l'avatar des scénarios ou membres des familles sont totalement discutables pour autant qu'ils ne soient pas dans le bottin !
Venez car plus on est de fous et plus on rit, non ? Chocolat et guimauves en cadeaux !
bonjour les YFTiens et pleins de calins pour vous ainsi que tout notre amour !
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Jamie D. Copperman et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! ❝ Métier : Cancérologue, professeur en recherche et écrivain scientifique ❝ cupidon : Ce n'est jamais simple, les contes de fée ça n'existent pas pour un adulte. ❝ post-it : Né à Toronto le 30 août 1977, dans une famille dysfonctionnelle ▬ A perdu sa sœur aînée lorsqu'il avait 6 ans, c'est ce qui le mènera à faire le choix d'être cancérologue ▬ A étudié à McGill en médecine ▬ A une mémoire eidétique et est aussi daltonien ▬ A apprit le français, mais il est maintenant rouillé ▬ A publié un livre au début de sa carrière, parlant de recherche sur le cancer, il est reconnu dans son domaine pour son travail acharné et ses réussites ▬ Apprenant qu'il allait perdre son visa, il s'est marié avec une de ses étudiantes, omettant certain détail sur leur relation ▬ coureur de jupon, il ne croit pas à la fidélité, à l'amour avec un grand A et encore moins au mariage ▬ Il ne se montre pas comme il est vraiment, car pour lui l'image compte beaucoup, mais il ne donne pas facilement sa confiance ▬ Est insomniaque et ses nuits ne dépassent jamais plus de 4 heures lorsqu'il arrive à dormir
Fan de Taylor Swift, il dit qu'elle lui amène un grain de folie ▬ Est un cordon bleu et n'aime pas manger au restaurant sauf s'il est contraint ▬ N'a pas la dent sucrée ▬ Sportif, il pratique le tennis, le golf, la voile et fait un jogging par journée ▬ Ne supporte pas One Direction, les séries télévisées, le shopping et l'hiver ▬ son livre favori est Moby Dick
❝ pseudo : monocle. ❝ crédits : @avatar tag /@gif tumblr ❝ avatar : Daniel Gillies ❝ présence : Présent(e) ❝ préférences : Rp Roses ❝ disponibilité : Disponible, suffit de venir me voir ♥ ❝ autres comptes : AIDEN ▬ (a.levine) le papa qui accepte tous les caprices de sa femme. GRANT ▬ (g.gustin) l'handicapé des sentiments envers les femmes ! oui, il les aime, mais il ne sait pas comment leur dire. CARTER ▬ (a.kendrick) la nouvelle maman amoureuse de l'homme qu'elle a marié à vegas. ALVIN ▬ (m.bomer) le papa qui ne comprend rien au fait d'avoir des enfants avant le mariage. JONAS ▬ (r.amell) l'étudiant qui ne s'amuse qu'avec les plaisirs de la vie. DEVON ▬ (k.graham) la jeune femme qui rêve de liberté et de se reconstruire une vie bien différente de celle qu'elle a toujours connue. GWEN ▬ (s.johansson) la jeune femme qui ne connait rien à l'amour.
anciennement : baptist ▬ parti travailler en Afrique ❝ Points : 3036 ❝ Messages : 488 ❝ depuis : 16/10/2015 ❝ mes sujets : jared ▬ meg ▬ sophia ▬ terry ▬ steadworthy ▬ lexie ▬ liv (uc.) ▬ and you ? lipstick on my collar – ✻ –
| mot doux de Jamie D. Copperman ► un Sam 28 Nov - 6:40 | | | sophia & jamie Rejetez le noir, et ce mélange de blanc et de noir qu'on nomme le gris. Rien n'est noir, rien n'est gris. Ce qui semble gris est un composé de nuances claires qu'un œil exercé devine.
À peine avais-je mit les pieds à Pasadena, que je déposais mes valises sur le sol de ma chambre d’hôtel et appelait un taxi. Je savais que j’avais encore plusieurs formalités à remplir notamment à mon nouveau boulot à l’hôpital. Seulement, j’étais ici pour une chose, enfin une personne si je veux être spécifique. Je voyais cela comme étantplus important que le fait de signer quelques papiers qui pouvaient attendre. De plus, ça me semblait tellement étrange, je ne l’avais pas revu depuis qu’elle avait quitté notre appartement à New York, je n’avais pas entendu sa voix depuis environs la même période. Tenant dans ma main la lettre de son avocat, je relisais chaque mot qui avait été utilisé pour me prévenir de l’arrestation de ma femme. Même si j’avais commis des bêtises, si je puis dire, je connaissais celle que j’avais épousé, bien plus qu’elle ne pouvait me connaître ou qu’elle me connait tout simplement. Je savais que cette histoire n’avait aucun lien avec moi, mais je ne pouvais pas m’empêcher de me dire qu’elle ne méritait pas cela. Je ne voulais pas d’une vie ainsi pour elle, elle était beaucoup plus à mes yeux, même si je n’avais jamais su lui rendre. Et puis, si je pouvais utiliser ce fâcheux incident pour renouer notre lien de mariage et annulé les papiers du divorce, je n’allais certes pas m’en priver. Tout cela pouvait être à mon avantage et je le savais pertinemment. Mon regard quittait un instant la lettre pour se porter sur le paysage Californien. Ça n’avait réellement rien à voir avec novembre à la grosse pomme. Les Newyorkais portaient déjà leur manteau en prévision d’une neige folle, alors qu’ici je pouvais porter mon complet sans ressentir le froid ni succomber à une chaleur torride. Je passais mes doigts sur ma lèvre inférieure, ramenant mon regard sur le rétroviseur où je sentais le poids du regard que le chauffeur posait sur ma personne. Un échange de regard et il reportait le sien sur la route, je n’avais pas envie de m’embarquer dans une conversation courtoise simplement parce qu’il n’avait rien à dire. Je me rendais au pénitencier ni plus ni moins, je n’aurais rien eu de plus à dire. Mon téléphone se mit à vibrer, me faisant sortir de ma torpeur dans un léger sursaut. « Oui ? » disais-je en décrochant. J’entendais la voix de Terry mon éditrice qui semblait toujours aussi affolée à l’idée que j’aie quitté New York. « Jamie, enfin ! » Je poussais un soupire l’écoutant parler sans grand intérêt réel. « Tu ne m’a pas rappelé depuis la dernière fois. On doit se parler de ton nouveau livre. » Empoignant l’arrête de mon nez, je le massais avec impatience. « Terry je n’ai pas le temps. » Comme je m’y attendais cette petite réplique ne semblait pas lui plaire. « Monsieur nous arrivons. » Relevant mon regard, je regardais la forteresse. Une grille s’ouvrit et l’homme stationna son taxi devant la porte d’entrée. Je débarquais avant de payer ma course. « Je te rappelle. » concluais-je en fermant mon portable et le glissant dans ma poche. Un bref coup d’œil à l’immeuble et j’entrais à l’intérieur demandant à voir ma femme, Sophia Steadworthy. Sans grand étonnement on me fouillait et me demandait de laisser effet personnel dans un sac avant d’aller au parloir. Une femme vêtue en agent de sécurité me conduisit à une table dans une salle immense où plusieurs détenues discutaient avec des visiteurs. « Elle va venir vous rejoindre. » J’acquiesçais d’un signe de tête, avant de prendre place à la table joignant mes mains ensembles. Les secondes qui s’écoulèrent me semblèrent être une éternité. Et je la vis finalement, me levant je lissais mon costume. « Bonjour Sophia, ça fait un moment. » disais-je avec confiance, avant de m’approcher et de déposer mes lèvres sur sa joue. |
| | | Sophia A. Steadworthy et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! Never dream about success work for it
| mot doux de Sophia A. Steadworthy ► un Mer 2 Déc - 20:20 | | | Un véritable cauchemar. Ce que je vivais depuis maintenant un mois était un véritable cauchemar. J’avais cru que l’année 2015 allait être un renouveau pour moi, un nouveau départ, j’avais juste la sensation de m’enfoncer un peu plus dans l’enfer. Je souffrais de ma situation. La mort de mon frère m’avait rendu peureuse de l’autre. Bien que je n’étais pas présente lors de l’attaque, j’en vais été très affecté. Je ne m’étais pas remise de la mort de mon frère, de cette énième mort dans ma famille. Je ne supportais plus la perte d’un être cher. J’avais décidé de prendre une arme par la même occasion. J’avais obtenu un port d’arme et voilà où je me trouvais à présent. J’étais en prison depuis maintenant plus d’un mois. Depuis cette terrible nuit d’halloween où une personne s’était introduite chez moi. Je ne l’avais pas dit à la police, mais je n’avais pas hésité à tirer sur cet intru. Je ne savais pas pourquoi il était rentré chez moi, mais j’avais eu peur. Je n’avais pas réfléchi. Mon cerveau c’était mi en automatisme, j’avais pris mon arme et j’avais tiré. Cependant, j’étais face à un homme qui n’était pas armé. Voilà donc pourquoi j’étais en prison. Un procès était en préparation et j’étais totalement terrorisée.
Mon quotidien n’était cependant pas bien différent qu’à l’époque de mon deuil car je ne faisais rien de ma vie. Je restais encore assise sur mon lit, passant une grande partie de mon temps à dormir sur mon lit. Je ne participais pas aux activités de la prison, je mangeais que très peu. Mon teint était à présent gris par le manque de lumière et mon œil éteint. Finalement était-ce vraiment une mauvaise chose que ne me laisser mourir ici ? Pour ce battre alors que je savais pertinemment que je finirais par souffrir encore et encore. J’entendis alors la gardienne arrivée pour me dire que j’avais de la visite. Je n’étais pas vraiment surprise, mes sœurs venaient souvent me rendre visite. Je suivais la gardienne sans grande conviction. Arrivant dans le parloir, je n’eu aucune réaction lorsque je vis Jamie, pourtant j’étais intérieurement réellement surprise. Je ne répondu pas à son bonjour me contentant de m’asseoir sur la chaise en face de lui. « Tu fais quoi ici ? Tu m’apporte les papiers enfin signer ? » dis-je en haussant les sourcils. Je ne savais pas vraiment si j’étais contente ou non de le revoir. Cela faisait un mois voir plus en réalité que je ne me posais plus de question sur mes sentiments, sur ce que j’avais envie ou non.
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| | | Jamie D. Copperman et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! ❝ Métier : Cancérologue, professeur en recherche et écrivain scientifique ❝ cupidon : Ce n'est jamais simple, les contes de fée ça n'existent pas pour un adulte. ❝ post-it : Né à Toronto le 30 août 1977, dans une famille dysfonctionnelle ▬ A perdu sa sœur aînée lorsqu'il avait 6 ans, c'est ce qui le mènera à faire le choix d'être cancérologue ▬ A étudié à McGill en médecine ▬ A une mémoire eidétique et est aussi daltonien ▬ A apprit le français, mais il est maintenant rouillé ▬ A publié un livre au début de sa carrière, parlant de recherche sur le cancer, il est reconnu dans son domaine pour son travail acharné et ses réussites ▬ Apprenant qu'il allait perdre son visa, il s'est marié avec une de ses étudiantes, omettant certain détail sur leur relation ▬ coureur de jupon, il ne croit pas à la fidélité, à l'amour avec un grand A et encore moins au mariage ▬ Il ne se montre pas comme il est vraiment, car pour lui l'image compte beaucoup, mais il ne donne pas facilement sa confiance ▬ Est insomniaque et ses nuits ne dépassent jamais plus de 4 heures lorsqu'il arrive à dormir
Fan de Taylor Swift, il dit qu'elle lui amène un grain de folie ▬ Est un cordon bleu et n'aime pas manger au restaurant sauf s'il est contraint ▬ N'a pas la dent sucrée ▬ Sportif, il pratique le tennis, le golf, la voile et fait un jogging par journée ▬ Ne supporte pas One Direction, les séries télévisées, le shopping et l'hiver ▬ son livre favori est Moby Dick
❝ pseudo : monocle. ❝ crédits : @avatar tag /@gif tumblr ❝ avatar : Daniel Gillies ❝ présence : Présent(e) ❝ préférences : Rp Roses ❝ disponibilité : Disponible, suffit de venir me voir ♥ ❝ autres comptes : AIDEN ▬ (a.levine) le papa qui accepte tous les caprices de sa femme. GRANT ▬ (g.gustin) l'handicapé des sentiments envers les femmes ! oui, il les aime, mais il ne sait pas comment leur dire. CARTER ▬ (a.kendrick) la nouvelle maman amoureuse de l'homme qu'elle a marié à vegas. ALVIN ▬ (m.bomer) le papa qui ne comprend rien au fait d'avoir des enfants avant le mariage. JONAS ▬ (r.amell) l'étudiant qui ne s'amuse qu'avec les plaisirs de la vie. DEVON ▬ (k.graham) la jeune femme qui rêve de liberté et de se reconstruire une vie bien différente de celle qu'elle a toujours connue. GWEN ▬ (s.johansson) la jeune femme qui ne connait rien à l'amour.
anciennement : baptist ▬ parti travailler en Afrique ❝ Points : 3036 ❝ Messages : 488 ❝ depuis : 16/10/2015 ❝ mes sujets : jared ▬ meg ▬ sophia ▬ terry ▬ steadworthy ▬ lexie ▬ liv (uc.) ▬ and you ? lipstick on my collar – ✻ –
| mot doux de Jamie D. Copperman ► un Jeu 10 Déc - 7:01 | | | sophia & jamie Rejetez le noir, et ce mélange de blanc et de noir qu'on nomme le gris. Rien n'est noir, rien n'est gris. Ce qui semble gris est un composé de nuances claires qu'un œil exercé devine.
Cette idée de la voir m’avait travers l’esprit au moment même où j’avais reçu la lettre m’indiquant qu’elle se trouvait en prison. Je connaissais Sophia et franchement, j’avais été surpris. Et puis lisant le rapport qu’on m’avait bien autorisé à lire, je fus d’autant plus surpris de voir qu’elle possédait une arme. Autant dire que sur le coup, j’avais été heureux que ce ne soit pas moi sa victime. Puisque j’ignorais ce qu’elle éprouvait toujours à mon égard, me dire que ma femme – car oui aux yeux de la loi nous étions toujours marié, mettrait fin à mes jours pour enfin se libérer du poids de notre divorce. Je devais bien me l’admettre, je l’avais quelque peu cherché, mais passons. L’attendant dans le parloir, je ne cachais pas ma surprise en la voyant arrivé vêtue de ses habits de détenue, le teint gris et les yeux vides. J’eus un pincement au cœur de voir comment cet endroit l’avait rendu. J’aurais pu passer un commentaire, mais je ne trouvais pas cela opportun, qui voulait se faire dire qu’il avait mauvaise mine dans ce genre d’endroit. Je la saluais donc et même si ça manquait de délicatesse, je faisais tout de même un effort. Après tant de temps loin l’un de l’autre, je ne savais décidément plus sur quel pied danser. M’assoyant devant elle, je laissais un sourire prendre place sur mon visage. On pouvait dire qu’elle ne tournait pas autour du pot. « Direct. » Que pouvais-je dire d’autre, je déboutonnais le seul bouton attaché de mon veston. « Je ne suis pas ici pour les papiers et je ne les ai pas signé. » Je relevais mon regard vers elle. « Je suis ici parce qu’on m’a prévenu de ton arrestation et étant ton mari, ils ont jugés bon de me prévenir. Car semble-t-il que tu ne l’as pas fait. » Ce n’était en aucun cas un reproche, loin de là. Elle devait avoir autre chose en tête que de m’appeler pour me dire qu’elle était derrière les barreaux. « Sachant cela… » commençais-je en m’avançant sur ma chaise, déposant mes coudes sur la table. « Je suis venu voir si tu t’en sortais et puis, je connais de bons avocats qui pourront te défendre. » Je croisais mes bras, la regardant. Inutile de lui dire que j’avais tout quitté pour revenir ici et tout cela pour elle. Une idée sur un coup de tête… Mais bon voilà que c’était fait. Ça me faisait tout de même étrange de la voir là devant moi, mais encore plus en la voyant dans cet état. Tournant la tête, je regardais les vigiles. Je savais que je ne pouvais pas la toucher et pourtant ce n’était pas l’envie qui me manquait. Repousser l’une de ses mèches rebelles derrières son oreille comme je l’avais fait tant de fois alors qu’on vivait encore ensemble. « Tu manges à ta faim ? Tu dors bien ? » Je pouvais aussi m’inquiéter et je devais bien l’admettre la pigmentation de sa peau me créait certaine crainte. |
| | | Sophia A. Steadworthy et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! Never dream about success work for it
| mot doux de Sophia A. Steadworthy ► un Jeu 31 Déc - 22:36 | | | Je n’avais jamais été le genre de femme à tourner autour du pot lorsque j’étais mécontente ou bien mal. Etre face à Jamie me donnait un sentiment mitigé. Je ne savais pas trop quoi y penser. Je m’étais efforcée à le haïr tellement ces derniers mois qu’à la suite de mon épuisement psychologique, je ne savais trop ressentir face à cet homme qui était toujours mon mari. Affronter son regard m’était difficile. Il m’avait toujours d’une certaine manière intimidée, c’était notamment pour cela que j’avais pris la fuite il y a plusieurs mois. A la suite de mes premières paroles je restais silencieuse. Direct, je l’étais en effet et une part de moi m’en voulait alors qu’une autre se fichait de la politesse et des convenances. A quoi cela servait de s’embarrasser de toutes ses choses quand la vie vous avait enlevé la plus grande partie de votre famille, qu’elle vous avait fait prendre la vie de quelqu’un et finalement détruire votre raison d’être ?
Je me sentais vider, c’était aussi simple. Face à Jamie toujours aussi beau et élégant je restais stoïque. J’avais toujours accordé beaucoup d’importance à l’apparence et je savais que je faisais pâle allure mais je m’en fichais. J’eu un haussement de sourcil lorsqu’il m’avoue qu’on l’avait prévenu de mon arrestation. Je restais cependant silencieuse face à la suite de ses paroles et encore un long moment après qu’il m’est demandé si je dormais bien. Je quittais son regard pour regarder la couleur de la table qui nous séparait comme si c’était soudainement la chose la plus passionnante au monde. « Non. » Je laissais s’écouler encore quelques secondes avant de continuer. « Non, je ne dors pas bien. Et je ne dormirais plus jamais bien. J’ai tué un homme. » Je secouais négativement la tête. Je ne me reconnaissais tout simplement pas.
« A quoi bon manger ? A quoi bon regarder la lumière du jour ? A quoi bon vivre ? Le destin semble vouloir anéantir toute notre famille. » J’eu une grimace essayant de retenir une envie d’hurler tout en ayant mes pupilles se marbrer de larme alors que je posais mon regard sur mon époux. « Je vais lui faciliter la tâche. Je ne veux plus me battre. C’est inutile. » Je brisais mon regard en fermant les yeux et en détournant la tête clairement pour regarder mes mains poser sur mes genoux, mes menottes rougissant mes poignets. Je ne comprenais pas cet acharnement, mais je ne voulais plus aller à l’encontre de cela. Je ne supportais plus de perdre les gens que j’aimais, je ne supportais plus l’idée d’avoir arracher un homme à sa famille même si ce qu’il avait fait en s’introduisant chez moi était loin d’être légale.
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| | | Jamie D. Copperman et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! ❝ Métier : Cancérologue, professeur en recherche et écrivain scientifique ❝ cupidon : Ce n'est jamais simple, les contes de fée ça n'existent pas pour un adulte. ❝ post-it : Né à Toronto le 30 août 1977, dans une famille dysfonctionnelle ▬ A perdu sa sœur aînée lorsqu'il avait 6 ans, c'est ce qui le mènera à faire le choix d'être cancérologue ▬ A étudié à McGill en médecine ▬ A une mémoire eidétique et est aussi daltonien ▬ A apprit le français, mais il est maintenant rouillé ▬ A publié un livre au début de sa carrière, parlant de recherche sur le cancer, il est reconnu dans son domaine pour son travail acharné et ses réussites ▬ Apprenant qu'il allait perdre son visa, il s'est marié avec une de ses étudiantes, omettant certain détail sur leur relation ▬ coureur de jupon, il ne croit pas à la fidélité, à l'amour avec un grand A et encore moins au mariage ▬ Il ne se montre pas comme il est vraiment, car pour lui l'image compte beaucoup, mais il ne donne pas facilement sa confiance ▬ Est insomniaque et ses nuits ne dépassent jamais plus de 4 heures lorsqu'il arrive à dormir
Fan de Taylor Swift, il dit qu'elle lui amène un grain de folie ▬ Est un cordon bleu et n'aime pas manger au restaurant sauf s'il est contraint ▬ N'a pas la dent sucrée ▬ Sportif, il pratique le tennis, le golf, la voile et fait un jogging par journée ▬ Ne supporte pas One Direction, les séries télévisées, le shopping et l'hiver ▬ son livre favori est Moby Dick
❝ pseudo : monocle. ❝ crédits : @avatar tag /@gif tumblr ❝ avatar : Daniel Gillies ❝ présence : Présent(e) ❝ préférences : Rp Roses ❝ disponibilité : Disponible, suffit de venir me voir ♥ ❝ autres comptes : AIDEN ▬ (a.levine) le papa qui accepte tous les caprices de sa femme. GRANT ▬ (g.gustin) l'handicapé des sentiments envers les femmes ! oui, il les aime, mais il ne sait pas comment leur dire. CARTER ▬ (a.kendrick) la nouvelle maman amoureuse de l'homme qu'elle a marié à vegas. ALVIN ▬ (m.bomer) le papa qui ne comprend rien au fait d'avoir des enfants avant le mariage. JONAS ▬ (r.amell) l'étudiant qui ne s'amuse qu'avec les plaisirs de la vie. DEVON ▬ (k.graham) la jeune femme qui rêve de liberté et de se reconstruire une vie bien différente de celle qu'elle a toujours connue. GWEN ▬ (s.johansson) la jeune femme qui ne connait rien à l'amour.
anciennement : baptist ▬ parti travailler en Afrique ❝ Points : 3036 ❝ Messages : 488 ❝ depuis : 16/10/2015 ❝ mes sujets : jared ▬ meg ▬ sophia ▬ terry ▬ steadworthy ▬ lexie ▬ liv (uc.) ▬ and you ? lipstick on my collar – ✻ –
| mot doux de Jamie D. Copperman ► un Mer 13 Jan - 10:05 | | | sophia & jamie Rejetez le noir, et ce mélange de blanc et de noir qu'on nomme le gris. Rien n'est noir, rien n'est gris. Ce qui semble gris est un composé de nuances claires qu'un œil exercé devine.
Comment pouvais-je rester de marbre en la voyant là devant moi, essayant désespérément de fuir mon regard. Elle n’avait démontré que peu d’expression vis-à-vis de mes paroles. Bien qu’elle semblait fade, je m’attendais tout de même à plus de répartie de sa part. Avait-elle baissé les bras ? Sans nul doute, pourtant je ne désirais pas la voir abandonner si facilement. Elle parlait enfin, commençant par un simple « non ». Je fronçais légèrement les sourcils, passant ma langue sur ma lèvre dans un réflexe pour humidifier mes lèvres. Elle continuait sur sa lancé, expliquant la signification de ce non. Elle ne dormait pas. Très peu étonnant en voyant les cernes qui maquillaient son visage. Sans avoir porté une arme sur quelqu’un, je pouvais comprendre ce sentiment qu’elle éprouvait. Médecin n’avait pas que de bon côté. On m’avait déjà traité de tous les noms en pratiquant des traitements encore expérimentales. La recherche n’amenait pas que de bon côté et le premier patient que j’avais perdu dans le début de ma carrière avait hanté mes nuits pendant longtemps. « Je sais que les images peuvent nous hanter, mais tu ne dois pas non plus t’empêcher de dormir pour cela. » commençais-je avant qu’elle ne poursuive, montrant clairement qu’elle avait baissé les bras. Des paroles qui avaient un goût amer. Je regardais son visage, croisant ses yeux humectés d’eau. Prenant une profonde inspiration, je contrôlais mon envie de venir la secouer pour lui faire réaliser que tout ne prendrait pas fin en cet instant. Allant chercher le mouchoir de tissus dans la poche de poitrine de mon veston, je lui tendais en me raclant la gorge pour qu’elle me regarde. « Tu ne crois pas que tu baisses un peu vite les bras. » Mon visage était posé, je ne montrais pas de signe d’arrogance, de frustration ou autre. Je ne voulais pas qu’elle se sente attaquer par mes mots, mais quelqu’un se devait de lui comprendre qu’elle devait se relever. « Il n’y a rien d’inutile, tu as simplement pensé à tes sœurs, tes frères ? Moi ? Si tu baisses les bras avant même de penser à te battre, ce n’est pas seulement toi que ça affecte. Tu dis que le destin en veut à ta famille. Peut-être que tu crois trop à cela, pour voir que toi seule est maître de ce qui peut t’arriver. » Je passais ma main dans mes cheveux, replaçant mon nœud de cravate. « Tu veux baisser les bras, soit ! Mais n’oublie pas que tu n’es pas seule. Il y a plusieurs personnes qui ont autant besoin de toi, que toi d’eux. La vie n’est rose pour personne. On a tous nos lots de malheur, nos moments sombres, mais si tout le monde baissait les bras, qui seraient là pour nous voir nous relever. » Je me penchais un peu vers l’avant, brisant la distance et glissant mes doigts dans une mèche de ses cheveux pour aller la porter délicatement derrière son oreille. « Monsieur éloignez-vous d’elle. » Serrant les dents, je retirais ma main faisant des gestes lents pour que la vigile puis voir que je m’éloignais de ma femme. « Sophia, tout n’est pas fini. » |
| | | Sophia A. Steadworthy et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! Never dream about success work for it
| mot doux de Sophia A. Steadworthy ► un Sam 16 Jan - 19:32 | | | Je ne pu m’empêcher d’avoir un regard noir à l’égard de Jamie lorsqu’il me demandait pas si je baissais pas un peu trop vite. Comment pouvait-il se permettre de me dire cela ? Je n’étais pas du genre à baisser les bras même si j’avais fuis notre mariage. J’étais simplement arrivée à mon point de rupture et je n’avais pas la force de me relever. Cependant, je restais silencieuse. Je n’avais pas la force de débattre, je n’avais pas la force de la contredire. Je préférais le laisser continuer parler. La seconde partie de ses paroles me fit cependant un peu écho. Il n’avait pas totalement tord sur ce point. Le reste de ma famille tenait à moi, comptais sur moi. J’étais cependant quelques surprises de voir qu’il s’incluait dans les personnes qui comptaient sur moi. Je devais bien avouer ne pas comprendre sa logique. D’une certaine manière, j’avais vraiment du mal à le comprendre sur certain point. Je ne comprenais pas cette ambiguïté entre ces paroles tendres et son comportement volage. Comment est-ce que cela pouvait être possible.
Il s’approcha alors pour replacer une mèche de cheveux derrière mon oreille avant de se faire rappeler à l’ordre par la gardienne. Son contact me provoqua un frisson qui me troubla sans le moindre doute. Je savais ce qu’il créait en moi, il avait un certain pouvoir sur moi. C’était notamment pour cela que j’avais pris la fuite de New-York, le cancer de ma sœur avait été un prétexte parfait pour ne pas avoir à affronter Jamie et ses excuses bidon qui allaient me faire céder. D’une certaine manière, je me détestais pour cela. J’osais enfin le regarder lorsqu’il m’annonça que tout n’était pas fini. J’eu un mouvement de tête avec un froncement de sourcil. Cela faisait des mois que je ne l’avais pas revu et il me disait que tout n’était pas fini. J’avais du mal à y croire, je ne savais même pas quoi en penser.
Je posais ma main sur la table pour tapoter de manière patiente. Je n’expliquais pas vraiment pourquoi mais je ressentais le besoin soudain d’avoir la conversation que nous aurions du avoir lorsque je l’avais pris en flagrant adultère avec la voisine. « Vraiment ? » dis-je en haussant un sourcil. Je ne cherchais pas à lui entrer dans le lard, je ne voulais pas aller à la confrontation mais je considérais mes questions légitimes. Je me reconnaissais touchée par sa présence, de le voir présent dans un moment foncièrement difficile pour moi, cependant, j’étais intriguée de la raison de sa présence. « Pourquoi tu as eu besoin d’aller voir ailleurs ? Franchement ? Je ne te suffisais pas ? » Je fis une légère une légère moue car je devais reconnaître que j’avais peur de cette réponse. Pourquoi me trompait-il alors qu’il considérait que rien n’était fini ?
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Fan de Taylor Swift, il dit qu'elle lui amène un grain de folie ▬ Est un cordon bleu et n'aime pas manger au restaurant sauf s'il est contraint ▬ N'a pas la dent sucrée ▬ Sportif, il pratique le tennis, le golf, la voile et fait un jogging par journée ▬ Ne supporte pas One Direction, les séries télévisées, le shopping et l'hiver ▬ son livre favori est Moby Dick
❝ pseudo : monocle. ❝ crédits : @avatar tag /@gif tumblr ❝ avatar : Daniel Gillies ❝ présence : Présent(e) ❝ préférences : Rp Roses ❝ disponibilité : Disponible, suffit de venir me voir ♥ ❝ autres comptes : AIDEN ▬ (a.levine) le papa qui accepte tous les caprices de sa femme. GRANT ▬ (g.gustin) l'handicapé des sentiments envers les femmes ! oui, il les aime, mais il ne sait pas comment leur dire. CARTER ▬ (a.kendrick) la nouvelle maman amoureuse de l'homme qu'elle a marié à vegas. ALVIN ▬ (m.bomer) le papa qui ne comprend rien au fait d'avoir des enfants avant le mariage. JONAS ▬ (r.amell) l'étudiant qui ne s'amuse qu'avec les plaisirs de la vie. DEVON ▬ (k.graham) la jeune femme qui rêve de liberté et de se reconstruire une vie bien différente de celle qu'elle a toujours connue. GWEN ▬ (s.johansson) la jeune femme qui ne connait rien à l'amour.
anciennement : baptist ▬ parti travailler en Afrique ❝ Points : 3036 ❝ Messages : 488 ❝ depuis : 16/10/2015 ❝ mes sujets : jared ▬ meg ▬ sophia ▬ terry ▬ steadworthy ▬ lexie ▬ liv (uc.) ▬ and you ? lipstick on my collar – ✻ –
| mot doux de Jamie D. Copperman ► un Dim 17 Jan - 3:53 | | | sophia & jamie Rejetez le noir, et ce mélange de blanc et de noir qu'on nomme le gris. Rien n'est noir, rien n'est gris. Ce qui semble gris est un composé de nuances claires qu'un œil exercé devine.
Mes mots je ne les avais pas pesés, j’avais parlé sans barrière. Je ne pensais pas à nous, à notre mariage ou notre relation. Le « moi » m’avait simplement échappé, pourquoi ? Je ne pourrais dire, je n’avais pas la tête à me poser les questions adéquates quant à ces réponses sur le sujets. Tout ce que je désirais, c’était qu’elle n’abandonne pas. Qu’elle soit celle que j’avais toujours connue, la Sophia battante et prête à se relever. Une facette qui avait sans doute su me charmer, comme d’autre d’ailleurs. Mais là n’était pas la question ou le moment pour penser à cela. Je tentais de lui faire prendre conscience, que certaine personne notamment sa famille avait besoin d’elle. J’ignorais tout ce qu’avait éprouvé celle-ci durant notre séparation, mais pour avoir perdu ma sœur, je savais qu’il n’était pas facile de se relever de cette perte. Trente-deux ans que je trimballais cette perte, qui me poussait à aller plus loin, mais aussi qui m’empêchais de faire certain pas. Si Calixta n’était pas morte peut-être que tout aurait été différent, mais je ne pouvais revenir en arrière. Je ne pouvais effacer cette peine et si elle se laissait aller ainsi, sa famille connaîtrait le même sort que je gardais en moi depuis tant d’année. Pris de nostalgie ou de simple sentiment à son égard, j’allais mettre une mèche de ses cheveux blonds derrière son oreille. Un geste éphémère, mais qui ramena une sensation à la surface. Je regardais son regard se poser sur moi. Ses yeux, ses gestes, je ne savais pas trop quoi en penser. Avais-je dit quelque chose ? Avais-je fait un geste de trop en allant replacer cette mèche de cheveux ? Je n’avais pas besoin de manuel sur les femmes pour comprendre sa gestuelle. Ces doigts sur la table qui pianotait, je les regardais un instant avant de ramener mon regard vers elle. Qu’allait-elle me dire ? À son interrogation, je ne pus m’empêcher de froncer les sourcils, que voulait-elle dire par « vraiment ? » ? Je ne voyais pas son arrestation comme une fin, ni même cet événement. Avait-elle touché le fond du gouffre à ce point pour ne pas comprendre que rien n’était fini ? Je finissais par comprendre où elle voulait en venir. Mes paroles avaient été mal interprétée, je n’avais pas parlé de nous lorsque j’avais prononcé ces six petits mots. J’espère que ce ne soit pas fini, pour les mauvaises raisons, j’en étais bien conscient. Toutefois à cet instant, je n’avais pas cherché à tout régler. Je me retrouvais prit au piège par mes propres mots. Une grande inspiration, je me mordais l’intérieur de la joue. Devais-je mentir ? C’était sans doute préférable, mais en la regardant assise devant moi, je n’en trouvais pas la force. Pas cette fois. Je pouvais omettre des détails, mais ce souvenir que je souhaitais tant lui faire oublier, je n’arrivais pas à le rendre plus beau. J’haussais finalement les épaules. « Peut-être que tu ne me suffisais pas, je ne sais pas. Je ne me suis jamais poser la question, tout ce que je sais c’est que c’est arriver. Est-ce que je l’ai cherché… Sans doute. Est-ce que je voulais te faire du mal… Ça jamais. » Je la regardais, disant ses mots sans broncher. Nous sommes adultes après tout. « Est-ce que j’aimerais avoir une seconde chance. Oui. Est-ce que je pense que tu m’en accorderais une… Je ne pense pas. » Un sourire apparu sur mes lèvres. « Suis-je fou d’espérer encore… Peut-être. Est-ce que j’ai besoin toi… Peut-être plus que ce que je pourrais l’admettre. En contre parti, est-ce que tu as besoin de moi ? Je ne crois pas. » Jared me trouverait sans doute complètement idiot de dire tout cela ainsi, mais soit. J’allais être le pire des cons. Je poussais un soupire, n’osant pas aller plus loin. En parlant ainsi j’en disais bien assez. Il y avait des choses que je n’étais pas prêt à dire, et cela à personne. Mes raisons de mon mariage. Ce qui me poussait à être qui je suis. Mes pulsions que je ne pouvais changer. Ce caractère que je m’étais forgé. Je la regardais, prenant une profonde inspiration. Mes mots pouvaient tout détruire en un instant ou panser les plaies de notre relation. |
| | | Sophia A. Steadworthy et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! Never dream about success work for it
| mot doux de Sophia A. Steadworthy ► un Jeu 21 Jan - 18:58 | | | Etais-je prête à continuer à me battre ? à continuer à avancer alors que rien ne me donnait de l’espoir ? la fatigue répondait sans doute pour moi par la négative. J’étais simplement épuisée et j’avais la sensation de ne jamais avoir l’esprit claire. J’étais détruite, ma vie était détruite. Mon mariage était un échec, mes parents et frère étaient morts, j’avais sans nul doute plus de travail et je ne savais pas comment allait ma chienne. Autant vous dire que je me doutais que ce n’était pas Ariel qui pourrait s’occuper de mon unique bébé. Mais le discours de Jamie eut le mérite de m’éclaircir quelques points. Il me permettait d’y voir plus claire. Si j’avais perdu beaucoup, j’avais encore beaucoup de chose. Comment pouvais-je abandonner le reste de ma famille ? Bien que je ne me considérais pas indispensable, ma famille restait l’un des piliers de ma vie et je me devais de me relever pour eux. Mais bien entendu, entre les envies et la capacité de se relever, il y avait encore beaucoup de travail à faire.
La suite de la conversation n’avait rien pour me rassurer. J’avais fuis il y a plusieurs mois de cela car je ne me sentais pas capable d’avoir cette conversation. J’avais tellement peur de connaître les raisons. Etais-je à présent prête maintenant ? Je n’en savais pas rien mais je considérais ne pas pouvoir tomber plus bas. Lorsqu’il commença à me répondre, j’eu un sourire désabusé. Pourquoi sa réponse ne m’étonnait pas. J’avais tellement été naïve de croire qu’il était le genre d’homme capable de changer ou du moins capable de changer pour moi. Je le laissais donc continuer à parler n’arrivant pas vraiment à comprendre où il voulait en venir. J’eu un mouvement négatif de la tête en fronçant les sourcils. « Comme tu le vois, je n’ai pas l’esprit vraiment claire. » Je me redressais en prenant une grande inspiration. « Et tu n’aides pas à rendre les choses plus claire. » Je continuais sur mon mouvement de tête négatif.
« A quoi tu joues ? » Je ne me sentais soudainement plus en confiance. Son comportement et son discours étaient contradictoire. Je devais avouer qu’il avait toujours cette ambiguïté chez lui. Mais là je me sentais d’autant plus perturber. Je n’arrive pas à comprendre vers quoi il voulait aller. Si ce qu’il disait était vrai, pourquoi avait-il mis autant de temps à venir. Nouvelle question était de savoir pourquoi il disait avoir besoin de moi alors que de toute évidence il me disait que je ne lui suffisais pas. Pourquoi se montrait-il finalement si compliqué que cela ? On parlait de la complexité des femmes mais les hommes n’étaient pas toujours en reste. « Je ne te comprend pas, vraiment pas. D’un côté tu me trompes, tu dis que je ne te suffis pas, et de l’autre, tu me dis que tu veux une seconde chance ? Tu te rends compte de la contradiction ? » J’eu un mouvement négatif de la tête qui s’apparentait à un geste d’incompréhension cette foi-ci.
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| | | Jamie D. Copperman et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! ❝ Métier : Cancérologue, professeur en recherche et écrivain scientifique ❝ cupidon : Ce n'est jamais simple, les contes de fée ça n'existent pas pour un adulte. ❝ post-it : Né à Toronto le 30 août 1977, dans une famille dysfonctionnelle ▬ A perdu sa sœur aînée lorsqu'il avait 6 ans, c'est ce qui le mènera à faire le choix d'être cancérologue ▬ A étudié à McGill en médecine ▬ A une mémoire eidétique et est aussi daltonien ▬ A apprit le français, mais il est maintenant rouillé ▬ A publié un livre au début de sa carrière, parlant de recherche sur le cancer, il est reconnu dans son domaine pour son travail acharné et ses réussites ▬ Apprenant qu'il allait perdre son visa, il s'est marié avec une de ses étudiantes, omettant certain détail sur leur relation ▬ coureur de jupon, il ne croit pas à la fidélité, à l'amour avec un grand A et encore moins au mariage ▬ Il ne se montre pas comme il est vraiment, car pour lui l'image compte beaucoup, mais il ne donne pas facilement sa confiance ▬ Est insomniaque et ses nuits ne dépassent jamais plus de 4 heures lorsqu'il arrive à dormir
Fan de Taylor Swift, il dit qu'elle lui amène un grain de folie ▬ Est un cordon bleu et n'aime pas manger au restaurant sauf s'il est contraint ▬ N'a pas la dent sucrée ▬ Sportif, il pratique le tennis, le golf, la voile et fait un jogging par journée ▬ Ne supporte pas One Direction, les séries télévisées, le shopping et l'hiver ▬ son livre favori est Moby Dick
❝ pseudo : monocle. ❝ crédits : @avatar tag /@gif tumblr ❝ avatar : Daniel Gillies ❝ présence : Présent(e) ❝ préférences : Rp Roses ❝ disponibilité : Disponible, suffit de venir me voir ♥ ❝ autres comptes : AIDEN ▬ (a.levine) le papa qui accepte tous les caprices de sa femme. GRANT ▬ (g.gustin) l'handicapé des sentiments envers les femmes ! oui, il les aime, mais il ne sait pas comment leur dire. CARTER ▬ (a.kendrick) la nouvelle maman amoureuse de l'homme qu'elle a marié à vegas. ALVIN ▬ (m.bomer) le papa qui ne comprend rien au fait d'avoir des enfants avant le mariage. JONAS ▬ (r.amell) l'étudiant qui ne s'amuse qu'avec les plaisirs de la vie. DEVON ▬ (k.graham) la jeune femme qui rêve de liberté et de se reconstruire une vie bien différente de celle qu'elle a toujours connue. GWEN ▬ (s.johansson) la jeune femme qui ne connait rien à l'amour.
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| mot doux de Jamie D. Copperman ► un Sam 30 Jan - 8:51 | | | sophia & jamie Rejetez le noir, et ce mélange de blanc et de noir qu'on nomme le gris. Rien n'est noir, rien n'est gris. Ce qui semble gris est un composé de nuances claires qu'un œil exercé devine.
Est-ce que j’avais été claire dans mes propos, pas vraiment. En fait, je me parlais plus à moi dans une sorte de dialogue étrange qui faisait penser au monologue. Je répondais moi-même à mes propres questions, est-ce que j’en connaissais plus les réponses ? Je les supposais, n’étant pas devin ou dans sa tête, je ne possédais pas toutes les réponses, mais bon. Mon regard se portait sur celle qui était toujours ma femme, la regardant secouer la tête. Je m’humectais les lèvres m’attendant à n’importe laquelle des réactions possibles ou envisageables dans ce genre de moment. À ses mots, je comprenais que je n’avais pas éclairé sa lanterne, c’était légèrement à mon avantage. Bien que j’avais été franc, il y avait des choses que je ne savais pas dire, ce n’était pas parce que j’écrivais des livres que devant elle les mots viendrait aisément. Syndrome de la page blanche ou du manque d’idée ? Non, mais je me sentais pas prêt à m’ouvrir, dévoiler qui j’étais réellement. Ce n’était pas quelque chose que je pouvais faire, alors qu’il n’y avait que moi pour me connaître aussi bien. Certain disait me connaître, mais au fond de moi je savais qu’ils se trompaient sur mon sujet, mais depuis trop d’année je terrais ce que j’étais réellement. Ma carapace était plus solide que l’acier et je me refusais à laisser quelqu’un la franchir. C’était en parti pour cela que je me montrais si libre auprès des femmes, ainsi j’évitais une possible intrusion dans cette coquille. Sophia était sans doute celle qui s’en était approcher le plus sans que je m’en rends compte, mais ça je me réservais bien de lui dire. J’haussais un sourcil à sa question. Ce que je jouais… Un jeu dangereux, quelque chose qui pouvait m’échapper sans que je puisse faire grand-chose. Ravalant ma salive, je laissais un soupir m’échapper. Non pas ce genre de soupir qui dévoile un découragement ou de l’agacement, mais plus une façon de me donner un courage pour cette fois ne pas partir dans un discours. « J’ignore si tu m’étais suffisante, nuance. Je n’ai jamais cherché à être parfait, j’ai fait des efforts néanmoins qu’en a mon attitude avec toi, notre couple. » Oh oui, j’en avais fait, au tout début du moins. Je m’étais dit que notre histoire pourrait fonctionner, que je devais calmer mes ardeurs, mais j’avais recommencé à être cet homme qui court plusieurs lièvres à la fois. « Mais peut-être que j’ai souhaité revivre ce que je connaissais le mieux et surtout ce que je faisais qu’importe ma situation. On ne change pas quelqu’un si facilement, malheureusement. Je ne peux pas me mettre une ceinture de chasteté, je ne suis pas ainsi. Peut-être que les circonstances m’ont conduit à ce moment précis, le boulot qui nous prenait tout notre temps, ce besoin d’être désiré, cet envie d’être à une personne. Et ça se retrouva à être ressentit avec la voisine. Je sais que je n’avais pas toujours été présent, je ne veux pas mettre ça sur la faute de personne, mais voilà c’est arrivé. Je ne peux pas effacer ce moment, mais comme n’importe qui j’estime avoir droit à une seconde chance. Est-ce que je changerai plus cette fois-ci, je l’ignore. Mais je suis prêt à retenter le coup, apprendre sur moi pour changer. Je ne crois pas que ça se fera du jour au lendemain, mais sans seconde chance qui sait si j’arriverai à changer. » Déviant mon regard d’elle, je déposais ma main sur mon front le frottant doucement. Ce n’était pas chose aisé à dire, est-ce que j’étais plus clair ? Non. Mais je n’étais pas sur un ordinateur, je ne pouvais pas calculer chaque mot qui allait sortir de ma bouche. Tout ce que je souhaitais c’était qu’elle ne refuse pas cette seconde chance. |
| | | Sophia A. Steadworthy et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! Never dream about success work for it
| mot doux de Sophia A. Steadworthy ► un Ven 5 Fév - 18:13 | | | Assise ici devant Jamie, je prenais conscience que les relations idéalistes n’existaient pas. Je comprenais qu’il était injuste de demander la perfection à une personne alors qu’on ne l’était pas. Aurais-je voulu ne pas être trompée ? oui bien entendu. Acceptais-je l’idée d’être trompée à nouveau ? Ma réponse était non. Cependant, je n’étais pas parfaite et je ne répondais pas à un idéal. Jamie était dans la même situation que moi. Cela ne voulait pour autant pas dire qu’il n’existait aucun attachement entre nous. Aveuglée par ma colère, je n’avais pas pris conscience que les contes de fées n’existent pas. D’une certaine manière Cendrillon, Blanche-Neige et toute la panoplie disney corrompaient notre vision. Nous étions mis dans un cocon et face à la réalité, la chute était brutale. D’une certaine manière, c’était dangereux. Les histoires d’amour parfaites n’existaient pas tout simplement parce que l’être parfait n’existait pas. Jamie n’était pas parfait, il avait son propre caractère, son propre passé. En somme, tout ce qui faisait de lui la personne qu'il était.
Silencieuse, je réfléchissais à ce que je pouvais répondre à mon époux. Je sentais dans son discours son honnêteté même si ce n’était pas des plus faciles à entendre. Je saluais son courage alors que j’avais moi-même baissé les bras. J’avais cru comprendre qu’il voulait que je me relève, le soutien du reste de ma famille n’en était qu’un peu plus une preuve. Malgré mes défauts, malgré mon caractère de merde et ma peur de communiquer, personne ne m’abandonnait. Cette réalité me frappait clairement face à Jamie. J’étais en vie, j’avais cette chance de vivre en bonne santé alors que d’autres n’avaient pas cette chance. Quelle image pouvait avoir ces personnes là en me voyant gâcher cette vie ? « Merci de ton honnêteté. » commençais-je simplement en me redressant pour appuyer mes coudes sur le bureau en acier. « Je crois que nous avons cessé de communiquer à un moment ou un autre. » J’osais trouver le courage pour poser mon regard sur Jamie.
« Je ne suis pas certaine d’être capable de te pardonner. Je dois avouer que je n’en sais rien. Ma vie est tellement compliquée ces derniers temps que je ne suis pas certaine d’avoir l’esprit vraiment… comment dire… claire. » Je ne voyais pas d’autres mots pour exprimer mon ressenti alors que je l’avais déjà exprimé quelques minutes plus tôt. « Nous avons tout les deux fait des erreurs. » Dis-je en écho à ces propos et à ma propre réflexion sur l’idéalisation de ce que je souhaitais comme compagnon. « Mais malgré tout cela, je t’aime. » Ces mots étaient sortis de ma bouche de manière plus facile que je n’aurais pu le croire. Je me surprenais moi-même avec cette facilité déconcertante. Je jetais un coup d’œil à la gardienne qui faisait semblant de ne pas nous regarder alors que je savais parfaitement qu’elle nous écoutait. Je n’aimais pas cette intrusion dans l’intimité. Je trouvais d’ailleurs cela bien plus violent que le fait de devoir pisser devant une dizaine de bonne femme.
« Tu as raison quand tu dis que je n’ai pas le droit d’abandonner. Je ne sais pas si on peut dire que ma famille a besoin de moi, mais je ne peux pas leur faire cela. » J’esquissais un léger sourire. « Sortir d’ici me fera reprendre de nouvelles bases. Nous fera reprendre des nouvelles bases. » Commettais-je une erreur en faisant cela ? je n’en savais rien mais je ne voyais pas d’autre solution pour le savoir que de la commettre. Le destin finirait peut être par me surprendre. Je n’en avais pas la moindre idée. Mais d’une certaine manière, si je ne laissais pas le destin agir, si je partais battu d’avance, il était certain que je ne pouvais pas savoir, que rien ne sortirais de bon. Je devais laisser une chance à ce qui pouvait m’arriver de bien. Je ne voulais plus laisser le malheur m’atteindre, il était persona non grata. Je me surprenais de constater mon changement de philosophie entre mon arrivée dans cette pièce et le moment présent. J’avais simplement accepté de croire en l’espoir et dans l’avenir. Seul le futur me dirait si j’ai eu raison de faire cela ou non.
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