l'avatar des scénarios ou membres des familles sont totalement discutables pour autant qu'ils ne soient pas dans le bottin !
Venez car plus on est de fous et plus on rit, non ? Chocolat et guimauves en cadeaux !
bonjour les YFTiens et pleins de calins pour vous ainsi que tout notre amour !
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Invité et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! Invité
| mot doux de Invité ► un Sam 17 Oct - 14:44 | | | Desperate Housewives quand les secrets sont plus gros que ce qu'on laisse croire
Christeen avait donné son dernier cours de gym suédoise de la semaine à vingt-et-une heures la veille. Après soixante minutes de programme en musique, d'effort et de t-shirt mouillés ainsi que les habituels bavardage, la blonde avait retrouvé son logis sur les coups vingt-deux heures trente. Elle était partie sous la douche pour délasser ses muscles fatigués et avait passé un peignoir pour aller dans la cuisine se préparer une infusion pomme-cannelle et terminer la soirée devant un match de hockey sur glace compta pour la NHL dans lequel jouait la ville qu'elle supportait : les Blackhawks de Chicago. Le petit bonus du match était que celui-ci était commenté par l'un de ses frères. Elle sourit en entendant sa voix et lui envoya un message entre le premier et le deuxième tiers-temps qui correspondait à la coupure pub pour lui. Et quitte à avoir son téléphone entre les mains, le frelu Harper ne fut pas le seul à recevoir un message. A la fin du match, l'ancienne flic censée être en reconversion professionnelle quitta le canapé pour aller retrouver son lit douillet.
Le lendemain matin, Chris s'autorisa une petite grasse matinée mais n'étant pas tout à fait de ceux qui peuvent trainer au lit pendant des heures en solitaire, la trentenaire finit par se lever quand un livreur vînt sonner à la porte. Dans sa flemmardise, la prof de gym avait un peu oublié qu'elle avait fait quelques courses sur internet quelques jours auparavant et que la livraison était programmée ce matin-là. Elle accueillit le jeune homme en uniforme en peignoir, tant pis. Les colis atterrirent dans la cuisine et alors que la phase de déballage et de rangement était en cours la blonde mit de l'eau à chauffer dans la bouilloire électrique. Une fois la corvée terminée, Christeen envoya un petit message à Aiden ne sachant si elle aurait une réponse rapidement ou non. Si rien ne vînt par voie électronique, c'est avec un agréable étonnement qu'elle entendit la porte du garage s'actionner. Elle quitta la cuisine pour vérifier l'identité de la personne qui venait lui rendre visite. On ne savait jamais, d'ici qu'il s'agisse d'un serial killer pirateur de portes de garage... Mais non, personne d'autre qu'Aiden. « Salut Doc » répondit-elle en se mordillant la lèvre inférieure alors qu'il venait vers elle et lui apprenait l'excellente nouvelle dont il était porteur. Tandis que sa main allait vers sa nuque, Chris attira Aiden vers elle en tirant légèrement sur sa cravate. Leurs lèvres se séparèrent au terme d'un échange qui avait déjà donné de doux frissons à la prof de gym. « Profitons-en alors » murmura-t-elle au creux de l'oreille de l'intéressé.
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| | | Holden J. Jones et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! Un petit plus MY LIFE TREE: parce que papajones elle n'a pas encore son rang ♥
| mot doux de Holden J. Jones ► un Sam 17 Oct - 21:23 | | | Desperate Housewives quand les secrets sont plus gros que ce qu'on laisse croire La nuit avait été longue, entravée par cette fatigue trop pesante pour laisser au corps la liberté de sombrer dans le sommeil. C'est un verre, puis un autre, qu'Holden avait choisi pour compagnie. Un oeil vitreux tourné vers la télévision, Holden porta une main tremblante jusqu'à ses lèvres, laissant le liquide ambré s'y déverser. Quelques gouttes s'en échappèrent, dévalant ses clavicules et venant imbiber le tissu de sa chemise. Il ne s'en formalisa pas. Ses doigts maladroits vinrent tirer le nœud de sa cravate qui semblait l'étouffer. Le doublage médiocre d'une telenovela venait briser le silence régnant dans le salon. C'est ici qu'il résidait depuis plusieurs nuits, ayant été bannis de la chambre parentale. Ce n'est pas comme s'il avait envie d'y être de toute manière. Le couple parfait en apparence était tout autre une fois dans l'intimité de leur maison. Holden était devenu aigri au fil des années, assumant les coups jusqu'à ne plus pouvoir les encaisser. La femme qu'il avait épousé n'était plus la même et il se sentait étouffer en sa présence. Mais il y avait des regards un peu trop avides et des attentes un peu trop pures dans ce quartier, si bien que tout n'était que prétentions. Et mon Dieu qu'Holden savait faire front. Le temps d'un dîner entre amis, il pouvait s’éprendre de touchers légers et affectifs, de remarques adorables et ancrées de longues années de mariage. Oui, il savait faire semblant. Une fois chez eux, le couple se transformait presque en étrangers, multipliant grandes disputes et longs moments d'ignorance. Holden finit enfin par sombrer, le verre s'échappant de ses doigts lâches pour tomber dans un bruit sourd sur le tapis. C'est bien trop tôt qu'il fut réveillé par le bruit de vaisselle qui s'entrechoque. Jane dans la cuisine, faisant un boucan pas possible pour une femme qui essayait juste de se faire des toasts!! Sans aucun doute qu'elle cherchait juste à l'énerver. L'histoire de sa vie. Holden se releva, portant automatiquement une main à sa tempe douloureuse. Ugh, affronter Jane était déjà insupportable désormais, alors avec une gueule de bois, ça allait juste être charmant. Holden se porta jusqu'à la cuisine, posant un regard noir sur sa femme avant de se diriger vers la machine à café. « Je vais chez Lulla chercher les enfants » lui dit-elle soudainement. Il ne lui avait rien demandé, mais il se refréna d'en dire autant. Sans doute était-ce juste une manière de lui rappeler que ses petits-enfants allaient être là et qu'il ferait mieux d'être présentable devant eux. La garce. « Tu m'en vois ravi », railla-t-il, la voix lourde de sarcasme. C'est sur que ce n'est pas lui qui allait s'y coller! Holden avait beau aimer sa fille de tout son cœur, c'était mieux pour tout le monde qu'il limite ses interactions avec Aiden! Ce misérable....ugh, un jour Holden allait lui mettre son poing dans la figure et personne ne l'y empêcherait. D'autant plus vu la tournure que prenait le mariage entre Aiden et Lullaby. Jane pinça les lèvres, l'agacement présent dans chaque trait de son visage. « La femme de ménage ne va pas tarder » claqua-t-elle avant de se lever, attrapant sac à main et veste et claquant la porte derrière elle. La femme de ménage, voilà qui était presque devenu le seul point agréable de ses journées. La jeune employée était aussi belle qu'agréable et le temps de quelques mots échangés, Holden pouvait presque oublier qu'il détestait chaque aspect de sa vie.
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| | | Devon R. Floyd et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! ❝ Métier : Illusionniste dans un cirque ambulant, pickpocket et voyante, rien que ça ! Mais c'est ça la vie de bohème ♥ ❝ cupidon : En couple avec Andrew ♥ ❝ post-it : née à Santa Monica le 31 juillet 1994 ▬ a perdu sa famille à six ans ▬ possède le cœur de sa sœur jumelle ▬ a fuie sa première famille d'accueil ▬ elle n'a jamais été à l'école, elle a tout appris par elle-même en lisant des livres qu'elle volait ou en écoutant des cours sous la fenêtre d'une classe ▬ a grandi dans une famille qui forme un cirque ▬ n'a plus de souvenir de sa vie avant la mort de ses parents et sa sœur ▬ pour se nourrir, elle a apprit à voler et plus encore ▬ rêve de liberté ▬ il y a deux ans, elle a eut un accident de voiture qui a causer la mort de son copain. depuis, elle n'a jamais revue ses amis qui ont survécus ▬ elle a vu plus d'une centaine d'endroit aux états-unis ▬ elle fuit le cirque, en février, avec son frère de coeur ▬ arrivée à pasadena en croyant que c'était un hasard, et pourtant... ▬ adore le shopping dans des bazars ▬ a trouvé un chien, qu'elle a appelé Baloo ▬ raffole des cerises ▬ adore les choses simples ▬ ni connait rien à la technologie
MY ARTISTIC NAME IS COCO ☆
❝ pseudo : monocle. ❝ crédits : avatar chounette / gif tumblr ❝ avatar : Katerina Graham ❝ présence : Présent(e) ❝ préférences : Rp Roses ❝ disponibilité : Demandez, je vous dirai ♥ ❝ autres comptes : AIDEN ▬ (a.levine) l'ancien soldat tourmenté par les fantômes de son passé. GRANT ▬ (g.gustin) le geek stéréotypé qui n'aime pas les étiquettes pré-faites. CARTER ▬ (a.kendrick) la nouvelle maman qui profite des plaisirs d'avoir un enfant, mais ignore ce qu'est la vie de parent à deux. ALVIN ▬ (m.bomer) l'homme a la vie rocambolesque et pire qu'un roman policier. JONAS ▬ (r.amell) le jeune adulte prêt à s'amuser, mais qui est aussi tendre qu'un bisounours. JAMIE ▬ (d.gillies) le rationaliste qui ne croit pas à l'imagination, sauf celle de ses propres mensonges. GWEN ▬ (s.johansson) la jeune femme qui n'a pas peur de se briser un ongle et qui est fan des Red Sox.
anciennement : baptist ▬ parti travailler en Afrique ❝ Points : 3186 ❝ Messages : 1497 ❝ depuis : 21/06/2015 ❝ mes sujets : lenaëlle ▬ jared ▬ jones ▬ julian ▬ andrew ▬ andrew ▬ grace Closer you look less you'll see
| mot doux de Devon R. Floyd ► un Sam 17 Oct - 22:38 | | | Desperate Housewives quand les secrets sont plus gros que ce qu'on laisse croire Assis devant ma maquilleuse, je me coiffais d’un chignon lissé. Malgré tous mes efforts pour le rendre bien lisse, quelques mèches retombaient. J’abandonnais donc l’idée, voyant bien que c’était inutile, mes cheveux étaient devenus bien trop court pour cela. Enfilant une robe bleu poudre, je me regardais dans le miroir. Je détestais cette tenue vestimentaire, mais puisque ma patronne m’obligeait à la mettre, je n’avais pas le choix si je désirais garder mon emploi. Je nouais un tablier à ma taille, regardant s’il n’y avait pas un faux pli. Rien tout me semblait impeccable, je prenais mon sac à main et descendais pour trouver ma sœur lisant le journal. Je voyais la photo d’un journaliste décédé en première page. Je me demandais bien ce qui pouvait lui être arrivé. « Bon j’y vais, passe une belle journée. » disais-je à celle qui était ma copie conforme. Elle ne levait pas son regard du journal, je savais qu’elle n’aimait pas particulièrement que je travaille comme femme de ménage, mais je n’avais d’une certaine façon pas trop le choix. Elle n’aimait pas trop non plus comment je décrivais l’homme pour qui je travaillais. Montant dans ma voiture, je quittais mon quartier minable pour me rendre dans ce coin de la ville où les maisons étaient toutes luxurieuses, des terrains verdoyants et décoré de fleurs de toutes les couleurs. Les voitures semblaient toutes hors de prix. Me stationnant devant la maison où je travaillais, je m’arrêtais pour prendre le courrier, puis utilisant ma clé, j’entrais sans m’annoncer. C’était tellement quelque chose de routinier que je le faisais sans même hésiter. J’avançais dans la maison, arrivant dans la cuisine où je trouvais M. Jones. « Bon matin. J’ai ramené le courrier. » disais-je en déposant celui-ci sur le plan de travail. Je lui adressais un sourire chaleureux et remarquais une tâche sur sa chemise. « Une dure soirée ? » demandais-je en farfouillant dans mon sac à main pour en sortir deux cachets contre le mal de tête. M’approchant, je déposais ceux-ci dans sa main, avant de lui verser une tasse de café. Pinçant mes lèvres, je le regardais et m’approchant doucement, je défaisais sa cravate, évitant bien entendu de plonger mon regard dans le sien. « Je ne comprends pas… » soufflais-je en relevant mon regard vers cet homme d’âge mûr. « Vous semblez tellement gentil, pourquoi est-elle si vile ? » demandais-je sans réaliser que je ne me mêlais pas de ce qui me regardait. « Je suis désolée, je n’aurais pas dû dire cela. Ça ne me regarde pas. » rectifiais-je voyant bien que je n’avais pas mon mot à dire sur leur histoire de couple. Mes doigts descendirent pour commencer à déboutonner sa chemise tâchée. Observant plus mes doigts que lui, je sentais mon cœur s’emballer. « Vous devriez prendre une douche, je vais laver votre chemise. » disais-je en remontant mon regard pour le croiser avec le sien. C’était étrange, j’aimais bien discuter avec cet homme, mais pour la première fois ou peut-être que non, je le regardais autrement. |
| | | Aiden N. MacCallister et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! ❝ Métier : Ambulancier et vétéran des US Marine, sans compter un rôle à temps plein, celui d'être père. Il a aussi reprit ses études en médecine qu'il a longtemps abandonné. ❝ cupidon : Marié à la fille du pasteur et la trompe avec Aaron ♥ ❝ post-it : né à los angeles le 18 août 1982, mais a grandit à Pasadena ◮ a joué le rôle de père et de mère pour son frère et sa soeur durant leur enfance ◮ n'a jamais fini ses études en médecine ◮ c'est engagé dans l'armée avec son cousin et trois autres de leurs amis lorsqu'il avait 22 ans ◮ il faisait partit de l'élite de l'armée américaine, mais il a connu des drames qui l'on marqué à vie ◮ après son retour de sa première mission, au Pérou, il était devenu un junky, suite à une séquestration de plusieurs jours et absorption de drogue ◮ sauvé de sa dépendance par une jolie pompière ◮ a arrêté de courir à droite et puis à gauche pour devenir fidèle ◮ nudiste sous l'effet de l'alcool en trop grosse quantité ◮ octobre 2013, envoyé en Iraq pour une mission secrète ◮ février 2014, survit à une embuscade qui coûte la vie de son ami d'enfance, du frère de Lullaby et de tout son bataillon ◮ il revient au pays médaillé pour son courage, mais avec une épaule amochée, une jambe blessée et un esprit torturé ◮ il a une fille, Nora, née peu avant son retour ◮ octobre 2014, se mari avec Lullaby ◮ parle aux écureuils sous l'effet de la marijuana ◮ 27 juin 2015, naissance de son second enfant, Dylan ◮ Janvier 2016, reprend ses études à l'université en médecine
❝ pseudo : monocle. ❝ crédits : @vava Tik Tok @gif tumblr ❝ avatar : Adam Levine ❝ présence : Présent(e) ❝ préférences : Rp Roses ❝ disponibilité : toujours dispo ♥ ❝ autres comptes : GRANT ▬ (g.gustin) le prodige de la musique, mais l’incompétent en relation. CARTER ▬ (a.kendrick) la jeune maladroite qui s'est retrouvée les deux pieds dans le plat à Vegas. ALVIN ▬ (m.bomer) l'agent du FBI accro à la caféine et une certaine chanson ! JONAS ▬ (r.amell) l'étudiant qui aime trop la vie en arc-en-ciel. DEVON ▬ (k.graham) la jeune femme qui rêve de liberté. JAMIE ▬ (d.gillies) le canadien qui cherche à garder son visa. GWEN ▬ (s.johansson) la philanthrope qui pense aux autres avant de penser à elle, jusqu'à aujourd'hui.
anciennement : baptist ▬ parti travailler en Afrique ❝ Points : 3186 ❝ Messages : 3943 ❝ depuis : 22/07/2014 ❝ mes sujets : kylian ◮ jensen ◮ shana ◮ lullaby ◮ lullaby ◮ jones We loved with a love that was more than love – ✻ –
| mot doux de Aiden N. MacCallister ► un Dim 18 Oct - 3:55 | | | Desperate Housewives quand les secrets sont plus gros que ce qu'on laisse croire Oubliant ces histoires de couples parfaits, je quittais ma maison vide, pour me rendre à quelques pâtés de maison plus loin. Il était plus dur de cacher une aventure proche de chez soi, mais j’avais tout un tas d’excuse possible à donner au cas où elle en venait à me poser des questions. Me stationnant dans le garage de la jeune femme, je sortais de ma voiture. J’avais à peine fait quelque pas vers elle, que je me laissais harper, suivant l’attraction de la cravate, glissant ma main dans son cou. Mes doigts se glissèrent dans ses cheveux blonds, prenant une certaine emprise sur elle. Nos lèvres s’entrechoquant dans un baiser enflammé, je me reculais libérant mon emprise. Un sourire s’étirait sur mes lèvres, un sourire qu’on pouvait qualifier de carnassier et qui en disait long, très long. Croisant mon regard avec le sien je tentais d’y lire une quelconque envie. « J’y compte bien. » disais-je en faisant un pas vers elle, me transformant en loup qui voulait croquer cette petite brebis. Le jeu du chat et de la souris était bien plus de mon domaine que la romance et les pétales de roses dessinant un chemin. Avançant, je l’obligeais à reculer jusqu’au mur derrière elle. « Dis c’est pour moi que tu es si peu vêtu ou tu voulais impressionner le facteur ? » demandais-je tout en lui prenant la main, la passant par-dessus sa tête, faisant de même avec la seconde. Je retenais ses poignets d’une main. Doucement, j’écartais les pants de son peignoir et tirait d’un coup sec sur la ceinture pour lui retirer. Mes doigts glissèrent sur son ventre plat, s’arrêtant à sa culotte glissant ceux-ci avant d’aller mordre son trapèze tirant délicatement dans des petits gestes furtifs. Parfois doux d’autre fois plus voraces. Je remontais le long de son cou, allant agripper son lobe d’oreille. Mordillant celui-ci avec taquinerie, je lui susurrais de simple mot qui en disait très long sur mes intentions à son égard. Tourner autour du pot ce n’était pas pour moi, je cachais déjà assez de choses, inutile de le faire avec l’une de mes maitresses. Surtout si c’était pour quelque chose qu’on savait tous les qui allait se réaliser. « On monte où tu préfères le faire ici ? » Personnellement, que ce soit sur le sol, la table à manger ou dans un lit peu m’importait. Je collais mon bassin contre elle, sachant très bien qu’elle sentirait cette excitation que j’avais dans mon pantalon. C’était sensuel, pervers et puis qui pouvait refuser de vivre ce genre d’histoire alors que tout le monde dans les environs s’adonnait à ce genre de plaisir. J’étais le premier à en bénéficier, mais il était hors de question que je quitte ma femme ou toute autre perspective. J’avais une image à garder et même si je n’étais pas heureux, c’était mieux que d’affronter un divorce ou encore d’offrir à mes enfants la vie de parent divorcé. Autant vivre malheureux dans ma propre maison, mais trouver mon bonheur dans les bras d’une autre. |
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| mot doux de Invité ► un Dim 18 Oct - 15:03 | | | Desperate Housewives quand les secrets sont plus gros que ce qu'on laisse croire
Christeen n'aurait jamais pensé être un jour la maîtresse d'un homme marié. Elle n'était pas ce genre de femmes. La fidélité était une valeur importante à ses yeux et quand elle avait été mariée elle n'aurait pas pu tromper son mari. L'ancienne militaire n'aurait en effet plus été en mesure de se regarder dans un miroir. Et puis, il y avait eu Aiden. Celui qui avait fait voler en éclats toutes ses certitudes. Savoir qu'il n'était pas heureux dans son couple n'excusait en rien ce qu'il faisait à Lullaby mais il fallait parfois penser égoïstement. L'ancienne flic n'était pas dupe et à avoir l'attitude du médecin, cette dernière connaissait d'avance la suite du programme. Entrant dans son jeu, la blonde recula jusqu'à se retrouver acculée contre le mur les yeux pétillants d'envie. Il remarqua sa tenue, il était vrai qu'elle était parfaitement vêtue pour l'occasion. Le hasard faisait parfois bien les choses. « Pour toi bien sûr. » répondit-elle avec malice. Ce n'était pas totalement vrai et il croirait bien ce qu'il voudrait de toute manière d'ici peu, la tenue d'Eve viendrait remplacer l'actuelle. La blonde n'opposa pas grande résistance quand il lui bloqua les poignets. A mesure qu'elle subissait ses premiers assauts, Harper ferma les yeux et se mordit la lèvre inférieure en se retenant de gémir. Elle ne voulait pas lui donner l'impression d'être une proie trop facile malgré des traitements des plus appropriés. Mais qu'il se rassure, son heure viendrait à lui aussi. Christeen saurait le faire languir et provoquer chez les lui les mêmes frissons et les mêmes frustrations. Les mots qu'il lui susurra à l'oreille aussi inutiles fussent-ils ne firent qu'attiser les flammes naissantes. Le bel étalon n'était pas en reste à en juger par ce qu'elle sentit contre son bas-ventre quand leurs bassins se collèrent. « J'ai de nouveaux draps à étrenner mais ils peuvent attendre... » glissa-t-elle à son oreille en prenant soin de ne pas cacher son impatience. La chambre paraissait si loin alors que la cuisine et le salon étaient si proches. Elle retrouva alors l'usage de ses mains et la belle ne le laissa pas s'échapper tout de suite. Utilisant de nouveau sa cravate pour le garder près d'elle, la blonde s'empara de ses lèvres pour un ballet de baisers fiévreux qui les emmenèrent jusqu'au salon plongé dans une obscurité relative. Le volet roulant était en effet à peine relevé et laissait passer dans la pièce un mince rayon de lumière. Sur le court chemin, Christeen profita d'avoir retrouvé sa liberté de mouvement pour faire perdre à Aiden sa veste et défaire bonne partie des boutons de sa belle chemise. Le bougre n'avait pas sa chemise à boutons pression aujourd'hui sinon l'affaire aurait été bien plus vite réglée.
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| mot doux de Invité ► un Jeu 22 Oct - 1:44 | | | Desperate Housewives venez faire la fête -zbaff- plus on est de four, plus on riz ! Nous avions dans le fond une façon étrange de nous saluer mais après tout ? Nous nous réveillions parfois sans même nous en rendre compte ensemble grâce à nos pensées. L’amour que j’avais pour elle me renvoyait aux flirts de lycées. Ces premiers pas vers l’autre et cette passion encore florissante à se cacher derrière les portes et dans les vestiaires pour un baiser volé et parfois désiré. Cela me faisait étrange dans le fond et je me demandais souvent comment j’avais fait pour prendre cette direction. Moi qui aimait mon mari mais qui aimait tout autant Lenaelle. L’amour envers Aiden n’était sûrement qu’une affection après toutes les années mais dans le fond ? J’aimais mes enfants surtout. La jeune femme me demandait comment ça allait et je lui souriais tout naturellement. J’allais derrière elle pour masser mon dos tout en me délectant des sensations que mes doigts pouvaient sentir sur sa peau chaude. Je souriais doucement en l’entendant me dire que j’étais un ange. Je continuais en sentant sa main effleurer ma nuque, réveillant des petits frissons en moi. Je sentais ses lèvres à mon cou, j’entendais sa voix effleurer mes tympans. Je fermais délicatement les yeux pour profiter des sensations que provoquaient des simples mots. La simple idée de passer une journée avec elle me ravivait. « Je crois bien ! », lui disais-je alors que je rouvrais les yeux doucement mais c’est à ce moment-là assez subi que le chaton sautait dans la douche, j’en sursautais, tombant de la douche pour me retrouver au sol. Ça m’apprendra de ne pas avoir fermée la porte en y mettant la tête. Je me retrouvais en sous-vêtements, trempées et le cul par terre alors que l’eau avait par magie éclaboussée le sol. On ne peut pas être brune et intelligente par moment. Non. On ne peut pas. Je devais être comme un kinder à croire. Je grimaçais à la douleur que je ressentais à la région de mes fesses et le chaton me sautait quant à lui sur le ventre avant de ronronner et venir se frotter à mon menton. Les 4 fers en l’air. « A l’aiiiiiide… », disais-je alors avant de me redresser en prenant le chaton dans mes bras. « Je crois qu’il hésite encore entre l’amour ou pas avec moi ou il ne veut pas qu’on reste ensemble trop longtemps. Simon l’a payé en croquettes ? », demandais-je alors en fronçant les sourcils. « Il lève quand même moins la queue que ce chat ! », lâchais-je alors subitement avec un rire ironique après mais je fermais aussitôt la bouche. Ce n’était pas bien de me moquer de cet homme qui était un ami de la famille tout de même mais il partageait son lit bien plus souvent que je ne le pouvais ce qui réveillait bien trop de jalousies en moi. Je posais le chaton sur le sol en allant m’assoir sur un tabouret avec une moue aussitôt. « J’ai mal au cul ! », raillais-je alors que je me relevais aussitôt en frottant mes fesses. |
| | | Lenaëlle G. Martins et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! Un petit plus MY LIFE TREE: There's no safer place for youthan here with me
| mot doux de Lenaëlle G. Martins ► un Lun 26 Oct - 17:58 | | | Desperate Housewives Quand le chat n'est plus là, les souris dansent Nous avions beau ne rien faire de trop osé pour le moment, il était tout de même indéniable que la température était quand même en train de monter et franchement, ce ne serait pas pour me déplaire. Les yeux fermés, susurrant des douces paroles à mon amante, j’oubliais le reste du monde, j’oubliais tous mes tracas, j’oubliais mon mari en ne pensant même pas qu’il aurait dû être rentré à cette heure tellement je m’en moquais. Je me sentais bien, je me sentais heureuse, et c’était tout ce qui comptait à ce moment précis. Bien décidée à faire durer ce moment sous la douche autant que possible, me disant que les voisins n’avaient qu’à aller au diable s’ils venaient à manquer d’eau chaude, je voulus embrasser Lullaby avec un peu plus de ferveur, mais soudainement, une boule de poils qui aurait dû normalement détester l’eau vint se taper l’incruste, venant gâcher tout le moment. Pourquoi fallait-il que je sois tombée sur le chat le plus anormal du monde ? Sa perversité, je pouvais encore la prendre, parce qu’au moins, lui, il était capable de me tenir au chaud la nuit, mais pourquoi fallait-il que soudainement, il aime prendre une douche ? Décidément, jamais je ne pourrais comprendre celui-ci, comme jamais je ne pourrais comprendre pourquoi Simon avait un cornichon aussi mou, peu importe ce que je faisais pour essayer de l’éveiller un peu. Au moins, j’avais de quoi pallier à cela, quelque chose, ou plutôt quelqu’un de pas mal mieux en la personne de Lullaby même si, pour le moment, la pauvre était étalée par terre dans la douche, criant à l’aide comme si elle était dans un épisode de Lost. Évidemment, même si, connaissant mon chat, la situation ne me faisait pas vraiment paniquer – elle me frustrait, mais je n’allais quand même pas appeler les pompiers, surtout que c’est Simon qui pourrait débarquer ! – je vins en aide à ma belle en l’aidant à se relever. Fronçant les sourcils à son commentaire, je ne pus m’empêcher d’éclater de rire quand elle vint à comparer un chaton à Simon, m’arrachant un : « Si seulement il pouvait faire des bébés… » Cependant, je ne m’attardai pas trop à cela, sortant de la douche tandis que Lullaby se posait sur un tabouret, se plaignant aussitôt d’avoir mal aux fesses. Ce fut alors plus fort que moi, le seul propos qui sortit de ma bouche se résuma à : « Ma pauvre… laisse-moi te donner un coup de main ! » Sans attendre plus longtemps, je m’approchai de ma bien-aimée, passai mes bras autour d’elle pour faire ce qu’elle avait fait exactement plus tôt, soit poser mes mains sur son derrière, histoire de le lui masser gentiment. Si j’avais eu un peu de crème, ou quoi que ce soit, peut-être que je lui en aurais proposé, mais pour le moment, je me contentai de ce soin fait avec amour par mes mains. La seule chose que je trouvais dommage, c’était qu’à cause de Pumpkin, ce que nous étions en train de bâtir plus tôt était maintenant un peu gâché. C’était fâcheux, quand même. Optimiste, je vins à me dire que sûrement que cela reviendrait. Entre Lullaby et moi, cela revenait toujours, les retrouvailles étaient toujours plus torrides à chaque jour. Par conséquent, après avoir déposé un petit baiser dans son cou, je lâchai mon emprise sur son postérieur, attrapai une serviette que je lui tendis tandis que j’en prenais une pour moi-même, avant de lui dire : « Alors, on va le prendre, ce petit-déjeuner ? Ou bien tu préfères aller dans un resto en ville ? »
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| | | Kylian J. Hemsworth et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! P.S: If it is Austin, I still love you ♥
| mot doux de Kylian J. Hemsworth ► un Lun 26 Oct - 18:01 | | | Desperate Housewives Quand le chat n'est plus là, les souris dansent La soirée de la veille avait été on ne peut plus mouvementée, mais cela n’avait pu être que pour la bonne cause. Pour commencer, ce n’était pas n’importe quelle soirée, c’est-à-dire que c’était celle du lancement de mon dernier livre de recettes, celui sur lequel j’avais tant travaillé pour offrir à tous ces apprentis cuisiniers, ces mères au foyer, ces hommes qui voulaient tout faire pour épater l’être aimé, des recettes qui allaient plaire à tout le monde, qui allait m’apporter argent et respect. D’accord, je n’avais pas écrit ce livre à proprement parler, je m’étais contenté de donner que les recettes qui iraient dedans, mais quand même, c’était ma photo qui était sur la page couverture, c’était mon autographe que les gens viendraient chercher dans les prochains jours lors de ma tournée des librairies, émissions de cuisine, talk-show et j’en passais. Après avoir fait la fête toute la soirée, je m’étais donc retirée dans cette grande maison de Pasadena que j’utilisais pour me reposer, passer du temps avec mon amant, faire tout ce que je voulais. Lorsque j’étais rentrée, je n’avais même pas pris la peine de me dévêtir, retirant mes chaussures et m’allongeant sur le matelas en m’endormant direct. Plus encore, j’avais même oublié de retirer mon téléphone portable de mon soutien-gorge, faisant en sorte que le matin, je me fis brutalement réveiller par… un sein vibrant. Maugréant dans un premier temps, je devins soudainement un peu plus réceptive quand je vis de qui le message provenait. Un petit sourire malicieux au lèvres, je répondis à cet homme pour qui j’étais exprès revenue passer quelques jours ici avant de repartir en tournée, bien contente de voir que celui-ci semblait aussi ravi que moi à l’idée que nous passions du temps ensemble. Sitôt, je lui répondis, reposai le téléphone sur la table de nuit, me disant que j’avais encore un peu de temps pour dormir si je le voulais. Cependant, cela fut de courte durée, puisque rapidement, j’entendis sonner à la porte. Cette fois-ci, un message mignon ne put aider ma cause, faisant en sorte que sitôt, je râlai : « Oh merde, ce n’est pas vrai… » mais il fallait bien que j’aille voir. Et si c’était mon ex qui emmenait mon fils pour le week-end et que je l’avais oublié ? J’espérais bien que non, autrement, tous mes plans tomberaient à l’eau et franchement, je n’en avais pas envie. Non pas que je n’avais pas envie de le voir, cet enfant, parce que je l’aimais comme la prunelle de mes yeux, même si je ne le voyais pas souvent. D’ailleurs, avait-il reçu le dernier cadeau que je lui avais envoyé ? Je n’eus pas vraiment le temps de me poser la question, et je n’eus pas le courage non plus, parce qu’il me fallut tous les efforts du monde pour me lever, me rendre à la porte, et finalement l’ouvrir, encore vêtue de ma robe, décoiffée, un reste de maquillage sous les yeux. En ouvrant la porte, je dis aussitôt : « Qu’est-ce que tu veux ? C’est le matin ! » avant même de voir de qui il s’agissait. Quand je me rendis compte que c’était là le jardinier, torse nu qui plus est, je me calmai un peu, et je dis : « Ah… Ouais… Attends une minute… » Je fis alors demi-tour, lui montrant alors mon dos, composé de ma robe à moitié dégrafée. Peut-être j’avais un peu trop bougé pendant la nuit, je ne m’en étais même pas rendu compte. Dans la cuisine, je pris une bouteille d’eau, puis au moment de revenir à la porte, la robe finit par complètement abandonner la bataille pour rester mon corps, me laissant alors en sous-vêtements au milieu de la cuisine. Lâchant soudainement un « Merde ! » que le pauvre jardinier avait dû entendre, je commençai alors à bagarrer tant bien que mal avec ma tenue pour être le moindrement présentable devant mon employé, ayant complètement oublié la présence de ce dernier l’espace d’un instant. |
| | | Jonas L. Sanchez et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! ❝ Métier : Diplômer en tant qu’ingénieur urbain, mais travail comme ouvrier charpentier sur des chantiers et cherche à développer un concept de rénovation de maison avec sa tante, Jezabel. Travail toujours comme lifeguard à la piscine et la plage de LA. ❝ cupidon : Toujours là pour m'amuser, même si y'en a une qui commence à me plaire plus que les autres ! ❝ post-it : Né à la Nouvelle-Orléans, en Louisiane ► Parle l'anglais, l'espagnol et le français ► Est arrivé à Pasadena en juin 2009, suite au transfert de prison de mon père ► J'ai perdu ma mère à 3 ans et je n'ai jamais vraiment connu mon père, puisque je ne vais pratiquement jamais au parloir ► Je suis un grand fêtard qui prend la vie avec un sourire ► On peut me prendre pour un mec facile, mais je sais me montrer sérieux, seulement en ce moment je profite simplement de ma jeunesse ► Je teste des drogues pour mon meilleur ami ► Je me débrouille bien en cuisine, ma meilleure recette : spacecake ► Je suis somnambule, ce qui m'attire quelques ennuis notamment avec mes voisins
❝ pseudo : monocle. ❝ crédits : <avatar> Exotic <gif> tumblr/vercors ❝ avatar : Robbie Amell ❝ présence : Présent(e) ❝ préférences : Rp Roses ❝ disponibilité : Entièrement disponible, mpotter-moi ♥ ❝ autres comptes : AIDEN ▬ (a.levine) l'ancien soldat tourmenté par son passé, qui a trouvé refuge auprès des femmes de sa vie. GRANT ▬ (g.gustin) le puceau complètement assumé. CARTER ▬ (a.kendrick) la maman à la vie complexe. ALVIN ▬ (m.bomer) l'agent du fbi qui a une vie plus complexe qu'un labyrinthe. DEVON ▬ (k.graham) la jeune illusionniste qui allège les portefeuilles. JAMIE ▬ (d.gillies) l'homme qui ne fait confiance à personne et ne se montre pas sur son véritable jour. GWEN ▬ (s.johansson) Celle qui laisse des petits mots un peu partout pour souhaiter bonne journée aux personnes qui le liront.
anciennement : baptist ▬ parti travailler en Afrique ❝ Points : 3561 ❝ Messages : 2755 ❝ depuis : 30/11/2014 ❝ mes sujets : olivia ▬ billie ▬ thea ▬ arizona ▬ jezabel ▬ jade ▬ shana ▬ shana bros b4 hoes
| mot doux de Jonas L. Sanchez ► un Lun 26 Oct - 22:20 | | | Desperate Housewives quand les secrets sont plus gros que ce qu'on laisse croire La chaleur était vite insoutenable et même si je ne portais pas plus qu’un short beaucoup trop court, beaucoup trop moulant. J’aurais de loin préféré un slip, au moins là j’aurais eu l’impression d’être dans un hamac, mais non je me retrouvais serrer et inconfortable de surcroit. Mais bon, je n’allais pas m’en plaindre. Je ne pouvais pas retourner chez moi pour me changer et si je voulais me ramener du pain sur la table, je n’avais pas le choix. Je sentais le regard des voisins se poser sur moi, mais encore là je faisais comme si de rien n’était. Si je passais mon temps à m’inquiéter de ce que pouvait dire un voisin, je ne pourrais pas sortir de chez moi. Et puis, ils pouvaient admirer la vue sans gêne. Loin d’être pudique, je n’avais aucun mal à me monter si peu vêtu. Seulement, je me sentais de plus en plus étouffer sous cette chaleur qui faisait pression sur ma peau. La sueur commençant peu à peu à perler celle-ci de fines gouttelettes que je sentais glisser le long de mon échine. Ma gorge s’asséchant à force de tailler la haie, je me décidais à aller quémander un verre d’eau à la propriétaire. Je sonnais, attendant piquer comme un « codinde » devant la porte. Je ne savais pas vraiment où me mettre, quoi faire de mes mains ou bien même où regarder. La porte s’ouvrit sur la jeune femme, me flinguant avec une réplique à laquelle je ne m’attendais pas. M’excusant tout de même, je poussais un soupire en la voyant tourner les talons. J’aurais mieux fait de m’assécher ou d’aller voir la voisine sexy qui avait des soucis avec le tuyau d’arrosage. Au moins, j’aurais pu m’abreuver sans trop de soucis au vu de l’eau qui l’avait trempé. Mon regard se portait tout de même sur la robe dégrafé que portait Miss McFarlane. Je détournais les yeux, ne cherchant pas à comprendre ce qu’avait pu être sa nuit avec ces cheveux en bataille, mon maquillage encore présent sur son visage. Peut-être qu’elle venait de rentrer, je l’ignorais, mais cela ne me regardait pas. Seul son jardin était ma priorité. Attendant qu’elle revienne, je m’autorisais un regard à l’intérieur de chez elle. Impoli ? Sans doute, mais elle avait laissé la porte ouverte. J’entendais alors un juron, et sans penser à ce que ça pouvait être, je me précipitais à l’intérieur de la demeure. Arrivant dans la cuisine au pas de course, je me figeais aussitôt en la voyant en sous-vêtement. Figé, la regardant, déglutissant, un sourire naissait sur mes lèvres alors que je la voyais ce débattre contre sa robe. « Vous avez besoin d’aide ? » demandais-je en m’approchant, puis me ravisant elle restait mon employeur. Et puis fuck off ! Je m’approchais, la regardant avant de prendre le corset de sa robe, remontant le long de son corps. Essayant le plus possible que mes doigts n’effleurent pas sa peau, chose plus facile à penser qu’à faire. Réalisant bin vite ce que j’étais en train de faire, je me reculais, me prenant les pieds dans un tabouret derrière moi. Sentant perdre pied, je mettais tout mon poids vers l’avant m’agrippant à la première chose que j’arrivais à toucher, soit l’un des seins de Miss McFarlane. Dans une position embarrassante, je ne savais plus où me mettre. |
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| mot doux de Kylian J. Hemsworth ► un Lun 2 Nov - 15:19 | | | Desperate Housewives Quand le chat n'est plus là, les souris dansent Orgueilleuse de nature, je ne voulais certainement pas que qui que ce soit me voit dans une situation aussi gênante que celui-ci. Cependant, je n’avais pas été des plus subtiles au moment de l’incident, laissant ainsi probablement savoir à tout le voisinage, compte tenu que la porte était ouverte, que quelque chose n’allait pas, le jardinier d’abord et avant tout. Tout ce que je pouvais faire à présent du coup, c’était espérer que celui-ci n’ait pas la bonne idée d’entrer pour voir ce qui se passait. Je me doutais bien que non, la politesse voudrait qu’il ne le fasse pas, compte tenu que je ne l’avais pas invité. Cependant, je me rendis compte bien rapidement que celui-ci ne connaissait pas les bonnes manières, puisque quelques instants après, tandis que je tentais tant bien que mal de retenir ma robe contre ma poitrine dans l’intention de la ragrafer, des pas se firent entendre, et le jeune homme commença soudainement à tenter de me venir en aide. Ce n’était pas méchant de sa part, je ne pouvais pas le nier, mais quand même, vu que je voulais protéger le peu d’amour-propre qui me restait, je me trouvai à lui dire : « Non mais lâchez… » tout en me dandinant à la fois pour m’occuper de ma robe moi-même, mais également dans l’intention de le bousculer pour lui faire comprendre que j’étais capable de me débrouiller seule dans la situation présente. Je ne sais pas si c’est ce qui le propulsa vers l’arrière, mais alors que je pensais être débarrassée, le jeune homme se prit les pieds et visiblement, la seule chose qu’il crut bon d’attraper pour ne pas s’étaler par terre, ce fut… mon sein droit. Pour tout dire, je ne savais pas comment il avait pu se retenir avec seulement cela, parce que ce n’était pas mon pauvre bonnet B qui allait soutenir quoi que ce soit. Peu importe, ce que j’en retins, ce fut que pour une personne comme moi, qui voulait être respectée, donc certainement pas tripotée par qui que ce soit, peu importe le moment de la journée, peu importe les circonstances, peu importe ma tenue un peu trop légère pour le coup, ce geste était particulièrement outrant. Certainement pas assez réveillée pour comprendre qu’il s’agissait d’un accident, je ne réfléchis pas plus loin avant de lancer à l’adresse du jeune homme : « Ça ne va pas la tête, bon sang !? » avant de lui lancer une magnifique gifle au visage. Le pire dans tout cela, ce fut le fait que la fameuse gifle, je ne la regrettai même pas. Après m’être reculée pour établir une distance entre nous, je finis par relever ma robe, m’étant faite à l’idée de la tenir sur mon corps comme si c’était une serviette de bain. Puis, je regardai mon interlocuteur avec des yeux effarés, tandis que je lui lançais : « Ne me regarde pas comme ça ! Prends une bouteille d’eau et fiche le camp ! », me considérant encore gentille de lui laisser prendre de l’eau comme il me l’avait demandé. Dans ma tête, il ne l’aurait certainement pas mérité après ce qu’il venait de faire. Quel affront terrible, quand même….
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