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il faut que tu voles comme un papillon mais que tu piques comme une abeille, tu vois ? - feat malvin


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mot doux de Invité ► un Mer 25 Fév - 0:27
alvin & melody

il faut que tu voles comme un papillon mais que tu piques comme une abeille, tu vois ?
Onh douce nuit, sous un ciel d’Italie… ou pas. J’étais ou ? Dans un bar tout simplement avec un homme qui sans le vouloir avait gâché ma vie tout en la sauvant et… lui donnant la vérité. Le mensonge ? J’avais horreur de ça et c’est peut-être ce qui me rendait parfois naïve avec les gens que j’aime. Je pense et pourtant je n’en suis pas certaine. Ai-je vraiment une raison valable pour ça ? Je n’en étais pas convaincue. Alors que mon regard se posait aux alentours du bar. Je n’osais pas vraiment m’y aventurer. Je ne me sentais pas bien, pas vraiment. Plaisantant quand même sarcastiquement avec la serveuse. J’inspirais doucement et je le laissais papoter avec la serveuse. Je le regardais alors qu’il me tendait un sac en tissus et je riais nerveusement en fait, je ne savais pas quoi dire. Il ne s’y attendait pas mais il était prévoyant. Etais-je nulle au point qu’il en émette la possibilité. Je ne portais pas attention au sac de suite, encore un peu perdue et je l’écoutais d’un coup d’oreille en en souriant légèrement mais pas comme d’habitude alors qu’il me souriait. J’étais toujours souriante mais là, je me sentais effacée. Je le laissais sortir son portable et faire ses recherches alors que je remettais la tête entre mes mains et écoutant la question de la serveuse qui posait un verre d’après le bruit sur la table. Je ne réagissais pas et pas non plus au mot copine. C’est à ce qu’il disait que je redressais la tête vers lui en arquant un sourcil. Il était sérieux ? Je le regardais avec un sourire un peu sarcastique tout léger et prenant alors mon verre d’eau pour en boire une gorgée et une autre… puis punaise, j’avais vraiment besoin de me brosser les dents. C’était horrible. Vraiment. Je fouillais alors dans le sac qu’il m’avait tendu et je le regardais rapidement alors qu’il se présentait sous Edward. Alors, celle-là, elle est comique. Ou pas, je ne voulais plus entendre son nom même si une partie de moi était amoureuse ou un truc qui y ressemble. « Je te préviens, je ne t’appelle pas ainsi… », disais-je en lui donnant un léger coup sur le mollet. « Et ça, c’est pour avoir sous-entendu que je ne tiens pas le rythme ! Ce que vous avez peut-être entendu, c'était... enfin soit... », disais-je en faisant une moue boudeuse alors que ma main sortait un dessous en dentelle du sac et je souriais à nouveau. « Et je vais commencer par croire que tu aimes bien fouiner dans mon tiroir de lingerie ! », plaisantais-je mais sans vraiment arriver à me sentir à l’aise ou rire ce qui aurait été le cas en général. Je reposais le dessous surtout à un petit bruit de plaisir d’un des clients au bar. Je me retournais vers lui en grognant. « Fermez vos yeux ! », disais-je alors, un peu agressive sur le coup mais le pauvre… il n’avait pas choisi son jour. Je sortais alors un portefeuille de ma veste et mon portable pour lui montrer la photo de l’enveloppe. « J’ai trouvé une adresse et… ça. Cela n’a rien à voir avec votre femme ! », disais-je en inspirant doucement. « Mais… », je détournais doucement le regard en le laissant librement regarder avant de soupirer doucement, je finissais mon verre. « J’aimerais bien me doucher et… oublier tout ça, l’hôtel est loin ? », demandais-je tandis que nous n’avions pas vraiment beaucoup de moyens de transport.
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Alvin R. Prescott
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❝ Métier : Ancien agent du FBI, qui fut un temps bodyguard, maintenant sans emploi
❝ cupidon : Veuf et même si parfois ses pensés vont à sa défunte femme, son coeur est prit par Melody
❝ post-it : Lieu de naissance, New Jersey → Né d'un père alcoolique et d'une mère battue, je connus la violence physique très jeune. → À six mois, j'ai fuis avec ma mère le New Jersey pour ma propre protection. → Je n'ai jamais vécu bien longtemps dans une ville. → À 5 ans, ma mère se fit assassiner par mon père qui nous avait retrouvé. Je suis retourné vivre chez ma tante. → Je suis fils unique, mais ma tante a adoptée une petite fille lorsque j'avais dix ans, Liv. → Je n'ai jamais revu mon père depuis qu'il a tué ma mère, je suppose qu'il s'est fait arrêter. → Je suis tombé amoureux d'une infirmière urgentiste et deux ans plus tard nous étions marié. → Après notre mariage on a déménagé à Pasadena. → Même si j'étais un bourreau de travail, j'ai toujours sut rester fidèle. → Après six années de mariage, elle a été assassiné par mon coéquipier. → J'ignorais et j'ignore toujours qu'elle avait une liaison avec celui-ci. → Je ne suis pas très habile avec les enfants. → J'ai découvert que mon coéquipier était un flic véreux et faisait affaire avec la mafia. → On me soupçonne d'avoir assassiné ma femme. → Le FBI m'a suspendu jusqu'à preuve du contraire. → Je suis donc rendu un flic ripou, alors que je n'y suis pour rien. → Je vais tenter de blanchir ma réputation ! → J'ai kidnappé la copine de mon coéquipier pour trouver une façon de faire éclater au grand jour la vérité. Seulement, ce n'est pas si facile que ça...
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mot doux de Alvin R. Prescott un Mer 25 Fév - 0:34
alvin & melody

il faut que tu voles comme un papillon mais que tu piques comme une abeille, tu vois ?

« Tu n'auras qu'à m'appeler chéri. », rétorquais-je au fait qu'elle ne désirait pas m'appeler Edward. Je ne pouvais faire autrement pour l'instant. Je devais trouver le moyen de contacter Robin, pour qu'il me fasse de faux papier avec une identité inconnu de mon ancien coéquipier. J'en avais peu, ce qui causait problème en ce moment. À son coup sur mon mollet, je souriais. Il n'y avait pas que ses dessous dans le sac, j'avais les miens aussi, mais étrangement elle ne sut pas les trouver. Je buvais cul sec ma bière pour la finir au plus vite. Je déposais mon verre sur la table en regardant le bar. Les ivrognes tous des cons. Elle sortait alors quelque trucs qu'elle me montrait. Je regardais la photo de l'adresse. Malibu. Voilà le prochain endroit où je devais me rendre, mais est-ce que je devais l'amener avec moi cette fois ? Je la regardais en travers de mes cils, puis je prenais le portefeuille. J'ouvrais celui-ci et j'en sortais le permis de conduire. Je fronçais les sourcils, son visage m'était familier. Il y a six ans, Robin me l'avait présenter comme étant un indique volontaire. Il était prêt à nous aider pour l'un des plus gros sur une enquête sur l'un des plus gros trafique mafieux. Seulement, on avait perdu sa trace. Tout du moins Robin ne m'en avait pas reparler et cela depuis six ans. Je comprenais maintenant et son frère devait avoir comprit ce que faisait réellement son père. Pourquoi j'affirmais que celui-ci était son frère ? La ressemblance, le même nom de famille et l'attitude qu'elle avait et avait eu. Je sortais de mes songes en l'entendant me poser une question. « Pardon ? » Je la regardais tout en remettant le permis à sa place. « Il faudra prendre un taxi. », disais-je. À cette heure-ci se ne serait pas trop dure, ces chacals ne cherchaient que les personnes qui sortaient des bars. Étirant le bras j'allais relever le rebord de mon chapeau qui se trouvait sur sa tête échevelée. J'essayais de croiser son regard. « Tout à l'heure avec la serveuse je ne faisais pas allusion à cela. J'ai seulement jouer le même jeu que toi. Toutefois, je parlais de la soirée en générale et non pas ce moment que je n'ai qu'entendu que par bride. Je n'allais pas te voler plus de ta vie privé, que je l'ai déjà fait. », je lui adressais un sourire légèrement triste. Je me rendais compte de ce que je lui avais fait, je savais ce qui nous attendait au tournant de cette histoire. Je serrais mon portable dans ma poche. « Allons-y, veux-tu. »
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mot doux de Invité ► un Mer 25 Fév - 0:39
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il faut que tu voles comme un papillon mais que tu piques comme une abeille, tu vois ?
Chéri ? Oui, mais bizarre quand même. Mine de rien, c’était étrange cette idée d’être dans un hôtel avec lui. Bon chez moi, on avait de la place donc ce n’était clairement pas pareil. C’était tellement différent mais j’étais ailleurs. Tellement. Il venait de regarder ce que je lui avais passé mais j’avais toujours la sensation d’être comme déconnectée. Je regardais cet homme qui lui aussi semblait avoir été perdu dans ses pensées pendant un instant. Curieuse de savoir pourquoi d’un coup, je ne posais pas de questions. Je me demandais simplement si nous allions trouver un taxi et je priais aussi pour ne pas devoir prendre le métro car j’en ai une sainte horreur depuis la mort de Cameron. C’est alors qu’il tentait les bras vers moi que je sursautais légèrement avant de me rendre compte que j’avais en fait un chapeau sur la tête. Quand était-il arrivé ? Je n’en savais rien, je me sentais un peu perdue d’un coup. Le regardant, je l’écoutais mais en fait, j’étais plus décontenancée en l’écoutant qu’autres choses. Pensive, je détournais rapidement le regard à son sourire triste et inspirant doucement. Était-il la cause de mon malheur ? Dans un sens, je me disais que non. « Oui, la soirée a été… longue ! », disais-je un peu hésitante, soufflant doucement en me levant et attrapant le sac en tissus avec les vêtements. Bien sûr, j’avais évitée de sortir en public ses sous-vêtements à lui aussi surtout par ce que… j’avais peur d’en rougir. Mais chut, ça reste entre nous que c’est arrivé pendant la semaine. Je rougie vraiment pour rien. « Je ne pense pas que vous me volez ma vie privée… en fait, elle ne m’a sûrement jamais appartenu ! », disais-je d’un ton triste, presque étouffée par un soupire. Je n’étais pas vraiment à l’aise de dire ça mais c’était vrai. Comment en avais-je ? Ce n’était plus vraiment ma vie. Ce n’était pas ma vie. Une vie de mensonge ? « J’étais fiancée, j’étais heureuse… j’étais bien et il a tué mon frère, il m’a mis sur écoute, il a tué d’autres personnes sûrement… et il a même prit mon amour propre… », disais-je sarcastiquement en fronçant les sourcils. « Ce n’est pas vous… c’était sa vie privé même si je me rebellais ! », disais-je en soupirant doucement. J’en arrivais à l’évidence tout de même et gardant le chapeau en sortant alors du bar. Je laissais tout de même un sourire à cette serveuse qui était bien sympathique. J’inspirais doucement, attendant qu’il sorte aussi tandis que c’est à ce moment-là qu’une voiture familière passait. Je l’avais vue devant l’immeuble. Je me tournais alors par précaution mais étais-ce une bonne idée ? Je n’en savais rien. La voiture semblait lente, au ralenti surtout quand elle passait devant nous. Alors qu’il sortait, mon réflexe fut de me rapprocher, posant mon visage contre le sien et mes lèvres contre les siennes pour ce qui pourrait sembler être un baiser mais non. Je n’allais pas faire ça alors que j’avais la bouche toute pâteuse malgré l’eau. Je déplaçais alors légèrement mes lèvres vers sa joue, y déposant un baiser en allant à son oreille. Il faut entretenir le spectacle pour la serveuse fortement attirée par la vue de dos d’un tamia. Ma joue contre la sienne et allant chuchoter à son oreille. « Quoiqu’on fasse, il faut être discret. La voiture qui était devant l’hôtel vient de passer ! », soufflais-je à son oreille. « On devrait peut-être leur demander de nous déposer ? », proposais-je ironiquement bien sûr alors que j’attendais son feu vert pour reprendre la course.
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Alvin R. Prescott
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mot doux de Alvin R. Prescott un Mer 25 Fév - 0:40
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il faut que tu voles comme un papillon mais que tu piques comme une abeille, tu vois ?
En fait nous étions l'un comme l'autre perdu dans nos pensés et ce n'était très certainement pas la meilleure des choses. Nous perdions de notre vigilance et nous étions vulnérable. J'avais sûrement dit quelque chose qui ne lui plaisait pas puisque de tu elle passait au vous. J'étais aller trop loin, mais il m'était impossible de revenir en arrière. Je prenais ma valise, regardant une dernière fois mon verre de bière vide. Je ne trouvais pas les mots pour lui dire qu'elle avait tout à gagner en sortant de la vie d'Edward. Après tout, il ne me parlait que très peu d'elle, se plaignant le plus clair de son temps. Et puis, c'était aussi une conversation que j'avais surpris entre lui et un autre agent. Ils plaisantaient sur les femmes cocus, un sujet qu'il n'engageait jamais avec moi. L'adultère n'était pas une chose que j'envisageais. Je regardais mon alliance que je n'avais toujours pas eu le courage de retiré lorsque je passais la porte pour sortir du bar. J'avais à peine mis le nez dehors, que je me retrouvais à quelques millimètres du visage de Melody. Que faisait-elle ? Et alors qu'elle posait ses lèvres contre ma joue rugueuse je sentais mon coeur accélérer. Déglutissant, pendant qu'elle me prévenait pour la voiture. Je m'autorisais un coup d'oeil à la plaque d'immatriculation qui me confirmait être la même voiture. Je prenais une brève respiration sec, puis redressais ma tête pour voir un taxi. « Inutile. » Je levais le bras, tenant dans ma main un billet de vingt dollar. Le véhicule jaune s'arrêtait sur le rebord du trottoir. Je déposais nos sacs dans la valise et allait la rejoindre à l'arrière. J'indiquais le motel au chauffeur et il se mettait en route. Pas assez rapide, ni assez lent. Il s'arrêtait à la lumière juste à coté de la voiture. Je jetais un bref regard voyant la vitre arrière descendre. Action, réaction. Me tournant, je mettais ma main sur la joue de ma voisine et cette fois je mettais le paquet. Je sentais leur regard river sur la voiture. Mes lèvres contre les siennes, je l'embrassais sans retenu. Mon coeur allait me lâcher à la vitesse qu'il battait, mais je n'avais pas d'autre choix. Ça devait être le plus vrai possible et quoi de plus vrai que de le faire réellement ? Je glissais ma main sur sa taille, descendant sur sa cuisse. Je sentais le contre coup du départ du taxi. Je rompais ainsi ce baiser aussi rapidement que cette improvisation. Je la regardais avant de me redresser et de déposer mon coude sur le rebord de la porte. Je frottais mes lèvres avec le côté de ma main, penser. Mon regard se perdait dans ce paysage nocturne. Je venais de faire quelque chose que jamais je n'aurais pensé faire avant. Je me sentais mal pour Katrina et pourtant j'étais de nouveau libre. Sentant, un regard sur moi, je tournais la tête pour croiser le fer avec le chauffeur qui retourna à la route.


Dernière édition par Alvin R. Prescott le Mer 25 Fév - 0:52, édité 2 fois
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mot doux de Invité ► un Mer 25 Fév - 0:42
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il faut que tu voles comme un papillon mais que tu piques comme une abeille, tu vois ?
Je n’étais point ce genre de nana qui allaient se rapprocher d’un homme pour mentir ou je ne sais quoi mais cette soirée avait été le lot de changements, de surprises. En général après la confrontation dans le bureau, je serais rentrée chez moi. Je n’aurais même pas pris le courage de lui dire un mot en partant et je ne serais jamais revenue. J’avais dû être quelqu’un d’autres. Une personne sans caractère que je ne suis pas réellement. Je n’étais point ainsi. Comment étais-je ? Je n’arrivais pas vraiment à le déceler mais je me sentais tellement… abattue ce soit. Pourtant je me laissais à ce rapprochement qui n’avait dans le fond pour but que de nous protéger des regards. Pourtant ? Sa peau contre la mienne et son souffle dans mon cou n’était pas des plus désagréables. Pas du tout même, je préférais cependant ne pas reculer de suite même si ça me déstabilisait. Pourquoi ? J’avais envie qu’il embrasse ma peau. Et ça me… enfin j’avais beau venir de parler, j’inspirais doucement en profitant qu’il recule pour appeler un taxi. Je montais alors dans le taxi tandis qu’il venait de s’arrêter. Je commençais à me dire que je devrais mettre le ola et arrêter de trop m’en rapprocher surtout même les plaisanteries. Je ne voulais pas être de ses filles qui avaient l’impression de succomber aux charmes d’un homme pour en oublier un autre. Je me sentais mal à l’aise d’avoir ces idées dans la tête et bing… Je n’avais pas le temps de réagir que je sentais sa main sur ma joue et aussitôt ses lèvres sur les miennes. J’ignorais encore qu’il le faisait à cause de la voiture. En fait, je l’ignorais totalement car je n’avais rien vu. J’étais assez décontenancée, je répondais à ce baiser mais avec une pointe d’idées… qui me disait : est-il devenu fou ? Oui, pourquoi m’embrasse-t-il ? Que se passe-t-il ? La sensation soudaine d’être vue autrement que pour la fiancée d’Edward qui lui ouvre les portes sur la vengeance. J’ignorais la désillusion de son acte mais j’ignorais aussi… si c’était une bonne chose. En fait, je me disais qu’il voulait le faire… et je me sentais mal à cette idée. Il était encore en deuil, il avait encore cette bague. J’avais pu le remarquer. Le taxi roulant, il lâchait ce baiser alors que ses mains à ma cuisse arrivaient à me faire frissonner. C’était étrange car malgré mes interrogations, j’étais là. Je n’étais pas absente tout comme je l’avais été toute la soirée quand Edward posait ses lèvres sur moi. J’étais là et j’étais enivrée et cela me perturbait. Sans mots, je prenais une grande respiration et redescendant un peu ma jupe malgré moi en remettant ma veste. Qu’est-ce que je devais faire ? J’étais paumée. Pourquoi m’avait-il embrassé. « Je... », soufflais-je en riant nerveusement. Nerveusement, oui, je l’étais. Depuis que j’avais commencée à sortir avec Edward… aucuns hommes n’avaient autant atteint mon intimité. J’étais fidèle et je me sentais un peu étrange car j’avais au fond de moi la sensation de l’être encore. Je n’avais pas rompue… même si je savais que ça serait sans lendemain. Il a tué mon frère, il allait payer. Je rougissais doucement, détournant le regard vers la route et laissant le taxi conduire. Je ne savais pas quoi dire en fait, j’avais peur. Je savais qu’il fallait que je garde mes distances pour ne pas laisser ça arriver encore. Pourquoi ? Car je le voulais en refusant de le vouloir. Des sensations étranges, j’en conçois mais tellement agréable. Je ne m’étais pas sentie ainsi pendant un baiser depuis… bon nombre d’années. Je laissais le taxi arriver, sortant naturellement en regardant autour de moi et l’attendant. J’apercevais alors les néons d’une supérette ouverte la nuit juste devant une station d’essence donc une voiture était garée et un homme faisait son plein. Pas de soucis, il semblait avoir la soixantaine et boiter. S’il était méchant, j’étais la pire des salopes sur cette planète. « Je vais d’abord à la supérette ! », disais-je en tentant un vague sourire mais j’avais peur de donner encore envie à cet homme de m’embrasser donc je me montrais un peu plus distante. Je reculais doucement en allant vers la superette, bien sûr, il me suivait ce qui me fit sourire légèrement mais en cachette. Mon sac à la main, j’avançais. Je voyais la femme du papi sortir, il l’embrassait et c’était adorable. J’en souriais comme une gamine. « C’est beau l’amour ! », disais-je d’un air rêveur en allant vers la porte de la bâtisse. J’entrais et allant directement vers le coin beauté et hygiène. J’attrapais alors rapidement un shampoing, celui que j’utilise bien sûr, du dentifrice, un gel douche à la framboise car je suis un peu trop accroc à ce parfum et je m’en fous d’Edward. Le clou du spectacle ? Une boite de tampons. Bah quoi ? Cela faisait bientôt un mois donc cela allait arriver. J’ignorais combien de temps j’allais rester là. Je voulais être prévoyante. Je prenais aussi des rasoirs pour femme et un pour homme aussi en le regardant rapidement. « Ca peut être utile… les hommes singes, c’est loin d’être sexy ! », lui disais-je en fronçant le nez. Je le taquinais doucement mais je perdais mon sourire aussitôt. Il fallait que j’arrête cette vilaine habitude. J’inspirais en changeant de rayon et prenant plusieurs paquets de bonbons allégés en sucre. Bah… quand je ne suis pas bien, j’ai envie de manger des sucreries donc je vous zut. J’allais alors vers le rayon glace et attrapant deux pots de Ben et Jerry, les seuls parfums qu’ils avaient. J’allais alors vers la caisse et attrapant un paquet de Mentos et un baume à lèvres sur l’étalage. L’homme scannait les articles.
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mot doux de Alvin R. Prescott un Mer 25 Fév - 0:48
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il faut que tu voles comme un papillon mais que tu piques comme une abeille, tu vois ?
Gardant mon regard sur la nuit, je me sentais envahi par la culpabilité de mon geste. Certes je l'avais fait pour la protéger et pourtant ce baiser me laissait un goût amer. Je ne savais pas quoi en penser, car contrairement à ce que je voulais bien croire ce baiser m'avait plu. Une chose que je ne croyais pas possible, jusqu'à cet instant. Qu'est-ce qui m'arrivait ? Je n'en avais pas la moindre idée. Je sentais encore le contact de ses lèvres sur les miennes. Le visage de Katrina m'apparût et je serrais mon pantalon avec le poing. Secouant la tête pour chasser cette image, j'essayais d'oublier tout ceci. Ce baiser ne devait être rien, je ne devais pas laisser des sentiments improbables m'envahir. Le taxi finissait sa course dans le parking du motel. Je relevais alors les fesses tout en restant d'une certaine façon assis, je sortais de ma poche arrière mon portefeuille et payais la course. Je sortais à la suite de Melody, allant chercher nos effets dans le coffre de la voiture. Balançant le sac de tissus en bandoulière sur mon bras, je prenais la valise et me retournait pour la regarder. Je levais un instant mon regard vers ce ciel dénudé d'étoile. Je n'aimais pas tellement l'idée d'aller dans cette endroit. J'étais épuisé et me coucher me ferait le plus grand bien, mais je ne pouvais pas la laisser seule. J’emboîtais donc son pas replaçant ma chemise pour cacher mon arme. À son commentaire sur le couple, je ne levais même pas la tête pour les regarder. Pour tout dire à cet instant, j'avais toujours les idées mitigés par ce baiser. Je ne comprenais rien de ce qui n'allait pas en moi. La clochette réussissait tout de même à me sortir de ma torpeur. Je la suivais donc dans la supérette sans rien dire. Jusqu'à ce qu'elle prenne un rasoir pour homme. Je ne disais pas un mot, mais je passais ma main sur mes joues rugueuses. Elle n'avait pas tord me raser ne me ferait pas de mal. Je glissais ma main dans ma poche, la suivant comme un gentil toutou. Je n'avais pas parler encore et alors qu'elle se dirigeait vers les immenses réfrigérateurs et j'en sortais un pack de redbull. Je retournais derrière ajoutant le pack à ses achats. Puis je sortais mon portefeuille, je souriais au caissier. À l'annonce du montant, je paillais sans rien demander. Je souriais à coéquipière sans arrière penser, alors que je prenais le sac d'effet qu'on nous tendait. « Bonne soirée. », disais-je au caissier poussant Melody vers la sortie. À l'extérieur, je la regardais. « Évitons d'utiliser des cartes, on serait trop facile retrouvable. » Je lui souriais, mais celui-ci était moins chaleureux que ces derniers jours. Sans le savoir j'étais comme elle, distant. « Alors prendre notre chambre. Je crois que du repos nous fera le plus grand bien. » Je me dirigeais vers le motel, passant la porte de l'accueil. Un homme tatoué et bedonnant avec des lunettes des années 80' arrivait derrière le comptoir. « Bonsoir, j'ai fait une réservation au nom de Petterson. » Il nous regardait comme si nous avions un troisième oeil. Il laissa échapper un son que je n'aurais su définir. « C'est 50$ par nuit. » Je restais quelque peu étonné par sa voix roué par la cigarette et le surplus d'alcool. Je paillais l'équivalent d'une semaine. Ce n'était pas tellement coûteux et je ne voulais rien savoir de les activités de ce motel. Il me donnait une clé et le remerciant je sortais. « Tu crois que ce mec c'est un rejeton d'ogre ? », plaisantais-je tout en me rendant à la chambre six. Je tournais la clé dans la poignée et ouvrait la porte en prenant une bonne respiration. Finalement, ce n'était pas si pire, je m'attendais à pire en voyant l'accueil. « Bienvenue dans ce repaire quelque peu... », je souriais revenant un peu moi-même.


Dernière édition par Alvin R. Prescott le Mer 25 Fév - 0:53, édité 1 fois
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mot doux de Invité ► un Mer 25 Fév - 0:49
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il faut que tu voles comme un papillon mais que tu piques comme une abeille, tu vois ?
Longue nuit, quelle heure était-il ? Je n’en avais pas la moindre idée mais dans un sens, je ne cherchais pas vraiment à le savoir. Alors que je m’apprêtais à payer les achats avec ma monnaie bien sûr, je fus déconcentrée par la musique qui passait à la radio. C’était celle qui était passée le soir ou l’on s’était fiancés avec Edward mais étais-je prête à repenser à tout ça ? Un moment d’égarement suffit pour qu’il paye à ma place. Un peu décontenancée, je commençais à me dire qu’un rien me perturbait et je restais en quelques sortes de marbres. Je regardais cet homme en souriant doucement. « J’allais payer, savez-vous ? », disais-je à celui-ci en haussant les épaules mais bon, je ne pouvais plus faire machine arrière dans le fond, il était trop tard car il avait bien entendu payé à ma place. N’étant pas spécialement de marbre à ses sourires, je me contentais de détourner rapidement le regard enfin y répondant légèrement mais assez brièvement pour arriver à temps d’éviter d’en voir de trop. Je savais que cela passerait. Ce n’était qu’un contre coup de ce baiser que je n’avais pas vraiment calculé. Pas du tout même. Souhaitant aussi une bonne soirée au vendeur, je sortais en le suivant, riant nerveusement. « J’avais de la monnaie, la galanterie n’est pas morte mais nous sommes au 20 iéme siècle, les femmes ont de l’argent ! », disais-je à titre indicatif et fronçant le nez. Certes, Edward m’avait habitué à ne pas être le plus galant et aimer que je paye l’addition même s’il savait que ce n’était pas avec l’argent de mon père. Il était persuadé que je le ferais à un moment, puiser dans son argent. Comme le dit mon père : ce n’est que passager, une petite crise. Je vais lui en donner des petites crises. Je faisais ça depuis mes 17 ans en enchainant des petits boulots. En voilà une petite crise. Calme, je suivais cet agent du FBI, un peu comme un garde du corps en fait ? C’était ce que celui qui m’avait prise en otage était devenu enfin actuellement. J’inspirais doucement en hochant la tête. Du repos ? Oui et une douche et un moyen d’évacuer aussi… et un peu de tout. J’étais carrément paumée, à l’ouest. Je voulais une douche, un moment de répit pour réfléchir entre 4 murs ce n’était pas facile. Je le laissais s’occuper de la chambre en écoutant d’un coup d’oreille. C’est en suivant Alvin que je souriais doucement à sa plaisanterie. « Je n’en sais rien ! », répondis-je alors que je n’avais pas totalement fait attention à cet homme. « L’odeur ne me donnait pas envie de le regarder ! », soufflais-je d’un murmure au cas où le réceptionniste l’entende. Je ne voulais pas le vexer dans le fond. Je n’étais pas ainsi même si j’avais l’art d’aimer dire ce que je pense et pourtant ? Je n’étais pas d’humeur. « On ne pourrait pas aussi aller chez toi ? Enfin, tu as un chez toi ? », demandais-je par curiosité alors que je regardais la chambre… qu’il n’avait même pas décrit et il n’y avait pas de mots. Un peu de nettoyage ne ferait sûrement pas de mal dans le fond et de la vie… de la couleur. Le papier peint assez vieux se décollait par endroit et d’autres étaient ravagés par l’humidité. Le plafond n’était franchement pas nettoyé des toiles d’araignées et heureusement que je n’en avais pas tellement peur. J’entrais alors, lui souriant. « Je peux ? », demandais-je en regardant les sacs pour aller me décrotte, me changer et j’en passe. Je les prenais alors en allant vers la salle de douche. « Je reviens ! », disais-je alors que je tentais en vain de fermer la porte mais elle semblait décider à se bloquer aux 3 centimètres. J’inspirais doucement en abandonnant l’idée d’arranger ce délicat problème. Je me déshabillais alors abandonner la moindre parcelle de tissus avant d’aller sous la douche avec le shampoing et le gel douche aussi. Je me lavais, un peu trop. Je frottais un peu trop. Je me sentais étrangement bonne à nettoyer. Etais-ce cette partie de jambes en l’air foireuse qui me donnait cette envie ? Ceci et cela, un tout. Je me laissais rapidement aller à fermer mes yeux pour du répit, me déconnectant du monde pour laisser des larmes s’associer à la douche. Je n’avais pas prise de lingette démaquillant, mon mascara bien que waterproof finissait par ne plus totalement l’être et coulait. Je n’y prêtais pas attention, pas totalement. Je ressemblais à un panda et alors ? Je sortais de la douche, me brossant les dents rapidement mais plusieurs fois. Toute propre ou presque, je prenais alors une lingette démaquillante dans mon sac à main et mon stylo d’insuline. Cherchant aussitôt après les vêtements qu’il m’avait prévu mais petit hic… ok, il avait pensé à prendre des sous-vêtements pour moi mais pas la tenue de nuit. Pas malin mais malin, il avait eu une excuse pour fouiner dans la lingerie fine. J’étais alors en sous-vêtements, coincée dans la salle de bain. J’en sortais ainsi et approchant timidement. Roh bon, il m’avait déjà vu dans cette tenue et puis zut. Je démaquillais alors mes yeux rapidement et je prenais mon stylo d’insuline, injectant alors une dose en grimaçant et vérifiant mon taux. Bizarrement, c’était plus douloureux que d’habitude. Le stress n’aidait pas vraiment. « C’est de ta faute si je suis à moitié nue, c’est toi qui habille ! », disais-je en voyant sa chemise et laissant un sourire assez timide, assez distant se dessiner alors que je prenais la chemise en grimpant sur le lit et sautillant. En fait, je me sentais tellement stressée que je savais qu’il fallait évacuer. Sauter sur le lit, danser, tout ça, c’était parfait. Je lui tendais même la main. « Trop de stress… ça empêche de dormir ! », disais-je alors tout en sautant. « Et ça permet d’adoucir les matelas… », rajoutais-je en sautant, sautant, sautant comme une enfant.
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Alvin R. Prescott
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il faut que tu voles comme un papillon mais que tu piques comme une abeille, tu vois ?
« On ne serait pas plus en sécurité chez moi. », avais-je répondu à sa question. Et plus je regardais la chambre et plus je ne savais quoi en penser. Au première coup d'oeil ce ne semblait pas si terrible, mais en y entrant je redoutais le pire. Je lui tendais le sac que j'avais payé à son insu. Je n'étais pas idiot, je savais qu'elle devait avoir de l'argent, mais en avait-elle assez ? De nos jours, il est rare que le monde paye cash et non avec débit ou crédit. Je n'avais donc pas prit de chance et puis j'avais assez pour défrayer son petit kit de beauté. Je la regardais entrer dans la salle de bain, alors que je fermais la porte d'entrer. J'allais tirer les rideaux pour éviter les curieux à venir zieuter. Déposant la valise sur la table qui se trouvait à coté du meuble télé, je regardais celle-ci voyant que le numérique restait inconnu dans ce motel. Je déboutonnais alors ma chemise avant de la déposer sur l'un des deux lits. Je sortais mon flingue de mon pantalon, le déposant sur la table de chevet entre les lits. Un coup d'oeil à ma montre me montrait qu'il était passé une heure du matin. Je retirais mes souliers vernis, puis je m'assoyais sur le lit. Prenant mon portable je l'ouvrais pour regarder l'une des nombreuses photos de Katrina. Je me passais une main sur le visage. « Je suis désolé du baiser, je n'avais pas le choix. », disais-je à cette jolie blonde au large sourire. Je restais quelque minutes sans rien faire, jusqu'à ce que l'eau arrête de couler. Je portais mon regard sur la porte bien avant qu'elle ne sorte. Détournant automatiquement mon regardant en la voyant vêtue des sous-vêtements que j'avais prit. En fait je n'avais pas fouiller, j'avais seulement prit les premier sur la pile. Ce n'était que pour un cas d'urgence comme en ce moment. Je me levais alors qu'elle passait ma chemise. Avoir sut que tout prendrait ce tournant, je n'aurais pas oublié de prendre des vêtements de nuit. Je déposais mon portable où la photo de Katrina apparaissait toujours et j'y déposais mon alliance. Je la regardais, en souriant, sautant sur le lit comme une gamin. « Je vais plutôt prendre ma douche. », répondais-je avec un sourire enfantin. Je retirais mon débardeur blanc dévoilant mon torse avant de mettre un pied dans la salle de bain. Je m'arrêtais, revenant d'un ou deux pas. « D'ailleurs pour ce baiser... Je suis désolé c'est la première chose qui m'est venu en tête lorsque j'ai vu la voiture à côté de nous. J'espère que tu m'en voudras pas, il n'y avait aucune arrière penser. » Était-je vraiment franc ? Je l'ignorais. « Essayez de ne pas briser ce lit en sautant dessus, je reviens. », disais-je avec ce même sourire charmeur. Je ne pouvais faire autrement, ce sourire me collait au visage depuis mon enfance. Une fois dans la salle de bain, je retirais le reste de mes vêtements avant d'entrer sous la douche. Prenant appui contre le mur de tuiles devant moi, je laissais l'eau couler sur ma tête sans rien faire. Je pensais à cette soirée, ce baiser... Surtout ce baiser. Lissant mes cheveux vers l'arrière, je tentais d'effacer le contact de ses lèvres que je sentais toujours. Avait-elle ressentit la même chose que moi ? Voilà une chose que j'ignorais. J'allais devenir fou. Une semaine, que je la connaissais et voilà qu'elle chamboulait mes émotions. Je poussais un soupire, sortant de la douche je me séchais rapidement. Durant un instant, je regardais mon reflet dans le miroir embué. Je me raserais en me réveillant, car à cet instant, je n'en avais pas la force. J'enfilais mon boxer et mon jeans que je laissais déboutonner et la fermeture éclair ouverte, je sortais de la salle de bain.
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Sauter, sauter et encore sauter sur ce lit. Voilà qui était ma nouvelle motivation pour la soirée. Quelle heure était-il ? Je m’en fichais en ce moment. Je voulais simplement évacuer. L’invitant, il déclinait et je pouvais clairement comprendre son geste. Je continuais aussitôt à sauter en le regardant retirer son débardeur. Non, il n’osait pas ? Pas devant moi. Je me mordais discrètement les lèvres et tournant dos à lui pour arrêter d’y penser. C’était plus facile à dire qu’à faire bien entendu et j’inspirais doucement en l’écoutant alors, je me stoppais presque net en entendant le mot « baiser » et je reprenais pour ne pas paraitre suspecte et écoutant la suite en sautillant. Forte heureusement que j’étais dos à lui car j’ignorais réellement à quoi ressemblait mon minois actuellement. C’était entre la déception, le soulagement et d’autres choses.  En fait, c’était peut-être plus facile avant de savoir la vérité ? Alors qu’il me conseillait de ne pas briser le lit, je me contentais de sourire. « Je vais essayer… », disais-je en m’arrêtant une voir que j’entendais l’eau de la douche couler. En fait, il m’avait un peu coupé dans mon plaisir en me disant ça. Je ne savais plus trop quoi faire pendant un instant. Je restais juste debout sur le matelas en inspirant doucement. En fait, je rêverais de manger les deux ou trois bonbons qui étaient dans le sac mais dans la salle de douche. Je descendais du lit, allant vers mon sac que j’avais repris avec moi. J’y rangeais l’insuline en regardant combien il m’en restait et je prenais le baume à lèvres en mettant une petite couche sur les miennes avant d’aller inspecter de plus près les recoins de la chambre. Je remarquais l’alliance et le portable avec à nouveau la photo de sa femme. Je n’y prêtais pas totalement attention car… punaise, je n’arrêtais pas de penser à ce baiser qui n’était qu’à sens unique apparemment. Juste un moyen de se protéger et pourtant… je repensais à son deuil qui ne paraissait pas être fini. J’inspirais doucement en reprenant alors les sautillements car en fait, c’était plus facilement de penser en m’envoyant dans les airs. Aussi dingue soit cette façon de le dire. Je sautais encore et encore et encore sans vraiment m’arrêter. Tombant quelques fois mais je me rattrapais. Je continuais de sauter et bing… bang, boum, c’est quand il sortit que j’entendis le crac. Le sommier craquant pour se retrouver sur le sol et moi ? Le regardant alors dans cette tenue, presque encore mouillé et huilé. C’était ? Sexy ? Oui, un peu et même, j’avais menti pour la légère barbe car ça lui allait bien. Je grimaçais doucement en me stoppant. « Oups ! », disais-je en fronçant les sourcils et regardant le lit. « On a des barreaux maintenant ! », disais-je en souriant doucement, tentant d’être cette fille douce à laquelle personne ne peut en vouloir car elle est trop mignonne. Et shit. Cela marchait ? Je n’en savais rien. Je descendais alors du lit et retrouvant le sol avant d’aller vers lui et déposant un baiser sur sa joue pour toujours jouer de ma mignonnerie. « Désolée, je payerais les dégâts… avec ma carte de crédit ! », plaisantais-je en allant vers la salle de bain pour attraper le sac et prenant un paquet de bonbons rouges. Je sortais alors de la pièce, prenant un bonbon hors du paquet et allant vers le lit. « Mais au moins, je me sens plus à même de parler à la nature et penser aux fleurs qui chantonnent dans les gens ! » disais-je pour me décrire ainsi soulagée enfin non… me décrire plus vite moins stressée, moins nerveuses et plus en bon terme avec moi-même ! Je mettais alors le bonbon en bouche et le mâchant avant de m’allonger dans ce lit en piteux était. « Ça en valait le prix ! », disais-je alors en soupirant doucement. Pensais-je à seulement ce lit en piteux état ou juste ma vie ? Je n’en étais point certaines. Cela pouvait clairement se discuter en fait. Le regard droit se posait sur lui rapidement mais juste assez que pour éviter d’en sentir les répercussions. Je me tournais alors sur le côté et prenant l’oreiller autour de mes bras, y posant ma tête.
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Alvin R. Prescott
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il faut que tu voles comme un papillon mais que tu piques comme une abeille, tu vois ?
Sortant peu vêtu, j'entendais le crac du lit. Poussant un soupire de découragement. Je ne disais rien, je ne voulais pas avoir l'air du père qui gronde sa fille. Et lorsqu'elle posait ses lèvres sur ma joue, l'envie de lui empoigner le poignet pour la garder près de moi me traversait l'esprit. Pourtant, je ne fis rien de tout cela, je la regardais manger ses bonbons. « Argh. » Ça avait été plus fort que moi, je la regardais avant de mettre mes souliers. Je me dirigeais vers la porte et sortais. En fermant la porte, je fermais les yeux en me mordant la lèvre inférieur. « Merde. » Je remarquais un distributeur de boisson près de l'accueil. Me dirigeant vers celui-ci, je m'achetais un coca. Tirant la la languette de métal, j'entendais le pétillement du gaz. Je portais la canette à mes lèvres tout en regardant à l'intérieur de l'office. Je fronçais les sourcils à la vue d'une annonce. Le réceptionniste ne semblait pas être là. J'ouvrais la porte, arrêtant immédiatement la clochette. Étirant le bras, l'arrachait l'annonce avec un large sourire. Voilà qui allait régler notre problème d'argent. Je refermais la porte et finissant la canette, j'entrais de nouveau dans notre chambre. « Je crois que j'ai trouvé une solution pour payé ce lit et de nouveaux vêtements, enfin tout ce qui pourrait nous êtres utile. », je déposais l'annonce à ses pieds. Audition pour strip-teaseur chaque lundi soir. Entré féminine à moitié prix. Je m'assoyais sur le lit qui n'avait pas été défoncé. En fait, c'était sûrement stupide comme idée... Je savais à quel point les femmes pouvaient souvent être excessive dans ce genre de lieu. Et ce dont je ne pouvais douter c'était mon corps, il n'était pas une horreur et ça je le savais. Je prenais finalement mon alliance que je remettais à mon doigt. Je la regardais, doutant un peu plus de mon idée. Les avants-bras appuyés sur mes jambes, je laissais ma tête tomber entre mes jambes accompagné d'un soupire. « Oubli c'est stupide comme idée, je trouverai une autre idée pour faire de l'argent et payer ce lit. » Me redressant, je me laissais retomber sur le couette regardant avec dégoût le plafond. Je retirais une nouvelle fois mes souliers sans regarder ce que je faisais. « Nous ferions mieux de dormir... Prend ce lit, je dormirais dans celui que tu as utilisé comme trampoline. », avais-je en me redressant sur mes avant bras.
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et oui, j'habite a pasadena tout comme toi
et peut-être que je te saluerais !


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mot doux de Contenu sponsorisé ► un
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il faut que tu voles comme un papillon mais que tu piques comme une abeille, tu vois ? - feat malvin


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