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mot doux de Invité ► un Dim 19 Avr - 12:43
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on ne sait pas vraiment comment le monde
tourne une fois que le voile se lève !
C’était assez fou dans ma tête, oui, totalement fou. Je ne savais pas pourquoi mais j’avais l’impression que j’allais exploser si je ne pouvais pas rencontrer mon fils. J’étais tellement impatiente de ce côté. Oui, tellement. J’en avais des frissons partout rien qu’en ayant peur de cette rencontre et pourtant je savais que j’en avais besoin. J’avais besoin de tout ça pour me sentir complète. Oui, complète. 17 années à regretter. Je voulais me sentir libérée, délivrée. En ce moment, nous étions très présents pour les enfants malades, le personnel de l’hôpital se pliait en 4 pour qu’ils puissent avoir le sourire et pourquoi me retrouvais-je déguisée en lapin ? Pour eux. Tous les jours une nouvelle surprise et avec une robe blanche et une petite queue poilue derrière ainsi que des oreilles de lapin sous mes cheveux blonds… J’avais l’impression de paraitre totalement dingue. (Que ce qu’elle ne ferait pas pour faire rire !) Vêtue ainsi et maquillée légèrement, je m’étais trimballée avec mon petit panier d’œuf en chocolat que je distribuais. Je me sentais comme ces lapins de playboy sans le bon déguisement car je n’avais pas osée mettre la tenue complète. J’avais découpée le pompom qui servait de queue pour le coudre à la robe moulante mais sérieuse. Je me sentais comme une lapine à la mode. Mais pâques ? Cette fête pour les enfants autant que pour les adultes. Tout le mois de Mars à Pasadena offrait tellement de chocolats. On penserait presque que la mairie s’amusait à en cacher partout pour le plaisir de chacun. Je n’avais jamais été friande quand j’étais enfant de toutes ces histoires. Des lapins, des poussins, des poules et tout. Je me souvenais seulement que ma vie n’était pas aussi compliquée à l’époque ou avec maman l’on peignait des œufs. Je penchais doucement la tête alors que je ramassais un œuf aux pieds d’un tabouret tout près de mon bureau. Oh tiens, ils ne sont pas vraiment doués pour les cacher mine de rien. Je le déballais en le mangeant alors que j’en avais encore dans mon panier. C’était pour les enfants ceux du panier et par taire ? Pour tout le monde. Paie ma logique. Je le mangeais en entrant dans mon bureau et je m’affalais rapidement sur ma chaise en regardant l’heure qui tournait une demi-heure. Voilà combien de temps il me restait pour finir de remplir quelques rapports et mettre à jour les dossiers en retard de la journée. Je n’avais pas vraiment de consultations aujourd’hui mais j’avais un accouchement prévu pour demain matin dont la jeune maman était déjà en chambre. On devait provoquer le bébé et je n’aimais pas aller au détour de la nature. Certaines sont siphonnées à vouloir choisir la date de naissance et oui. Je prenais une profonde inspiration en fermant les yeux. Le stylo entre les mains tandis que je me sentais tout d’un coup épuisée. Je m’endormais tout d’un coup. Une petite sieste, ce n’est pas si grave ? Je rêvais alors tout simplement que j’étais devenue une marmotte. Oui, cet animal. Je m’imaginais dans l’herbe sous forme animale et je m’y roulais quand un lapin blanc et un renard venait lécher mon poil. Parfois nos rêves sont tellement tordus. C’est en entendant la sonnerie de mon téléphone que je sursautais dans mon réveil. Je me levais brusquement, cognant ma main contre le bord du bureau. Je grimaçais en mettant mon autre main sur le poignet froissé en le massant rapidement. Merde. Heureusement que j’étais dans un hôpital. Je regardais rapidement l’heure. Seulement une demi-heure de sommeil ? Il me restait une autre demi-heure pour aller voir une infirmière. Je décrochais le téléphone alors qu’on m’annonçait que quelques enfants étaient revenus de leurs chimio et que je pouvais aller les voir. Je me relevais comme une lapine en feu et j’allais là-bas avec mon panier. Une fois arrivée, je demandais des soins à une infirmière tandis que je faisais le tour des chambres. J’allais à la salle de jeu tandis qu’une infirmière massait mon poignet avec une crème magique. Une petite fille arrivait quelques secondes après quand la jeune femme terminait de me mettre une bande sur le poignet. Elle me tendait un œuf et un pinceau. « Madame le lapin, vous pouvez me faire une fleur ? », demandait-elle alors que je souriais doucement. Son bandeau autour de sa tête sans cheveux la rendait tellement belle, encore plus de l’intérieur pour son courage tellement dingue. J’hochais la tête. « Bien sûr, princesse ! », disais-je alors que je peignais une petite fleur sur l’œuf dur. Je m’appliquais sans même me rendre compte que l’heure tournait. Elle insistait aussitôt pour peindre sur mon bandage en tissus et elle faisait un petit cœur en mettant par erreur un peu de peinture sur mon visage ce qui semblait amuser ses amis qui m’en mettaient un peu partout sur le bras et pas seulement sur le bandage. Vive la dégaine mais j’étais en retard. Zéro timing. Je ne pouvais même pas me rincer. Je n’avais qu’une légère marque sur le visage, une peinture de guerre dont j’étais fière mais mes bras étaient des œuvres d’art. Une lapine tatouée et colorée ? Voilà tout. Je partais alors à pieds en ayant mon sac à main avec moi. Je courrais pour arriver au point de rendez-vous donc devant le magasin de décoration. Je marchais d’une rapidité peu commune. Je déclenchais peut-être des accidents car je passais… au pif et pas nécessairement aux passages piétons. C’est essoufflée que j’arrivais devant le bâtiment. Je tentais de reprendre mon souffle et en retard. Je grimaçais. J’avais horreur d’arriver en retard, tellement horreur. Je m’approchais une fois le souffle repris par derrière donc en toute discrétion de Todd. Et ? Je lui mettais la main aux fesses. Quelle douce manière de dire bonjour. Je me planquais aussitôt derrière le muret en mode : innocente. Non, je n’ai rien fais. Mais non, rien du tout. Mon bras dépassait maladroitement du muret par contre et je souriais, espiègle.

Hj : oui, elle a déjà pensée à l'asile mais elle a peur de leur faire peur Surprised
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Todd L. Pilliwickle
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❝ cupidon : en couple avec Maïwenn, heureux de l'avoir retrouvé après dix-sept ans d'absence. Bientôt papa, une nouvelle fois.
❝ post-it : est père d'un ado de 17 ans - aime toujours la mère de Nathanael, son fils, malgré le fait qu'elle les a abandonné après la naissance de Nathanael - fan de star wars - allergique aux oranges - ne tolère pas les piercings - adore les plats rapide style hamburgers, frites (ce genre de choses) - possède un chien du nom de Yoda - a une relation comme chien et chat avec ses parents - a suivit des études de commerces grâce à des cours du soir
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Etre père, c'est une histoire de désir, d'amour, d'envies partagées... Mais la paternité est aussi une aventure riche en bouleversements qui nous reconnecte à nos propres racines. Nathanael : mon fils, ma bataille.
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mot doux de Todd L. Pilliwickle un Lun 27 Avr - 16:22
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Une journée bien chargée attendait le jeune homme qui dût se lever de bonne heure. Et pour cause, la matinée allait passer assez vite vu qu'une réception avait été organisé pour récolter des fonds pour une associations visant à protéger les chiens et les chats, pour ne pas qu'ils se retrouvent tout seul, sans un abri et de quoi manger et boire. Aux yeux du beau brun, c'était une cause assez noble pour qu'il y contribue. D'ailleurs, il avait décidé de participer en faisant un petit show, ayant décidé de chanter une petite chanson, bien qu'il n'était guère brillant dans ce domaine. Cela visait simplement à inciter les gens conviés à donner plus de fonds qu'ils ne l'auraient fait. La chanson qu'il avait choisie ? Pas une chanson qui datait d'aujourd'hui, celle-ci étant nulle autre que Strong enough de Cher. Cette chanson, Todd l'adorait et il trouvait que c'était la meilleure occasion pour lui que de le montrer en l'interprétant devant une bonne cinquante de personnes qui avaient été convié à son hôtel. La réception allait se dérouler dans le terrain prévu pour la détente des clients, étant situé à l'arrière du bâtiment. Le réveil venait de sonner et le jour n'était pas encore levé. Ce qui signifiait que le beau brun allait devoir se faire discret au sein de sa maison pour ne pas réveiller son fils. Prenant une douche rapidement, il mit autant de temps pour choisir la tenue qu'il allait porter durant cet événement, hésitant entre une tenue décontractée ou bien sérieuse ce qui voulait dire smoking. Après une bonne dizaine de minutes à peser le pour et le contre, car oui il fallait autant de temps à Todd pour faire sa petite liste, il décida de s'habiller avec une chemise blanche et un bermuda beige, une tenue décontractée faisant bien l'affaire. Non pas qu'il s'en fichait, bien au contraire. Seulement, il voulait se montrer assez cool pour que la réception soit plus festive. Les smoking, ça faisait trop sérieux parfois selon lui. Quoiqu'il en soit, il avait intérêt de ne pas trop trainer au petit déjeuner s'il ne voulait pas être en retard à l'hôtel pour finir les derniers préparatifs avec le reste de ses employés. [...] Arrivant à l'hôtel, Todd esquissa un sourire en franchissant les portes de l'Argonaute, tombant nez à nez avec son réceptionniste qui semblait être en pleine forme. En même temps, il adorait les animaux de compagnie, autant vous dire que cette réception ne pouvait lui faire que plaisir. « Tiens Adrian ! Je vois que vous êtes prêt pour cette matinée ! Ca fait plaisir à voir. » Dit-il avant de se diriger vers l'arrière de l'hôtel. « C'est tellement charmant de contribuer à cette noble cause que je suis tout émoustillé. » Fit alors le réceptionniste qui suivit Todd. Les deux arrivèrent alors à l'endroit où la réception allait se dérouler. La journée s'annonçait ensoleillée, ce qui voulait dire qu'il ne fallait pas de tente, un coup en moins pour le gérant de l'hôtel qui regarda si toutes les tables avaient bien mis ainsi que tous les accessoires qu'il fallait mettre. Tout semblait être bon aux yeux du jeune homme qui semblait satisfait de lui. Le soleil venait de se lever, ce qui signifiait qu'il ne restait que quelques heures à peine avant que les invités ne débarquent. Todd avait fixé l'heure de rendez-vous à dix heures. Deux heures de spectacle puis les invités mangeront à l'hôtel. A leur frais bien sûr, les sous iront en partie à l'association, l'hôtel gardant cinquante pourcent des recettes quant aux repas seulement et non aux dons des invités quant au spectacle. [...]Les invités étaient enfin là, arrivant à flot dans l'hôtel pour venir s'installer sur les chaises blanches dehors, sous le soleil qui commençait à taper de plus en plus. Des parasols avaient été prévus aussi pour éviter aux gens des coups de soleil. Les animations purent commencer, diverses les unes que les autres. Il y eut des tours de magie, du dressage canin ainsi que des spectacles humoristiques. Deux heures venaient de s'écouler, Todd allant alors sur la petite scène qu'il avait fait aménager sur la pelouse exprès pour l'occasion. C'était l'un des moments forts de sa journée. Le beau brun stressait, se demandant alors s'il n'allait pas chanter trop faux la chanson qu'il avait choisie. Il l'avait tellement répété dans sa chambre, sous sa douche ainsi que dans son bureau à l'hôtel qu'il ne disait qu'il n'avait pas le droit à l'erreur. Le micro à la main, il regarda d'un coup d'oeil rapide l'assemblée de gens qui lui faisait face avant d'entendre la musique commençait.

I don't need your sympathy
There's nothing you can say or do for me
And I don't want a miracle
You'll never change for no one

I hear your reasons why
Where did you sleep last night?
And was she worth it was she worth it?

[...]

I'm telling you
That I'm strong enough to live without you
Strong enough and I quite crying
Long enough now I'm strong enough
To know you gotta go

There's no more to say
So save your breath
And you walk away
No matter what I hear you say
I'm strong enough to know you've gotta go

Au début de la chanson, et heureusement pour lui, ça ne bougeait pas trop. Il resta planté comme un poireau dans la terre, chantant sa chanson. Puis vint le refrain sur lequel il se décoinça jusqu'à se mettre à danser quelques pas du disco, se sentant de plus en plus à l'aise au fil de la musique. Au final, le beau brun paraissait être plutôt fier de sa prestation, les gens l'applaudissant. Un grand merci sortit de sa bouche avant qu'il n'annonce qu'il était l'heure de se remplir l'estomac. Regardant sa montre, il lui restait encore du temps pour son deuxième moment fort de la journée. Et ce moment fort avait un nom : Maïwenn. Todd avait décidé de l'aider à choisir pour sa décoration. Puis cela était également un bon prétexte pour lui pour passer du temps avec la blonde. Leur dernier rendez-vous au restaurant s'était plutôt bien passé, et il avait grande hâte de revoir Maïwenn. Même s'il n'en avait toujours pas parlé à Nathanael, ce qui le lui faisait sentir mal en lui-même. En même temps, le jeune homme n'avait pas trouvé le bon moment pour lui parler du retour de sa mère et du fait qu'elle voulait le voir. Un gros problème qu'il allait mettre entre parenthèses le temps d'une après-midi, voulant profiter de son moment à fond avec Maïwenn. L'heure tournait et les invités commençaient alors à partir, ayant laissé des dons assez considérables aux yeux de Todd qui quitta lui aussi l'hôtel pour se rendre à son rendez-vous avec la blonde. Il devait la rejoindre au magasin de déco et il ne voulait pas être en retard. Y allant directement, il arriva pile à l'heure, ne voyant pas par contre Maïwenn. Peut-être avait-elle eu un imprévu et ne viendrait-elle pas ? Elle allait certainement l'appeler dans les secondes à venir si tel était le cas. Mais au lieu d'un coup de fil, il sentit une petite tape sur ses fesses, sursautant légèrement avant de voir une lapine. Maïwenn avait un déguisement de lapine. Il ne put s'empêcher de rire avant de s'interroger sur le costume de la blonde. « Wouha, quelle arrivée surprenante ! Entre ta petite main aux fesses puis ton déguisement je trouve que cette journée est une journée de folie ! » Avoua-t-il sur un ton jovial avant de préciser. « Folie dans le bon terme, je précise. » Il vint alors lui faire la bise, chose pas très facile en soit, avant de la regarder une nouvelle fois de la tête au pied. « Et si tu me racontais le pourquoi du comment tu es dans une telle tenue pendant qu'on rejoint l'entrée du magasin hein ? » Demanda-t-il avant de prendre la direction du magasin, voyant alors quelques personnes posées leurs regards sur eux, ou plutôt Maïwenn. Ce qui ne gêna pas le jeune homme. Lui étant pour les petites folies dans la vie. Comme il le disait si bien, il fallait avoir un grain de folie pour pouvoir vivre une vie pleinement.
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mot doux de Invité ► un Ven 1 Mai - 23:45
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tourne une fois que le voile se lève !
En retard, je vais être en retard. Le lapin prenait soudainement tellement tout son sens. Oui, j’allais être en retard et il ne me manquait plus que la petite montre de poche bien magique que l’on peut transporter partout ou peut-être pas. Arrivée sur les lieux, je ne savais pas comment l’aborder mais lui taper les fesses étais-ce réellement ma meilleure idée ? Alors que j’allais le faire, j’hésitais. Non pas sur le fait de le faire ou pas… mais simplement… enfin devais-je lui pincer, lui masser ? Je n’en savais rien. Je pouvais les malaxer comme eux malaxent parfois notre poitrine mais non. Je lui frappais donc les fesses et ça ne claquait pas mais j’allais aussitôt me planquer. Fausse joie. Il me trouvait aussitôt mais j’avais toujours été nulle pour jouer à cache-cache. Je souriais en l’entendant. Une journée surprenante ? Je devais avouer que j’étais riche en surprise avec mon allure assez étrange mais surtout… ouais non en fait, totalement étrange. Je relevais le regard vers lui et je le regardais attentivement. Folie ? Je souriais comme s’il venait de me dire que j’étais la plus sexy de cette planète. Une journée de folie ? Quand il voulait. J’étais opérationnelle. Un beau sourire, je riais doucement alors qu’il précisait. « Dommage et bonjour jeune homme, joli popotin ! », soufflais-je avec une fausse moue alors qu’il déposait un baiser sur ma joue. Je riais nerveusement à sa question. Lui raconter ? Cela n’avait rien d’étrange comme question mais c’était surtout le regard de haut en bas. Je me demandais presque s’il avait des rayons x pour voir à travers les tissus. Ce n’était pas l’idée qu’il en a qui me torturait mais plus vite l’idée que je voulais qu’il en porte. Oui, cela me rendait nerveuse. Je le suivis aussitôt dans la direction alors que je surveillais rapidement la anse de mon sac sur le bandage presque inutile ma foi mais ça réchauffait le coup sur mon bras. C’était mieux que rien. Je relevais le regard vers lui en souriant. Les regards quant à moi ? Je préférais clairement les ignorer et je n’y prêtais pas attention. J’étais comme dans une bulle alors que je me trouvais à côté de lui. J’étais bien. C’était presque étrange car nous n’avions plus vraiment fait du shopping à deux depuis un siècle ou presque. Cela me semblait un rêve, peut-être irréel. Je ne voulais pas qu’il se termine. Je lui souriais doucement. Le sourire ? Il ne faut jamais le perdre. « Le lapin de pâque ! », disais-je alors simplement en riant doucement. « Je faisais la tournée de la distribution des œufs. C’était mon tour mais je voulais être originale puis tous les enfants malades ont besoins de rire un peu ! », lui disais-je tandis que d’un geste non réfléchi, je glissais mon autre bras par-dessous le sien en me nichant contre lui, me frottant presque comme un chat en manque de câlin mais c’était surtout pour le côté animal. Je ne pourrais clairement pas expliquer pourquoi je faisais ça… mais je le faisais. « Ou sinon il y a l’option plus probable, je suis une petite lapine câline… qui est en manque d’affection et mon moi intérieur se réveille pour une partie de folie mais juste de folie… », je riais aussitôt en restant contre lui. J’allais chuchoter à son oreille. « Je me suis transformé… métamorphose après t’avoir mis la main aux fesses… », je riais légèrement. « Ceci explique cela, non ? », demandais-je aussitôt avec un grand sérieux alors que j’arrêtais de me frotter à lui tout en passant l’entrée et regardant les rayons autour de nous. Je devais avouer paniquer un peu. Je n’étais pas habituée à ces grandes surfaces sûrement par ce que j’avais un studio meublé à New York qui me plaisait énormément et je ne me voyais pas faire le montage d’un meuble en kit pour l’instant. Je n’étais pas douée pour ça et il le savait sûrement un peu de trop. Je n’avais pas changée et c’était un fait. Les yeux grands ouverts, je tournais mon regard vers lui. « Oh mon dieu… mais comment je vais trouver le rayon literie ? », demandais-je aussitôt. C’était ce que je cherchais en priorité, une chambre. Dormir, c’est important ! C’est comme une fée et ses ailes, c’est important pour elles d’en avoir. Bien sûr, cela me semblait être le plus important alors que j’avais tous les autres meubles à acheter. Les moyens ? Je les avais mais j’étais paumée. Je ne savais tellement pas ce dont j’avais besoin.
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mot doux de Todd L. Pilliwickle un Sam 2 Mai - 10:40
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Entre son petit karaoké et Maïwenn déguisée en lapine, autant dire que la journée réservait bien des surprises au jeune homme. Il ne fallait pas oublier non plus la petite tape au fessier du beau brun que celui-ci ne comptait pas zapper de sitôt. Cela avait eu un certain effet sur lui, un frisson ayant parcouru son corps. Pendant le temps d'un instant, Todd avait l'impression d'avoir fait un bond dans le passé. Car ce genre d'attitude, c'était souvent bon pour les ados ou bien les jeunes adultes. Eux avaient passé l'âge, sauf qu'il ne fallait pas oublier un détail. Les deux avaient conservé leur âme d'ado. D'où le fait qu'on n'était pas au bout de nos surprises avec eux (a) Souriant face au compliment de la blonde sur son popotin, il ne put s'empêcher d'émettre un petit commentaire. Ce n'était pas tous les jours qu'une jolie demoiselle lui complimentait son fessier. « J'ai gardé le même popotin qu'avant. Il me plaisait plutôt bien alors pourquoi le changer ? » Dit-il naturellement, comme si dire ce genre de paroles étaient normal. Pour Todd, c'était bel et bien le cas. Il n'aimait pas les gens qui étaient trop coincés des fesses. Voir que certaines personnes paraissaient choquées à l'écoute du mot popotin, le choquait. Il se disait que ces personnes-là devaient sortir du couvent ou bien d'un endroit vraiment paumé sur la Terre. Après lui avoir fait la bise, les deux prirent la direction de l'entrée du magasin, le beau brun en profitant pour lui demander la petite histoire qui a fait qu'elle se trouvait en costume de lapin. Le lapin de Pâques ? Bonne explication. Todd n'avait pas pensé à cette hypothèse, croyant tout simplement que la blonde voulait rendre leur rendez-vous spécial. La connaissant, elle pouvait se montrer un peu folle parfois. Une qualité que le jeune homme appréciait chez elle, et cela faisait partie de la longue liste qui faisait qu'il était attiré par celle-ci. Il souriait à nouveau en écoutant la blonde se justifier sur son costume, trouvant ça adorable de sa part de vouloir faire original pour les enfants malades. Maïwenn avait changé, elle ne pensait plus qu'à elle, mais aux autres aussi. Todd remarquait de plus en plus ce détail au fil de leurs conversations. Après quoi, la voilà qui se vint se frotter contre lui, le brun ayant l'impression d'avoir un chat à ses côtés. Mais il ne fit rien pour la repousser, trouvant la situation amusante et agréable aussi. Savoir la blonde aussi près de lui ne pouvait que le combler. Même si elle l'avait fait souffrir, Todd n'avait vraiment jamais cessé de l'aimer. La blonde se lança alors dans une seconde explication quant à son costume, parlant alors de métamorphose, de transformation. D'un coup, il avait l'impression d'être dans un film de magie comme Harry Potter ou bien le Magicien d'Oz. Ce qui le fit rire. « Je dois avoir un popotin magique alors. Tu le touches et paf, tu deviens une lapine ! On devrait me prendre pour un film de magie, je devrais y penser sérieusement. » Fit-il en prenant un air de réflexion avant de se mettre à rire. Bien sûr, tout cela était absurde, mais un peu absurdité n'avait jamais tué personne. Puis cela faisait du bien à Todd de rire avec Maïwenn, il la retrouvait petit à petit tout en découvrant une nouvelle personne. Cette sensation l'apaisait. Avant d'arriver aux portes coulissantes du magasin, le jeune homme revint sur la véritable raison du port d'un déguisement de lapine. « N'empêche, je trouve ça cool de ta part d'avoir voulu divertir les enfants d'une façon originale. Je peux te dire que tu as réussi. »  Il marqua une pause de quelques secondes avant de reprendre la parole, sourire aux lèvres. « Je ne veux pas .. comment dire .. te vexer ou quelque chose dans ce genre, mais .. tu as changé depuis toutes ses années .. tu es plus attentionné envers les autres .. et honnêtement, ça me plait. » Avoua-t-il avant de déposer une nouvelle fois un baiser sur sa joue. Non pas qu'il lui redisait bonjour, simplement une sorte de récompense pour ce qu'elle faisait. Entrant alors dans le magasin, Maïwenn semblait quelque peu désorientée et cela se confirma par ses paroles. Autant dire que Todd fut surpris de ce qu'elle venait de lui dire. Lui était habitué aux grandes surfaces et il pensait qu'elle aussi vu qu'elle avait habité à New-York. « On dirait que c'est la première fois que tu mets les pieds dans une grande surface. Il y en avait pas à New-York de grands magasins pour les meubles et décorations d'une maison ? » Demanda-t-il en rigolant légèrement, ne se moquant pas d'elle pour autant. Enfin peut-être un peu, mais amicalement. Il pointa alors son doigt vers un panneau qui se trouvait au-dessus d'un rayon. « Tu vas voir, c'est simple. Il y a des petits panneaux suspendus au plafond à chaque début de rayon pour indiquer ce que l'on trouve dans ce rayon. Par exemple là, nous avons le rayon lampe de chevet. Et là-bas, nous avons tout ce qui est armoire. » Lui prenant sa main, il l'emmena alors dans le rayon literie, vu que c'était là qu'elle voulait aller. Compréhensible. Le lit était important. Todd avait dormi une fois parterre et honnêtement, il ne comptait pas renouveler l'expérience, ayant eu un mal de dos assez désagréable le lendemain. Quelques secondes après, les deux arrivèrent alors au rayon literie. « Nous sommes arrivés ! Tu as un vaste choix de lit. Après tout dépend de tes goûts, de ce que tu recherches. Il y en a pour tous les goûts. » Dit-il en rigolant légèrement avant que les deux ne se mettent à examiner les lits présents dans le rayon. Lui n'avait pas vraiment son mot à dire, étant là surtout pour la conseiller et l'aider dans ses recherches. Il connaissait assez bien ce magasin, étant venu ici pour meubler son hôtel et sa propre maison également.
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tourne une fois que le voile se lève !
Le popotin, un sujet de conversation bien intéressant mais aussi ce mot tellement simple, tellement… enfantin. Je n’avais pas pour habitude d’être toujours crue. Non, je n’étais pas une femme crue. Pas en général. Je pouvais avoir ces mots simples du jargon gynécologique comme vagin… et tout. Non mais chut. Je riais tout simplement en le suivant. Nerveuse. Certes. La folie conduisait parfois à une exhibition assez étrange aux regards des autres mais qu’importe. Je ne souffrais pas de ce qu’on appelle… une maladie. Non. C’était une bonne folie. Une folie presque romantique, presque douce et pourtant un peu excentrique. Comment une femme arrivait à rester normale alors qu’euphoriquement, elle se frottait contre cet homme ? Je n’en savais rien mais cela me paraissait tellement naturel d’agir comme une adolescente. Comme un retour dans le passé. Étrangement, je ne nous revoyais pourtant pas dans nos actes. Oui, nous avions changés et je riais tandis qu’il jouait le jeu. Ça, il savait bien le faire. Le plus amusant dans la folie est quand nous ne sommes pas seuls mais surtout connectés. Je n’étais pas seule à délirer sur le popotin magique de Todd. Et pourquoi pas un film ? Je ne pouvais cependant pas m’empêcher d’avoir des papillons dans le ventre quand il riait. Stupide ? Oui, c’était stupide de ressentir tellement de choses. Oui, ces choses que je ne savais même pas si j’avais le droit de m’en offrir le luxe. L’avais-je ? Quelle question mais tellement difficile d’y répondre. J’avais fait couler des larmes, métaphoriquement. J’avais commise des erreurs. Non, je ne pouvais certainement pas sentir ces papillons et sûrement pas pour un simple rire pourtant je ne contrôlais rien. « Le postérieur magique de Todd ! », je souriais doucement. « Ça fait un peu film porno ! », murmurais-je aussitôt sans vraiment m’inquiéter des personnes qui écoutaient. Je m’en fichais réellement. Je réalisais surtout de ce qui arrivait. Ce magasin. Énorme. Je l’écoutais attentivement alors que la panique des lieux commençait à me titiller. Je souriais doucement et je finissais par rire. Un doux rire, un peu cristallin. Un rire discret car dans le fond, c’était que je sentais vraiment mes joues rouges au compliment. Ça lui plaisait et c’était efficace car ça semblait me plaire que ça lui plaise. « Je suis comme du bon vin, je m’améliore avec les années… mais comment ne pas être généreux avec un enfant malade ? », demandais-je alors en me demandant si j’aurais agi de la même façon dans le passé mais il fallait avouer que les gens changent oui. Ils grandissent et ils prennent moins peur de voir leur vie changer. Je voulais qu’elle change maintenant. C’était étrange pourtant je me sentais encore effrayer par bien des choses comme cet endroit ou je craignais clairement de me perdre. Je le laissais sous-entendre sans vraiment voir arriver la moquerie que j’allais ramasser. Je tournais mon regard vers lui en l’entendant. L’assassinant légèrement de mes yeux. « Moques-toi, moques-toi mais non. Les petits boutiques oui avec de quoi décorer mais ça ce n’est pas une boutique… c’est… », je secouais doucement la tête en regardant le panneau qu’il pointait des doigts. Je ne trouvais même pas de mots pour décrire… ce qu’était ce lieu à mes yeux. Je me sentais simplement comme un poupon qui venait au monde. Un bébé qui voyait l’univers de ses yeux innocent. Je devais être ainsi, oui. Sûrement. Étais-ce étrange ? Sans nul doute. Il m’expliquait le panneau et j’arquais un sourcil au fil de ses mots. Se moquait-il ? Oui, sûrement mais cette idée de vengeance s’envolait alors qu’il prenait ma main. Un geste… tellement. Enfin c’était étrange mais ces papillons revenaient. Il me guidait et je me sentais assez confiante. Tellement. Je n’avais pas vraiment peur de me perdre. C’est nul ? Je suis nulle. Je suis même comme ces filles naïves totalement enivrée. Je me sens tellement faible contre l’homme. Non. Il fallait que j’arrête de me comporter comme une fille… comment dire ? Foutue. Il faut que j’assume après tout, je suis fichue depuis 17 années. « Ah bon ? Tous ? Je suis difficile en matelas ! », disais-je alors sans vraiment savoir si c’était vrai. J’avais simplement besoin de penser à autre chose. C’était stupide, non ? Je déambulais dans le rayon. Des lits, des lits, des millions de lits partout. C’était comme les puces, ça me donnait l’impression de pousser partout et on ne peut pas contrôler. Un là, un là et un autre là. « Il y en a de trop… », disais-je alors d’un murmure qui m’échappait. Je tournais aussitôt mon regard vers lui avec une moue. Non. Il allait se moquer. Je le sentais mais ça m’amusait dans un sens pourtant je redoutais à la fois. Peut-être n’allait-il pas le faire ? « … j’ai l’impression d’être dans ce cauchemar que fait Ashton Kutcher quand il fait son sevrage du sexe… des millions de seins partout sauf que pour le mien… ce sont des lits, des millions… trillions de lits. », disais-je avec une moue. « Qui ont besoin d’être adopté… car ils sont tous bien mais certains resteront là encore et encore ! », je riais aussitôt. « Je plaisante, je ne suis pas atteinte à ce point ! », susurrais-je avant de me laisser tomber dans un lit au pif pour tester le matelas. « La meilleure façon de choisir est de tester, c’est ce que me dit toujours mon père ! », disais-je en penchant la tête. « C’est un truc d’hommes sûrement ? Vous testez toutes les filles pour choisir la bonne ? », lui demandais-je d’un ton sérieux mais ce n’était dans le fond que de l’humour. Je ne voulais pas spécialement la réponse non plus. Cela tuait tellement tout le romantisme. Romantique ? L’étais-je ? Peut-être bien, peut-être pas mais j’étais persuadée que ce côté d’une personne ne se révélait que par petit bout. Etrange, sûrement mais je suis une personne étrange.
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Todd L. Pilliwickle
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❝ cupidon : en couple avec Maïwenn, heureux de l'avoir retrouvé après dix-sept ans d'absence. Bientôt papa, une nouvelle fois.
❝ post-it : est père d'un ado de 17 ans - aime toujours la mère de Nathanael, son fils, malgré le fait qu'elle les a abandonné après la naissance de Nathanael - fan de star wars - allergique aux oranges - ne tolère pas les piercings - adore les plats rapide style hamburgers, frites (ce genre de choses) - possède un chien du nom de Yoda - a une relation comme chien et chat avec ses parents - a suivit des études de commerces grâce à des cours du soir
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mot doux de Todd L. Pilliwickle un Dim 3 Mai - 12:08
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Et voilà un nouveau délire entre les deux, celui-ci portant sur le postérieur du beau brun. Autant dire que ce sujet de discussion ne pouvait qu'être marrant et divertissant également, surtout pour la blonde. Todd en rigolait, trouvant que l'idée du film, bien qu'il soit un peu porno, n'était pas une si mauvaise idée. Cela pouvait rapporter de l'argent. Comme certains le disait, tous les moyens étaient bons pour gagner un peu de cash. Mais bon, cela ne ressemblait pas non plus au jeune homme de faire tout et n'importe quoi pour gagner de l'argent. Il avait un fils, il ne pouvait pas faire des choses aussi folles. Cela ne resterait qu'un délire ce film légèrement porno. Un bon délire quand même, surtout le titre du film. Rien qu'à y repenser, Todd se mit à rire doucement, ne voulant pas qu'on le prenne pour un fou qui rigole pour un rien. Bien que tout le monde savait déjà qu'il avait un grain de folie dans sa tête. Quoiqu'il en soit, Maïwenn et lui devaient faire ne pas perdre de vue leur objectif premier qui était d'acheter tout ce qu'il fallait pour la blonde pour la décoration et le mobilier de sa maison. Avant qu'ils ne rentrent dans le magasin, Todd fit par d'un sentiment qu'il eut, ou plutôt une impression qui lui trottait dans la tête depuis quelque temps maintenant. Impression qui s'était renforcé lors de leur dîner au restaurant. La réponse de la blonde fit rire Todd qui était content qu'elle le prenne plutôt bien. Certains se seraient renfermés sur eux-mêmes, n'étant pas assez ouvert d'esprit. Ce qui n'était en rien le cas de Maïwenn, encore une chose que le jeune homme aimait chez elle. « Comme du bon vin ? Charmante comparaison. Si tu es comme un bon vin, tu n'as pas de défaut, tu as un bel équilibre et tu as une bonne longueur en bouche, quand on t'embrasse bien sûr. Ouais, je m'y connais un peu en bon vin. » Dit-il en esquissant un léger sourire en coin. En étant le propriétaire d'un hôtel, cela lui arrivait de temps à autre qu'il goute les vins qu'ils commandent, voulant savoir si ses clients seront satisfait ou pas. « Mais c'est vrai que c'est difficile de ne pas être généreux avec les enfants malades. Sauf pour ceux qui n'ont pas de coeur. » Conclut-il avant d'entrer dans le magasin. Dès leur entrée, Maïwenn eut une réaction assez amusante aux yeux de Todd qui ne put s'empêcher de la taquiner gentiment. Cela lui faisait bizarre qu'une femme ayant vécu à New-York trouvait le magasin trop grand. Pleine de surprise la blonde était. « Moi me moquer de toi ? Pas du tout voyons .. je n'oserai jamais faire une chose aussi offensante. » Affirma-t-il en levant les yeux au ciel, prenant également un air des plus innocents. Mais il se doutait bien qu'elle n'allait pas tomber dans le traquenard. « C'est une grande surface ! » Dit-il pour finir la phrase de la blonde en esquissant un sourire. « Mais tu verras, ce n'est qu'une question d'habitude. Après deux/trois que tu seras venue ici, tu pourras aller au rayon que tu veux avec les yeux bandés. » Les deux se dirigèrent alors vers le rayon literie pour choisir un lit à Maïwenn. Todd espérait qu'elle n'était pas trop difficile vu le large choix que le magasin proposait en matière de lit. Cela lui rappelait certaines fois où il venait ici pour choisir une lampe de chevet ou bien une petite table basse. Parfois, il mettait des heures avant de choisir, c'était le petit hic dans ce magasin, trop de choix. Et oui, l'être humain n'était et ne serait jamais satisfait complètement que voulez-vous. Elle avoua alors qu'elle était difficile en matière de matelas. Il rigola légèrement, se disant en son fond intérieur qu'ils n'étaient pas près de sortir du magasin. Mais en soit, ce n'était pas une si mauvaise chose. Todd ne paraissait pas contre de passer du temps avec la blonde, bien au contraire, il adorait ça. « J'espère que tu n'as rien prévu pour le restant de la journée car je pense qu'on en a pour quelques heures dans le magasin. T'es comme moi, difficile en matière de mobilier. » Avoua-t-il pour la rassurer un peu, ne voulant pas qu'elle croit qu'elle l'embêtait à être difficile. Ce n'était pas le sentiment que le beau brun ressentait, alors autant que Maïwenn ne le pense pas. Cela pourrait jeter un léger froid et Todd voulait à tout prix éviter ça. Parcourant le rayon, la blonde raconta une impression qu'elle eut sur le moment, le jeune homme ne pouvant alors s'empêcher de rire. Il se demandait parfois où elle allait chercher de telles comparaisons. « Tant que tu ne fais pas de cauchemar cette nuit de notre séjour ici, ça devrait aller. Dis-toi qu'il faut être généreux et qu'il faut en laisser pour les autres, donc que tu ne peux pas tous les prendre. » Bon ok, c'était un peu débile de lui dire ça, mais Todd n'avait pas trouvé autre chose pour la faire décompresser. Et puis en avait-elle besoin ? Il fallait croire que non vu sa remarque qui suivait. Elle n'avait pas tort. On disait souvent qu'avant d'acheter un lit, il fallait toujours le tester. Après tout dépend de la manière dont on le testait. Cela ouvrait à plusieurs options. « Genre de suite, c'est un truc d'homme. Bizarrement, je vois plus les femmes venir s'allonger sur le lit et inviter l'homme à le rejoindre. » Dit-il en prenant un air légèrement choqué pour appuyer ses paroles. Bon ok, c'était autant les hommes que les femmes qui faisaient ça, après tout dépendait de la personne quoi. « Mais tu as raison. On teste les femmes sur les lits et celle qui assure bien est la bonne. Chacun ses méthodes pour trouver la bonne femme non ? » Dit-il en sifflotant un peu avant de se mettre à rire. Lui qui disait ce genre de paroles, ce n'était pas vraiment son truc. Mais bon, cela faisait du bien de se lâcher un peu de temps à autre, de ne pas être trop dans le romantisme. Mais ça n'allait pas aider la blonde à choisir son lit. « Sérieusement .. car ouais, faut être un peu sérieux si l'on ne veut pas coucher ici, tu n'as qu'à t'allonger sur les lits qui te plaisent et voir celui qui te convient le mieux. Perso, c'est ce que je fais souvent. J'en prends une petite dizaine et je regarde le plus confortable. » Haussant les épaules, il vint alors à s'asseoir sur un lit, attendant alors que la blonde fasse son choix. Il émit quand même une petite précision, faisant remonter un vieux souvenir qui datait de quelques années maintenant. « Enfin, fais attention de ne pas t'endormir sur un lit. Une fois, je trouvais un matelas tellement douillé que je me suis endormi dessus. C'est un vendeur qui vint me réveiller une heure plus tard. Je me suis senti un peu ridicule sur le coup. » Todd avait le don pour vivre des situations qui se montraient, pour la plupart, assez amusantes et dérangeantes aussi à la fois.
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mot doux de Invité ► un Lun 11 Mai - 1:22
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maintenant tout semble différent,
on ne sait pas vraiment comment le monde
tourne une fois que le voile se lève !
Comment cela allait se passer ? Je n’en avais aucunes idées. Nos rencontres étaient toujours pleines de surprises. Allions-nous trouver des vendeurs en train de copuler sur la photocopieuse ? Peut-être bien ou peut-être pas. Allions-nous avoir un vendeur qui me traite de cougar après s’être donné en spectacle ? Je n’en savais rien non plus. Nous nous contentions de papoter en entrant. Oui une conversation peut-être loufoque voir effrayante pour certains. Je pouvais concevoir que l’on allait paraitre bizarre aux yeux des autres mais on s’en fiche des autres. Je riais alors qu’il poussait la comparaison du vin un peu plus loin que la mienne. Embrasser ? M’embrasser ? Cela m’amusait sur le coup. Je ne pouvais pas m’empêche de sourire. « Ça se voit que tu n’as plus gouté à mon vin depuis un moment ! », disais-je un peu mystérieuse. Etais-je devenue nulle en matière de baisers ? Non enfin je n’en savais rien mais je me disais : c’est un peu comme le vélo, non ? Cela ne s’oublie pas réellement mais comme pour tout, on change. Le baiser d’une adolescente est bien différent que celui d’une adulte pour des raisons tout autant diverses. Je ne pourrais clairement pas les citer. Je pense qu’on ne peut simplement pas. C’est comme le sexe, on prend de l’expérience au fil des années mais on grandi surtout dans des routes différentes. Certains aimeront le sado-maso et d’autres l’amour plus miel, plus sucre. C’était l’histoire de millions de vies. Des gens étranges avec tout ça, j’en croisais tellement qui laissaient échapper par moment leurs pratiques. Cela me faisait rire parfois comme Joan par exemple. Le fouet et toutes ses choses. Elle aimait dominer alors que je n’étais pas vraiment une dominante enfin… mais pourquoi je parle de ça alors que nous parlions de vin ? Je secouais doucement la tête à mes idées étranges pour me concentrer sur ma frayeur de ses liens. Les gens qui n’ont pas de cœurs aussi. Je riais nerveusement. « Ils sont nombreux malheureusement ! », lâchais-je simplement tandis que c’était vrai. L’ignobilité de la race humaine nous montrait parfois des phénomènes. Nous ne l’étions pas tous mais en majorité, oui. Je faisais une moue alors qu’il disait ne jamais faire une chose aussi offensante. « Moui ! », je n’y croyais pas vraiment et je souriais alors qu’il finissait ma phrase. « Ce n’est pas vraiment ce que j’allais dire ! », disais-je en lui tirant puérilement la langue. C’était enfantin, je l’assumais mais après tout j’étais déguisée en lapin, tirer la langue n’était pas si grave. Septique alors qu’il laissait penser qu’il me faudrait juste de l’habitude, j’haussais les épaules en me contentant de le suivre mais il y avait tellement de lits que je me demandais… s’ils n’allaient pas tous nous bouffer tous crus. Mourir mangé par un lit ? En voilà bien une étrange idée mais encore… ce n’était pas le plus étrange de la situation mais le plus étrange était la façon avec laquelle je comparais. J’haussais les épaules à ce qu’il espérait et je riais doucement. « Si… dormir ! », disais-je en riant. Je n’avais après tout pas vraiment dormie cette nuit. J’en avais le sommeil facile pour avoir faite une sieste dans mon cabinet. Bien sûr en disant cabinet, je ne parle pas des toilettes. Je faisais une moue. Pas tous les prendre ? Je me disais qu’il devait sûrement se moquer de moi en ce moment… enfin peut-être pas mais c’était étrange à dire. Je riais doucement. « Je ne sais même pas ou je pourrais les mettre ! », plaisantais-je alors en fronçant les sourcils mais pour éviter d’être encore plus folle que je ne l’étais, je me mettais à tester les lits. Si je les testais tous ? J’en aurais pour l’année à force. Je laissais penser que c’était un truc masculin de tester. Sa réaction d’auto-défense enfin presque me fit rire alors que je me redressais sur mes coudes en l’écoutant attentivement. Je le laissais parler sans vraiment le couper. J’attendais peut-être qu’il ne me souffle divinement quel lit prendre ? Non, pas vraiment mais il m’amusait à vrai dire. Il était un vrai comic show, mon comic show car je savais qu’il me faisait rire car c’était lui et que c’était moi qui l’écoutait. Il sifflotait même et ça me faisait rire à nouveau. J’arquais cependant un sourcil quand il disait qu’on ne voulait pas coucher ici. L’expression m’amusait mais me déconcertait sur le coup. C’était étrange, oui. Je m’imaginais… non en public. Non. Je savais que j’étais un lapin mais on allait éviter… le playboy version lapin de mars au paradis des literies. L’image m’amusait d’un coup. Je le regardais s’assoir et je penchais la tête. C’est à son conseil que je souriais en le regardant. « Ne me laisses pas dormir alors… je suis épuisée ! », disais-je en fronçant les sourcils. « Je me suis assoupie tout à l’heure et c’était l’enfer… j’ai rêvée être une marmotte ! », je me redressais aussitôt en approchant et allant m’assoir à côté de lui. Je tournais mon regard vers lui en souriant. Je m’allongeais alors que je posais la main sur son épaule pour le guider malgré lui dans ma chute. « Une vraie femme n’a pas besoin d’inviter… elle s’invite ! », disais-je en riant à nouveau. Je retrouvais bien sûr tout aussitôt mon sérieux enfin presque car il n’y avait pas vraiment de sérieux en ce moment. Enfin… c’était ce que j’aimais bien entre nous. On était rarement sérieux par moment pour le redevenir aussitôt avant de repasser à l’asile et tant mieux. « T’en penses quoi de celui-ci ? », lui demandais-je comme un besoin de conseil en fronçant le nez. « Et non, on ne veut pas coucher ici… non mais pas en public, voyons… puis tu as déjà osé de tes méthodes, je crois ! », disais-je en allant déposer un baiser sur sa joue furtivement. Tout simplement sans équivoque et je me redressais aussitôt en regardant les autres lits avec attention. « Pour éviter de tous les essayer, je devrais tout de même faire une présélection ! », commentais-je un peu comme si ça sortait de mes pensées. « Comment tu vas d’ailleurs ? », disais-je en tournant mon attention vers lui. Un subit changement de sujets mais cela m’aidait surtout à me concentrer sur autres choses que la literie car j’avais vraiment l’impression que je n’allais jamais réussir à choisir.
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mot doux de Todd L. Pilliwickle un Lun 11 Mai - 18:02
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« Ça se voit que tu n’as plus gouté à mon vin depuis un moment ! » Il souriait tout simplement dans un premier temps. Elle n'avait pas tort en disant ça, cela faisait bien des années qu'ils n'avaient pas échangés un baiser. Le dernier remontait à dix sept ans, peu de temps après la naissance de leur fils Nathanael. Cela faisait longtemps, exact. Mais en même temps, la situation n'avait pas favorisé ce genre de choses entre deux personnes. Todd avait quelques options en tête, dont une qui lui paraissait bien folle. Trop folle pour qu'il l'exécute. Et pourtant, c'était le premier à dire qu'il fallait faire certaines folies dans sa vie pour ne pas passer à côté de certaines occasions. Alors il s'avança un peu plus vite, se mettant devant la blonde avant de déposer ses lèvres contre les siennes, le temps de quelques secondes, échangeant un baiser. Le temps de ce baiser, plusieurs sensations survinrent en lui, ne pouvant les décrire tellement qu'elles étaient merveilleuse à ses yeux, tellement qu'elles lui apportaient le bonheur en lui. Retirant alors ses lèvres, il pouvait donc rétorquer à ses paroles. « Je confirme, t'es comme un bon vin. » Avoua-t-il en esquissant un léger sourire au coin de ses lèvres avant de se remettre en route pour le magasin. Son geste pouvait paraitre déplacé, surtout vu leur passé, mais, ce baiser avait surtout l'impression d'être un simple baiser, sans aucune signification derrière sauf pour vérifier les propos de la blonde. Bien sûr, Todd avait embrassé Maïwenn pour cette raison, mais pour une autre également, une autre raison qu'il ne comptait pas dire. Depuis leur dernier rendez-vous, la flamme qui se trouvait dans un coin de son coeur, avait repris de l'éclat, le jeune homme ayant compris que son coeur avait toujours appartenu à la mère de son enfant. Un moment de gêne pour les deux, mais heureusement pour les deux, la discussion en vint rapidement à l'histoire du port d'un costume de lapin par Maïwenn. Celle-ci expliqua alors que cela avait un rapport avec les enfants malades, Todd trouvant son geste attentionné de sa part, étant émerveillé en quelque sorte. Il avait l'impression d'avoir une nouvelle jeune femme devant lui, une Maïwenn évoluée. Ce qui lui plaisait bien sûr. Les deux furent d'accord sur le fait que les gens qui n'avaient pas le coeur sur la main était élevé. Trop aux yeux du jeune homme. Entrant alors dans le magasin, Todd eut une petite surprise quant au comportement de la blonde, celui-ci se montrant légèrement moqueur envers elle. Tout en restant gentil bien sûr. Maïwenn l'avait bien compris qu'il se moquait d'elle, Todd essayant de lui faire croire que non, mais c'était peine perdue, la blonde le connaissant certainement que trop bien, malgré que cela faisait que quelques semaines qu'ils s'étaient retrouvés. Après tout, le brun n'avait guère changé depuis son adolescence. Finissant alors une phrase de la blonde, celle-ci le contredit. Peut-être voulait-elle se venger pour la moquerie qu'eut le jeune homme envers elle ? Haussant un sourcil, il était assez curieux de connaitre les mots qu'elle aurait utilisé pour finir sa phrase. « Et tu aurais dit quoi ? » Demanda-t-il en haussant un sourcil, la regardant d'un air interrogateur. La connaissant, elle allait certainement sortir une bêtise ou bien un synonyme du mot qu'il avait dit. Prenant alors la direction du rayon literie, choisir un lit n'allait pas être une tâche si simple que l'aurait pensé Todd. Car la blonde était comme lui : compliquée pour choisir. Alors tout ce qu'il espérait, c'était qu'elle n'avait rien prévu de la journée car ils n'étaient pas encore sortit du magasin. Celle-ci rétorqua que si, elle comptait dormir. Assez ironique lorsque l'on savait où ils se trouvaient à l'instant précis. « Tu peux dormir ici, tu as une tonne de lit à ta disposition. » Il rigola alors, lui montrant la quantité de lit qui se présentait à elle. Todd écouta alors la comparaison de la blonde, trouvant que la situation ressemblait à un cauchemar. Bien sûr, le brun prit ça au second degré, en rigolant. Mais bon, pour être sûr qu'elle ne fasse pas de cauchemar, il la réconforta en lui montrant qu'elle ne pouvait pas acheter tous les lits. De plus, elle ajouta une autre raison qui fait qu'elle ne pouvait pas tous les acheter. « Aussi ! Donc au final, tu as une tonne de raisons qui font que tu ne peux pas tous les prendre. Donc tu ne ferras aucun cauchemar, que des rêves. » Dit-il, ayant l'impression d'être sûr de lui dans le ton qu'il prit. Maintenant, un problème se posait à eux, surtout à la blonde vu que c'était elle qui devait choisir un lit. Il y en avait beaucoup et elle voulait le meilleur. Alors la seule solution que trouva Todd c'était de tous les essayer. Mais cela allait prendre du temps. Maïwenn voyait là une technique de drague typiquement masculine, ce qui amusa le jeune homme qui rentra dans son délire quelques instants, avant d'être un minimum sérieux. Car s'ils rigolaient à chaque instant, ils n'allaient jamais s'en sortir. La seule condition que la blonde posa quant à l'idée du brun, c'était qu'il ne devait pas la laisser dormir. Simple alors pourquoi dire non ? Aucune raison le poussait de le faire, sauf peut-être une en fait .. la voir dormir l'amuserait beaucoup. Une lapine qui dormait sur un lit dans une grande surface, ce n'était pas un spectacle que l'on voyait tous les jours. « Ok si tu commences à t'endormir, je te jetterai un sceau d'eau sur le visage. » Ok, il n'allait pas le faire, ne voulant pas mouiller le lit qu'il devrait sans nul doute payer après. C'était juste une plaisanterie. Mais il avait malgré tout, souligné le fait qu'elle était épuisée, ce qui l'inquiéta quelque peu. « Tu travailles trop pour être épuisée ? Il faudrait peut-être que tu prennes un peu de vacances non ? » Il proposa ça comme ça, sans trop réfléchir. Peut-être parce que c'était la proposition que tout le monde sortait à chaque fois qu'on avait à faire à une personne fatiguée. Elle revint alors sur leur petit délire, disant qu'une vraie femme n'avait pas besoin d'inviter, elle s'invitait. En écoutant ça, Todd ne put s'empêcher de se mettre à rire avant de répondre, essayant de reprendre son sérieux. « Ce qui veut dire qu'une vraie femme n'a pas de gêne ? Enfin si j'ai bien compris ton raisonnement car tout le monde sait que les femmes, ce n'est pas facile à comprendre. » Finit-il par dire pour la taquiner un peu, ne pensant pas réellement ce qu'il venait de dire. Le brun n'était pas un sexiste, étant pour l'égalité homme/femme. Revenant alors au sujet qui les avait conduits au rayon literie, Maïwenn vint à tester un lit, voulant l'avis alors du jeune homme. Il s'installa dessus, s'allongeant même pour voir s'il ne faisait pas mal au dos, s'il était confortable. Après quelques instants d'essayage, il put tirer une conclusion. « Je trouve qu'il est parfait. Un peu mou, parfaitement confortable pour le dos. Honnêtement, si tu l'achètes pas, je l'achète. » Dit-il avant de se mettre à rire, n'étant pas du tout sérieux. Il avait déjà son propre lit qui lui convenait parfaitement bien. « Et tu sais que je suis un peu pudique alors y faire en public, non merci. Puis, je n'ai appliqué aucune méthode, tu crois mal. » Dit-il en prenant un air innocent avant d'ajouter une petite bêtise made in Todd. « Tu veux un conseil ? Arrêtes de croire. Moi j'ai arrêté de croire depuis que j'ai découvert que le père noël n'existait pas. » Il haussa les épaules avant d'écouter l'idée qu'eut la blonde concernant le choix de son lit. Une bonne idée. « Pourquoi pas, ça réduirait la liste de choix. Ou bien tu prends celui qu'on vient d'essayer. » Lui conseilla-t-il. Non pas que ça le saoulait, mais il avait vraiment eu le coup de coeur pour ce lit. Et c'était assez rare qu'il ait un coup de coeur pour un lit aussi vite. Peut-être un coup de pousse du destin qui sait ? Même si le jeune homme ne croyait pas au destin. Maïwenn embraya sur un autre sujet, demandant alors comment il allait. Esquissant un sourire, il regarda un peu autour de lui avant de lui apporter une réponse. « Je vais plutôt bien. Ce matin, j'ai chanté sur une petite scène devant une cinquantaine de personnes pour une association. Ca m'a mis de bonne humeur de voir que ce fut un succès. » Oui, Todd était fier de ce qu'il avait fait ce matin. Ce n'était pas de la prétention pour autant. Les gens pouvaient bien être fiers de certaines de leurs actions, cela leur permettait dans un sens de leur faire sentir bien dans leur peau. C'était comme ça que le brun voyait les choses en tout cas. « D'ailleurs, je crois qu'on m'a pris en vidéo. Je te la montrerai si tu veux. » Fit-il en haussant les épaules, cette vidéo qui sera un souvenir pour Todd. « Bon alors, tu prends quel lit car on doit encore s'occuper d'un tas d'autres choses. Comme par exemple le tapis de douche. C'est très très important un tapis de douche, car sans ça, tu peux te casser la figure. D'ailleurs, t'as une douche ou une baignoire ? Je sais, c'est une question de vie ou de mort, pour ça que j'ose la poser. » Esquissant un sourire, il ne put s'empêcher de se mettre à rire, ayant du mal à garder son sérieux avec la blonde, comme avec beaucoup de ses proches lorsqu'il partait dans un délire.
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mot doux de Invité ► un Jeu 21 Mai - 21:37
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tourne une fois que le voile se lève !
Il y a ces choses que vous regrettez assez bien rapidement d’avoir dite. Vous vous les tournez dans les têtes en vous disant qu’il serait bien tant de ne pas les dire. Me comparer à du bon vin ? Mes lèvres ? Non mais quelle idée franchement. Alors qu’il se mettait devant moi, je ne savais plus quoi faire. Je me sentais comme ces adolescents qui vont partager un premier baiser. Ce n’était juste pas du tout le premier mais chut. Cette sensation était tellement nouvelle tout en restant un frais souvenir du baiser. Ce sont juste des lèvres posées contre les miennes mais c’est tellement suffisant pour dérober ces sensations me remuant. Non. Je devais me calmer. Je ne devais pas exploser. Je ne voulais pas. Je préférais ne rien montrer comme un robot ce qui n’était pas simple à mes joues rougie. Je rebondissais malgré tout. Et qu’aurais-je dis pour décrire ce lieu ? Je n’en savais rien, je n’avais tellement pas de métaphore. Rien dans ma caboche. Je préférais hausser les épaules. « Un abattoir, la foire au bétail ! », murmurais-je avec tellement peu d’inspiration sur le coup. Je voulais juste arrêter de penser à ce à quoi je pensais. Ce qui était arrivé quelques minutes avant. Je m’en sortais bien, j’arrivais à masquer mes sentiments. Ou presque. L’heure d’entrer dans l’abattoir ou tout du moins dans les troupeaux de lits avait sonnée. Je m’allongeais sur l’un des bétails en testant celui-ci. Fatiguée. On pourrait dire que j’avais envie de m’endormir sur la viande mais ce n’était pas une vache mais un lit. Un vrai lit. Il n’y avait pas de fourrure non plus enfin de peau pour être plus précise. Fin des métaphores mine de rien sinon je m’envoie encore chez les fous. Enfin chez les folles mais soit. Je me contentais de rire en l’entendant. Dormir ici ? « Il y a tellement de choses qu’on pourrait faire ici… », soufflais-je avec un lourd sous-entendu mais je plaisantais. J’en riais même aussitôt. Des tonnes de raisons de ne pas acheter tous ses lits, une discussion qui pourrait tellement sembler étrange. Cela avait un côté bien amusant mine de rien mais je ne voulais pas trop y penser. Mon regard vagabondant parmi les lits alors qu’il disait qu’il me jetterait un seau d’eau sur la tête. J’en souriais. Je ne savais pas s’il était sérieux ou pas. C’était justement le souci, une chose qui me déconcertait. Il y a 17 ans, j’aurais pu directement voir s’il plaisante ou pas mais je n’arrivais maintenant pas à en être certaine. C’est frustrant par moment. Cela pourrait presque me faire peur. Je souriais à son inquiétude tout en le regardant. Moi des vacances ? J’en souriais simplement sans répondre pour l’instant, j’enchainais aussitôt comme un moulin à parole. Silencieuse sur cette idée de prendre des vacances mais je savais que je ne pouvais pas rester sans bosser. J’allais devenir dingue. J’étais tellement impatiente d’avancer que j’avais besoin de m’occuper l’esprit en attendant puis… les bébés n’attendent pas. Ils sortent comme ça pouf et je ne voulais pas rater ça. Je riais doucement quand on parlait de ma gêne. Je penchais la tête de droite à gauche. Un geste anodin et je riais doucement. « C’est presque ça ! », répondis-je alors en jouant le jeu. Les femmes étaient-elles sans gênes ? Je ne saurais pas le dire mais compliquée ? Clairement. J’étais de celles qui n’avaient clairement pas peur de l’avouer. Nous sommes compliquées et je suis trop compliquée pour moi par moment. Et revenons à nos moutons enfin non… nos bétails, nos lits quoi. Je lui demandais simplement son avis. Oui, tout simplement. J’en avais besoin et pourtant. Enfin c’est étrange. C’est ce qui prouve que nous sommes réellement compliquées puisque pourquoi son avis ? Telle était la question. C’était moi qui dormait dedans mais parfois il est bien d’avoir deux avis du coup, je l’écoutais en riant. « Je t’en prie, achètes-le… ou que ce lit aille, je le suivrais ! », disais-je avant de rire. Pudique, oui. Je l’étais aussi. Bien sûr, je n’avais rien contre les effusions en public mais à un certains stades. Là, c’était vraiment le tip top des stades. Une petite fille passait même devant les lits avec sa poussette pour poupée en main alors que je l’écoutais. Je souriais doucement. « Croire ? Je ne veux pas arrêter de croire ! », disais-je alors en souriant. « Ça permet de rêver ! », soufflais-je en me redressant. Ce lit-ci ? Je me contentais de demander comment il allait. J’avais besoin de réfléchir. Un lit, c’est comme choisir un homme, non ? Il faut le bon. Le lit avec un grand L ! J’ouvrais grande mes oreilles en le regardant. Je l’écoutais alors attentivement, je tentais de garder mon sérieux quand il disait avoir chanté mais je fronçais le nez pour me retenir. Une vidéo ? J’en souriais. « Pourquoi pas ! », soufflais-je alors en regardant le lit alors qu’il se laissait aller dans un discours sur la douche. J’en arquais les sourcils et je relevais mon regard vers lui. « Ca dépend… une douche, c’est bien… ça peut être sexy aussi par moment et plus facile à deux enfin… je crois, j’aime croire ! », je riais. Ce rire taquin alors que bien sûr, je le faisais exprès de partir sur cette idée du côté agréable d’une douche. Pas le genre de douche ou on se lève en chantonnant. Un autre genre. « Tandis que le bain est plus reposant dans son genre. », je souriais en déposant un baiser sur sa joue. Pourquoi sur sa joue ? Tout simplement par crainte. Il avait osé mais je ne savais pas encore oser… j’avais cette crainte de me mener vers un ravin. Je penchais doucement la tête en me levant aussitôt. Debout devant le lit, je lui tendais ma main en souriant doucement. « Je prends ce lit, je t’emporte en attendant le livreur… je suis pressée de tester les tapis de douche. », soufflais-je alors avec un sourire sournois. « Et toi ? », lui demandais-je avec cet air espiègle sur le visage. Oui, peut-être que je le cherchais un peu.

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Todd L. Pilliwickle
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❝ Métier : propriétaire de l'hôtel l'Argonaute, se situant au Sud de la ville
❝ cupidon : en couple avec Maïwenn, heureux de l'avoir retrouvé après dix-sept ans d'absence. Bientôt papa, une nouvelle fois.
❝ post-it : est père d'un ado de 17 ans - aime toujours la mère de Nathanael, son fils, malgré le fait qu'elle les a abandonné après la naissance de Nathanael - fan de star wars - allergique aux oranges - ne tolère pas les piercings - adore les plats rapide style hamburgers, frites (ce genre de choses) - possède un chien du nom de Yoda - a une relation comme chien et chat avec ses parents - a suivit des études de commerces grâce à des cours du soir
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Etre père, c'est une histoire de désir, d'amour, d'envies partagées... Mais la paternité est aussi une aventure riche en bouleversements qui nous reconnecte à nos propres racines. Nathanael : mon fils, ma bataille.
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mot doux de Todd L. Pilliwickle un Ven 22 Mai - 13:50
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Son baiser pouvait paraitre anodin, mais ce n'était pas le cas. Certes, Todd avait embrassé la blonde pour une raison assez farfelue, mais en lui-même, il savait que ce baiser avait une autre signification. Car après tout, on n'embrasserait pas une personne comme ça, surtout lorsque cette personne était une ex et la mère de son enfant. Cela pouvait paraitre étrange de voir agir ainsi le beau brun. Il y avait encore quelques semaines encore, il en voulait à Maïwenn de les avoir abandonnés, lui et leur fils. Et là le voilà en train de l'embrasser pour soi-disant voir si elle était comme le bon vin. Une bonne excuse pour cacher la vérité. Todd pouvait en vouloir à la blonde autant qu'il le voulait, cela n'effacerait pas l'amour qu'il avait pour elle. Ce baiser ne faisait que confirmer les pensées qu'il avait avec son coeur. Les deux ne parlèrent pas beaucoup du baiser, comme si c'était rien. Peut-être valait-il mieux que cela se passe ainsi ? C'était sans nul doute trop tôt pour envisager une possible nouvelle relation. Surtout que Nathanael n'était toujours pas au courant que sa mère se trouvait à nouveau à Pasadena. Quoiqu'il en soit, ce fameux baiser n'empêcha pas les deux de rentrer dans le magasin, leur entrée laissant place à quelques petites plaisanteries de la part de l'un et de l'autre. Et ce fut Maïwenn qui eut le dernier mot, Todd riant de trop pour lui répondre. Un abattoir ? Ce magasin était un abattoir ? Todd se demanda sur le coup où la blonde était partie chercher cette bêtise. Plutôt recherchée et assez marrante à ces yeux. En même temps, il rigolait pour un oui ou pour un non. Comme il le disait souvent, rire permettait d'allonger son espérance de vie, alors à chaque occasion qui se présentait à lui, le beau brun rigolait. Le sérieux reprenant le dessus, du shopping les attendait, celui-ci les conduisant alors dans le rayon de la literie. Un rayon qui n'allait pas être très rapide à visiter sur la quantité de lits proposé par le magasin. Comprenant que leur temps dans le bâtiment allait s'avérer être assez long, Todd espérait alors que la blonde n'avait pas prévu de faire autre chose après leur shopping. La réponse de Maïwenn ? Dormir ! Assez ironique lorsque l'on savait où les deux se trouvaient. Là où ils étaient, la blonde allait pouvoir dormir, celle-ci rajoutant qu'il y avait pleins de choses à faire aussi dans ce rayon. Le brun émit un léger rire, ne pouvant que confirmer ses propos. « On peut faire des choses pas très catholiques, mais je crois qu'on choquerait tout le monde. On peut aussi sauter sur les lits, mais là on se ferait virer. On peut aussi .. faire une bataille de polochon ! Mais là encore, ce ne serait pas bon pour nous. » De vastes possibilités pour les deux .. des possibilités pas franchement réalisables s'ils voulaient rester dans le magasin par contre. Quelques plaisanteries revinrent dans la conversation comme une comparaison de la part de la blonde ou bien encore Todd qui faisait une sorte d'argumentation pour montrer à celle-ci qu'elle n'allait faire que des rêves grâce à ce rayon literie. Todd lui préconisa également de prendre des vacances vue qu'elle semblait quelque peu épuisée. Mais la blonde ne répondit rien à cela. Peut-être parce qu'elle n'avait pas l'envie d'en prendre ? Cela pouvait se comprendre, certains n'étaient pas fan des vacances, se voulant aussi à cent pourcent dans leur travail. Todd lui, ne prenait pas de vacances car son travail l'en empêchait. Ok, il pourrait laisser son directeur adjoint gérer l'hôtel le temps de deux semaines, mais Todd n'arrivait pas à se détacher de son bébé pour l'instant. Ce qui ne voulait pas dire que son fils n'allait pas en vacances. Parfois, Todd le confiait à ses parents pour qu'ils voyagent ensemble. Aussi bizarre que cela puisse paraitre, les deux en vinrent à parler de technique de drague, ce qui semblait assez amuser le brun qui se prêta au jeu, rentrant dans le délire de la blonde. Comme à chaque fois d'ailleurs. Il ne manquait aucune occasion de rire ou de s'amuser. Un vrai gamin parfois, mais cela faisait son charme aussi. Enfin de temps à autre .. Todd venait de comprendre un bon des femmes, découvrant qu'elles n'avaient pas de gênes. Enfin presque ça selon Maïwenn. Autant dire que ça restait encore flou. Le mystère des femmes, l'un des plus grands mystères au monde après celui du Lockness et du triangle des Bermudes. Revenant alors à la raison qui faisait qu'ils étaient ici, la blonde demanda l'avis de Todd concernant un lit. Un lit qui fut un coup de coeur pour celui-ci, le lui conseillant alors. Précisant même que si elle ne l'achetait pas, il se ferait une joie de le prendre. Etait-il sérieux ? Ou bien une ruse pour la pousser à la prendre ? Un peu des deux, même si la deuxième option ne semble pas trop marcher. « Donc si ce lit vient chez moi, tu viendras chez moi ? Hm, je vais sérieusement penser à le prendre en fin de compte. » Fit-il en prenant une mine d'un homme en pleine réflexion avant de rire légèrement. Croire .. Certaines personnes devaient arrêter de croire, même si comme venait de le dire, croire permettait de rêver. Mais était-ce bon de trop rêver aussi ? Pas vraiment pour le jeune homme. Il fallait quand même être réaliste de temps à autre, pour ne pas trop se voiler la face. Croire pouvait mener à la souffrance. « Ouais enfin faut pas trop rêver non plus, sinon tu tombes dans un monde utopique. Personnellement, je rêve seulement d'être un super-héros et ça me suffit amplement. » Avoua-t-il sur un ton des plus sérieux. Ouais, lui ce qu'il voulait, c'était ressembler à Batman, Spider-Man ou bien même Thor. « Et je rêve aussi d'ouvrir un resto italien. La bouffe italienne est tellement .. bonne ! Mamma mia ! » Todd adorait beaucoup l'Italie. Il était fasciné par la manière dont les pizzaiolos préparaient leur pâte à pizza. Tout un art. Maïwenn demanda alors des nouvelles du jeune homme, celui-ci lui racontant alors son petit numéro de ce matin, ayant chanté devant quelques dizaines de personnes. Il lui promit d'ailleurs une vidéo, enfin si cela l'intéressait. Ce qui semblait être le cas vu qu'elle accepta de la regarder. Todd en esquissa d'ailleurs un large sourire. Il était ravi de voir qu'elle s'intéressait à ce qu'il faisait. Ils en revinrent alors à leur histoire de lit, le brun conseillant alors à Maïwenn de choisir assez vite s'ils voulaient pouvoir faire d'autres raisons. Comme les tapis de douche. Ne me demandez pas d'où Todd sortait cela, mais les tapis de douche semblaient importants pour lui. Peut-être à cause de la fois où il s'était cassé la figure dans douche et qu'il s'était pété un ongle de pied. Une mauvaise expérience à laquelle il préféra ne plus penser maintenant. Il profita de l'occasion pour demander à la blonde si elle avait une douche ou bain. Car le tapis n'allait pas être le même. Et celle-ci semblait entrer dans une dissertation pour comparer la douche du bain. Ce qui fit rire le brun qui n'en revenait pas. Le pire, c'était qu'elle n'avait pas tort dans ce qu'elle disait. Irrécupérable, tout comme lui d'ailleurs.  Au final, il eut le droit à un baiser sur sa joue, se demandant ce qu'il avait bien pu faire pour le mériter ? Qu'importe ! Après tout, certaines choses étaient inexplicables. Et puis pas besoin d'explications. Il était presque aux anges et cela le satisfaisait. « Et ben, si tu essaies de convaincre une personne à choisir entre une douche ou un bain, tu échoueras avec un tel discours. » Déclara-t-il en haussant un sourcil, riant légèrement. « Personnellement, je préfère le bain, ça permet de se reposer et puis, je me sens moins à l'étroit dedans. » Mais bon, l'avantage d'une douche, c'était plus sensuel lorsqu'on la prenait à deux. Malheureusement, Todd n'avait pas vraiment eu l'occasion de prendre une douche à deux, alors sa baignoire lui convenait parfaitement. Puis, Maïwenn fit son choix, prenant le lit sur lequel elle se trouvait. Todd esquissa un sourcil, heureux de voir qu'elle avait fait un choix. « Très bon choix ! Tu as toujours bon goûts à ce que je vois. » Avoua-t-il en lui adressant un clin d'oeil avant qu'elle ne parle de son envie de tester les tapis de douche. Emettant alors un rire assez léger, il ne put s'empêcher de lâcher une petite blague, une de plus ou de moins, ça n'allait plus rien changer maintenant. « Tu sais ..un tapis de douche, ça gratte bien le dos. Tu le colles à ton mur et tu te grattes le dos dessus, c'est divin ! » Fit-il en haussant simplement les épaules avant de reprendre la parole. « Sinon, j'ai aussi hâte que toi d'aller tester ces tapis. Et promis, je ne vais pas me frotter le dos avec pour voir lequel est le meilleur. » Avoua-t-il pour la rassurer avant que les deux ne se mettent en route pour le rayon. Un rayon qui n'était pas très long de celui des lits. Arrivant alors, un large choix était proposé en matière de tapis de douche. Les magasins trop grands, c'était l'horreur parfois. « Nous avons là encore un large choix de tapis. » Dit-il avant d'ajouter. « Tu as une préférence ? Une idée ? Tu préfères le jaune ou bien le rose ?  » Todd assaillit de questions, peut-être pour qu'elle fasse son choix assez rapidement. Bien que les tapis de douche paraissaient être une priorité pour Todd, il voulait également réussir à faire tous les achats que la blonde avait besoin pour sa nouvelle maison.
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