Invitéet oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais !
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mot doux de Invité ► un Jeu 16 Oct - 22:31
mariage de lullaby&aiden + compagnie
grace & les mariés & les proches & les invités.
Après quelques temps de recherche à travers les couloirs de l’Eglise dans lesquels tout en essayant de trouver son cavalier de la journée, Grace devait prendre quelques instants pour converser avec les invités du mariage afin de répondre à ses obligation de demoiselle d’honneur, elle finit par apercevoir « son » kinésithérapeute assis sur l’un des bancs. Quasiment directement après être arrivées à sa hauteur, son regard fit une rapide observation de sa tenue vestimentaire tout comme le jeune homme d’ailleurs même si elle avait donné la tendance pour lesquelles des compliments se trouvaient être de rigueurs. « Oh merci mais, je t’assure que Lullaby n’a aucune concurrence aujourd’hui. Dans la vie de tous les jours, je ne dis pas mais là. » Elle fit un haussement d’épaules avec un sourire plein d’amusement. « Je rigole, hein. Mais, en tout cas aujourd’hui ce n’est pas le cas. Elle est loin devant tout le monde ! C’est bien pour ça que généralement les demoiselles d’honneur ont des robes moches même si là encore ça va, je dois avouer. » Un rire sortit de la bouche de l’étudiante en stylisme qui se lançait dans un peu d’humour. Elle finit par reprendre complètement ses esprits, en redevant sérieuse l’espace d’un instant afin de pouvoir répondre pleinement à la taquinerie de Christopher sur les missions de la demoiselle d’honneur en un jour de mariage. « Oui mais, je crois que je ne remplis mon rôle qu’à moitié pour le moment parce que même si j’ai fait un achat urgent de dernière minute, je n’ai pas réellement rempli la dernière demande : s’assurer que tout va bien un peu partout. » Avec un air quelque peu innocent, l’ancienne danseuse vînt se pincer la lèvre inférieure. « En fait, en sortant de la loge j’avais qu’une envie : te trouver pour passer un moment avec toi avant le début de la cérémonie. » Un léger sourire plein de gênes vînt s’inscrire sur les lèvres de la demoiselle d’honneur qui comme à chaque fois qu’elle traduisait sans le vouloir des sentiments ou des envies vis-à-vis du kinésithérapeute, ne savait plus où se mettre à part se fondre dans le banc en bois.
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mot doux de Invité ► un Ven 17 Oct - 10:14
« Morfale, t’as pas pu attendre la fin de la cérémonie, hein ?» Non mais sérieusement, pensait-il vraiment que j’allais attendre jusqu’à 15 heures pour manger un bout ? Et puis, ce n’était pas pour quelques amuse-bouche en moins qu’on allait me virer de l’évènement. Cela dit, cela ne l’empêchait pas pour autant d’en prendre un, alors sa petite remarque déplaisante, il pouvait la garder où je le pense.
JOAN _ « D’ici là, si je devais attendre, je serais morte de faim alors non, je ne pouvais pas attendre et puis, ils sont qu’à mettre ça ailleurs que sous mon nez » Ajoutais-je avec un large sourire. Il connaissait Aiden ? Ben dieu, qui aurait cru ? Je finissais de mâcher ce que j’avais en bouche avant de lui répondre. « Ha oui ? Que le monde est petit, n’est-ce pas ? Tu dois donc savoir que j’ai failli coucher avec lui ? J’aurais pu, mais … voilà quoi … »
J’apercevais de loin mon ex-belle sœur, celle qui m’avait chaleureusement offert une bonne bouteille de Martini. Le séduisant jeune homme à ses côtés devait être certainement son tendre époux. J’arrêtais à la foulée l’un des réceptionnistes pour qu'il prenne mon assiette. Je n’allais tout de même pas accueillir Marilou en ayant les mains remplies de nourriture. Si déjà, mon ami me traitait de Morfale alors, je n’osais imaginer ce qu’elle pourrait penser de moi… une crève de faim…
Je murmurais à Edu avant que le couple se joigne à nous.
JOAN _ « Si, j'étais lesbienne, je me ferais bien la soeur de mon ex-mari... » Mais je ne l'étais pas et je ne crois pas que je le deviendrais un jour. J'affichais un large sourire et je les saluais. Elle me trouvait sublime ? Oh, qu'elle cesse ça tout de suite, je risquerais fortement de lui arracher les vêtements ici même, mais bon, vu la façon dontEdu' était en train de mater cette demoiselle, je doute fort que j'aurais le temps de sauter sur elle. « Je te retourne le compliment, jolie dame » comment allait Lullaby ? Comme chaque mariée qui se marie. Sinon pour lui répondre, oui, j'avais eu la chance de la voir avant que les rapaces se ramènent. D'ailleurs, où était Jane ? Cela m'étonnait de ne pas la voir encore vu dans les parages. « Oh et bien, à vrai dire, elle gère très bien la situation pour une femme qui dans une heure, aura la laisse au cou... » Mon regard se détournait vers son époux. Humm il me trouvait simplement jolie ? Bah, c'était déjà ça, non? Ne voulant pas m'interposer entre eux, je posais ma main sur l'avant-bras d'Edu pour attirer un peu l'attention. « Je dois te laisser, je ... Je dois voir quelqu'un. » Je souriais et avant que je ne quitte ses trois personnes, je m'approchais de Marilou et je lui murmurais à son oreille « Dommage que tu sois fidèle, je t'aurais bien prêté mon cavalier vu la façon qu'il te regarde, il n'attend qu'une chose... Si tu vois où je veux en venir. »
J'avais vu un peu plus tôt mon petit amant, Alec alors, oui, il était clair que je ne pouvais le laisser filer entre mes doigts. D'ailleurs, j'avais aperçu un petit garçon avec lui: , est-ce son petit frère, son fils, son neveu où que sais-je , mais je m'en fichais bien, ce qui m'importait, c'était d'aller le saluer et de repenser à nos moments de folies. J'adressais un léger sourire à Orion et d'un hochement de tête "Ravie d'avoir fait votre connaissance"
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mot doux de Invité ► un Ven 17 Oct - 10:50
Le Mariage ◃ Lullaby & Aiden▹
Ma mère s'étant déjà occupée de l'organisation de nombreux évènements et réceptions, je ne pouvais que me douter de tout le travail qu'il y avait derrière les mariages. Un mariage c'était le plus beau jour de la vie de deux personnes, qui devait être parfait sous tous les points, sans que les mariés se rendent compte de rien. Et c'était l'un des rares moments dans la vie des gens, où tout le monde était heureux. Heureux de se retrouver, heureux de manger de bonnes choses, heureux de partager cette union, heureux de s'amuser, heureux tout simplement. L'appréhension s'évaporant petit à petit au contact de Grace, je l'étais moi aussi, heureux. Alors qu'elle s'amusait à se vanter puis se critiquer tour à tour, je ne la quittais pas des yeux, souriant. Elle me plaisait énormément, et je lui plaisais. Pourtant, je n'osais pas brusquer la situation, de peur de tout gâcher. Je me souviens de notre baiser à la patinoire... Est-ce qu'un autre serait le bienvenu?
« En fait, en sortant de la loge j’avais qu’une envie : te trouver pour passer un moment avec toi avant le début de la cérémonie. » Je n'avais pas suivit tout ce qu'elle venait de me dire, perdu dans mes pensées. Timidement, elle se pinça les lèvres. Effectivement, Grace avait pas mal de choses à faire, mais sincèrement, je n'avais aucune envie de la voir tourner les talons. « Et moi je n'attendais qu'une seule chose, te voir arriver. Est-ce qu'il est envisageable de ne plus vous lâcher, mademoiselle? » Tout en plantant mon regard dans le sien, je saisis délicatement ses mains que je portais à mes lèvres pour y déposer un tout petit baiser. Elle rougit, sourit. Dieu qu'elle était belle !
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mot doux de Invité ► un Dim 19 Oct - 16:37
Marilou d’un côté se sent fusillée, de l’autre elle sent le regard d’Eduardo et de Joan couler sur elle. Mais la nervosité est telle qu’elle pense que ces regards sont désapprobateurs. Comme s’ils savaient, et qu’ils jugeaient. Pourtant Joan ne faisait aucun commentaire, aucune allusion. Elle lui retourne le compliment avec une sincérité qui rassérène un peu la jeune femme.
Elle jette un coup d’œil à Orion qui semble l’ignorer totalement à chaque fois qu’elle se détourne. Joan lui parle de Lullaby, et l’attention de Marilou se porte enfin sur sa filleule, une autre nervosité la gagne. Elle a hâte, elle, de voir ces deux jeunes gens se dire ‘oui’. Peu importe son passé avec Aiden, et toutes les conneries qui vont avec, elle voit surtout le bonheur de Lullaby et ça lui suffit. Et inutile de remuer les vieilles histoires.
En souriant pour sa nièce, elle croise le regard haineux de son futur ex-mari. Et son sourire se désagrège. C’est à cet instant précis que Joan lui attrape le bras pour lui murmurer quelques mots à l’oreille. Quelques mots qui la figent et elle doit se battre pour ne pas laisser son malaise s’afficher sur son visage. Comment ça, le regard d’Eduardo ?
Joan disparait et Marilou se fait apostropher par l’homme en question. Avec son anxiété, elle en avait oublié les bonnes manières. Mais avec le commentaire de Joan, Marilou rougit quand elle se retourne vers lui. D’un regard prudent vers Orion, elle s’approche d’Eduardo, un sourire aux lèvres pour venir plaquer un baiser sur ses joues et poser une main sur son épaule. Mais elle ne s’attarde pas à son contact. « Excuse-moi, il fallait que je demande à Joan si elle n’avait pas vu sa fille, je suis aussi anxieuse qu’elle. » Et c’est peu de le dire.
Marilou sourit. Du coin de l’œil, elle voit Felix et Jordan arriver à l’Eglise. Elle reste encore un peu auprès des deux hommes, sourit à Orion, puis décide de s’échapper. « Je m’excuse, je vais retrouver Felix et Jordan, il semblerait que notre petite chanteuse soit en difficulté. » Bien trop heureuse de foutre le camp, elle n’attend pas l’approbation d’Orion, elle file, en passant derrière Eduardo, pour être sûre qu’on ne l’arrête pas.
Elle part ensuite droit vers le couple, attrapant une des chaises de l’Eglise au passage. « On a besoin d’une chaise ? » Marilou la pose près d’eux, pour aller les saluer. Elle embrasse d’abord Jordan puis Felix. « Vous me sauvez la vie, j’ai cru qu’Orion allait m’atomiser sur place. D’ailleurs ne le regarder pas, inutile de vous faire fusiller. » Puis elle prend le bras de Jordan et l’emmène vers l’estrade. « Tu vas bien ? Je pense que Felix t’as dit que ce n’était pas prudent de te remuer dans ton état. » Puis elle regarde Felix en souriant, amusée. « Quand j’étais enceinte, même Felix était d’accord sur le fait qu’Orion m’enferme dans notre propre maison les dernières semaines. »
quand Marilou s'apprête pour sa nièce:
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mot doux de Invité ► un Mar 21 Oct - 16:11
L'absent. ✩
Les invités et les mariés
Le mariage de ma cousine. J'y étais convié, la cérémonie se tiendrait d'ici une heure, et pourtant j'étais toujours allongé au fond de mon lit, devant une émission stupide. Samira avait été invitée à un mariage aussi apparemment, elle était déjà partie depuis plusieurs heures. Je ne lui avais pas dit que je devais faire de même, mais on parlait probablement du même. À vrai dire, je ne pensais pas y aller. Je n'irai certainement pas. Oh, je savais que tous les Carthew s'y tiendraient fièrement et applaudiraient, verseraient une larme quand le fameux « oui » se ferait entendre. Ce serait un moment rempli de joie et d'émotion. Pas pour moi. Parce que le bonheur des autres avait le don de me poignarder en plein cœur dès que je le croisais, spécialement quand il s'agissait de couples. Sur ce point, je me retrouvais comme un con au bord de la route, largué. J'aurais dû être en train de penser à mon mariage proche à ce moment-là, occupé à prendre soin de mon enfant en proposant à Lacey d'attendre qu'il puisse marcher afin qu'il apporte nos alliances devant l'autel. Il était là, le dilemme. Plus de fiancée, plus d'enfant non plus. Il ne récupérerait sûrement aucun des deux. Il ne récupérerait rien de sa vie avant l'accident, se trimbalerait juste les regrets jusqu'à la fin de son existence. Dans cette optique, comment oser mettre les pieds à un mariage ? C'était inenvisageable. Impossible. Lullaby lui pardonnerait, même si sans se faire d'illusions, il ne servait à rien et ne manquerait à personne là-bas. Son absence ne serait sûrement remarquée que par sa mère.
Aussi, au lieu de se lever et de se préparer, il attrapa son téléphone et envoya simplement un sms à Eveline. « Pas en état d'aller au mariage. Félicite les mariés de ma part. »
electric bird.
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mot doux de Invité ► un Mar 21 Oct - 16:21
Mariage ✩
les invités et les mariés
Le programme du jour ? Un mariage. Je n'avais aucune idée de qui se mariait, mais Jordan y allait, alors je me devais d'y être. Et encore une fois, je ne pouvais pas m'empêcher de jouer les rabat-joie. Je n'allais pas empêcher Jordan d'aller là où elle était invitée, mais Cameron pouvait naître d'un jour à l'autre. Il s'agitait dans le ventre de sa maman, provoquait parfois de grosses contractions, et malgré tout ce n'était toujours pas le bon jour. Il fallait encore attendre. En ce qui me concernait, j'aurais préféré qu'elle reste couchée et qu'elle se repose à la maison, mais manifestement, c'était trop demander. Voilà comment en ce beau jour d'octobre, je me retrouvais à rassurer Jordan sur la tenue qu'elle avait difficilement choisie, tout en conduisant en direction de l'endroit où se trouvait la réception. Pasadena n'était pas une ville gigantesque, je ne m'en faisais pas trop. Je connaîtrais bien quelques personnes, ce qui m'occuperait quand je serais, dans de rares instants, pas occupé à surveiller les moindres faits et gestes de ma petite-amie. Il s'agissait aussi de le soutenir par rapport à son talent. Je ne me faisais pas trop de soucis pour la chanson qu'elle devait chanter, bien que je ne l'aie pas encore vraiment entendue. La brunette avait du talent, il fallait qu'elle se fasse un peu confiance. Tant qu'elle restait assise et ne faisait pas de folie dans l'adrénaline du moment...Toujours est-il que j'avais du faire un effort de mon côté aussi, ce qui signifiait pour moi troquer mes jeans troués et mes tee-shirt délavés pour une tenue plus... classe. Cela voulait donc dire pantalon noir, chemise blanche, et rasé de près s'il vous plaît !
Première constatation, la salle était bondée, à croire que la moitié de la ville avait été invitée. Mon bras autour de Jordan, je cherchais directement des yeux un endroit où je pourrais la faire s'asseoir. L'idée de la faire rouler ne m'emballait pas trop à vrai dire. « Je risque de pas avoir d'autres solutions, t'es trop lourde ! » Je lui lançais un regard taquin. Bon, elle était vraiment lourde, et il était vrai que je ne la portais plus aussi facilement que je le faisais au début de notre couple... Mais pour autant, je devais être capable de la soutenir ? Et puis je ne pensais pas que Cameron accepterait autant d'agitation là-dedans. S'il tenait de moi, les montagnes russes ne l'effraieraient pas mais quand même, on éviterait. J'étais sur le point d'évoquer la question de la chaise quand ledit objet vint à nous, Marilou derrière. « Ça se voyait tant que ça ? » demandais-je en souriant et en l'embrassant à mon tour. J'avais juste sur un point : il y avait des visages connus. Trop connus, pour la plupart. Orion aussi était là, apparemment. L'ambiance devait être sympathique. « Je suis pas tenté de voir sa tête. » Pour une raison obscure, ce type m'avait toujours fait un peu... froid dans le dos. C'était probablement ridicule, mais je ne comptais ni le regarder, ni m'en approcher. Surtout pas maintenant qu'il était sur le point de divorcer. Connaissant sa possessivité envers sa femme, je ne préférais pas imaginer ce que cela donnait maintenant. Lou prenant le relais, je dus me résoudre à lâcher Jordan. Pour autant, je restais sur ses talons, m'offusquant au passage de la façon dont elle me diabolisait. « On s'occupe de vous et vous vous plaignez ! » Ce n'était pas spécifiquement mon problème, après tout, ce n'était pas moi qui accouchait. Mais je préférais savoir Jordan à la maison le jour où ça devait arriver plutôt qu'à terre quelque part dans les rues de la ville. « Puis c'est pas comme si je l'emprisonnais non plus. » râlais-je en toute bonne foi.
electric bird.
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mot doux de Invité ► un Mar 21 Oct - 21:48
mariage de lullaby&aiden + compagnie
grace & les mariés & les proches & les invités.
Quelques rendez-vous professionnels au cabinet du kinésithérapeute en ce qui concerne son ancienne blessure et le rétablissement total de son genou gauche. Plusieurs messages envoyés l’un à l’autre pendant les journées. Pas encore d’appels durant de longues heures. Néanmoins, des moments passés ensembles dont le dernier a mis des gestes sur les sentiments qu’ils ressentent tous les deux puisqu’ils échangèrent un baiser. Ce geste et les émotions ne sont pas encore assumés des deux côtés : un compliment ou l’expression d’une impression ou d’un sentiment quelconque à l’égard du kinésithérapeute s’accompagnent d’un sentiment de gêne ou d’une envie de se fondre dans le décor. Du coup, même si tous les signes semblent signifier que les deux jeunes gens ont envie d’être ensembles, ces derniers continuent à se tourner autour avec des paroles pleines de sous-entendues, des gestes ou des sourires. Peut-être que ça peut s’expliquer par une envie de ne pas brusquer les choses entre eux, la peur de la réaction de l’autre, le fait de ne pas savoir les sentiments réels qu’ils ressentent chacun l’un pour l’autre ou encore le fait de ne pas savoir la vision de l’autre sur la notion de couple. Néanmoins, même si personne ne veut faire réellement le premier pas pour des raisons qui leur appartiennent, Grace ne voyait aucun mal à mettre en « danger » Christopher en « s’amusant » avec les évidences même si ses paroles font d’abord l’effet d’un rougissement dû à une gêne suivi d’un sourire. « Evidemment que c’est envisageable Monsieur Palmer. » La demoiselle d’honneur vînt serrer la main du kinésithérapeute qu’il lui avait pris quelques instants auparavant pour venir y déposer un baiser. Puis, sans que ses yeux couleurs noisette ne viennent se détacher du sien, Grace vînt s’approcher un peu plus de lui. Et une fois que ce fut son corps, son visage vînt s’approcher du sien lentement. « Mais, comment je peux savoir que vous serez à la hauteur, que vous ne me lâcherez pas après seulement quelques minutes ? » Son regard rempli de pleins de choses ne lâchait pas le sien et son visage se trouvait toujours aussi près de celui du kinésithérapeute, une attitude tout de même peu innocente qui pouvait en dire long mais, c’est que ce ne serait pas elle qui craquerait en premier.
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mot doux de Invité ► un Mer 22 Oct - 17:49
L’amour… C’est la chose la plus belle qui puisse exister au monde. Elle se marque par de l’attention, du partage, un mariage et parfois encore plus...
Je me sentais perdue dans toute celle foule, mais je n’osais imaginer ce que cela pouvait être pour Félix. Le point peut-être positif (bien, que négatif aussi), c’est que tout Pasadena semblait être là, et donc, il y allait surement y avoir une personne ou deux qu’on connaissait de façon proche. Je ne crus pas si bien dire quand une tornade brune et sexy vint vers nous, chaise en main, telle une super héroïne qui volait à mon secours : Marilou ! Je déposais un bisou sur sa joue avec une joie non feinte. J’étais heureuse qu’elle soit là. Elle salua Félix ensuite puis nous remercia de la sauver d’Orion, bien qu’elle nous demanda de ne pas le regarder. Personnellement, je ne l’avais jamais vu, mais Félix répondit qu’il se passerait volontiers de voir sa tête.
« Je me sens grosse, empotée, maladroite et étriquée dans mon propre corps, mais je vais très bien et rassure toi, Félix y veille plus que nécessaire. »
Félix et sa façon de m’aimer, Félix et sa façon de me surprotéger… L’un n’allait pas sans l’autre, mais je l’aimais ainsi et il faisait de moi la plus heureuse des femmes. Parfois, il était capable de m’énerver, mais je savais que c’était pour mon bien. Je ne fus pas surprise de ce que dit Marilou, et Félix râla de bon cœur, ce qui me fit, pour ma part, rire de bon cœur. Venant à son côté je vins déposer un baiser sur ses lèvres, sage et rapide.
« Non, tu ne m’emprisonnes pas, sauf de ton amour, et cette prison, je refuse de la quitter. »
Je ne disais là que la vérité. Pour moi, il était mon présent et mon futur, pour moi et pour notre bébé. Je ne serais rien sans lui et je ne voulais même pas y penser. Prenant sa mian dans la mienne, je lui souris en espérant qu’il me rende l’appareil. Puis, mon regard revint sur Marilou.
« En tout cas, je te trouve magnifique. Cette tenue te va à ravir, tu ferais presque femme fatale ! »
Alors que moi, je jouai les boudins enroulé dans le tissu des rideaux. Chacun ses moyens non ? Félix lui, il était à tomber par terre, et cela pour deux raisons : jamais je ne l’avais vu autrement qu’en jean, et le costume lui allait vraiment bien, même si cela le rendait peut-être trop sérieux. Bref, ils étaient bau, j’étais grosse, what else ?
Dernière édition par Jordan K. Wood le Mer 22 Oct - 18:42, édité 2 fois
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mot doux de Invité ► un Mer 22 Oct - 17:59
Le Mariage ◃ Lullaby & Aiden▹
C'était devenu un jeu. Depuis notre sortie à la patinoire, notre relation avait pris un certain tournant. Il y avait quelque chose entre nous, mais aucun de nous ne voulait clairement l'exposer à l'autre. Je l'avais bien embrassé à la patinoire, mais c'était plus un geste inattendu que prémédité. Même s'il était voulu, évidemment. Elle s'amusait bien à me tester. Et j'aimais la voir réagir involontairement à mes attentions. Tout ça finirait bien sur quelque chose de concret, mais pour le moment il s'agissait apparemment de voir qui craquerait en premier. Ce pour quoi je n'étais visiblement pas très doué. J'avais beau faire de mon mieux pour lui renvoyer la pareil, autant dans mon regard que dans mes gestes, Grace était, même si elle ne le savait probablement pas (enfin qu'est-ce que j'en sais? Elle est bien maline..), méchamment douée pour me troubler. Chaque fois que ses mains entraient volontairement en contact avec les miennes, qu'elle les prenait dans les siennes, ou qu'elle me lançait un regard et un sourire qui en disait long, j'avais du mal à ne pas montrer à quel point je perdais mes moyens. Peut-être que l'ambiance du mariage et l'amour qui y régnait, y était pour quelque chose, mais lorsque la jolie brune vint planter son regard dans le mien, à quelques centimètres même pas, j'en restais bouche bée. Enfin bouche bée, ce n'est qu'une expression. La mienne en resta ouverte, sans qu'un mot ne puisse sortir. Les personnes autour devaient bien rire. Voilà ce que c'était, la relation homme-femme de nos jours. Madame est en possession de toutes les armes, et Monsieur ne peut rien y faire, simplement s'incliner. Grace avait pourtant l'air si légère, presque fragile, et pourtant, l'emprise qu'elle avait sur moi était digne des plus épais bodybuildeur.
« Si on disait que tu resterais à maximum 40 centimètres de moi? Plus tu risques de me manquer, mais moins je risque de défaillir » Ajoutais-je, levant un sourcil, ainsi que le coin de ma bouche. Tout en souriant, je pris son visage dans mes mains (étonnamment grande contre ses joues) et l'écartait un peu, en profitant pour caresser mine de rien ses pommettes roses. Non, je ne craquerais pas aujourd'hui.
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mot doux de Invité ► un Mer 22 Oct - 18:33
Je souriais et mon coeur palpitait intérieurement. Oui il y aura très certainement des anciens du lycée. Nous étions dans la même classe avec Lullaby depuis la maternelle, ce qui nous avait permis d'avoir le même groupe d'amis bien évidemment mais aussi que certains de nos amis devinrent nos petits-amis. J'aurai bien pu renouer avec certains d'entre eux depuis deux ans. Mais quand y a quelqu'un qui hante vos idées et vos esprits, autant vous dire que ce n'était pas aussi facile que ce que vous pensez. Alors quand il accepta, j'étais la plus heureuse du monde. Je ne pouvais qu'être heureuse, à un événement comme celui là, je ne me voyais qu'au bras du père de ma fille, de ma princesse. Oui c'était ce qui rendrait la plus heureuse. Une fille amoureuse.
Je le compte bien. Je ne te lacherais pas non plus alors, il y aurait trop de jolies filles qui pourraient te voler à moi. dis-je avec un petit sourire. Ce petit sourire coquin que j'avais quand je voulais faire passer un message sans que Leah ne puisse comprendre. D'ailleurs en parlant de la blondinette qui était là, je la pris dans mes bras en touchant son petit nez. Oh la petite curieuse que tu es ! J'ai un amoureux, mais ça reste un secret entre nous, je te le dirai quand papa ne sera pas là d'accord ! Et toi alors ton n'amoureux il est encore à Los Angeles ou tu en as trouvé un nouveau à Pasadena, y aura pleins de jolis garçons au mariage ! dis-je en la mettant bien sur le côté pour profiter un peu la présence de ma fille. Jetant un coup d'oeil, apparemment ma soeur ne serait pas célibataire non plus à ce mariage. Les trois filles Jones auront donc un homme à leur bras.
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