Invitéet oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais !
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mot doux de Invité ► un Dim 15 Nov - 6:38
Quand rien n'est prévu...
❝ Nul ne peut atteindre l'aube sans passer le chemin de la nuit. Khalil Gibran ❞
Charlie lui expliqua que ça avait été vital pour lui d’ouvrir ce bar, mais bien sûre il lui passerait les détails, cependant il avait eu l’envie de maîtriser sa propre vie. Il ajouta que c’était un peu comme histoire et qu’il n’avait pas envie de l’ennuyer avec ça, vu qu’elle était là pour célébrer son emploi.
- Ca ne me dérange absolument pas, que tu me racontes ta vie, lui dit-elle en souriant.
Peu après, quand la jeune femme brune faillit s’étrangler Charlie lui donna une serviette au cas où le liquide repasserait par ses voies respiratoires, ce qui heureusement ne fut pas le cas. Toutefois, Lidwyn accepta la serviette en continuant de sourire à Charlie. L’homme lui dit ensuite ce que tout le monde, lui répétait depuis bientôt 29 ans. Sur le fait, qu’elle trouverait bientôt un petit ami, ce qui la fit sourire d’avantage – si c’était possible -. Charlie ajouta qu’elle semblait être intelligente, dégourdie et qu’en plus elle était jolie et que c’était aberrant de voir que de jeune homme de son âge était aussi stupide.
- Il n’y a pas que les hommes de mon âge qui sont idiots, lui dit-elle en gloussant légèrement. Le dernier en date avait 35 ans, je crois…, ce qui fait qu’il avait…, elle réfléchit un moment avant de dire, 7 ans de plus que moi, dit-elle finalement, l’alcool n’aidant pas au calcul mental.
Charlie lui donna ensuite une bouteille de Corona avec un quartier de citron vert dans le goulot et un verre. La jeune femme considéra le verre, pendant un court instant, avant d’enfoncer le quartier de citron dans la bouteille et d’en boire une gorgée à même le goulot. La Corona ça elle connaissait et elle aimait bien le goût, même si elle trouvait que ce breuvage était traitre et que s’était pour cela qu’elle n’en buvait pratiquement jamais lorsqu’elle sortait, se contentant de boire un coca ou autre soda pétillant, mais aujourd’hui elle voulait se lâcher un peu.
Charlie lui demanda si ses parents vivaient toujours à Londres, le regard de Lidwyn se voila légèrement, mais elle décida de répondre sincèrement à l’homme en face d’elle.
- En fait, je viens de Blackpool dans le Lancashire, j’ai fait mes études à Londres, puis j’y ai ouvert une pâtisserie. Ma mère est morte quand j’avais 18 ans, mon père est toujours en vie, ainsi que ma grand-mère maternelle, c’est les deux seules parents qu’il me reste, lui dit-elle en le regardant, s’était s’en doute l’alcool qui aidait, mais elle se dit qu’elle pourrait tout lui raconter. En fait, mon grand-père maternel avant que je vienne au monde à fait la connaissance d’un bulgare dans un bar, qu’il avait l’habitude de fréquenter, comme ils s’entendaient bien, ils ont fait une sorte de pacte. Ce pacte consistait que si l’un avait une petite fille et l’autre un petit fils, les deux enfants devraient se marier. Mon grand-père en parla un jour à mon père, je devais avoir 11 ans, lui disant que l’homme l’avait contacté, car son petit-fils venait de fêter ses 18 ans et qu’il serait donc temps pour lui de se marier. Ma mère qui entendit la discussion, c’est fâchée ainsi que ma grand-mère, tu penses bien me marier à 11 ans, dit-elle en riant et en buvant une autre gorgée de ce liquide doré. Donc, c’est tombé à l’eau, cependant mon père, bien des années plus tard, appris que le petit fils du bulgare était riche, aussi, il le contacta, évidement sans que je sois au courant, pour lui demander s’il voulait toujours se mari. C’est comme cela qu’à mes 21 ans, je me suis retrouvée mariée à un parfait inconnu que je n’avais jamais vu et que je ne verrais jamais. Mon père a profité de cet arrangement pour extorquer à cet homme 10.000 livres par mois, lui expliqua-t-elle en le regardant. Ah oui, j’oubliais, il y a un mois mon père me dit que le bulgare souhaitait me voir sur une île et que je devais partir le plus vite possible pour savoir ce que cet homme me voulait, de plus ça me ferait des vacances, ajouta-t-elle en regardant toujours Charlie. Quand je suis arrivée sur l’île, l’homme en question a brûlé ledit contrat en me disant qu’il ne payerait plus un centime à mon père ou à moi, c’est là que j’ai plus moins compris que mon père lui avait extorqué de l’argent, mais je voulais en être sûr, donc je l’ai appelé. Mon père m’a répondu, sur un ton très détendu, qu’il avait accumulé beaucoup de dettes à cause du jeu et qu’il se doutait que l’homme mettrait fin au contrat de mariage, donc il a vendu ma pâtisserie, lui dit-elle avant de vider d’un trait la bouteille de Corona. Et vive, la famille!, s’exclama-t-elle en posant la bouteille de bière vide sur le comptoir.
La jeune femme brune avait dit tout cela sans reprendre sa respiration, ou presque pas, donc une fois que sa bouteille fut vide, elle regarda le patron du bar avec des yeux aussi vide que sa bouteille et sa tête heurta le comptoir presque en même temps que sa bouteille. La respiration de la jeune femme se fit régulière, elle s’était simplement assoupie d’avoir consommé plus d’alcool qu’elle ne le faisait de manière habituelle.
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- Oh je doutes que tu trouve ça passionnant dis-je en riant.
En fait le fait est que je détestait de parler d'une partie de ma vie, c'est-à-dire l'armée, alors que ce n'étais pas mon plan de vie. Je vous dit pas comment de plancher et de pommes de terre j'ai éplucher à cause de mon entêtement, de mes crises de rébellion. Mon supérieur a même dit que le bataillon serait puni par ma faute un jour. J'étais sortit des rangs en lui gueulant que c'était pas le bataillon le fautif mais moi et de ne s'en prendre qu'à moi "s'il avait des couilles". Oui culotté mais je ne voulais pas être là. Je me suis dit qu'en étant le pire soldat il me renverrait. Hé bien non... j'ai fait des pompes comme un fou...
Je fus tiré de mes rêveries quand elle me répondit. Je lui avais dit que les jeunes hommes étaient stupides de ne pas apprendre à la connaître. Et sérieusement un mec de 35 ans qui laissait passer une fille pareille?? Bon ok moi aussi j'en avais laisser passer des filles potentiellement intéressantes... Je lui fit un petit sourire qui se voulait complice.
Quand je lui demandai si ses parents étaient toujours à Londres je vis son regard se voiler un peu. Bon bien je ne lui sers plus d'alcool, elle ne le tenait pas bien semble-t-il. J'allai à ses côtés, surtout pour lui éviter une chute en bas du tabouret et je l'écoutai attentivement. Quand j'entendis que son père avait soutiré de l'argent après un mariage arrangé, où elle ne vit jamais son mari, ceci me choqua en fait. Comment un père pouvait faire ça à sa fille? Même moi j'aurais jamais pensé à un truc pareil! À la fin de son récit elle fini sa bouteille et sa tête heurta le comptoir.
- Hé merde! Drew donne moi un linge frais vite!
Drew mouilla un linge et je le passai sur son visage pour m'apercevoir qu'elle dormait. Je roulai des yeux en poussant un soupir. Je fis un tour visuel du bar et malgré tout c'était sous contrôle.
- Tu peux t'occuper du bar?
- Oui, mais tu... tu vas faire quoi?
Je me penchai et prit la jeune femme doucement et passai derrière le bar.
- La coucher qu'est-ce que tu crois.
- Ça va jaser Charlie...
- Je m'en fous je peux pas laisser cette jeune femme complètement soûle avec des rapaces. T'inquiètes pas je dormirai sur le canapé dis-je sourire en coin.
Je me doutais bien que ça allait parler mais je ne pouvais laisser cette femme totalement sonnée dormir sur mon bar. Je montai les escaliers et je me contai chanceux qu'elle ne pèse rien. J'ouvris la porte de mon appartement un peu difficilement et entrai. J'allai directement à ma chambre et la déposai sur le lit. Je lui enlevai ses escarpins et la couvrit des couvertures. Je plaçai une poubelle à côté du lit et allai dans la cuisine.
Je me fis un café et le bu lentement en écoutant les infos. Je ne descendrais pas tout de suite, si elle se réveille elle se demanderait où elle était. Mon téléphone vibra dans ma poche et je vis que c'était Leilah. En quelques texto je lui expliquai la situation en spécifiant bien qu'elle allait bien, qu'elle avait trop bu simplement. Et que, oui, je veillerai sur elle pour qu'il n'arrive rien. Je fis le tour des postes tout en allant jeter un oeil de temps à autre mais le sommeil eut raison de moi de se fait je m'étendis sur le canapé et m'endormit à mon tour.
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mot doux de Invité ► un Dim 15 Nov - 20:04
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L'homme lui dit qu'il doutait qu'elle trouve son histoire passionnante, Lidwyn était certaine du contraire, mais s'était peut-être ou beaucoup à cause de l'alcool qu'elle avait dans le sang. Soudain tout s'embrouilla et voile noir vint couvrir ses yeux, en fait la jeune femme venait de s'assoupir sur le comptoir. Jamais, elle n'avait encore expérimenté ce genre de chose, bien évidement quand elle buvait, ce n'était qu'un verre et rien de plus, mais cette fois, elle avait bu plus que son corps pouvait en supporter.
Elle entendait des bruits au loin, mais elle était incapable de savoir d'où cela venait, puis elle sentit comme si on la soulevait, c'était assez agréable. Un souvenir d'enfance, lui revint alors en mémoire, quand elle s'endormait devant la télévision encore allumée et que son père la prenait dans ses bras pour ensuite l'allonger dans son lit. Cette pensée la fit sourire légèrement, alors que Charlie l'allongeait dans un lit. Celui-ci était assez confortable, elle sentit ses chaussures quitter ses pieds, mais elle était incapable de se réveiller pour autant.
Lidwyn entendit un bruit métallique avant de sombrer définitivement dans un profond sommeil. Elle rêva encore de l'homme qu'elle avait vu sur l'île. Cette fois il était de dos et accoudait au bar, elle s'approcha de lui posa sa main sur son épaule, toutefois quand il se retourna, ce n'était pas l'homme qu'elle avait vu, mais Charlie. Lidwyn se redressa dans le lit en position assise, elle regarda autour d'elle, il faisait encore nuit. Elle regarda l'heure, il était 4h30 du matin, si elle ne se dépêchait pas, elle allait être en retard à son travail.
Elle se leva puis regarda à nouveau autour d'elle, Lidwyn comprit qu'elle n'était pas chez elle et qu'en plus un mal de tête lui vrillait les tempes. Elle passa une main sur son front avant de se pencher pour récupérer ses escarpins, ce qui lui donna encore plus mal à la tête. Elle se dirigea ensuite vers le salon, à pas de loup, où elle vit Charlie entrain de dormir. La jeune femme brune comprit qu'il l'avait emmenée pour qu'elle puisse dormir plus paisiblement. Elle sourit avant de se pencher vers lui pour lui donner un baiser sur la joue.
- Merci, lui murmura-t-elle.
Elle essaya de faire le moins de bruit possible pour ne pas réveiller l'homme et elle ouvrit délicatement la porte de l'apporte de l'appartement, mais celle-ci poussa un gémissement. Sans doute inaudible pour l'homme qui était assoupit, cependant pour Lidwyn se fut comme un coup de tonnerre dans sa tête, elle agrippa celle-ci de ses deux mains, faisant tomber ses escarpins sur le sol.
La jeune femme brune se retourna alors vivement, pour voir si l'homme dormait toujours. Mal lui en prit, car sa tête se mit aussi tôt à tourner et elle se retrouva allongée sur le pas de la porte sans comprendre ce qui venait de lui arriver.
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Je dormais bien. rouler en boule sur mon canapé la télé jetant sa lumière incandescente. Bien sûr mon sommeil était léger guettant le moindre bruit qui viendrait de la chambre. J'entendis de petits pas et un bisous sur ma joue ainsi que le merci. Mais un peu pris par mon rêve je crus que c'était Leilah. D'ailleurs je faisais un rêve pas mal. La belle rousse avait un ventre rond et elle rayonnait. Quand la porte grinça c'était comme si Leilah avait du mal à parler et je fronçai des sourcils et bougeai un peu sur mon canapé de cuir. Ce fut les escarpins tombés sur le sol qui me fit réveiller d'un bond.
En deux secondes j'étais debout l'oeil alerte, les muscles tendus. Le temps que mes yeux s'habitue à la noirceur je vis ma porte ouverte et une masse sur le sol. Je me précipitai vers elle ayant peur qu'elle ai mal ou pire qu'elle ai claquée... quoique non je la voyait bouger.
- Viens je vais t'aider...
Je la relevai lentement et allai l'asseoir à la table de cuisine. J'étais un peu endormi encore. Je me dirigeai au comptoir et nous fit un café bien fort. Sans un mot je lui préparai un petit déjeuner avec fruits et autre trucs bien sucrés. Je posai le tout devant elle ainsi que la bouteille de comprimés. Lentement le café coula et je m'assied devant elle, les yeux encore endormi mais inquiets.
- Mange, et prends les cachets. Tu dois avoir un mal de crâne horrible... Attends je t'apporte un café.
Je me levai en m'étirant comme un chat et pris deux tasses versai du café dedans. Deux tasse d'une main le lait de l'autre, je posai le café devant elle. Je m'assied et fit mon café, deux sucre et lait, et en pris une petite gorgée. Je remontai mes yeux vers elle un petit sourire sur les lèvres.
- À ce que je vois petite tu tiens pas l'alcool... Prends ton temps, le café est fort mais... c'est un vieux truc de barman. dis-je sourire en coin, si tu as besoin j'irais te conduire.
Oui bien je prendrai pas la chance qu'elle tombe sans connaissance en marchant. Je me passai une main dans les cheveux pour les chasser de ma figure mais ils retombèrent exactement à la même place comme pour me narguer.
- Te souviens-tu un peu de ta soirée petite?
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mot doux de Invité ► un Dim 15 Nov - 21:35
Quand rien n'est prévu...
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Charlie la vit étendue sur le sol malgré la faible luminosité qui régnait dans l'appartement. L'homme lui dit en lui tendant la main qu'il allait l'aider. Lidwyn lui tendit la main et en un rien de temps, elle fut sur ses pieds à regarder Charlie droit dans les yeux. Il l'a conduisit jusqu'à la table de la cuisine, elle s'installa sur une des chaises. Il lui offrit des choses à manger, mais elle n'avait pas très fin, cependant elle prit une biscotte mit de la confiture sur celle-ci et la porta à ses lèvres, quand l'homme lui dit de manger et de prendre les cachets qu'il avait posé sur la table.
Lidwyn avait l'impression que son ouïe avait décuplé, elle pouvait tout entendre même le bruit que l'homme faisait en posant des objets anodins sur la table. Les tempes de la jeune femme n'arrêtaient pas de battre la chamade, comme si celles-ci allaient finir par imploser. Elle se les massa, sans dire un mot, prit les cachets avec un verre d'eau que l'homme avait posé devant elle.
Charlie lui avait dit qu'elle devait avoir un mal de crâne horrible, ce qui était loin de la réalité. Il lui dit de patienter et qu'il lui apportait un café. La jeune femme fit alors des yeux ronds.
- Tu peux parler un peu moins fort ?, lui demanda-t-elle d'une voix légèrement enrouée. Il vaut mieux que je ne boive pas de café, dit-elle en regardant la tasse posée devant elle. Tu n'aurais pas du thé ? Je sais que j'en demande peut-être un peu trop, mais si je bois cette tasse, je vais être une vraie pile électrique, pendant tout l'avant midi et puis je vais somnoler le restant de la journée, lui avoua-t-elle en le regardant.
Lidwyn avait fait l'expérience plus d'une fois avec le café, surtout pendant les périodes d'examens quand elle était encore étudiante. Heureusement, ses examens principaux, c'était toujours passé le matin, car dans l'après-midi on pouvait la retrouver entrain de dormir sur sa feuille. Il était alors, impossible de la réveiller pour qu'elle puisse continuer.
Charlie lui dit qu'elle ne tenait pas l'alcool, ce à quoi elle répondit par un sourire. Comme si la jeune femme ignorait, ce fait, mais elle s'avait très bien ce que l'alcool avait comme effet sur elle. Cependant, quand il l'avait invitée, elle se voyait mal ne prendre qu'un soda. Il lui dit de prendre son temps avec le café, toutefois la jeune femme n'y toucha pas se contentant de croquer un peu plus dans sa biscotte à la confiture.
L'homme lui demanda ensuite, si elle se souvenait de sa soirée, les joues de Lidwyn prirent alors une couleur pourpre.
- Je…, je me souviens que tu m'as invitée à rentrer dans le bar, que je me suis installée sur un des tabourets, que j'ai commandé un whisky coca, que nous avons discuté…, dit-elle en le regardant et en essayant de se souvenir du reste, mais c'était assez confus. J'ai…, je me suis permis de faire quelque chose que je n'aurais pas dû ?, lui demanda-t-elle en observant les moindres réactions de l'homme qui aurait pu la mettre sur la voie. Je ne me suis pas permise de te faire des avances, ni à ton assistant n'est-ce pas ? Parce que ce n'est pas du tout…, mais alors pas du tout dans mes habitudes !, lui dit-elle en baissant légèrement les yeux sur la table de la cuisine. Au fait, merci de m'avoir permis de dormir dans ton lit, lui dit-elle avec sincérité.
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Dernière édition par Lidwyn Darcy le Dim 15 Nov - 23:44, édité 1 fois
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Un thé?? Est-ce que j'avais ça moi? Je me levai et allai voir et heureusement je vis une boîte de sachet de thé. Ça devait quand ma mère est venu me voir... ya qu'elle qui bois du thé chez-moi. Je fis bouillir de l'eau et encore heureux que j'ai une bouilloire électrique. Je haussai un sourcil quand elle me dit de parler moins fort... Mais... J'avais la voix enrouée de sommeil... difficile de faire plus bas. Mais je comprenais aussi qu'avec la cuite qu'elle avait pris ça devait être difficile.
- Désolé...
Je m'étirai et pris une fraise et je mordis dedans après qu'elle m'eut fait un mince sourire. BOn elle devait savoir qu'elle ne tenait pas l'alcool, mais je ne l'ai pas poussé à boire. Si elle aurait voulu une bouteille d'eau je lui en aurais donner une. Quand je lui demandai si elle se rappelait sa soirée son visage tourna au pourpre. J'avalai ma bouchée de fraise et en pris une autre pendant qu'elle énumérait ce qu'elle se souvenait. Je fis un sourire en coin en l'entendant.
- A Drew non mais à moi... Ouf... Disons que j'ai eu du mal à t'arrêter. Puis tu sais tu es belle et tout et.. bien... Tu sais je suis un homme et ceci implique que je suis faible devant les charmes d'une femme...
À voir son air j'eus presque du mal à me contenir de rire. Heureux que je sois un pas si pire acteur. Je mordis dans le fruit rouge et mastiquai lentement en la regardant.
- Tu es une vrai tigresse petite... Vraiment.
Ok là il fallait que j'arrête elle allait tombé dans les pommes ici droit devant moi. Je rigolai doucement avant de poser la queue de fraise sur la table et me lécher les doigts.
- Allons relaxe, c'est pas vrai. Tu n'as rien fait sauf tomber raide endormie sur le bar. Je t'ai simplement montée ici et couché dans mon lit. Je ne pouvais pas te laisser comme ça. Tu as dormi dans mon lit et moi sur le canapé. Puis ça fait plaisir, au moins tu n'a pas passer la nuit sur le bar.
Je lui fit un clin d'oeil complice. Jamais de ma vie j'ai vu quelqu'un tomber raide endormie comme ça. Mais bon c'était juste drôle et c'est tout.
- Tu sais que tu m'as flanqué une frousse quand je t'ai vu sur le bar? D'ailleurs laisse-moi voir ton front.
Je me levai et allai lever ses cheveux. Rien de grave heureusement.
- Une simple bosse, ça sera sensible mais rien de grave.
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mot doux de Invité ► un Dim 15 Nov - 23:46
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Charlie s'excusa pour le volume de sa voix, toutefois, il ne parvint pas à la moduler suffisamment pour que Lidwyn n'ait plus les tempes qui vrilles. La jeune femme ne trouva pas utile de lui en faire la remarque. L'homme prit une fraise avant de répondre aux interrogations que la jeune femme avait faite aux sujets de la soirée. Il lui répondit qu'à Drew elle n'avait rien fait, mais qu'à lui en revanche, ses joues rosirent un peu plus si s'était possible. Charlie poursuivit en lui disant qu'elle était belle et qu'il n'était qu'un homme ce qui impliquait, qu'il soit faible devant les charmes d'une jeune femme.
Lidwyn était mortifiée à présent devant cet homme qui ne semblait pas mentir sur ce qu'ils avaient fait. Il poursuivit en lui disant qu'elle avait été une vraie tigresse, Lidwyn se sentait vraiment mal et puis son mal de tête n'aidait pas vraiment à la réflexion. Sinon, elle se serait demandée comment il avait fait pour la rhabiller complètement, bon la robe c'était assez facile, mais les bas aucun homme mis à part un transsexuelle et encore n'aurait réussi à lui remettre sans les flécher au passage.
Charlie voyant le visage de Lidwyn se décomposer à chacune de ses paroles fini par lui dire que ce n'était pas vrai, qu'elle s'était juste endormie d'un coup sur le bar. Il lui expliqua qu'il l'avait ensuite emmenée à son appartement, car il ne pouvait pas la laisser comme ça, il l'avait alors allongé sur son lit et lui avait dormi sur le canapé. Lidwyn poussa alors un soupir de soulagement en entendant cela.
- Je ne t'ai donc pas trop embêté, c'est déjà ça, ma meilleure amie, m'a dit une fois que je devenais collante avec les hommes qui me plaisait, heureusement ce n'était pas le cas ici, lui dit-elle en souriant, puis se rendant compte de ce qu'elle venait de dire elle s'empressa d'ajouter : pas que tu ne sois pas attirant, bien au contraire, mais tu es… euh… un peu trop âgé pour moi, lui dit-elle en baissant légèrement la tête en prenant la tasse de thé pour en boire une gorgée.
Lidwyn espérait ne pas avoir froissé Charlie, quand celui-ci lui dit qu'il avait eu peur quand il a vu sa tête heurter le bar. Il s'approcha d'elle souleva sa mèche et regarda son front en lui disant qu'elle avait une simple bosse. Lidwyn fit des yeux rond et posa sa main sur la dite bosse, pour elle celle-ci était énorme, elle essaya de remettre en place ses cheveux.
- Ca se voit ?, lui demanda-t-elle avec une voix quelque peu anxieuse. Au fait, qu'elle heure est-il ? lui demanda-t-elle.
Lidwyn devait se rendre à la pâtisserie à 5h00, si elle n'était pas là Azélia allait sans doute paniquer.
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Dernière édition par Lidwyn Darcy le Lun 16 Nov - 12:00, édité 1 fois
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Je me retint de rire aux éclats en la voyant mais je ne le fit pas surtout parce qu'elle avait un mal de tête carabiné. Ah... les lendemains de veille! Combien de fois je m'étais levé la bouche pâteuse et un mal de tête qui me martelait le cerveau et surtout de me traîner comme une épave vers ma cuisine. Je regardait la jeune femme quand elle m'expliqua que sa copine lui avait dit qu'elle pouvait être collante avec les hommes qui l'attirait. Quand elle ajouta que ici ce n'était pas le cas je haussai un sourcil mais rapidement, gênée, elle ajouta que c'était tout à fait ça mais que j'étais trop vieux pour elle. Je fis un sourire en coin ne le prenant pas mal pour un sous. Puis en même temps j'avais Leilah.
- Trop vieux... Hé bien si je pensais me faire dire ça ce matin... dis-je un sourire flottant sur mes lèvres. T'inquiètes je comprend.
J'avais vérifié si elle ne c'était pas fendu le crâne en tombant raide sur le comptoir du bar et ne vis qu'une petite bosse, rien de méchant. Mais ceci sembla la faire presque paniqué.
- Non ça va on ne voit rien. L'heure... il est 5:10 assez tôt quand même.
Quand je la vis se lever d'un bond en état de panique je la regardai un moment un peu incrédule.
- HÉ... hé attends qu'est-ce qu'il y a? Si tu as besoin je vais te conduire où tu veux, je te laisse pas marcher... un plan ou tu tombe encore...
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mot doux de Invité ► un Lun 16 Nov - 12:01
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Charlie ne s'offusqua pas de la remarque de Lidwyn sur son âge, il avait même un petit sourire. L'homme lui dit ensuite qu'il était cinq heure dix, ce qui était assez tôt, sans doute pour lui, mais Lidwyn était en retard de 10 minutes. La jeune femme brune se leva alors d'un bond, prit ses escarpins et sa pochette.
Charlie lui dit d'attendre et lui demanda pourquoi, elle réagissait de cette façon, il poursuivit en lui suggérant de la conduire si elle le désirait. Car pas question qu'il laisse rentrer à pied pour qu'elle tombe à nouveau. Lidwyn lui sourit.
- Merci et oui, je veux bien j'ai déjà 10 minutes de retard, lui dit-elle en le regardant. Tu peux me déposer à la pâtisserie "Ohana" ?, lui demanda-t-elle avant de se rasseoir.
Elle mit ses escarpins, puis se releva en regardant Charlie qui n'avait toujours pas bougé.
- S'il te plait, on peut y aller, lui demanda-t-elle presque en l'implorant. Ma patronne est surement morte d'inquiétude, lui expliqua-t-elle en le regardant.
Lidwyn ne pouvait s'empêcher de masser la bosse qu'elle avait sur son front et qui avait la taille d'un œuf au moins. Elle imaginait Azélia entrain de patienter devant la boutique et faisant les cent pas en l'attendant. Sa patronne était s'en doute entrain de penser que Lidwyn avait eu un accident ou bien pire encore. Elle ouvrit sa pochette et regarda à l'intérieur, elle prit son smartphone, pour voir si sa patronne lui avait laissé un message vocale ou un texto, mais il n'y avait rien. Lidwyn laissa alors échapper un soupir, car si elle n'avait pas de messages c'était bon signe, car ça voulait dire que sa patronne n'avait pas encore paniqué.
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Dernière édition par Lidwyn Darcy le Mer 18 Nov - 8:33, édité 1 fois
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Elle bossait un samedi?? Mais qui bosse dans une pâtisserie aussi tôt? Ok oui... Lidwyn. Je me secouai en entendant la brunette me dire de me dépêcher. Je filai à ma chambre et mis une paire de jean et un t-shirt. Je mis mes bas et failli me péter le crâne sur le sol mais je fus prêt en quelques secondes. Je pris mes baskets et les mis à la vitesse de l'éclair. Cependant j'arrêtait en voyant comme elle était habillée et je fronçai des sourcils.
- Pas mes affaires mais... tu risque pas de salir ton linge en bossant avec ça?
Un jolie robe, des escarpins... pas ce que j'appelle une tenue pour bosser en cuisine. Enfin j'attrapai ma veste et mes clés et lui fit signe qu'on y allait. À cette huere, dans ce quartier on croisait peu de monde cependant certains me saluèrent de la main pendant que je débarrai la portière et m'engouffrai à l'intérieur. Je mis le contact et lui jetai un dernier regard avant de poser mes yeux sur la route. Sans un mot je pris assauts des rues de Passadena. Je roulai quand même prudemment pour ne pas me faire arrêter. Non mais vous voyez ça! Reconduire la jeune femme au boulot et je me fais coller pour excès de vitesse? Sérieusement ça serait pathétique.
- On y sera dans quelques minutes.
Je pris des rues moins passante pour gagner du temps et ainsi la faire arriver un peu moins en retard. En dix minutes me voici devant la devanture de la pâtisserie. Je me garai et je pu voir un visage à la fenêtre. Je me tournai vers Lidwyn un petit sourire sur mes lèvres.
- Ça va aller petite? Si tu as besoin, en tout temps. Tu peux me joindre.
Je lui tendis un bout de papier avec mon numéro de téléphone. Je la regardai sans malice. J'attendis qu'elle le prenne avant de reprendre la parole.
- Je suis sérieux, si tu as besoin de quoique se soit tu me téléphone, je serai là.
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