Invité et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! Invité
| mot doux de Invité ► un Lun 26 Jan - 5:54 | | | toby & billie I'd be damned Cupid's demanding back his arrow So let's get drunk on our tears and Searching for meaning But are we all lost stars, trying to light up the dark ? Who are we? Just a speck of dust within the galaxy?Woe is me if we're not careful turns into reality. Pourquoi ne pas répondre à ses deux mots ? Ou trois mots pour certains ? L’être humain peut être tellement complexe parfois dans toute sa simplicité. Beaucoup aiment dire ses mots bien trop vite et d’autres en sont effrayés. Je ne les avais susurrés que rarement ou à des personnes qui ne les méritaient pas, ne les méritaient plus. J’étais tellement effrayée à l’idée de les dire. Tellement pétrifiée à l’idée de tomber en amour alors que j’étais déjà dans ces sentiments. En plein dedans et les pieds nus mêmes mais je voulais me dire que je portais des chaussettes et une camisole. Je ne voulais pas laisser ouvrir cette porte, celle de mon cœur alors que je ne me rendais stupidement pas compte qu’elle était déjà grande ouverte. Je m’étais laissée jouer, laisser tomber à mon propre jeu mais ceci n’est pas de la métaphore alors que tentatrice, je m’étais piégée moi-même tandis que le chat arrivai vers moi et se penchant vers mon oreille d’une douceur câline mais tentante, tellement tentante aux frissons qui se décuplaient trop rapidement. Tellement trop rapidement. Etre enceinte mais surtout être heureuse en l’étant était une chose nouvelle pour moi qui m’en faisait découvrir des palpitations différentes mais aussi la peur que cela ne change. J’avais peur que tout s’écroule d’un château de carte. S’il y avait bien une chose que j’avais apprise… c’était que tout était trop beau pour être vrai et quand c’est comme ça tout s’écroule. Sa main glissant, on pouvait être sûr qu’il avait rapidement appris comment fonctionnait le corps d’une femme mais aussi le cœur à ses mots. J’en restais toujours silencieuse même si je pouvais sentir ses battements s’intensifier. Je souriais doucement, un sourire et un regard ? Intense mais c’était tout ce dont je me sentais pour le moment prête pour réponses. C’est assez étrange tout de même car je porte quand même son enfant mai je laissais les choses filer entre nos peaux. Je laissais ma main se poser sur son torse et un rire échapper à ses mots. Il avait chaud ? Cela m’amusait dans l’innocence faussement perceptible de sa phrase. Je le laissais dégrafer mon soutien à gorge. Un geste qu’un homme apprend victorieusement vite. « T’as pas regardé la météo ce matin ? Ils annonçaient une canicule… », soufflais-je en laissant ce sourire taquin s’afficher alors que mes mains naviguant sur son torse voulait l’ennuyer un peu dans une lenteur douce. Une torture agréable alors qu’elles descendaient à la ceinture délicatement. L’en débarrassant et la laissant tomber sur le sol sans maladresse. « Parfois on ne devrait pas se laisser encombrer de vêtements, c’est tellement long à retirer… », murmurais-je avec un sourire taquin tandis que je me chargeais des boutons, un à un. Une part de moi voulait lui demander de répéter ses mots, l’autre en avait peur et pourtant je ne devrais penser qu’à retirer son pantalon mais je pensais au dos, terminant alors cette tâche tellement facile. Je laissais mes mains glisser aux bords du pantalon avant de l’aider à descendre. « Je prévois un orage pour bientôt ! », disais-je en descendant le tissus le long de ses jambes avant de remonter aussitôt à son visage. Je laissais mes lèvres kidnapper les siennes, les mordillant doucement d’une douceur et non d’une violence. Un peu tigresse, un peu câline. Un doux mélange alors que je me trouvais toujours debout sur le canapé, quelques centimètres plus hauts que lui. Mes mains remontant à sa nuque. Je lui caressais doucement en plongeant mes yeux dans les siens. « Imagines que je suis une tablette de chocolat ou un gros muffin ! », disais-je alors en souriant doucement tandis que je fronçais le nez avant de descendre du canapé et le contourner pour galoper à la chambre. « Mais que j’ai des jambes pour aller directement dans ton assiette ! », disais-je en allant techniquement dans l’assiette sauf que j’allais vers les chambres. |
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