Je ne savais pas vraiment comment allait se passer ma journée. Je m’étais levée dans cette chambre d’hôtel tellement impersonnelle qui commençait réellement à me gaver. Comment ça ? C’était difficile de se sentir chez soi dans un hôtel. Je m’étais aussitôt réveillée, habillée et même nourrie mais j’avais tout de même cette impression étrange sur le cœur. Je ne pourrais pas réellement l’expliquer mais tout était étrange autour de moi entre mes parents qui me mettaient la pression et le fait que ma rencontre avec Nathanael avait eu lieu dans des conditions peu orthodoxe me laissait une impression actuelle d’échec. Je prenais une bouffée d’air alors que j’enfilais mes talons aiguilles. Je devais aller en direction de l’hôpital qui n’était pas vraiment à côté. Une fois dehors de l’hôtel, je montais dans la voiture pour prendre la route. Un trajet assez rapide mais disons… long. Je n’étais pas vraiment motivée. La journée se déroulait pourtant assez naturellement. J’accouchais une femme enfin je l’aidais et je m’étais même bien concentrée dans ma tâche et j’avais plusieurs patientes en consultations pour la journée. Le mélange de la gynécologie et de l’obstétrique permettait à échapper à la routine. Cette routine de « même chose ». Voir toujours entre les cuisses mais pour des raisons différentes mais pas toujours glauques comme des MST ou des cancers. Je me sentais presque plus à l’aise par moment. Je me sentais toujours à l’aise mais il fallait avouer que ce n’était pas tous les jours facile de certains cas. J’avais fait le bon choix de carrière. S’il y a une chose dont je savais que je n’avais pas ratée, c’était bien ça. Une fois quelques consultations faites, voici qu’arrivait ma favorite. Lavande était une de mes patientes depuis mon arriver. Cette jeune femme qui pleurait à chaque consultation. Elle me faisait penser à l’adolescente que j’étais quand elle parlait. Elle ne se sentait réellement pas prête à être maman. Elle n’avait que 18 ans et elle voulait finir ses études. Elle voulait devenir avocate et non maman. Elle avait peur de ne pas pouvoir gérer les deux. La différence avec moi était surement qu’elle était seule. J’avais eue Todd. Il était là, toujours là dans le passé. Le papa était là mais c’était la maman qui était partie. Dans son cas, la jeune femme n’avait pas de papa pour l’épauler. Il était parti d’après ce que j’avais compris entre deux de ses sanglots. Elle était réellement émotive et me touchait droit dans le cœur. Elle allait retrouver le papa après la consultation m’avait-elle dit. Elle semblait tout excitée. Cette jeune femme au prénom d’une fleur avant de beau yeux verts et une longue chevelure blonde. Elle portait son ventre avec peu d’assurance. Ses mains ne semblaient jamais réellement ou se placer. Je la laissais partir après lui avoir annoncée qu’elle attendait une petite fille. Une jolie petite fille. Je me souvenais du jour où j’avais appris que j’allais avoir un petit garçon. C’était tellement lointain mais tellement proche dans mon esprit. Je devais cependant rentrer à l’hôtel. C’était ma dernière consultation de la journée. J’étais toujours là à appeler au cas où mais j’avais besoin d’aller vérifier quelques petites choses à la maison que je venais d’acheter. La peindre serait bien aussi mais je ne pouvais pas le faire seule. Je n’étais clairement pas douée pour tout ça. J’avais besoin d’être supervisée. J’attrapais mon sac à main en allant vers la sortie après être passée par les ascenseurs et nombreux escaliers. L’odeur de l’hôpital me faisait sourire. J’aimais ce parfum ou même regarder les gens autour de moi qui semblait arriver triste mais partir moins tristes. Parfois stressés et parfois en larmes mais ces parfois me faisaient mal au cœur. Je sortais aussitôt mais me stoppant net sur mon passage alors que je voyais justement cette jeune femme apparemment en train de se prendre la tête avec un homme. J’arquais un sourcil et j’attendais qu’elle ne s’éloigne. C’était lui ? Cet homme. Le père ? Je regardais la jeune femme lui tourner le dos mais elle se tournait à nouveau en le regardant avant de s’échapper dans la foule. Je m’approchais en fronçant les sourcils. « Vous n’avez pas honte de l’abandonner comme un pauvre jouet qu’une fois baisé en devient inutile ? », disais-je de mots crus dont je n’avais pas l’habitude mais j’étais à cran et j’avais besoin de défendre une cause qui était possible à défendre contrairement à la mienne.

Le contrôle. Une chose que nous ne pouvons pas toujours gérer. Cela me fascinait sur certaines personnes mais je ne m’en rendais pas compte sur moi-même. Parfois l’on peut agir sur un coup de tête en ressentant juste une colère soudaine. On me disait souvent de ne pas m’attacher à mes clientes mais par chance, je n’allais pas en perdre. Ils n’allaient pas mourir ou alors c’est assez rare et pas spécialement au moment où je m’occupe de cette personne. Je n’y pouvais rien dans le fond si mes patientes n’étaient pas de simples numéros sur une liste. Bosser dans un hôpital peut parfois donner cette impression comparé à un cabinet privé. J’avais commencée avec un cabinet privé, j’avais cette habitude et peut-être bonne ? Peut-être mauvaise. Je bossais seulement pour les accouchements avec les hôpitaux à New York. Une bonne chose peut-être ? Beaucoup ne peuvent pas comprendre pourquoi je m’attache à ces jeunes femmes. Certains se demanderaient même pourquoi avoir choisi ce métier ou les femmes sont rares mais pourtant de confiance pour certaines. Alors que je me cognais fortement la tête contre un récif, métaphoriquement parlant bien sûr, je me rendais compte que je ne parlais pas à un cadavre. Cet être humain parlait. Oui, je vous l’assure avec une bouche et tout. Oui, parlons-en de ma bouche alors que j’étais bouche-bée devant elle. Oui, voilà. Je le regardais avec attention. Je l’écoutais mot à mot alors que mes pensées commençaient à étouffer dans ma tête. Je ne stressais pas et je ne ressentais pas non plus de la nervosité tout comme un petit chihuahua pourrait le faire mais je me demandais bien ce qu’il se passait tout de même. Erreur sur la personne ? Il était drôle tout de même et ne pas connaitre cette jeune femme ? Il était le type typiquement stupide et blond pour aller chercher son bébé au bureau de réclamation après l’avoir perdu dans un centre commercial. J’en mettais ma main à couper mais la rage précédente jouait sûrement un peu beaucoup trop dans mes aprioris peut-être erronés. Qu’importe après tout. Je n’en étais pas remise et je ne le croyais pas totalement mais après tout qui pourrait m’en blâmer ? Je n’étais pas farouche, je ne pouvais pas prétendre non plus inspirer la perfection car j’avais tout de même abandonnée mon bébé… Peut-être était-ce pour cette raison que j’étais tellement en colère ? Je n’étais dans le fond pas là pour faire un portrait psychologique de ma personne mais je ne le quittais pas du regard. J’arquais les sourcils. « Avec une autre alors ? », réagissais-je aussitôt comme une machine prête à faire la guerre au nom de toutes les femmes lynchées. Bon d’accord, j’étais folle et alors ? La folie peut être bonne comme elle peut être mauvaise. « Quelle est la femme que vous avez mise dans le pétrin après l’avoir faite jouir ou retirer son string… bon pardonnez… ses tongs du popotin, un peu de censure… », je riais sarcastiquement en penchant la tête alors que j’entendais ce son tonitruant de l’ambulance. La lacération produite à mes pauvres tympans me gênait mais pas le temps de réagir. Prenez note que j’en oubliais à ce simple son… la présence de cet homme. Je fermais les yeux en inspirant doucement. Le soleil contre la peau de ma joue alors que j’avais clairement besoin d’un peu de crème pour le soleil. Je ne voulais pas bronzer. Je soupirais doucement. « Vous les hommes… parfois… », je grognais alors en levant les mains. « Vous m’exaspérer… vous méritez des coups dans les bulles, sérieusement… Le maire devrait vous exterminer… », disais-je alors une grande sincérité. Je fronçais aussitôt les sourcils. « Que lui voulez-vous alors ? », demandais-je aussitôt, un air déterminé sur mon visage. Je n’étais pas prête à abandonner ma mission. Je voulais sauver ces femmes des hommes. Enfin sauf un. J’avais la chance d’en avoir un parfait et j’étais partie. Quelle idiote.

J’en avais besoin ? M’exciter ? Pourquoi ? En ce moment les temps sont durs mais cet homme méritait-il tellement peu d’amour de ma part ? Je n’en savais rien. Je n’y pouvais rien surtout. La frustration s’échappait sur lui. Ces moments où je m’en voulais de mon passé, de mes erreurs. Il n’avait rien fait. J’en résolvais à me dire que je passais pour une folle mais qu’importe. Les hommes comme les femmes sont tous ou toutes des connards ou connasses au moins une fois dans leur vie sinon ce n’est pas trop drôle. On est surtout humains. Oui, voilà, humain. Et je m’en voulais en quelques sortes d’assommer cet homme en l’entendant alors qu’il parlait d’une femme qui l’a abandonné… je faisais une moue. Pourquoi ? Je suis con mais j’ai fait pareil et comme je vous le dis, les femmes peuvent être des connasses. J’en avais était une. On a autant de raisons. « Oh ça, je vous le conçois, on est tous des cons à notre façon ! », complétais-je aussitôt en revenant au sujet de cette femme. En fait, c’était normal de revenir sur ce sujet mais je devais avouer être perdue après ses dernières paroles, je me perdais dans son flot et dans les coupures des miennes. Je l’écoutais et je le laissais tout simplement terminer pour repartir sur des bonnes bases. Je le laissais donc parler tout simplement et sec une fois, tranquille une autre. Il me semblait être une girouette et peut-être avait-il ses règles ? Non. Une personne comme moi sait bien qu’un homme ne peut pas avoir des ragniagnias. Il avait expliqué la situation et certes, je me sentais conne mais bon. J’inspirais doucement. « Un être humain qui abandonne un enfant et le parent n’est simplement pas humain ! », disais-je alors que je savais de quoi je parlais car c’était aussi mon cas. J’étais ainsi mais peut-être pas volontairement après tout. Je disais tout ça d’un ton presque las. Je n’en pensais réellement pas moins. On était des abrutis. « Et ils le regretteront un jour si ils ont juste fais une erreur ! », soufflais-je en pensant aussi tout autant mes propos. Je m’en voulais mais je savais clairement que j’étais humaine et pas une vilaine. Je soupirais doucement. « Désolée de ce mal entendu. », rajoutais-je aussitôt en lorgnant doucement sur l’entrée du parking ou un endroit ou me cacher tout simplement. « Sachez qu’elle s’en voudra un jour d’avoir abandonnée son enfant même si elle n’est pas disons… enfin humaine. Elle s’en voudra et elle reviendra. Tard ou pas. Elle reviendra un jour et je sais de quoi je parle. », disais-je donc en soupirant. « Je suis partie et je suis revenue après 17 années. J’avais laissé mon bébé de 4 mois tout seul et me voilà prés de vous à vous dire qu’elle le regrettera sûrement tout comme je l’ai regretté. Maintenant je dois me battre pour récupérer mon semblant de familles mais j’avais peur. Certaines personnes ont toujours peurs ! », lui confiais-je en haussant les épaules. « Les raisons sont toutes différentes après tout ! », rajoutais-je.

Je pense qu’aujourd’hui ce n’est vraiment pas mon jour ou alors les femmes ont toutes décidé de faire de moi leur punching ball ! Je ne sais pas bien le comment du pourquoi mais, c’est ainsi et pas autrement ! Donc bref, ce n’est pas bien grave, j’ai encaissé bien pire dans ma vie mais, je ne suis pas un sado non plus ! Mais, je finis par craquer aussi, car les femmes sur le plan pour les enfants ne sont pas non plus irréprochables. La preuve Stacey m’avait bien abandonnée ainsi que ma petite Rose. Heureusement que j’ai Inaya pour m’aider avec la petite, sinon je crois que je n’aurais surement jamais réussis. Rien que parler de mon passé avec cet abandon, je me suis énervé et sec à certain moment, et parfois calme. Enfin c’est toujours pareil lorsque je pense à Stacey. Je n’ai jamais eus d’explications de sa part et je ne suis pas vraiment sur d’en vouloir. D’ailleurs je crois que j’ai bien réussis à calmer la femme en face de moi. Et je la sens las lorsqu’elle me parle de ses êtres humains qui ne le sont pas vraiment lorsqu’ils abandonnent leurs propres enfants. Je veux bien la croire lorsqu’elle me dit qu’un jour en quelques sortes Stacey le regrettera. « Ce n’est pas grave, vous ne pouviez pas savoir. Et je pense qu’un point de vu externe ce n’était pas très beau à voir. » Dis-je avec un léger sourire. Puis sans vraiment que je m’y attende, elle me parle de son passé. Cette femme m’avoue qu’elle a fait comme la mère de ma petite Rose car elle avait peur. Je baisse mon regard un moment en l’écoutant sans rien dire. Je ne sais pas trop quoi dire, car c’est vrai que je n’avais jamais pensé au sentiment de la peur. Même si Stacey était une personne très forte, un moment de faiblesse peut arriver à n’importe qui. Comme à cette femme en face de moi qui pourtant m’a l’aire d’avoir des nerfs solides et qui n’a pas vraiment l’air de se démonter aussi facilement devant un homme. « J’espère vraiment pour vous que vous allez réussir à retrouver votre famille et que votre enfant va réussir à vous pardonner. » dis-je doucement. « J’aimerais vraiment quel revienne même si je lui en veux terriblement d’être partie. Ne serait-ce que pour notre petite Rose. Même si elle reçoit de l’amour de tout mon entourage, elle a besoin de sa maman. Je ne sais pas pourquoi elle est partie mais, pour être honnête avec vous. Je n’avais vraiment pas pensé qu’elle puisse avoir peur. » Je respire un bon coup, ce n’est jamais évident de parler de Stacey. Elle reste une femme que j’ai aimée par-dessus tout pendant quelques années et j’ai changé pour elle, ainsi que pour notre fille. « Je ne pense pas que vous n’êtes pas humaine. Déjà vous êtes revenue vers votre enfant et ce que j’ai vu aujourd’hui m’a montré que vous pensez aussi aux autres. Comme à cette jeune femme. Tout le monde fait des erreurs. » Je la regarde puis je continue : « Et tout le monde au droit à une nouvelle chance aussi. »

Mais pourquoi ? Quelle mouche me piquait donc ? Je venais clairement de parler à cet homme. Je venais clairement oui de lui raconter des millions de choses sur moi comme mes erreurs. Non mais pourquoi ? Je devrais peut-être m’en vouloir de ne pas contrôler mes mots mais ils sortaient. Dans le fond, parfois on a besoin de les dire mais je ne voulais pas cacher le fait que je sois aussi dans une situation pareille. Etais-je comparable à cette femme qui l’avait abandonné ? Je pense que personne n’est pareil ou comparable et les situations non plus. Les raisons peuvent être différentes d’une personne à l’autre. Étais-ce un manque d’humanité ? Je n’en savais rien. J’haussais doucement les épaules alors qu’il me disait espérer que je retrouve une stabilité dans ma famille et avec Todd mais je n’y croyais pas réellement. Pas du tout à vrai dire. Je n’étais pas apte à y penser. Alors qu’il me disait vouloir qu’elle revienne, j’avais la sensation de me retrouver avec une confession que j’aurais aimée entendre de la bouche de Todd. Cela peut paraitre étrange mais ça pourrait être tellement beau à entendre mais quand c’est à moi, c’est différent. J’aurais voulue aussi entendre tellement de choses et ne pas en entendre d’autres mais pareil pour les actes. J’aurais voulue en faire tellement et ne pas en faire certains. C’est normal dans le fond et les erreurs sont là pour nous remuer le cul. Je devais remuer le mien bien que je le faisais déjà mais tandis qu’il disait ne pas avoir pensé à la raison de son départ, je laissais un sourire en coin se dessiner. « Avec la tristesse, la rage, la rancune et tout ce que vous avez sentis, c’est normal de ne pas avoir pris le temps de savoir pourquoi… », disais-je alors d’un ton neutre alors qu’il venait au fait en disant ne pas penser que je sois sans cœur. Je souriais doucement et ne penchais la tête. Je savais que je faisais des erreurs mais que je n’étais pas un monstre mais parfois la rancune prend le pas. Tout le monde avait droit à une seconde chance. « C’est vrai ! », soufflais-je alors un peu évasive car je ne pouvais tout de même pas arrêter de me dire qu’il y avait des erreurs qui n’étaient pas à faire. « Mais une erreur de 17 années, c’est énorme mais plus les années filent et plus c’est difficile de revenir avec du courage… je l’ai fais mais je ne suis certainement pas sûre d’avoir les épaules et la force de le faire ! », disais-je avant de rire nerveusement. Je me pinçais les lèvres en riant nerveusement. « J’ai un peu la sensation d’être en thérapie, là ! », disais-je d’un ton nonchalant. Non pas que ça ne me dérange mais il fallait avouer que ça ne me mettait pas à l’aise car je ne connaissais pas cet homme et je me retrouvais à lui dire des choses privées dans le fond. « On ne sait connait même pas et vous en saurez bientôt plus que moi sur moi-même ! », disais-je en souriant doucement alors que je laissais un pas de recul pour laisser passer une jeune femme. Nous étions en plein milieu du passage après tout. Mais au point ou j’en étais ? Pourquoi ne pas partager la thérapie pour deux ? Je ne savais pas vraiment pourquoi je m’apprêtais à en parler un peu plus. Je ne devrais sûrement pas. Je devrais me terre et juste enfuir ma tête entre mes jambes en me planquant dans mon bureau. Sûrement. Mais non. Je plongeais mes yeux azures dans les siens et je laissais dessiner un sourire timide. « Et vous pensez que votre ex aurait droit à une chance si elle revenait ? », lui demandais-je alors sans vraiment avoir une utilitée à la réponse mais peut-être que ça pourrait devenir utile pour lui ? Cela pourrait sûrement lui servir de répondre à cette question. Je me demandais souvent si Todd m’aurait reprise plus facilement dans sa vie si les années avaient seulement été des mois. Mon fils n’aurait encore que l’âge d’un bébé et cela aurait été plus simple pour lui. Je voulais y croire. J’en riais doucement. « Désolée, je suis curieuse mais tant qu’on peut s’entraider et bien… Je me dis que ça serait bien pour vous d’y penser ! », rajoutais-je d’un murmure presque timide. Je me sentais bête et trop curieuse. Je ne devrais pas me mêler de ce qui ne me regardait pas mais l’être humain était tellement plein de surprise que j’en fermais doucement les yeux pendant un instant pour rouvrir mon regard en lui souriant. « Cela fait gagner du temps et la vie est trop courte pour que tout le monde s’entretue ! », disais-je aussitôt.