Invitéet oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais !
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mot doux de Invité ► un Sam 26 Mar - 10:24
Et lorsqu'on se mit à manger nos pizzas, la voir avec le coulis de tomate au coin des lèvres, je ne pu m'empêcher de lui retirer. Sauf que c'était comme si quelqu'un d'autre prenait les commandes. Et c'est comme si elle avait aussi cédé le contrôle de son corps à quelqu'un d'autres au moment où elle va chercher le dessert. Lorsqu'elle m'en donne une part, elle me dit « s'il te plaît ». Je ne comprends pas tout mais réponds Merci. Je tente de rompre cette situation par des paroles et vient à parler de la pizzeria où elle s'est fournie. Est-ce si minable.. ? Et elle accepte mais va prendre l'air en mode zombie. Je la regarde intrigué. Que se passait-il à cette instant ? Qu'est-ce-qui la rendait ainsi ? Était-ce moi ? Je ne pouvais pas me dire que je m'en tenais au plan de « on reste amis » vu que moi même j'avais cette attirance physique envers elle. Je pense que ni elle ni moi ne pouvions qualifier ça d'amour, simplement qu'on est des êtres humains qui se plaisent. Pour le reste, nous n'avions rien en commun à part Abel. Elle était douce, généreuse, calme, ne trouvait pas important de conduire, et je suppose qu'elle n'aimait ni boire, ni fumer. En gros je suis tout le contraire. N'empêche qu'en la regardant sortir, mon regard s'était porté sur son « bas-du-dos ». Je le détourne aussitôt et ravale ma salive. Et si je laissais un petit peu les commandes à mon instinct, à mes désirs pour une fois ? Je ferme les yeux. Je ne devais pas. Il ne fallait pas causer quelconque mal auprès de la jeune femme. Je ne serais pas apte à assumer la suite. Toutefois, je ne jure pas que j'y arriverai. J'aurai dû partir avant qu'elle m'invite pour tout ça. J'aurai dû partir juste avant que j'aille fumer. On aurait peut-être été dans un autre état d'esprit, et les fois prochaines où l'on se serait vu, ç'aurait été comme si rien ne s'était passé. Mais j'ai l'impression que j’émiettais tout ça, petit à petit. Cette chance que rien ne se passe. Et là, la prochaine fois qu'on se verrait, la chance serait omniprésente. Je me sentais dans un étau. Inconsciemment, je m'étais levé en faisant les cents pas. Je me dis que pour commencer, je pouvais renfiler le t-shirt que Lidwyn m'avait si gentiment prêté.
J'attrape le vêtement et le remets me rendant compte qu'il me colle vraiment trop à la peau, je lève les yeux aux ciel. Je regard Lidwyn, toujours sous le balcon. Je m'approche de ce dernier et hésite à m'installer à ses côtés, à m'appuyer sur la rambarde pour lui parler, faire le point ensemble. Ou je pourrais sortir et la serrer tout contre moi, l'embrasser en saisissant ses mains. Au lieu de ça, je me rassieds, attendant qu'elle revienne pour éviter de faire une connerie. Je soupire, en songeant qu'avant seul l'instant aurait compté, mais depuis que j'ai rencontré Jude, à mes 18 ans, j'avais appris à écouter mon esprit, et laisser mon âme de côté. C'était marrant, quand on sait que c'est grâce à mon instinct que j'ai remarqué Jude sur cette terrasse de café. Je n'osais même plus regarder en direction de la fenêtre. Je me demande pourquoi ai-je adopté cette voie d'homme civilisé où tout est compliqué, où tout amène à penser à autrui ? A cette instant précis, ma vie d'avant me manquait, je crois. C'était simple. Une nana me plaisait ? Je lui faisais le même effet ? On se retrouvait dans n'importe quel endroit, suffisamment discret, et l'on s'envoyait en l'air. Un mec me prenait la tête ? Il finissait avec le nez en sang. Et j'en passe. Ça me manquait, cette simplicité, et cette barbarie je crois. Je voulais fuir, en cet instant, tout Pasadena pour me retrouver avec mes anciens frères, les réintégrer. Mais je ne pouvais pas. Non, c'était finit tout ça. Au lieu de ça, je me retrouvais à ne pas savoir quoi faire, assis sur le canapé de Lidwyn comme un patient attendrait dans la salle d'attente de son dentiste. Je devais rompre la glace. On ne devait pas rester sur un nom dit, laisser gonfler l’abcès, ne rien se dire. Mais dire quoi ? J'en savais fichtrement rien. Je caresse machinalement ma barbe. Ça m'arrive lorsque je suis en pleine reflexion.
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mot doux de Invité ► un Sam 26 Mar - 12:15
LIDWYN & DEAN
God takes my soul.
Lidwyn s'était posée de nombreuses questions sur le balcon, à savoir ce qu'elle ressentait vraiment pour l'homme assis dans le salon. Elle n'avait jamais ressenti une telle attraction vis-à-vis de quelqu'un, jamais son corps ne l'avait trahi à ce point devant un homme. En fait, elle avait déjà ressenti l'inverse, un profond rejet quand elle avait vu pour la première fois son "mari", cependant quand il lui avait parlé, quelque chose en elle s'était réveillé presque comme avec Dean, cependant ce n'était pas aussi intense. Elle aurait pu rentrer dans le salon et se jeter sur ses lèvres comme une furie, toutefois ça n'était pas dans sa façon de fonctionner, elle ne voulait pas devenir cette femme qui agissait en laissant parler son instinct.
Lidwyn sentait au plus profond d'elle-même que si elle laissait parler son corps, ses émotions et son instinct. Elle ne serait plus jamais la même quelque chose en elle allait se briser et elle ne le souhaitait pas. Le vent lui faisait du bien, sa température descendait et elle était un peu plus calme ainsi qu'un peu plus sereine que quand elle était sortie. Lidwyn se dit qu'elle devait rejoindre Dean, car cela faisait un moment qu'il était seul dans le salon, le film devait être finit d'ailleurs. La jeune femme rentra de nouveau dans l'appartement et vit que Dean avait remis le t-shirt de Baby sur lui. Elle se dit que c'était une bonne chose qu'elle voit le moins de peau possible, même si le t-shirt moulait parfaitement le corps de l'homme.
Lidwyn se positionna juste devant l'homme en faisant reculer un peu la table du salon, afin de se tenir debout juste devant lui. "Je…, je crois que tu ferais mieux de partir maintenant Dean", finit-elle par lui dire en essayant de le regarder droit dans les yeux sans fléchir. Oui, il fallait qu'il parte c'était la seule solution, qu'elle avait trouvé avant que l'un ou l'autre ne fasse une bêtise qu'ils allaient tous les deux regretter. "Je…, je suis désolée, tu es quelqu'un de bien, tu es serviable et tu es le meilleur ami d'Abel… Je ne voudrais pas qu'il y ait de malaise entre nous, si jamais on devait, se revoir…", poursuivit-elle alors, que les mots qu'elle prononçait avaient un peu de mal à sortir. "Il…, il faudra aussi qu'on ne se retrouve jamais seul tous les deux… ", continuai-t-elle en le regardant droit dans les yeux. "Enfin, c'est ce que je pense pour ma part…, parce que je suis attirée par toi…", lui avoua-t-elle en fermant les yeux. "Et je ne sais absolument ce qui pourrait se passer si…, tu décidais de rester ici", lui dit-elle en gardant les yeux fermés.
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mot doux de Invité ► un Lun 28 Mar - 11:32
Tout ce qu'il se passait, depuis notre réveil devenait étrange. Lidwyn était l'une des rares qui me posait ce cas de conscience. Je ne voulais pas lui faire du mal, et vu le bout de femme que c'était, je lui en ferai si jamais quelque chose se passait. Même si à mes yeux ça n'était que physique, pour elle, ça avait l'air d'être bien plus que ça. Et je ne pouvais ignorer ce petit attachement. Ce sentiment que je lui étais redevable n'était pas de mise, pour une fois. C'était plus comme si je l'appréciais, et que je voulais la protéger, protéger son innocence. Pour une fois, préserver la pureté de la demoiselle était essentiel à mes yeux. J'avais envie de fuir de plus en plus, mais je ne pouvais pas non plus partir sans raison. D'une part, car c'est impolie, ensuite car après la misérable soirée offerte hier, je me devais bien de lui tenir compagnie aujourd'hui. Lorsqu'elle franchis l'encadrement de la fenêtre, sa réaction me surpris quelque peu. Elle m'offrait la raison de partir, mais ce fut une déception, au fond de moi-même. Elle se tient debout, devant moi, m'annonçant que je ferai mieux de partir. Je la regarde et sens soudainement que je n'étais réellement pas le seul à être dans cette situation. Elle nomme les raisons, une à une. Je ressentais le besoin de me lever, me plaquer contre elle, l'embrasser. Cette flamme ardent qui nous consumait tout deux finirait par nous brûler. Sûrement était-ce cela, qu'elle voulait décrire. Qu'on se retrouve jamais seuls ? Là, j’avoue, c'était sûr, ça ne devait pas arriver. Ça me décevait énormément. C'était ça que Jude, Siriam et tant d'autres avaient ressenti alors ? La peur ? Non pas de succomber, pour le cas de mes ex, mais de la vie que je menais ? Et Lidwyn décrivait bien cette peur. Si elle succombait, que se passerait-il ? Ce qui se passerait, si je restais ici. Je me l'imaginais bien. Pour me sentais-je soudainement aussi responsable ? J'aurai pas dû la laisser parler jusqu'à ce point. Ce moment où tout allait se jouer. Resterai-je ? Partirai-je ? Là était la question que je me posais. Elle aussi, sans doute. Succomberions nous à nos désirs, avant que l'on parte en des termes étranges ? Ou alors vais-je me contenter de comprendre, avant que l'on se laisse dans une relation tout aussi étrange ? Dans tous les cas, cela changerait peu sur les conséquences. Mentalement, on s'était déjà tous deux sautés dessus, à plusieurs reprises.
Pour ma part, rien de ce qui allait se passer actuellement changerait quoique ce soit dans nos vies, puisqu'au lendemain, nous regretterions. Soit de ne pas être passés à l'acte, soit d'avoir franchis le pas. Et nous ne pourrions jamais nous retrouvés seuls. Bien sûr, toutes ces pensées, c'était avant de revoir Jude, avant d'apprendre que j'étais père. J'étais dans un état d'esprit où j'avais besoin de savoir que je faisais encore cet effet, où j'avais encore ce pouvoir de séduction propre aux mâles alpha. Je l'avais bien prévenu, la veille, mais les paroles d'un homme bourré, elle ne les avaient pas prises au sérieux. Je n'étais plus réellement apte à peser le pour et le contre. Là, elle venait de dessiner une ligne à ne pas franchir. Elle essayait d'imposer des règles à un ex-hors-la-loi. Qui plus es, elle ne m'avait donné aucune raison de ne pas le faire. Je savais que tout était joué, les conséquences seraient les mêmes. Je me lève et pris mon cuir. Je l'enfile doucement lui tournant le dos. J'étais étrangement silencieux. Je me tourne vers elle, pour la saluer. Je la regarde dans les yeux et m'apprête à parler.
Aucun son ne sorti. Au lieu de ça, j'avais saisis son poignet et l'avait tirée contre moi. Mon autre main s'était alors posé sur sa joue et mon visage s'était rapproché du sien. Mes lèvres étaient à quelques millimètres des siennes. Je maintiens les yeux fermés, lui laissant alors libre choix d'agir ou pas. Je la soumettais à la tentation ultime. J'étais prêt à franchir cette ligne qu'elle avait dessiné. Je l'avais quasiment fait. Allait-elle le faire ?
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mot doux de Invité ► un Lun 28 Mar - 22:22
LIDWYN & DEAN
God takes my soul.
Lidwyn avait dit à Dean de s'en aller, elle pensait sincèrement tout ce qu'elle lui avait dit par la suite, que s'était un homme bien, qu'il avait était serviable avec elle – vu qu'il lui avait réparé sa douche, enfin celle de Baby vu que l'appartement ne lui appartenait pas, du moins pas encore – , elle ne souhaitait pas créer de malaise entre eux, parce qu'elle savait qu'elle allait tôt ou tard revoir l'homme qu'elle avait devant elle. Vu que Dean était ami avec Abel, l'homme qui lui avait permis de survivre quelques jours de plus, sans emploi, à Pasadena, en lui proposant de tenir sa fille. Elle poursuivit en lui disant qu'il ne faudrait jamais qu'il se retrouve seul à nouveau tous les deux, elle se doutait que l'homme serait assez fort pour se maîtriser, en fait, elle n'avait pas peur de ses réactions à lui. Elle craignait ses réactions à elle et doutait fortement qu'elle puisse être assez forte pour le repousser à nouveau.
En fait, Lidwyn se surprenait à être aussi faible devant un homme, tout son corps tremblait même si c'était imperceptible aux yeux de l'homme qui lui faisait face en restant cependant assis. Elle lui avoua être attirée par lui, chose qu'elle n'aurait probablement pas cru, lui avouer la veille alors qu'il était ivre sur son canapé. Dean avait quelque chose qui émané de lui, comme il lui avait pourtant expliqué lorsqu'ils étaient assis sur le canapé. Lidwyn aurait voulu retourner à ce moment…, non elle savait que si elle retournerait à ce moment elle aurait tout fait de la même façon. Ce qu'elle aurait pu faire, c'est de faire vérifier la douche pour que Dean ne se retrouve pas devant elle avec une serviette. Car oui, voilà l'élément qui avait tous déclenché chez elle. Elle aurait dû lui dire de prendre une douche chez lui et tout ça n'aurait pas eu lieu. Oui, mais voilà c'était arrivé et Lidwyn était maintenant toujours debout les yeux fermés quand elle entendit un le cuir du canapé émettre un râle. Dean se leva sans dire un mot, il prit sa veste en cuir et l'enfila. Lidwyn poussa un léger soupir de soulagement en se disant que l'homme allait partir.
Il se retourna alors vers elle, Lidwyn cru un instant qu'il allait simplement lui dire au revoir. Il la regarda droit dans les yeux, elle ne put détourner le regard du sien tant ses yeux l'hypnotisait à présent. Dean lui saisit son poignet et l'attira vers lui, elle plaqua ses deux mains sur le torse de l'homme ne sachant pas faire autrement. L'une des mains de l'homme se plaça sur le visage de Lidwyn alors que leurs lèvres n'étaient plus qu'à quelques millimètres. Elle pouvait sentir son haleine qui bizarrement sentait plus le café que tout ce qu'il avait pu avaler. Il ferma les yeux et elle en fit de même comme attirée par l'odeur de café, elle se mordit les lèvres et rouvrit brusquement les yeux alors que ses lèvres effleuraient celles de l'homme sans toutefois vraiment les touchers. Elle voulut repousser l'homme en face d'elle mais, c'est comme si son corps ne voulait pas lui répondre. "Dean", dit-elle dans un souffle. "Il ne faut pas…, je t'en prie, part", s'entendit-elle lui dire alors, que ses yeux se refermaient. Elle ne bougea plus, elle espérait au fond d'elle qu'il comprenne et qu'il s'en aille, même si son corps allait se dérober une fois que l'homme aurait quitté son appartement.
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mot doux de Invité ► un Mar 29 Mar - 9:42
A cet instant, ces secondes où nos lèvres étaient sur le point de se toucher, où je m'étais stoppé, laissant entre ses mains le droit de tout choisir, mon cerveau était en ébullition. Ce petit démon voulait faire revenir le Bad Boy. Ce même démon qui voulait que j'enfourche ma bécane et que je trace jusqu'à Deadwood, mener une bonne fois pour toute une vendetta fratricide. Un peu comme si c'était lui qui avait pris le relais, qui avait attrapé le poignet de Lidwyn, posé une main sur sa joue et était sur le point de l'embrasser, réduisant alors à néant ce pourquoi je m'étais battu pendant plus de 5 ans. Ce pourquoi j'étais partir de Deadwood. Je sentais son haleine se déposer sur mes lèvres. Sa respiration était rapide. Je le savais, je lui faisais peur je crois. A cet instant précis elle voulait me rejeter. Ses mains sur mon torse. Les yeux toujours fermés, je revoyais cette peur dans le regard de Jude, lorsqu'elle me voyait repartir à Deadwood. Cette peur qui la menait à penser que je ne reviendrai jamais, car j'allais peut-être mourir là haut. Ou pire encore. Ce regard de terreur qui m'arrachait un morceau de moi-même, le laissant auprès d'elle, lui annonçant que je reviendrai, que je ferais attention. Mentir. Deadwood, ce bain de sang, cette facilité.
J'entends sa demande. Il fallait que je parte, me disait-elle. J'entends ses mots, mais je les ignore. Je n'étais qu'occupé à revoir une grosse partie de ma vie défiler devant mes yeux. Tout ces efforts pour devenir quelqu'un d'autre, de plus fréquentable… Et à cet instant je m'apprêtais à réduire tout à néant, je sentis mon cœur s’accélérer. Je maintenais ces yeux fermés et songeais à mon ami, Abel. Cet ami que Lidwyn et moi avons en commun. Il m'en voudrait de la faire souffrir. Et lui, il était le juste milieu. Cet ancrage de mon ancienne vie, et cette pierre fondatrice de la nouvelle. Si je le perdais, je perdrais bien plus qu'un frère, ou qu'un meilleur pote. Je redresse mon visage et guide le sien légèrement vers le bas. Je dépose un baiser sur son front, un baiser protecteur. Je relâche toute emprise et me recule, rouvrant les yeux. Je ne souriais plus. Je n'essayais même plus de faire semblant. Je détournait mon regard, attrapant mes vêtements qui étaient en train de sécher, d'une main, mon sac à dos de l'autre.
_Je suis désolé... C'est tout ce que je savais dire. Je me détourne pour de bon, franchissant la porte de son appartement et descendant les escaliers. Une fois dehors, je m'allume une cigarette après avoir fourré mes fringues dans mon sac. Je me dirige vers ma Harley, qui devait faire un bordel d'enfer, résonnant jusque chez elle. Je ne le savais pas encore mais ma route ne me ramènerait pas aussitôt chez moi. Je passerai la journée et la nuit entière à rouler, direction Sturgis.
RP CLOS
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