Holden J. Joneset oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais !
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mot doux de Holden J. Jones ► un Ven 31 Oct - 14:26
Lulla & Aiden&wedding VIVE LES FUTURS MARIÉS MAIS BON, ON EST DANS L'ÉGLISE ON SE CALME BIEN SÛR
Evidemment elle n’était pas habillée. Autant dire que le pasteur n’était guère impressionné par sa petite blague. Il avait déjà du mal à accepter qu’Aiden puisse voir sa ville avec moins de vêtements sur le dos que ça, alors les amis et connaissances invités au mariage ? Hors de question. Heureusement les filles s’empressèrent vite d’aider la mariée à enfiler sa robe. Holden se maudissait d’être venu si tôt et de faire office de papier peint pendant que Lullaby se préparait. L’effervescence des préparations et les remarques des demoiselles d’honneur n’étaient en aucun cas un contexte favorable pour avoir une petite séquence émotion père/fille et se faire à l’idée que oui, c’était le jour J. Sa fille allait se marier. A Aiden Maccallister. Ugh. En parlant du loup…Holden leva les yeux au ciel en entendant une commotion dans le couloir. La voix hystérique du futur marié pouvait se deviner derrière les portes et Holden jura qu’il allait lui mettre un coup de pied au cul s’il osait débarquer dans la pièce et ruiner la tradition. Tout alla très vite après ça. Entre la fille de Joan qui fit un passage éclair dans la salle et le reste de ses filles qui prirent les voiles, Holden avait l’impression d’avoir été mis sur pause alors que le reste du mode était en accéléré. Et voilà qu’il se retrouvait seul comme un con. Il aurait demandé à tout le monde de sortir que ça n’aurait pas été aussi efficace ! Le bruit de la porte qui s’ouvre se fit entendre et Holden fit volte face, près à confronter Aiden, mais ce n’était que Jane ! Holden glissa un sourire à sa femme, amusé par sa remarque et toujours un peu confus « J’en ai aucune idée... » avoua-t-il. « J’espère qu’elle n’est pas allé retrouver Aiden » grommela-t-il. Franchement. C’est qu’il allait bientôt être l’heure et qu’ils pouvaient bien attendre quelques minutes avant de se retrouver, non ? Holden ne pensait pas demander la lune en souhaitant un peu de retenue ! Dans un soupir qui en restait plus amusé qu’agacé, Holden glissa sa main le long de l’avant bras de sa femme avant d’entrelacer ses doigts aux siens. « Ca ne sert à rien de l’attendre bêtement ici » dit-il, en se dirigeant vers la sortie. L’heure avançait et Holden estimait qu’il était temps de mettre la cérémonie en marche. Cela restait presque la seule manière efficace de faire sortir leur fille de sa cachette ! A peine eut-il mis un pied dans le couloir que le pasteur se stoppa net. Inadmissible. Il jeta un regard froid sur la petite assemblée réunie autour d’une substance qui n’avait rien à faire sur le beau plancher de son église. Avant qu’un d’entre eux ai l’état d’esprit d’ouvrir ma bouche pour lui desservir une excuse qu’il n’avait pas la patiente d’entendre, Holden désigna la flaque d’un doigt sévère. « Je veux que ça disparaisse » ordonna-t-il, ne souhaitant pas que sa tante au troisième degré ou tout autre invité peu prudent glisse là-dessus et se pète un tibia. « Les témoins, la cérémonie va bientôt commencer » et gare aux retardataires ! Holden continua son chemin jusqu’au cœur de l’église, le brouhaha des invités se faisant de plus en plus bruyant. Il eu le temps de croiser le cousin d’Aiden joggant dans les couloirs avec un tube de dentifrice dans une main, d’autres personnes qu’il jurait n’avoir jamais vu de sa vie, et sa petite Grace parler avec un jeune homme, ce qui le fit presque rebrousser chemin. Holden laissa Jane, au cas où elle souhaitait faire une dernière tentative pour voir sa fille avant qu’elle ne remonte l’allée, ou bien pour discuter avec une quelconque personne. Lui s’empressa d’accueillir les derniers invités et d’indiquer les rares places libres ou de leur dire que tant pis, il faudra rester debout ! Il fit bien comprendre à tout le monde que ce n’était plus le temps de se complimenter sur leurs robes ou de s’enquérir de la réussite scolaire de tel enfant : il était temps de passer aux choses sérieuses. Holden rejoignit l’hôtel, observant les familles se partager d’un côté de l’autre de l’église et ses proches prendre place dans les premiers rangs. Il ne pu épargner un sourire en leur direction en attendant que tout le monde s’assoit. Ensuite seulement il fera signe aux demoiselles d’honneur et aux témoins de remonter l’allée. Lulla suivrait, aux bras de son parrain, chose qu’Holden n’avait pas complètement digéré, mais il ne pouvait pas être partout à la fois ! Holden n’en revenait toujours pas qu’il allait marier sa fille. Il n’en revenait toujours pas non plus qu’Aiden allait devenir son gendre, mais eh, on peut pas tout avoir dans la vie.
Aiden N. MacCallisteret oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais !
❝ Métier : Ambulancier et vétéran des US Marine, sans compter un rôle à temps plein, celui d'être père. Il a aussi reprit ses études en médecine qu'il a longtemps abandonné. ❝ cupidon : Marié à la fille du pasteur et la trompe avec Aaron ♥ ❝ post-it : né à los angeles le 18 août 1982, mais a grandit à Pasadena ◮ a joué le rôle de père et de mère pour son frère et sa soeur durant leur enfance ◮ n'a jamais fini ses études en médecine ◮ c'est engagé dans l'armée avec son cousin et trois autres de leurs amis lorsqu'il avait 22 ans ◮ il faisait partit de l'élite de l'armée américaine, mais il a connu des drames qui l'on marqué à vie ◮ après son retour de sa première mission, au Pérou, il était devenu un junky, suite à une séquestration de plusieurs jours et absorption de drogue ◮ sauvé de sa dépendance par une jolie pompière ◮ a arrêté de courir à droite et puis à gauche pour devenir fidèle ◮ nudiste sous l'effet de l'alcool en trop grosse quantité ◮ octobre 2013, envoyé en Iraq pour une mission secrète ◮ février 2014, survit à une embuscade qui coûte la vie de son ami d'enfance, du frère de Lullaby et de tout son bataillon ◮ il revient au pays médaillé pour son courage, mais avec une épaule amochée, une jambe blessée et un esprit torturé ◮ il a une fille, Nora, née peu avant son retour ◮ octobre 2014, se mari avec Lullaby ◮ parle aux écureuils sous l'effet de la marijuana ◮ 27 juin 2015, naissance de son second enfant, Dylan ◮ Janvier 2016, reprend ses études à l'université en médecine
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mot doux de Aiden N. MacCallister ► un Dim 2 Nov - 8:31
Lullaby&Aiden&wedding vive les futurs mariés mais bon, on est dans l'église on se calme bien sûr
Hier avait été une soirée de fou, en fait c’est ce qui semblait être le cas avec la description que m’en faisait Lullaby. Je regardais mon doigt, plus précisément mon annulaire où cette alliance était dessiné. Dans quelque instant se serait la véritable bague qui se trouverait là. Je l’écoutais parler encore, ne désirant pas briser ce moment si charmant. Puis je prenais le verre qu’elle me tendait avec le cachet ainsi qu’un bonbon à la menthe. En un claquement de doigts, je prenais le cachet et le bonbon. Me levant en déposant le verre sur la table. Je m’approchais d’elle, prenant sa main avec un petit sourire en coin. J’avais envie d’elle, en partie pour tout ce qu’elle venait de me dire, mais on toquait à la porte. « Un instant. », disais-je en poussant un soupire. « Y va falloir se laisser, mais on se reverra. Je serais le pingouin sur l’autel qui attendra la plus belle des femmes. » J’allais la reconduire vers la porte de sortie et j’embrassais sa joue. « Ah oui, attend tourne toi. » Je passais autour de son cou un collier simple que j’avais acheté bien avant de revenir au pays. C’était quelque chose que je voulais lui offrir pour nous réconcilier, un bijou simple en argent en forme de coeur avec une pierre précieuse que j’avais fait changer en saphir pour le mariage. « Voilà quelque chose de neuf et de bleu. Je voulais te l’offrir à mon retour, mais j’ai préférer te demander en mariage. » Je lui souriais ne cherchant pas à la retenir plus longtemps alors qu’on toquait à nouveau à la porte. Je fermais donc la porte alors pour la laisser repartir sans qu’on la voit. Replaçant mon veston et me passant une main dans les cheveux, j’allais ouvrir l’autre porte. Derrière celle-ci se tenait Aaron me montrant le bâton de dentifrice. Je le faisais entrer en le tirant par la chemise et fermant la porte derrière lui. Je ne pouvais pas lui dire, que Lulla venait de quitter la pièce. Je n’avais pas envie de subir la moral de mon cousin, surtout qu’on avait rien fait à part m’apprendre la terrible soirée d’hier et le fait qu’elle était de nouveau enceinte. « Merci. », disais-je en prenant l’attirail fourni pour me débarrasser de cette halène de chacal. Me brossant les dents, je regardais mon cousin à travers le miroir. Le bouche pleine de brou blanche. Je poussais un soupire essayant de reprendre sur moi, je n’avais plus le même trac. J’avais simplement peur d’oublier mes mots, enfin mes vœux. On toquait une nouvelle fois à la porte et j’entendais alors que c’était le début de la cérémonie. Je regardais Aaron crachant l’accumulation du dentifrice dans le lavabo. Une verre d’eau pour rincer le tout et j’étais prêt. « Eh bien voilà c’est le grand moment. » Je le regardais, lui accordant une poignée de main viril. « On se revoit sur l’autel et essai de pas faire honneur aux MacCallister en t’étalant de tout ton long avec la demoiselle d’honneur que tu vas accompagner. » Je souriais, avant de quitter la pièce et de me diriger vers ce point d’attente. Marchant dans la foule, je saluais vite fait quelques personnes, serrant des mains, faisant des bises amicales... Je montais finalement sur le podium près d’Holden. Je lui accordais un faible sourire, il faut ce le dire entre nous ce n’est pas l’amour. Mais ce n’est pas lui que je demande en mariage et une chance ! Tirant sur ma manche, je regardais tout le monde prendre place. J’avais chaud, trop chaud pour garder la tête froide ! J’étais à quelque instant de me marier. Cette maudite musique commençait et je croisais mes mains devant moi. Je regardais Aaron et mes autres témoins dont mon frère qui remontait l’allée au bras des demoiselles d’honneurs. Une puce suivait tenant un panier de pétale de fleur et d’un boutchou lui tenait un cousin où se trouvait les alliances. Puis je voyais son visage dans cette robe blanche. Elle était sublime et le simple fait de la voir me fit sourire comme un débile. Elle avançait vers nous et bordel qu’il faisait chaud dans cette église. Elle semblait regarder quelqu’un, comment pouvait-elle regarder une autre personne que moi ? Une question vite oublié, alors qu’elle arrivait devant moi. Je souriais à Orion son parrain, puis prenais la main de Lullaby avant de se placer devant Holden. Je jetais un regard à son père avant de le reporter sur elle. J’écoutais d’une oreille Holden qui disait le baratin habituel, en fait j’étais trop concentré à regarder sa fille. J’entendais tousser alors qu’on demandait si quelqu’un était contre ce mariage. J’en fronçais mes sourcils, devais-je prendre cela pour une objection ? Je passais tout de même outre ce moment, puis vient le moment des voeux. « J’avais écrit des voeux, mais je crois que j’ai tout oublié avec tout ce qui s’est passé hier et ce matin. Mais Lullaby, je me souviens comme si c’était hier de ce jour où je t’ai vu à la caserne, alors que je revenais. Sérieusement, je ne pensais pas, que tu pouvais t’intéresser à moi. » J’essayais d’éviter le regard de son père. « Puis, il y a eut cette fameuse nuit où tu as découcher pour la première fois, cette nuit là a été magique. J’ai laisser mes addictions pour n’en avoir qu’une et aujourd’hui tu es là devant moi. Nous n’avons pas toujours eu des moments roses, et pourtant ma vie est magique, tu es celle avec qui je veux passer le reste de ma vie. Je n’ai pas envie de vieillir au près d’une autre que toi, passé mes vieux jours à tes côtés de celle que je considère comme ma meilleure amie, celle qui connait tout de moi et qui malgré mes nombreux défauts m’accepte comme je suis. Pour moi tu es plus que ma futur femme, tu es ma moitié et sans toi je ne suis pas complet. Et rien ne sers de croire que tu risque de te débarrasser de moi après, car je ne te laisserai pour rien au monde même si je me retrouve à changer tes couches quand tu auras 80 ans. Je t’ai aimé, je t’aime et je t’aimerai toujours jusqu’à la fin. » Je prenais mon souffle après une tirade sans pause. Et le moment arriva tant attendu de tout les mariage arriva. « Oui, je le veux. », disais-je en lui passant la bague au doigt. Et je m’approchais d’elle pour lui donner l’ultime baiser de cette cérémonie d’union.
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Invité
mot doux de Invité ► un Dim 2 Nov - 15:47
Lulla & Aiden&wedding VIVE LES FUTURS MARIÉS MAIS BON, ON EST DANS L'ÉGLISE ON SE CALME BIEN SÛR
La nuit précédente avait été difficile. Très difficile. Je n’arrivais pas à rester en place dans ma propre maison. Je faisais les cent pas, tournoyant de manière effrénée dans les différentes pièces de ma maison. Je rasais les murs de mon salon, je montais et descendais de manière frénétique les escaliers, je ne cessais d’ouvrir et de refermer sans cesse la porte de ma chambre et celle de ma petite sœur qui n’en pouvait plus de mes mouvements incessants. Mon chien, Châtiment, qui était plutôt de nature joueur, n’arrivait même plus à me suivre dans mes tourbillons de mouvement. Si bien qu’il avait fini par s’installer sur le canapé du salon, ne prenant la peine de relever la tête uniquement lorsque je faisais irruption dans son champ de vision. Dire que j’étais nerveux, anxieux était un euphémisme. Je n’étais à présent qu’une boule de nerfs en feu. Et pourquoi donc ? Parce que demain, ma meilleure amie allait se marier. Oui, ma Vanille allait se faire passer la bague au doigt. J’aurais pu être heureux de me dire que, malgré les événements de la vie qui nous ont séparés et qui finiront enfin par nous réunir, elle a réussi à faire sa vie, à trouver quelqu’un qui la rendrait potentiellement heureuse, épanouie, quelqu’un qui lui avait donné le plus beau cadeau qui soit en la personne d’un enfant. Mais chaque fois que j’essayais de forcer un sourire sur mon visage en y pensant, tout ce que j’arrivais à faire, c’était étirer mon visage en une grimace difforme. Je n’étais pas ravi. Pourquoi ? L’idée que ma meilleure amie se marie ne me freinait pas. Non, c’était la personne avec laquelle elle se mariait qui me dérangeait. Ce fameux Étrenne. Non. Euh… Ah oui, Aiden. Aiden Macmachin. Cet homme, je ne le sentais pas du tout. Quelques semaines plus tôt, apprenant que Vanille allait bientôt passer dans le camp des femmes mariées, j’avais décidé d’utiliser le fichier de renseignement de la police afin d’en savoir un peu plus sur son compagnon. Rien qu’à voir sa tête et ses dents d’écureuils ça commençait mal. Il n’était pas suffisamment sexy déjà pour pouvoir oser poser ses mains sur ma belle Lulla. S’il était un tantinet beau comme moi – même si ce ne sera jamais possible soyons sérieux – ça aurait été déjà mieux. Mais passons. Je me disais que peut-être, il avait une personnalité qui réalignait suffisamment sa dentition. Je lisais les informations qui avaient été réunies sur lui. Il avait servi son pays par le biais de l’armée. Ça forçait le respect. Un petit sifflet avait même échappé mes lèvres. Mais il fut très vite remplacé par un froncement de mes magnifiques sourcils – ils sont si bien taillés et si bien entretenus – lorsque je lus qu’il avait été plusieurs fois soupçonné d’être un consommateur de Marijuana. Là le semblant d’appréciation que j’aurais pu avoir pour lui s’était envolé loin. Très loin. Loin comme les écureuils que l’on voit volé lors des mondiaux de lancers de rongeurs. Bon ce sont des mondiaux illégaux mais on a l’air moins bête à lancer des rongeurs plutôt que des marteaux non ? Bref, là n’était pas la question. J’avais continué ma petite lecture et finit par fermer le ficher. Comment Papa Jones pouvait laisser sa fille se marier avec ce genre de type ? Sérieusement. Peut-être qu’il était devenu mou du genou avec l’âge. Après une discussion houleuse avec ma petite sœur Brooke, elle avait fini par me convaincre de me rendre à la cérémonie. Cela faisait exactement quinze années que je n’avais plus revenu Lullaby (je l’espionne mais bon ça ne compte pas) et j’avais réellement peur en me disant que j’allais arriver comme une fleur à son mariage. Allait-elle me reconnaître ? Comment réagirait-t’elle à ma vue ? Son principal ressenti serait-il de la colère ? De la joie ? Ou bien pire encore, de l’indifférence ? La simple idée de la revoir réellement, d’échanger un regard avec elle me laissait perplexe. Et en même temps j’étais heureux. Heureux de pouvoir enfin renouer le contact avec celle qui m’avait tant manqué. Cela aurait pu être dans d’autres circonstances, mais il n’y aurait jamais une meilleure ou une moins bonne occasion. On dit qu’il n’y jamais de meilleures moments dans la vie pour faire quelque chose. Le « meilleur moment » c’est lorsque l’on ne s’y attend pas. Alors j’avais décidé d’y aller. Et j’avais fini par arrêter de tournoyer dans la maisonnée et par me mettre au lit. Mais le marchand de sable avait décidé de ne pas me livrer ce cadeau si précieux que peut être parfois le sommeil. Alors j’avais les yeux ouverts, le regard dans le vague, regardant le plafond de ma chambre comme si cela était la plus belle chose que j’avais vu. Demain, quoi qu’il advienne, allait être un grand jour dans ma vie. Je n’étais pas en train d’avoir des pensées à l’eau de rose comme une vulgaire fillette qui pue. Non. Je me disais juste que j’avais réussi à récupérer ce dont j’avais presque toujours rêvé. Certes le tableau n’était pas encore totalement complet, mais on n’était pas très loin du sans faute. Et parmi l’une de ces cases qui occupait une grande place, se trouvait toujours et encore ma meilleure amie. Demain on allait finalement se retrouver. Pour le meilleur ou pour le pire. Il n’y avait bien évidemment pas de doute sur ce que j’espérais.
Le lendemain, j’étais déjà bien réveillé, le sommeil m’ayant fait défaut une bonne partie de la nuit. J’étais prêt, fringant comme je l’étais toujours, avec mon smoking coupé à l’italienne. J’étais quelqu’un de doté d’une grande classe, alors ce que je portais devait aussi l’être forcément. Mais bon, même tout nu, j’avais un sex-appeal qui faisait exploser les baromètres. Habillé ainsi, je risquerais de voler la vedette au marié. Peut-être même que sa promise ferait demi-tour. Ce n’est pas que ça me dérangerait, soyons francs, mais bon, je n’étais malheureusement pas la star du jour. J’essayerais sans doute de me rattraper à la réception. Brooke m’avait demandé si j’avais pensé à amener une cavalière. Malgré mon angoisse qui avait chassé quelque peu mon naturel, ce dernier revint vivement au galop. Quelqu’un comme moi avait-il réellement besoin d’une cavalière ? Il suffisait juste que je claque des doigts pour que dix filles en chaleur me tombent dans les bras et me supplient de les choisir en me faisant mille baisers. Alors non, je n’avais besoin de personne parce que je trouverais quoi me mettre sous la dent. J’étais un chocolat chaud après tout non ? Trêve de discussions, je pris mon bébé d’amour – ma voiture bien évidemment – et roula en direction de l’église. Ne trouvant pas de place discrète, car toutes déjà prises, je m’étais alors résolu à la garer près d’une porsche. La personne à qui appartenait cette voiture devait avoir de sacré moyens. Mais bon, une porsche n’a aucune valeur à côté d’une Mustang. Je descendais de voiture, et me dirigeait à l’intérieur du bâtiment, attirant déjà les regards luxurieux sur mon passage. Que voulez-vous, même en cherchant à être discret, j’attirais tous les regards. L’église était déjà pratiquement pleine à craquer. La cérémonie n’allait sans doute pas tarder à commencer puisque Étrenne… Aiden était déjà installé à l’autel, avec pas loin de lui Papa Jones. Je ne pensais pas que revoir un visage si familier me ferait un tel choc. Je m’étais arrêté dans mes pas, regardant l’homme qui m’avait plus d’une fois menacé de faire de ma vie un enfer si je ne me tenais pas à carreaux avec sa fille. Et même si certains l’auraient trouvé menaçant, j’aimais qu’il me dise toutes ses choses. Parce qu’au fond, je savais qu’il m’aimait bien et que j’étais la dernière personne qui chercherait à faire du mal à la prunelle de ses yeux. Mais contre ma volonté, j’en avais fait quand même. Reprenant mes esprits, je repris mon chemin vers l’avant de l’assemblée. Plus j’avançais et plus des visages familiers de mon enfance croissaient mon regard, rendant ma marche plus difficile qu’elle ne l’était déjà. Je n’étais pas du genre à baisser la tête, alors j’avançais, en essayant d’être le plus sûr de moi. Pas très loin du banc familiale, à un banc près, je trouvais une place libre. Je m’y installais mais je sentais ma nuque et mon côté brûler sous les regards. Je finis par tourner la tête sur le côté pour voir qui m’observait. Des filles, forcément. Et même deux garçons. Je pensais qu’ils m’observaient avec curiosité, mais j’avais vite fini par comprendre que ce n’était bien évidemment pas le cas. Ils me souriaient tous bêtement. Encore une fois, je n’avais rien fait mais j’attirais tous les regards. Je n’eus pas le temps de m’attarder longtemps puisque la musique sonnant l’entrée de la mariée se fit entendre. Et je la vis. Ravissante, étincelante, sublime, naturelle. Les adjectifs pouvant décrire Lulla s’étendaient à l’infini. Je ne sais pas pourquoi, mais je me sentais fière de la voir ainsi. Peut-être parce que j’avais toujours été protecteur à son égard. Je la voyais traverser l’allée centrale avec ce que j’avais reconnu être Orion à son bras. Il avait l’être heureux mais il avait quand même la mâchoire crispée. Je me demandais bien pourquoi. Je redirigeais mon regard vers la plus femme de la journée, et nos regards alors se croisèrent longuement. Il n’y avait pas besoin de mots entre nous. Je savais et elle savait. Je l’avais reconnu parmi une foule de tant d’autres, et elle, d’un seul regard avait compris. Troublée, elle avait fini par détourner le regard. Et moi donc. La pleb pouvait enfin se rasseoir, et la cérémonie prenait son cours. Enfin, ça dépendait pour qui. J’avais au fil des minutes, de plus en plus de mal à faire abstraction du fait que les personnes qui étaient assises sur mon banc n’arrêtaient pas de me jeter des regards plus qu’insistants. Je prenais réellement sur moi afin de les ignorer du mieux que je pouvais. Au moment où Papa Jones demanda si quelqu’un s’opposait à cette union, je fus surpris par un des garçons qui était assis à côté de moi qui posa une main très baladeuse sur ma cuisse. Plutôt que de réagir calmement, je me levais subitement en toussant fortement de ma chaise, attisant les murmures et les regards de la foule présente. Je recevais des regards meurtriers, certains se transformaient rapidement en regard plus qu’intéressé. On est dans une église pour un mariage ou dans un club échangiste protestant bon sang ?! Avec le regard plus qu’assassin de Papa Jones sur moi, je finis par me rasseoir au bout de quelques instants, profitant de ma position debout pour lancer un sourire aguicheur à une fille au premier rang que j’avais repéré. Bien sûr que j’étais opposé à cette union ! Mais ce n’est pas autant que j’avais décidé de créer un scandale… Avouez-le, même moi je ne me trouve pas convainquant en pensant ça. Quoi qu’il en soit, la cérémonie se poursuivit avec le discours puant l'eau de rose et chouineur de son mari. Vraiment ? Il avait besoin de nous raconter toute sa vie inintéressante ? Il ne manquerait plus qu'il pleure et des mouchoirs et on tiendrait là un bon épisode d'Amour Gloire et Beauté ! Et en plus ce grand gaillard prétend considérer MA Vanille comme sa meilleure amie ! Hey ho j'ai envie de dire ! Le poste est déjà occupé alors qu'il aille s'en chercher une autre. Tout son soi disant discours oublié n'était qu'un ramassis de phrases fleur bleu comme je ne les aime pas... Tout ce que je pouvais faire pour montrer ma contestation, c'était de soupirer. Lorsque les mariés furent officiellement unis, tout le monde applaudissait avec vivacité. Tous, sauf moi. J’applaudissais pour faire bonne figure mais je n’étais pas forcément des plus ravi. Ma meilleure amie était enfin une épouse. Ok jusque-là aucun soucis. Mais se marier avec ce gars-là… Ah la la la… Cet homme, Étren… Aiden, devait se dire qu’il a réussi à passer le seul obstacle qui lui restait en se mariant avec Lulla avec l’accord de son père. Mais ce qu’il n’avait pas prévu, ce serait moi qui jouerais le rôle d’ombre au tableau jusqu’à ce que la mort les sépare ou qu’un tribunal familial ne les déclare divorcés. Et quel que soit le scénario qui se jouera, je serai toujours là pour lui mettre des bâtons dans les roues. Je n’aurais de toute façon, pas beaucoup d’efforts pour mettre de l’eau dans le gaz. J’ai envie de dire : regardez-moi.
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Invité
mot doux de Invité ► un Dim 2 Nov - 16:25
Lulla & Aiden &Wedding Mariage
Jane ne s'attendait pas à retrouver son époux seul dans cette salle. C 'était quand même l'endroit où il devrait y avoir le plus d'effervescence. La mariée, les demoiselles d'honneur et la famille, tout le monde devrait être ici. Alors soit Holden avait fait fuir tout le monde, soit rien ne se passait comme prévu. Ce qui arrive souvent dans cette famille de dingues. Jane en sourit alors que son mari s'agaçait un peu de la situation. Lui qui aime les traditions, il n'est pas gâté avec ses enfants.
_ Ils sont incapables de passer cinq minutes sans se voir.
Ah l'amour, que c'est beau ! Ils en sont au tout début, tout est encore que passion et folie. Qu'ils profitent tant qu'ils n'ont qu'un bébé. Ça ne sera plus du tout pareil dans quelques années. Ils seront obligés de se cacher pour s'envoyer en l'air. Ou alors attendre le soir que tout le monde est couché... mais là, ils seront trop crevé pour faire quoi que ce soit. Déposant un léger baisé au passage à son homme, Jane enlaça sa main et le suivit à l'extérieur, souriant en voyant le bordel dans le couloir. Décidément Holden va finir par faire une attaque avant la cérémonie. Elle, ça l'amusait plus qu'autre chose. Elle laissa son homme aller se préparer et comme tout le monde, elle alla prendre place dans l'église. Son statut de maman lui donnait droit à une place de choix au premier rang. La seule tâche au tableau fut Joan qui était bien trop près d'elle mais Jane fit tout pour l'ignorer au mieux. De toute façon, elle était bien trop occupé à tout regarder. Elle échangea un regard complice avec son homme. C'était juste histoire de lui donner un peu de courage. Elle savait l'effort qu'il faisait aujourd'hui. Il était tiraillé entre le bonheur de marier sa fille et l'agacement de la donner à Aiden. Sans parler du fait que ce n'était pas lui qui remonterait l'hôtel avec sa fille à son bras. Comme tout le monde, elle regarda les demoiselles d'honneur puis la mariée. Elle était juste sublime. Jane n'arrêtait pas de sourire. Ce moment restera gravé dans sa mémoire à tout jamais. Il n'y a qu’Alzheimer qui pourrait lui faire oublier ça. Mais mieux vaut ne pas y penser. Tout fut émotion et bonheur. Aiden lui arracha quelques sourires. C'était tellement beau de l'entendre parler. Même s'il aurait du éviter le passage des couches à 80ans. Ça gâche un peu le romantisme du moment. Puis au moment du oui et des alliances, la rouquine laissa échapper quelques larmes. Elle s'était pourtant promit de ne pas pleurer. Bah ça sera raté.
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Invité
mot doux de Invité ► un Dim 2 Nov - 20:03
Lulla & Aiden &Wedding Mariage
Putain que j'étais choqué... Ma soeur se mariait aujourd'hui... AUJOURD'HUI QUOI! Vous vous rendez compte?! D'jà que je trouvais qu'être tonton à mon age c'était genre tôt, surtout que c'était sur tout les tableaux, mais en plus de ça, ma grande soeur bah passait le cap du non retour comme j'aime dire. Ça me faisait bizarre... Tellement bizarre que la veille j'avais pas réussi à dormir et que du coup je m'étais couché genre vers 6 heure si ma mémoire est bonne? Ouais, dans ces eaux là. Donc bah pour faire simple, le réveil avait été compliqué ce matin mais je m'étais levé! Bien que plus tardivement que le reste de la famille. Mes parents eux n'en parlons pas, sont toujours levés aux aurores, mais côté sister c'était la même. En même temps... Paye le temps de préparation. Du coup moi j'avais pris mon temps, attendant que ces folles de la salles de bains est fini pour enfin y aller. J'étais encore au stade du petit déjeuner quand ils sont tous parti pour manger sur place. Tant pis, j'arriverais un peu après, j'aurais l'estomac plein de toute façon. Seulement... Après ma douche et en étant près hein, bah j'ai eu la très mauvaise idées de m'étaler 5 minutes sur mon lit, juste le temps de décompresser m'voyez... Sauf que j'ai tellement décompressé que.. J'me suis endormi. Si si, véridique. Donc autant vous dire que le sms de ma mère m'a gentiment réveillé en sursaut quand je l'ai reçus. Vous savez le sympathique "Bah alors t'es où? La cérémonie va commencer." SHIT... Là gros coup de pression! Je me levais d'un bon me mettant à courir comme un dingue en manquant de me vautrer dans les escaliers pour prendre ma voiture et rejoindre l'église. Là j'avoue, les limitations de vitesse, j'en avais rien à foutre, je fonçais! Me répétant sans cesse stressé "Oh my god, oh my god, oh my god... Plus vite sinon papa va m'tuer!" et c'est rien de le dire. Lui et les retards c'est une grande histoire, surtout pour ce genre d'occasion. Regardant l'heure 14h passé... "Aller plus vite, j'vais mourir moi sinon!" ouais ça trainait sur la route alors pire c'était. C'est après dix bonnes minutes que j'arrivais enfin, me garant dés que possible pour sortir en courant jusqu'à l'église dans laquelle j'entrais comme un ouf en plein milieu de la cérémonie. Me stoppant net, j'inspirais un grand coup yeux rond à voir que tous étaient déjà assis et mon père faisait déjà son travail sur l'autel. La maxi honte. Ok j'allais me faire défoncer. Avalant ma salive, je me faisais le plus silencieux possible pour marché jusqu'au long du mur pour remonter plus discrètement jusqu'au devant et rejoindre en faisant bien chier tout le monde ma mère, venant m'asseoir à côté d'elle l'air de rien bien que j'essayais de reprendre mon souffle. Yeux grands ouverts, je me mordais la lèvre, me faisant tout petit à regarder Aiden faire son discours.
Invitéet oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais !
Invité
mot doux de Invité ► un Lun 3 Nov - 1:00
Lullaby&Aiden&wedding vive les futurs mariés mais bon, on est dans l'église on se calme bien sûr
C’était pénible, oui… j’allais me marier et nous devions y aller pour nous retrouver à l’autel mais je ne voulais pas quitter cette loge avec lui. Beaucoup diraient que nous sommes intenables et pire que des gosses mais dans le fond, c’était ce que nous étions. L’amour rend ainsi. Je souriais doucement en regardant celui-ci me dire que je suis la plus belle en quelques mots. C’était tout ce que je retenais aussi stupide pourrais-je l’être. Et c’est alors que j’avais même un cadeau, un bijou bleu et nouveau. Je souriais doucement en l’entendant et le mettant à mon cou alors que je sortais. Pour aller terminer de me préparer et c’était assez facile mine de rien. Le seul point délicat était que mon parrain était introuvable. Mon dieu mais il faisait quoi dans les coulisses avec ma marraine ? Je ne savais pas du tout ou il se trouvait. Je regardais Lenaelle en souriant. « Tu trouverais Orion ? », demandais-je donc à ma demoiselle d’honneur avant de sourire à Azélia, Kate, et même Cordélia en leur offrant à chacune un bracelet en argent avec leur prénom. Le cadeau de la mariée aux demoiselles d’honneur ? J’y tenais plus que tout. J’offrais en retard celui à Lenaelle aussi. J’entendais alors déjà cette litanie défilée et la douce voix de Jordan. C’était mon tour. En avançant, je voyais le ventre rond de la chanteuse de la cérémonie. Je me demandais si j’arriverais aussi à atteindre les 11 mois de grossesse comme elle. Je souriais doucement en avançant pas à pas et regardant simple Aiden mais mon regard dérivait à un portable sonnant parmi les invités. Je regardais au passage cet homme. Cela faisait au moins 18 ans pourtant le regard d’une personne que vous avez cru mort ne vous laisses pas de vagues souvenirs comme vous pourriez le croire. C’était ce regard qui était sur une photo de ma commode dans ma chambre juste à côté de celles de Luke. Je buguais quelques instants, je n’y croyais pas. Je devais rêver. C’était sûrement comme voir Logan à mon mariage alors qu’il était le dernier de ceux que je voulais voir. J’inspirais doucement en continuant à marcher bras à bras avec Orion. Je ne voulais pas vraiment qu’il ne me lâche. J’avais peur que partir en courant en fait. Tous les regards étaient rivés sur moi. Attendaient une chose en particulier ? Ah oui, que j’avance en regardant mon futur mari. Je devais être dingue et je me demandais quand un cheval avec une corne allait arriver. Bien sûr avec une corde sur la tête. J’allais peut-être voir Luke ? Je n’en savais rien mais un mort suffisait ? J’allais finir à l’asile et j’étais perdue. Je retrouvais cependant rapidement le regard d’Aiden pour m’y plonger et m’y sentir en sécurité tout simplement. Je marchais sur ce marbre. Cette marche qui me séparait de l’autel. Mes pieds me permettant d’arriver à sa hauteur. Je me mettais alors face à lui en prenant ses mains. Je laissais à papa le baratin spirituelle. J4avais des frissons dans tous le corps. Pas de ces frissons sexuels mais non… C’était des frissons hors du commun. Le bonheur ? Peut-être ce mot suffisait mais j’avais encore ces voix dans ma tête. Alors qu’un toussotement se fit entendre, je tournais le regard vers… non mais encore le mort. Donc tout le monde le voyait ? Je le regardais attentivement. Ce n’était pas possible. Non. Ce n’était pas possible. Je buguais un peu sans trop savoir comment réagir. J’inspirais doucement en retrouvant attention sur Aiden. Le spectacle devait continuer et ce n’était pas qu’un spectacle à mes yeux. C’était mon âme sœur. J’inspirais doucement en l’écoutant. Mon cœur battait dans ma poitrine alors que je ne désirais qu’une chose : l’embrasser avant tout le reste. Non, je ne pouvais pas. Je sentais que j’allais me faire tuer si je gâchais le touin touin de papounet. Je l’aime mon papounet d’ailleurs. (Petite pause égo de papa Jones car on lui dit pas assez qu’on l’aime) Je souriais, un sourire timide alors que je baissais le regard vers nos mains, c’était adorable. Oui. Je laissais mes yeux s’humidifier légèrement en relevant rapidement le regard vers lui. Je connaissais mes vœux par cœur. « Quand je t’ai vu pour la première fois… je pensais déjà que c’était la première fois. Je t’ai vu et je me suis dit… punaise, faut que je reste loin de lui. C’est typiquement le type dont vous tombez amoureuse et qui vous brises le cœur. Celui qui a ce regard tellement… le regard d’un enfant qui n’a jamais grandi, ce regard que j’avais… aussi. Tu avais une addiction, la guerre et… j’avais aussi ma propre guerre à mener. Ce regard qui fait que toi et moi, nous nous comprenons. Le regard de ceux qui se battent contre eux-mêmes en silence. Le regard faussement joyeux, renfermant bien plus d’une tristesse. Je n’étais jamais réellement tombée amoureuse, c’était comme une malédiction pour moi… puis de fils en aiguilles… tu m’as eu de tes ventouses très… », je souriais doucement. « Très efficaces. Tes mains très douées… », disais-je en riant doucement car ceci était la phrase perverse. « Et je pense que tu m’as montré qu’avoir peur de l’amour était surtout un moyen de me protéger mais de m’enfermer dans une vie éteinte, une vie sans amour n’est pas une vie. Tu m’as montré qui j’étais, qui je pourrais être et que sans toi, je n’étais rien. », je souriais doucement. « Tu m’as montré parfois que j’avais raison de crainte l’amour mais pourtant je ne me souviens que des choses qui m’ont prouvées le contraire. Ces maux que tu chuchotes à mon oreille, ces compliments discrets qui me font toujours le même effet… la sensation qu’avec toi, je n’ai peur de rien tout en ayant peur de moi-même car… même si certaines personnes pensent que tu ne me mérites pas, j’ai envie de dire merde… c’est moi qui ne le mérite pas. J’ai fait tellement d’erreurs même si c’était… », je souriais doucement. « Le passé… Je fais le vœu au final de toujours me dire : que putain, t’es le type de mec donc je vais tomber amoureuse mais surtout que tu es celui donc je tomberais toujours amoureuse tous les jours et un peu plus… tu es celui que je craindrais tous les jours de perdre mais avec lequel je ne craindrais jamais de finir la fin de mes jours avec lui. Je fais aussi le voeux de toujours coucher avec toi au moins une fois par jour sauf si t'es puni ! », je murmurais alors plus doucement. « D’ailleurs faut que je t’avoue qu’on s’est rencontré à l’époque du lycée ou je n’étais qu’une enfant et que tu étais l’abruti qui attire les filles comme des mouches ! », je riais légèrement en fronçant le nez. Et c’était alors que les amoureux pouvaient s’embrasser et que l’échange des bagues avait lieu que j’en profitais pour ce tendre baiser et le rendant même un peu fougueux de moi-même. Je m’en fichais des regards. Oh oui. Je m’en foutais. Je voulais juste embrasser MON MARI.
Lenaëlle G. Martinset oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais !
❝ Métier : Nounou dévouée à la petite marmaille de Lullaby & Aiden ❝ cupidon : Si la perfection existait, elle porterait ton nom. ♥ ❝ post-it : Lieux de vie : Pasadena (0-8 ans), Denver (8-20 ans), Austin (20-28 ans), Pasadena (28 ans, aujourd'hui). Particularités : Ancienne alcoolique, maniaque du ménage, maîtresse d'un chat et d'un chien. Love : En couple avec Jensen depuis décembre 2015, habite avec lui depuis le printemps 2016. Animaux : Un chien & un chat Passe-temps : Lire des romans de Nicholas Sparks, le Sudoku, le tricot, dessiner des chatons. ❝ Age : 34 ❝ pseudo : Mayiie ❝ crédits : (c) Mayiie & Tumblr ❝ avatar : Julianne Hough ❝ présence : Présent(e) ❝ préférences : Rp Roses ❝ disponibilité : Demande-moi et on verra. ♥ ❝ autres comptes : Kylian J. Hemsworth(feat. Jamie Dornan) - L'amoureux éperdu qui a décidé de redémarrer sa vie à zéro et peut-être récupérer sa fiancée du passé. Jezabel M. Sanchez(feat. Sofia Vergara) - La Martha Stewart de sa génération qui aime sa famille plus que tout. Bennett K. Morriganfeat. Julian Morris - L'ancien militaire qui tente de se définir dans cette nouvelle vie. Breanna J. Hardyfeat. Serinda Swan - L'actrice qui a quitté le rôle d'une vie pour arranger la sienne. ❝ Points : 4301 ❝ Messages : 3035 ❝ depuis : 11/04/2014❝ mes sujets : Allie ▬ Caitlyn ▬ Cordélia ▬ Grace ▬ Jade ▬ Jay ▬ Jensen ▬ Jensen ▬ Layali-Joy ▬ Lullaby ▬ Rafael ▬ Summer ▬ Toi ?
mot doux de Lenaëlle G. Martins ► un Lun 3 Nov - 14:30
Lullaby&Aiden's Wedding vive les futurs mariés mais bon, on est dans l'église on se calme bien sûr
Devant la vomissure qui était toujours étalée par terre, et les acteurs qui se trouvaient légèrement désemparés à l’idée de ruiner nos tenues pour nettoyer, un tiers parti arriva, proposant alors de se mettre à trois pour nettoyer le tout. J’eus alors un petit froncement de sourcils face à la proposition, ne sachant encore et toujours pas si c’était une bonne idée, dans tout le chaos qui se déroulait dans les coulisses de l’église, de mettre trois personnes sur le plancher afin de nettoyer un truc au risque de se salir et traverser l’église avec de la gerbe sur les vêtements. En temps normal, je n’étais pas dédaigneuse comme cela, mais puisque je ne voulais certainement pas décevoir Lullaby et ruiner ce qui serait la plus belle journée de sa vie, j’étais un peu plus hésitante pour le coup.
Puis, au bout du compte, avant même que je puisse prendre une décision, une voix se fit entendre, annonçant que la cérémonie allait bientôt commencer. M’excusant alors promptement, puisque je savais que je devrais être à proximité lorsque le tout débuterait – une demoiselle d’honneur qui arrive en retard, ça craint quand même – je me mis à chercher Lullaby, qui n’était pas bien difficile à trouver, vu sa robe blanche qui la rendait plus que splendide. J’aurais bien voulu la complimenter à ce sujet d’ailleurs, mais ce fut elle qui m’interpella en premier, me demandant de trouver son parrain, celui qui devait la conduire à l’autel, compte tenu que son paternel présidait déjà la cérémonie. Je ne savais pas vraiment où celui-ci était passé, mais me doutant que s’il était dans l’église, alors il ne devait pas être bien loin, j’acquiesçai d’un signe de tête, et rapidement, je commençai à arpenter les pièces avoisinantes pour trouver le principal concerné. Sitôt que je crus l’avoir trouvé, si je me fiais aux souvenirs que j’avais de l’homme que j’avais pu croisé quelques fois chez Lullaby, je dis : « Excusez-moi, mais nous avons besoin de vous. La cérémonie va commencer sous peu. » Je fis alors un petit sourire timide, espérant simplement ne pas m’être montrée déplacée de quelconque façon, puis une fois que je fus persuadée qu’Orion allait venir rejoindre sa filleule pour le début de la cérémonie à temps, je retournai là où se trouvait mon amie d’enfance la dernière fois, la retrouvant exactement au même endroit. Je lui dis alors : « Il arrive, ne t’en fais pas ! » Sitôt que j’eus prononcé ces mots, Lullaby me tendit alors une petite boîte, apparemment un cadeau pour être sa demoiselle d’honneur. Trouvant son attention on ne peut plus touchante, je fus particulièrement émue lorsque j’ouvris la boîte et que j’y trouvai un bracelet en argent, magnifique. M’empressant alors de lui faire la bise et de la remercier, l’allai déposer le bracelet dans mon sac à main, puis sachant que le moment était venu, je me plaçai avec les autres demoiselles d’honneur pour m’avancer dans l’allée avec elles au rythme de la musique avant de me positionner à l’avant, juste à temps pour voir Lullaby arriver à son tour, et finalement assister à l’ensemble de la cérémonie. Je fus aux premières loges pour voir tout le mariage, me surprenant à sourire par moments lorsque les discours étaient touchants, sachant parfaitement que j’allais me rappeler de ce mariage probablement très longtemps.
Master of the treeet oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais !
Invitéet oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais !
Invité
mot doux de Invité ► un Mer 5 Nov - 13:43
Just pretend everything's ok
Orion était là, seul, à se balader dans le parc situé dans les environs de l'Église. Il fulminait, était à la limite de l'explosion. Ses envies de meurtre avaient du mal à s'apaiser et cela n'allait que de mal en pis… Pendant un instant, le monde s'arrêta de tourner autour de lui. Il entendit une voix puis une main qui se posa sur son épaule. Son premier réflexe fut de vivement se retourner tout en s'écartant. Il reconnaissait le visage qu'il voyait ; une amie à Lullaby, qui était accessoirement demoiselle d'honneur. Il se calma quelque peu, le temps d'entendre ce qu'elle avait à lui dire. Sa réponse fut brève et presque laconique.
- "Oui oui, j'arrive. Pars devant, je rejoindrai Lula à l'église."
Il tourna en rond encore quelques instants, reprenant un peu ses esprits et sa contenance, enfila le masque du gentil Orion et parti en direction de l'église. Il arriva juste à temps pour voir Lullaby sortir et venir s'accrocher à son bras. Il lui sourit, tendrement, et lui souffla qu'elle était magnifique. Cependant, il sentait ses doigts crispés sur son bras, il savait très bien qu'elle était inquiète au plus haut point. Orion posa sa main sur la main de Lullaby et tenta de la rassurer par ce simple contacte. Ils arrivèrent devant l'autel et il patienta, que Lullaby se décide à prendre son courage à deux mains. Il l'embrassa tendrement sur le front et puis partit s'asseoir, à côté de sa future ex-femme, le tout détaché et froid de cette dernière.
Un mariage se faisait, un autre était en procédure de divorce. La vie était drôle. Il ne cilla cependant pas du tout lorsqu'il pensa à cela, bien trop occupé à "regarder" la cérémonie, voir tout cet élan d'affection entre les mariés. Il était heureux pour Lulla, mais en cet instant, sa rage envers Eduardo et Marilou primait ; Eduardo pour avoir zieuté sa femme et Marilou, car il ne digérait toujours pas ce qu'elle était en train de lui faire.
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Invité
mot doux de Invité ► un Ven 7 Nov - 22:00
Il avait, genre, carrément failli manquer la cérémonie. Et était arrivé à l'heure, ou tout juste. Personne n'avait sans doute rien remarqué. Ou en fait, si, pour tous ceux qui l'avaient vu arrivé, finissant de s'habiller, et les cheveux encore ébouriffés. Au moins avait-il eu la décence de ne pas se pointer parmi les premiers rangs, du moins, pas tout de suite, remontant progressivement jusqu'à se positionner pas très loin de la famille de la mariée. Au début, il s'était planté de côté, s'il y avait vraiment un côté séparé. Au moins, aussi, avait-il eu la décence de se raser de près, ce matin, maintenant une barbe propre et présente, et non pas mal taillée et tendant vers le commencement de la mode bucheron. Le souci, ce n'était pas qu'il ait manqué le réveil, ou quoi que ce soit. Mais plutôt que sa carrière était passée par là. Et Ezio aussi, tant qu'à faire. Oui, quand une tuile lui tombe dessus, souvent, avec Silas, c'est tout le toit qui ne tarde pas à s'y mettre ! On l'avait appelé au moment où il mettait un DVD à Ezio, le temps que, lui, il commence à se préparer. Il avait alors pris son gamin sous le bras, ainsi que ses vêtements, et avait filé au poste de police, hissant le petit bout de chou sur le bureau de l'accueil, pour qu'il fasse du gringue aux standardistes et dissuade, d'un simple regard, les petits caïds amenés au poste d'être trop vulgaires ou violents. Les enfants, c'est vous ce que ça vous calme et canalise les troupes ! Il faudrait peut-être en recruter plus, dans tous ces métiers qui nécessitent de savoir se faire respecter, et dans tous ces métiers qui vous confrontent à de gros emmerdeurs. Oh, il avait été sage, Ezio, le temps que son papa parte sur l'intervention sur laquelle il était appelé. Jusqu'à ce qu'il vomisse partout sur les chaussures d'un mec amené là pour avoir tabassé sa femme. D'un côté, ça lui avait fait les pieds, au mec, mais d'un autre, ça avait obligé Silas à l'emmener chez ses parents, au lieu de l'amener avec lui au mariage. Qu'il vomisse sur la traîne de Lullaby aurait tellement fait mauvais genre ... Avec tout ça, Silas avait commencé à se changer dans la salle de bain du rez de chaussée, chez ses parents, aidé de sa belle-mère, Jaelynn, et avait fini sa préparation dans la voiture, puis sur le trottoir, sur le parvis, et pour finir, jusque dans le début de l'allée du mariage.
Il observait sa cousine, et fondait complètement. Elle avait bien grandi, depuis le temps où, avec Kate, ils se bousculaient gentiment dans les couloirs du lycée, et où tous ces sales types louchaient sur elle avant que lui ne montre les crocs. Niveau frères et sœurs, Silas était déjà bien blindé, mais avoir une palanquée de cousines, et de cousins, ça ne le dérangeait pas le moins du monde. Et si, avec Aiden, au début, ça n'avait pas forcément été l'accueil à bras ouvert, le flic se méfiant du pompier, aujourd'hui, les choses étaient bien différentes. Et c'était donc avec plaisir que Silas se tenait là, durant la cérémonie, et qu'il voyait sa cousine se marier, faisant entrer Aiden dans sa famille à lui aussi, par extension. Et il n'y avait sans doute aucune meilleure entrée de membre dans cette famille de fous que celle-ci. Silas leur souhaitait tout le bonheur du monde, et que cela dure longtemps, longtemps, longtemps ...
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