restait de moi autour et j'ai retiré mes mains des siennes. Je n'ai pas eu envie de parler : les quelques mots que j'avais sortis avaient déjà causés bon nombre de dégâts. J'ai croisé mes bras sur ma poitrine, je me suis mise au fond de mon siège, et j'ai laissé le silence s'installer.
De la douceur, de la tendresse, de l'amour … En fermant les yeux, je me suis rappelée nos premières années, à Lewis et moi : ces moments où, malgré la tempête, le calme revenait toujours. Je me suis rappelée son rire, ses surprises, les câlins, les nuits folles. Je me suis rappelée des étoiles dans les yeux de cet homme, des étoiles dans le ciel, des étoiles dans nos vies. Je me suis rappelée notre existence, mais ça n'a rien changé : quand j'ai ouvert les yeux, la situation n'avait pas évolué. « Lucas ne le sait pas. Il pense être né sans papa. » J'ai détourné les yeux, j'ai regardé la porte : je dois avouer que j'ai longuement hésité à partir, pour finir par me raviser. Ma voix était faible, mais j'ai continué. « Je sais que tu aurais pu faire notre bonheur. Je sais que tu aurais pu être un père formidable pour mon... Notre petit homme. » Oui, je le savais tout ça. « Je te l'ai pas dis parce que la vie que tu menais n'était pas une vie pour un petit garçon. Je te l'ai pas dis parce que j'avais peur de tout : du sang, de ta vie, de toi parfois. Je te l'ai pas dis parce que je n'étais même pas sûre de le garder. Je te l'ai pas dis parce qu'il m'a fait jurer de ne pas te le dire. » Je me suis levée brusquement, et j'ai marché dans la pièce. « Oui, oui c'est parce qu'il est là, maintenant, et qu'il pourrait faire du mal à Lucas, à tout instant. Oui, je te le dis maintenant parce que la situation est comme ça. » J'ai passé ma main sur mon visage et je l'ai levé face à moi.
« Et je te le dis seulement maintenant parce que pendant un moment j'espérais simplement qu'on se remette ensemble. Comme avant. » J'ai ris, jaune, vert, comme vous voulez, mais je n'étais pas bien : je me sentais nauséeuse, fébrile, fragile. Pour la première fois dans toute ma vie, je sentais ma carapace se fissurer, tomber, m'entraînant dans sa chute. « Je voulais juste que tu comprennes. Que tu me dises que … Que .. » J'ai baissé la tête, j'ai soupiré, j'ai baissé la garde, j'ai laissé tomber mes armes. « Je voulais juste du réconfort. Je voulais juste de la protection. Je voulais juste que tu sois là, pour moi, comme tu as juré de l'être depuis le début. »
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| mot doux de Invité ► un Ven 3 Juil - 17:03 | | | Lucas, mon fils ? Je n’en reviens pas et je ne sais pas vraiment comment je dois réagir. Je suis complètement perdu pour la peine. J’adore ce petit, j’ai appris à le connaitre et à l’apprécier en étant le fils de Dahlia. Je suis complètement paumé, j’ai limite l’impression que c’est une mauvaise blague. Pourtant je demeure silencieux, je ne laisse rien paraître sur mon visage. Je m’isole un peu pour essayer de faire le tri dans mon esprit. Je reste un petit moment dans ma cuisine pour boire une bière et je finis par la rejoindre à la table. Lorsque je m’adresse à elle, je suis plutôt sec mais, je ne veux pas m’énerver. Je pense qu’elle n’a vraiment pas besoin de cela maintenant. Je prends ses mains dans les miennes et prends le temps de réfléchir un petit moment et bien entendu de me maîtriser. Si j’avais été au courant qu’elle était enceinte... Je ne l’aurais jamais laissé partir car même à ce moment de ma vie où j’ai dû lâcher prise… J’ai mis beaucoup de temps pour m’en remettre. Dahlia et moi, nous étions ensemble depuis déjà un long moment à cette époque et nous étions heureux ensemble. Dahlia m’apprend que Lucas n’est toujours pas au courant que je suis son papa. Je la laisse me parler, me dire ce qu’elle a sur le cœur mais, un truc vient à me rendre fou intérieurement. Je lui faisais peur. Je savais que ma vie et le sang que j’avais sur les mains à cause du club l’avait effrayé. Mais moi… Je me prends une belle claque dans la figure. « Je te faisais peur ? Pourtant je n’ai jamais levé la main sur toi ou fais un truc que tu ne voulais pas, Dahlia. » Dis-je sur un ton très calme.
Je n’eus pas le temps de rajouter quelques choses qu’elle se lève brutalement pour me parler de ce mec et que c’est aussi pour cela qu’elle me le dit maintenant pour Lucas. Elle a peur pour lui car ce type pourrait lui faire du mal. Je sens mon sang bouillir petit à petit. Ça me rend vraiment fou et savoir que sinon Dahlia ne me l’aurait pas dit… Enfin faut que je reste zen, chose qui n’est vraiment pas évidente pour le coup. Mais, je sais que de toute manière ce type à signer son arrêt de mort. Et ce qui suit dans les paroles de la jeune femme me confirme ce que j’avais compris la dernière fois. Je finis par me lever et je viens la prendre dans mes bras. Je ne peux pas lui en vouloir à elle mais, par contre ce type lui ce ne sera pas la même chose. Je ne veux pas me disputer avec elle mais, ce n’est vraiment pas facile. Je finis par prendre son visage entre mes mains et l’oblige à me regarder. « Je ne peux pas t’en vouloir de m’avoir caché que Lucas est mon fils. Et je ne te cache pas que je suis perdu mais, je vais assumer mon rôle de père et je te promets du protégé comme je protège Rose. » Je viens à passer ma main doucement sur son menton, tandis que mon autre main vient ce posé dans le bas de son dos. « Ce que tu n’as pas compris Dahlia, c’est que je voulais te protéger, je voulais être là pour toi. Je voulais juste qu’on prenne notre temps. » Je la regarde toujours dans le blanc des yeux, m’adressant à elle à cœur ouvert. « Tu ne peux pas savoir comment je m’en veux de t’avoir laissé aussi facilement partir. Mais, je savais très bien que la vie que je menais n’été pas celle que tu voulais. J’ai pensé que tu trouverais mieux… Finalement… » Je me tus à nouveau.
« Depuis que tu est revenue dans ma vie, je n’ai personne d’autre dans ma vie mise à part toi. Et Rose bien entendue ! » Je rapproche mon visage du sien doucement, je peux sentir son souffle contre mon visage. « Je t’aime Dahlia et laisse moi te protégée. Soyons une famille avec Lucas et Rose.. Reviens dans ma vie et ne pars pu.. J’ai besoin de toi. »
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| mot doux de Invité ► un Ven 3 Juil - 18:01 | | | - « Parfois, quand tu rentrais, les mains en sang, je n'arrivais même pas à capter ton attention Lewis : tu étais encore avec ces mecs, et moi je me retrouvais impuissante, face à … Ce qu'ils t'avaient forcés à être. Alors oui, j'ai eu peur ces jours où tu étais plus inconscient que les autres. Ce n'était pas une vie pour un bébé : au milieu du sang et des colères, tu t'imagines ? Je ne pouvais pas. Et alors que j'ai cru le protéger … J'ai fait le contraire et ça m'a tué : ça continue de me le faire d'ailleurs. » Voilà. Cette vérité, si dure à admettre, était enfin sortie de mes lèvres : et alors que les derniers mots s'étalaient dans l'air, un immense poids se retira de sur mes épaules, et j'ai eu envie de pleurer. Je crois que ça aurait été le cas s'il l'avait fait également : mais je connaissais Lewis, et je savais qu'avec sa fierté, il ne pleurait que très rarement, voir jamais. J'ai courbé le dos, j'ai arraché l'écharpe de mon cou, quitte à exposer les marques de cou : j'en avais marre, j'étais épuisée de mentir, de me cacher, de vivre comme ça. Je le savais : si je continuais à mener une existence comme ça, c'était pour Lucas. Lucas, et Lewis. Les deux seuls hommes de ma vie. J'ai fermé les yeux en baissant la tête, soupirante.
Je l'ai entendu se lever suite à mes paroles : se lever, s'approcher et me prendre contre lui. Alors, je me suis accrochée à lui comme un noyer s'accrocherait à une bouée ; comme un alcoolique s'accrocherait à sa bouteille ; comme un mort s'accrocherait à la vie. J'ai sentis toutes les parties de son corps contre le mien, et jusqu'à même entendre le rythme de son cœur : je me suis sentie bien, protégée. Tellement que les larmes ont coulées d'elles-même : j'avais enfin le réconfort que j'avais tant attendu. Il était là, il me prenait contre lui, et la terre aurait pu s'effondrer que j'aurais continué à m'accrocher à lui : il était mon dernier espoir de voir enfin mon petit homme protégé. Il finit par s'écarter, mais mes mains restent accrocher à sa peau : je relève le visage vers lui, et ses mains vinrent se poser sur mes joues mouillées de larmes. Je le regarde droit dans les yeux, et je bois ses paroles comme un assoiffé boirait de l'eau. Je savoure le contact de sa main sur mon menton blessé, puis dans mon dos : je ferme les yeux un instant, avant de les rouvrir pour le regarder de nouveau, essayant de me concentrer sur ses yeux et non pas sur ses lèvres.
Peine perdue. Il avait voulu qu'on prenne notre temps : et le temps s'en était pris à nous. Mais il n'avait pas mal fait les choses puisque nous étions de nouveau réunis. En entendant qu'il n'y avait que Rose et moi dans sa vie, j'ai souris, soulagée je dois bien l'avouer : et j'ai fermé les yeux en sentant son souffle sur mon visage. Il était si proche que ça en devenait troublant : et ce qui me troubla encore plus, et ce qui me fit ouvrir les yeux fut ses dernières paroles. Je l'ai regardé, et je n'ai pas su quoi répondre sur le coup : il m'aimait, il voulait d'une famille avec moi, il avait besoin de moi, il ne voulait pas que je parte. J'ai regardé ses yeux en penchant la tête sur le côté, les larmes aux yeux, un sourire aux lèvres, et j'ai soufflé. « Oui. » Et j'ai passé mes bras autour de son cou pour l'embrasser. Posant mes lèvres sur les siennes, je me suis mise sur la pointe des pieds pour les atteindre : depuis le temps que j'avais attendu ça, la sensation fut décupler au millième de degrés. J'ai passé mes mains dans ses cheveux, oubliant toute la situation, ne retenant que son 'je t'aime', 'j'ai besoin de toi', 'fondons une famille'. Et plus les mots se répétaient dans mon esprit, plus mon baiser se faisait passionné et langoureux : ma langue a rejoint la sienne et j'ai caressé sa nuque, me reculant quelques minutes après pour respirer. « Lewis... » Et sans attendre, j'ai reposé mes lèvres sur les siennes, un grand sourire collé sur le visage : oui, ça avait été un rêve qui était devenu à présent réalité.
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| mot doux de Invité ► un Sam 11 Juil - 20:07 | | | Je peux très bien comprendre le point de vue de Dahlia mais, j’aurais tout de même préféré être au courant. Et je ne peux pas lui en vouloir d’avoir voulu protéger cet enfant. Mais, finalement elle ne l’avait pas réellement protégé avec ce type. Mais au bout d’un moment je ne pu m’empêcher de venir la prendre dans mes bras et de la serrer contre moi. J’aime Dahlia même si je ne lui ai encore rien dis pour le moment. La réalité, c’était que je voulais prendre mon temps pour revenir avec elle, que l’on ne recommence pas les mêmes conneries que par le passé. Surtout que maintenant, nous avons des enfants.. Dont un qui est le notre. J’avoue que l’annonce que je suis le père du petit Lucas me déboussole complètement et me rends fou de l’apprendre que maintenant.. Mais, dans le fond, je n’arrive pas à lui en vouloir et je me laisse aller à lui avouer, que je voulais prendre mon temps avec elle et que j’avais des projets pour nous. Je n’ai aucune envie de la voir partir, j’ai envie que l’on forme une famille et qu’on redevienne ce couple que nous étions par le passé. Et la sentir contre moi était tellement agréable. Et lorsque je lui dis à mon tour que je l’aime la réaction de Dahlia ne se fit vraiment pas attendre. Je réponds à son baiser avec passion et la serre encore un peu plus contre moi. Dahlia se détache un peu de moi, prononce mon prénom et je la regarde avec un sourire charmeur. Elle revient pour m’embrasser, mes mains descendent doucement dans son dos et viennent se posé sur ses fesses puis elles finirent juste en dessous. Je la soulève pour venir la posé sur la table de la salle à manger. Mes lèvres, viennent se posé sur son cou et je lui retire sa veste et fais descendre doucement ces bretelles de robes et de soutien-gorge.
Mon regard se porte à nouveau sur son visage, je la regarde encore une fois. Doucement, je viens passe ma main sur son visage puis sur ses cheveux. Je profite de l’instant présent, je grave ce moment dans ma mémoire. Je viens l’embrasser une nouvelle fois langoureusement, nos langues viennent une nouvelle fois ce caresser l’une contre l’autre. Mais, je repense que ma fille et ma meilleure amie vont peut être rentré dans la nuit et même s’il n’est pas tard, je préfère monter dans la chambre. Je prends alors la main de Dahlia et la fait ce mettre devant. Je la dirige vers l’escalier en profitons d’embrasser son cou et son dos. Une fois dans la chambre, je verrouille la porte à clé. « Tu ne partira pas comme ca. » Dis-je sur un ton plaisantin. Je m’approche une nouvelle fois d’elle et retire sa robe. Elle est toujours aussi belle malgré quelques cicatrices en plus. J’essaye pourtant de ne pas trop y faire attention. Je pose mes mains sur ses hanches et la mène vers le lit. Je m’assoie et la fait venir sur moi à califourchon.
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| mot doux de Invité ► un Sam 1 Aoû - 19:47 | | | - Son sourire charmeur et son deuxième baiser après le premier passionné que l'on avait échangé me firent frissonné, chavirée. Je savais que l'annonce de sa paternité pouvait le mettre dans le flou, dans l'incompréhension, dans la solitude la plus grande : mais je savais qu'il le prendrait bien, et qu'il assumerait. Le temps me pressait autant qu'une épée de Damoclès au-dessus de la tête : j'allais devoir les quitter, mes deux petits hommes, et je devais lui dire je t'aime. J'ai passé mes mains autour de son cou et j'ai caressé sa nuque du bout des doigts avant de fermer les yeux pour savourer le doux ballet de nos deux langues entremêlées : douceur et volupté étaient au rendez-vous. J'ai souris, contre sa bouche, alors que ses mains descendaient le long de mon dos, laissant sur leur passage un brûlant souvenir : et quand il m'a soulevé pour me poser sur la table, j'ai entouré sa taille de mes jambes pour le rapprocher de moi et enfin sentir son corps contre le mien. J'avais l'impression de me retrouver des années en arrière, alors que l'amour était à son beau fixe : les jours où nous pouvions passer notre vie au lit, à se caresser, à rire, à jouer, à faire l'amour. Les jours heureux avant cette période sombre …
Penchant ma tête en arrière, sur le côté, lorsque ses lèvres se sont posées sur mon cou, j'ai savouré, haleté même de plaisir : un homme ne m'avait plus toucher comme ça depuis une éternité me sembla-t-il, avant que je ne me rende compte qu'il n'y avait que Lewis pour me donner autant envie. Mes bretelles s'échappèrent elles-aussi de leur enfer, alors qu'il redressait la tête pour me regarder : mes yeux s'entrouvrirent pour laisser mes lèvres sourires à Lewis. Sa main se lève, et je n'ai pas de mouvement de recul quand il l'approche vers mon visage : j'ai confiance, je sais que cet homme ne voudra jamais me faire de mal. Je ferme les yeux à son contact, m'enivrant de l'odeur de sa peau, de la forme de ses courbes, du bonheur de le sentir là, près de moi : je bois cet instant comme si c'était le dernier -ce qui était probablement le cas- et je sens la seconde d'après ses lèvres contre les miennes. Ma langue caresse la sienne, sensuellement, alors que mon bassin commence à bouger contre le sien : ma main attrape ses cheveux sauvagement alors que je viens poser ma poitrine contre son torse, l'embrassant de tout l'amour dont j'étais capable. Alors que le baiser vint à sa fin, il m'attrapa par la main et me tira vers lui de façon à être dos à lui : je souris, je jubile, je tremble de plaisir alors que sur le chemin il dépose mille et un baisers tendre, de ma nuque jusqu'aux épaules en passant par mon dos.
On arrive très vite dans la chambre, je me doute que c'est parce que Rose risque d'arriver : je me demande vite fait ce qu'elle va penser de la situation .. Mais je chasse vite mes pensées qui n'ont rien a faire là. J'entends le clic de la porte derrière moi, et je me retourne à ses paroles. « Tu oserais me séquestrer ? » Je souris, j'adore ce jeu, j'ai toujours adoré jouer avec Lewis. Il s'approche, je m'approche, faisant onduler mes hanches sous ma robe : je me demande comment il peut avoir envie de moi avec ces bleus sur le visage, avec ces cicatrices sur le corps. Mais je me sens belle dans son regard, et capable de tout, alors quand il laisse tomber ma robe à mes pieds, je le laisse faire, et je remercie le ciel de m'avoir poussé à mettre un joli ensemble rouge en dentelle en guise de sous-vêtements. Mes mains se pose au-dessus de son boxer alors que je recule, mes yeux plantés dans les siens : je butte contre le matelas, et le temps de regarder derrière moi, j'atterris sur Lewis à califourchon. Je souris, mes cheveux dégringolant sur le côté, et mes yeux plantés dans les siens : j'avais le pouvoir. J'avais le pouvoir.
Mes lèvres se posèrent au coin des siennes, puis vers son oreille où je mordillais son lobe : je descendais alors, doucement, lentement, laissant glisser ma langue contre sa peau du cou, du torse, ma main suivant mes gestes, de haut en bas. Arrivée à son ventre, je redressais la tête, le fixant, souriante : j'ai frôlé son boxer des lèvres, et je me suis redressée. « Je te trouve trop habillé mon amour. » J'avais l'impression d'avoir toujours été sa copine, d'avoir toujours été avec lui : c'est donc naturellement que ce surnom est sortit de mes lèvres. Profite, me crie ma conscience, demain l'enfer viendra. J'ai retiré son boxer et alors que j'étais debout face à lui, mon soutient gorge tomba par terre avec le boxer que je portais il y a un instant. Tel un prédateur, je grimpais de nouveau sur lui, déposant des baisers partout où je passais : quand je suis arrivée à ses lèvres, je l'ai embrassé avec amour alors que mon bassin ondulait sur son membre.
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| mot doux de Invité ► un Sam 15 Aoû - 15:25 | | | Dahlia a été la première femme que j’ai aimée, elle a été mon premier amour et encore aujourd’hui, je ne peux pas me passer d’elle. Je ne supporterais pas qu’une personne puisse lui faire du mal, donc si cet homme revient, cette fois il aura affaire à moi. C’est bien trop facile de s’en prendre à une femme. Mais, pour le moment ce n’est pas vraiment ce qui me préoccupe. Je viens d’apprendre que le petit Lucas est mon fils. Je crois que j’ai encore un peu de mal à réaliser mais, bon j’adore ce petit garçon. Et j’ai enfin avoué à Dahlia les vrais sentiments que j’ai encore pour elle et mon envie de faire ma vie avec elle. Ce que normalement nous aurions dû faire depuis des années. Je ne dis pas que je ne regrette pas la vie que j’ai eue après notre séparation, car sinon, je n’aurais surement pas eu ma petite Rose.
En ce moment même entre Dahlia et moi, la température est en train de grimper. Je recouvre son corps une nouvelle fois, je la caresse et profite de ses lèvres comme si c’était la première fois que nous nous découvrons. Alors qu’à la base ce n’est vraiment pas le cas. Quelques minutes après, je la fis venir devant moi, pour l’emmener dans la chambre. Je ne sais pas exactement à quel heures ma petite Rose compte rentré... Une fois dans ma chambre, je ferme la porte puis je ris à ce que me dit Dahlia : « Je suis même prêt à te menotter si besoin ! » Je m’approche d’elle et elle fit de même, je viens à retirer sa robe, laissons ainsi apparaitre ce corps que j’ai toujours aimé et ses sous-vêtements qui la rendent encore plus sexy. Je ne fis pas attention aux marques qu’elle a sur son corps causé par l’autre type. Je la trouve vraiment belle et très sexy comme dans mes souvenirs. Mes mains posées sur ses hanches je la fais venir sur le lit, je m’assoie sur le bord et la fais venir aussitôt sur moi avant qu’elle ne tombe. Ainsi je lui donne tout pouvoir sur moi, sur mon corps. Nos regardent son planté l’un dans l'autre, le silence est présent mais, ce n’est pas ce genre de silence bien pesant. Bien au contraire.
Dahlia vient poser ses lèvres sur le coin des miennes pour finir par mordiller mon oreille, j’ai toujours adoré lorsqu’elle faisait cela. Dahlia est une vraie tigresse ! Puis elle descend doucement sa langue, sur mon cou, le torse puis finir vers mon boxer, ce qu’elle me dit me fis souriant, je me lève un peu pour l’aider à retirer mon caleçon puis, je regarde le spectacle qui s’offre à mes yeux. Dahlia retire ses sous-vêtements et reviens vers moi, avec son petit regard de tigresse prête à me sauter dessus. Une fois sur moi, elle vient à passer les lèvres importe où elle le peut. Et lorsqu’elle vient à déposer ses lèvres contre les miennes, je réponds à son baiser avec amour et passion. Je la laisse encore un peu onduler sur mon membre jusqu’à ce que je vienne à venir en elle pour ne faire qu’un. Je guide ses mouvements grâce à une main que j’ai posée sur le bas de son dos. Nos respirations sont déjà beaucoup plus intenses que tout à l’heure, mes lèvres viennent se poser sur sa poitrine pour les embrasser encore une fois, tandis que ma main libre vient se poser dans le creux de son cou. Puis je finis par inverser les positions, je l’allonge sur le lit déposant de tendres baisers son ventre et lorsque je reviens à ses lèvres, je me remets en elle. Je prends ses mains et les pose au-dessus de sa tête et mon mouvement, se font un peu plus rapide.
Je viens déposer mes lèvres dans son cou et je remonte doucement vers ses lèvres pour l’embrasser avec plein de fougue. Puis au bout d’un moment je finis par laisser mon dernier souffle de plaisir s’entendre. Je reste encore un peu en elle et sur elle, la regardant en reprenons mon souffle. Dahlia est tellement belle, elle a ce côté petit ange mais, aussi ce côté démon que j’adore en elle. Je ne dis toujours rien et l’embrasse une nouvelle fois.
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