l'avatar des scénarios ou membres des familles sont totalement discutables pour autant qu'ils ne soient pas dans le bottin !
Venez car plus on est de fous et plus on rit, non ? Chocolat et guimauves en cadeaux !
bonjour les YFTiens et pleins de calins pour vous ainsi que tout notre amour !
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Todd L. Pilliwickle et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! i kiss better than i cook ♥
| mot doux de Todd L. Pilliwickle ► un Ven 14 Aoû - 8:59 | | | Todd devait regarder trop de séries policières pour imaginer qu'une personne avait pu enterrer un cadavre sous terre. Ok, cela était possible en réalité. Certaines personnes dans ce monde, avaient déjà dû le faire. Mais il ne fallait pas en faire une fixation non plus. A vrai dire, le jeune homme avait émis cette hypothèse en repensant à certains épisodes de NCIS qu'il aimait bien regarder de temps à autre. Il trouvait que ça changeait des autres séries policières telles que les experts. Bref, nous ne sommes pas là pour parler des goûts de Pilliwickle. Il haussa un sourcil en écoutant la réponse de Lullaby à son hypothèse. Elle n'avait pas tort en soit. Mais, Todd avait toujours quelque chose à répondre. Certainement peut-être parce qu'il aimait avoir le dernier mot, ou bien ne manquait-il pas une occasion de sortir l'une de ses conneries ? Certainement. « Tout dépend de ce qui reste du cadavre. Si c'est une main, c'est tout à fait possible. » Mais en voyant la demoiselle, ce n'était peut-être pas vraiment le moment pour Todd de parler de cadavre, ce n'était en rien une conversation très charmante. « En passons. » Fit-il en esquissant alors un simple sourire. Les deux se mirent alors de parler de grossesse, le jeune homme n'étant pas contre le fait qu'un couple partage la grossesse, même si pour l'instant, cela semblait impossible. Mais Lullaby souligna le fait que la science évoluait, marquant un point par la même occasion. Elle n'avait pas tort et qui sait un jour ce que l'être humain pouvait faire. Des choses incroyables peut-être. Comme avoir des pouvoirs psychiques avec l'augmentation de la fonctionnalité du cerveau. Car tout le monde savait que le cerveau humain ne fonctionnait qu'à cinq pourcent à peine. Alors imaginez s'il fonctionne à cinquante pourcent, à quatre-vingts pourcent et même à cent pourcent. L'espoir faisait vivre. Il esquissa à nouveau un sourire en direction de la demoiselle avant de s'occuper du sac en plastique qui se trouvait pas très bien enterré en terre. Ce qui en soit n'était pas une mauvaise chose vue qu'il n'avait pas besoin de le chercher. Cela leur économisait du temps et aussi de l'énergie. Malgré tout, ça gâchait un peu le jeu, Todd aimant bien chercher, déterré des choses comme dans une chasse au trésor. Parler de Sexy McNews de la sorte semblait amuser le jeune homme qui ne put s'empêcher de rire doucement. Il ne voulait pas non plus que sa collègue de jeu le prenne pour un fou. Bien que ça devait déjà être le cas à ce moment de la matinée. Sexy McNews était une personne assez perverse, mais des plus amusantes. Avec lui, on ne s'ennuyait jamais, même si parfois, il méritait les insultes qu'il recevait. Quoiqu'il en soit, ils venaient de découvrir un sac plastique et il fallait l'ouvrir. Revenant alors vers le coche, ils seraient plus tranquilles pour ouvrir le sac. Cette tâche revint alors à Todd, la demoiselle ne voulant pas le toucher. Certainement à cause du fait qu'il était sale, chose qu'il pouvait très bien comprendre. Les gens qui n'aimaient pas toucher quelque chose de sale à cause des microbes ou bien par peur de se salir, il en avait connu. Des clients de son hôtel plus précisément. Commençant alors à ouvrir le petit sac en plastique, il releva sa tête, regardant la demoiselle en haussant un sourcil. Comme ça, elle comptait boxer un de ses jours l'animateur radio. Le pauvre, il allait certainement prendre cher. « Vous ne le boxerez pas trop fort quand même. Cela serait dommage qu'on le perde et que vous vous retrouvez derrière des barreaux. » Dit-il sur le ton de l'humour avant de découvrir que dedans le sac, se trouvait une boisson. Laquelle ? De la soupe .. Froide ça devait pas être très bon. Encore un coup de Sexy McNews qui devait se trouvait marrant de faire ce genre de coup. Mais Todd n'eut le temps de dire ou de faire quoique ce soit qu'il vit la demoiselle prendre une bouteille d'eau dans le panier et de la boire très rapidement, trop rapidement à son goût d'ailleurs. Voyant la bouteille vide, le brun fut quelque peu impressionné, ses yeux ressemblant alors à deux boules de bowling tellement qu'ils étaient ronds. « J'aurai pas voulu remonter cette descente ! Vous aviez vraiment soif ! Par contre, ne buvez pas toute l'eau car dans le sac .. il y a de la soupe froide .. A part si vous aimez la soupe froide peut-être ? » Les êtres humains pouvaient se montrer étonnant parfois, dans certains moments. Todd se rappela alors des questions qu'il fallait poser, voyant alors un bout de papier dans le sac plastique. Le prenant, il le déplia et se mit alors à le lire à Lullaby. « Avez-vous déjà rencontré votre âme soeur ? » C'est sûr que ce genre de question allait faire en sorte que les deux apprennent à se connaitre. C'était légèrement intime comme question, mais vue qu'ils ne se connaissaient pas, aucune raison de mentir ou de se méfier des mots utilisés dans la réponse pour éviter une boulette. « Honneur aux dames, je vous laisse commencer. » Belle excuse vous ne trouvez pas ? |
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| mot doux de Invité ► un Lun 17 Aoû - 15:57 | | | lullaby & toddCountry dating en matinée, c'est la fête ! Je pensais moi-même parfois être légèrement bizarre voir pas qu’un peu mais ce type était plus que bizarre à mes yeux. Je ne savais réellement pas comment réagir tandis qu’il parlait de cadavre alors que je parlais d’une simple chose enterrée mais chacun sa folie après tout ? Déjà qu’il semblait aimer les souris. Vraiment bizarre. J’avais trouvée plus bizarre que moi peut-être ? Je n’en savais rien mais passons. Je devais avouer vouloir tuer l’autre gourde de McNews mais bon. Là, je voulais surtout en finir avec cette journée pour aller dans un bon bain chaud me relaxer en priant pour que mon mari et moi, nous arrangions nos soucis car je ne voulais pas devoir me retrouver célibataire à draguer des fous dans ce genre par désespoir. Nonnnnn mais je plaisante. Puis de toute façon, il n’était pas mon genre. Pas assez badboy, je crois ? Il était de mon genre pour une partie de jambes en l’air si je n’avais pas Aiden car justement il n’est pas mon genre pour l’amour avec le grand A. Si vous me suivez tant mieux sinon bah tant pis pour vous. Mais soit, la boite en main, j’allais m’installer dans la position du yoga ou comment l’expliquer ? Dans le carrosse si on peut appeler ce truc pas vraiment féerique d’un carrosse. C’est plus une carotte à la couleur orange et verte qu’on voit. Sûrement le bois qui ne vit plus très bien. Je pouvais comprendre et bizarrement cela ne m’effrayait pas. J’étais un garçon manqué sous ces bonnes apparences de femmes au foyer ? Ou pas. Il trouvait dommage que je sois derrière les barreaux ? Au moins tout le monde serait débarrassé de la voix de crécelles de l’animateur. Bon d’accord sa voix n’était pas si mal mais je ne l’aimais pas donc… bon. Faites le rapport entre mes critiques et la vérité si je ne supporte pas ce présentateur radio ? Vous comprendrez directement ma logique. Je chopais l’eau et je prenais ma cuite en quelques sortes mais ce n’était que de l’eau. Quand il commentait ma descente, je souriais. « Il fait chaud, je suis enceinte, je dois m’hydrater… », disais-je d’un ton naturel avant qu’il ne parle de la soupe froide comme si c’était impossible sur terre de boire ça. J’en riais doucement. « Ne faites pas cette tête, la soupe froide est une chose bien connue et très bonne aussi. Vous ne connaissez pas le Gaspacho par exemple ? », lui disais-je alors comme si j’étais en train de parler à un enfant qui n’avait jamais mangé d’aubergine. Je trouvais ça assez amusant mais pas vraiment pertinent de parler de soupe. Je le laissais donc trouver la question. Question con. Je fermais la bouteille d’eau et je me tournais vers la poubelle du quartier pour la balancer dedans alors qu’elle était ouverte. Un panier mais j’évitais de m’extasier sur le fait qu’il soit réussi. Je reposais mes yeux verts vers cet homme et je lui souriais en levant ma main pour la mettre sous ses yeux. Cela répondait à tellement de question à la fierté que l’on pouvait lire dans mon regard. Le oui était aussi gros que New-York. Enfin peut-être pas puis je suis petite pour porter New-York dans mon regard tout de même. Mais bon. Je souriais. « Oui ! », disais-je tout bêtement sans vraiment avoir besoin de plus de détails. « Je suis mariée depuis Octobre avec lui et nous sommes… très heureux ! », MENSONGE. Oui, bon et puis je peux mentir si je veux, non ? Ce n’était pas vraiment un mensonge après tout. Oui, les choses n’étaient pas au beau fixe mais j’étais heureuse malgré tout. Enfin parfois. Bon ce n’était pas le moment de dire que j’étais heureuse mais je savais que je le saurais sûrement pendant longtemps quand le mal sera passé et que je serais moins rancunière. J’avais beaucoup d’espoir tout de même et j’étais motivée à arranger les choses. Ce n’était qu’un demi-mensonge. « Et je l’aime ! », et là, je ne mentais pas du tout. Je l’aimais réellement. Je baissais ma main vers mes cuisses pour chipoter doucement avec mon alliance que je faisais tourner autour de mon doigt. Je la regardais quelques secondes en relevant mon regard vers cet homme bizarre. « Et vous ? », demandais-je alors que j’arquais un sourcil. « Vous êtes gay, non ? », demandais-je en souriant. Non pas pour le critiquer mais il avait la tête de l’emploi. « Ne vous méprenez pas, je n’ai rien contre mais… », je riais doucement. « Je ne sais pas, vous ne m’avez pas encore mis la main au cul ou draguée et vous ne semblez pas savoir y faire avec les femmes ! », disais-je avec tact ou presque tandis que je me sentais un peu con à l’idée de me tromper. Après tout, c’était marrant même si j’allais me prendre la honte de ma vie. Je tiens ça de Joan, on dira. |
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| mot doux de Todd L. Pilliwickle ► un Mar 18 Aoû - 12:08 | | | A l'intérieur du sac en plastique se trouvait une boisson. Todd avait pensé à du coca ou du jus d'orange. Mais ce n'était ni l'un, ni l'autre. De la soupe froide, voilà la boisson qu'avait planquée Sexy McNews dans le sac. Autant dire que le jeune Pilliwickle était légèrement déçu, ne buvant pas du tout de soupe froide. A vrai dire, il n'avait rien d'un grand fan de la soupe en général, en buvant très peu. C'était surtout pour que son fils en mange. En tout cas, ce fut le seul à être surpris, Lullaby trouvant ça normal à en croire son expression du visage. Sur le coup, il se sentit un peu seul au monde. S'il connaissait le Gaspacho ? Bien sûr. Ce n'était pas qu'il n'aimait guère la soupe que c'était un inculte aussi. « Je connais, mais je n'aime pas trop. Ce n'est vraiment pas ma tasse de thé la soupe froide. » Il laissait la bouteille volontiers à sa partenaire qui en avait bien plus besoin que lui d'ailleurs. Elle devait nourrir un bébé et même s'il n'avait jamais porté un enfant dans son ventre, Todd savait très bien qu'il fallait penser à manger pour deux, voire plus parfois. Trouvant alors la question, il la lut à haute voix, ne voyant même pas le panier que fit la demoiselle avec sa bouteille dans la poubelle. Question très personnelle selon le brun, mais il fallait bien y répondre. Il laissa, tel un vrai gentleman, Lullaby répondre en premier. Celle-ci avoua alors avoir trouvé son âme soeur, en même temps, elle était mariée, disant par la même occasion qu'ils étaient mariés depuis Octobre et qu'ils étaient très heureux ensemble. « Tant mieux pour vous alors si vous êtes heureux ensemble. C'est le principal ! » Lança-t-il sans trop savoir quoi dire d'autre. Heureusement, la jeune femme prit à nouveau la parole, posant une question tout aussi bizarre qu'amusante. Selon elle, il était gay car il ne savait pas trop y faire avec les femmes. Haussant un sourcil, il ne put s'empêcher de se mettre à rire. Todd avait pris sa remarque au second degré. Certaines personnes ne l'auraient peut-être pas aussi bien pris par contre. « Donc selon vous, un homme qui ne drague pas une femme ou ne lui met pas une femme aux fesses, est gay ? Je pense qu'il y aurait beaucoup de gay sur Terre alors ! Nous ne sommes pas tous cochons les hommes vous savez. » Fit-il sur le ton de l'humour avant de reprendre. « Me concernant, je suis encore célibataire, mais j'ai trouvé la femme qui fait battre mon coeur. Malheureusement, c'est .. compliqué entre nous. » Avoua-t-il en lâchant un léger soupir. En disant cela, il ne put s'empêcher de penser à Maïwenn. Car oui, c'était elle la femme qui faisait battre son coeur, la mère de son fils. Mère qui les avait abandonnée, mais qui était de retour. « Bon, c'est partit pour trouver le deuxième sac ! » Prenant les rênes, il fit alors avancer les chevaux en direction du deuxième point de rendez-vous. Celui-ci semblait se situer .. Lorsque Todd vit l'adresse, il écarta alors les yeux, se rendant compte que l'adresse indiquée, était celle de son hôtel. « Je rêve ! Le deuxième sac se trouve à mon hôtel ! Ce salopiot, il a osé creuser un trou dans ma propriété ! » En soit, ça n'avait rien d'alarmant, mais demander la permission ne tuait personne. Sexy McNews se permettait vraiment de tout. Direction l'Argonaute, le trajet ne mit pas longtemps et les deux arrivèrent bien rapidement au deuxième emplacement indiqué sur le GPS. Descendant du coche, il s'en alla rapidement déterrer le deuxième avant de revenir sur le coche. Le sac n'était pas très bien en terre, Todd n'ayant pas eu du mal à le trouver. Il fallait croire que Sexy McNews n'était pas très doué quant à creuser un trou. Ou bien trop feignant pour en faire un assez profond pour enterrer correctement le sac. Le brun penchait même pour la deuxième option. Enlevant la terre qui s'y trouvait dessus, il posa le sac devant Lullaby. « A vous l'honneur, il est presque propre, il n'y a plus de terre dessus en tout cas ! » Lança-t-il à Lullaby, voulant qu'elle participe un peu aussi. Elle devait avoir certainement envie de découvrir au moins un des trois sacs et de lire la question qui s'y trouvait dedans. En tout cas, Todd ne put s'empêcher de se demander sur quoi allait porter cette question. Vu la première, il fallait s'attendre à tout. Peut-être sur le sexe ou bien sur leur passé ? Connaissant la personne qui avait fait ces questions, cela pouvait être n'importe quoi. Ce qui en soit s'avérait être légèrement flippant, en tout cas aux yeux de Pilliwickle. |
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| mot doux de Invité ► un Jeu 20 Aoû - 1:14 | | | lullaby & toddCountry dating en matinée, c'est la fête ! Heureuse, oui voilà enfin c’était plus compliqué que ça après tout mais je ne pouvais pas m’empêcher de laisser cette question échapper de mes lèvres. C’était plus fort que moi. Était-il gay ? Sûrement. Ma logique était digne d’une Joan, je pouvais le concevoir mais ça m’amusait. Je laissais montrer ma logique aussitôt pour ne pas le vexer. On ne sait jamais. Certaines personnes sont parfois tellement susceptibles. Je l’écoutais me demander si selon mois un homme qui ne drague pas ou n’est pas père vert est gay. Je riais doucement en haussant les épaules avant de balancer la tête de gauche à droite. « Pas tellement… », lui disais-je par ce qu’il disait qu’il y aurait beaucoup de gays d’après ma logique mais en fait il y avait bien plus de cochons qu’il pourrait le penser puis ce n’était pas cochons à mes yeux de draguer des femmes. Les mains baladeuses, peut-être mais nous pouvions draguer juste pour découvrir une personne. Je souriais au mot femme quand il parlait. Il n’était donc pas gay et je penchais ma tête en souriant. « Compliqué ! », disais-je alors comme pour répéter ce qu’il me disait. C’était un mot qui m’amusait tellement. Comment pouvions-nous qualifier une relation de compliqué enfin pourquoi. La mienne l’était peut-être alors ? Je ne savais pas à quelle base on pouvait le qualifier. Après tout certains gamins se qualifiaient en couple seulement pour avoir partagés des jus de pommes donc bon. Il était possible que tout soit différent pour une autre personne. Je savais qu’il suffisait parfois d’expliquer mais peut-être ne le voulait-il pas ? Je souriais doucement en me disant qu’il fallait mieux éviter d’être curieuse. Après tout même si nous étions ici pour faire connaissance, je ne devais pas oublier que nous restions des inconnus. Alors qu’il disait que nous allions au deuxième sac, je le laissais prendre les rênes en direction de l’endroit où il semblait connaitre le lieu d’après ce que j’entendais. Je ne pus m’empêcher de glousser dans mon coin en fronçant le nez tandis que je m’étais bien remise à ma place pour la route bien entendu. Je n’étais pas restée assise comme une idiote et j’en avais même profité pour boire tant bien que mal la boisson froide qui nous était offerte. Il s’arrêtait et je le laissais faire sans bouger. Il semblait s’en sortir tout seul à vrai dire et puis je commençais clairement à être fatiguée d’avoir des pieds. Un bébé, c’est vachement lourd mine de rien. Je souriais doucement quand il revenait et qu’il posait le sac devant moi. Je me penchais pour l’attraper. « Ce n’est même pas drôle, vous ne le faites plus pour la pauvre femme enceinte ! », disais-je en riant doucement alors que je retournais sur le sol. Je l’ouvrais donc avec prudence. J’avais peur qu’un truc n’en sorte par surprise comme les clowns dans les boites sur des ressorts. Je découvrais alors premièrement le message écrit à la main mais avec de l’encre de chine. Je souriais doucement en le tournant vers lui après l’avoir lu. « Quel est votre dessert favoris ? », demandais-je alors avant de poser la feuille sur le sol ou le bois de la calèche. Je regardais alors dans la boite pour découvrir une tarte à la fraise coupée en 4 parts dans sa boite d’une des plus chics des boulangeries de la ville. Je souriais doucement en me léchant les babines et regardant alors le jeune homme. « Une pause s’impose, non ? », demandais-je en montrant la tarte car il méritait aussi de prendre un peu de temps pour profiter de ce dessert. « Vous pourriez en profiter pour m’expliquer pourquoi c’est compliqué avec votre âme sœur ? », demandais-je alors avec un ton espiègle tandis que je fronçais le nez. Je ne savais pas si j’avais bien fais d’entrer dans le vif de ce sujet mais cela m’intéressait sûrement un peu plus que de découvrir son dessert favoris sauf si je prévoyais de lui en préparer ce qui n’était clairement pas le cas. « Mais aussi me parler de vous ? », demandais-je alors. « C’est votre hôtel ? », rajoutais-je en laissant ma curiosité entrer de mise. Je devais avouer que j’étais intriguée et pourquoi le vouvoyais-je même ? Je n’en avais aucunes idées. |
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| mot doux de Todd L. Pilliwickle ► un Lun 24 Aoû - 12:18 | | | Le brun fut surpris de la question de la jeune demoiselle concernant son orientation sexuelle. Lui gay ? Non. Il n'avait rien contre l'homosexualité, disant souvent que chacun était libre de choisir. Et puis l'amour ne se commandait pas. Todd aurait très bien pu tomber amoureux d'un homme. Ou bien il le pourrait. En tout cas, ce n'était pas demain la veille que cela arriverait, vu que son coeur était déjà pris par une certaine blonde, même si c'était bien compliqué. Arrivant alors à l'Argonaute, le jeune homme fut légèrement furieux contre Sexy McNews d'avoir planqué un sac en plastique dans la pelouse qui lui appartenait. Enfin fort heureusement, le trou n'était pas très profond et cela ne se voyait pas beaucoup. Revenant alors vers Lullaby, il lui proposa d'ouvrir le sac. Celle-ci ne semblait pas très ok à l'ouvrir, mais elle le fit quand même en ajoutant un petit commentaire qui ne manqua pas de la faire rire elle-même ainsi que Todd par la même occasion. « Chacun son tour voyons. Vu qu'il y a trois sacs, le prochain sera pour moi ! Vous n'aurez ouvert qu'un sac au final. » Lança-t-il en ayant hâte de voir ce qu'il pouvait bien y avoir dedans le sac. Il espérait que ce coup-ci, ça ne serait pas une chose qui n'était guère à son goût. La première chose que la jeune femme découvrit, ce fut le message. La question que Todd appréhendait. Mais en l'écoutant, il lâcha un soupir de soulagement. Pas une question trop personnelle ouf. « La tarte aux pommes et vous ? » Demanda-t-il avant de découvrir le dessert qui se trouvait dans le sac en plastique. Une tarte aux fraises ? Miam, rien que le nom donnait déjà envie au brun qui adorait également ce dessert. D'ailleurs, il ne semblait pas être le seul à avoir envie de goûter à la tarte, la demoiselle aussi vu qu'elle venait de proposer de faire une pause. « Pourquoi pas ! » Fit-il tout simplement avant de hausser un sourcil, apprenant que Lullaby voulait profiter de cette fameuse pause pour en apprendre d'avantage sur lui-même. Lorsqu'il avait accepté de participer à ce jeu, c'était surtout pour s'amuser, mais aussi pour faire de nouvelles rencontres. Et qui disait nouvelle rencontre disait également parler un minimum de soit. Même si évoquer sa vie sentimentale était quand même un plus dans l'histoire. Mais cela ne semblait pas le déranger plus que ça, surtout qu'elle s'intéressa également à sa vie professionnelle en voulant en savoir plus sur son hôtel. Ce qui le ravie au passage. Mais avant de parler de sa vie, il ouvrit la boîte, prit une serviette en papier dans le papier et mit une part de tarte dessus avant de la donner à la demoiselle et de s'en prendre une pour lui-même. « Je vais essayer de vous la faire court alors. Lorsque j'étais un ado, je suis sorti avec une fille qui s'appelait Maïwenn. Et la vie a fait qu'on a eu un enfant assez jeune enfant vu qu'on avait même pas la vingtaine. Puis elle est partie peu de temps après la naissance de notre fils et j'ai dû l'élever tout seul. Je lui en voulais .. puis, il y a quelque mois de ça maintenant, elle est revenue à Pasadena. Elle travaille à l'hôpital en tant que gynéco et obstétricienne. On se revoit depuis, pas très souvent, mais assez pour que je retombe amoureux d'elle. A vrai dire, je crois que je n'ai jamais cessé de l'aimer. Malheureusement, notre fils ne le sait pas qu'elle est là. Autant dire que pour l'instant, c'est compliqué .. » Finit-il par conclure avant de manger un morceau de la tarte. « Elle est excellente ! » Lança-t-il avant de se mettre à parler de son hôtel. « Lorsque j'ai eu mon fils, les études, c'était terminé pou moi. Alors j'ai recherché un job et j'en ai trouvé un dans l'hôtellerie. Pendant des années, je me suis fais une place et puis j'ai décidé de prendre des cours du soir pour avoir un diplôme. Après quoi, j'ai décidé de réaliser mon rêve : construire mon propre hôtel. J'avais les moyens financiers vu que mes parents m'avaient laissé une somme assez grosse sur mon compte. Donc je me suis lancé et aujourd'hui, mon hôtel marche plutôt bien. Je suis heureux ! » Conclut-il en esquissant un large sourire. L'Argonaute était la plus belle réussite du brun, après Nate bien évidemment. « Et vous ? Qu'est-ce que vous faites dans la vie ? Parlez-moi un peu de vous aussi. » Demanda-t-il en mangeant un autre bout de tarte à la fraise. La discussion devait aller dans les deux sens. Surtout qu'il voulait bien en savoir un peu plus sur la demoiselle. Juste par simple curiosité bien évidemment ! |
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| mot doux de Invité ► un Ven 4 Sep - 13:48 | | | lullaby & toddCountry dating en matinée, c'est la fête ! La tarte à la pomme ? Punaise, le pauvre, il n’avait donc jamais gouté la mienne qui était la meilleure de la paroisse ? J’en ramenais souvent le dimanche pour la mettre sur la table du buffet ainsi certains en prenaient et nous faisions un peu tout ça. J’adorais le moelleux au chocolat de madame Scroodge que je mangeais depuis des années. Je me souvenais encore être passée plusieurs fois sous la table avec le plat pour le manger avec les doigts en compagnie de Luke. J’avais beaucoup aimée ça. Je souriais alors qu’il me demandait le mien et je répondais aussitôt à la question de cet homme. J’aimais bien manger et pas seulement par ce que j’étais enceinte et que c’était mon métabolisme mais j’aimais tout simplement bien manger. Je n’étais pas du genre à avoir verdoyée de trop devant des desserts parfois lourds comme des cupcakes avec une crème au beurre trop relevée. Je ne vomissais pas sur un bon dessert bien gras en général. Je pouvais vivre avec du sucre d’aspartame à côté de moi pour dire que je surveille ma consommation ou même que j’aurais des objectifs mais non. J’étais un glouton depuis ma grossesse. La masse de mon ventre n’était pourtant qu’un bébé car je mangeais pour deux mais je ne prenais rien pour deux. Juste pour elle. Je mangeais pourtant équilibré, faut pas croire et après tout : je suis une maman donc c’était logique que j’habitue ma fille aux légumes et que j’en mange aussi. « Le moelleux au chocolat de Madame Scroodge ! », disais-je alors à ce jeune homme avant de proposer une pause. Voilà tout. Je n’étais pas une superhéroïne tout comme il n’était pas Green Lantern, on avait bien besoin d’une pause pour reprendre des forces et je laissais le flot de mes paroles tomber. Je lui proposais de nourrir par curiosité et me dire pourquoi c’est compliqué dans son « couple ». Je voulais juste savoir toutes ses choses que je n’allais pas oublier sur cet homme car elles font d’une personne ce qu’elle est. Je voulais savoir que je n’étais pas avec un fou qui voulait penser qu’un cadavre ferait 5 centimètres. Je penchais doucement la tête pour l’écouter jusqu’au bout. Une fille, ados… ça ressemblait tellement à l’histoire de mon père sauf qu’il n’y avait apparemment pas d’infidélité enfin ça, on ne peut pas savoir mais il ne semblait pas en parler. Il n’y avait pas non plus de mariage ce qui était un grand progrès. Je souriais doucement ne le laissant terminer mais je réalisais néanmoins qu’il parlait de ma gynécologue au prénom. C’était retardataire avec son monologue mais je tentais d’enregistrer les informations. Je mangeais alors une partie de ma part de tarte en riant doucement alors qu’il disait qu’elle était excellente. Je le laissais parler de son job en me régalant tout simplement. Flemmardant de mes lèvres pour être comme un gros beignet sur un billet d’un dollar. En gros : j’étais à l’aise. Tandis que mon bras était tendu derrière, je le sentais douloureux. Tandis qu’il retournait ses questions vers moi, je faisais quelques flexions des bras avant de courber à nouveau mon dos pour éviter la douleur des grossesses. Je me redressais aussitôt et je souriais sous l’impulsion. Mon corps jouait un peu au yo-yo avec moi. Une seconde tout allait bien et l’autre seconde, j’avais mal. « Je suis pompier enfin... quand je ne suis pas enceinte bien entendu… », disais-je en riant nerveusement. Je dégageais une mèche de mes cheveux avec une main propre qui n’a pas touchée la tarte. « Mais j’ai ouvert le fifty shake en début d’années pour dire de changer les choses. Etre pompier, c’est bien mais quand on a une famille, des enfants, un mari et même des proches qui s’inquiètent pour nous, on a envie de faire attention à nos vies… », je riais doucement en fronçant les sourcils. « Je ne sais pas encore si je reprendrais après ma grossesse mais en attendant l’adrénaline me manque énormément… c’est une chose incroyable à ressentir. Cette sensation qu’on peut… », je m’emportais un peu dans ma passion et je riais aussitôt en secouant la tête. « Je crois que ça me manque un peu trop ! », lui disais-je en me calmant. Je fronçais le nez en le regarde. « Si je peux vous faire un diagnostic pour vos soucis de cœur… je peux juste vous dire que ma mère m’a abandonnée, j’avais 5 ans mais mon petit frère était encore bébé à l’époque donc je peux comprendre ce que vous ressentez mais j’en ai terriblement voulue à ma mère pourtant je lui ai pardonnée… mon père s’est remarié mais dans votre cas si vous êtes encore seul, c’est qu’il y a une raison… ce sont des symptômes du destin sûrement ? », demandais-je alors que je riais doucement. « Ne m’écoutez pas après tout, j’ai toujours eue une aversion pour l’amour… J’ai horreur de ça ! Ca fait souffrir mais merci maman… », disais-je alors que c’était ma mère qui avait créé cette phobie de l’amour. « J’ai trouvé le bon cheval et je suis heureuse mais ça m’a mis énormément de temps à y arriver… et encore rien n’est parfait. Je crois que l’amour c’est bon, c’est bien mais ça fait souffrir… donc il faut trouver la personne pour laquelle vous acceptez de souffrir… si c’est elle, allez-y et en plus, je pense que c’est ma gynécologue… », lâchais-je en fronçant les sourcils. « Et une amie proche de ma mère si j’ai bien compris… Je ne sais par contre pas si c’est une bonne chose pour elle ! », lâchais-je en laissant un rire nerveux m’échapper. Ma mère était spéciale et j’étais assez proche d’elle en ce moment pour avouer qu’elle était même totalement cinglée. Elle avait un souci et on ne peut pas dire le contraire. Parfois je me demandais réellement comment j’allais faire pour la trouver plus normale et moins détractée qu’elle ne l’est. |
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| mot doux de Todd L. Pilliwickle ► un Sam 19 Sep - 11:52 | | | Les deux jeunes gens venaient de décider de faire une pause. Todd pouvait très bien comprendre qu'une femme enceinte avait besoin de se poser un peu. Bien qu'en soit, ils n'avaient pas non plus fait des efforts colossaux que ce soit l'un ou l'autre. Le brun comprit rapidement que cette pause allait servir à parler d'eux-mêmes, à mieux connaitre l'un et l'autre. Il n'avait rien contre ça, car c'était l'une des raisons qui l'avait poussé à s'inscrire pour cette petite balade. Sans y aller par quatre chemins, Lulla s'intéressa de près à la vie sentimentale de Todd. Aussi bizarre que cela puisse paraitre, il parla de Maïwenn, racontant alors l'histoire qu'ils avaient vécu dans le passé et ce qui se passait maintenant. Il disait cela à une parfaite inconnue et cela ne semblait pas le déranger plus que ça. Todd n'avait rien à cacher, il parlait assez librement de sa vie, que ce soit professionnel ou bien sentimental. Après avoir résumé sa situation, c'était au tour de la jeune femme de parler d'elle. Todd voulait en apprendre d'avantage sur elle et celle-ci commença alors à lui dévoiler son métier. Elle était donc pompier. Un métier honorable aux yeux du brun. Lullaby fit une légère pointe d'humour, ce qui ne manqua pas de faire rire le jeune homme. C'est sûr qu'être enceinte ne devait pas faciliter son travail. Il continua alors à l'écouter, la jeune femme lui disant qu'elle avait ouvert le fifty shake. Lulla parla aussi du manque d'adrénaline qu'elle ressentait, se demandant malgré tout si elle allait pouvoir reprendre son métier après la naissance de son enfant. En même temps, elle allait avoir une famille et Todd la comprenait parfaitement. Lui-même ayant un fils, il ne pourrait faire un métier à risque. Il ne voulait pas que Nathanael s'inquiète pour lui toute une journée, il ne le supporterait pas. Puis, son hôtel lui allait parfaitement. Certes, il ne sauvait pas des gens, il ne jouait pas au héros, mais il avait ses propres aventures qui lui étaient propres. « Je vous comprends, ayant un fils, je me vois mal risquer ma vie. Surtout qu'il a que moi. Je pense que lorsque l'on devient parent, cela chamboule notre vie. On a des responsabilités envers notre enfant après et on doit faire certains sacrifices. » Lança-t-il en haussant les épaules. C'était son ressenti en tout cas. « Puis diriger un café, ça demande de l'effort. Vous avez à faire à une autre adrénaline par contre. » Conclut-il en esquissant un simple sourire. Certes, Todd ne dirigeait pas un café, mais un hôtel. Cela revenait un peu au même au final, alors il parlait avec expérience. Il ne regrettait rien dans ses choix. Certes, ce n'était pas ce qu'il avait imaginé lorsqu'il n'était encore qu'un ado, mais la vie réservait bien des surprises et au final, le brun n'avait pas à se plaindre de sa situation. Puis la jeune femme en revint alors à la situation amoureuse de Todd, celui-ci haussant un sourcil en l'écoutant. Il ne put s'empêcher de placer une phrase lorsqu'elle se mit à rire. « Dites-moi, on a des points communs ma parole ! » Lança-t-il en rigolant à son tour, faisant référence à ce qu'elle venait de dire sur le fait que sa mère l'avait abandonné avec son frère qui n'était qu'un bébé. Il avait eu un pincement au coeur en écoutant cette triste histoire. Todd savait ce que ça faisait de se faire abandonner par ses propres parents. Lorsqu'il eut son fils, il dut se débrouiller seul. Sans ses parents. Puis, Nathanael lui avait déjà parlé de son ressenti quant à l'abandon de Maïwenn. Le brun continua à écouter les dires de Lulla sur l'amour. Son cerveau s'arrêta sur une phrase qu'elle prononça, ou plutôt un mot. Souffrir. Etait-il prêt à souffrir pour la blonde ? Il s'en savait trop rien. Peut-être que oui, peut-être que non. A voir. En tout cas, le fait qu'il soit encore célibataire était un signe, un symptôme en reprenant les propos de la jeune femme. Il haussa un sourcil en écoutant Lullaby dire que Maïwenn était sa gynécologue, enfin, elle ne semblait pas en être très sûre. « Si elle s'appelle Maïwenn Wilson, qu'elle est blonde, sexy et qu'elle a la trentaine, alors c'est elle ! » Finit-il avant d'ajouter. « C'est incroyable comme le monde est petit en fin de compte. » Conclut-il en esquissant un simple sourire, riant au fait que si Maïwenn côtoyait la mère de Lulla, cela ne serait pas très bon pour elle. Mais le sérieux revint rapidement dans la conversation. « Je suis heureux que vous ayez trouvé votre cheval comme vous dites. Et je me doute bien que l'amour n'est pas simple. C'est sûr qu'on souffre tôt ou tard en amour. Mais selon moi, souffrir que ce soit en amour ou dans un autre domaine, permet de mieux nous connaitre. Beaucoup de gens disent se connaitre, mais je ne pense pas que ce soit vrai. Chaque situation que la vie nous présente, nous permet d'apprendre à nous connaitre. Que ce soit joyeux ou triste. » Todd s'était bien surpris quant à sa réaction lorsqu'il avait revu Maïwenn à l'hôpital. Il ne pensait pas qu'il réagirait si calmement, et pourtant ce fut le cas. « Et si on allait récupérer le troisième paquet ? » Demanda-t-il à la brune. Non pas qu'il s'ennuyait, bien au contraire. Mais la pause allait devenir longue s'il ne pouvait pas de cet endroit. |
| | | Invité et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! Invité
| mot doux de Invité ► un Ven 23 Oct - 1:16 | | | lullaby & toddCountry dating en matinée, c'est la fête ! Mon café, mon métier ou même cette adrénaline. Beaucoup de personnes trouveraient ça insupportable d’être pompier et vivre dans le risque mais pas moi. Dans un sens, j’avais peur et j’écoutais mes proches avoir peur mais j’aimais ça. Je savais que j’étais douée à ça. Quand il m’en parlait, je ne pouvais pas m’empêcher de me demander si j’allais arrêter ou pas au lieu de me dire que j’allais arrêter. Je doutais mais le fait qu’on ait des points en commun ? Je riais nerveusement. Je n’en étais pas sûre si on gardait la surface, sûrement mais en plongeant dans les détails, beaucoup moins. Je laissais échapper des choses sur moi, des confidences. Je parlais d’amour. Oui, cette chose tellement sans sens parfois qui vous fais dire, vivre et penser tellement d’autres que j’en retrouvais l’envie de partir en courant parfois. L’amour vous fait perdre pitié pour tellement de choses que vous pensiez contrôler. Le cœur vous dirige que vous le vouliez ou non. Vous souffrirez toujours à un moment ou un autre. Alors qu’il parlait de cette femme dans sa vie enfin celle avec qui c’était compliqué, je souriais doucement. La confirmation de mes soupçons enfin dévoilé. Je me sentais triste pour elle, ça ne doit pas être facile tous les jours d’être amie avec Joan mais c’était dans ma tête et pour plaisanter surtout. Je riais doucement quand il disait que le monde était petit. « Après il n’y a pas 56 gynécologues dans cette ville donc quand vous croisez une fille… il y a une chance sur 2 ou 3 à peu près pour qu’elle soit sa cliente ! », disais-je avec une grande logique. Je l’écoutais alors relativiser au sujet de l’amour. J’inspirais doucement. « Ca… vous me l’auriez dit en 2007… je vous aurais giflé en voulant vous réveiller et vous faire prendre conscience que vous êtes ridicules ! », disais-je en toute franchise. J’haussais aussitôt les épaules. « Et ensuite je vous aurais sûrement séduis ou payé pour une partie de jambes en l’air car c’était le sexe qui était tout ce qui comptait pour moi à l’époque enfin… », je riais doucement. « Je n’étais pas aussi grave qu’on pourrait le croire mais disons que je préférais les coups d’un soir avec ceux qui ne m’attirent pas ! », soufflais-je en grimaçant. « Oh mon dieu, j’étais une vraie garce ! », lâchais-je aussitôt avant de rire. Je savais que non. Je savais que ça paraissait dans ce que je venais de lui dire mais ce n’était pas vraiment comme ça. Disons que je préférais ça qu’avoir des sentiments et vivre sans amour ne demande pas pour autant que l’on s’éloigne de tout ce qui pourrait être le pêché pour mon père. J’étais épanouie mais je vivais surtout. Je voyais des hommes. Et cela n’allait pas plus loin qu’une nuit torride. Je n’étais pas une catin ou toutes ces choses qui pourraient me répugner. Non. J’avais juste une vie sexuelle assez calculée et pas dérangée. « Ce n’est pas vraiment le cas mais c’est un gros bâclage de mon passé… mais bon, oui, on y va ! », disais-je alors que je le laissais reprendre le trône du carrosse pour aller en direction du nouveau lieu. Je le laissais donc rouler et roule pour arriver enfin à la case finale enfin non car après il fallait encore aller au ranch. Punaise cette journée n’en finissait pas et je commençais à avoir envie de retrouver ma maison, mon bain et ma mousse à la lavande pour me détendre avant d’aller nourrir ma fille. Je voulais juste retrouver ma main tellement j’étais épuisée de porter ce lourd bébé dans mon utérus. N’allons pas dire vendre. Un chat est un chat. Le bébé n’est pas dans le ventre mais dans l’utérus. Je le laissais donc s’occuper de nous mener sur le chemin. Et de toute façon si demain c’était la fin du monde, je ferais l’amour avec Aiden pendant 24 heures. Voila. Non d’un programme bien croustillant d’ailleurs. Vous ne trouvez pas ? Moi, j’aime bien l’idée. Ahah. Enfin disons qu’après je rentrais simplement chez moi et je prendrais ce bain que je désire tellement pour faire la paix dans le monde et éviter la fin du monde de la dernière question.
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