Invité et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! Invité
| mot doux de Invité ► un Ven 28 Aoû - 12:38 | | | - Mais cette situation avait un goût de je ne sais quoi : comme si c’était la dernière fois que j’éprouvais un bonheur sans nom, comme si demain, lorsque tout serait terminé, ma vie le serait avec. Cette situation était aussi triste que belle, comme une sorte d’adieu en silence : des adieux que j’étais seule à voir. Ce silence, les baisers, mon comportement : tout en moi indiquait mon envie, et mon besoin d’être auprès de lui : lui, Lewis, le père de mon Lucas, le vital, le bonheur. Il était la source d’oxygène nécessaire à mon corps pour vivre. Il était tout pour moi. Et le fait d’entendre que j’étais tout pour lui aussi m’avait procuré milles frissons. « Lewis. » Alors que j’étais en train d’onduler sur son sexe, il me pénétra d’un coup, et ma tête se pencha en arrière de plaisir. Mes lèvres lâchèrent un soupir d’extase alors que nos corps étaient en harmonie parfaite : il me comblait, et maintenant que nous ne faisions qu’un, j’étais persuadée qu’il était celui qu’il me fallait. « Lewis.. » Un énième soupire, un énième gémissement, après une énième poussée en moi.
Sa main au creux de mes reins, ses lèvres sur mes seins, et nos souffles rauques me firent un peu plus gémir. Tout en lui inspirait la douceur, et cette douceur m’était nécessaire pour croire encore que la vie était possiblement belle : grâce à lui. Il a inversé les rôles. J’ai lâché un gémissement un peu fort : j’ai toujours adoré quand il m’étonnait comme ça. Alors que je croyais avoir le contrôle, il immobilisa mes mains au-dessus de ma tête, et je fus surprise de voir avec quelle rapidité il rentra de nouveau en moi. Mes jambes entourèrent sa taille, ses mouvements se firent plus pressés alors que j’essayais de garder le rythme : depuis quand est-ce que je n’avais pas été victime d’une telle douceur ? D’un tel amour ? Une douce douleur que je conseille à tout le monde, vraiment. J’ai agrippé ses mains, les serrant de plus en plus fort, en gémissant de plus en plus fort : mon corps se cambrait sous le sien, mes yeux ne pouvaient plus s’ouvrir, et ma respiration n’était plus que saccadée. C’était bon. C’était beau. C’était nous.
Et je le sentais : ça allait se terminer. Ses lèvres dans mon cou, puis sur les miennes : je l’embrassais avec autant de fougue, et d’amour que possible. « Lewis. » Seul son nom réussissait à franchir mes lèvres. « Lewis. » Encore. Une énième fois. Puis vient l’orgasme de mon homme, et le mien dans la foulée : un cri s’échappe de mes lèvres, mon corps tremble une dernière fois alors que mes mains continuent d’agripper les siennes. Je me laisse aller à cette douce sensation alors que nos respirations essaient de retrouver la normale. Je souris, je suis bien, je suis aux anges. J’ouvre les yeux, le front imbibé de sueur, et je libère mes mains des siennes pour les poser dans sa nuque. Je l’embrasse, comme si c’était la dernière fois. « Je t’aime. » Les mots qu’il faut prononcer avant qu’il ne soit trop tard.
Je bouge un peu mon bassin pour le faire sortir, et je le bascule sur le côté. Ma tête se niche dans son cou alors que mon corps nu s’affale sur le sien : mes courbes sur les siennes, je soupire de bonheur, et j’entremêle nos doigts. J’effleure son menton de mon nez, et je souris. « Ta fille ne va pas tarder, on devrait s’habiller tu ne crois pas ? » Je n’en avais aucune envie. Aucune. Sentir mon corps sur le sien, être aussi bien avec lui … C’était tout ce qu’il me fallait : qu’on soit ensemble, c’est tout.
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| mot doux de Invité ► un Ven 28 Aoû - 14:17 | | | Cela fait des années que je n’ai pas pu toucher la jeune femme donc, redécouvrir le corps de Dahlia est vraiment formidable. C’était comme si c’était la première fois que je l’avais contre moi ainsi alors que c’est tout le contraire. C’était tellement bon et agréable de la retrouver enfin que je me laissais complètement aller. Même si je ne sais pas exactement ce que demain nous attend. Surtout que notre relation n’a rien de bien évident depuis nos retrouvailles. Après l’avoir allongé sur le lien, mis ses mains au-dessus de sa tête, je reviens me loger en elle. Je continuais mes mouvements en elle et j’en profitais aussi pour l’embrasser de temps à autre. Dahlia m’avait vraiment beaucoup manqué. Elle était tellement belle à ce moment, enfin pour moi elle sera toujours très belle. C’est ma Dahlia est depuis toujours. Je finis par jouir en elle et j’entendis peu de temps après mon dernier gémissement de plaisir, le sien. Je la regarde alors déposant un nouveau baiser sur ses lèvres, déposant mes lèvres dans le creux de son cou et lorsqu’elle me dit qu’elle m’aime, je la regarde à nouveau avec un léger sourire pour lui dire à mon tour : « Je t’aime aussi Dahlia. » Je finis par sortir d’elle et me mettre à ses côtés.
Dahlia vient ce mettre contre moi, je passe l’un de mes bras derrière elle pour la maintenir contre moi. Je caressai doucement son dos, tandis qu’elle vient mettre sa tête dans mon cou. Et lorsqu’elle remonte son visage elle vient effleurer son nez contre mon menton. Je souris doucement, j’aime la sentir à nouveau contre moi. Puis elle finit par me parler de Rose, je regarde le réveille sur ma table de chevet, il était assez tard donc je pense que lorsqu’elle rentra Inaya la mettra directement dans son lit. Mais, Dahlia à Lucas donc c’est peut-être mieux qu’elle rentre chez elle pour rejoindre son fils. Enfin notre petit garçon. Je n’ai pas spécialement envie de la laissée partir, nous venons seulement de nous retrouvés. Je passe doucement mes doigts dans ces cheveux et je viens l’embrasser tendrement une nouvelle fois. Puis je finis par lui dire doucement : « Tu as raison. Il va falloir que l’on se rhabille avant qu’Inaya et Rose, reviennent à la maison. » Je ne peux pas m’empêcher de l’embrasser une dernière fois. Puis, je finis par me lever pour attraper mon caleçon.
Une fois que nous sommes habillés, nous descendons tranquillement les escaliers. Une fois qu’elle remit toutes ses affaires, je viens la prendre dans mes bras, déposant un tendre baiser sur son front. « Si tu as le moindre souci, tu m’appelles. Et faite attention on rentre chez toi. » Puis lorsque j’ouvris la porte, Inaya et Rose arrivèrent dans le moment. Inaya salua Dahlia et Rose vient à lui faire un bisou pour venir aussitôt dans mes bras. Dahlia partit est moi je partis couché ma petite fille dans sa chambre. Maintenant reste à savoir comment tout cela va se terminer.
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