∞ un jour, j'ai croisée un panda et il a fait caca mais bon, c'était hier... - azélia&lullaby
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∞ un jour, j'ai croisée un panda et il a fait caca mais bon, c'était hier... - azélia&lullaby


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mot doux de Invité ► un Dim 2 Nov - 4:02
Lullaby&azélia
quand on croise un scampi aussi... vive les crevettes

L’ambiance me semblait tellement familière à ses milliers de mariages que papa avait organisé. Cotillons et j’en passe. Après, nous étions parfois invités et je me souvenais que petite, je pouvais aller jouer parfois avec les décorations. Une fois, il y avait de la neige qui tombait du plafond pendant la première danse, je me souviens tellement de ce moment où j’étais dans cette même salle à regarder le ciel car je voyais pour la première fois de ma vie de la neige même si elle n’était pas froide. C’était de la neige. J’y repensais, le regard sur le plafond. Je n’avais qu’une minute pour le faire avant que l’on ne vienne me trouver mais c’était étrange car j’avais besoin de me retrouver seule dans mes pensées. J’avais besoin d’être seule à penser. Même si j’avais semblé ne pas tellement paniquer. Je paniquais à l’idée de perdre encore ce bébé. Perdue, j’étais dans cette salle inondée de personne qui devaient ignorer qu’il y 4 mois, j’étais retombée enceinte pour le perdre en me faisant ruer de coups. Des coups à m’en déchirer ce qui vivait dans mon corps. Cette particule de bébés qui s’était échappée et là ? Pas de coups mais la peur de recommencer. La peur de vivre encore ces moments difficiles pendant ma première grossesse. J’avais beau me dire que tout était différent et que j’avais une seule journée sur 9 mois pour ne pas y penser mais j’avais du mal à me retirer la panique de la tête. Je la cachais sous de beaux sourires. Je déclinais les verres de champagnes mais pourtant ? Rien n’était facile.   J’inspirais doucement, j’avais l’impression d’étouffer un peu. Des millions de personnes se ruaient vite sur moi pour me féliciter et je n’en pouvais plus. Aiden était sûrement loin sous un tas d’inviter à mon avis. Ou peut-être même qu’il se planquait sous la table ? Onh oui, me planquer sous une table. Une bonne idée mais on allait vite me trouver avec cette robe qui trainerait sûrement. Comment la cacher ? Je soupirais doucement sans trop savoir quoi faire. Je regardais autour de moi. Tout me semblait tellement parfait et pourquoi n’arriverais-je pas à me sentir à l’aise sous cette robe ? J’avais peur qu’elle n’écrase mon petit ventre et ce petit pois en moi. J’étais effrayée. Je regardais autour de moi, allant et venant entre les invités avec discrétion pour passer par la porte qui menait aux cuisines. Oui, j’avais besoin de respirer et même aux risques de manger toutes les assiettes avant. Il devait être dans les alentours de 17 heures et j’avais l’impression d’être la pire des mariés qui se cachait avant même le repas. J’inspirais doucement une fois dans la cuisine et la porte fermée, je me posais contre celle-ci en fermant les yeux. Je respirais un bon coup et j’expirais pour recommencer l’opération plusieurs fois en ouvrant alors les yeux pour remarquer que je n’étais pas seule en plus des cuisiniers dans le fond de la salle. Je remarquais alors Azélia dans la robe choisie pour les demoiselles d’honneur. Je me disais que j’avais été gentille. Elle était magnifique. Je souriais doucement en penchant la tête sur ma droite et haussant une épaule. « Besoin de me cacher, j’ai l’impression d’être un lapin poursuivi par un troupeau de hyènes… ou le roi lion… Simba, c’est Aiden ! », disais-je en souriant doucement alors que j’approchais. « Tu fais quoi dans les cuisines ? », demandais-je alors à la jeune femme qui pourrait aussi aller draguer et coucher avec les témoins du mariés… enfin si on oublie que deux d’entre eux sont des cousins à Azélia, un autre est une fille, un autre est trop vieux bien que ça passe… et j’en passe sûrement. Je riais nerveusement et surtout quand je me souvenais qu'hier... j'étais là à dérailler avec elle sur un panda que l'on avait vu au zoo ensemble... qui faisait caca. J'étais bourrée avant de faire mon test de grossesse dans les toilettes après une disparition... comme Aiden voulait que je fasse pipi pour lui. Je n'étais apparue que quelques dizaines de minutes après, trempée. « Enfin c’est vrai que séduire les témoins, c’est presque de l’inceste pour toi ! », disais-je en plaisantant alors que j’imaginais déjà un témoin et une demoiselle d’honneur qui culbute dans un placard mais Aaron et Azélia ou alors le frère d’Aiden et Azélia ? Hummmm… pas top quand même.
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mot doux de Invité ► un Mar 11 Nov - 19:29

un jour, j'ai croisée un panda et il a fait caca mais bon, c'était hier...
Lullaby & Azélia
C’est tellement une belle journée. Ce n’est pas n’importe quelle journée pour les Maccallister du moins pour l’un d’entre eux puisqu’il s’agit du mariage d’Aiden, à savoir le premier des nombreux cousins à se marier. Azélia qui se trouve en plus de cela être la demoiselle de la mariée se trouve tellement ravie pour son cousin. Il mérite d’être heureux tout comme Lullaby son amie le mérite aussi. Tout se passait extrêmement bien jusqu’à maintenant, mais il ne faudrait pas que ça change s’il y a un incident malheureux. Azélia, qui a peur de tomber sur un invité qu’elle a peur de croiser, même si elle n’est pas certaine qu’il soit venue puisqu’elle ne l’a pas vu. Quoi qu’il en soit elle a peur de tomber sur son ex alors que ce dernier ne se trouve pas prêt à lui présenter leur fille et la laisser entrer dans leur vie, qu’elle préfère trouver sans cesse des occupations. Là en l’occurrence Az se trouve en cuisine, non pas parce qu’elle meurt de faim avant que certains plats soient servi mais bel et bien parce qu’elle voulait s’assurer que tout était parfait. Bon ça l’aide à se mêler à la foule et à croiser qui que ce soit. De toute façon les personnes à soutenir et à voir aujourd’hui à savoir les jeunes mariés doivent être entouré donc elle ne va pas se battre avec qui que ce soit pour leur souhaiter tous ses vœux de bonheur. De toute façon elle a le temps pour le faire et ayant été au première loge lors de la cérémonie ne se trouvant pas loin des mariés en tant que mademoiselle d’honneur, elle leur a déjà parlé. De toute manière avec sa petite taille de fourmi elle va se faire écraser par toutes les girafes voulant prendre Lulla et Aiden dans leur bras pour leur souhaiter tous leurs vœux de bonheur. Enfin bref, Azélia se trouvait donc en cuisine quand ô miracle l’un des principaux intéressés fit interruption dans la cuisine, comme si elle aussi voulait se cacher là même si Azélia s’est au moins trouvée une excuse pour sa présence ici. Lulla elle, lui dit directement qu’elle voulait se cacher. Riant à sa remarque elle se contenta de partir dans son délire du roi lion « Ah d’accord je vois et Simba va pas te protéger des hyènes avec son rugissement de roi lion, faut qu’il s’affirme, c’est un homme maintenant ! » Dit-elle comme si c’était logique que maintenant que son cousin se trouve marié, il doit se transformé en un vrai lion pour protéger sa douce, ou le lapin ou… bref elle l’a perdu avec ses métaphores. « Je m’assure que tout est parfait et qu’il ne va pas y avoir de crac, je n’ai pas besoin que les mariés tombent en dépression parce que la réception ne s’est pas déroulée comme convenu » Dans les films ça arrive tout le temps de toute manière. Bon ok on est en Californie mais pas dans un film. Mais bon, sur internet aussi on trouve des tas de couac dans ses mariages et on sait tous que ça passe mal ce genre de souvenir, surtout pour les mariées. « Mais ouais c’est de l’inceste ! » Dit-elle comme si elle était choquée parce qu’elle ne pouvait pas user de son avantage de demoiselle d’honneur en allant dans un placard avec un témoin. « D’ailleurs faut que je l’engueule ton mari là, il aurait pu au moins prendre quelqu’un en témoin pour que je me le fasse » Mais bon, même s’il n’avait pas choisi des Maccallister comme témoins, même si avait choisi la totalité des pompiers de Pasadena Az ne pense pas qu’elle aurait fait des folies. Non pas qu’elle n’ait rien fait depuis sa rupture avec Mason, pendant trois ans quand même elle serait en manque la pauvre mais bon, là aujourd’hui elle n’a pas franchement la tête à ça. Elle veut juste profiter du mariage de son cousin. « Alors, comment va la jeune mariée ? Ca fait quoi alors de savoir que ça y est, tu fais partie de la meilleure famille ? » Oui oui ses chevilles vont très bien ne vous inquiétez pas pour elle. Enfin elle dit ça mais elle n’est même pas une Maccallister de naissance. Elle l’était de sang mais c’est tout. Au final elle a  rejoint la meilleure famille à sa majorité, limite le jour de son anniversaire parce qu’elle en avait marre de ne plus l’être sur les papiers.  
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mot doux de Invité ► un Dim 16 Nov - 22:40
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Pauvre de moi, en plus d’être mariée, enceinte et même tellement de choses, je délirais totalement en parlant du roi lion dans cette cuisine avec l’une de mes demoiselles d’honneur. Totalement cachée du monde, je me laissais aller à raconter des bêtises en souriant même alors qu’elle jouait le jeu alors qu’elle disait que Simba devait s’affirmer. Bien sûr j’ignorais qu’il allait s’affirmer sur le propriétaire du château dans la soirée. Malheureusement mais on en était pas encore là. Aiden s’affirmer ? Il pouvait le faire avec tout le monde sauf avec une personne mais tant qu’il ne le faisait pas sur le pasteur donc mon père, tout allait bien mais vraiment bien. « Il devient grand ! », disais-je d’un ton faussement nostalgique et souriant doucement alors que je m’imaginais Aiden chanter Hakunamatata en mangeant des vers de terres. Mais pourquoi pas ? L’image était fortement intrigante et intéressante dans son genre mais cependant… il n’avait pas l’étoffe d’un roi de la savane mais plus d’un roi du bar. Et encore. Mon dieu qu’est-ce que je l’aime mon mari chéri. Je souriais doucement en l’entendant, tellement préventive et ça m’amusait doucement surtout avec ma famille. Je me demandais si Azélia ferait la garde du corps ou le shérif s’il y avait une bagarre et avec les Jones ? Je me demandais déjà pourquoi mes mères n’étaient pas encore dans une bataille sans merci. Je souriais doucement en levant les yeux. « Surveilles plus les Jones que les cuisiniers ! », disais-je alors en souriant doucement car c’était une bonne chose à dire. Oui, il fallait qu’elle sache que c’était pire qu’une indigestion de voir des Jones ou des O’Brady s’entretuer. Ma famille était devenue du vrai n’importe quoi. Je me demandais même si Kennedy avait amené son toutou dans la partie pour faire pipi et caca partout avec les enfants. Cela serait une bonne idée. J’imaginais déjà le marié courir après le chien. Je venais alors à plaisanter sur les témoins et le sexe entre eux. Je riais à sa réaction et hochant activement la tête quand elle voulait engueuler Aiden. Je secouais doucement la tête en souriant et la regardant attentivement. C’est alors qu’elle me demandait comment j’allais que je souriais doucement en haussant légèrement les épaules et restant silencieuse pendant quelques longues secondes après qu’elle n’ait fini sa phrase. Je riais doucement en lui souriant. « Sûrement meilleure que la mienne et je ne dis pas ça par abus d’alcool mais… », j’inspirais doucement en fronçant les sourcils. « Bizarrement, je m’en fiche qu’ils se fassent la guerre ! », non en fait pour aujourd’hui c’était comment dire ? Le cadet de mes soucis. « Jane peut m’annoncer coucher avec toutes les demoiselles d’honneur, Joan peut violenter un petit serveur ou frapper Jane… Kennedy peut laisser son chien détruire la pièce monté… ça sera la fête, tiens ! », je riais doucement en haussant les épaules. « Je suis mariée et je m’en fous ! », bon ce n’était pas seulement ça mais enfin disons que… voilà, c’est quand le plateau avec les scampis passait à côté de nous que le serveur nous en présentaient. J’en prenais un, c’était une sorte de toast fourré au scampi et l’odeur était tellement forte… que j’en sentais le haut le cœur. Ma tête ne devenant pas verte comme dans les dessins animés mais blanche tout simplement alors que j’avais cette nausée qui me prenait. Cette envie… je respire. J’avais l’impression d’étouffer. C’est fou mais les robes de mariés, c’est enquiquinant. J’inspirais doucement en fermant la bouche et éloignant alors le toast pour lui tendre. « Tu peux m’en débarrasser le plus loin possible ? », disais-je d’une voix étouffée par une main que je venais de poser en même temps sur ma bouche. Non, j’avais vraiment besoin de m’éloigner, loin, loin. Je ne voulais pas… en venir… non en fait pas le choix. Je regardais alors autour de moi et remarquant les toilettes du personnel. « Désolée… je reviens ! », soufflais-je alors. Je me dirigeais aussitôt vers la porte et l’ouvrant pour la refermer derrière moi. C’est après 15 minutes que j’en sortais… le teint blanc et la bouche rincée mais j’avais bien besoin de raccord en maquillage et d’un bon dentifrice. Il y en avait dans mon sac mais où était-il ? Dans les vestiaires mais pas ici. Je regardais alors Azélia une fois sortie. Et sans mots, je lui tentais un vague sourire.
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mot doux de Invité ► un Lun 1 Déc - 4:46

un jour, j'ai croisée un panda et il a fait caca mais bon, c'était hier...
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En venant dans la cuisine pour voir si tout se passait comme il le fallait – aussi un peu pour se cacher mais chut – elle ne pensait pas tomber sur la mariée. En tant que demoiselle d’honneur elle a eu la chance de passer du temps avec elle avant la cérémonie et le ferra encore lors du diner où Azélia même préparer un petit speech mais bon, la voir là, alors que tout le monde doit la chercher pour la féliciter ou les donner des conseils sur le mariage. Pire encore, elles sont là en train de parler du roi lion alors que c’est quand même hors de sujet. Ok c’est un super dessin animé, ok même aujourd’hui Azélia font en larmes quand le papa meurt – même si au fond d’elle elle aurait voulu que le sien meurt plus tôt même si elle se sent horrible de penser cela – mais bon, c’est un mariage, c’est pas le carnaval du brésil. « Ouais ’fin fais gaffe, même grand il continu à manger des vers de terre et chanter Hakuna Matata avec un suricate et un phacochère. Attends rassures moi, c’est pas moi Pumbaa et Aaron Timon hein ! » Oula rien ne va plus, pourtant elles n’ont pas mangé un gâteau avec un ingrédient spécial dedans. Enfin pas à sa connaissance. Finalement Azélia fini par éclater de rire, comme si ça mettait un terme à cette comparaison avec un dessin animé alors que son cousin est devenu un homme, un vrai. En tout cas il est fier de lui. Elle n’est pas bien placé vu sa vie actuelle pour donner sa fierté à quelqu’un mais bon, elle le fait quand même, elle est fier de son cousin. Petit Aiden est devenu grand. Ça lui donnerait presque la larme à l’œil. « Non mais ta famille, je ne suis pas sûr d’avoir les compétences nécessaires pour. » Bah c’est vrai faut être réaliste : Azélia en a vu des familles cinglées à commencer par la sienne mais les Jones ils battent tous les records. Pourtant, elle n’aime pas forcément émettre un jugement mais bon, quand on connait un minimum la famille et les histoires qu’il y a dedans, on ne peut s’en empêcher. « T’as bien raison. C’est ta journée donc t’occupes pas du reste. Ton père n’a pas tué Aiden c’est le principal ! » Dit-elle en riant. Bah quoi c’est vrai hein ! Ça aurait été embêtant n’empêche et ça aurait fait les gros titres : un pasteur tue le marié en pleine cérémonie. Rien qu’en imaginant l’affiche elle se mit à rire puis fini par stopper et se répétant les phrases que son amie lui a dites. « Attends, Jane quoi ? Promis je ne coucherais pas avec elle. J’ai assez de problème avec ma mère je ne vais pas m’en rajouter avec celle des autres ! » Puis la simple idée de coucher avec la belle mère de Lullaby ça lui fait avoir une tête bizarre. Si elle reste bloquée elle risque d’avoir des rides chelou plus tard. En tout cas toutes les deux s’en connaissent en matière de mères bizarre et puisque Lulla connait son histoire contrairement à une bonne partie de la ville, elle s’en fiche de parler de sa mère. Pourtant c’est quand même un sujet tabou chez elle, tout comme son père mais lui, même avec Lulla elle n’en parlera pas. En tout cas cette dernière partie loin, comme si elle allait vomir dans les toilettes prévues pour le personnel. Euh, elle a mangé un truc avarié ou elle est… Dans ce genre de cas on est obligé de se faire ce genre de réflexion, même si c’est pour plaisanter à la base mais bon là Azélia se fait vraiment des réflexions. Ça peut éventuellement être le stress du au mariage mais vu que ce sont des scampis qui l’ont mis dans cette situation, tout lui fait penser à la grossesse. Après tout elle-même étant passée par là, elle a bien l’impression que Lullaby a tous les symptômes. La voyant revenir après quelques minutes, elle lui tendit un verre d’eau qu’elle a demandé à l’un des cuisiniers de lui passer, ne sachant pas vraiment où se trouve les affaires, avant de lui demander simplement « Ça fait combien de temps que tu le sais ? » Si ça se trouve elle se trompe totalement mais bon, c’est une boulette donc elle n’est pas non plus à ça près à vrai dire.  
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mot doux de Invité ► un Lun 8 Déc - 4:12
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J’avais ris en haussant les épaules. Etaient-ils Timon et Pumba ? Je voulais que ça ne reste qu’un mystère. Oui, un mystère et boule de gomme. J’étais de ces filles qui parfois laissaient en suspens les questions taquines qui travaillaient parfois les esprits même si sur ce coup, elle n’était pas vraiment existentielle. Et puis qu’avions-nous fumé ? Je n’en avais aucunes idées alors que pourtant la conversation devenait presque sérieuse alors que nous commencions à parler de la famille et de ceux qui allaient se frapper dessus. Je riais quand elle disait ne pas en avoir la compétence. En avais-je aussi ? Non, sûrement pas en fait et pourtant j’aimerais tellement mais parfois l’on ne peut pas vraiment tout contrôler. L’on ne peut pas contrôler les envies et les idées des autres qui parfois même égoïste pour certains sont tellement normales pour d’autres. Pour moi, je n’en savais rien. Ma famille était tellement difficile par moment. Entre une belle-mère infidèle, une maman qui aime chercher cette dite belle-mère, un autre qui met des filles enceintes et se marie à Vegas et j’en passe pour le bien-être de mon cerveau. En gros, ça fait peur. Je souriais quand elle rappelait que papa n’avait pas tué Aiden. Heureusement car je pense que j’aurais été… enfin pas du tout contente mais je l’aurais quand même toujours aimé mon papa et peut-être même que j’aurais pris sa place en prison pour ne pas la laisser vieillir derrière les barreaux. Ça aurait même été pire comme punition avec lui car du coup, il serait resté avec Jane. Et je peux tuer la belle-mère de la mariée ? La mariée tue la femme du pasteur, ça ferait des gros titres mais depuis que j’avais appris qu’elle avait trompé mon père, j’en avais tellement envie. Peut-être pas de meurtre mais dans ma tête, c’était tellement tout comme. Je riais d’ailleurs en roulant des yeux alors qu’elle me demandait quoi pour Jane et haussant les épaules sans en ajouter. Oui, c’était sorti tout seul. C’est la suite qui sortait tout seul aussi alors que je courrais dans les toilettes tout simplement. Parler du mariage était tellement écœurant ? Oh non, c’était le plateau qui était passé. Dans les toilettes, je n’avais même pas eue le temps de me déshabiller et défaire le ruban de ma robe de mariée. Dans le fond, je m’en fichais bien au moment où j’avais cette nausée. Je sortais une dizaine de minute après. Ce vague sourire que je laissais se dessiner sur mes lèvres alors que je l’entendais me poser cette question et bien il m’échappait un peu en disparaissant peu à peu. L’illusion d’un instant, j’aurais pu prier pour ne pas qu’elle s’en rende compte ou fasse le rapprochement. Peut-être que je pouvais simplement ne pas digérer une chose que j’avais mangée. Comme le lait de poule… je ne le digérais plus depuis des années. J’en avais trop abusée puis j’avais du mal avec la version alcoolisée. J’inspirais doucement en riant aussitôt assez nerveusement et prenant le verre qu’elle me proposait. « En tout cas, pas depuis qu’Aiden a besoin de viagra sinon ça n’arriverait pas aussi vite ! », disais-je en plaisantant un peu mais j’avais du mal à affronter cette réalité. J’avais tellement de craintes. Je souriais aussitôt. « Enfin il n’a pas besoin de viagra, hein, je te rassure… », annonçais-je tout de même au cas où. Enfin il m’arrivait de dire parfois tellement de bêtises mais non. C’était seulement dans ma tête. « Je le sais depuis hier… enfin… », j’inspirais doucement en haussant les épaules. Je ne savais pas quand l’annoncer aux autres, à tout le monde. Par exemple à mon père ? Entre deux messes genre : Papa, tu vas encore devenir papi… Ce n’était pas si simple. J’inspirais doucement. « Pas de champagnes pour moi… », je buvais alors le contenu du verre cul sec en me demandant si je pourrais trouver le dentifrice d’Aiden ou n’importe quoi pour m’aider à me débarrasser de cette odeur désagréable car je voulais encore embrasser mon mari bien entendu. J’arrêtais alors un cuisinier en lui souriant. « Savez-vous ou sont les sacs et manteaux des mariés ? », il hochait la tête et je souriais doucement. « Pourriez-vous me reporter le sac de la marié ? Vous le reconnaitrez, il est grand, noir et dedans y a une sucette, des antidouleurs et un bavoir ce qui n’est pas très commun ! », lui disais-je alors. « Oh et du dentifrice aussi… », rajoutais-je de plus belle en lui souriant. Il souriait doucement et sans poser de questions, il allait voir. Bien sûr j’aurais aussi pu parler du test de grossesse mais on allait éviter. « Merci ! », lui disais-je avec un beau sourire tout de même en retournant alors mon attention sr Azélia en lui offrant un sourire. « Je t’en prie, ne le dis à personne. J’ai tellement peur… enfin… je me dis enfin disons que j’ai l’impression que enfin je ne veux pas que ça soit un faux espoir ou même. Aiden le sait et je crois que Grace s’en doute ou même Kate et peut-être même Aaron mais je ne veux pas penser trop vite… que je suis enceinte et sauter partout pour le crier sous tous les toits… Pas après… », je me stoppais net. Je ne voulais pas le dire à tout le monde. Je ne voulais pas dire avoir déjà perdue un bébé une fois… à cette agression. Je ne voulais pas annoncer ça. Non mais en fait, déjà trop de personnes le savaient. Jane, Joan et Aiden. On allait arrêter le massacre car en parler ne m’aidait pas tout en m’aidant enfin… Je devais avouer me sentir mieux depuis que je l’avais annoncée à Aiden. Je lui souriais doucement. « Tu peux donc garder ça pour nous deux pour le moment ? », demandais-je en lui souriant doucement. Je savais qu’elle ne serait sûrement pas contre puis de nous deux, c’était moi qui ne gardait pas des secrets sauf quand ça concernait son retour. J’avais cachée à Mason qu’elle était là, chez moi dans ma chambre d’ami et encore heureux… je n’avais plus à le cacher.
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mot doux de Invité ► un Sam 20 Déc - 5:20

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Lullaby & Azélia
Azélia stress tellement à l’idée de croiser Mason et leur petite fille puisqu’il est lui aussi ami avec Lullaby. Pourtant son souhait c’est de connaitre sa fille, elle a fait comme résolution en revenant à Pasadena de retrouver son rôle de mère mais elle flippe totalement à l’idée que ça se passe mal. Pourtant elle ne devrait pas partir défaitiste. C’est pour cela qu’elle a préféré voir les préparatifs de la cuisine mais bon, ça ne la calme pourtant pas. On dirait vraiment une dinde là – ou une dinde, au choix - à faire le décompte avant qu’elle ne voit sa petite fille chérie. En tout cas son stress se mit en mode pause le temps qu’elle parle avec sa nouvelle cousine par alliance et surtout lorsqu’elle devina que celle-ci attend un heureux évènement. Bon en même temps ce n’est pas bien compliqué de le faire, c’est comme si l’information était venue devant elle, tels des feux d’artifices qui ferraient les mots ‘enceintes’ mais bon, elle est quand même fière d’elle-même d’avoir réussi à le deviner. « C’est le genre de détails que je ne veux pas vraiment savoir de mon cousin ! » Dit-elle en arquant un sourcil en riant. Oui il y a des choses dont on ne veut pas vraiment savoir. Certaines personnes sont très intéressé par ce genre de détails et là ce n’est pas vraiment le fait que ça soit de son cousin mais bel et bien parce qu’Azélia n’est pas de celles qui demande à ses amies les détails les plus croustillants sur leurs vies sexuelles. Elle n’est pas dans le genre coincée ou pudique mais bon, c’est le genre de détail qui ne l’intéresse pas, voilà tout. Du coup si son cousin devait prendre du viagra ça la ferrait rire tout à lui faisant de la peine pour lui et pour Lullaby mais bon, ça serait la vie et elle ne veut pas forcément être mis au courant. « Hier ? Pffiou c’est la magie des mariages faut croire. Mais tu n’as pas bu hier soir ? » Dit-elle en essayant de se remémorer la soirée d’hier où elle était à l’enterrement de vie de jeune fille de son amie. Elle avait quand même bien picolé donc ce genre de détail ne lui revient pas. Certaines filles présentes ont assez picolés pour la remplacer et de toute évidence Azélia en fait partie. Enfin qu’importe, Azélia est surprise de cette nouvelle alors qu’elle vient tout juste d’épouser son cousin mais ce n’est pas pour autant qu’elle n’est pas heureuse pour elle et pour lui, bien au contraire, elle est ravie pour eux deux. « Après ? » Elle a bien vu que Lullaby se sentit mal d’un coup, si elle avait bien réfléchit elle n’aurait même pas à en savoir plus pour ne pas tomber dans un sujet de conversation dont Lullaby ne veut pas parler mais disons que sur ce coup-là ce n’est pas vraiment fait exprès, la question est sortie toute seule, elle n’y ait pour rien pour une fois. En tout cas qu’importe que ce que Lullaby peut lui cacher, elle n’en parlera pas. « T’inquiètes pas, je n’en parlerais pas. Je sais garder un secret puis, ce n’est pas à moi d’annoncer ce genre de chose ! » Bon, elle sait garder les secrets, mais quand même, pas tout le temps. Ca dépend de la situation dirons-nous. Par exemple elle n’a pas parlé de sa paternité à son cousin parce qu’elle l’a promis mais ça l’a rongé de l’intérieur de lui cacher une chose aussi importante alors s’était un miracle qu’elle n’ait pas balancé l’information à son cousin qu’elle considère un peu comme un frère. On devrait lui décerner une couronnes quand même. Par contre il y a certaines choses, Az n’arrive pas à le garder pour elle, surtout durant son adolescence où elle était une vraie commère. Mais bon, comme elle l’a très justement dit avant cela, ce n’est pas à elle de l’apprendre. C’est tellement plaisant de pouvoir l’annoncer à notre famille ou à nos amis, elle le sait bien elle était passé par là, elle ne va tout de même pas voler ceci à Lullaby et Aiden. « Félicitation ma belle en tout cas ! » Dit-elle finalement en venant la prendre dans ses bras avec un grand sourire. C’est quand même curieux qu’elle ne l’ait pas fait avant. Surement le fait d’être surprise ou le fait que Lulla lui ait demandé de le garder pour elle, elle ne lui a pas de suite sauté dans les bras en criant comme une folle parce qu’elle est surexcité à l’idée de voir sa cousine encore une fois enceinte et son cousin une fois encore papa. « En tout cas, ne t’inquiètes pas, promis je serais muette comme une tombe. Même Aiden je ne lui dirais pas que je l’ai deviné si tu veux ! » Dit-elle avec un sourire. Au moins cette grossesse ne se passe pas comme la dernière mais bon, là encore une fois elle va faire croire à son cousin qu’elle ne le sait pas. Bon cette fois c’est tout de même plus facile, au moins elle pourra voir comment Aiden se demerdera durant la grossesse de sa femme, il risque de souffrir de devoir la supporter mais bon, il s’est engagé à cela en l’épousant. Il est dans la merde le coco. « En tout cas vous allez repeupler la famille Maccallister, madame Maccallister » Dit-elle sans savoir encore si sa nouvelle belle-cousine a pris leur nom de famille ou non. C’est vrai qu’Aiden et Lulla sont bien partis pour repeupler la famille à eux tout seul. Bon Azélia a été la première dans la famille à accoucher mais bon, puisqu’elle n’a pas la garde de sa fille et ne l’a toujours pas vu ce n’est tout de même pas la même chose. Elle aurait dû être dans le même cas, la petite famille heureuse, peut-être un mariage futur mais non, au lieu de cela il y a Azélia d’un côté et de l’autre il y a Mason et Laura qui forme leur propre famille. Rien que de penser à cela elle se remit à stresser.  
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mot doux de Invité ► un Lun 19 Jan - 4:45
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Ahah, c’était assez dingue ma facilité de parler de ma vie sexuelle avec les gens, parfois c’était surtout pour taquiner et je disais du n’importe quoi. Je n’étais jamais sérieuse, jamais. Jamais je ne dirais réellement ce qui se passe mais c’est plus vite juste pour ennuyer et surtout pour taquiner Azélia mais dire qu’Aiden n’avait pas besoin de viagra m’amusait à vrai dire. Je lui expliquais rapidement que je l’avais découvert le jour précédent et je riais quand elle me disait que c’était d la magie. Je n’en savais rien. Etais-ce réellement magique d’être effrayé à ce point. Une part de moi aurait aimé le savoir… demain. J’aurais pu mieux profiter de ma journée, de mon grand jour mais j’avais l’impression d’être une moitié de moi-même. Je ne me sentais pas vraiment complète. Je riais nerveusement alors qu’elle venait aussi de me demander si j’avais bue. « Malheureusement si… mais je ne suis pas vraiment effrayée… certaines continuent de boire et fumer en étant enceinte et des bébés dodues naissent quand même ! », disais-je en étant pas vraiment effrayée par ce détail… en apparence mais j’avais tout de même appelée mon docteur dès le réveil pour le harceler avec mes incertitudes. Rien de bien prometteur comme il n’avait pas répondu donc je m’étais rassurée comme une grande. Oui enfin j’avais essayée et même si ça paraissait concluant c’était surtout à la voix mais pas vraiment dans la tête au point où je changeais rapidement de sujets comme de chemises. Elle me redemandait ce après mais je ne voulais pas vraiment entrer dans le sujet, un regard pour lui montrer et un petit secouement de la tête. Il était hors de questions pour que j’aille sur ce terrain… houleux. Je ne voulais pas non. Je ne voulais pas parler de cette perte qui transperçait encore ma chair. J’en avais assez parlée, trop aussi et ça m’effrayait. J’y pensais de plus en plus depuis hier. Je souriais doucement, rassurée même si j’avais confiance en elle. Elle pouvait être une tombe comparée à moi qui ne savait pas garder un secret. La preuve, elle savait tout. J’étais nulle pour les secrets, totalement nulle sauf pour certains. Je souriais doucement, elle me prenait dans ses bras et j’étais bien. J’étais rassurée. C’était peut-être ce dont j’avais besoin ? Je n’en savais rien mais ça me faisait un bien fou. Littéralement. C’était plaisant. Je n’avais pas vraiment le loisir de dire que j’avais moins peur. Que du contraire. J’avais toujours peur. Je souriais doucement en l’entendant. « Ça ira ! Il peut le savoir, il stresse bien moins que moi… enfin si peut-être pour moi… », soufflais-je en reculant doucement de l’étreinte alors qu’elle me disait que j’allais repeupler la famille. Je souriais doucement en penchant la tête. J’allais alors vers le frigo des cuisines. Je faisais totalement comme chez moi et je m’en fichais de ce que les autres pensent. Je la regardant attentivement. Je la connaissais assez que pour savoir qu’elle stressait un peu et même le pourquoi pour connaitre le rythme de sa vie. Je regardais alors rapidement dans le frigo et je prenais un plateau de petits fromages coupés. C’était l’un de ceux que l’on trouvait déjà dans la grande salle mais ainsi j’en aurais un rien que pour moi et voilà puis zut. J’avais faim même si je venais d’en balancer une partie à l’usine des égouts. J’inspirais doucement en serrant le plateau contre le bustier de ma robe et je fermais aussitôt la porte. Les cuisiniers me regardaient et je souriais. « Je mange pour deux ! », ils se lancèrent dans un Ola de félicitation ce qui me fit sourire. Je me retournais aussitôt vers la jeune brunette un peu plus âgée que moi. Je me rapprochais pour déposer un baiser sur sa joue en souriant doucement.  « C’est clair que ce n’est pas sur toi qu’on peut compter… dans quelques mois, tu seras à nouveau vierge ! », soufflais-je alors que j’haussais les épaules en lui proposant le plateau de fromage. « On partage et tu me parles de ce petit visage tout stressé que je reconnais comme personne ? », lui demandais-je alors que je savais pertinemment qu’elle avait une situation compliquée. J’inspirais doucement en regardant alors les cuisiniers. L’un deux arrivait en me tendant un jus de fruits et je le remerciais. L’autre arrivait et me mettait un tabouret derrière moi et un autre derrière le popotin d’Azélia. « Asseyez-vous, ne fatiguez pas. », je riais doucement en l’entendant, c’était adorable. « Merci ! », disais-je en souriant. « Elle est enceinte aussi… il lui faut du jus de fruits ! », disais-je alors en souriant, un sourire sournois. « Tout de suite ! », disait-il alors en allant lui chercher un verre de jus de fruits. Je souriais en secouant doucement la tête. Ma robe blanche tombant parfaitement à mon assise sur le tabouret.
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mot doux de Invité ► un Jeu 29 Jan - 15:58

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Il faut croire qu’Azélia est une experte pour tomber au bon moment, enfin si on peut voir comme ça. Elle fait sa discrète la Azélia parfois, telle une petite souris qui découvre les secrets des gens ou qui est là au bon moment. Heureusement pour les autres, elle sait tenir des secrets. Vu la quantité des siens qu’elle a gardé pour elle pendant des années qui et qui finira sans doute par les emmener dans sa tombe, il est certain qu’elle sait tenir sa langue quand il le faut. Bon il y a des points sur lesquels elle en parle, où elle ne sait pas tenir sa langue, lorsqu’elle fait sa commère par exemple mais lorsqu’il s’agit de garder sa langue sur une chose telle que celle-ci, elle se tait et c’est tant mieux pour tout le monde. Il y a pratiquement rien de pire qu’une amie qui divulgue à la foule nos moindres secrets. Les secrets dont elle peut en parler mais il est rare que ça arrive, ce sont les siens, même si tout ceci dépend de la personne avec qui elle se trouve et ce n’est pas une question de confiance parce que mêmes les personnes avec qui elle est extrêmement proche comme son cousin ne sont pas au courant. « Ce n’est pas bien grave, tu es au début de ta grossesse, certaines femmes l’apprennent tard donc continues leurs vies de débauches et ça ne fait rien à leur enfant ! » Enfin ce n’est qu’un exemple parmi d’autre, certaines femmes continuent leur vie de débauche comme Azélia le dit si bien, enceinte ou pas enceinte ça ne change pas grand-chose. « Mais il faut que ça reste exceptionnelle ! » Dit-elle en la montrant du doigt comme un parent qui met en garde ses enfants. Lullaby n’a pas besoin d’elle pour savoir ce qu’il faut faire ou non. Il y a des choses qu’on sait instinctivement, pas besoin de personnes pour vous le dire ou bien de le lire sur un article de magasine. Et puis… ce n’est pas comme si Lullaby était âgé de seize ans à peine. Non, elle est âgé, a déjà un enfant et vient de se marier, elle n’est plus une gamine intéressée simplement parce le shopping qu’elle va réaliser toutes les semaines avec sa carte bleue, en pensant qu’avoir une garde-robe c’est la vie. Non ça c’est loin derrière elles, quoi que toutes les deux n’ont jamais vraiment été dans ce genre-là. « On verra bien si monsieur m’en parle ou s’il le garde pour lui en moment. » En tout cas c’est bête mais Azélia est rassurée parce que cette fois, même si elle va peut-être ne pas lui en parler de suite, au moins ça sera pas comme la dernière grossesse de Lullaby alors qu’Azélia venait tout juste de rentrer de ses trois années de fuite, où elle n’avait pas parlé à Aiden lui-même de sa paternité justement parce qu’elle l’avait promis à son amie. Son cousin après coup aurait pu lui en vouloir mais heureusement ça n’a pas été le cas. Au moins Aiden sera là pour cette nouvelle grossesse et saura à quel point les femmes enceintes sont chiantes. Faut bien qu’il fasse ce genre de découverte après coup. Finalement elle s’installa en compagnie de Lulla qui avait chopé un plateau de fromages, bien loin des festivités. Vérifiant tout le temps son téléphone pour ne pas louper le moindre appel ou bien le moindre message, elle finit par prendre un bout de fromage pour en manger un bout. « C’est clair, j’vais retrouver ma virginité et finir vieille fille dans peu de temps ! » Bon une vierge et vieille fille qui a un enfant pour le coup, ça serait bizarre mais bon. Lorsqu’elle est partie à Denver elle a connu quelques hommes mais rien de sérieux. Elle n’arrivait pas à passer à autre chose même si elle ne peut pas vraiment se plaindre étant donné que c’est elle qui a fui l’homme dont elle était folle. Soufflant finalement, regardant ses mains plutôt que son amie, elle finit par lever les yeux vers elle. « J’attends un message de Mason, pour que je rencontre Laura » D’où le stress et le fait qu’elle se cache ici en attendant le moment fatidique. « J’ai hâte, j’attends que ça depuis mon retour en ville mais j’ai peur de mal m’y prendre et de tout gâcher ! » Elle a tellement de choses sur lesquels elle a foiré, dont sa relation avec sa fille alors elle ne veut pas tout gâcher, bien au contraire. Enfin bref, elle n’eut pas à y réfléchir bien longtemps puisque des cuisiniers vint leur passer des tabourets et des jus de fruit. Riant légèrement, elle jeta un coup d’œil à Lulla pour lui dire « J’espère qu’ils sont payés cher, ils sont parfaits ! » Azélia mit sa main sur son ventre, comme pour jouer la comédie de la femme enceinte et rien que se comporter comme telle lui fait bizarre et lui fait penser au passé. « En tout cas, au moment même où ils vont commencer à te chercher, ils vont prévenir les flics et le fbi tu crois ? » A tous les coups s’ils la cherchent ils ne penseront pas aux cuisines. Le cliché de la femme qui ne veut pas risquer de tacher sa robe blanche en approchant de la cuisine sans doute.  
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mot doux de Invité ► un Jeu 12 Fév - 2:32
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L’alcool ? J’avais beau être dans la journée ou cupidon nous autorises à faire la fiesta pour prouver notre amour… Je ne voulais pas montrer que notre amour débordait bien plus sur la passion. Une certaine limite. Je ne voulais pas boire même si j’en avais marre d’avaler de faire semblant de boire du champagne depuis quelques dizaines d’heures. J’avais demandée au barman de remplacer le champagne par un jus de pomme bien qu’il n’y a pas les bulles… et bien cela faisait la blague mais peut-être pas assez ou peut-être pas pour tout le monde. Je secouais doucement la tête. « Pas de risques, je vais faire le festival du jus de pomme ! », disais-je en souriant doucement et la remerciant d’un sourire alors qu’elle n’allait rien dire à Aiden sauf s’il lui en parle. Cela me rassurait réellement car en fait, on n’avait pas vraiment eu le temps d’en parler avec le mariage et je n’étais pas sûre de ce qu’on allait faire mais je n’étais pas aussi sûre de ce que je voulais faire. Je ne voulais pas encore me rendre compte que oui, j’étais encore enceinte. Une fois de plus. Je me contentais de piquer les fromages et de lui en proposer. Je remarquais bien sûr son visage, son regard et tout ce qui pouvait clocher surtout par rapport à Mason. Son stress venait bien de quelques parts et entre femmes, on se comprend. J’avais aussi été longuement stressée à cause de l’amour. Je souriais, heureuse de savoir qu’elle allait rencontrer Laura enfin même si elle l’a connaissait comme elles avaient passée 9 mois ensemble. Je fus touchée par son impatience. Je la lisais dans l’intonation de sa voix. Tout en manipulant les serveurs, je riais à la remarque sur le salaire des cuisiniers. Je penchais doucement la tête en la regardant attentivement. Et je fronçais le nez. « Je pense aussi mais ils sont adorable ! », disais-je en laissant un sourire à l’un d’eux. « Ou alors ils veulent draguer la mariée… », lâchais-je aussitôt en riant pour regarder ma demoiselle d’honneur. « Ou la demoiselle d’honneur ! », rajoutais-je en prenant un nouveau fromage. Je la regardais jouer la comédie ce qui avait clairement un attrait amusant. C’était assez touchant en fait. Je posais ma main sur mon ventre mais tellement plat. J’avais encore du mal à me dire qu’il y avait un bébé dedans. Cela faisait bizarre. Je ne savais même pas depuis combien de temps et c’était un peu stressant en fait. Je n’étais pas sûre d’être pressée de devenir un hippopotame mais une part de moi se disait que j’avais besoin d’avoir le bidon de Winnie L’ourson pour réellement savoir que j’étais enceinte ou même le sentir faire un tango. Le ou La ? Une princesse ? Un Prince. Je n’en savais rien. Je ne voulais même pas chercher encore à savoir ce que je désirais. C’était difficile à penser pour moi. Je voulais juste mettre mes pensées en aphasie. Et là, j’éclatais de rire en l’entendant. « Hummmm… je crois que mon père va appeler le couvent… en pensant que je suis avec mon mari dans une chambre alors que mon mari appellera l’armée de l’air en pensant que mon père m’a enfermé dans une tour ? Les autres penseront sûrement comme mon père… sauf que je m’envoie… en cuisine pas en l’air avec une demoiselle d’honneur ! », disais-je en lui souriant alors que je croquais dans mon fromage comme dans une praline. Je n’étais pas réellement pressée de retourner dans la fête. Ce n’était pas comme à Rio mais pourtant je me sentais comme une danseuse… de danse lascive. Oui, tous les regards se tournaient sur moi mais j’avais l’impression d’être un mensonge. Un gros mensonge. Je ne voulais pas réellement croiser Jane non plus. Elle était un peu comme une sorcière sans le grimoire pour moi… enfin à mes yeux. Cela allait peut-être se dissiper mais je n’étais pas vraiment à l’aise avec cette idée. J’étais taciturne en sa présence mais bon. J’étais mieux ici ? Mais pas longtemps. Je savais que j’allais devoir retourner en plein milieu de la party. J’allais devoir couper le gâteau comme le veut la coutume et saluer des personnes. Certaines par courtoisie et d’autres assez anonymes enfin non des inconnus mais disons qu’on n’a pas les noms sur les pochettes comme dans un séminaire. On se sent comme dans la gueule d’un léopard pour ce genre de fête. Allais-je tenir le coup ? Sûrement. Et je souriais doucement à Azélia en fronçant doucement le nez. Bien installée sur mon tabouret. « Et non, je ne te ferais point de gâterie… je vais garder ma ceinture de chasteté jusqu’à la nuit de noce… », disais-je en roulant des yeux mais retrouvant assez vite mon sérieux dans le regard. « Ne paniques pas trop pour Mason. Il est malin et il sait bien que c’est très bon pour la petite d’avoir sa maman dans sa vie. C’est moi qui parle… la mienne est partie tôt… et là, j’ai l’impression depuis ce matin que je vais enfin pouvoir avoir Joan près de moi. Les filles ont besoin de leur maman ! », je la regardais attentivement et j’haussais les épaules. « Toi aussi ! », disais-je en fronçant doucement le nez. « Enfin autant en tant que maman qui a besoin de sa fille que de maman qui a besoin de sa maman mais je pensais surtout à la première option. », disais-je un peu confuse dans mes mots mais je m’en sortais tout de même avec un brin d’élégance. Non ? Bon en robe blanche, on ne peut pas être plus élégant que Charlie Chaplin mais je me sentais bien. « Je suis heureuse pour toi ! », disais-je alors en ayant des petits yeux brillants tout d’un coup. Oui, ils brillaient comme par magie. Ils scintillaient. Déjà les hormones ? Je n’en savais rien mais bon. Les émotions envahissaient la métropole de mon cœur. Ils se mettaient dehors pour une marche blanche. Je me sentais presque en temps de zone rouge.
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mot doux de Invité ► un Ven 27 Fév - 17:11

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Elle ne pensait pas se retrouver avec la mariée ici en pleine réception mais pourquoi pas et puis Azélia fini par comprendre la raison. Elle a besoin d’une pause et maintenant qu’elle a deviné qu’elle attend un nouvel enfant elle veut bien comprendre. A sa place elle aurait pu partir à Rio, Venise et même en Océanie où elle pourrait voir des kangourous et des koalas. Ou bas oui pourquoi pas ça pourrait être sympa en fait. Quoi que non, elle préfère aller en Chine pour voir des pandas, c’est beaucoup mieux. Il faut croire qu’elle a un peu trop bu mais même pas en fait. Doit y avoir de la drogue dans le guacamole, ouais ça doit être ça. « Ah bah tant mieux, non mais oui, j’veux pas que mon neveu ou ma nièce devienne une nouille parce que sa mère fait trop la fiesta » Théoriquement elle ne sera pas la tante mais pour Azélia c’est tout comme. Nora c’est comme sa nièce avec son frère et sa sœur ça sera pareil. Faut dire qu’elle n’a pas de frère et sœur elle-même, elle ne voit pas réellement la différence avec ses cousins du cop mis à part qu’elle n’a pas grandi avec eux. Mais bon peu importe, la famille c’est très important du point de vue d’Azélia, dixit celle qui est partie pendant trois longues années sans le moindre message mis à part à sa cousine. Quand elle était ado elle aurait même bien voulu vivre ans un château type Versailles. Non pas pour vivre une vie de princesse mais bel et bien pour vivre tout ensembles. Bon, on pourrait la comparer à un bisounours de vouloir ça, voire Winnie l’Ourson mais bon, elle est toute adorable quand elle agit comme ça non ? Faut dire… entre la violente comme un léopard et la gentille Azélia il y a tout un monde, un vrai carnaval. Passant une main dans ses cheveux pour se la raconter, elle finit par dire, comme si c’est tout à fait normal. Elle est forte parfois pour la comédie il fait croire, elle va finir par jouer dans ses pièces et jouer du Molière. Ou alors dans un film à gros budget à la Titanic. « En même temps qui pourraient leur en vouloir, on est trop sexe, de véritables danseuses. Mais lui là-bas m’a l’air un peu… gay » Dit-elle en penchant la tête en se demandant si elle a l’œil pour ça. En même temps elle n’est pas vraiment certaine. Elle n’a jamais essayé de mettre un homme aimant les hommes dans ses draps de satins, elle n’a pas mis d’homme tout court dans son lit, n’a montré sa lingerie en dentelle à personne depuis un moment. Faut croire qu’elle va finir dans un couvent avec une ceinture de chasteté. Mais non, c’est juste qu’elle ne pense pas à ce genre de chose. Une partie d’elle pense encore à un seul homme qui est Mason même si elle ne le dira pas. Elle a l’impression que si elle en parle à quiconque elle va se transformer en clown tout ça parce qu’elle va les faire rire. Bah voyons. Enfin ce n’est pas le sujet, elle est là pour son amie, au moins ça lui fait changer les idées. A moins que ce soit Lullaby qui l’aide à se changer les idées… Ouais ça doit être ça, les deux. Comme quoi les deux amies s’entraident sans même le savoir. Enfin si elles le savent mais c’est tout naturellement qu’elles le font dirons-nous. « T’inquiètes pas, je trouverais une excuse pour te sortir de là si on se fait attaquer par des ninjas engagés pour te sauver. Une petite chorégraphie de claquettes et hop le tour est joué. Le pouvoir de Charlie Chaplin va nous aider j’suis sure ! » Lullaby est l’une des rares personnes à savoir qu’elle n’hésitait en aucun cas à venir aux mains pour se défendre ou même pas d’ailleurs juste comme ça mais aujourd’hui elle préfère avoir d’autres techniques de défense afin faire fuir des parasites. Danser de manière ridicule, de la polka ou encore du tango en solitaire en faisant des signes tout ce qu’il y a de plus bizarre ça peut faire diversion non ? En tout cas elle a arrêté d’agir comme une canaille. Elle préfère encore prendre sa voix et faire apte d’un certain mutisme. « Oh mince, j’t’ai rien acheté mon cadeau de mariage c’était une gâterie voyons ! » Ça aurait pu être possible si la gâterie c’était une pâtisserie hein mais non elle leur a offert un véritable cadeau. Non mais oh ça serait mal la connaitre. Elle a raison, tout le monde a besoin de sa mère. Azélia aussi en avait besoin et pourtant elle ne l’a pas eu, pas comme elle en a eu besoin en tout cas. Il faut croire que ce n’était pas sa destinée. Mais être maman oui ça l’est. En partant elle n’a pas attiré le meilleur des karmas mais bon. En tout cas la jeune femme de bientôt une trentaine d’années récents des papillons dans le ventre en sachant que bientôt, elle va connaitre sa petite fille. Elle a l’impression que c’était hier encore lorsqu’elle l’avait dans son ventre, en sécurité du monde extérieur ainsi que d’elle-même. Finalement, elle regarda Lullaby avec un grand sourire sincère avec une petite parole pour lui dire, non pas timidement mais avec une petite voix, comme si elle était prise d’aphasie « Merci, j’veux juste que tout se passe bien ! » C’est avant tout pour sa fille qu’elle le veut mais c’est aussi pour Mason, pour elle, pour tout le monde en fait. Voyant qu’elle a les yeux qui brillent, elle finit par hausser des épaules pour dire simplement « Pleures pas, pleures pas à cause des hormones ou je ne sais quoi sinon j’vais moi aussi me mettre à pleurer ! » Et le pire dans tout ça c’est qu’elle est sérieuse. Pourtant elle n’est pas enceinte donc elle ne peut pas prendre cette excuse, la preuve elle est en pleine zone rouge mais bon, le stress, l’impatience, la beauté de la journée et sans doute la fatigue, ça n’aide pas.  
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