Lenaëlle G. Martinset oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais !
❝ Métier : Nounou dévouée à la petite marmaille de Lullaby & Aiden ❝ cupidon : Si la perfection existait, elle porterait ton nom. ♥ ❝ post-it : Lieux de vie : Pasadena (0-8 ans), Denver (8-20 ans), Austin (20-28 ans), Pasadena (28 ans, aujourd'hui). Particularités : Ancienne alcoolique, maniaque du ménage, maîtresse d'un chat et d'un chien. Love : En couple avec Jensen depuis décembre 2015, habite avec lui depuis le printemps 2016. Animaux : Un chien & un chat Passe-temps : Lire des romans de Nicholas Sparks, le Sudoku, le tricot, dessiner des chatons. ❝ Age : 34 ❝ pseudo : Mayiie ❝ crédits : (c) Mayiie & Tumblr ❝ avatar : Julianne Hough ❝ présence : Présent(e) ❝ préférences : Rp Roses ❝ disponibilité : Demande-moi et on verra. ♥ ❝ autres comptes : Kylian J. Hemsworth(feat. Jamie Dornan) - L'amoureux éperdu qui a décidé de redémarrer sa vie à zéro et peut-être récupérer sa fiancée du passé. Jezabel M. Sanchez(feat. Sofia Vergara) - La Martha Stewart de sa génération qui aime sa famille plus que tout. Bennett K. Morriganfeat. Julian Morris - L'ancien militaire qui tente de se définir dans cette nouvelle vie. Breanna J. Hardyfeat. Serinda Swan - L'actrice qui a quitté le rôle d'une vie pour arranger la sienne. ❝ Points : 4302 ❝ Messages : 3035 ❝ depuis : 11/04/2014❝ mes sujets : Allie ▬ Caitlyn ▬ Cordélia ▬ Grace ▬ Jade ▬ Jay ▬ Jensen ▬ Jensen ▬ Layali-Joy ▬ Lullaby ▬ Rafael ▬ Summer ▬ Toi ?
mot doux de Lenaëlle G. Martins ► un Lun 16 Mar - 15:28
Lullaby & Lenaëlle Soirée entre filles
Alors que j’avais cru dur comme fer que Lullaby venait de m’annoncer une bonne nouvelle, comme moi comme pour elle, je me rendis compte, après m’être décalée de ses bras dans lesquels je m’étais précipitée peut-être un peu trop rapidement, qu’elle ne semblait pas si heureuse, si confortable, contrairement à ce que j’aurais cru. En fait, ce n’était pas si évident que cela, puisqu’elle n’avait pas commencé à faire une crise de larmes ou quelque chose du genre, mais j’avais cru le percevoir et le comprendre parce que je la côtoyais tous les jours, et j’avais bien senti que quelque chose n’allait pas, qu’elle ne partageait clairement pas mon enthousiasme. Cela fit en sorte que soudainement, ce fut moi qui me sentis probablement la plus inconfortable entre nous deux. Pourquoi ? Tout simplement parce que je craignais avoir mis un gros malaise dans la discussion, et que par conséquent, je venais de gâcher la soirée que nous devions passer ensemble, ou du moins, une bonne partie. Malheureusement, le fait que Lullaby prit le temps de me répondre qu’elle était enceinte d’environ deux mois ne vint pas calmer ce malaise, même si c’était quand même bon à savoir. Lui souriant timidement à cette réponse, je choisis de ne pas aller plus loin, ne lui demandant surtout pas pourquoi elle ne m’avait rien dit avant, si elle était allée chez le médecin, tout ce qui venait avec ça. Après tout, avec le mariage et tout ce qui s’était ensuivi, il était normal qu’elle n’ait pas eu le temps d’aborder la question, alors m’en montrer vexée serait tout simplement une perte de temps, surtout que, selon l’impression que j’avais, la première qui devrait être vexée, ça devrait être mon amie d’enfance, vu la réaction que j’avais eue précédemment. Peut-être que pour le coup, je culpabilisais un peu trop rapidement, mais je ne pouvais tout simplement pas m’en empêcher, signifiant clairement que j’étais un peu plus sensible sur le sujet. Après, il fallait avouer que j’avais cette tendance plus que secrète à considérer chaque femme qui portait un enfant plus que chanceuse, vu ce que moi-même j’avais pu vivre il y a quelques années, mais après cela, ce n’était pas une raison pour venir gâcher toute une soirée pour autant, surtout que cela mènerait à des confessions que je ne me sentais pas prête à faire nécessairement, pas dans ces circonstances, en tout cas. De ce fait, l’idée de mon amie de changer de sujet brusquement – parce que volontairement ou non, c’était ce qu’elle avait clairement fait – fut relativement bienvenue, et passivement, je la laissai aller prendre les brochures pour décider ce que nous allions manger. Elle commença sitôt à m’énumérer les différents choix, ce qui me fit aussitôt réfléchir à ce que nous pourrions prendre, mais pour une raison que je ne sus vraiment pas expliquer cette fois-ci, quand elle fit cette allusion un peu particulière, je ressentis ce même malaise que précédemment, si bien que je compris que je ne pourrais pas faire face à mon amie sans un petit recul, puisqu’autrement, j’allais vouloir m’excuser de la réaction que j’avais eue, ou pire encore, je lui poserais des questions concernant sa propre réaction, quelque chose du genre. Réfléchissant à la vitesse de l’éclair, ce qui fut peut-être un peu trop rapide même, tout ce que je trouvai à dire, ce fut : « Parlant de baisser sa culotte, tu me permets une minute ? », suivi par « J’ai envie de faire caca… » d’une voix un peu plus basse, comme si je voulais que personne sauf elle ne l’entende. Attrapant les brochures, je me dirigeai vers la salle de bains sans demander mon reste, comme si cela pressait énormément, même si ce n’était pas du tout le cas. En fait, une fois à l’intérieur des toilettes, je ne fis rien d’assourdissant et je ne laissai dégager aucune odeur nauséabonde. Tout ce que je fis, c’était simplement prendre quelques secondes pour moi-même, essayer autant que possible de ne pas penser à ce qui venait d’arriver, me disant qu’éventuellement, j’aborderais certainement le sujet avec elle à un autre moment, puisque si jamais elle comptait me garder comme nounou, cela impliquerait certainement des changements dans mon travail, quelque chose dans le genre. Mais si elle ne voulait pas en parler, alors je me devais de respecter cela, et espérer que ce malaise allait finir par passer. Grimaçant un peu dans le miroir, je pris quand même quelques secondes – histoire de me donner un peu de crédibilité, quand même – pour regarder les brochures, les lisant en diagonale comme on lit un roman qu’on a déjà lu mille fois, et quand je me sentis suffisamment d’aplomb, je sortis de la salle de bains, un nouveau sourire aux lèvres, et je dis, enthousiaste : « Tu sais quoi ? Pizza, ce sera ! » Je redéposai les brochures sur le plan de travail, et je proposai également : « Et on pourrait se faire des milkshakes avec ça ? », me disant que ce n’était peut-être pas le meilleur mélange au monde, mais que ça pourrait être quand même délicieux, même si on les prenait que pour le dessert après cette fameuse pizza, si c’était ce que Lullaby voulait, évidemment.
Invitéet oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais !
Invité
mot doux de Invité ► un Sam 21 Mar - 0:36
Lullaby & Lenaëlle
Soirée entre filles
Pouvait-elle sentir mon mal aise ou ma tristesse ? Une chose était certaine c’était que je manquais très certainement de confiance en moi avec cette histoire. Enceinte ? Je ne savais pas comment ça allait se passait mais j’en avais marre d’avoir peur. Je voulais être sûre de moi pour le bien de ce bébé. Je voulais juste. Je tentais de ramener le ton léger à la conversation mais j’étais surtout affamée. Tellement affamée. Que serait cette soirée entre filles sans des cochonneries à manger ? Je laissais mon humour douteux parler de baisser la culotte pour qu’elle pilote. Bien sûr, je ne m’attendais peut-être pas à ça. Je l’entendais alors dire à voir basse alors que nous étions seule qu’elle avait besoin d’aller faire caca. Je fronçais les sourcils et encore plus quand elle prenait la brochure. Bon, c’était un gros mais très gros caca qu’elle allait faire. Je crois qu’elle ferait mieux de mettre du déodorant pour éviter les odeurs nauséabondes comme je pouvais parfois le faire en passant derrière Aiden. Les hommes parfois sont pourris de l’intérieur. C’est pire qu’un fléau mais vivable tant que nous les aimons et pour les aimer, je les aimais. J’aimais tellement mon mari et même ses rôts ainsi que ses flatulences. C’est tellement romantique à souhait. Aussi sexy qu’une pinup. « Tu passes définitivement trop de temps avec des enfants ! », je riais doucement en la laissant filer et pendant ce temps, je rangeais un peu tout ce que j’avais laissée trainer pour la préparation de mes petits plats. Je tombais même nez à nez avec les gâteaux qu’elle avait rapportés, Gâteaux… Ils m’appelaient. J’étais sure que les gâteaux disaient : Lullaby, manges-moi. Je me retenais de les écouter au début. Je me retenais réellement, oui. Je me retenais tellement mais peut-être un peu trop. Je riais nerveusement. Dans mon esprit, ils me parlaient réellement pour me dire de les manger. On a des gâteaux imaginaires autant que des amis imaginaires. Je suis normale et voilà c’est ce que dirait un môme comme un autre avant de me mettre le biberon dans la bouche pour que je la boucle avec mes singeries. J’attrapais le gâteau et je croquais dedans. Laissons échapper un orgasme des papilles assourdissant en priant pour qu’elle ne l’entende pas. « Mon dieu, c’est trop bon… Harry Truman sortirait de sa tombe pour manger ça ! », disais-je alors la bouche pleine. C’est à ce moment-là qu’elle arrivait et j’en sursautais doucement. « Ok, pizza ! », disais-je avant d’engloutir le gâteau dans ma bouche et je souriais doucement. J’avais la bouche pleine comme un hamster. Je tentais alors d’avaler en évitant de penser au « aval…aval…avales… », qui pouvait parfois me faire prendre des fous rires inutiles surtout qu’ils pensent souvent à avaler autre chose de cochons ce que je pouvais faire avec Aiden mais dans la discrétion d’un ménage. Voyons et ça ne vous regardes même pas. Parlons des bananes des autres. « Si tu veux pour le milkshake ! », disais-je alors que je venais donc d’avaler mon milkshake et je souriais doucement en fronçant les sourcils. C’est alors qu’une fois ma gâteau avalé, je prenais le téléphone et le menu. Nous choisissions les pizzas et c’était parti pour faire la fête et serpentins. Bien sûr, il fallait attendre les pizzas et pendant ce temps-là, j’avais tout simplement engloutie un second gâteau car la vie est pleine fun quand on se rempli bien le bidou. Non ? J’avais faim et j’avais la sensation de pouvoir manger un troupeau de mouton sauf que je n’étais pas un loup et je préférais mon agneau de mari. Tellement mignon et chaste. Ahah, c’est ça oui et mamie aussi est chaste ? La pizza arrivait bien rapidement et j’avais aussi regardée si j’avais tous les trucs pour un milk-shake. Ouf, tout était là. Pizza puis milkshake et tout le monde était content. Mon milkshake était toujours tellement délicieux que je me disais que je devrais en faire une marque de fabrique mais à ce moment précis, j’ignorais encore que dans quelques mois, ça allait être le cas.Tout le monde s’amusait ou presque car bébé dans le ventre devait sûrement mal dormir tellement je dansais sur Eye of the tiger. Pauvre bébé, je le traumatisais.