Lenaëlle G. Martinset oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais !
❝ Métier : Nounou dévouée à la petite marmaille de Lullaby & Aiden ❝ cupidon : Si la perfection existait, elle porterait ton nom. ♥ ❝ post-it : Lieux de vie : Pasadena (0-8 ans), Denver (8-20 ans), Austin (20-28 ans), Pasadena (28 ans, aujourd'hui). Particularités : Ancienne alcoolique, maniaque du ménage, maîtresse d'un chat et d'un chien. Love : En couple avec Jensen depuis décembre 2015, habite avec lui depuis le printemps 2016. Animaux : Un chien & un chat Passe-temps : Lire des romans de Nicholas Sparks, le Sudoku, le tricot, dessiner des chatons. ❝ Age : 34 ❝ pseudo : Mayiie ❝ crédits : (c) Mayiie & Tumblr ❝ avatar : Julianne Hough ❝ présence : Présent(e) ❝ préférences : Rp Roses ❝ disponibilité : Demande-moi et on verra. ♥ ❝ autres comptes : Kylian J. Hemsworth(feat. Jamie Dornan) - L'amoureux éperdu qui a décidé de redémarrer sa vie à zéro et peut-être récupérer sa fiancée du passé. Jezabel M. Sanchez(feat. Sofia Vergara) - La Martha Stewart de sa génération qui aime sa famille plus que tout. Bennett K. Morriganfeat. Julian Morris - L'ancien militaire qui tente de se définir dans cette nouvelle vie. Breanna J. Hardyfeat. Serinda Swan - L'actrice qui a quitté le rôle d'une vie pour arranger la sienne. ❝ Points : 4302 ❝ Messages : 3035 ❝ depuis : 11/04/2014❝ mes sujets : Allie ▬ Caitlyn ▬ Cordélia ▬ Grace ▬ Jade ▬ Jay ▬ Jensen ▬ Jensen ▬ Layali-Joy ▬ Lullaby ▬ Rafael ▬ Summer ▬ Toi ?
mot doux de Lenaëlle G. Martins ► un Sam 30 Aoû - 14:30
Lullaby & Joan & Lenaëlle
They're just girls and they're on fire
Même si je pensais que mon idée d’appeler à l’aide, ou du moins, tenter de le faire, n’était pas si mauvaise que ça, j’eus quand même une certaine réticence à l’idée de la mettre à exécution lorsque la femme me demanda de lui laisser Nora pour que j’aille frapper à cette fameuse porte. J’étais encore mal à l’aise de la laisser à quelqu’un que je ne connaissais pas, et même si cela semblait se voir qu’il s’agissait de la grand-mère de la petite, qu’elle la connaissait, qu’elle connaissait Lullaby, il n’en demeurait pas moins que moi, je ne la connaissais pas, et que mon premier contact avec elle ne m’aida certainement pas à lui faire confiance. Peut-être étais-je paranoïaque, mais je m’en moquais; je préférais de loin être plus méfiante et m’assurer que Nora irait bien plutôt que de commettre encore une nouvelle erreur que je ne saurais me pardonner. Cependant, je me voyais bien mal aussi jouer les hystériques qui ne veut pas lui laisser l’enfant, si bien qu’au bout du compte, tandis que je réfléchissais à ce que je pourrais faire, je n’eus pas le temps de faire quoi que ce soit; la femme se leva, et alla faire ce que j’avais proposé. Au travers de ses cris, je voulus entendre si quelqu’un répondait, mais puisqu’aucun son, aucune voix ne semblait transpercer le bruit des crépitements du feu et tout ce qui venait avec, je compris que c’était vain, ou du moins, je n’entendais absolument rien qui me ferait penser le contraire. Je dus me résigner au fait que c’était un échec, ce qui m’arracha un soupir que je m’efforçai de faire discret, histoire de ne pas envenimer les choses.
Sachant maintenant que nous devrions probablement nous en tenir au plan B, je jetai encore un œil à la fenêtre, espérant simplement que tout irait bien, et surtout, que Nora n’aurait rien dans tout cela. C’était ça l’essentiel, c’était ça, mon but premier; sauver la vie de cette petite avant de sauver la mienne. Je tentais déjà de voir comment nous pourrions procéder, comment se débrouiller avec les caisses, ce que nous avions sous la main. Apparemment, cette réflexion me donna un air légèrement perdu, puisque la femme jugea bon de me demander si tout allait bien. Je me tournai alors vers elle à ce moment précis, hochant furtivement la tête pour lui dire que oui. Enfin, ça allait, dans les circonstances actuelles. Il était certain que tout irait mieux quand cette histoire serait terminée. Je regardai ensuite Nora, qui s’était finalement calmée, même si on pouvait lire de la peur dans ses yeux malgré tout, mais au moins, elle ne pleurait plus. Puis, je regardai encore une fois la femme qui avait maintenant de l’eau et des linges dans les mains, linge qu’elle posa sur le visage de la petite. Je la laissai alors faire, me disant que ça ne pouvait que lui faire du bien. Je me permis même de lui sourire timidement lorsqu’elle dit que les films de pompier, ça pouvait être utile. Je lui lâchai ensuite un « Merci… » furtivement lorsqu’elle m’en donna une également, devant avouer qu’en effet, ça faisait du bien, même si mon bien-être n’était pas ma préoccupation première. Puis, me sentant soudainement un peu ravigorée, j’écoutai la dame, qui commença à monter des caisses, me demandant de sortir en premier pour prendre Nora une fois arrivée à l’extérieur. En somme, cela impliquait que je devrais lui donner la petite à un moment où un autre. Cependant, à ce moment précis, j’étais moins mal à l’aise, un peu plus confiante. Je voyais bien qu’elle ne voulait pas du mal à l’enfant, donc j’étais un peu moins méfiante. Je finis même par hocher la tête positivement, signe que non seulement, j’avais compris, mais que j’allais le faire. Toutefois, avant de me lancer, je me permis de m’accorder une seconde pour poser un petit baiser sur le front de Nora, me moquant de ce qu’on pourrait en penser par après. Je lui chuchotai ensuite : « Tout ira bien, je te le promets. » puis prudemment, je m’approchai pour tendre Nora à la femme, sauf qu’à ce moment, j’entendis un bruit sourd provenant du plafond de la cave, comme si quelqu’un cognait ou cherchait à défoncer le plancher du haut. Était-ce là des secours, ou bien le feu qui menaçait de faire tomber quelque chose ? Ne sachant pas trop quoi en penser, je ne pus m’empêcher de dire : « Vous avez entendu ça ? » Puis, je me mis à penser rapidement; si c’était quelqu’un qui cherchait à défoncer le plafond, c’était bien pour elles, mais elles étaient complètement dans la ligne de tir, et sinon, alors elles seraient carrément foutues. Dans tous les cas, il valait mieux sortir de là, visiblement. Je m’empressai alors de me rendre vers la fenêtre, grimpant sur les caisses qui tenaient les unes sur les autres de façon plutôt bancale. Je décidai alors d’y aller prudemment, mais malgré tout, je sentis une caisse lâcher sous mes pieds, si bien que je me retrouvai à tenir le ciment entourant la fenêtre de mes mains, les pieds suspendus, sentant des éraflures se former dans mes paumes. Ne pouvant pas lâcher prise ainsi, je tentai de m’agripper sur le mur avec mes pieds, et dans un ultime effort, je pus me hisser pour finalement sortir. Sans attendre plus longtemps, je me penchai, et je tendis les bras en disant : « Donnez-moi la petite ! » afin de la récupérer le plus rapidement possible, la sortir de là, et aider cette femme en même temps. Je n’allais pas la laisser là seule, quand même.
(c) Mayiie
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Invité
mot doux de Invité ► un Lun 1 Sep - 9:16
Je n’en revenais pas de l’attachement qu’elle avait vis-à-vis de ma petite fille. Elle n’était qu’une simple nounou, et pourtant, j’avais l’impression d’avoir à faire à une maman aimante. À sa place, je n’aurais jamais agi de cette manière. Je crois plutôt que j’aurais agi d’une manière plus égoïste, en laissant tout simplement le bébé en protestant qu’il n’y avait plus rien à faire pour ce môme. Ma vie passait bien avant une pauvre gosse qui n’était pas le mien. Bien sûr dans ce contexte, c’était tout à fait différent : c’était ma petite fille, la fille de ma Schtroumpfette, et puis, mon sang circulant en elle, alors, il était totalement normal que je devais risquer ma vie pour elle. Rapidement, voyant que des morceaux de bois tombaient à même le sol, je ne réfléchissais plus, et je construisais à la MacGyver un marche-pieds suffisant haut pour pouvoir accéder à la fenêtre.
Elle avait l’air d’être hésitante de me donner la petite, et pourtant, elle ne devait pas s’en faire. Je n’étais pas là pour lui faire du mal, sinon, pourquoi j’aurais mis en péril ma vie en entrant dans le restaurant, si c’était pour lui faire du mal ? Je la regardais donner une bise à Nora, avant de me la tendre.
JOAN _ « Ne t’en fait pas, je prendrais soin d’elle »
Je prenais la petite dans mes bras, posant l’une de mes mains à l’arrière de sa tête, tendis que mon autre bras, passait entre ses jambes pour venir maintenir avec l’aide de ma main son dos.
Alors quand elle me demandait si j’avais entendu ce bruit, oui je l’avais entendu, quelle question ... Elle n'était ni blonde pour rien. Mais d’où provenant ce bruit ? D’en haut, certes, mais, qu’est-ce que s’était réellement ? Les pompiers ? Ou le plafond qui menaçait de s’effondrer ? Nous pourrions attendre, mais c’était bien trop dangereux. JE n’avais pas envie de recevoir des poutres sur moi, ou une tonne de plâtre, ou que sais-je encore.
JOAN _ « Qu’est-ce qu’on fait ? On tente la fenêtre ou on attend? »
Ouais pour la première fois, je lui demandais son avis, car là, je dois dire que j'étais un peu perdue et je ne savais pas quoi faire. Elle prenait donc l'initiative de passer par la fenêtre. J'aurais tant aimé l'aider, mais je n'osais pas lâcher la petite pour venir la soutenir par-dessous. J'espèrais qu'elle allait y arriver et qu'elle n'allait pas lâcher prise. Je l'encourageais le mieux que je pouvais et entre deux encouragements, je lui glissais d'aller un peu plus vite, car, mine de rien, je n'avais pas que ça à faire surtout que les flammes commencement à envahir la pièce.
Je lâchais un soupir de soulagement quand je la voyais enfin arriver au bout. Alors qu'elle me demandait de donner la petite que je la regardais dans les yeux tout en caressant ses cheveux si doux. On ne pouvait pas dire qu'elle n'était pas la fille de Lullaby, parce qu'elle lui ressemblait comme deux gouttes d'eaux. Et dire que c’était dans ces circonstances là, que je tenais pour la première fois ma petite fille dans mes bras et je ne pouvais même pas en profiter. Cependant, je ne retardais pas trop et je montais doucement sur les caisses empiler les unes sur les autres. J'espérais que cela n’allait pas céder sous mon poids et celle de Nora. Cependant, entendre les craquements était de très mauvais signe.
JOAN __ « Dépêche toi, la blonde prend là .... les caisses ne vont pas résister. »
Porter 7-8 kilos des bouts des bras, ce n'était pas rien tout de même. Je devrais faire plus de musculation que des parties de jambes en l'air parce que là, je sentais vraiment que je n'avais rien dans le bras. La nounou réussit enfin à prendre la petite, car je dois l’avouée que je n’aurais pas su tenir plus longtemps. Maintenant, c’était à mon tour, et sans perdre de temps, je prenais de l’élan pour sauter afin de pouvoir m’agripper à l’appui de fenêtre, mais malheureusement pour ma gueule, les caisses ne résistaient pas face à mon poids.
Je tombais donc violemment sur le dos, me coupant instantanément le souffle, pendant un p'tit moment. J'ai cru que toute ma vie venait de se dérouler devant moi. Je restais un moment allongée, essayant de récupérer doucement mon souffle. Je passais ma main à l'arrière de ma tête au niveau de ma nuque, avant de regarder ma main ensanglantée. J'avais dû certainement me cogner lors de ma chute. Je lâchais un « oh merde », surtout que je détestais la vue de mon propre sang et cela me provoquait souvent un malaise vagal. Je n'avais plus la force de parler, en fait, je n'avais pas envie d'essayer de faire le moindre effort. Je voulais que tout s'arrête et que tout cela ne soit qu'un mauvais rêve.Depuis toujours, j'aurais dû croire en Jésus, ou alors, en un dieu, et peut-être là, il m'aurait aidée à ouvrir une porte ou encore la porte du paradis ... M'ouais, je crois que la seule porte qui s'ouvrira à ma portée, c'est l'enfer. Quelle misérable petite vie que j'ai, hein? De toute façon, même si je survis, ne comptez pas sur moi pour que je change. Je resterais toujours la brave Joan, la terreur, la garce et la salope à part entière. Je préférais périr en enfer qu'aller voir ce qu'il se passe dans le monde des abrutilands.
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Invité
mot doux de Invité ► un Lun 15 Sep - 0:33
[quote="Lullaby S. O'Brady-Jones"]
lullaby&lenaëlle&joan THEY'RE JUST GIRLS AND THEY'RE ON FIRE
Cela peut être étrange mais je n’avais pas peur pour moi. J’étais dans un bâtiment en flamme et on me disait qu’il pouvait s’écrouler à tout moment mais je n’avais plus peur et pourtant ? J’étais moins effrayée car je pensais à une seule chose : ma fille. Oui, ma fille et peut-être même la nounou et qui ? Je n’étais pas sûre de qui était avec elles et même si j’avais clairement un doute. Il n’y avait qu’une seule personne qui pouvait correspondre à la description et je ne voulais pas y penser ou je ne m’accordais pas le temps d’y croire. Je me contentais d’obéir à mon collègue en frappant sur le sol coup sur coup… je savais que je tomberais pile à côté des escaliers mais étais-je folle ? Sûrement mais je voulais aider ma fille. Je frappais encore et encore… abandonnant alors que ça ne marchait pas. « Les gars, ça ne marche pas… », C’est alors qu’une poutre tomba à nouveau… derrière moi et là, ça marchait et boum. Je tombais face contre terre dans la cave sans vraiment avoir le temps de me préparer à la chute. J’étais tombée par surprise ce qui n’était pas voulu quand je frappais contre le sol. J’inspirais doucement, j’avais mal à la cheville. Cela piquait légèrement mais je savais que ce n’était rien de grave. Encore allongée sur le sol. Je n’entendais plus de bruit sauf quelques mouvements. La pièce semblait être moins étouffante que celle d’au-dessus mais les flammes commençaient à arriver dans cette cave grâce au trou que j’avais fait. Le sol chauffait et la poutre en flamme qui était tombée n’était pas vraiment amicale avec les objets présents. J’entendais mes collègues parler au micro. Il tentait de me faire reprendre les esprits en m’appelant. Je pouvais sentir l’inquiétude dans leur regard. Poussant légèrement sur mes bras, j’avais l’impression d’avoir portée 20 kilos. Comme quand on tombe de haut sur nos muscles. Ca faisait mal en gros. Je me poussais alors pour me mettre sur le dos. « Ca va ! », disais-je alors en me redressant. Je retirais alors mon casque pour mieux y voir. Il était sale à cause des résidus de fumés. Je regardais autour de moi, remarquant la silhouette d’une femme avant de voir un peu son visage et arquer un sourcil. Sans même prendre le temps de réfléchir et me dire : c’est Joan. Je me redressais en me laissant tomber à côté d’elle et la regardant. « Joan ? », appelais-je un peu inquiète tout de même. « Redresses-toi ! », disais-je en voyant qu’elle ne semblait pas réellement aller bien. « Il y a une personne… il faut que vous trouviez un moyen de nous sortir de là et vite… », répétais-je alors à mes collègues en attrapant les épaules de ma mère enfin presque disons ma génitrice pour glisser sa tête sous une sorte de coussin qui trainait pas loin. Je remarquais alors la blessure au sang que je vis sur le tissu. « Elle est blessée, faites vite ! », rajoutais-je. Je ne réfléchissais pas. Je pouvais souhaiter que tous les malheurs lui arrivent. Je n’en étais pas moins cette petite fille qui avait aimé sa mère, qui l’avait désirée. J’avais longtemps rêvée qu’elle revienne avant de perdre espoir mais je pouvais sortir tout ce que je voulais, cette petite fille était encore là et elle ne désirait pas la mort d’une personne. Cette petite fille ne désirait tout simplement que le bien des autres même ceux qui la font souffrir. Je n’avais jamais été une personne vile sauf quand on me cherchait trop mais encore, j’avais tendance à vouloir le bien également. Je ne pouvais pourtant pas m’arrêter d’être une mure et remarquant alors qu’une peluche de Nora était au sol. J’inspirais doucement. Mon bébé était là, oui. Je regardais autour de moi. Je remarquais seulement cette fenêtre. « M… Joan… ou est ma fille ? », demandais-je. J’aurais pu aller au bout de cette lettre, ce M. Pour l’instant, c’était trop m’en demander, j’avais encore cette réticence.
Lenaëlle G. Martinset oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais !
❝ Métier : Nounou dévouée à la petite marmaille de Lullaby & Aiden ❝ cupidon : Si la perfection existait, elle porterait ton nom. ♥ ❝ post-it : Lieux de vie : Pasadena (0-8 ans), Denver (8-20 ans), Austin (20-28 ans), Pasadena (28 ans, aujourd'hui). Particularités : Ancienne alcoolique, maniaque du ménage, maîtresse d'un chat et d'un chien. Love : En couple avec Jensen depuis décembre 2015, habite avec lui depuis le printemps 2016. Animaux : Un chien & un chat Passe-temps : Lire des romans de Nicholas Sparks, le Sudoku, le tricot, dessiner des chatons. ❝ Age : 34 ❝ pseudo : Mayiie ❝ crédits : (c) Mayiie & Tumblr ❝ avatar : Julianne Hough ❝ présence : Présent(e) ❝ préférences : Rp Roses ❝ disponibilité : Demande-moi et on verra. ♥ ❝ autres comptes : Kylian J. Hemsworth(feat. Jamie Dornan) - L'amoureux éperdu qui a décidé de redémarrer sa vie à zéro et peut-être récupérer sa fiancée du passé. Jezabel M. Sanchez(feat. Sofia Vergara) - La Martha Stewart de sa génération qui aime sa famille plus que tout. Bennett K. Morriganfeat. Julian Morris - L'ancien militaire qui tente de se définir dans cette nouvelle vie. Breanna J. Hardyfeat. Serinda Swan - L'actrice qui a quitté le rôle d'une vie pour arranger la sienne. ❝ Points : 4302 ❝ Messages : 3035 ❝ depuis : 11/04/2014❝ mes sujets : Allie ▬ Caitlyn ▬ Cordélia ▬ Grace ▬ Jade ▬ Jay ▬ Jensen ▬ Jensen ▬ Layali-Joy ▬ Lullaby ▬ Rafael ▬ Summer ▬ Toi ?
mot doux de Lenaëlle G. Martins ► un Lun 15 Sep - 12:58
Lullaby & Joan & Lenaëlle
They're just girls and they're on fire
Malgré le peu que je pouvais voir depuis la fenêtre tandis que j’attendais que la femme me redonne Nora, j’eus l’impression pendant un instant que j’étais en train de m’incruster dans une situation où je n’avais pas ma place, dans une situation familiale où je n’étais clairement pas la bienvenue, sachant parfaitement que jamais je ne pourrais être à ma place dans aucune famille, pas pour le moment, en tout cas. Toutefois, je n’eus pas l’occasion de sombrer dans la tristesse ou la nostalgie, puisque je n’eus même pas le temps de dire quoi que ce soit pour dire que le temps pressait qu’elle se releva, me tendant alors la petite. À ce moment, je me penchai pour la prendre, réalisant qu’à moins que je m’allonge sur le ventre pour l’attraper, jamais je ne pourrais y arriver, vu la distance nous séparant qui ne pouvait pas être comblée par les caisses montées de façon totalement improvisée plus tôt. Le plus rapidement que je pus alors, je me couchai sur le ventre, tendant les bras le plus possible pour prendre Nora. Il fallut alors quelques secondes pour que je puisse enfin l’attraper, mais quelques secondes assez longues pour que la femme me prévienne de la prendre, sinon tout allait céder. Je choisis finalement de laisser tomber le confort pendant une seconde, et j’attrapai d’une main la petite, et d’une autre la couverture qui l’enveloppait. Rapidement, je la ramenai contre moi, et je roulai sur le dos afin de pouvoir me relever plus aisément avec Nora, ne perdant pas de temps pour la garder contre moi comme je l’avais fait dans cette cave, me doutant bien que la manœuvre ne lui avait fort probablement pas plu.
Une fois que je sus la petite en sécurité, je voulus me pencher encore une fois, en position accroupie cette fois-ci, puisque revenir à ma position précédente n’était juste pas possible avec un bébé dans les bras, histoire de pouvoir aider celle qui m’avait été d’une grande aide, sauf qu’avant que je puisse faire quoi que ce soit, elle disparut de mon champ de vision, et un bruit sourd se fit entendre, me faisant alors comprendre que les caisses avaient fort probablement cédé. La seule chose que je sus lâcher, ce fut un « Non ! » qui n’allait certainement pas servir à grand-chose. Je me sentais particulièrement impuissante, surtout que peu de temps après, un autre vacarme se fit entendre en provenance de la petite pièce, et depuis la petite fenêtre, je pus voir des flammes commencer à entrer dans le bâtiment, puis une autre silhouette se former. Était-ce elle de Lullaby, ou d’un autre pompier ? Honnêtement, je n’en savais rien. Tout ce que je savais à cet instant précis, c’était que je ne pouvais pas demeurer là à rien faire, à attendre qu’il se passe quelque chose. Je ne pouvais pas non plus envisager retourner là-dedans, sachant que je mettrais Nora en danger de nouveau et que c’était la dernière chose que je souhaitais. Malgré tout, je tentai de m’approcher une dernière fois, mais sitôt que je fus près de la fenêtre, de la fumée en sortit, m’arrachant alors un toussotement. Sitôt, je reculai, non pas parce que j’étais importunée au point de ne pas la supporter, mais plutôt parce que je ne pouvais pas approcher un bébé dans ces conditions.
À court d’idées, je fis alors une des seules choses plausibles que je pouvais faire à ce point, soit tenter de retrouver le devant du restaurant et voir si les secours étaient là. Enfin, je me doutais bien qu’ils seraient là, ou du moins, je l’espérais fortement. En fait, celle que je cherchai en particulier, c’était Lullaby, la mère de Nora, histoire de lui faire comprendre que tout allait bien avec sa fille, compte tenu que nous étions assises toutes les trois au restaurant peu de temps avant l’incendie. Cependant, dans la marée de pompiers qui se trouvaient là, je ne la vis pas. Était-ce elle qui était venue à l’intérieur, qui avait tenté de faire craquer le plafond de la cave ? À ce point, je n’en savais rien, mais si c’était le cas, alors il n’était pas question qu’elle pense que sa fille était en danger. Je m’approchai alors du premier pompier qui avait les mains libres, et je dis, me doutant bien que j’aurais probablement l’air un tantinet hystérique : « Il y a quelqu’un à l’intérieur, elle est sûrement blessée ! Et puis, si vous avez un contact avec Lullaby, pouvez-vous lui dire que sa fille va bien, s’il vous plait ! » J’attendis alors une réponse de ce pompier, espérant simplement qu’il allait se montrer coopératif, bien qu’il avait mieux à faire que de prévenir une de ses collègues concernant sa vie personnelle. Au pire, s’il ne voulait pas le faire, je n’aurais qu’à envoyer un message à mon amie, sachant pertinemment que maintenant, j’avais du réseau, mais que je ne pensais juste pas à le faire sur le coup de la panique et de l’urgence.
(c) Mayiie
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Invité
mot doux de Invité ► un Dim 21 Sep - 19:28
« Redresses-toi ! » Merci alors là, je devais vraiment la remercier. Juste par information, c'était toujours plus facile qu'à dire qu'à faire. Je venais de m'exploser le dos, et m'ouvrir l'arrière de mon crâne alors - même si j'étais contente de la voir dans une situation pareille - je voulais quand même qu'elle me laisse deux minutes tranquilles, le temps suffisant pour mourir seule dans mon coin, voyez-vous. D'ailleurs, je me demandais bien par où elle était passée et vu le boom que j'avais entendu, elle avait dû passer le plafond. J'ignorais totalement que les pompiers avaient cette manie de tout défoncer surtout de là, à détruire le sol. C'était un risque inutile.
Je ne prenais pas la peine d'y répondre, en fait, tout ce que j'aurais aimé, c'est qu'elle cesse de hurler. Bref, elle me mettait un cousin sous ma tête qu'elle remarquait assez rapidement le sang qui collait doucement. Non mais sérieusement qu'elle ne hurle pas de cette manière, ce n'était pas comme si j'allais perdre tout mon sang quand même. J'allais bien, j'étais juste sonnée et la fumée commençait doucement à m'empêcher de respirer convenablement, mais c'était tout. En fait ce n'était pas mon crâne qui allait me tuer, mais cette saleté de fumer alors qu'elle cesse de parler, et qu'elle me sorte d'ici à grande vitesse.
Où était-elle ? Dehors, mais où j'ignorais. Elle devait être en sécurité et c'était tout ce qu'il m'importait désormais. Quoi que voir Lulu dans ce bâtiment en feu ne me rassurait pas vraiment en fait. Pourquoi faisait-elle un métier aussi dangereux ? Si j'avais été une bonne mère présente, jamais, je l'aurais laissée devenir un soldat du feu. Même si j'étais stone pour pouvoir parler, je ne pouvais pas m'empêcher de lui lâcher tout en lui adressant un léger sourire:
JOAN _ « J'en ai fait une brochette en attendant les pompiers. » Je taquinais, et j'espérais qu'elle le savait. Voyant le visage de Lulu changer, je répliquais aussitôt « Je rigole, hein ... elle est dehors avec cette blonde qui se prend pour la mère » Bon, j'évitais les détails, et puis, qu'est-ce qu'elle en avait rien à cirer que j'avais tenté de sauver sa fille, et cette blonde de nounou.
Il ne nous avait pas fallu longtemps pour qu'on nous sorte enfin de cette cave de malheur - et que je n'oublierais pas de sitôt. Par quelconque moyen que j'ignorais comment j'avais atterrir là, je me retrouvais dans les bras d'un séduisant pompier musclés... Même sur le point de ''mourir'', j'arrivais encore à baver sur lui. Humm, j'avais l'impression d'être dans un film où le pompier évacuait en vitesse la victime des flemmes sous une douce mélodie. Cela aurait pu être bien plus romantique s'il y avait eu une explosion pendant qu'il me sortait de là, mais non rien... Le pompier me déposait sur la civière, et quand j'apercevais Lulu qui me suivait de près, j'agrippais sa manche violemment
JOAN _ « Tu me diras comment va ta fille, stp ? » Je ne voulais pas qu'elle me mette dans l'ignorance, je tenais absolument qu'elle me dise comment va Nora. Je n'avais pas le temps d'ajouter quoi ce soit d'autre que cette conne d'ambulancière me posait le masque à oxygène. Non, mais sans blague, elle ne voyait pas que j'étais en train de discuter avec ma fille ? À peine l'oxygène posé, que je le retirais pour rajouter « Tu n'étais pas obligée de me sauver, tu sais... Pourquoi l'as-tu ? » En fait tout compte fait, je crois que le masque n'était pas de refus. Je le replaçais moi-même sur mon visage attendant qu'on me mette dans l'ambulance.
HJ: Sorry du retard
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Invité
mot doux de Invité ► un Jeu 9 Oct - 6:46
lullaby&lenaëlle&joan THEY'RE JUST GIRLS AND THEY'RE ON FIRE
A l’intérieur, à l’extérieur… qu’importe mais qu’est-ce que je fichais en train d’aider une femme que je suis censée détester ? Quelle idée mais où était ma fille ? Je n’en savais encore rien. Perdue, tellement de questions dans ma tête. Je ne savais pas vraiment comment me comporter. Que devais-je faire ? L’angoisse me laissait entrevoir une perception de gentillesse mais étais-ce seulement ça ? Dans le fond, c’est réellement dans ce genre de situation qu’on laisse ressortir ce qu’on a dans le fond. Cette petite fille qui a toujours attendue sa maman. Cette petite fille qui avait rapidement abandonnée. C’est alors que je lui demandais ou était ma fille qu’elle me laissait rapidement en stresse. Elle blaguait ? Oui, elle devait blaguer. Après, cela m’étonnerait qu’elle soit aussi cruelle. Non ? J’avais tout de même un léger moment de doutes. J’inspirais doucement en baissant le regard, soulagée et soufflant doucement alors qu’elle disait que c’était une blague. J’étais oui, bien plus soulagée d’un coup. J’inspirais doucement, entendant ceux-ci venir nous dégager et cela se fit rapidement d’ailleurs. J’avais laissé un ami s’occuper de Joan. Je m’étais contentée de sortir tant bien que mal avec la fumée. Je marchais comme une grande même si j’avais un peu mal à la cheville mais qu’importe. Une fois sortie, je cherchais alors ma fille du regard mais aussi sa nounou car je tenais à Lenaelle. Je me demandais même si elle avait connu ma mère quand nous étions petites. Je l’ignorais. Je ne saurais tellement plus dire à quel âge elle n’était plus là… au point où j’avais réussie à occulter par moment. Oublier la peine, oublier les dates des anniversaires que j’avais vécue seule. J’étais perdue. Je venais tout de même de sauver ma mère. Si je n’avais pas été là, elle serait morte dans les flammes. C’était étrange comme sensation. Tellement. Cela me frustrait au plus haut point car dans un sens, je me sentais heureuse d’avoir été là et pas triste. Airais-je dû être malheureusement ? Je n’en savais rien, j’étais perdue. Je n’arrivais pas à me dire que oui. J’aurais dû. Alors que je n’étais pas loin, tandis qu’il… y avait une explosion et que bim… sur le coup, je me retrouvais tête au sol. Bon, je me relevais aussitôt mais quand même. C’était encore plus paniquée que je regardais autour de moi, c’est alors que je sentis une force sur ma manche, me retournant machinalement pour entendre alors Joan me parler d’une façon difficile. J’étais perdue, tellement. Je n’arrivais pas à me rendre compte de ce qui venait de se passer tout en pensant aussi à ma fille. J’avais envie de voir ma fille. Et alors qu’elle se fit aidée par une collègue qui lui plaçait un masque qu’elle retirait aussitôt. L’envie de lui remettre me traversait l’esprit mais je l’écoutais. En fait… je n’avais pas encore la réponse à sa question. J’haussais doucement les épaules, sans savoir quoi dire. « Je ne le sais pas moi-même, une part de moi pourrait dire que c’est juste par ce que c’est mon boulot mais une autre se demande pourquoi je suis contente d’avoir été là pour le faire… Je ne souhaite la mort de personne… et je voulais sauver ma fille au départ et j’ai sauvée… ma… enfin… », C’est alors que l’on m’informait que Nora allait bien mais aussi Lena que je me sentais un peu plus soulagée. « Elle va bien ! », disais-je tout de même à Joan. Sans savoir si Nora allait bien au niveau de la respiration des fumées et j’en passe. Bien sûr, nous devions aller en ambulance. L’on nous dirigeait vers une ambulance, le bébé et Lena s’y trouvaient déjà et le brancard de Joan aussitôt mis, je montais dedans. C’était étrange, je ne savais toujours pas pourquoi l’avoir sauvée. Je me débarrassais d’une partie de ma tenue en me sentant plus libre et n’attendant pas deux secondes de plus pour désirer prendre Nora dans mes bras. « Ça va ? », demandais-je à Lena en tendant les bras vers elle et lui souriant. Je regardais aussitôt Joan, je ne savais pas pourquoi, je me sentais… redevable, il n’en fallait pas beaucoup pour comprendre qu’elle avait aidée. Je la regardais aussitôt sans trop savoir quoi dire, quoi faire. « Tu veux la prendre ? », demandais-je alors soudainement sans savoir ce qu’elle allait dire mais sachant que je refusais qu’elle ne l’approche avant, c’était un pas en avant. Je souriais rapidement à Lena. « Pas trop effrayée ? », demandais-je aussi.
Lenaëlle G. Martinset oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais !
❝ Métier : Nounou dévouée à la petite marmaille de Lullaby & Aiden ❝ cupidon : Si la perfection existait, elle porterait ton nom. ♥ ❝ post-it : Lieux de vie : Pasadena (0-8 ans), Denver (8-20 ans), Austin (20-28 ans), Pasadena (28 ans, aujourd'hui). Particularités : Ancienne alcoolique, maniaque du ménage, maîtresse d'un chat et d'un chien. Love : En couple avec Jensen depuis décembre 2015, habite avec lui depuis le printemps 2016. Animaux : Un chien & un chat Passe-temps : Lire des romans de Nicholas Sparks, le Sudoku, le tricot, dessiner des chatons. ❝ Age : 34 ❝ pseudo : Mayiie ❝ crédits : (c) Mayiie & Tumblr ❝ avatar : Julianne Hough ❝ présence : Présent(e) ❝ préférences : Rp Roses ❝ disponibilité : Demande-moi et on verra. ♥ ❝ autres comptes : Kylian J. Hemsworth(feat. Jamie Dornan) - L'amoureux éperdu qui a décidé de redémarrer sa vie à zéro et peut-être récupérer sa fiancée du passé. Jezabel M. Sanchez(feat. Sofia Vergara) - La Martha Stewart de sa génération qui aime sa famille plus que tout. Bennett K. Morriganfeat. Julian Morris - L'ancien militaire qui tente de se définir dans cette nouvelle vie. Breanna J. Hardyfeat. Serinda Swan - L'actrice qui a quitté le rôle d'une vie pour arranger la sienne. ❝ Points : 4302 ❝ Messages : 3035 ❝ depuis : 11/04/2014❝ mes sujets : Allie ▬ Caitlyn ▬ Cordélia ▬ Grace ▬ Jade ▬ Jay ▬ Jensen ▬ Jensen ▬ Layali-Joy ▬ Lullaby ▬ Rafael ▬ Summer ▬ Toi ?
mot doux de Lenaëlle G. Martins ► un Lun 13 Oct - 14:25
Lullaby & Joan & Lenaëlle
They're just girls and they're on fire
Malheureusement, le pompier ne répondit pas tout de suite à ma demande; ce fut plutôt un ambulancier qui vint à ma rencontre, me demandant de l’accompagner à un des véhicules afin de s’assurer que tout allait bien non seulement avec moi, mais aussi – et surtout – pour Nora. Que pouvais-je faire contre cela ? Malheureusement pas grand-chose. De ce fait, je ne protestai pas, légèrement agacée qu’on n’ait pas répondu à ma demande, et toujours la petite dans les bras, je me dirigeai vers un des véhicules ambulanciers. Puisque je ne semblais pas nécessairement touchée, sauf peut-être pour mes mains éraflées en raison du contact plutôt rude que j’avais eu avec le ciment, on me demanda simplement de m’asseoir, me permettant même de garder la petite dans mes bras. De toute façon, je n’aurais pas osé la lâcher, pas alors que je ne savais toujours pas où se trouvait sa mère, ni la femme qui était avec moi dans cette fameuse cave, qui m’avait probablement sauvée la vie. D’ailleurs, c’était surtout elles que je cherchais du regard à cet instant, même si malheureusement, vu ma posture, je ne pouvais pas voir grand-chose. Puis, ce fut au moment où l’ambulancier me demanda si Nora était ma fille que finalement, je crus bon de redemander : « Non, sa mère doit être à l’intérieur, elle travaille à la caserne… Pouvez-vous, s’il vous plait, lui faire le message qu’elle va bien ? » J’avais pris un ton moins paniqué, mais toujours aussi suppliant. Heureusement, cette fois-ci, cela fonctionna; le message fut transmis, ce qui fit en sorte que je remerciai la personne qui en fut responsable. Maintenant, il fallait juste que Lullaby le reçoive, et j’espérais sincèrement que la communication allait se faire, ou bien qu’elle allait venir dans les environs le plus rapidement possible.
Finalement, il ne fallut que quelques minutes supplémentaires pour que mon amie arrive, accompagnée de la femme qui se trouvait dans la cave. Rapidement, ce fut la première que je regardai, sachant qu’elle allait vouloir voir Nora, ce qui était tout à fait compréhensible. Cependant, j’appréciai le fait qu’elle prit quand même le temps de me demander si j’allais bien. Je ne m’y attardai toutefois pas, hochant positivement la tête sans ajouter quoi que ce soit, puisque ce n’était pas le temps de m’étaler dans les détails. Peut-être plus tard, mais pour tout de suite, l’essentiel était que je laisse Lullaby prendre son petit ange. Sitôt qu’elle tendit les bras, je ne me fis certainement pas prier pour la lui rendre, lui affirmant alors : « L’ambulancier a dit qu’elle allait bien. Elle a eu la frousse, mais ça devrait aller. » Je souris alors doucement, me taisant à ce moment puisque Lulla venait d’adresser la parole à la femme, lui proposant alors de prendre la petite. Je compris alors qu’elle ne mentait pas – et je ne le pensais pas vraiment dans cette cave, même si je n’en avais pas la certitude – que cette femme était sûrement la grand-mère de Nora, comme elle l’avait laissé sous-entendre plus tôt. Je ne dis alors rien sur le sujet, préférant répondre à Lullaby : « Non, ça va aller… » au moment où elle me demanda si j’étais effrayée. En fait, oui j’avais eu peur, surtout pour Nora plus que moi, à vrai dire, mais ayant vécu pire, même si Lullaby ne le savait pas, j’allais sûrement pouvoir m’en remettre. Je me permis alors de porter mon regard en direction de la femme, puis finalement de dire, à Lullaby, et indirectement à la mère de celle-ci : « Je lui suis redevable sur ce coup-là, vraiment… »
(c) Mayiie
Invitéet oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais !
Invité
mot doux de Invité ► un Jeu 30 Oct - 20:49
Je me retrouvais sur la civière prête à prendre chemin vers l'un des hôpitaux de la ville. J'étais contente d'être saint et sauve de cet incendie. Néanmoins, il avait encore uen chose que je ne comprenais pas moi-même, c'était mon geste. En temps normal, je n'aurais jamais agi de cette manière, car, en toute franchise, j'agissais souvent pour ma propre personne et les autres ? Et bien, les autres, je n'en avais rien à foutre. Je serai même prête à marcher sur eux lors d'une embuscade alors, pour moi ce geste était tout à fait incompréhensible. Surtout que ma petite fille Nora, je la connaissais àpeine voir pas du tout. En fait, je ne l'avais jamais tenuedans mes bras et quand Lulu s'approchait de moi pour me demander justement de la prendre, j'étais figée, limiter glacé sur place. Non, hors de question que je la prenne. Et effectivement, je ne prenais pas cet enfant dans mes bras et puis, j'avais autre chose à faire désormais que de la prendre dans mes bras - genre m'emmener à l'hôpital et prier le bon seigneur pour que j'ai toujours mes poils de narine.
JOAN _ « Euh ... »
Je ne pouvais pas lui dire non, au risque de la choquer, je n'avais guère envie. Alors seul un euh sortait de ma bouche. Mais coup de chance pour moi, elle avait l'air d'avoir changé d'avis, ou je crois plutôt qu'elle avait cela par sympathie, sinon je ne crois pas qu'elle aurait demandé un truc aussi... fou.
« Je lui suis redevable sur ce coup-là, vraiment... » J'étais peut-être à moitié sonnée à la suite à la chute, mais je n'étais pas encore sourde. Cela dit, elle n'avait pas tort. Elle m'est redevable, d'ailleurs, je devrais la suggérer de venir me masser les pieds à l'hôpital. Avoir une esclave a toujours été un rêve pour moi et en plus de cela - même si j'étais cent pour cent hétéro - je la trouvais très sexy. D'ailleurs, pour le peu que j'avais vu, elle avait un adorable petit cul bien ferme qu'on avait qu' une seule envie, c'était de lui mettre la fessée. Comme quoi les situations périlleuses me demandaient des envies vicieuses.
Pendant que les deux demoiselles papotaient, je m'étais permisse de prendre le col de la veste de ce fameux ambulancier et je l'obligeais à venir se pencher vers moi.
JOAN _ « J'ai une bonne assurance sociale, alors vous n'avez pas intérêt à m'emmener dans l'un de vos hôpitaux pourris, compris » Je le lâchais assez rapidement quand je m'apercevais qu'il avait l'air d'être limite choqué. Je jetais un bref regard vers Lulu avant de rentrer dans l'ambulance en direction de l'hôpital. J'espérais que je n'avais pas fait tout cela pour rien et qu'elle allait me remercier, voir, me donner la chance de discuter avec elle.
HJ: Je suis vraiment désolé du retard cela n'arrive pas plus j'avais juste une petite baisse d'RP mais, je vais essayer de répondre plus rapidement dorénavant.
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Invité
mot doux de Invité ► un Sam 8 Nov - 21:56
lullaby&lenaëlle&joan THEY'RE JUST GIRLS AND THEY'RE ON FIRE
Comment rendre ce moment encore plus étrange ? Cette femme qui était face à moi étant ma mère et elle venait de sauver ma fille mais aussi sa nounou. Dans le fond, je n’aurais jamais pensé que cela pourrait arriver un jour. Je n’aurais simplement jamais l’occasion de savoir ce que j’aurais fait si elle n’avait pas sauvée Nora. L’aurais-je même trouvée ? Je n’en savais rien, j’étais perdue. Totalement perdue et je venais de sauver ma mère. Lena et Nora allaient bien. Je pouvais tenir ma petite fille dans mes bras alors qu’elle attrapait mon doigt pour jouer avec. Je souriais doucement ayant même demandée à Joan si elle voulait prendre la petite. Je ne fus pas vexée qu’elle ne donne pas de réponses, je me contentais de serrer cet enfant contre moi et entendant en quelques sortes que Joan avait été un héros. C’était déconcertant, oui. La vie peut-être tellement déconcertante. Elles allaient toutes les deux bien et c’était grâce à une femme qui n’avait jamais montrée un intérêt à ses filles ou même presque à son fils. Je ne voulais pas vraiment y réfléchir, le mal était fait et le bien ? Je voulais ne voir que le bien pendant quelques heures ce qui était bien, non ? Alors qu’un ambulancier ouvrait la porte une fois arrivé pour sortir le brancard, elle lui parlait et je riais doucement en levant les yeux. En fait, le pauvre. Il ne fallut pas beaucoup de minutes pour qu’elle soit prise en charge. Cela allait notamment vite par ce que j’avais… lancée ce regard tueur à quelques infirmiers en leur demandant de s’en charger rapidement. Certains docteurs regardaient aussi Nora et moi-même ainsi que Lenaelle mais tout allait bien. J’étais restée jusqu’au bout avec Joan et je l’avais même ramenée chez elle. Tout simplement. Pourquoi ? C’était con mais je ne me sentais pas de la laisser trop seule après ce coup sur la tête et surtout au volant. Je connaissais les causes de plusieurs accidents et je ne voulais pas que ça arrive. J’étais rentrée ensuite avec Lena et Nora. Une à coucher et l’autre à réconforter avec un chocolat chaud avant de rejoindre mon futur mari. Et oui, ceci est la clôture de rp la plus merdique de tous les temps et j’en ai honte.
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