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mot doux de Invité ► un Ven 21 Nov - 2:17
aiden&lullaby
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Je souriais doucement en l’entendant alors que je lui tirais tout aussitôt la langue. Il se moquait de moi pour avoir prise la télécommande, le méchant Aiden mais tellement attachant. Je rassemblais donc tous les ingrédients et l’écoutant tandis qu’il me regardait faire. Je ne savais pas vraiment si j’allais mieux. Avais-je la conscience plus tranquille ? Pas totalement. Je n’arrêtais pas de penser au fait que lui, il voulait un nouveau bébé. Je lui souriais doucement en le regardant entre deux placards. « Il était étrange ton choix tout de même ! », disais-je d’un ton plaisantin en fronçant le nez. Je prenais alors la farine et la balance. Je mettrais la pesée dont j’avais besoin et le sentant alors approcher. La chaleur si proche de sa présence me donnait le sourire alors que je sentais la mèche de cheveux s’écarter. Je souriais doucement, un sourire un peu plus coquin au fur et à mesure où il approchait de mon cou. Oui bah et alors ? Je n’allais pas l’arrêter, oh non. Je profitais même en fermant les yeux et même que j’arrivais à mettre un peu de farine à côté du pot tellement c’était agréable et oui, nous sommes intenables mais ce n’était pas ma faute cette fois. Entendant sa question, je rouvrais les yeux en regardant alors la bêtise que j’avais faite, riant doucement, je mettais une main discrète vers la farine qui était à côté de la balance et la prenant dans la main alors que je me retournais pour lui faire face. Mes bras allant entourer son cou, je capturais ses lèvres sans même parler, l’effet du baiser ? Oh oui, il y était pour tellement. Une de mes mains allant à sa nuque pour le rapprocher d’autant plus alors que je m’adossais à l’îlot de la cuisine en rendant ce baiser un peu plus fougueux, un peu sauvage même. Je laissais mon bassin se coller au sien d’une manière explicite alors que la main à sa nuque descendait aux poches derrière de son jeans pour s’y mettre au chaud. L’autre main, elle pleine de farine montait au haut de sa tête pour s’ouvrir par-dessus celle-ci et laissant la farine lui tomber dessus. Un sourire sadique se dessinait sur mes lèvres alors que je rompais progressivement le baiser en lui mordillant alors que je reculais pour le regarder dans les yeux. « Un gâteau à la passion… à l’amour et très sexy… je pense que je vais le garder pour moi… ingrédients principal… », je laissais ma main descendre dans l’autre poche de son jeans et me collant un peu plus à lui. « … un futur mari très sexy ! », soufflais-je en soutenant son regard et lui offrant un beau sourire.
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Aiden N. MacCallister
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❝ Métier : Ambulancier et vétéran des US Marine, sans compter un rôle à temps plein, celui d'être père. Il a aussi reprit ses études en médecine qu'il a longtemps abandonné.
❝ cupidon : Marié à la fille du pasteur et la trompe avec Aaron ♥
❝ post-it : né à los angeles le 18 août 1982, mais a grandit à Pasadena ◮ a joué le rôle de père et de mère pour son frère et sa soeur durant leur enfance ◮ n'a jamais fini ses études en médecine ◮ c'est engagé dans l'armée avec son cousin et trois autres de leurs amis lorsqu'il avait 22 ans ◮ il faisait partit de l'élite de l'armée américaine, mais il a connu des drames qui l'on marqué à vie ◮ après son retour de sa première mission, au Pérou, il était devenu un junky, suite à une séquestration de plusieurs jours et absorption de drogue ◮ sauvé de sa dépendance par une jolie pompière ◮ a arrêté de courir à droite et puis à gauche pour devenir fidèle ◮ nudiste sous l'effet de l'alcool en trop grosse quantité ◮ octobre 2013, envoyé en Iraq pour une mission secrète ◮ février 2014, survit à une embuscade qui coûte la vie de son ami d'enfance, du frère de Lullaby et de tout son bataillon ◮ il revient au pays médaillé pour son courage, mais avec une épaule amochée, une jambe blessée et un esprit torturé ◮ il a une fille, Nora, née peu avant son retour ◮ octobre 2014, se mari avec Lullaby ◮ parle aux écureuils sous l'effet de la marijuana ◮ 27 juin 2015, naissance de son second enfant, Dylan ◮ Janvier 2016, reprend ses études à l'université en médecine
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❝ autres comptes : GRANT ▬ (g.gustin) le prodige de la musique, mais l’incompétent en relation. CARTER ▬ (a.kendrick) la jeune maladroite qui s'est retrouvée les deux pieds dans le plat à Vegas. ALVIN ▬ (m.bomer) l'agent du FBI accro à la caféine et une certaine chanson ! JONAS ▬ (r.amell) l'étudiant qui aime trop la vie en arc-en-ciel. DEVON ▬ (k.graham) la jeune femme qui rêve de liberté. JAMIE ▬ (d.gillies) le canadien qui cherche à garder son visa. GWEN ▬ (s.johansson) la philanthrope qui pense aux autres avant de penser à elle, jusqu'à aujourd'hui.

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mot doux de Aiden N. MacCallister un Dim 23 Nov - 6:35
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Elle critiquait mes goûts télévisuel, bon certes je ne portais pas d’attention particulière à cette émission. Le contenu était identique à tout ce que l’on pouvait créer pour les enfants de bas âge. Des couleurs vives pour attirer leur regard, des chansons pour alimenter leur esprit, un langage de bas niveau pour être compris et le tout trop aigu et énervant. Je ne comprenais pas pourquoi j’étais resté scotcher devant l’écran le temps qu’elle finissait le lavage. J’aurais pu changer de poste, mais qu’est-ce qui aurait pu être mieux ? Là, je ne pouvais pas répondre. Je n’étais pas rester assis bien longtemps, allant me poster derrière l’emprisonnant entre l’îlot et moi. En un instant, je commençais à la tenter usant de mes tactiques qui avaient fait leur preuve. J’embrassais son cou, langoureusement, je tentais d’éveiller ses sens. C’était généralement chose facile, mais j’aimais ces petites complications qui rendait les choses plus complexe et très certainement pas dût. Elle se retournait et je lui souriais de ce petit sourire complice alors qu’elle passait ses mains autour de mon cou. Et dire qu’il y avait quelque minutes voir une heure, nous étions entrain de se disputer. Nous étions comme ça, une dispute et en à peine quelques instants nous retrouvions nos instincts naturels. Oui, c’était tout ce qui pouvait qualifier les deux personnes que nous étions. Unis dans la chair et dans l’âme, nous n’étions jamais vraiment en froid. Nos corps suffisaient à retrouver ce qui faisait de nous un couple, une personne entière, un tout. Nos mouvements étaient simple et pourtant si explicite, tentatrice. Je laissais mes lèvres accomplir ces mouvements que nous faisions tant et tant de fois. C’était naturel, passionnel, instinctif. Je savais comment l’embrasser, la toucher, je l’avais toujours sut. Chacun de ses mouvements, je les sentais au centuple. Sa main sur ma nuque créait une chair de poule qui déchargeait une énergie dans ma colonne. Mes mains quant à elles, je les laissais sur l’îlot gardant un appui, alors que je sentais son bassin taquiner le mien. C’était un jeu perpétuel et pourtant chaque partie était différente et je le découvrais à mes dépend, alors qu’elle laissait tomber une poignée de farine au dessus de ma tête. Je souriais à la description de son gâteau, n’ayant pas été l’ingrédient principal j’aurais sûrement salivé. Je frétillais mon nez sous les chatouillis de cette poudreuse blanche. Ça chatouillait ce truc. Dans un moment qui se voulait taquin, aguicheur, voir même séducteur, j’éternuais au visage de ma belle. « Bonjour le gâteau sexy ! », rétorquais-je en riant doucement avant de l’embrasser, d’un doux baiser de farine. Une de mes mains quittait l’appui qu’elle avait sur le comptoir pour aller chercher à tâtons quelque chose. Elle empoignait un sac et alors que mon autre main caressait sa joue, je déversais le contenu du sac de sucre sur nous, enfin surtout sur elle. Je me reculais, réprimant un éclat de rire en voyant cette petite montagne blanche sur le dessus de sa tête. « C’est étrange, mais généralement ce genre de gâteau va en paire de deux. », disais-je avec un large sourire.
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mot doux de Invité ► un Dim 7 Déc - 21:39
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Un bon chocolat chaud et on repart ? C’est un peu ce qu’on dit facilement au coin d’une cheminée ou dans une publicité de bas niveau pour… un cacao. Bien entendu, la vie n’était pas aussi facile qu’une publicité et surtout pour la vie de couple mais pourquoi elle me semblait tellement plus facile avec Aiden ? Je voyais les couples autour de nous qui se boudaient pendant des jours et pourtant nous deux, c’était différent. Etions-nous plus fort ou tellement passionné que même au nombre de froids, cela ne durais pas plus de 3 heures ? Cette dispute était différente des autres. J’avais confié une chose bien plus complexe, je l’avais cachée. Son apparition dans ma vie avait tout simplement tout changée. J’étais passée du diable aux anges. A vie précédente n’était qu’illusion. Une façon de me dire que je vivais un bonheur mais en fait, c’était presque à se demander si je ne prenais pas du viagra… pour réussir à vivre. Certains en prennent pour faire l’amour et moi j’en prenais pour être heureuse. Ou pas. Existait-il une pilule de bonheur que l’on me faisait prendre sans me demander mon avis ? Tout ça pour dire… je ne savais pas comment j’arrivais à me sentir heureuse sans qu’il ne soit dans ma vie. Cela me semblait tellement impossible. Je m’étais offerte à lui… il y a de ça 6 ans, une offrande bien que je ne sois pas un petit mouton à égorger dont le berger pleurerait sa mort… ou pas. Demain nous allions arriver au solstice d’automne. Etais-je pressée ? Pas réellement, j’étais bien en été en fait. Je m’y plaisais. Je n’étais même pas prête à passer l’hiver et voir des traineaux lumineux dans les jardins, manger des marrons, ne voir que des troncs et pas les feuilles sur des arbres. Je voulais juste me trouver à 3 ou presque 4 semaine de ce jour. Je voulais vivre mon mariage loin de l’idée du Jésus-Christ et des rois mages. Loin d’être une cuisine du pôle nord, j’avais laissée l’ambiance se réchauffer, jouant de mes charmes. Avions-nous mangé des huitres ? En fait, je pense que nous étions nés dans des huitres. Nous n’avions jamais besoin d’aphrodisiaque. Décrivant mon gâteau, je souriais. Un gâteau à la Aiden ? C’était encore mieux à mes yeux qu’un toast au caviar et j’aime pourtant tellement ça tout autant qu’un bon lait de poule au coin du feu. Beaucoup préfèrent un verre de vin ou même du champagne mais j’aimais bien ces boissons sans alcool tout comme un lait au miel. Aussi étrange sois-je. Je n’étais pas pourtant une sainte. Je n’étais pas de celles qui restaient sages avec seulement une goutte de cidre. Je le voyais éternuer une fois la farine sur sa tête et même que je me ramassais de la farine au visage. J’en riais tout simplement. Il faudrait qu’il ait des engelures partout pour que je ne le trouve pas du tout séduisant même s’il venait de m’éternuer dessus. Je répondais à ce tendre baiser à la farine, profitant de ses lèvres. Je ne voulais pas l’arrêter et même le prolonger, l’intensifier. Laissant mes sens augmenter au touché de sa main sur ma joue, je continuais encore légèrement à rire mais revenant sur terre en écoutant la chorale de mon cœur. Ces battements léger de tambour alors qu’une part de moi voulait rester sérieuse et retourner à la cuisine mais l’autre voulait simplement titiller son épine. Qui s’y frotte, s’y pique. J’avais beau être la fille d’un pasteur et aller souvent à la messe, je n’en restais pas moins coquine. On dira que j’aime juste jouer à la luge avec mon futur mari. Et bing, alors que je voulais juste qu’il continue ce baiser, ces caresses… je me retrouvais avec une montagne enneigée sur le crâne. Manquerait plus que Rudolph arrive sous une étoile de noël pour atterrir sur le haut de ma tête. Ou peut-être Saint-Nicolas et son âne. Je le regardais en arquant un sourcil. Il avait raison mais zut…, je faisais une petite moue en me retournant rapidement et attrapant un œuf. Oui, j’allais aller sur une pente glissante. On en revient ou on n’en revient pas. Je me sentais comme des petits écureuils qui se balancent des boules de pins. Je n’avais pas honte de moi alors que je m’avançais de lui pour écraser l’œuf sur le haut de son crâne. Je souriais en approchant de ses lèvres et lui volant un baiser. « Là, ça fait plus poule mouillée… », lui disais-je en me demandant si le papa noël allait m’apporter du charbon dans 3 mois. Je m’en fichais dans le fond. J’aurais quand même un mari avec un ruban autour de la tête pour pâques. Comment ça c’est un œuf pas un mari à pâques ? Ça peut aussi être un lapin dans certaines cultures. Mon dieu qu’est-ce que je peux être casse-noisette. Je devrais sortir les skis avec satan et devenir son amie… Après tout, Satan lui aussi doit jouer avec la nourriture car c’est mal après tout. Je ne savais même pas ce qu’on faisait, ce n’était en tout cas pas les ingrédients pour la galette de l’épiphanie mais simplement agréable. Mes yeux se plantant dans les siens bien qu’il soit plein d’œuf et alors sur j’en reprenais un avec discrétion dans mon dos. Je glissais alors mes mains sous son hoddy en remontant lascivement. Je prenais attention à ne pas laisser cet œuf s’écraser avant l’heure ou même… le laisser frôler sa peau. Je n’allais pas me laisser griller aussi facilement quand même. Je ne voulais pas du tout qu’il me grille. Qu’est-ce que je voulais ? « Il faut être douce avec la pâte et savoir la caresser dans le bon sens du poil… », disais-je alors avec un sourire un peu taquin qui s’agrandissait légèrement alors que je me mordillais les lèvres tout en remontant un peu plus. Je laissais mes mains remonter un peu plus tout en me collant à lui, kidnappant ses lèvres pour un baiser électrique alors que je n’y allais pas de main morte avec mes lèvres. J’approfondissais ce baiser avec passion et même que la langue était de la partie tout comme un jeu de chaine… de perles. Comment réussir à placer ce mot difficile, check. Ma poitrine pas si petite - plus volumineuse que celle d’un bonnet… oui, les pompons d’un bonnet- allait écraser l’œuf contre sa peau. Mes mains aussi douces qu’une écharpe de laine, je les laissais continuer la danse de caresses mais cette fois dans le dos car l’œuf gluant ? Pas vraiment agréable. Je souriais doucement contre ses lèvres, lui mordillant en rompant petit à petit le baiser. Je le regardais alors dans les yeux en fronçant les sourcils. « Je crois que tu vas être obligé de finir à moitié nu ! », disais-je avec une sorte de joie dans la voix.
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mot doux de Aiden N. MacCallister un Mer 17 Déc - 6:06
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Pâtisserie time, oui il y a toujours un temps pour cela et voilà que l’on mettait le gâteau de côté pour créer une nouvelle recette. Quelque chose d’unique, enfin peut-être pas si unique que cela nous connaissant. Couvert de farine et elle de sucre, je commençais à déplorer l’état de la cuisine dans les prochains instants. Ça n’allait pas être du joli, oh ça non, mais bon j’étais prêt à faire le ménage par la suite. Qu’est-ce que je ne pourrais pas faire pour avoir un moment d’extase. Je souriais, un sourire digne de Gaston de Beauty and the Beast ou devrais-je dire un sourire colgate. Pour le bien de ma culture j’avais regardé quelque Disney, surtout pour le plaisir des filles, même si je ne comprenais pas le plaisir de ces dessins animés. Ces princes n’avaient rien pour eux, sauf peut-être l’argent et un royaume. Ils n’avaient néanmoins pas l’intelligence d’un dauphin et qu’elle image ça pouvait bien donner sur l’homme. Bref. Je la laissais m’embrasser sentant une sensation étrangement me couler sur la tête, quelque chose de froid, gluant et liquide. Le feeling que j’éprouvais à cet instant n’était pas du tout agréable ni même érotique. J’avais des frissons qui parcourraient mon corps, alors que je sentais l’œuf couler sur mon front, ma nuque et mes joues, se mélangeant ainsi avec la farine. Je laissais un rire s’échapper de ma gorge, non pas un rire amuser, mais plus un rire jaune. Le genre de –Haha manquant littéralement de conviction. Si elle savait ce que la poule mouillé avait envie de lui faire subir après le bombardement d’un œuf ! Malgré cela, je restais docile laissant ses mains parcourir mon corps de ses mains sous mon hoddy. Mon corps était en meilleur état que ma tête, oui j’ai ce genre de réflexion alors qu’elle passe sensuellement ses mains sur ma peau. De la pâte avec du poil, étrangement l’idée me faisait haussé un sourcil, car soyons franc l’image est assez rigolote même si je serais le premier à refuser d’en manger. Bien que je n’avais pas prit le temps de me raser ces derniers jours, donc c’était tout à fait approprié. Puis, en un instant je me laissais avoir comme un débutant. Elle capturait mes lèvres usant de tactique tentatrice sur celle-ci en les mordants, partageant ce baiser aussi avec nos langues. Et c’est à ce moment que j’entendais un crack. Je sentais cette même sensation sur mon torse que j’avais ressentis sur ma tête. Je fronçais les sourcils alors qu’elle s’amusait à taquiner mes lèvres un peu encore. Lorsqu’elle me regardait affirmant que j’allais devoir me retrouver à moitié nu, je lui souriais. Seulement, mon sourire n’avait plus rien de gentil et de mignon, tout au contraire ! J’avais laissé place à un sourire beaucoup plus carnassier, prenant le rebord de mon hoddy je le faisais passer par-dessus ma tête. J’aurais peut-être dut aller le mettre tout de suite dans le lavage surtout avec l’œuf à l’intérieur et la farine un peu partout à l’extérieur. Non, au lieu de cela je laissais tomber à mes côtés. Je tentais de faire abstraction de cet œuf sur mon torse et celui sur ma tête. Une douche allait s’imposer ça c’était certain, mais pour l’instant dans l’état où j’étais on pourrait me badigeonner de crème fouettée, de chocolat ou bien de caramel, j’en avait rien à cirer. Je l’embrassais partageant cette fois non pas le goût de farine, mais celui de l’œuf gluant. Passant mes bras autour de sa taille, je la collais à moi prenant bien soin de partagé son attaque. En la mémoire de notre folle jeunesse, enfin de nos débuts. Il n’y avait pas de limite avant, désormais on était parent et on allait bientôt passer le cap du mariage. Dans quelques semaines, j’allais devenir un petit prince ayant trouvé sa rose. Descendant mes mains, j’agrippais ses fesses la soulevant avant de l’asseoir sur le comptoir repoussant sac de farine, de sucre bol même le bougeoir. Celui qu’on mettait parfois sur la table lors de grande occasion. Je n’étais pas pour rester aussi figé qu’un Égyptien sur une murale devant ma fiancé. Après tout ma branche dans mon pantalon montrait bien toute mon envie pour elle. J’embrassais son menton, caressant sa peau de mes lèvres. Je remontais doucement son haut qui était d’une couleur jaune poussin pour le laisser tomber sur le sol. Un petit rictus au coin des lèvres, je l’observais regardant chaque détail de son corps sublime. J’étais tombé sur le jackpot. Cette femme était mienne et j’allais prendre sa main où se trouvait la bague de fiançailles que je lui avais acheté. J’apposais un baiser sur la paume de sa main. J’aimais bien ces petites réconciliations animées par la chair et le vice. Une fois sa paume embrassé, je déposais mes mains sur ses jambes les laissant remonter un peu plus haut toujours plus haut, jusqu’à caresser ses flans tout en apposant mes lèvres dans son cou. J’en avais presque oublié le gâteau qu’elle devait faire. Seulement, ma vengeance n’était pas encore accomplit, tandis que j’occupais de son soutif d’une main, j’allais prendre de l’autre le bol qu’elle avait remplit de farine. Et bim, je renversais le contenu du bol sur sa tête tout comme son corps nu. Un rire s’échappait de mes lèvres en la voyant couvert de cette poudreuse. « Manque plus que le chocolat et je te mangerai bien tout cru. », disais-je en me mordant la lèvre.

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mot doux de Invité ► un Dim 28 Déc - 1:39
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OVile Lullaby. J’étais vile, oh oui enfin vilaine et pas ville bien sûr. Je venais de me lancer dans cette « chasse » aux œufs mais c’était lui le chassé et l’œuf mon fusil. Boum en plein dans le cœur et un baiser en prime que nous partagions. La farine, les œufs et le sucre. Nous étions un bon préparatif pour une recette basique de gâteau. Il restait le beurre puis le four. Etre collée à l’œuf en étant du sucre, je pouvais clairement passée à la brioche alors que sa branche était réveillée. Ses mains sous mes fesses, je me laissais poser sur le plan de travail comme une boule de pâte à travailler. Tout tombait mais je m’en fichais réellement, je n’étais plus du tout dans l’ambiance de la quiétude à savoir que mon sol allait être bon à nettoyer. Je m’en fichais et je m’en fichais même qu’une des filles débarque. Ses lèvres caressant ma peau chaude à son contact. Mes frissons réveillant des zones de mon corps dont je ne me rappelais qu’à ces frissons. Des zones de ma peau que même le soleil ne pouvait pas faire bronzer. Je parle de la plante de mes pieds et de mes orteils, voyons même si je sais qu’ils existent mais pas quand nous ne sommes pas sur le sol. Eux et moi bien sûr ! Je sentais ses mains aux abords de mon haut, ce haut grimpait à ma peau tandis que je levais tout naturellement les mains pour le laisser faire. Bah oui, fallait bien que je coopère un peu tout de même. Ma coopération portait ses fruits. Son rictus me faisait sourire. « Mais… me regardes pas, je vais rougir ! », avais-je soufflée tout simplement alors que ses yeux me contemplaient tellement que j’en riais doucement. J’avais peur qu’il ne me mange, c’est pour dire avec les aliments et sachant que nous étions dans la cuisine. Je me sentais comme une dinde face à un cerf, un sanglier et même un ours en une seule personne. Il faudrait un miracle pour ne pas être mangée. Vraiment. Il se contentait d’embrasser ma main et je souriais doucement comme un bien heureux. Ses mains à ma peau, je me sentais comme électrique. Je déconnectais mes pensées rien qu’à un touché. Ses lèvres se rajoutant à la péripétie de sa paume. Je penchais tout naturellement ma tête pour lui laisser plus de terrain, mon coup devenant une cour de tennis. Il pouvait y jouer. Il était le roi de mon corps et je voulais simplement le laisser gouverner. Oui, gouverner. Je voulais être à lui seul. Ma respiration se saccadant au rythme des frissons. J’en voulais plus, je voulais qu’il capture ma peau pour l’enfermer dans le donjon de mes sens. Je voulais être sa prisonnière. Je voulais que nous nous unissions pour ne jamais être séparés même si c’était logique que nous nous séparions dans l’union des corps car j’aurais du mal à m’occuper d’un bébé dans ce cas mais je pensais à l’union du mariage. Ne faire qu’un dans l’optique d’être en couple. Le symbole d’une union. Je voulais être sienne. Ma peau se réchauffant de plus en plus… la farine tombait sur ma tête. Je laissais un rictus se dessiner sur mes lèvres sûrement par ce qu’elle était froide autant que le bol qui avait frôlé ma peau et c’était bien plus désagréable qu’une caresse mais tout en restant amusant. Je riais, un rire un peu jaune en le regardant. Il disait vouloir me manger avec du chocolat mais moi ? Je voulais qu’il ne me mange mais je voulais d’abord me venger aussi. Oh oui, je voulais me venger en le faisant rôtir ! Je laissais ma main se guider à l’aveugle derrière moi. J’attrapais la bouteille de chocolat fondu après une petite fouille archéologique sur le plan de travail. Ce n’était pas vraiment pur préparer le gâteau mais plus vite pour verser sur les glaces. Bien sûr avec deux enfants de l’âge à manger une glace à la place d’un spaghettis, je n’avais pas trop le choix de le laisser à porter sinon on le ressort une fois par jour. Il se mordait les lèvres mais moi aussi. Je prenais la bouteille dans mes deux mains et j’ouvrais le capuchon avant de verser un peu de sirop sur mon doigt. Je portais celui-ci à ma bouche en me trémoussant doucement. « Il manque quoi ? », demandais-je alors avec un air taquin et l’entourant de mes jambes pour le serrer contre moi. Je l’emprisonnais en sentant le gout du chocolat dans ma bouche. Je souriais doucement, un sourire un peu séducteur tandis que j’approchais un peu plus la bouteille de son cou. Je n’allais pas le faire en douce, non. Je le faisais cruellement en le regardant dans les yeux. J’appuyais un bon coup sur la bouteille. Un filet de chocolat en sortant pour couler le long de sa peau. Je riais doucement, ce rire cristallin presque enfantin tandis que je posais mes lèvres sur cette coulée de chocolat, léchant alors une partie en croquant doucement sa peau. Oui, je voulais le manger. Il était couvert de chocolat mais c’était lui ma tablette. Mes deux mains allant se loger entre mes deux jambes mais pour aller à la ceinture de son pantalon. Je la détachais alors avant de m’attaquer aux boutons tout en continuant de manger le chocolat qui coulait encore à sa peau. J’en avais mis beaucoup mais je m’en fichais. Plus c’est long, plus c’est bon… Ok, je sors. Je mordillais à nouveau sa peau, prenant une bonne dose de chocolat par la même occasion tandis que je finissais de m’occuper du haut de son pantalon, j’allais à ses lèvres avant de glisser une main bien trop coquine sous ses tissus. Même si la branche était réveillée, elle ne devait pas manquer d’amour, voyons. Tout en même temps car je suis une femme, je suis multitâche… je mordillais sa lèvre inférieur avant de l’embrasser à la saveur chocolat. Il en avait encore partout mais je m’en fichais clairement. Je voulais juste lui faire partager la sauce chocolatée et l’allumer jusqu’au bout.
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Aiden N. MacCallister
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Tout partait en vrille ou tout au moins, tout partait dans une débauche pâtissière. Elle répondait favorablement à ma petite attaque de farine. Ce n’était pas bien méchant comme tout ce qui était fait jusqu’à présent. Tout au contraire, c’était des piques amicales voir aguichantes. Je la regardais, avec elle je pouvais m’attendre à tout. Elle avait accepté l’union de nos deux personnes, chose que je n’avais jamais été certain avant de lui demander. C’était un peu une sorte d’hantise, que j’avais su surmonté. Maintenant, les jours s’écoulaient comme les pétales d’une rose qui tombaient. Je la voyais sortir de derrière elle le sirop au chocolat, j’en fronçais le nez. Il ne fallait pas un doctorat en médecine pour savoir ce qu’elle comptait faire de ce sirop. Je la voyais là, m’emprisonnant tel un anaconda avec ses jambes, couvrant son doigt de ce liquide sucré. Je ravalais ma salive, ça tournait au porno sans la moindre petite onze de courtoisie. Je m’en portais pas plus mal. Il y avait un moment que nos ceintures de chasteté avaient été déverrouillées. Je sentais cette tiédeur couler dans mon cou, créant des filaments abstraits sur ma peau clair. Fermant mes yeux, je tentais de tout mon self-control de résister à cette sensation qui me parcourait l’épiderme. Elle ne jouait pas sur la retenue, parcourant de ses mains ma ceinture qui retenait l’étalon, ce pur-sang, qui ne perdait jamais ses courses. Ses lèvres sur ma peau qui me chavirait les idées, me faisait perdre tout sens moral. Je capitulais, laissant un souffle s’échapper de mes lèvres. Cette fois, comme toute les fois, je n’allais pas souffrir d’aphasie ça c’était clair et net. Je goûtais ses lèvres chocolatées et je laissais le taureau passer en zone rouge. Elle gâtait peut-être l’animal, mais j’avais beaucoup trop envie d’elle. De son corps, mais aussi de la savoir unie à moi. C’était fini les parades de sucre, farine et œuf… Nous n’étions pas présentable, nous aurions fait un porno atroce dans des draps de satin, mais qu’importe. Je n’avais pas l’intention de devenir acteur de porn ! Et puis, tout ce qui se passait dans cette cuisine restait entre nous, à moins qu’une fille venait se chercher une fringale nocturne ou que Lenaëlle débarquait parce qu’elle avait oubliée quelque chose. Chose qui me surprendrait énormément. Elle ne manquait pas de passion sur mon petit prince. Créant ainsi des milliers de papillons dans le ventre, étrangement chaque fois était comme une première fois. Il fallait avouer qu’on allait chercher loin nos nouvelles idées. Je glissais ma main sur sa jambe remontant celle-ci jusqu’à mon épaule. Par chance, avec les années on était devenus souples pour ce genre de position. Je la regardais brûlant d’un feu ardent dans mes yeux. Notre destinée était-elle seulement composée de session de baise ardente ? Je n’en avais pas la moindre idée, mais ce n’était pas moi qui allais m’en plaindre. Mes chorégraphies sensorielles avec son corps et le mien, ne m’avait jamais dérangé. Seule la migraine faussement déclarer pouvait crée en moi une certaine angoisse. Appuyant sa cheville sur mon épaule collante par le sirop, qu’elle avait fait couler comme l’eau d’un érable, je la regardais. Je me transformais en un léopard vorace, avec l’aide de mes lèvres et de mes canines j’embrassais sa jambe, remontant jusqu’à sa lingerie en dentelle qui m’attendait sous son shorty. Ma main caressait sa cuisse, jusqu’à se glisser sous le jeans. J’allais même jusqu’à la passer sur sa fesse. Et jouant l’animal, j’allais détacher le bouton de son shorty avec mes dents. C’est mon dentiste qui allait aimer ça si je me cassais l’une d’elle en faisait une mauvaise manipulation. Puis, la fiesta allait commencer lorsque j’allais lui retirer la totalité de ses vêtements restants. Je restais un instant en admiration devant son corps loin d’être anonyme pour moi. Je me passais la langue sur ma lèvre supérieure et prenant la bouteille de sirop à mon tour, je laissais couler le condiment sucré sur son ventre traçant le chemin vers une petite gâterie rien que pour elle. Doucement, j’allais lécher ce chemin vers la métropole du bonheur. La tête perdue entre ses cuisses, je laissais la coutume menant au plaisir l’envahir. Je la connaissais bien plus que ses parents, ça je ne pouvais pas le nier. Ils ignoraient que si la langue tournait un peu plus à droite, elle laissait timidement un couinement s’échapper de ses lèvres. Ce regard qu’elle avait lorsque je relevais la tête, je savais comment la toucher, la pousser jusqu’à l’orgasme. Seulement, je me voyais mal sortir cet argument à son père ou ses mères, s’ils remettaient notre mariage en question. Je savais bon nombre d’autres choses, mais encore là, je ne me voyais pas dire quelque chose. Une fois satisfait de ce que j’avais fait, je me redressais la regardant. Allant capturer ses lèvres, j’introduisais mes doigts en elle, caressant par la même occasion sa petite praline. Puis, je relâchais mon emprise sur elle, déposant mes mains sur mon pantalon pour l’aider ainsi à glisser jusqu’au sol. C’était mon tour de me débarrasser de mon apparat. Empoignant son bassin, je la rapprochais du rebord et plongeant mon regard dans le sien j’allais accomplir notre réconciliation. Mes lèvres capturaient une nouvelle fois les siennes, laissant mon bassin conduire de lui-même. Après tout, il connaissait très bien le chemin de ce plaisir. Une main sur l’armoire derrière elle, je cherchais une bonne prise. Seulement, j’avais oublié un léger détail. Tout ce foutoir qu’on avait fait. La semelle de mon converse glissait sur la poudreuse et le blanc d’œuf qui étaient tombé sur le sol. Manquant d’élégance et faisant une fois de plus le clown sans le vouloir. Je glissais, me prenant l’armoire ou dirais-je c’était elle la pauvre qui se prenait mon visage de plein fouet. Je me redressais, massant mon front. « Aïe. », soufflais-je en regardant ma fiancée. Une moue apparaissait sur mon visage. Je n’avais hélas plus rien de pervers, de bestial ou sensuel… Fuck my life !

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Au bout de tout désir, il y a cette sensation de plénitude à chaque fois que ma peau s’électrise au toucher de ses mains. Il fallait avouer que je laissais mes mains mais aussi mes lèvres exprimer mes envies avec ce chocolat mais je n’en étais pas moins prête de recevoir sa vengeance. Serait-elle sacrée ou salée ? Alors que fut son tour de prendre les choses en main, je n’en étais pas moins déçue. Des enfants dans la maison. Je devais me contenter d’un pur mutisme mais pourtant, non. Je laissais ces gémissements se faire entendre. Ils pourraient même faire rougir Molière. Cette passion que je ressentais. Ce feu ardent alors que ma peau se réchauffait à chaque mouvement de sa langue aussi doux qu’un pétale. Il savait comment m’ôter toutes les ceintures de chasteté que je pourrais avoir. Ou même mes envies de migraines. Bien sûr, il savait comment s’occuper de ma lingerie en dentelle étant donné que c’était déjà fait. Très loin d’être taciturne, je laissais mes frissons et bien des couplets encore le guider dans sa quête. Ce qu’il y a de beaux dans l’amour c’est qu’il permet l’union de deux personnes qui au-delà du sexe connaissent les moindres parcelles du corps de l’autres. Les moindres sensations. Le tango de deux âmes n’a rien de contemporain. Quelques soit l’époque, des couples avant nous devaient aussi être fusionnels à ce point. Mes parents même à une époque ? Je n’en savais rien et ce n’était pas du tout le moment de se poser la question. Le sexe à Versailles, comment étaient-ils ? Arrivaient-ils à ce point à faire grimper aux rideaux ? Il me faisait littéralement grimper au rideau. A défaut de pouvoir crisper mes mains sur des draps de satins, elles s’agrippaient au bord du meuble. Appuyant de la paume de mes mains alors qu’il laissait les siennes s’amuser pour me lancer la voix dans une parade de plaisir. C’était loin d’être du jazz mais je m’en fichais avant que cette pause n’a lieu. Ces petits papillons dans mon ventre ne mentaient pas, je le désirais alors qu’il laissait son jeans échapper pour nous rapprocher d’un mouvement qui ne laissait point échapper le désir mais l’augmentait. Comment croire que l’on pourrait augmenter l’infini ? Bien sûr, c’est alors que le moment tant attendu arrivait que BIM. Il faisait la nouille et se retrouvait au sol. Cela n’avait plus rien d’un étalon d’un coup mais plus du tout. Je me retrouvais des nus mais aussi nue assise sur le plan de travail. Je riais doucement mais mon rire augmentant de plus en plus dans une euphorie digne du nom. Ce rire laissant un peu s’oublier le désir même s’il était encore là. Ma peau était comme un piano qui attendait que le pianiste ne vienne la toucher pour laisser mon cœur jouer de la polka. Je le regardais alors l’air un peu moqueur mais tendre à la fois sur mon visage. Je lui souriais doucement en penchant la tête. « Bah dis-donc… Cupidon a bien fait de faire de toi ma destinée… je ne pourrais pas passer une journée sans te voir te cogner ! », disais-je alors que je descendais du plan travail de l’îlot central. Face à lui, je laissais mes mains se déposer sur son visage tandis que je me mettais sur la pointe des pieds pour déposer un baiser sur son front là où il s’était cogné. « Ça me donne plus souvent l’occasion de t’aimer encore plus rien qu’à l’idée d’avoir peur pour toi ! », disais-je en descendant ma main le long de son bras. Je prenais la sienne en fronçant les sourcils alors que toujours sur la pointe des pieds, je chuchotais à son oreille. « Je ne voudrais pas que tu meurs avant le mariage… il faudrait peut-être se contenter d’un sol, d’un matelas ou… de nettoyer avant… », disais-je en fronçant les sourcils alors que je laissais mes lèvres descendre à son cou, le frôlant du bout de celle-ci et me guidant à ses lèvres ou je souriais doucement, un peu moqueuse mais tout de même, ce désir revenait assez vite alors que je laissais mes lèvres mordiller les siennes et ce regard vert Émeraude ne pas quitter ses yeux, parlant tout autant avec qu’avec mon autre main qui allait se balader dans son dos, le frôlant du bout des ongles pour l’électrifier. Faut vérifier qu’il ne soit pas en panne, voyons.
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mot doux de Aiden N. MacCallister un Dim 22 Fév - 4:44
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Plus nouille ça n’existe pas ! C’était presque une coutume chez moi de me faire plus de mal, bien que je connaissais le bonheur à tous les jours. J’avais toujours cru que le grimoire révélant la recette du bonheur n’existait pas. Je m’étais trompé. Après tout c’était en étant gay, que je m’étais cogné. Gay, je veux dire joyeux, non pas homosexuel. Sinon ça voudrait dire que Lullaby était secrètement un homme ou j’étais une femme, pourtant mon sifflet n’était taciturne vis-à-vis de la situation. Tout au contraire. En parlant de sifflet, c’est fou toutes les métaphores qu’on peut faire pour parler d’un membre génitale. Bien que je n’utiliserais pas parasite ou serpentin, c’est peu glorifiant et même un peu glauque si on prend le temps d’imaginer la chose. Mais troubadour ça fait viril ! Mon dieu, je m’étais cogné plus fort que je ne l’aurais cru. Massant mon front, je la regardais s’approcher dans son plus simple apparat. Ève aurait été noire de jalousie. Et Molière se serait relevé pour admirer le tableau. J’avais cette chance qu’eux n’avaient plus, à moins qu’ils perdent leur temps à nous mâter au lieu de glisser des billets verts dans le string d’une danseuse pucelle. Je la regardais rire, soupirant alors qu’elle me parlait de ce bébé en couche culotte ! Cupidon… Cet enfant pas élevé, bien trop cupide pour faire son boulot correctement en m’amenant un cousin moelleux pour adoucir mon karma. « Tu parles, il aurait pu fournir l’assurance médicale, s’il avait prévu que je ferais le clown plus souvent que la normal. » Frottant la zone rouge où elle avait déposé ses lèvres, j’essayais d’outre passé la migraine qui me saluait du haut de sa tour de princesse. Par chance, étant habitué à faire le mime, ma pulsion revient assez vivre. Je dirais même au grand galop. Il suffisait d’un contact, une caresse et le feu ardent qui brûlait en moi, en nous, réanimait l’étalon que j’étais. Ne soyons pas modeste. « Je n’ai pas envie de te laisser. », soufflais-je timidement en croisant son regard clair. J’avais beau risquer ma vie en me levant du lit, il en restait pas moins que je n’allais pas prendre la poudre d’escampette aussi rapidement. J’appuyais ma tête contre la sienne, dessinant avec mon pouce sur le dessus de sa main une chorégraphie improvisée. Plusieurs options s’offraient à nous, elle en avait énumérer certaine, bien que faire le ménage n’était ma préféré. Je finissais par glisser ma main sur sa nuque, repoussant doucement ses cheveux. Ça ne m’avait pris que quelques secondes pour faire mon choix. Je ne tenais tout simplement plus en place, au diable le romantisme de Titanic. Je la voulais, comme tant de fois sur le chemin de notre destinée, je l’avais désirée. Relevant mon regard, je croisais le sien créant une union prédestinée. Je me laissais envahir par une vague de mutisme, jouant le pantomime, j’allais l’embrasser avec fougue lui faisant ressentir ces papillons dans mon ventre qui tournoyaient comme un escalier en colimaçon vers la sortie. Je laissais ma langue dirigé le tango de nos envies, l’attirant avec moi vers ce sol couvert de la préparation à gâterie chocolaté. À genoux, je passais mes mains dans son dos, allant la coucher sur le sol, avant de passer au-dessus d’elle pour la regarder. « Et si on montrait à ce chérubin ce qu’on est capable, sans que je m’écorche le trois quart du corps… ? » Un large sourire planait sur mes lèvres, alors que j’allais mordiller son cou en toute taquinerie.


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mot doux de Invité ► un Dim 22 Fév - 5:32
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C’est dans ce genre de moment que j’en oublie carrément le mariage et tous les préparatifs. C’est fous mais en ce moment, c’était comme si c’était devenu la seule chose à faire. Une liste mais dans celle-ci… à part quelques exceptions, c’était toujours en rapport au mariage. Choisir les fleurs, le groupe, et j’en passe. Je n’en étais pas moins débordée mais pas moins heureuse. Dans le fond, c’était ce qui était agréable, l’organisation. Mais tout était soigneuse rangé dans une boite une fois que la vie continuait. Pourquoi se focaliser dans un évènement sans continuer de vivre en attendant ? Cela ne servait à rien si ce n’est de s’arrêter de respirer avant le moment propice. Et je profitais clairement du moment. Lui, ce clown était apte à me faire rire tout en faisant la nouille sans s’en rendre compte. Un jour, cela serait sûrement son serpentin qui allait avoir mal. Il crierait pire que les danseuses lascives de Rio mais serait-ce de sa faute ? Je n’en savais rien.  Je lui souriais alors qu’il plaisantait à son tour à propos de cupidon. Par chance, il ne semblait pas réellement vexé que je ne rigole de la situation même si c’était affectueusement. Je me laissais donc glisser à ce moment de tendresse mais pas seulement. Cette main se chargeant de vérifier si tout allait bien chez lui. Enfin c’était façon de parler car au nombre de fois ou ses neurones se cognaient ou au nombre de produits illicites qu’il avait pu consumer, je pourrais parfois m’inquiéter pour ses neurones. Mais non, il était parfait et c’était tout ce qui me comblait étrangement. Son pouce à ma main, je souriais doucement en penchant ma tête, mon regard toujours planté dans le sien, j’attendais sa décision après qu’il n’ait dit ne pas vouloir me laisser. Il avait bien intérêt. Sa main sur ma nuque, je me demandais quelle était sa décision, je n’en avais aucunes idées mais ce baiser fougueux qui réchauffait légèrement ce petit feu ardent qui n’avait pas eu le temps de refroidir me donnait une petite idée de son choix. Je laissais mes lèvres et ma langue répondre à ce baiser, ma main se glissant à sa nuque quelques instants avant la descente au sol. Froid, oui, voilà. Le contact de ma peau chaude et du carrelage me laissait une sensation étrange. J’étais incapable de dire si elle était agréable ou non. Je n’y prêtais pas vraiment attention. Il n’y avait qu’une chose que je savais, je le désirais. C’était tout ce que j’entendais. Je pourrais même me trouver dans une benne à ordure que je le désirerais toujours même si dans le fond, c’était un peu le cas au nombre d’aliment autour de nous. Je riais en l’entendant, retrouvant rapidement mon sérieux au fil de ses mots. « Hum hu… », je souriais à son mordillement et mordillant à mon tour le lobe de son oreille pas si loin de mes lèvres en souriant. Je laissais un de mes pieds apparemment baigné dans le jaune d’œuf remonter le long de sa cheville, laissant ma cuisse remonter doucement et le regardant dans les yeux en fronçant le nez. « Tu vas le faire rougir, ce n’est pas bien de faire des envieux ! », disais-je en plaisantant. « Tu es vraiment sûr de vouloir faire ça au pauvre cupidon ? Sans lui, on ne se serait sûrement jamais rencontré… tu n’aurais pas prise une flèche dans le popotin ! », rajoutais-je en riant doucement. Le fait est que je ne croyais pas en cupidon… enfin les flèches et tout. Je savais que c’était notre destinée mais personne n’avait mené à la rencontre de l’autre si ce n’est nos chemins croisés mais surtout le destin. Cupidon n’avait rien à voir la dedans et Charlie Chaplin non plus. Je me laissais alors un peu glisser, laissant mes mains remonter à sa nuque pour reprendre ce baiser fougueux là où il était resté tandis qu’une main caressait sa nuque, la seconde descendait s’occuper du sifflet un peu plus bas. Pas besoin de le réveiller certains mais quelques caresses en guise de gâteries avant de laisser libre orchestre aux corps pour une union suivie d’un soupire non loin de l’aphasie. Une douce passion aux moindres mouvements de la chorégraphie. Le tango de deux corps chauds sur la farine humidifiée par divers condiments. A défaut de trouver appuis, mes mains se crispant à son dos, laissant des ongles laissent traces de leurs passages. C’était le festival des gémissements, mesdames et messieurs… tenez-vous bien. C’est la parade de la passion.
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Aiden N. MacCallister
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et peut-être que je te saluerais !
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❝ Métier : Ambulancier et vétéran des US Marine, sans compter un rôle à temps plein, celui d'être père. Il a aussi reprit ses études en médecine qu'il a longtemps abandonné.
❝ cupidon : Marié à la fille du pasteur et la trompe avec Aaron ♥
❝ post-it : né à los angeles le 18 août 1982, mais a grandit à Pasadena ◮ a joué le rôle de père et de mère pour son frère et sa soeur durant leur enfance ◮ n'a jamais fini ses études en médecine ◮ c'est engagé dans l'armée avec son cousin et trois autres de leurs amis lorsqu'il avait 22 ans ◮ il faisait partit de l'élite de l'armée américaine, mais il a connu des drames qui l'on marqué à vie ◮ après son retour de sa première mission, au Pérou, il était devenu un junky, suite à une séquestration de plusieurs jours et absorption de drogue ◮ sauvé de sa dépendance par une jolie pompière ◮ a arrêté de courir à droite et puis à gauche pour devenir fidèle ◮ nudiste sous l'effet de l'alcool en trop grosse quantité ◮ octobre 2013, envoyé en Iraq pour une mission secrète ◮ février 2014, survit à une embuscade qui coûte la vie de son ami d'enfance, du frère de Lullaby et de tout son bataillon ◮ il revient au pays médaillé pour son courage, mais avec une épaule amochée, une jambe blessée et un esprit torturé ◮ il a une fille, Nora, née peu avant son retour ◮ octobre 2014, se mari avec Lullaby ◮ parle aux écureuils sous l'effet de la marijuana ◮ 27 juin 2015, naissance de son second enfant, Dylan ◮ Janvier 2016, reprend ses études à l'université en médecine
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mot doux de Aiden N. MacCallister un Sam 9 Mai - 4:10
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N’ayant pas besoin de Cupidon pour la prendre au lasso, je glissais vers le sol en accompagnant ce geste d’un baiser. Un baiser fougueux. Un baiser passionné. En même temps comment pouvais-je résister à une femme si splendide ? « Envieux ? », répétais-je en la regardant avec ce sourire qui planait sur mes lèvres. Il n’avait rien à nous envié. Si ? Étant le roi de la flèche, il pouvait bien envoyer sa flèche sur qui lui semblait parfait pour lui, non ? Après tout, on disait bien que les dieux grecques avaient enfanté avec humains, alors pourquoi pas ce chérubin ? « Alors c’est sa faute s’il arrive encore autant de chose à mes fesses, sa flèche doit être encore prise. », plaisantais-je avant de la laisser reprendre ce baiser. Pencher au-dessus d’elle, je la regardais glissant mes mains sur son corps. Je caressais chaque parcelle n’arrivant pas à me poser sur l’une d’elle en particulier. Je sentais tout autant ses caresses sur le mien, m’invitant à ne faire qu’un avec elle. Mon corps se lovant avec ses courbes, je faisais abstraction de tout ce pudding qui pouvait nous entourer. Je n’avais envie que d’une chose ne former plus qu’une entité avec ma future femme. Mes pieds glissaient sur le carrelage frais, mais aussi sale. Sans être un escargot et encore moins un lévrier désirant d’arriver le premier à la ligne d’arriver, je laissais mon corps s’accoutumer de nos chaleurs. La plante de mes mains appuyer sur la céramique, je m’aidais dans mes mouvements non pas à la dépuceler, mais plutôt à partager un autre moment de plaisir. Il est certain que son père me castrerait sans hésiter s’il découvrait qu’on avait fait l’acte avant le mariage. Quoi que ce fût quelque chose d’assez évident désormais. Je ne pouvais malheureusement pas cacher Nora dans une poche de jeans. Mais je n’allais pas non plus passer ce moment à penser à mon futur beau-père, ça serait étrange et manquerait plus que je me trompe dans l’orgasme en criant Holden au lieu de ma douce et tendre. Là c’était certain, je ne subirais pas seulement une castration. Non, je me concentrais sur mon désir de la dévoré comme une mûre sauvage trouvé dans les verts pâturages. Mes lèvres allèrent chercher une parcelle de son cou avant d’y enfoncer mes canines tel un vampire de Twilight. Je la taquinais un moment, avant de ne pouvoir résister, j’allais laisser une marque. Un petit suçon non loin de son oreille qui serait tout de même facile à cacher avec ses cheveux. Puis avec une main, j’allais la stimuler en descendant dans sa région pelvienne. C’était tout de même impressionnant de voir comment une simple stimulation pouvait contracter des muscles aussi facilement. Ouvrant la bouche, je me retenais pour ne pas venir tout de suite. C’est à ce moment-là que je lui tirais malencontreusement les cheveux qui s’étalaient sur le sol. Je grimaçais de peur de lui avoir fait mal. « Pardon. », susurrais-je en l’embrassant. Je ne pouvais décemment ne pas user de ma maladresse dans ce genre de moment. S’en était pénible voir complètement risible. Je reprenais mes mouvements, ignorant que je plantais en ce moment même une graine qui bourgeonnerait sous peu. J’embrassais cette femme qui pouvait m’en faire voir de tous les couleurs et pourtant je ne pouvais pas vivre loin d’elle.
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