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mot doux de Invité ► un Mar 24 Mar - 17:22
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Cela faisait quelques jours que mon monde s’en trouvait encore bouleversé mais étonnement, j’avais ce baume au cœur qui m’aidait un peu à aller mieux. Alvin me manquait de plus en plus, je mourrais d’envie qu’il ne débarque à tout moment. Un coin de ruelle et nos yeux bleus plongés langoureusement et réciproque dans l’océan de nos pupilles. Un échange de regard qui fait frissonner et laisse échapper les songes. Je n’étais pas vraiment une femme difficile à rendre heureuse mais la présence de cette enfant bien que surprenante ramenait un peu de couleur à ma situation actuelle. Dans le fond, c’était encore une retombée, un secret et une chose à laquelle je ne m’attendais pas mais c’était tout de même positif d’une certaine façon. Enfin l’on pense rapidement que c’est positif quand un enfant entre deux notre vie mais on se leurre rapidement. Pour le moment, ça se passait bien. Rosie était à l’école et moi ? Au boulot avec mes petits sbires qui me suivent comme un petit chien. Il n’y a pas si longtemps, j’avais dû préparer un vaccin pour un panda malade du zoo. J’avais fait ça assez rapidement. J’avais peu de temps pour l’aider à guérir de ce virus qu’il avait chopé avant d’être transféré. Je n’étais pas trop fan du côté transfert de l’animal mais je savais qu’il allait mourir sinon comme tellement de bêtes sauvages que l’on voit partout. Cela faisait 3 jours qu’on était passé prendre cette seringue. J’avais besoin de savoir comment allait l’animal et s’il réagissait bien. C’était peut-être un peu narcissique de ma part ou pas du tout mais je m’en fichais. J’avais besoin de savoir qu’il allait bien. C’est pour cela que j’avais quitté le laboratoire un peu plus tôt pour partir en direction de Los Angeles. J’avais laissée Oscar, le chimpanzé du laboratoire tranquille pour la journée. Il faisait aussi parti de ses animaux qu’on avait guéris sauf que pour lui, c’était bien différent. Il n’avait jamais voulu partir et il n’appartenait à personne. Enfin si, il appartenait au premier scientifique, mon prédécesseur qui avait travaillé ici mais il préférait clairement ces lieux. C’était un petit chimpanzé qui devait avoir 8 ans ? Dans la zone. Je n’étais pas réellement sûre de son âge mais Oscar allait bien et il était très heureux. Bien plus gentil que mon chat et moins peureux que mon chien. Ce n’était pas très loin. 10 kilomètres en voiture donc cela va relativement vite. J’avais quitté ma blouse de scientifique pour partir dans un jeans avec un chemisier noir transparent. Dessous le chemisier, l’on voyait mon soutif en dentelle noire mais je m’en fichais. C’était un style comme un autre. Depuis quelques temps, j’étais presque obligée de me balader en voiture. Comment transporter une enfant à moto ? Presque impossible à penser et même si je devais laisser la fenêtre ouverte, je me sentais comme dans une boite à conserve. Je soupirais doucement en passant une main dans mes cheveux alors que je passais le barrage de l’entrée. Je montrais mon badge du laboratoire pour entrer sans soucis. Je voulais simplement aller rapidement là-bas sans devoir faire la file et sachant que le zoo préparait la fermeture de visiteurs, je doutais de pouvoir entrer facilement. Une fois garée, je m’avançais vers les allées et routes du zoo. J’arpentais les pavés carrés. Je me pensais presque dans le film de dorothé avec la route de briques jaune. Je regardais rapidement les lémuriens et je passais même devant les girafes. Autant dire que je rencontrais les animaux. Je remontais la bretelle de mon sac à main alors que je passais devant la boutique à souvenirs. Je n’étais pas là pour ça et pourtant je pensais à elle, à Rosie. L’envie soudaine de lui rapporter un cadeau me traversait violement l’esprit. Je m’approchais tout doucement des allées de cette baraque à souvenir. Une peluche me piquait l’œil mais pas par ce qu’elle était horrible mais tout du contraire. Ce stand regorgeait de peluche mais une seule me donnait envie. Ce panda. Il était mignon, tout mignon. Je souriais doucement en le prenant entre mes mains. Adorable. Mais ma main l’agrippant une autre main arrivait mais de l’autre côté. Je n’avais même pas remarquée la présence de cette jeune femme que j’avais déjà croisée car c’était en fait la personne que je venais voir. C’était une bonne chose… Je n’aurais pas à chercher le bon endroit car je me perdais littéralement ici. J’inspirais doucement en me baissant un tout petit peu afin de profiter du trou entre les deux côtés du rayon. Je faisais une moue. « C’est mon panda, pitouche ! », disais-je avec un air enfantin alors que je voulais juste ce cadeau pour cet enfant maintenant orpheline.
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mot doux de Invité ► un Mar 24 Mar - 23:50
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J'aimais le boulot que je faisais en dehors de mes études.  J'avais toujours eu une petite passion pour les animaux. Pas simplement les chiens  ou encore les chats, non aussi  les autres animaux que l'on voyait moins, beaucoup moins. Sauf si on vivait dans un zoo, mais pour ça faut être une girafe ou un koala.  Enfant j'aurais adoré avoir de tels animaux chez moi, ma mère m'avait toujours dit non me ramenant la peluche de l'animal que je demandais. Ils étaient mes doudous le temps d'une semaine avant que je change d'avis. Une grande indécise.   Maintenant, j'avais ces animaux à portait de la main. Travailler dans un zoo c'était génial. J'aimais ça tout autant que faire de la moto et sentir le vent me pousser pour que j'aille plus vite.  Les journées n'étaient jamais identique et quelques fois durant ma pause je me posais devant les enclos à regarder les enfants  surveiller les animaux, ça me donnait toujours quelques larmes aux yeux, j'étais sensible sans doute un peu trop, car aucune raison de les avoir.  Enfin,   je regardais Ling qui me regardait drôlement, elle déprimait, on venait de lui retirer la garde de son bébé durant quelques heures, le petit était malade, j'étais depuis six mois et j'avais directement eu le job, vu que j'avais déjà  fait des stages en zoo et que vu mes études choisis, j'allais forcément entrer dans un zoo pour mes stages, alors j'avais choisis celui de Los Angeles. Non, pas pour le soleil, mon désir le plus cher était de retrouver la famille de mon père et ce dernier, j'avais finalement réussit à le faire, mais j'avais jamais osé les aborder. Même la petite fille que j'avais déjà croisée au parc avec Lindy et Malo, j'avais peur qu'elle prenne peur ! Puis, enfin, je ne lui aurais pas dit comme ça qu'elle était ma nièce ? Enfin, c'était compliqué, dans ma tête c'était le désordre et j'étais loin  de m'aider avec mes paniques en tous  genres.  Je stressais pour  un rien et j'avais souvent du mal à calmer mon esprit.  Je venais contre la grille passant ma main et j'entendais hurler Ling, elle avait envie de revoir son enfant, cette petite Bao. Elle était malade et des chercheurs étaient venus lui faire un vaccin ce matin, je lui avais pris son enfant et elle l'avait retenu ça. Moi,  j'avais surtout retenu que j'avais été incapable de parler normalement à ma demi-sœur qui n'était bien sûr pas au courant de qui j'étais.   Je rentrais avec un peu de bambou dans la main  pour aller dans son enclos, je venais la caresser, je me méfiais un peu sans réellement le montrer ! Un panda c'était surtout faignant, mais toujours se méfier c'était l'une des règles. Ma journée était pratiquement fini, mais je n’avais  pas envie de quitter l'endroit, j'adorais passer mon temps ici. j'aurais pu être prise en stage que j'aurais accepté, mais j'aurais pas pu payer de loyer et aider ma famille , quoi que ça m'aurait évité de croiser Jonas, enfin c'était ce que je disais à voix hautes, mais dans le fond j'étais bien contente de l'avoir dans ma vie, après il n'était qu'un homme parmi tant d'autre , quoi que ça me fatiguait un peu plus de le savoir faire n'importe quoi avec n'importe qu'elle fille, mais dans le fond ce n'était en rien mon problème.  Pourtant ça me travaillait certaine fois, jusqu'au point que je laissais mon venin l'éclabousser en lui disant ce que je pensais de cette façon d'être ! Mais, bon je demandais aux gens de respecter mon choix, je devais sans doute en faire autant et arrêter de trouver un pourquoi, du comment cela m'énervait quand c'était lui que je voyais avec une autre fille.  Bref, je regardais Ling avant de voir l'heure. Je la laissais pour aller prendre des nouvelles de Bao. Mais avant ça, il fallait absolument que je ramène à Lindy ou plutôt à ma mère ce panda  qui était vendu en  boutique.  Ma mère n'avait plus toute sa tête, mais ma petite sœur avait tous les droits d'avoir les mêmes intentions que nous ! On n'avait jamais de manquer de quoi que ce soit, sauf peut-être d'une mère quand elle sortait, mais elle était ainsi.   J'avais donc changé d'habits pour ne pas rester dans la puanteur  de mes vêtements de zoo, j'avais une odeur nauséabonde. Enfin, je finissais par rejoindre la boutique sachant pertinemment où était ce petit être douillé qui ne respirait pas dans le stand de la boutique.   Je venais de le prendre qu'une voix me fit sursauter.  Melody.  Je faisais le tour du rayon en gardant précieusement la peluche dans mes mains.  " Désolée, mais je l'ai eu avant." Je lui aurais bien passé histoire que ce soit plus facile avec elle, mais c'était pour ma petite sœur pas pour moi, alors bon, puis elle pourrait en avoir un demain  ou un autre jour ? Pourquoi je culpabilisais déjà ? J'avais horreur de ça.  " Vous veniez voir Bao ? " Demandais-je, du coup, même pas sûre qu'elle se souvienne de moi.
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mot doux de Invité ► un Mer 25 Mar - 4:11
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Je ne savais pas réellement comment j’allais faire pour gagner cet ourson. Ici, là, maintenant. Tout ce que je voulais c’était une simple peluche. Je désirais tout simplement ce joli panda. Je le voulais pour l’offrir à Rosie. Peut-être que je pourrais trouver un beau ruban en satin pour l’entourer autour de son cou pour faire un emballage ? C’était tout ce que je voulais. Je voulais lui montrer qu’elle était importante et que j’étais heureuse qu’elle soit là. Notre rencontre était peu commune dans le fond mais tout autant amusante. Je ne m’y attendais pas. Je ne l’avais pas vu venir. Je n’avais rien vu venir que je devais penser à changer la décoration de mon bureau. Je devais le transformer en chambre. J’avais un peu commencé et heureusement que j’avais deux sbires de compagnies à la maison. D’ailleurs ils n’étaient pas vraiment loin mais hors du zoo. Ils devaient attendre aux entrées comme ils n’auraient sans nuls doutes pas pu entrer aussi tardivement. Je me concentrais sur ce panda. Je voulais éviter de penser à mes soucis. Je voulais réellement les ignorer. Je me contentais de parler à la jeune femme en disant que c’était mon panda avec cet air enfantin. J’avais ces moments en ce moment où j’aurais réellement envie de redevenir une enfant tellement innocente pour oublier la violence de ce monde. Je devais parfois gérer tellement de choses. Je la voyais avec la peluche dans les mains. Elle faisait le tour et j’avais juste cette moue sur le visage. Je me demandais bien ce que j’allais pouvoir offrir à Rosie du coup. Je tenais réellement à cette peluche. Je la voulais elle et pas une autre. Pourquoi un panda ? Je n’en avais aucunes idées mais je la trouvais simplement et tout bêtement totalement adorable. Je n’ai parfois pas de réponses à tout même si je suis un puit de science. Je n’avais pas le mérite de dire connaitre tous les secrets de cet univers. Je la regardais approcher avec MON panda mais c’était mon fichu panda. Je l’entendais et j’inspirais. Je ne voulais pas m’énerver même si un rien pouvait me mettre à cran en ce moment mais je voulais mon panda et puis c’était tout. Je pouvais tout avoir rapidement avec un peu de persuasion. Je l’entendais me demander si je venais pour voir Bao. « Ce n’était pas Boa ? », demandais-je alors en arquant un sourcil tandis que ma mémoire me jouait des tours mais je souriais aussitôt alors que je tentais juste d’être courtoise ou mieux épingler ma proie ? Oui, voilà. Quand je voulais une chose, j’en devenais presque animale. Je plantais mes yeux bleus dans les siens et j’hochais aussitôt la tête. « Effectivement, je venais voir comment il allait et si le vaccin était efficace ! », disais-je alors en montrant aussitôt la peluche. « Mais j’aimerais juste cette peluche. », disais-je en penchant la tête et laissant mes yeux de chien battu s’afficher sur mon regard. Cela marche sur certaines personnes. Peut-être pas tous mais certaine. J’haussais doucement les épaules. J’ignorais si j’allais oser dire pour qui elle était et pourquoi je ressentais le besoin de la couvrir de cadeaux. Oh et puis merde. « C’est pour ma nièce… enfin je viens juste d’apprendre en avoir une… », j’arquais un sourcil en riant nerveusement. « Cela fait assez bizarre de se dire que notre grand-frère avait une fille et c’est tout ce qui vous restes de lui depuis 6 ans et vous l’ignoriez mais bon… », je faisais une petite moue en me disant. « Enfin soit… je voulais juste lui faire ce cadeau, un panda. », je riais nerveusement en inspirant un bon coup tout aussitôt. « Elle vient d’arriver et elle n’a plus que moi enfin presque… vu que je n’ai pas encore osée… enfin soit ! », je l’implorais alors du regard en lui souriant. « Je pourrais avoir celle-ci ? », lui demandais-je alors en penchant la tête. « Je vous en prie ? J’aimerais qu’elle se sente à l’aise dans ma maison et qu’elle ai un monde de princesse et… cette peluche serait parfaite, elle ne parjure pas avec les couleurs niaises comme le rose après tout ! », lui disais-je en riant doucement.
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mot doux de Invité ► un Dim 29 Mar - 2:37
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Mission avoir un panda.  Je travaillais avec les pandas h24, mais malgré ça, c'était bien pour ça que j'avais mis les pieds dans le petit stand qui vendait  des peluches devenant fort souvent les doudous des enfants. Bizarrement, les pandas étaient les animaux qui partaient le plus vite comparé aux girafes  qui parvenaient à se lécher l'arrière de leurs oreilles seule.  Enfin, j'avais une passion pour chacun des animaux présent ici, sauf les insectes, mais eux justement ne l'était pas.  Je mordais un peu ma lèvre avant de sourire un peu plus, j'avais nullement besoin que quelqu'un me guide dans cet endroit, il pourrait tourner aussi vite qu'un carrousel que je parviendrais amplement à trouver mon chemin.  Je parcourais rapidement le lieu, attrapant par la même occasion cette petite chose noir et blanche. Je ne m'attendais juste pas à la suite. Qui aurait pu la prévoir cette dernière ? Impossible. Non, je n'aurais jamais cru que quelqu'un tente de me la chopper dans  la même foulée.  Déjà cela pouvait être comment dire bizarre, mais alors que ce soit ma demi sœur Melody, ça l'était encore plus pour ma part.  Je faisais le tour pour aller la rejoindre de l'autre côté de l'étagère, vu qu'elle avait tenté de la prendre par derrière, mais j'étais plus rapide. Et pour le coup, je ne savais pas trop ce que j'allais faire ou dire. Bin, oui, j''étais censée  commencer ma relation avec ma sœur mal ? Comment je devais faire.  Enfin, tant pis, déjà je cherchais à savoir ce qu'elle avait à dire à propos de sa présence ici, pour c'était pour le petit Bao et non à cause de Boa. " J'allais le voir après avoir pris cette peluche. " Je grimaçais, car au final on avait les mêmes envies ? Alors, comment on allait faire ?   Elle venait de pencher sa petite tête blonde pour me dire qu'elle voulait cet objet ? Non, mais je pouvais faire la même chose pour le coup. J'avais une bonne raison de vouloir cette peluche. Pour ma petite sœur qui voulait cette dernière plus fortement que quiconque, elle avait beaucoup subit en perte, je ne voulais pas continuer de la rendre malheureuse avec la maladie de notre mère, alors je devais choisir entre l'une de mes sœurs ? Je mordais un peu ma lèvre soufflant un peu. J'avais horreur de ces situations. J’avais beau être forte, les questions dû à mon stresse étaient nombreuses  et j'aurais bien envie d'aller me cacher très loin dans un terrier d'un lapin de Mars.  Après tout c'était  le mois de Mars donc c'était la période, non ? Je pourrais peut être lui offrir des churros ou encore une barbe à  papa rose bonbon ? Enfin. Aucune idée, puis moi je restais là inerte comme une folle, alors qu'elle continuait de conter cette raison pour qu'elle ait  cette  chose tant convoité par nous deux.   Je l'écoutais et ses dires me donnaient presque envie de lui dire directement que j'étais sa sœur. Mais, cela était trop compliqué à faire ? Devais-je le faire ainsi ? Pourquoi j'hésitais autant ? Je n'allais pas me faire bouffer ? Enfin, peut-être que j'allais juste me prendre un petit râteau familial ? Je mordais un peu plus ma lèvre, mais à force de le faire, j'allais voir cette dernière éclater et laisser  le sang sortir avec audace de cette dernière qui me laissera son goût dans la bouche.  Je réalisais qu'elle voulait cette peluche pour ma nièce,  j'avais une boule au ventre comme si me la jouer égoïste pour le coup serait tout bonnement impossible. J'avais une bonne raison aussi honorable que la sienne après tout, mais elle était aussi ma  nièce cette petite .Que devais-je faire. Si seulement quelqu'un pourrait se poser sur mon épaule pour me guider. "   C'est pour ma petite sœur... elle perd sa mère petit à petit ..."  Elle l'avait déjà perdu  ma mère la prenait pour moi et elle avait l'impression de ne pas être aimé. Je grimaçais, je culpabilisais et j'avais horreur de ça.  Je tendais la peluche, non pas avec un peu de remord pour Lindy. Comment j'allais lui expliquer qu'elle aurait sans doute demain ? Je secouais la tête. " Vous l'offrirez à notre nièce ! " J'avais lâché un petit indice, espérant qu'elle soulève mon erreur en me disant "notre "  mais cela était peut-être une erreur d'agir ainsi ? Sans doute, enfin le temps me le dira.
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mot doux de Invité ► un Lun 30 Mar - 2:15
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Un panda. Ce n’est qu’un ourson en peluche en plus mais le sujet d’une discorde pas vraiment discorde. Oui pour moi toutes les peluches quel que soit l’animal sont des oursons. Je suis tordue dans mon genre mais je l’assume assez bien. Je e savais pas réellement comment je devais me comporter. Maman, pas maman. Maman. Pas maman. Je n’étais pas vraiment maman mais une tante et ça aussi… c’était nouveau. J’avais été une sœur, une nièce, une fille, une fiancé et une je ne sais pas quoi en fait. Je ne savais pas du tout à vrai dire. Je ne savais rien. Je me sentais comme dans un nouveau monde ou tout ne dépendait rien que de ce panda magique. Ce panda. Cette peluche. C’était stupide. J’aurais pu me jeter sur la girafe du stand à côté mais non. Je me contentais de lui dire pour qui était cette peluche. Je n’aurais jamais été si têtue si elle était pour moi. J’aurais lâchée et je lui aurais donnée. Je n’étais pas du style à faire culpabiliser les gens. Non pas du tout. Je n’étais pas ainsi. J’étais du genre à savoir comment obtenir ce que je voulais et tout faire pour l’avoir mais j’étais loyale sauf avec mes proches car ils me pardonneraient tout mais là, cela me semblait tellement différent. J’ignorais tout de cette jeune femme. J’ignorais sa vie et j’ignorais que cette peluche n’était pas pour elle. Je la contemplais simplement en venant de déballer pourquoi je devais avoir cet ourson mais qui étais-je pour en décider ? Qui étais-je ? Je n’avais pas vraiment le droit de me sentir logiquement destinée à mériter plus ce panda. Je n’en avais aucuns droits. Je me contentais de juste l’implorer gentiment du regard. Je l’entendais alors et je faisais une moue. Ca y est, je culpabilisais. Sisi, j’ai un cœur même si les gens s’amusent à le piétiner pour le câliner et encore le piétiner et encore le câliner. Mes émotions avaient été mises à rude épreuve depuis trois longs mois. Elles en avaient réellement bavée. Je ne savais même pas que j’avais un être qui poussait en mois depuis un mois. Je ne ressentais rien du tout. Je ne voulais rien ressentir dans le fond. J’en étais clairement incapable. Je me protégeais sans le savoir d’une catastrophe encore plus grande que ce que je vivais. Qu’allait-il advenir si j’acceptais l’idée d’un petit bébé en moi ? Je n’en savais rien. Je préférais culpabiliser pour cet enfant qui tout comme moi perdait sa maman. J’avais vécue ça. Je connaissais la sensation que cela faisait. J’avais sentie maman partir à petit feux. Je regardais la jeune femme me tendre la peluche mais j’étais comme déconnectée du monde soudainement. Je pensais à maman. Je pensais réellement à elle en ce moment. J’avais besoin d’elle car je me disais qu’elle avait clairement réponse à tout mais elle n’était plus là. Je sentais cette boule grandir en moi alors que je pensais à elle. Je me demandais comment elle aurait accueilli cette enfant et qu’est-ce qu’elle ferait si elle était à ma place ? Je n’étais pas une maman, j’étais une tante mais je devais me comporter comme une maman. J’étais aussi face à cette jeune femme dont la petite sœur voyait aussi son monde s’écrouler. Je me sentais mal. Je me sentais tiraillée. Et c’est là que ce petit mot sans importance « notre » me faisait sortir de mes songes tandis que je relevais mon regard vers elle. Perplexe alors que je tenais maintenant ce panda dans mes mains. Je commençais à le malaxer pour me calmer à cette sensation stressante. Cette peut d’apprendre une chose. Pourtant je savais que cela n’était pas possible mais dans le fond, j’en doutais réellement. J’avais tellement de choses qui me tombait sur la tête que cela me semblait tellement logique qu’une seconde ou une troisième ou une vingtième annonce ne se fasse dans ma vie. Après tout ? Je n’en étais point à bout de mes surprises et c’était un peu troublant. J’en étais au point où je me demandais pourquoi encore respirer si tout le monde autour de moi était voué à me décevoir. Je prenais une profonde inspiration en la regardant. « Notre ? », répétais-je tandis que mes émotions lentement bouleversées en ce moment se mêlaient à une boule dans le ventre qui remontait doucement. Je ne voulais pas croire que c’était une chose possiblement vraie. Je me sentais comme une banane de ne pas penser à une erreur ou de ne pas arriver à croire à une erreur. Comme si le monde ne me réservait que des surprises. Je soupirais doucement en passant une main sur mon front. Mon autre main branlant toujours le pauvre panda à en croire l’endroit qu’elle malaxait. Je riais nerveusement en secouant la tête et la regardant avec attention. « Désolée pendant un instant, j’ai cru que vous ne vous trompiez pas ! », disais-je en riant nerveusement. « Ma vie est un peu un enfer en ce moment à tel point que je m’attends même à découvrir que mon ancêtre est un lémurien croisé avec un hippopotame et que j’ai une apparentée avec les aliens ! », je riais nerveusement mais ce n’était pas vraiment nerveux. C’était surtout pour retenir une envie de pleurer que je ne contrôlais pas réellement. Appelez ça une sorte de déprime ou même ce que vous voulez mais en ce moment… j’étais trop sensible. Mes émotions étaient mises à secs autant que je me sentais comme un jouet du destin. Je ne me sentais même plus vivre. Je n’avais plus la sensation d’être libre. Je ne me sentais tout simplement pas libre. En tournant le regard vers l’une des allées du zoo pour détourner rapidement la tête, j’apercevais mes deux gorilles qui avaient finalement décidés de me suivre dans le parc. Je soupirais doucement en fermant les yeux alors que je prenais une profonde inspiration. « Merci pour ce panda… mais je me sens mal… », disais-je en fronçant les sourcils. « J’ai vraiment envie de faire plaisir à Rosie mais je suis tout autant effrayée à l’idée de refuser à une enfant qui perd sa maman un plaisir ! », j’inspirais doucement en la regardant. « Je vous comprends, la mienne est morte d’un cancer quand j’avais douze ans ! », disais-je en faisant une moue. Je me sentais tellement mal. Ce n’était même pas les hormones en cause car je n’en avais aucuns symptômes mais juste une déprime.
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mot doux de Invité ► un Mer 1 Avr - 12:25
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Attrapé. J'avais eu ce petit panda, jamais dans ma tête, je n'aurais pu penser tomber dans une supercherie placé dans ma vie par le destin ? Ou autre connerie de la sorte. Je me retrouvais face à ma sœur. J'aurais voulu la voir de moi-même que je n'aurais pas réussi à le faire. Mais, là elle était face à moi comme une montagne. Elle était désireuse de cette petite peluche dans mes mains. J'aurais pu lui passer bien avant qu'elle n'ouvre la bouche, mais c'était pour Lindy. J'avais du mal à savoir exactement pourquoi elle aimait ces animaux noir et blanc plus que les chimpanzés quoi étaient souvent en train d'offrir un réel spectacle aux visiteurs du zoo. C'était bien les singes qui avaient des nuits torrides pour faire des bébés à longueurs de la nuit, ils ne baillaient pas eux et ne faisait pas semblant d'avoir mal à la tête. Enfin, qu'est-ce que j'en savais après tout ? Je n’étais pas l'un d'eux et même si c'était un peu nos cousins, autant dire que j'étais encore une milady qui n'avait jamais montrait sa pâquerette à un homme pour lui demander quelques tendresses. J'allais m'épuiser à réfléchir. En fin de compte, j'avais tout bonnement envie de lui tendre ce petit doudou, qui aurait rendu la vie de ma jeune sœur plus douce. La petite Rosie que j'avais déjà vue de loin, comme pour tous les membres de cette famille, je me devais de l'aider, même si elle n'en savait rien dans le fond. Je m'en fichais de la reconnaissance, puis pour Lindy, je serais toujours là pour m'occuper d'elle comme les autres, donc tout ira bien pour elle. Tout enfant ayant une vie si pitoyable méritait d'avoir un peu de bonheur. Toute cette histoire commençait à faire bouillir mon cerveau qui ne le supporterait pas longtemps, la preuve en était vu que je venais de dire notre nièce. J'allais créer des problèmes et me faire assassiner par mon père ? Enfin, non quel père ferait ce genre de chose ? Même si je révélais sa liaison ? Enfin, bref. Il fallait que je cesse de parlementer avec moi-même, elle n'avait peut-être pas saisie le ''notre' même si il était aussi visible à l'ouïe que pouvait l'être un point noir sur le visage visuellement. J'avais l'impression d'être une cloche qu'on venait de frapper avec force et audace. Je me sentais mal, car elle releva se petit mot et moi je restais comme un faon, inutile, mais beau. J'étais esclave de ce secret depuis bien longtemps maintenant. Du coup cette perche que mon cerveau avait lâché, voulait sans doute dire qu'il fallait me lancer et non pas reculer ? Je devais devenir une montagne, j'étais sûre de partir en arrière comme ça. J'étais restée muette alors qu'elle avait continué à parler. Je soufflais tentant de trouver un peu de courage, à croire que celui-ci était parti compter les moutons pour dormir en me laissant face à une énigme. Je laissais un petit rire cristallin se faufiler d'entre mes lèvres à ce petit conte tout droit sorti de la tête de la jolie blonde face à moi qui était ma sœur. Comment expliquer, qu'à cet instant je me sentais en sécurité ? Que je pouvais lui confier n'importe quoi y comprit qu'elle était ma sœur ? Aucune idée. Mais, cela venait du plus profond de mon être, je vais cramper à force de penser à tout cela. Généralement, j'étais une pipelette, mais là, je me terrais dans un silence digne des pretty little liars. Elles étaient douées pour garder leur langue sous clefs. Je prenais une grande inspiration souriant un peu avant de finir par grimacer en expulsant tous l'air que j'avais en moi. " Je ne me suis pas trompée ! " Lâchais-je un peu fortement, non pas en voulant l'attaquer, l'effrayer ou autre. J'avais peur qu'elle pense que je la fasse marcher dans une supercherie, ce n'était pas le cas, c'était ma vérité ! Quelque chose qui me hantait depuis bien des années. Son père, enfin mon ou notre avait été papillonné dans le champ de désir. Il avait été fourbe et je l'avais su en farfouillant dans son passé. " Désolée... je ne voulais pas sortir ça comme ça. Mais..." Mais, quoi ? Je pensais à quoi ? 0 rien. J’étais juste une abruti j'aurais bien voulu être un lapin pour me planquer dans mon terrier et ne plus jamais me montrer. J'étais terrifiée qu'elle prenne ça comme une offense, je ne voulais rien d'autre que nouer un lien avec ma famille paternel, mais je m' y étais peut être mal prise ? Je finissais par lâcher quelques larmes. Je me sentais si mal, mais je ne devais pas totalement lâcher la pression qui avait envahi mon être bouffant petit à petit mes nerfs. Elle avait fini par confier sa vie sur sa mère et mes boyaux se tordaient dans tous les sens. Je prenais une petite bouffée d'air et je ne savais pas ce qui se passait à cet instant en moi, mais j'avais besoin de prendre la jeune femme qui n''était autre que ma sœur dans mes bras. J'avais souvent laissé mon imagination voler vers de doux rêves imaginant ma vie avec toutes ma famille ... mais ce n'était qu'une foutaise inventé par un esprit plein de créativité. Je finissais par relâcher Melody et plongeant mon regard dans le sien, je finissais par répondre. " Je vais m'occuper de ma sœur Lindy ... elle ira bien. Elle est entourée puis, cette peluche reviendra au magasin du zoo et je demanderais à ma collègue de me la réserver ! " Je laissais un peu mes mains s'enfoncer dans mon pantalon de travail qui était assez rigide dû à la saleté et la boue qui s'étaient incrustés au cours de ma journée. " Je suis désolée pour ta... votre maman." Je ne savais plus sur quel pied danser. Comment étais-je censée trouver des réponses pour le coup ? Je soufflais un peu. " On peut en parler ? " J'allais surtout me prendre un gros vent. Comment pouvait-elle accepter d'écouter une inconnue débarquant de nulle part ? Je regardais ma collègue, lui disant de mettre la peluche sur mon compte. " Je suis désolée... " Une énorme boule s'était formé dans mon ventre, me coupant presque la respiration, je finissais par faire demi-tour, retourné par cette gaffe. J’aurais dû me taire, mais c'était comme si bailler impossible de retenir mes mots.
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mot doux de Invité ► un Sam 4 Avr - 14:00
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Fourbe, la vie était fourbe. Une vraie supercherie qui nous donnes parfois l’impression de contrôler la force du destin mais soyons sérieux. On ne contrôle rien. Nous ne sommes que des esclaves de cette machine soit disant magique et pleine d’amour. Foutaises. C’était faux. Nous étions juste des pions qu’ils s’amusaient tous à déplacer. Tous ? Les gens de pouvoirs qui veulent contrôler ce que nous voulons garder à nous. Parfois l’on pense tout savoir, l’on pense connaitre les gens mais l’on se trompe. Parano ? Etais-je devenue de cette personne qui voit tout en noir au lieu de les voir en gris ? Avant, je voyais tout en blanc mais ils avaient éteins cette petite flamme dans mon regard. Je m’épuisais à encore respirer et pourtant ma raison de vivre était un bête panda. Un panda en peluche pour l’un de ces secrets en plus de ma vie. Un bon secret mais cette femme, elle me rendait tout d’un coup assez folle. J’étais dans tous mes états. Dites-moi que j’en fais une montagne d’un rien et je vous croirais clairement mais je ne savais point comment réagir. Et puis merde, vous réagiriez comment ? Je n’en savais rien mais cela tournait dans ma tête comme une vielle ritournelle. Je ne savais rien du tout. Notre. Pourquoi ? Elle ne devait que s’être trompé. C’était logique. Une erreur. Voilà tout. Je me paumais dans ma persuasion alors que verbalement, je craquais. Elle craquait aussi, elle pleurait mais je n’arrivais pas à me calmer sous cette ambiance étrange. Elle me disait même qu’elle ne s’était pas trompée. Je ne comprenais pas. Avant parano, je ne voulais même plus croire que cela soit possible. Non. Ce. N’est. Pas. Possible. Je tentais de m’en persuader mais je voulais simplement changer de sujet en la remerciant pour cette peluche. Je niais la vérité pendant quelques instants. Je me disais que c’était mieux ainsi ? Non, sûrement pas. Ces hommes autour de moi. Je les voyais, je les sentais m’observer comme des lions affamés. C’était fourbe d’être en public en ce moment-même, sur le lieu d’un crime ou nous ne pouvions pas réellement sortir les armes. Je venais simplement de dire ces mots gravés sur une tombe. « Maman », elle était morte depuis 12 années. Je ne m’attendais sûrement pas à ses bras m’attrapant. Non, elle me prenait dans ses bras et je restais de marbre. Pourtant tactile mais cette situation m’avait rendue statue. Je ne savais pas quoi faire. Telle une gargouille, j’aurais pu me transformer en pierre pour perdre tout cœur mais je n’y arrivais pas. Aussi paumée que je pourrais l’être dans ce genre de situation, je l’observais tout simplement quand elle reculait. Mes yeux bleus s’éternisant à regarder les siens. Blondes. Pupilles azure. Elle me ressemblait alors que je ressemblais à ma mère. Il savait trouver les femmes, c’était certain. Je l’entendais me rassurer pour cette peluche pourtant je culpabilisais encore. C’est nul d’avoir un cœur ? Je suis bien d’accord. Certains s’en ficheraient littéralement mais pas moi. Je ne réagissais cependant toujours pas. Comme un mime muet. Je l’entendais, elle était désolée. « Vous n’êtes pas responsable ! », soufflais-je sans vraiment réfléchir. C’était comme une habitude à chaque fois que les gens me disaient ça. Depuis la mort de maman, je prenais le pli de ces petites réactions quand on me prenait par pitié ou que les gens voulaient me rassurer. C’était il y a longtemps même si elle me manquait énormément. Tout le monde a besoin d’une maman. Le plus fous dans tout ça c’est que je ne réalisais pas que son existence voulait dire que maman était morte cocue. Non. Je l’entendais me demander pour parler et je tournais le regard vers ses hommes. J’hésitais non pas pour elle mais pour eux. S’ils entendaient qu’une fille voulait se faire passer pour fille de mon père ? Cela serait assez marrant, tiens. Je riais nerveusement en baissant le regard. « Pas ici, pas dans ses lieux… dans votre bureau ou cabinet ou… », j’inspirais en profonde aphasie. J’en oubliais le mot qui correspondais le mieux tellement mon esprit était en grande divagation. Je ne me sentais réellement pas bien. Non, pas bien. Je prenais une profonde inspiration et je la laissais parler à la collègue sans vraiment remarquer ce qu’il se passait. Elle était désolée. Je riais nerveusement. « Oh… ne le soyez pas, cela ne m’étonne plus ! », soufflais-je avec un grand désespoir dans la voix. Non, cela ne m’étonnait plus. Rien ne m’étonnait. Ma vie était assez en bordel donc une goutte de plus ou pas ? Pas vraiment un grand problème pour moi. « Ces hommes à 10 heures, ils ne doivent rien entendre et surtout si ce que vous dites s’avère être vrai… je m’en fiche que vous soyez folle et persuadée d’être… ma sœur ou la sœur de la maman de ma nièce… mais ils ne doivent pas savoir que nous parlons ! », disais-je d’un ton presque grave. J’étais effrayée à l’idée qu’une personne en plus soit embarquée dans tout ça. La simple idée que mon père pourrait connaitre son existence m’échappait car une part de moi refusait encore d’y croire tout en se disant que cela ne serait même pas étonnant. C’était dingue mais j’avais l’impression d’être comme folle, comme déconnectée de la réalité tout en sentant ces émotions chamboulées qui me montrait bien la terreur de cette déception ou de cette annonce. Ces yeux humides, autant que les siens. Je passais mes pouces aux balcons en la regardant tandis que sa collègue lui tendait la peluche dans un paquet. « Je ne peux pas dire pourquoi… je ne peux pas vous expliquer pourquoi, non… mais il ne faut pas qu’il entende un raide mot ou même qu’il ne vous voit assez longtemps que pour trouver ça louche ! », la prévenais-je alors plus calmement en fronçant les sourcils. Je devais paraitre à mon tour pour une cinglée. Je riais nerveusement en secouant la tête. « Désolée, je passe pour une folle mais c’est pour vous protéger… », soufflais-je alors que oui, je passais principalement à protéger cette jeune femme de ce monde qui m’entourait aussi franche soit-elle. « Après, vous pourrez me raconter tout ce que vous voulez… j’écouterais mais pas devant eux ! », murmurais-je aussitôt !
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mot doux de Invité ► un Jeu 16 Avr - 8:23
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Ma sœur avait de quoi penser que je lui faisais une blague de très mauvais goût. Moi, qui avais préparé mille et une façons de lui annoncer cela. J’avais simplement laissé ma langue se jouer de moi. Elle était perfide cette dernière. Je m’étais sentie mal, j’aurais pu faire en sorte que ce notre ne soit que foutaise, ne pas lui avouer, que c’était ma sœur, mais mon cœur qui battait tellement fort que ces battements raisonnaient dans mon esprit ne m’avait guère laissé le temps de réfléchir. J’étais à cet instant comme le marchand de sable tentant d’aller plus vite que le temps. Impossible. Sa réaction était ce qui me donnait mal au cœur, j’avais peur de perdre pied, peur de m’enfoncer dans le sol qui pourrait m’enfuir sous des tonnes de béton. Cela m’arrangerait sans doute. Je me sentais mal, je pourrais m’effondrer sur le sol à tel point que la situation à mon goût était insoutenable. Ma petite tête blonde n’avait pas pensé à tout, j’en oubliais certaine fois que j’étais sensible et que je ne gérais que très mal mes émotions. J’étais un petit chaton effrayé par le monde de dingue régnant autour de nous, j’avais besoin de repos, me sentir pleine d’énergie parcourant mon être. J’étais coincée. Les larmes commençaient à couler… la raison ? Je ne savais même plus quoi accuser pour me rendre si mal. Mes bras avaient fini par s’enrouler autour de a jeune femme. Je ne pensais pas, je ne réfléchissais pas au fait qu’elle pourrait me repousser. Je ne savais pas pourquoi exactement, mais c’était à l’énonciation de sa mère. Ma mère était l’une de mes plus grosses douleurs. Je m’étais longuement prise la tête avec elle pour un rien et pour des choses me tenant malgré tout au cœur, et je savais que malgré sa présence, chaque seconde qui filait l’éloignait un peu plus de moi, de notre famille. Elle n’était pas parfaite, des reproches j’en avais des dizaines à lui faire, mais dans le fond, elle restera celle pour qui j’avais encore un tas de passion, un tas de choses à apprendre. Sans elle je n’étais pas moi, je n’étais rien sans ma famille ! Je n’étais pas si forte que je voulais le faire croire ! J’avais qu’une seule chose qui m’apportait force et courage puis dans le fond je trouvais ça ridicule. Ma conviction d’être vierge pour ne pas s’offrir au premier venu dans un motel, bête, mais ça me tenait au cœur. Je m’excusais, quelle stupide erreur. J’avais horreur d’entendre des excuses, de la pitié quand je parlais de ma vie ou encore de ma mère et sa maladie. Et même si dans ma tête cela ne sonnait point comme de la pitié, elle pourrait le prendre amplement comme ça. Les larmes s’étaient calmés, mais rien n s’était arrangé dans mon être, dans mon esprit, j’étais chamboulée et j’en frémissais de peur. Je mordillais ma lèvre à ses mots. « Je sais.. » J’avais presque lâchée un second désolée. Elle allait finir par penser qu’elle avait un boulet en face d’elle ou une tulipe, en gros une personne peu utile. Je voulais parler, peu importe l’endroit, mais ce n’était pas son cas. Je ne m’attendais vraiment pas à avoir la sensation d’être piégé dans un film d’espion, du moins c’était la sensation que j’en avais. « D’accord ! » Que dire d’autre ? Rien. « Comment ça ? » Et les questions ne cessait d’affluer, elle venait de me dire que d’apprendre d’avoir une sœur ne l’étonnait plus ? Nous étions combien comme ça ? Mon père, notre père était un chaud lapin ? . A dix heures. Voilà ces termes que je ne comprenais jamais, je ne savais jamais où regarder … alors ma tête ne bougea pas du regard bleu azur de ma sœur, je baissais un peu ce dernier à la longue, car elle m’intimidé. Je finissais par récupérer ma peluche, heureusement, pas de question émanant de ma collègue, sinon j’aurais dû essuyer mes larmes d’un revers de pouce, car j’avais sans doute l’air d’une personne effrayé à l’instant. Non, pas à cause de Melody, quoi que c’était ses dires qui m’avait fait peur, laissant une légère sensation caresser mon échine, cette sensation était semblable à la chair de poule. Je finissais par en avoir de toutes ces explications qui n’en disait jamais assez, alors je prenais sa main, laissant la mienne serrer un peu plus la sienne et je regardais comme une personne méfiante les alentours, je l’étais devenue en deux secondes … je me retrouvais à agir comme une criminelle devant se planquer. Je la faisais me suivre pour nous rendre dans l’enclos des cochons, l’odeur était écœurante, mais j’avais été au plus rapide. Je regardais derrière moi soufflant quelques mots à l’égard de ma sœur. « Vous pensez qu’ils ne sont plus là ? » Je n’en savais rien pour ma part. « Il se passe quoi ? C’était qui ? Puis pourquoi me protéger ? Puis pourquoi ils sont là ? Pourquoi ma vie est si compliquée ? » Je fronçais les sourcils, inspirant une grande bouffée d’air, je voulais me soulager et les questions qu’elle avait entendu n’était que un pour cent de celle présente dans mon esprit qui se tortillait dans tous les sens pour tenter de s’en débarrasser. Les questions étaient normal, bien plus que la situation actuelle, l’ambiance était pesante et ce n’était même pas la faute de ces porcs pour le coup. Un petit coup de Jack Daniel m’aurait fait un bien fou, mais non, rien. Je me demandais pourquoi j’avais laissé ma gourmandise me confondre tout à l’heure à présent, j’avais soif à cause des bonbons dévorés peu de temps avant cette rencontre à la boutique. Un petit bruit se faisait entendre derrière l’enclos, ma main n’avait pas quitté celle de Melody que je serais fortement, sans doute un peu trop, mais larmes c’étaient calmé, mes yeux étaient toujours rougit, je pouvais le sentir à la sensation de ce léger picotement qui me travaillait. Au final, je finissais par embarquer ma sœur dans la benne à ordure où l’on mettait les excréments des cochons. « Viens ! Je suis sûre ce bruit c’était eux ! » J’étais dedans après avoir lâché la main de Melody.
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mot doux de Invité ► un Lun 11 Mai - 0:32
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Etrange, voilà ce que c’était étrange. Apprendre avoir une sœur dont on ignorait l’existence pour réagir ainsi ? Oui, non. Ce n’était clairement pas normal. Je ne savais même pas si j’avais pris réellement le temps de réagir. Etais-je dans une sorte de déni ? Je m’évitais de penser simplement à la logique des choses. Mon père était un connard. Voilà la logique des choses mais je le savais pourtant je voulais lui penser moins de défauts. Je prenais une profonde inspiration en regardant alors celle-ci qui semblait ne pas comprendre ce qu’il se passait mais je voulais la protéger et ne pas faire ça devant eux. Je ne voulais pas qu’ils arrivent à savoir qu’elle était en vrai ma sœur. Comment ça ? Je n’avais même pas la réponse. Je sentais cette ambiance tomber… cette frayeur ou même qu’elle semblait être ailleurs. Elle ne regardait pas à 10 heures mais elle plongeait ses yeux dans les miens. Je sentais cette peur. Je ne disais rien car je ne savais pas quoi dire d’autres. Je devais paraitre folle et bonne à enfermer mais je savais que je prenais une bonne décision en voulant garder le mystère de cette jeune femme pour les autres. Je ne voulais pas qu’elle devienne à son tour la cible de mon père ou je ne sais quoi. Je voulais bien parler avec elle. Oui enfin je n’en étais pas très sûre non plus. C’était flou dans mon esprit et je m’étais arrêtée de penser à moi-même pour me concentrer sur cette situation étrange qui faisait de ma vie un enfer. Je la suivais tout naturellement. Un enclos ? Je ne rechignais pas malgré mes talons. Je regardais mes pieds s’enfoncer dans la boue et je ne savais pas trop quoi faire. Je l’écoutais me poser ces questions. Est-ce qu’ils étaient encore là ? Oui. Qui étais-ce ? Des sbires mais comment lui dire ? Comment lui dire sans l’impliquer. C’était la question de toute ma vie. Oui, toute ma vie. J’inspirais en haussant les épaules sans vraiment donner de réponses directement car j’avais peur d’en dire trop, pas assez. J’avais peur de la mettre en danger mais après tout si personne ne connaissait son existence ? « Ca sent mauvais… », disais-je alors pour toute réponse mais je parlais bien sûr du lieu avant tout même si dans le fond, cela sentait mauvais aussi. J’inspirais doucement. Sa main dans la mienne, je la suivais simplement. Je m’attendais à d’autres questions mais sans pouvoir toujours donner la réponse. Je m’y attendais réellement. Je prenais une bouffée d’air et aux bruits que l’on entendait et… je me plaignais de l’odeur mais je me retrouvais dans une benne à ordure. Non mais allo. Je regardais autour de moi et je baissais à nouveau mon regard vers mes pieds. Moi, je n’avais pas de bottes. Je prenais une profonde inspiration. « Alors ça, c’est un choix de lieux bien étrange pour parler… », disais-je alors tout en murmurant alors que je l’avais bien entendue suivie. Je me retrouvais alors dans une benne à ordure. Coincée avec elle. Je n’avais pas le choix de répondre à ces questions. Je n’avais plus le choix mais j’ignorais quoi lui dire. Il n’y avait pas réellement de bonnes ou mauvaises réponses mais il y avait des conséquences dans les deux cas. Je voulais gagner sa confiance car j’en avais besoin mais ce n’était jamais facile de dire la moitié des choses pour ne pas en dire l’autre moitié sans que l’on sente le pot aux roses. Je reposais mon regard sur elle en prenant ses deux mains pour la rassurer. Elle en avait besoin tandis que moi ? Je commençais clairement à avoir l’habitude de ce genre de situation. Je prenais une bouffée d’air que je regrettais aussitôt. Je grimaçais. « C’est infecte comme odeur… ils mangent quoi pour que ça soit aussi… erk ! », disais-je en retrouvant aussitôt mes idées. « Ils sont des sbires à mon père… je ne peux pas en dire plus et non pas par ce que je ne veux pas te le dire mais c’est mieux ainsi, crois-moi. », je riais nerveusement. « Bon d’accord rien ne porte à me croire car j’ai l’air d’une cinglée échappée d’asile. Je suis au courant mais… », je soupirais doucement. « Ils ne vont pas partir… ils m’attendent et me suivent partout comme des toutous pour la simple et bonne raisons qu’on leur a exigé. Ils ne sont pas spécialement méchants, tu ne risques rien de leur part… ce n’est pas eux que je craigne mais il ne faut pas qu’il sache… », oui « il » car je ne parlais pas de ces hommes mais de notre paternel bien entendu. Je riais nerveusement. « Il y a des choses que je ne peux pas te dire… vraiment… je pourrais mais c’est tellement dingue que même le savoir me met en danger… personne ne mérite de l’être. Je sais que tu dois avoir des questions… mais le mieux est que tu les éteigne… Je sais que c’est beaucoup en demander. », je prenais une profonde inspiration en la regardant dans les yeux. « Ignores même ce que je t'ai dis… comme si rien ne s’était passé mais être la fille de cet homme n’est pas un don de dieu ou je ne sais quoi. », disais-je en riant nerveusement. « C’est plus un calvaire… », murmurais-je tandis que je lâchais ses mains. « Tu voulais parler ? », demandais-je alors pour changer de sujets ? Peut-être mais je me disais qu’il ne fallait réellement pas trop en dire. Je ne pouvais pas trop lui en dire et j’en avais à mes yeux déjà trop dit. Je ne voulais pas en rajouter. J’avais peur d’en rajouter. « Enfin… comment ? Pourquoi ? Comment ça se fait que tu me dis être ma sœur et comment tu le sais ? Sais-tu depuis longtemps qu’on est de la même famille ? Enfin je veux dire… », je prenais une profonde inspiration. Confuse, c’était à mon tour de poser des questions.
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mot doux de Invité ► un Ven 15 Mai - 21:32
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D’accord. Si j’avais su que je finirais dans un benne à ordure pour parler avec ma sœur rien qu’en allant chercher un panda en peluche pour offrir à ma petite sœur, j’aurais direct abandonné l’idée. Mais, non, j’étais là piégée dans cet endroit ! J’avais les chocottes. Me demandant si un cow-boy prêt à me tirer dessus sans raison allait arriver ? Aucune idée pour le coup, mais à voir la crainte sur le visage de celle étant ma sœur, je ne pouvais pas nier que la peur avait envahi mon être. Avec la peur je pouvais faire tout et n’importe quoi ! C’était ainsi, qui n’agirait pas ainsi ? Dans le fond, c’était assez compliqué, j’aurais dû juste me taire et me laisser mettre à terre pour ne pas perdre pied face à Melody. Comment j’aurais pu ne pas lui dire après tout qu’elle était ma sœur ? Aucune idée. Sincèrement, j’avais beau imaginer plein de solution, ça revenait à lui dire ! J’avais la chance de la croiser, donc je devais en profiter après tout, c’était ce qui avait de mieux à faire ! Elle était en droit de savoir ! Quoi qu’au fond, elle pouvait le savoir, son père lui aurait dit, mais personne ne voulait me voir, après tout je n’étais personne pour ces personnes ? Oui, donc pourquoi ils se seraient gênés ? Enfin, comment j’aurais réagis en sachant que ma mère nous aurait caché un enfant ? Enfin, ça c’était tout bonnement impossible, après tout, elle était du style à tous nous garder et donc à faire rager les autres ! On s’était battu pour avoir des tortues, mais pas plein de frère et sœur, mais on faisait avec à présent ! Pourquoi cela changerait ? Après tout, j’étais heureuse d’avoir cette famille, même si elle avait l’air encore plus compliqué à présent. Bin, oui je me retrouvais avec un père que je ne connaissais pas et j’étais avec ma sœur, enfin demi sœur du côté paternel dans une poubelle ! Rien à voir avec une journée normal là ? Non, certaine pas ! J’avais l’habitude de me rouler dans les pâturages appréciant la couleur verdoyante et la verdure, mais certainement pas à me rouler dans les poubelles pour échapper à la mort ? J’exagérais un peu ? Peut-être. Enfin, je mordais un peu ma lèvre, avant de souffler, je tentais de calmer mon esprit ce qui finirait par apaiser les battements de mon cœur qui me donnait l’impression d’être coincé dans des ronces dans l’impossibilité de respirer dignement. « C’est une poubelle à crottin … » Ouai, c’était logique que cela sente mauvais, mais je n’avais pas trouvé mieux comme planque sous la pression. Puis c’était connu j’étais terriblement nulle sous la pression, je ne donnais rien de bon me posant juste un tas de question qui embrouillait mon esprit comme si j’avais fumé un joint ce qui n’était pas le cas, donc bon. Bref, c’était compliqué, mais comme beaucoup, je faisais avec mes nerfs qui était comme de la compote ou du pudding à voir ! Je n’avais qu’à m’imaginer que l’odeur présente était celle des mures pourries et non de la merde ? C’était toujours plus appréciable. Bref, je mordais ma lèvre avant de regarder de tous les côtés en souriant. « Désolée, je n’ai pas trouvé mieux ! » Je sentais cette réplique comme un reproche et je n’aimais pas forcément ça ! Ce n’était pas ma faute … enfin, si c’était moi qui lui avais révélé mon existence, la prochaine fois je fermerais ma bouche et tout irait parfaitement ? Même pas j’en étais sûre dans le fond ! On aurait pu vivre pire ? J’allais forcément trouver un lieu pire que celui qui nous entourait ? Sans doute, enfin bref. « Beaucoup de légume … et des choses qui leur donne des gaz, mais ils en raffolent ! » Je n’allais pas lui dire non plus qu’ils rotaient de temps à autre ! Enfin, c’était la vie, on allait faire avec, puis ces hommes n’allaient pas nous coller pendant dix ans ? J’espérais. Sinon, je n’allais pas survivre et Melody non plus apparemment ! Elle m’expliquait à demi-mot qui ils étaient ce qui avait le don de m’énerver. Enfin, je mordais un peu ma lèvre avant de sourire et de passer ma main dans mes cheveux, mauvaise idée... j’avais quelques choses de gluant collé à ma main, à présent c’était à mes cheveux. Splendide. Je soufflais avant de l’écouter vraiment ! Pour le coup quand j’entends ce qu’elle me dit je mords ma lèvre, des spires à son père, notre père quoi ? Ils avaient quoi pour la coller. « Pourquoi ils te collent ? » J’étais curieuse, alors dangereux ou non, je voulais savoir après tout par leur faute j’étais coincée dans une benne à ordure. « Attend si, ils ne sont pas dangereux on aurait pu aller ailleurs ? » bin pour moi ils étaient dangereux pour le coup, donc je ne savais pas trop quoi dire ! Ils avaient des armes, alors oui, j’allais me méfier, mais ce n’était pas d’eux que je devais le faire apparemment ! J’étais paumée, le truc qui avait le don de m’énerver. « En gros, je ne dois rien savoir de ma famille ? » Demandais-je, c’était ainsi que je le prenais … ça me rendait dingue tout cela. J’avais toujours eu besoin de savoir de qui j’étais la fille et le savoir avait l’air de me créer un tas de problème. « Je ne comprends rien ... » J’aurais bien envie d’essuyer la larme qui coule de ma joue... mais j’ai trop de merde sur les doigts pour le faire. « Ça va faire neuf mois que je le sais, même un peu plus ! Ma mère qui a l’Alzheimer me l’a toujours caché … j’ai le nom de mon père, mais je pouvais chercher j’aurais trouvé combien de Dashwood ? Trop. Enfin, du coup elle m’ait qui il était et j’ai piraté une base de donné pour vous épier … » Je mordais ma lèvre baissant la tête. « Désolée... j’avais besoin de vous rencontrer, mais je n’ai pas l’air la bienvenue, je comprends. » Je ne savais pas quoi penser et si je ne mélangeais pas toutes les paroles de melody dans ma tête, mais en même temps j’étais paumée.
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