l'avatar des scénarios ou membres des familles sont totalement discutables pour autant qu'ils ne soient pas dans le bottin !
Venez car plus on est de fous et plus on rit, non ? Chocolat et guimauves en cadeaux !
bonjour les YFTiens et pleins de calins pour vous ainsi que tout notre amour !
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Invité et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! Invité
| mot doux de Invité ► un Ven 16 Oct - 21:59 | | | Desperate Housewives venez faire la fête -zbaff- plus on est de four, plus on riz ! On ne dit jamais… jamais et pourtant la vie était parfaite. Le soleil frappant sur ma peau nue alors que je me relevais. J’enfilais un peignoir de satin en nouant la ceinture autour de ma taille. Je jetais rapidement un coup d’œil à mon époux chaleureusement drogué la nuit avant pour ne plus qu’il pose ses mains sur moi. Je souriais doucement. Mon dieu, je l’aimais mais… j’aimais encore plus Lenaelle. Je m’en voulais réellement de nuire à mon mariage pour les courbes de la nounou mais je n’y pouvais rien. Mon cœur avait décidé que c’était elle que je voulais toucher. Je sortais de la chambre a pas de loups. Je quittais la maison pour aller au pavillon qui donnait pile à côté de l’endroit. Je faisais signe à mon voisin qui semblait déjà réveillé et je passais par la fenêtre du pavillon qui menait directement au salon. Mon peignoir s’accrochait malencontreusement sur une branche d’un rosier. Paniquée, je me retournais et je finissais par le retirer pour rentrer dans l’habitation. Je pouvais entendre l’eau de la douche couler. Je marchais à petit pas vers la salle de bain et aller ouvrir la porte de la douche pour y entrer subitement. Oui, je rentrais dans la douche de la nounou, carrément. « Je vais être punie pour harcèlement sexuel mais j’en avais trop envie ! », lui disais-je alors simplement. Sous sa douche, oui et alors ? Je vous zut, d’abord. Et puis j’étais en sous-vêtement et même pas toute nue. « Je suis un œuf de pâques, déballes-moi ! », disais-je en trouvant ça tellement naturel. « Il dort encore… j’ai dû le drogue pour être tranquille… monsieur voulait coucher mais moi, je te voulais toi, on peut en profiter ! », murmurais-je. Je devais avouer que ma vie était loin de ce que je pensais. J’avais toujours pensée aimer les hommes mais tout changeait. Depuis la disparition de Sexy McNews, je me sentais plus libre. Il fallait avouer qu’il savait tout. Oui, tout. Il nous avais vus dans cette cabine téléphonique en train de se peloter partout. Oui. Il m’avait promis de ne rien dire… ou pas. J’étais persuadé qu’il aurait été capable de faire chanter ma nounou. Après tout… pourquoi pas ? J’inspirais doucement en me rapprochant mais un bruit soudain dans le pavillon me fut sursauter. Un miaulement en suivait. Je la regardais en fronçant les sourcils. « Ton chat fait encore une bêtise… », voilà qui allait me frustrer car à cause de mon imbécile de mari, on ne se voyait pas énormément avec ma nounou en ce moment. Je passais alors la tête hors de la douche pour chercher l’animal du regard. Dévoilant ma chute de rein à la jeune femme. « Chaton… », appelais-je alors en vain mais rien. Un miaulement au loin. C’était tout. Je remarquais cependant l’imprimante en cours, elle semblait sortir du papier. « T’as finie ton roman ? », lui demandais-je alors par curiosité ! |
| | | Lenaëlle G. Martins et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! Un petit plus MY LIFE TREE: There's no safer place for youthan here with me
| mot doux de Lenaëlle G. Martins ► un Ven 16 Oct - 22:22 | | | Desperate Housewives Quand le chat n'est plus là, les souris dansent La disparition de Sexy McNews était la meilleure chose qui m’était arrivée de toute ma vie, et je n’exagérais pas quand je disais un truc pareil. En effet, maintenant qu’il n’y avait aucun risque que mon secret soit dévoilé, j’avais finalement pu m’assumer, et dévoiler au grand jour les sentiments que j’avais pour ma patronne. Jamais je ne l’avais vue ainsi jusqu’à ce moment-là, mais il avait fallu que je me rende à l’évidence, et ce fut pour le mieux, puisque je me rendis compte que malgré son statut de femme mariée, Lullaby avait des sentiments réciproques pour ma personne, ce qui n’aurait pas être plus parfait. Depuis quelque temps maintenant, je vivais une vie parfaite. Je me levais le matin, je me sentais bien, et surtout prête à me rendre chez mon amante pour passer du temps avec elle, même si je me devais de m’occuper des enfants, quand même, ce second emploi que j’avais pris pour pallier le fait que ces derniers temps, l’inspiration m’avait manquée pour mon prochain roman. Après tout, vu le manque de prouesses de mon mari, c’était compréhensible que je n’arrive pas à trouver de l’inspiration pour un bouquin sur l’amour. Toutefois, maintenant que je savais que j’avais trouvé de l’affection ailleurs, je n’avais plus de blocage, ce qui expliqua pourquoi, alors que je prenais mon café matinal, je mis fièrement à imprimer cinq autres chapitres de mon roman écrits la veille avant de me faufiler dans la douche. J’allumai l’eau, retirai ma petite nuisette de dentelle que je laissai au sol avant de me faufiler dans la cabine. Profitant de l’eau chaude coulant sur mon corps, perlant sur ma peau, je ne m’attendis certainement pas à être rejointe par une personne. Sursautant dans un premier temps, je me détendis toutefois aussitôt quand j'entendis la voix de la femme que j’aimais. Me mordillant la lèvre en la voyant dans ses sous-vêtements qui épousaient ses courbes à merveille, je répondis : « Avec plaisir. » à son offre, mais avant que je puisse faire quoi que ce soit, Lullaby reprit la parole, venant à parler du fait qu’elle avait drogué son mari pour qu’il ne la touche pas. Roulant les yeux au ciel, je râlai donc « Alors cesse de parler de lui et embrasse-moi… » Ensuite, ce fut non pas le mari ou quoi que ce soit qui venait gâcher tout, mais le chat. Celui-ci venait certainement de voir encore une fois son propre reflet dans le miroir, et croyant que c’était de la compétition pour venir se coucher dans mon entrejambe la nuit, il hurlait dessus et rentrait dans la glace. Quel con, ce chat, quand même. Poussant un soupir, je voulus dire : « Ne t’en occupe pas… » mais trop tard, Lullaby avait déjà commencé à le chercher. Cependant, je ne m’en plaignis pas trop longtemps, puisque ce simple geste me laissa un délicieux spectacle. Penchant la tête de côté pour mieux admirer mon amante de dos, je me redressai quand me demanda si j’avais fini le roman sur lequel je bossais. Dans un haussement d’épaules, je dis : « Pas encore, mais j’ai bien avancé hier ! » Je marquai une petite pause, puis je posai ma main sur la taille de Lullaby pour la forcer à se tourner vers moi, puis lui dire dans un petit sourire espiègle : « Si tu es sage, je te permettrai de les lire. » avant de finalement aller chercher ce baiser qui me faisait tant envie sur ses lèvres. Quand celui-ci prit fin, je lui demandai tendrement : « Tu restes pour le petit-déjeuner ? » |
| | | Aiden N. MacCallister et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! ❝ Métier : Ambulancier et vétéran des US Marine, sans compter un rôle à temps plein, celui d'être père. Il a aussi reprit ses études en médecine qu'il a longtemps abandonné. ❝ cupidon : Marié à la fille du pasteur et la trompe avec Aaron ♥ ❝ post-it : né à los angeles le 18 août 1982, mais a grandit à Pasadena ◮ a joué le rôle de père et de mère pour son frère et sa soeur durant leur enfance ◮ n'a jamais fini ses études en médecine ◮ c'est engagé dans l'armée avec son cousin et trois autres de leurs amis lorsqu'il avait 22 ans ◮ il faisait partit de l'élite de l'armée américaine, mais il a connu des drames qui l'on marqué à vie ◮ après son retour de sa première mission, au Pérou, il était devenu un junky, suite à une séquestration de plusieurs jours et absorption de drogue ◮ sauvé de sa dépendance par une jolie pompière ◮ a arrêté de courir à droite et puis à gauche pour devenir fidèle ◮ nudiste sous l'effet de l'alcool en trop grosse quantité ◮ octobre 2013, envoyé en Iraq pour une mission secrète ◮ février 2014, survit à une embuscade qui coûte la vie de son ami d'enfance, du frère de Lullaby et de tout son bataillon ◮ il revient au pays médaillé pour son courage, mais avec une épaule amochée, une jambe blessée et un esprit torturé ◮ il a une fille, Nora, née peu avant son retour ◮ octobre 2014, se mari avec Lullaby ◮ parle aux écureuils sous l'effet de la marijuana ◮ 27 juin 2015, naissance de son second enfant, Dylan ◮ Janvier 2016, reprend ses études à l'université en médecine
❝ pseudo : monocle. ❝ crédits : @vava Tik Tok @gif tumblr ❝ avatar : Adam Levine ❝ présence : Présent(e) ❝ préférences : Rp Roses ❝ disponibilité : toujours dispo ♥ ❝ autres comptes : GRANT ▬ (g.gustin) le prodige de la musique, mais l’incompétent en relation. CARTER ▬ (a.kendrick) la jeune maladroite qui s'est retrouvée les deux pieds dans le plat à Vegas. ALVIN ▬ (m.bomer) l'agent du FBI accro à la caféine et une certaine chanson ! JONAS ▬ (r.amell) l'étudiant qui aime trop la vie en arc-en-ciel. DEVON ▬ (k.graham) la jeune femme qui rêve de liberté. JAMIE ▬ (d.gillies) le canadien qui cherche à garder son visa. GWEN ▬ (s.johansson) la philanthrope qui pense aux autres avant de penser à elle, jusqu'à aujourd'hui.
anciennement : baptist ▬ parti travailler en Afrique ❝ Points : 3189 ❝ Messages : 3943 ❝ depuis : 22/07/2014 ❝ mes sujets : kylian ◮ jensen ◮ shana ◮ lullaby ◮ lullaby ◮ jones We loved with a love that was more than love – ✻ –
| mot doux de Aiden N. MacCallister ► un Ven 16 Oct - 22:54 | | | Desperate Housewives quand les secrets sont plus gros que ce qu'on laisse croire Bourreau de travail, je passais plus de temps à l’hôpital que chez moi. Entre urgence et banalité, je trouvais ma vie monotone, perdant de plus en plus goût à cette vie de banlieusard. J’étais rentré plutôt ce soir-là, pour une fois, j’avais pu border ma fille, mon fils et mon regard s’était porté sur ma femme, Lullaby. Un amour de jeunesse qui s’était vu évolué jusqu’au mariage, mais désormais ça me semblait vide. Mangeant le repas qu’elle avait soigneusement préparé, enfin elle ou la nounou, je ne savais pas ne prenant pas d’intérêt à savoir qui préparait à manger. J’avais bu plus que nécessaire, vidant une bouteille de bordeaux à moi seul. Puis, plus rien. Le néant. Je sentais simplement la chaleur du soleil caresser ma peau visiblement nue. L’alcool ayant toujours cet effet, je tournais dans ce lit désormais vide. Poussant un grognement, j’ouvrais un œil et le second. Il n’était pas étonnant de voir cette place près de moi vide, je repoussais le peu de drap qui me couvrait encore. Dévoilant une tenue d’Adam, je regardais mon portable traînant sur la table de nuit. Un message. Je m’empressais de lui celui-ci, étirant mon sourire à ces mots loin d’être romantique, loin d’éprouver de l’amour. C’était plutôt quelque chose de brutale et incroyablement sexy. Une chose que je ne ressentais plus depuis longtemps dans mon couple. Répondant, je me levais en me passant une main dans mes cheveux. Mon regard se portait sur le jardin, fronçant les sourcils, je reconnaissais le peignoir de ma femme flottant à une branche. Déposant mon portable sur la table où il avait passé la nuit, j’enfilais des vêtements sans me poser plus de question sur ce que pouvait foutre ma tendre chérie. Je descendais, ouvrant la porte d’entrée pour aller chercher le courrier qui attendait sagement dans la boîte à lettre. Contre toute attente, je sentais une douleur à ma tête. Me frottant la tempe gauche, j’ouvrais la petite porte prenant la pile de lettre qui se trouvait dans la boîte. Saluant quelques voisins, je retournais à l’intérieur pour prendre un cachet, mais aussi préparer du café. Chose dont j’avais terriblement besoin en me réveillant. Mon regard se posait sur le journal de la veille parlant du décès de Sexy McNews. J’étais bien heureux de ne plus l’avoir dans les pattes celui-là. Toujours à fouiner pour savoir la vie des gens. Il n’avait jamais dit ouvertement savoir pour mes escapades disons-le assez sauvageonne. Partant la cafetière, je prenais place sur à la table pour lire le courrier. Mon visage devenait plus grave en voyant une lettre plus qu’étrange me parlant d’adultère. Elle n’était pas signée, je la laissais ouverte sur la table, regardant plutôt les photos très compromettante de moi et une blondinette de dos. Déchirant les multiples photos, j’allais les jeter dans la poubelle, sortant déjà les déchets ne désirant pas que Lullaby tombe sur ces images. Sortant dans la cours, tenant le sac de plastique de la main, je voyais Simon. « Bon matin. » disais-je en ouvrant le couvercle de la poubelle et mettant le sac à l’intérieur. « Tu ne saurais pas où est Lenaëlle ? » demandais-je me soucient d’avantage de la nounou plutôt que de ma femme. |
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| mot doux de Invité ► un Ven 16 Oct - 23:23 | | | Desperate Housewives venez faire la fête -zbaff- plus on est de four, plus on riz ! Les poules cocotaient ? Non pas vraiment mais mon portable sonnait le glas. Je me réveillais avec un peigne bloqué dans les cheveux. Ce bébé quand même, il avait l’art de me mettre tout ce qui trainait sur la tête quand je dormais dans le même lit que lui. Comment il avait fait son coup ? Je soupirais en tentant de la retirer. Depuis quelques semaines, je vivais seule dans cette maison enfin non… j’avais Dawn et Brownies mais tout le monde ignorait que Toby était porté disparu. Je checkais rapidement mon portable en l’attrapant. Je me relevais en allant directement enfiler un survêtement. J’avais passée 1 heure de ma nuit à passer la tondeuse pour faire « genre » que Toby est encore là. Oui, voilà. La femme enfin la mère de familles qui veut voiler la face. C’était exactement ça. Pour quoi j’allais passer sinon ? Je n’étais de toute façon avec lui que pour l’argent. Tout le monde le savait que je lorgnais sur le jardinier pratiquement toutes les minutes de ma journée. Je me relevais, le portable encore en main et une tâche de peinture sur le doigt. Je me retrouvais nez à nez avec cette toile peinte le jour d’avant. Cette toile qui était en fait celle de ce fameux jardinier que j’avais pré-dessiné en cachette sur mon transat. J’allais passer pour quoi encore. Je soupirais doucement en détournant mon regard. J’envoie rapidement un message textuel à mon paternel. « Heyyyyy papounet… si tu as le temps pour passer prendre un morceau de tarte, n’hésites pas ! Ça sera encore mieux si tu ramènes du chocolat ! Et évites de ramener ma stupide belle-mère blondinette aussi intelligente qu’une moule vide ! », écrivais-je avant d’envoyer. Je n’avais pas vraiment cette femme en amour. J’étais persuadée qu’elle allait le faire souffrir. Je ne la sentais pas et de toute façon ? Son parfum me donnait la nausée. J’allais donc prendre ma douche et j’en sortais pour enfiler un bikini et un short par-dessus. Je devais laver la voiture. Dawn était prête pour l’école presque en même temps et elle partait pour aller chercher le bus quand je sortais à moitié habillée et le short en jeans même pas fermé. Mon bikini riquiqui couvrait à merveilleux ma poitrine. J’attachais rapidement mes cheveux avant de prendre le tuyau. Je le déroulais pour le mener jusqu’à la voiture. Je retournais au garage pour prendre le seau avec les produits et les lavettes. J’allais au volant pour juste mettre la musique. Les pussycat dolls dans une chanson réellement sensuelle se laissaient entendre. Je refermais la portière avant de croiser le regard du jardinier bien occupé avec une haie. Je jouais l’ignorance pour l’attirer un peu plus à moi avant d’aller m’occuper de nettoyer la voiture. Je semblais réellement m’en sortir mais en fait, non. Le jet du tuyau semblait assez merdique. J’arrivais déjà à peine à mouiller la voiture. Je tentais en vain et grognant doucement. « Merde… », disais-je en allant poser le baby phone accroché à ma ceinture sur le siège avant. Je regardais le jet de plus près et me retrouvant subitement éclaboussée en plein dans la face. Merveilleux. |
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| mot doux de Invité ► un Ven 16 Oct - 23:35 | | | Desperate Housewives quand les secrets sont plus gros que ce qu'on laisse croire
La garde de Simon s'achevait de bon matin et malgré les longues vingt-quatre heures écoulées le pompier n'était pas spécialement pressé de rentrer chez lui. En un échange de sms il avait conclu avec sa fille Billie qu'il passerait prendre le petit-déjeuner chez elle, profitant de l'occasion pour voir également ses petits enfants. Sur le trajet, le pompier avait fait une halte dans une épicerie. Il se retrouva parmi les retraités qui étaient arrivés en avance et avait trépigné d'impatience parce que le magasin avait ouvert ses portes avec deux petites minutes de retard. Le pompier espérait sincèrement ne pas devenir comme eux. Une fois tous les articles de la liste dans son grand panier, Simon se mit dans la file d'attente et commença à sentir son estomac gargouiller. Il était temps grand temps pour lui de retrouver la maison de sa fille et de boire un café. Pendant qu'il patientait, son portable vibra. Enfin son second portable celui qui était censé être celui du travail. Il composa le code qu'il n'avait pas donné à sa femme pour déverrouiller l'appareil et vit qu'il avait reçu un nouveau message mais dont l'expéditrice n'était pas Billie. Simon ouvrit le message de la mystérieuse jeune femme et sourit en lisant les quelques mots. Il répondit et son sourire s'élargit. Sa journée off risquait d'être bien remplie. Le pompier gara sa voiture devant chez lui et en sortant de la voiture pour aller chercher ses sacs de courses en papier kraft remplis dans le coffre, il vit Aiden, son cher voisin. Il le salua pour lui rendre sa politesse. « Bonjour! » Malheureusement, il n'avait aucune idée de l'endroit où se trouvait Lenaëlle sachant qu'il rentrait du boulot. De toute manière il n'avait pas spécialement envie d'aller la voir tout de suite. « Non, désolé. Tu devrais peut-être essayer son portable » répondit le soldat du feu avant de filer sans demander son reste et rejoindre sa fille. La brunette était déjà pied d'oeuvre de bon matin quand il découvrit en tenue de combat lavage de voitures. Le quadragénaire vit la jeune femme mal s'y prendre avec le tuyau et s'asperger avec. En la voyant, le pompier ne put s'empêcher de rire. Ceci eut pour second effet de signaler sa présence à sa fille. « Salut mon coeur » déclara-t-il une fois qu'il eut repris un peu son sérieux. « Tu ne veux vraiment pas que je jette un coup d'oeil ? » demanda-t-il en désignant d'un coup de tête le tuyau d'arrosage. Il avait déjà proposé à sa fille de le faire par le passé mais elle avait à l'époque éludé la chose. Après tout, étant pompier, les lances, les tuyaux étaient des objets familiers avec lesquels Simon n'avait absolument AUCUN problème. |
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| mot doux de Invité ► un Ven 16 Oct - 23:44 | | | Desperate Housewives venez faire la fête -zbaff- plus on est de four, plus on riz ! Nos couples étaient de toute façon tous les deux à la dérive. Il était rare que je ressente encore vraiment les battements de cœur du début avec mon mari et je savais que ça n’allait pas bien aussi entre Lenaelle et le sien. Bien sûr, je n’étais pas sans cacher que j’aimais toujours le mien. J’étais stupide à partager mon cœur mais pas mon corps mais cela ne serais que moi ? Je partirais avec elle et mes enfants au soleil levant et je fermerais boutique du café. De toute façon ? Les clients étaient toujours les mêmes à pavoiser et le commerce marchait tellement bien que je pouvais me permettre de le vendre pour une coquette somme. Je savais par contre que cela ne pourrait pas être aussi idyllique. Je ne pouvais pas cacher avoir rêvée de tuer mon mari avec une cuillère d’arsenic bien dosée dans son vin au lieu d’une petite drogue à dodo mais bon. Je m’apprêtais à l’embrasser, docile alors qu’elle me le demandait mais ça c’était avant d’entendre le chaton. Pumpkin avait encore faite une bêtise et je le cherchais du regard. Ne pas avoir de chat avec mon mari ne voulait pas dire que je ne pouvais pas en avoir un avec ma maitresse. Je remarquais rapidement le roman et lui posant cette question avant de sourire doucement. Bien avancé ? Cela m’intriguait. J’avais tellement envie de lire la suite. Je savais que cela serait aussi excitant que les précédents. Je sentais cependant sa main sur ma peau et me délogeant un frisson des plus agréable. Je me retournais pour lui obéir. Oui, j’obéissais à ma maitresse. Voyons. Je suis vraiment très docile. « Je suis toujours sage ! », lui répondais-je alors que je laissais ses lèvres embrasser les miennes en répondant à cette étreinte. Mes mains allaient se loger dans son dos mouillé pour le contact frivole de deux peaux électrisées. Je la laissais descendre, cette main, oui. Sur son postérieur. Oui. Même pas honte d’amour mais mes mains aimaient son corps. Ses mots me firent sourire tandis que je penchais ma tête. « Soyons folles, il dort et les enfants vont chez mon père ! Mais c’est toi le petit déjeuner… », lui confiais-je tout contre ses lèvres avant de la plaquer au mur et descendant mes baisers le long de son cou et même plus bas que son cou. Je m’arrêtais à quelques endroits mais je descendais encore plus bas même. Non d’une coquine. Quand même. Non mais j’allais me gêner. J’en avais simplement envie. Puis si ça lui plait, c’est encore mieux. Je laissais mes lèvres fusionner avec sa peau. Je remontais à son visage et souriant doucement. « Bonjour ! », oui et bien même si c’est en retard ce petit bonjour, il devait arriver. Je rallumais alors l’eau chaude tout naturellement pour la laisser couler avant de sortir de prendre le gel douche que je plaçais sur mes mains. Je me tournais alors dans son dos pour lui faire un massage dorsal. Un peu plus chaste ? Il faut savoir parfois laisser chauffer le fer avant de l’utiliser. Voyons. |
| | | Alvin R. Prescott et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! ❝ Métier : Ancien agent du FBI, qui fut un temps bodyguard, maintenant sans emploi ❝ cupidon : Veuf et même si parfois ses pensés vont à sa défunte femme, son coeur est prit par Melody ❝ post-it : Lieu de naissance, New Jersey → Né d'un père alcoolique et d'une mère battue, je connus la violence physique très jeune. → À six mois, j'ai fuis avec ma mère le New Jersey pour ma propre protection. → Je n'ai jamais vécu bien longtemps dans une ville. → À 5 ans, ma mère se fit assassiner par mon père qui nous avait retrouvé. Je suis retourné vivre chez ma tante. → Je suis fils unique, mais ma tante a adoptée une petite fille lorsque j'avais dix ans, Liv. → Je n'ai jamais revu mon père depuis qu'il a tué ma mère, je suppose qu'il s'est fait arrêter. → Je suis tombé amoureux d'une infirmière urgentiste et deux ans plus tard nous étions marié. → Après notre mariage on a déménagé à Pasadena. → Même si j'étais un bourreau de travail, j'ai toujours sut rester fidèle. → Après six années de mariage, elle a été assassiné par mon coéquipier. → J'ignorais et j'ignore toujours qu'elle avait une liaison avec celui-ci. → Je ne suis pas très habile avec les enfants. → J'ai découvert que mon coéquipier était un flic véreux et faisait affaire avec la mafia. → On me soupçonne d'avoir assassiné ma femme. → Le FBI m'a suspendu jusqu'à preuve du contraire. → Je suis donc rendu un flic ripou, alors que je n'y suis pour rien. → Je vais tenter de blanchir ma réputation ! → J'ai kidnappé la copine de mon coéquipier pour trouver une façon de faire éclater au grand jour la vérité. Seulement, ce n'est pas si facile que ça...
❝ pseudo : monocle. ❝ crédits : angel180886 @vava / tumblr @gif / strawberry insane @sign ❝ avatar : Matthew Bomer ❝ présence : Présent(e) ❝ préférences : Rp Roses ❝ disponibilité : 1 à 2 rp encore ❝ autres comptes : AIDEN ▬ (a.levine) l'ambulancier qui veut aider son prochain, mais ne s'aide pas lui-même. GRANT ▬ (g.gustin) L'homme à la tête d'adolescent pré-pubère. CARTER ▬ (a.kendrick) la maman qui ne s'est pas quoi penser du père de son enfant. JONAS ▬ (r.amell) le pro du spacecake, wesh ! DEVON ▬ (k.graham) la métisse qui retrouve son passé abandonné. JAMIE ▬ (d.gillies) l'homme qui ne comprend pas le sens du mot amour et encore moins de celui de la fidélité. GWEN ▬ (s.johansson) celle qui raffole de la nourriture américaine et vendrait son âme pour un hot-dog !
anciennement : baptist ▬ parti travailler en Afrique ❝ Points : 3189 ❝ Messages : 1428 ❝ depuis : 23/02/2015 ❝ mes sujets : melody ▬ commémoration love it's some shit but it's the life
| mot doux de Alvin R. Prescott ► un Sam 17 Oct - 0:16 | | | Desperate Housewives quand les secrets sont plus gros que ce qu'on laisse croire « Puisque je vous dis que je n’ai rien à voir avec cette histoire ! » disais-je avec fureur, frappant mon poing sur la table d’interrogatoire. Depuis la mort de Sexy McNews, j’avais passé le plus clair de mon temps au poste de police, alors qu’on m’interrogeait sur ce que je pouvais savoir. « Un voisin dit vous avoir vu sortir de chez lui peu avant son décès. » me disait l’inspecteur de police. Je bouillonnais de l’intérieur. « J’étais simplement passé le voir puisqu’il m’avait demandé de passer. » disais-je en me rassoyant, croisant ma jambe et mes bras. J’avais beau échangé ma vision, ce n’est que bien des heures plus tard qu’on me laissait sortir. Fulminant, je retournais chez moi envoyant un texto à mon amant. Contrairement à toutes ces femmes de banlieue, je ne cherchais pas à avoir une vie baignant dans le mariage et la vie de famille. « Ce soir chez moi, sans faute ! » écrivais-je d’une main, alors que l’autre tenait le volant. Je n’en revenais pas que quelqu’un avait bavassé sur ma visite à Sexy. De quoi ces femmes pouvaient bien se mêler ? Elles devraient commencer par regarder leur foyer familial avant de s’intéresser à celui des autres. J’arrivais chez moi, restant un instant assis derrière le volant, regardant la porte du garage. Je prenais mon portable et autre effet, mais alors que j’allais sortir de ma voiture, je voyais Granny cette chère voisine qui avait le don de ne pas se mêler de ces oignons. « Vous rentrez tard. » disait-elle, en mettant son sac poubelle sur le bord de la route en prévision de demain sans doute. « Qu’est-ce que ça peut vous faire ? » disais-je d’un ton froid et épuisé, alors que je me dirigeais vers chez moi. Je n’aimais pas particulièrement cette femme. Tournant la poignée, je rentrais chez moi déposant tous mes effets sur la petite table près de l’entrée. Appuyant mon dos contre la porte, je poussais un soupire lasse. Me remémorant cette conversation avec McNews, alors qu’il avait découvert le fait que j’étais le père biologique de l’enfant de ma meilleure amie. En plus, il n’avait pas hésité à me dire qu’il mettrait ma vie privée sur papier, étalé au grand jour, alors qu’il me parlait de mes rencontres nocturnes et l’histoire de ma femme. À New York, j’avais été marié à une mannequin, mais l’ayant quitté sans remord, ne trouvant plus ma place dans cette bouche de l’enfer. Mais tout cela remontait à tellement d’année, que j’avais peine à croire qu’il fut si bien renseigné. J’avais perdu mon sang-froid, lui balançant un vase par la tête. On toquait à la porte, me faisant sursauter, j’ouvrais celle-ci découvrant mon amant, que j’attrapais par le col le tirant à l’intérieur. Je n’avais aucun mal à débourser pour avoir du plaisir. Le soleil s’était désormais levé et étendu dans mon lit, je le regardais dormir. Ma main allait caresser ses cheveux, attendant qu’il se réveille. |
| | | Lenaëlle G. Martins et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! Un petit plus MY LIFE TREE: There's no safer place for youthan here with me
| mot doux de Lenaëlle G. Martins ► un Sam 17 Oct - 0:41 | | | Desperate Housewives Quand le chat n'est plus là, les souris dansent Je préférais de loin voir Lullaby ne pas être distraite par un chat, un mari encombrant, un roman en train de voir ses pages s’imprimer et commencer probablement à s’étaler sur le sol, bref, tout qui était susceptible de détourner son attention de ma personne. Non pas parce que j’étais narcissique et que j’étais d’avis que tout le monde devait constamment me regarder, je n’étais pas comme cela. Cependant, avec elle, j’avais besoin de son attention, j’avais besoin d’être aimée, de croire que je pourrais avoir une vie heureuse, limite une vie de famille, ce que mon mari n’avait jamais pu me donner. D’une certaine façon, c’était sa faute si j’étais tombée dans les bras de la belle brune. Il n’avait qu’à assumer, ou plutôt, vivre sa vie comme il l’entendait, sans que je le harcèle pour qu’il tente de montrer un peu de virilité. Il devait être content ? S’il ne l’était pas, moi je l’étais, et c’était tant mieux ainsi. Pouvant pleinement profiter de la présence de Lullaby dans ma maison, sous la douche avec moi, je n’allais pas me faire prier pour le faire. Frissonnant au contact de ses mains sur ma peau, sur ces zones que je n’avais laissées libres aussi facilement à très peu de gens avant aujourd’hui, je ris doucement à ses propos, mais pas trop longtemps. Pourquoi ? Non pas parce que l’envie me manquait, mais plutôt parce que je fus soudainement beaucoup trop concentrée sur le fait sur maintenant plaquée contre le mur, j’étais plus que gâtée par les baisers de Lullaby, et je ne tardai d’ailleurs pas à lui faire savoir par de petits soupirs de bonheur et de plaisir. Toutefois, je ne manquai pas de rire de nouveau quand elle finit, finalement, par me dire bonjour, ce qu’elle n’avait pas fait après tout, et moi non plus. Toujours tout sourire, je lui répondis : « Salut… Ça va ? » en me doutant très bien de sa réponse. Non, il n’y avait pas moyen que ça aille mal quand nous étions ensemble. Enfin, dans mon cas, c’était comme ça que je pensais, et j’espérais sincèrement que la réciproque soit aussi vraie, pour tout dire. Quoiqu’il en soit, je crus avoir obtenu rapidement ma réponse mon amante remit en marche la douche, m’offrant un massage qui n’aurait pas pu me faire plus de bien. Me délectant surtout du contact de ses mains, la pression qu’elle exerçait qui éveillait chez moi des sensations qu’elle seule savait provoquer, je fermai les yeux, lâchai dans un soupir : « En tout cas moi ça ne peut qu’aller… Tu as raison quand tu dis que tu es sage… T’es un ange… » Sur ces mots, je penchai la tête vers l’arrière, passai ma main derrière la nuque de la jolie brune, et je déposai mes lèvres dans son cou pour l’embrasser une première fois, puis une seconde, avant de dire, avant un troisième baiser : « S’il te plait, dis-moi que tu n’as rien de prévu aujourd’hui… », ayant finalement envie de l’avoir non pas que pour le petit-déjeuner, mais pour pas mal plus longtemps. À défaut de l’avoir pour moi seule, compte tenu que nous étions liées par les liens du mariage – mais pas l’une à l’autre, malheureusement – je pouvais bien tenter de quémander un peu, non ? |
| | | Jonas L. Sanchez et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! ❝ Métier : Diplômer en tant qu’ingénieur urbain, mais travail comme ouvrier charpentier sur des chantiers et cherche à développer un concept de rénovation de maison avec sa tante, Jezabel. Travail toujours comme lifeguard à la piscine et la plage de LA. ❝ cupidon : Toujours là pour m'amuser, même si y'en a une qui commence à me plaire plus que les autres ! ❝ post-it : Né à la Nouvelle-Orléans, en Louisiane ► Parle l'anglais, l'espagnol et le français ► Est arrivé à Pasadena en juin 2009, suite au transfert de prison de mon père ► J'ai perdu ma mère à 3 ans et je n'ai jamais vraiment connu mon père, puisque je ne vais pratiquement jamais au parloir ► Je suis un grand fêtard qui prend la vie avec un sourire ► On peut me prendre pour un mec facile, mais je sais me montrer sérieux, seulement en ce moment je profite simplement de ma jeunesse ► Je teste des drogues pour mon meilleur ami ► Je me débrouille bien en cuisine, ma meilleure recette : spacecake ► Je suis somnambule, ce qui m'attire quelques ennuis notamment avec mes voisins
❝ pseudo : monocle. ❝ crédits : <avatar> Exotic <gif> tumblr/vercors ❝ avatar : Robbie Amell ❝ présence : Présent(e) ❝ préférences : Rp Roses ❝ disponibilité : Entièrement disponible, mpotter-moi ♥ ❝ autres comptes : AIDEN ▬ (a.levine) l'ancien soldat tourmenté par son passé, qui a trouvé refuge auprès des femmes de sa vie. GRANT ▬ (g.gustin) le puceau complètement assumé. CARTER ▬ (a.kendrick) la maman à la vie complexe. ALVIN ▬ (m.bomer) l'agent du fbi qui a une vie plus complexe qu'un labyrinthe. DEVON ▬ (k.graham) la jeune illusionniste qui allège les portefeuilles. JAMIE ▬ (d.gillies) l'homme qui ne fait confiance à personne et ne se montre pas sur son véritable jour. GWEN ▬ (s.johansson) Celle qui laisse des petits mots un peu partout pour souhaiter bonne journée aux personnes qui le liront.
anciennement : baptist ▬ parti travailler en Afrique ❝ Points : 3564 ❝ Messages : 2755 ❝ depuis : 30/11/2014 ❝ mes sujets : olivia ▬ billie ▬ thea ▬ arizona ▬ jezabel ▬ jade ▬ shana ▬ shana bros b4 hoes
| mot doux de Jonas L. Sanchez ► un Sam 17 Oct - 4:12 | | | Desperate Housewives quand les secrets sont plus gros que ce qu'on laisse croire Le soleil était à peine levé que je quittais mon domicile pour me rendre à la première maison sur mon planning. Montant dans mon camion de jardinage, je roulais sur la route encore silencieuse de la ville. Une musique s’échappait de la radio, mais je n’y portais pas plus d’attention que cela. J’étais trop occupé à revoir mon planning de ma journée. Je buvais une gorgée de café, celui-ci se renversa sur moi lorsque je passais dans un nid de poule. « Merde. » disais-je en appuyant sur le frein lorsque je voyais le feu passant au rouge. Mon t-shirt blanc prenait une teinte brune, sentant le tissu me coller à la peau, je retirais mon t-shirt avant de reprendre ma route. Au moins l’air était frais et non étouffant comme certain jour. Et puis, ma chaleur corporelle pourrait aisément compenser cette fraîcheur. J’arrivais finalement, débarquant de la camionnette, je réalisais qu’il n’y avait pas que mon t-shirt qui était imbibé de café ! Non, on aurait plutôt dit que je m’étais fait pipi dessus, poussant un soupire, je regardais dans la boîte de mon pick up cherchant dans le fouillis qui s’y trouvait déjà entre râteau, cisaille ou autres outils. J’en ressortais finalement un maillot de bain collant à la peau. Un certain dégoût s’affichait sur mon visage, mais pas le choix. J’allais me changer vite fait, arborant rien d’autre que ce shorty beaucoup trop court pour mon gabarit. Je n’étais même pas certain qu’il m’appartenait. Claquant la portière, je prenais mon matériel pour aller m’occuper du gazon ainsi que des bosquets de fleur qui se trouvait sur le terrain de Miss McFarlane. Me mettant bien vite au travail, oubliant cet accoutrement ridicule, je saluais la jeune femme en croisant son regard. Le soleil se voulait de plus en plus fort, perlant mon dos de fines gouttelettes de sueur. Essuyant au bout d’un moment mon front du revers de la main, je me redressais pour voir sortir la voisine aussi peu vêtue que je ne l’étais. Un sourire s’affichait sur mon visage, avant de reprendre le taillage de la haie. La musique qui résonnait, me faisait lever une fois de plus mon regard vers la brunette qui se préparait à laver sa voiture. Je détaillais chacune de ses courbes du regard, mordant ma lèvre. En voyant qu’elle perdait le contrôle du tuyau d’arrosage, je laissais tomber les cisailles sur le sol, me dirigeant pour l’aider. Je fus néanmoins devancé par un homme qui semblait beaucoup plus vieux que moi. Me ravisant, je retournais à mon travail, frappant avec plaisir ou non dans le tas de feuille que j’avais déjà ramassé. Je devrais donc recommencer mon travail. Je prenais donc plus de temps qu’à mon habitude, sûrement pour ne pas déranger la voisine alors qu’elle discutait ou autre avec l’homme. Soufflant comme un bœuf, j’allais à la porte de Miss McFarlane, sonnant. « Excusez-moi, je ne voulais pas vous déranger, je pourrais vous prendre un verre d’eau. Il fait une de ces chaleurs. » disais-je en agrémentant mes mots d’un large sourire comme j’avais tant l’habitude de le faire. |
| | | Aiden N. MacCallister et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! ❝ Métier : Ambulancier et vétéran des US Marine, sans compter un rôle à temps plein, celui d'être père. Il a aussi reprit ses études en médecine qu'il a longtemps abandonné. ❝ cupidon : Marié à la fille du pasteur et la trompe avec Aaron ♥ ❝ post-it : né à los angeles le 18 août 1982, mais a grandit à Pasadena ◮ a joué le rôle de père et de mère pour son frère et sa soeur durant leur enfance ◮ n'a jamais fini ses études en médecine ◮ c'est engagé dans l'armée avec son cousin et trois autres de leurs amis lorsqu'il avait 22 ans ◮ il faisait partit de l'élite de l'armée américaine, mais il a connu des drames qui l'on marqué à vie ◮ après son retour de sa première mission, au Pérou, il était devenu un junky, suite à une séquestration de plusieurs jours et absorption de drogue ◮ sauvé de sa dépendance par une jolie pompière ◮ a arrêté de courir à droite et puis à gauche pour devenir fidèle ◮ nudiste sous l'effet de l'alcool en trop grosse quantité ◮ octobre 2013, envoyé en Iraq pour une mission secrète ◮ février 2014, survit à une embuscade qui coûte la vie de son ami d'enfance, du frère de Lullaby et de tout son bataillon ◮ il revient au pays médaillé pour son courage, mais avec une épaule amochée, une jambe blessée et un esprit torturé ◮ il a une fille, Nora, née peu avant son retour ◮ octobre 2014, se mari avec Lullaby ◮ parle aux écureuils sous l'effet de la marijuana ◮ 27 juin 2015, naissance de son second enfant, Dylan ◮ Janvier 2016, reprend ses études à l'université en médecine
❝ pseudo : monocle. ❝ crédits : @vava Tik Tok @gif tumblr ❝ avatar : Adam Levine ❝ présence : Présent(e) ❝ préférences : Rp Roses ❝ disponibilité : toujours dispo ♥ ❝ autres comptes : GRANT ▬ (g.gustin) le prodige de la musique, mais l’incompétent en relation. CARTER ▬ (a.kendrick) la jeune maladroite qui s'est retrouvée les deux pieds dans le plat à Vegas. ALVIN ▬ (m.bomer) l'agent du FBI accro à la caféine et une certaine chanson ! JONAS ▬ (r.amell) l'étudiant qui aime trop la vie en arc-en-ciel. DEVON ▬ (k.graham) la jeune femme qui rêve de liberté. JAMIE ▬ (d.gillies) le canadien qui cherche à garder son visa. GWEN ▬ (s.johansson) la philanthrope qui pense aux autres avant de penser à elle, jusqu'à aujourd'hui.
anciennement : baptist ▬ parti travailler en Afrique ❝ Points : 3189 ❝ Messages : 3943 ❝ depuis : 22/07/2014 ❝ mes sujets : kylian ◮ jensen ◮ shana ◮ lullaby ◮ lullaby ◮ jones We loved with a love that was more than love – ✻ –
| mot doux de Aiden N. MacCallister ► un Sam 17 Oct - 5:09 | | | Desperate Housewives quand les secrets sont plus gros que ce qu'on laisse croire Une maison silencieux était chose commune chez nous, enfin quand les enfants dormaient et que la nounou était absente. J’avais croisé son époux en allant sortir les déchets avant que les vidangeurs ne passent. Il m’avait confié ne pas savoir où elle était. Dommage. Je retournais à l’intérieur, ayant l’intention de l’appeler, mais en rentrant j’entendais le percolateur de la cafetière qui touchait à sa fin. Me prenant une tassé de café noir, je portais une fois de plus mon regard sur le journal. Me décidant finalement à le jeter dans le bac de recyclage. On sonnait à la porte, et j’allais ouvrir arrivant devant ma belle-mère qui m’avait en sainte horreur, chose plus que réciproque. « Les enfants sont prêts ? » demanda-t-elle, alors que je buvais une gorgée, la regardant par-dessus ma tasse. J’haussais les épaules, je n’avais pas la moindre idée du pourquoi elle était là. Je ne savais même pas où se trouvait sa fille, alors bon. Elle me regardait avec dédain et je lui rendais avec un large sourire. « Ma fille n’aurait jamais dut épouser un mec comme toi. » me disait-elle en montant les marches pour se rendre à l’étage. « Peut-être, mais pour l’instant je suis toujours son mari. Qu’importe ce que vous en pensez. » répliquais-je sachant bien entendu mieux qu’elle que notre couple était sur la dérive et seul l’apparence qu’on offrait à nos voisins comptait réellement. Ne portant pas d’attention au bruit à l’étage, j’allais lire les dernières nouvelles sur l’ipad trainant dans la cuisine. De bruits de pas dévalant l’escalier, je ne disais même pas au revoir à mes enfants. Peut-être que dans une autre vie j’aurais été plus proche d’eux, mais là, je passais tellement de temps à l’hôpital que je ne les connaissais même pas. J’ignorais même comment j’avais trouvé le temps pour en faire deux aussi rapprocher soient-ils. La maison redevenue silencieuse, je montais à l’étage reprenant mon portable que j’avais laissé sur la table de nuit. Un autre message. Mais cette fois, il n’était pas de la même femme que celui de mon réveil. Combien avais-je de maîtresse, bien assez pour oublier mes désagréments conjugaux. Je griffonnais tout de même un mémo à l’intention de Lullaby que je laissais sur le frigo, disant que j’avais eu une urgence. Urgence qui n’avait à priori aucun soucis médical, enfin façon de voir les choses. Je connaissais certain traitement qui avait besoin d’une auscultation bien particulière. Prenant ma mallette, je quittais la maison, vérifiant avant de sortir si ma cravate était bien lisse et droite. Dehors, je saluais une nouvelle fois Simon et sa fille, puis je montais dans ma voiture. Dans un départ électrique, je conduisais jusqu’à une maison non loin de la mienne. Montant sur l’allée du garage, je laissais la porte monter, avant de me stationner à l’intérieur du garage, cachant ainsi ma présence sur les lieux. Sortant de ma voiture luxurieuse, je portais mon regard sur une femme se tenant près de la porte qui conduisait à l’intérieur de la maison. « Salut. » Je claquais la portière, contournant la voiture avant de m’approcher d’elle. « On a tout le temps qu’il nous faut, j’ignore où elle peut être. » disais-je en glissant ma main sur sa nuque, approchant mes lèvres pour lui donner un baiser plus que passionné, simplement torride. HJ : À qui veux bien être la femme en question |
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