melody&perceval → c'est tout con de glisser sur une fraise mais faut pas en pleurer, juste en rire... quoique ça se discute !
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melody&perceval → c'est tout con de glisser sur une fraise mais faut pas en pleurer, juste en rire... quoique ça se discute !


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mot doux de Invité ► un Mar 18 Aoû - 21:06
perceval & melody
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Non d’une petite luciole. Oui, une luciole mais mon dieu, j’étais vraiment dans la mouise. Je ne savais même plus comment on faisait de la crème pâtissière donc j’étais en mode excitée alors que je cherchais la recette sur le net mais aucunes ne me semblaient être bonne. Il y en avait même une à base de moutarde. Non mais mon dieu. Depuis quand on met de la moutarde dans une tarte à la fraise ? Bon soit, je prenais celle qui me semblait la plus correct et je la préparais. Une fois qu’elle me semblait un peu refroidie et après un film. Bodyguard devant lequel j’avais pleurée et mon mascara avait coulé pour me laisser une ressemblance à un Panda mal léché. Génial. Amen, j’ai envie de dire. Mais bon. Je me rendais donc vers les fraises déjà bien lavée par deux ou trois petits passages sous l’eau. Je posais donc la passoire sur le plan de travail et je prenais la base de ma tarte. Je mettais la crème dedans en tamisant pour que ça soit droit ou simplement prêt pour l’atterrissage d’un avion mais non. Je n’allais pas y garer mon jet mais seulement des fraises. Je prenais un couteau pour découper les fraises avant de les éparpiller sur la crème pâtissière. Je m’appliquais en chantant doucement et mangeait une tranche de fraises au passage. « Hummmm… », disais-je alors que cette bête tranche n’avait pas suffi à me faire décoller au septième ciel. Je terminais de toutes les mettre sur la tarte avant de la couvrir et la mettre au frigo pour ce soir. Oui, ce soir. Je voulais simplement une soirée simple et sans chichis avec un bon dessert surtout que pour une fois ? Je redevenais une femme sans enfants juste enceinte comme Rosie n’était pas là. Je n’étais pourtant pas maman mais elle était cette petite nièce qui vivait chez moi depuis quelques mois et occupait mon bureau. Ma maison commençait réellement à devenir petite en passant. Je me demandais si des travaux ne s’imposaient pas pour l’agrandir. J’avais de la place pour le faire mais peut-être pas la patience ? Peut-être pas. Oui, de la patience ? Je n’en avais pas depuis que j’étais enceinte. Je n’en avais déjà pas des masses en général mais là. Non mais mon dieu. Enfin soit, j’allais dans mon salon avec la fraise dans la bouche. Je laissais mon cri d’extase ressortir comme un orgasme. Oui, ma fraise me provoquait tellement un orgasme. Non mais c’est trop bon cette chose. Tellement trop bon. J’en souriais en passant une main dans mes cheveux et ne remarquant pas la seconde fraise qui tombait au sol. Je ne l’avais même pas sentie m’échapper entre deux brins de cheveux blonds. Je marchais un pas de plus et je glissais littéralement dessus. Tout mon corps allant s’écraser sur le canapé le dos en premier. Je me sentais un peu amortie par le mou mais j’avais cette panique pour ce bébé dans mon ventre. Je ne savais pas comment être enceinte. Je l’étais devenue comme par magie à mon cinquième mois. Tout avait poussé d’un coup comme l’on dit : ouf. Je ne pouvais pas savoir comment gérer. Non. J’étais juste effrayée. J’avais peur à l’idée qu’elle ne bouge plus. Elle. Cette petite fille si mignonne qui était dans mon ventre. Elle ne bougeait pas là pourtant elle ne bougeait pas avant non plus. Cela ne fit pas longtemps mouche avant que je ne me lève et que je parte en direction de l’hôpital. Je roulais vite dans la voiture pas la moto. Je suis folle mais quand même. J’allais à l’entrée des urgences avec une panique digne d’un éléphant. J’aurais pu attendre le lendemain pour mon rendez-vous chez le gynécologue mais non. Je ne voulais pas prendre un risque. Je ne voulais rien risquer et je connaissais les risques même si ma chute n’était pas du tout grave. J’allais vers les enregistrements et je parlais trop vite bien trop vite en disant que j’étais tombée et que j’étais enceinte. Bien sûr, je ne disais pas tout mais je ne me rendais pas compte non plus que le tout n’était rien de grave. La panique n’aidait pas. Elle n’aidait réellement pas. Je soupirais doucement en étant alors accueillie par une infirmière qui me mettait dans une chambre vide des urgences enfin non plus vite une case. J’étais installée et elle me faisait me chambre par une de ses blouses bien désagréables que j’enfilais en étant en sous-vêtement presque les fesses à l’air. Elle me mettait alors un cathéter pour prendre mon sang en me disant que les analyses devraient bientôt arriver mais aussi qu’elle allait prévenir le docteur. Comme une automate, j’hochais la tête bien que je sois gênée par ce bazar à mon bras. Je relevais mes yeux bleus vers les autres patients. Ces souvenirs de la fusillade jaillissaient un peu à mon esprit mais je ne voulais point les écouter. Je fermais délicatement mes yeux en attendant simplement tandis que j’entendais l’infirmière appeler le gynécologue. Le mien peut-être ? Je n’en avais aucunes idées mais j’espérais que oui car le déni de grossesse n’était pas une chose banale et parfois plus fragile. Je priais pour que tout aille bien. Tout devait aller bien. J’étais seule en plus, paniquée. Ma main tremblait doucement et j’avais cette boule au ventre. Elle ne devait que dormir ? Oui, sûrement. Elle devait faire un gros dodo ? Je voulais y croire. Je voulais me dire que tout allait bien et qu’elle allait bien. Elle devait aller bien ? Ce n’était rien. Je n’arrivais pas à me rassurer. Je suis une scientifique dans le fond ? Une femme qui a besoin d’une réponse et de fait mais non d’une supposition. J’ai besoin de voir pour croire et non simplement de prier pour y croire. Je voulais voir que mon bébé allait bien. Je voulais savoir qu’il allait bien. Je sentais le stresse augmenter et j’avais carrément oubliée mon insuline. Ma tête tournait doucement mais je tenais bon. Je me redressais doucement du lit pour tenter d’appeler l’infirmière mais elle ne venait pas. Je voulais juste une chose : lui demander un peu d’insuline que je devais prendre si je n’étais pas là. Personne à part un teint blafard pour m’accompagner.
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mot doux de Invité ► un Dim 6 Sep - 18:18
Bien que je possédais mon propre cabinet et que j’étais déjà professeur, je restais tout de même employés à l’hôpital de la ville. A défaut de posséder encore le dispensaire dédié à la femme que je voulais construire, je considérais qu’il était important que je travaille là bas. Sans vraiment le nier, je savais que j’étais assez chère et malheureusement tout le monde ne pouvait pas se payer mes services. De cette manière, j’avais vraiment la sensation de pouvoir soigner plus de monde de tous les horizons. Bien entendu, je savais que la réalité serait vrai avec mon dispensaire gratuit pour les plus démunis. Mais à défaut d’attendre cette saleté d’autorisation que mon frère ne semblait pas vouloir me donner, je restais médecin pour l’hôpital.

Mon cabinet et ma maison dans les alentours de l’hôpital, j’avais fais cela pour ne pas avoir de long trajet. Je détestais tout simplement cela. On ne peut pas dire que je suis du genre patient comme homme et la circulation avait toujours tendance à me rendre totalement fou de rage. Ce soir là, j’étais de permanence. C’était un compromis que je trouvais intéressant car je pouvais être chez moi tout en pouvant répondre à de réel urgence si besoin. Dans mon canapé, je regardais une émission sur la théorie du complot tout en me faisant des tartines de pâté de sanglier. J’entendis alors mon biper alors que je reposais mon couteau sur le plateau posé de la table basse. Attrapant d’une main l’objet du délit je regardais le message. On me demandait aux urgences à la suite de la chute d’une femme enceinte.

Dans un long soupire, je reposais ma tartine sur la table basse avant de mettre mes chaussures. Je savais déjà qu’à mon retour mon petit festin aurait disparu. Il suffisait de regarder le regard avide mais nonchalant de mes trois chiens feignant d’être sage. Attrapant mon manteau en feutrine et mes clefs de voiture, je me dirigeais d’un pas semi-pressé vers ma voiture puis vers l’hôpital. Me garant sur ma place de parking réservé, je continuais mon voyage jusqu’à mon bureau dans lequel je laissais mon manteau pour enfiler une blouse blanche marqué de mes initiales de médecin gynécologue-obstétricien sénior. Comme demandait, je terminé ce périple dans les urgences où j’attrapais un interne lui demandant durement qui m’avait biper.

On me désigna l’auteur du bip et je la suivis en suite vers le rideau offrant une intime relative à Melody Dashwood. « Bonsoir Madame. » J’eu un mouvement de salut de la tête avant de m’asseoir sur un tabouret roulant noir, le dossier de la jeune femme en main. Parcourant son dossier, je lu son passé médical et l’alerte me signalant qu’elle avait fait un déni de grossesse et que sa conscience de sa grossesse était récente. « Bien. » dis-je en refermant le dossier et le poser sur une table. Je me levais alors que l’on venait de m’apporter l’appareil pour échographie que j’avais demandé. Mais avant de commencer, je préférais palper la jeune femme. Posant doucement et habillement mes mains sur son ventre, j’exerçais certaine pression. « Vous pouvez m’expliquer comment s’est passé votre chute ? » lui dis-je en posant un regard confiant sur la jeune femme. Je ne voulais pas qu’elle s’inquiète outre-mesure pour le moment.
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mot doux de Invité ► un Sam 3 Oct - 1:10
perceval & melody
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Une chute. Quand on est enceinte, on peut paniquer vite. Bien trop vite. On voit rouge et on voit noir à la fois ainsi que blanc mais rarement gris. Je ne voyais pas du tout gris même si je tentais réellement de me rassurer tant bien que mal. Mais ce n’était pas vraiment efficace. Je sentais tout autant les effets de mon diabétique. J’inspirais doucement en n’étant pas vraiment capable d’avoir le réflexe de courir à mon sac et de toute façon ? Si je me levais, je ne voulais pas que l’on voit ma culotte en dentelle. Je ne pouvais rien faire sauf devenir blanche comme draps et paniquer. Quand cet homme rentrait, cela faisait un petit moment que je regardais juste le plafond avec les yeux humides. Tout simplement. A son salut de tête, je restais inerte. « Bonsoir, monsieur ! », disais-je tout de même car même si je me sentais incapable d’esquisser un sourire, j’étais une femme assez polie. J’étais éduquée ainsi. Étant une anglaise de pure souche et pas comme le stéréotype qu’on leur donne mais simplement par ce que j’avais une éducation au départ de bourge pourtant sans l’être. Ne cherchez pas ma famille est compliqué. Trop compliquée pour moi. Je laissais mon regard se fondre dans les moindres faits et gestes qu’il faisait. Je regardais celui-ci avec le tabouret et je regardais celui-ci contempler le dossier. Je ne disais mots mais je me sentais clairement très nerveuse quand il disait ce « bien » qui sonnait comme négatif à mes yeux de névrosée de service. Je fronçais les sourcils en me retenant de demander si tout allait bien pourtant le rictus que je laissais se dessiner sur mes lèvres en montrait clairement beaucoup. Je le laissais sans broncher poser les mains sur moi et palper mon ventre, je ne réalisais pas vraiment la moitié de ses mouvements. J’inspirais doucement à sa question mais je ne répondais pas instinctivement. Je ne me souvenais même plus sur le coup comment ça s’était passé. Je posais mes pupilles noyée dans le bleu sur celui-ci. Je le regardais avec une attention presque palpable. « Est-ce qu’elle va bien ? », demandais-je telle une idiote qui ne répond pas à la question mais qui pose les siennes. Autant dire que j’allais passer pour la boulette de service et qu’importe. Je voulais m’assurer que mon bébé aille bien avant tout. Je voulais savoir que tout allait bien et je pensais simplement sous la panique. Ma vie était un éternel gouffre. Des dangers m’entouraient et parcouraient les rues. Les dangers me tournaient autour et m’épiait d’une certaine façon pour débarquer aux moments les plus heureux de ma vie. Les dangers m’entouraient. « Je ne sais pas, je ne sais plus… est-ce vraiment important ? », demandais-je alors que mes idées n’étaient clairement pas clair. Je ne me posais pas une seule fois la question qui pourrait fâcher et laisser penser que c’était voulu. Non. Je paniquais bien trop pour avoir besoin de me justifier pour des actes qui n’étaient même pas criminel mais je me sentais tellement faible. « Je suis diabétique, je n’ai pas les idées claires… ma tête tourne. », soufflais-je alors en grimaçant alors que je posais une main ornée d’un cathéter sur mon front avant de poser mon regard sur lui. « J’oublie souvent mon insuline, j’en suis indépendante… », lui annonçais-je en me disant qu’il devait sûrement l’avoir lu dans mon dossier ? Sûrement. Peut-être. Je ne savais pas ce qu’on pouvait y lire après ce bracelet que je devais porter sans cesse m’enquiquinait car je n’aimais pas tellement ce look. « Je crois que j’ai besoin d’insuline mais… », j’inspirais doucement. « Je veux savoir si elle va bien… », disais-je que bien que j’aurais pu la sentir bouger précédemment mais trop paniquée, j’avais totalement perdue connexion avec mes neurones qui fonctionnent pourtant trop en général. Je ne la sentais pas actuellement. Je ne la sentais pas du tout. « Je crois… », murmurais-je alors un peu perdue. « J’ai glissée sur une fraise et je suis tombée. Je me suis rattrapée mais pas assez… », lui confiais-je alors que je sentais mon pouls s’accélérer.
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mot doux de Invité ► un Dim 11 Oct - 17:04
Mes mains gantées de blanc, je palpais doucement le ventre de la jeune femme alors que j’attendais qu’elle vienne répondre mes questions. Mais comme souvent chez les femmes enceintes, elle était irrationnelle et ne voulait entendre que ce qu’elle voulait. Elle me demanda en réponse si son enfant allait bien. Je résistais à lever les yeux aux ciels avant de poser mon regard sur elle. « Je ne peux pas vous répondre encore. » Je n’étais clairement pas le genre de médecin à m’avancer dans ce genre de chose. Je me retournais alors pour préparer les objets nécessaires à l’échographie. Elle continuait à me parler de chose dont je savais déjà. Elle m’avoua ressentir des vertiges. Une partie de moi se sentie révolter car j’avais encore à faire à ce genre de personne dangereuse par capable de se médicamenter comme il se doit face à une maladie pourtant maitriser. Je laissais mes objets alors pour aller prendre la tension de la jeune femme. Elle se décida enfin à me parler de sa chute mais les éléments qu’elle me racontait ne m’aider pas à savoir. J’en avais strictement rien à faire de cette fraise.

Retirant le brassard d’un mouvement habituel, j’eu un long soupire. « Ce n’est pas d’insuline dont vous avez besoin mais de sucre en l’occurrence. Il faut savoir mieux doser votre médicamentation. » Je la regardais brièvement avant d’attraper l’attention d’un internet d’un mouvement de bras. Je le sentis se décomposer ce qui me fait sourire intérieurement. « Ramène moi du sucre tout de suite. » Je fis ensuite volte face avant de prendre le gel nécessaire à l’échographie. L’idéal aurait été qu’elle ait bu mais je ne pouvais pas exiger cela. J’appliquais alors le gel froid sans vraiment faire preuve de ménagement. J’avais beau être professionnel, je n’étais pas le genre de médecin capable d’être chaleureux. On me comparait parfois à Dr House et bien que c’était flatteur, je n’étais pas à ce point là aussi connard.

« Ce n’était pas vraiment le sens de ma question. Etes-vous tombé sur le dos, le ventre, sur le côté ? Avez vous eu des fortes douleurs ? Des contractions ? C’est très important pour moi.» Je la regardais avec un réel intérêt pour lui faire comprendre l’importance de ce que je lui demandais. J’allumais ensuite la machine que je mettais en mode silencieux. Si jamais il n’y avait pas de battement ou bien un gros problème, je ne voulais pas qu’elle s’inquiète de trop. Je plaçais donc la sonde sur le ventre de la belle blonde. Je pu rapidement constater qu’au niveau cardiaque, il n’y avait rien. « Elle semble aller bien. » dis-je en tournant le moniteur vers ma patiente et en allumant le son. Je savais cependant que suivant sa réponse à ma question, j’allais devoir faire plus ample recherche ou non. Dans tous les cas, j’allais la mettre sou médication afin d’assurer le développement neuronale et pulmonaire en urgence en cas de déclenchement de l’accouchement à la suite de la chute dont j’ignorais encore si elle était grave ou non.
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mot doux de Invité ► un Ven 25 Déc - 18:01
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J’étais assez confuse, j’avais l’impression de ne plus penser avec un cerveau mais avec pas grand-chose. Les gens gèrent comment en général ce genre de situation ? Je n’en savais rien. Je n’avais pas vraiment connue beaucoup de femmes enceintes donc ce n’était clairement pas facilement. Je riais assez nerveusement quand il me disait que j’avais besoin de sucre. Je n’en savais rien. Je ne savais plus grand-chose. J’étais prête à faire tout ce qu’il voulait pour afin me sentir mieux. C’était dingue, peut-être ? Il demandait à quelqu’un de lui ramener du sucre et je restais simplement face à lui. Il mettait un peu de gel sur mon ventre, je grimaçais, c’était froid et pas vraiment agréable. « Doucement ! », disais-je en lançant un regard un peu froid vers lui. Il n’était pas doux. « Il y a un bébé là-dedans pas hulk ! », lui annonçais-je. Il reformulait sa question mais j’haussais les épaules. « Peut-être, je n’en sais rien, j’ai un peu l’impression que tout est flou ! », disais-je sans avoir de confirmation. « J’ai tellement eue peur sur le coup que je… n’ai pas réfléchie, elle ne bougeait plus, c’est tout ! », rajoutais-je. On sentait bien que j’étais confuse dans l’intonation de mes mots. Je n’avais pas vraiment la clé pour lui donner les bonnes informations pourtant je le voulais. Oui, je le voulais mais j’avais été seule ce qui rendait la chose encore plus différente. Personne pour me rassurer ou m’épauler. « Et pourtant je suis scientifique donc je devrais réfléchir comme… enfin plus comme vous que comme un libraire. », commentais-je en laissant un sourire assez timide avant qu’il n’allume la machine. Silencieux au début. Je restais perplexe. Bon signe ou pas ? Aucunes idées. Je fermais mes yeux. Je tentais de ne pas le regarder pour ne pas me faire trop de mauvais sang. Il me disait qu’elle allait bien, il tournait même le moniteur vers moi alors qu’une jeune femme approchait et me donnait un verre d’eau sucré. Elle me le tendait mais je regardais simplement le moniteur avant de prendre le gobelet sans vraiment y prêter attention. Je n’étais pas maladroite cette fois. Je le portais à mes lèvres et je buvais tout d’un coup. Grimaçant sur la dernière gorgée. Ce n’était pas très bien dilué. Je tentais tout de même d’avaler. C’était pâteux et du sucre faisait sable dans mes dents. Bref, j’avais l’air cruche. « Vous êtes sûr ? », demandais-je alors au docteur mais bon, il fallait que je rentre tout de même après que tous les examens soient passés. Tout allait bien et le bébé allait naitre dans pas si longtemps. Enfin… avant de se faire kidnapper mais un chapitre à la fois.
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mot doux de Invité ► un Dim 10 Jan - 14:21
Les femmes avaient toujours eu tendance à m’agacer par certains moments. Souvent elles se compliquaient la vie ou bien elles n’avaient pas les réactions attendues. Si on pouvait dire que j’étais quelqu’un de compliquer, je me rassurais toujours par dire que je ne l’étais pas autant qu’une femme. Et on pouvait dire que j’avais de l’expérience. Gynécologie, ne me demander pas pourquoi j’ai choisi cette spécialité, je crois bien ne pas l’avoir choisi. Le destin m’a fait faire des choix qui m’ont mener à cette décision. Aujourd’hui, je me demandais si je n’aurais pas du faire une autre spécialité, je n’avais pas toujours la patience qu’il fallait. Néanmoins, j’étais content de mes derniers projets, je savais que je pouvais me montrer utile et je me raccrochais à cette idée là.

Le plus agaçant dans mon métier était sans aucun doute les femmes enceintes, la bataille des hormones rendait totalement insupportable les bonnes femmes en cloque. La preuve en était encore là avec cette femme inquiète incapable de me dire ce dont j’avais besoin mais qui trouvais le moyen de râler. Je pris une grande inspiration pour faire travailler ma patiente. Je n’oubliais pas que c’était notamment son inquiétude qui parlait en premier lieu. Cependant, je pouvais assurer que sa chute n’avait pas eu de conscience sur son enfant. Alors que je vérifiais tout cela, je constatais que rien ne clochait. Elle m’expliqua vaguement être elle aussi scientifique ce qui me fit avoir un haussement de sourcil. « Personne n’est rationnel lorsqu’il s’agit de nous ou de personne que l’on aime. » finis-je simplement par dire alors que je prenais des images.

« Je vous assure. » J’eu un léger soupire à la pensée de ma défunte épouse avant de tendre un bout de papier pour que la jeune femme s’essuie le ventre. Je repris le dossier et je marquais les derniers éléments que j’avais eu. « Oui je suis sûr. Votre enfant dort tout simplement. » Je posais un instant mon regard sur la jeune femme avant de reprendre avec une grande inspiration. « Mais je vais vous garder toute la nuit sous monitoring. » Ce n’était pas une chose habituelle à faire mais les grossesses autorisaient toujours une grande surveillance. Je fis un signe à un interne pour qu’il place un monitoring. « Je viendrais vous revoir demain matin pour faire le bilan. Mais ne vous inquiétez pas, je n’ai rien vu d’anormale. Votre chute n’a pas eu de conséquence. » Je refermais le dossier avant d’observer le corps de la jeune femme. « Vous ne vous êtes pas fait mal lors de votre chute ? »
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