Holden J. Joneset oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais !
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mot doux de Holden J. Jones ► un Mer 3 Sep - 14:54
you stepped over the line
featuring - Joan
Cela aurait été trop beau que Joan fasse impasse sur sa phrase inachevée. Holden soupira en la regardant. Quel était le pire, laisser Joan imaginer le pire ou lui avouer la tromperie de Jane ? Holden n’avait pas envie de partager cette information toute fraîche avec son ex-femme. Ca lui ferait bien trop plaisir, et ce n’était franchement pas ses oignons. Mais une part immature d’Holden avait envie de se plaindre et d’entendre quelqu’un d’autre critiquer Jane pour ce qu’elle avait fait. Quoique qu’il n’était pas impossible que Joan se contente de rire et de féliciter la rouquine pour être allé voir ailleurs. Il était également possible qu’elle se moque de lui pour faire toute une histoire de ce qui n’était qu’un « petit moment alcoolisé entre amies » ou qu’au contraire elle compare leurs situations et lui demande s’il va quitter sa femme. Ugh, aucune de ses possibilités ne lui plaisaient. Holden ne dit rien, se contentant de croiser les bras sur sa poitrine. Cependant, sa colère envers Jane était bien trop récente pour que son visage ne trahisse pas ses sentiments. « C’est compliqué » se contenta-t-il alors de dire, d’un ton qui sous-entendait très bien qu’il ne souhaitait pas s’étendre sur le sujet.
La prochaine question de Joan le vexa honnêtement. Pendant un instant, puisqu’une seconde plus tard il réalisa qu’il aurait été incapable de tourner le dos à une femme portant son enfant. C’était une question de respect et de responsabilité. Mais ce n’était tout de même pas le cas de son histoire avec Joan. « Bien sur que je t’aimais ! » pesta-t-il. Dans sa jeunesse, Holden avait eu une réputation de grand charmeur et coureur de jupons. Il ne s’en cachait pas. Il est vrai qu’il avait collectionné les filles, ne faisant aucune promesse et profitant simplement de ses atouts. Et puis il avait rencontré Joan. Tout désir de célibat et brefs moments partagés sous les draps l’avait alors quitté. Il l’a voulait elle, pour ce jour et tout ceux qui suivaient. Holden n’avait pas anticipé de fonder une vie de famille aussi vite avec elle, mais c’était arrivé. Il ne regrettait rien.
Holden avait pourtant pris toutes les précautions. Enfermer cette culpabilité qui le tenait encore parfois éveillé la nuit dans un coin de son esprit, l’isoler pour empêcher qu’elle le submerge. On lui avait répété qu’il n’y était pour rien, que Luke avait pris sa décision et que cela avait été hors de sa portée de l’en dissuader. Il y a des jours où il était facile d’accepter cette version de l’histoire. La vérité, c’était qu’Holden avait tout tenté pour convaincre Luke de ne pas s’engager. Il avait échoué, et sous le coup de la frustration avait prononcé ces horribles mots qui le hantaient encore. Holden doutait de pouvoir un jour se pardonner pour cela. Il était doué pour s’accabler. Personne ne l’avait encore fait à sa place à ce sujet. Excepté Joan. Le choc de son accusation le laissa pantois un instant, avant que les mots prennent sens et que ses membres tremblent sous la rage. Ou la culpabilité qui venait soudainement de s’éveiller, attisée de voir que quelqu’un d’autre s’alliait à cette théorie. Holden n’était pas sur s’il était plus furieux envers Joan ou lui-même sur le moment présent. « J’ai tout essayé ! » s’exclama-t-il, la voix tordue de désespoir. « Tout ! Il ne voulait rien entendre, sa décision était prise ! Qu’est-ce que j’aurais pu faire de plus ? L’enfermer ?!». Holden s’était repassé leur dernière conversation des milliers de fois, cherchant à savoir ce qu’il aurait pu faire différemment et dire de plus. Les mots de Joan coupaient encore en lui comme un couteau, laissant des plaies béantes derrière eux. Oui, c’était son rôle de le protéger et il avait échoué. C’était sa faute, sa faute. Holden se laissa aller contre le dossier du fauteuil, pressant le bas de ses paumes contre ses yeux. Joan pouvait continuer à l’accabler, il n’y a aucune reproche qu’elle puisse dire qu’il ne se soit pas déjà adressée à lui-même.
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Invité
mot doux de Invité ► un Jeu 4 Sep - 14:12
C'était compliqué? Si j'étais quelqu'un d'autre que son ex-femme qui l'avait "cocufié ", il m'aurait donné une tout autre réponse qu'un simple " c'est compliqué". Qu'est-ce qu'il pourrait être compliqué au stade de ne pas m'en parler? Purée, j'aimerais tant savoir et je m'imaginais déjà plein de scénarios possibles dans ma tête de brunette. L'un d'eux a été voir ailleurs surtout qu'il avait dit peu avant que "c'était elle qui" donc je trancherais plus à un adultère de la part de la rouquine. De plus, je possédais des SMS venant de la part de Jane qui pourrait très bien éclaircir toute cette histoire. Néanmoins, je ne comptais pas montrer ces fameux SMS qu'elle avait envoyés à l'un de mes anciens amants parce que de un, avec la confrontation de ce matin, je préférais faire profils bas et puis, c'était Jane la victime en ce moment alors j'avais bien peur que Holden pardonne trop facilement et trop rapidement la rouquine. Deuxièmement, je n'avais pas envie de parler de cette dévergondée qui se photographie les seins pour envoyer à des hommes. Alors, j'allais attendre et profiter du bon moment pour lancer cette deuxième bombe. Ensuite, nous étions là pour discuter de nous, et notamment, de notre fils parti trop tôt et non d'elle.
JOAN _ < tu sais, j'écoute aussi bien que je suce alors si jamais tu as besoin, je suis là > j'aurais peut-être dû éviter de faire cette comparaison, mais je dois l'admettre que c'était parti tout seul. D'un sourire timide face à cette révélation époustouflante, je rajoutais < Euh... Ce n'est pas ce que je voulais dire > c'était très embarrassant, mais bon, j'enchaînais assez rapidement pour oublier cette bourde< je sais que tu es loin de me porter dans ton coeur et nous ne sommes même pas amis, mais, je suis sérieuse, si tu as besoin, je suis là >
Je n'étais qu'une garce, certes, et je ne pouvais pas le nier, mais ce n'était pas pour autant que je m'en fichais du bien-être des autres. Holden était le père de mes filles alors, je ne souhaitais pas qu'il lui arrive malheur. Lullabi a déjà vécu tellement de choses, alors je ne voulais pas qu'elle parte son modèle.
Alors ainsi il m'avait tellement aimé? Qui l'aurait cru? Pas moi en tout cas. Bah et puis, cette partie de ma vie, j'essayais de l'oublier, que cela soit lui, sa trainée de mère, Rodriguez ou encore l'ancien pasteur de la ville.
JOAN _ < de toute façon, c'est de l'histoire ancienne alors mieux vaut en tirer un trait que de se dire "et si". > Malgré que j'essayais d'oublier, je ne crois pas que je pourrais tirer un trait sur ma vie avec Holden car ce type, je l'avais aimé de tout mon coeur. < tu sais, je n'avais jamais voulu ça. Si je pouvais, j'effacerais mes erreurs, mais soyons honnêtes l'un envers l'autre, tu m'aurais quittée tôt ou tard. > Nous n'étions pas faits pour être ensemble. D'ailleurs nous n'avons quasiment aucun point commun, et je détestais sa famille plus que tout alors je crois qu'avoir couché avec Rodriguez a été la seule solution et surtout, la seule sortie. Devrais-je remercier ce salopard d'O'Brian, l'ancien pasteur de la ville de m'avoir obligé à avoir des relations sexuelles avec Rodriguez? Peut-être.
Ainsi, il avait tout essayé pour empêcher notre fils de partir? Si seulement, je pouvais le croire, mais c'était impossible. Si cela avait été Andrew ou bien Kennedy, là, il aurait tout fait pour garder ses fils auprès de lui. J'avais envie de le gifler, mais cela dit, je me retenais, car voyant dans quel état il était, je ne devrais pas l'enfoncer plus qu'il ne l'était déjà. Je le regardais s'asseoir sur le rebord du fauteuil. Il se frottait les yeux essuyant certainement des larmes? Étant une bonne samaritaine et une bonne âme, je ne pouvais pas le laisser dans cet état. Je m'approchais de lui et je m'agenouillais face à lui, posant mes mains sur ses cuisses.
JOAN _ < je suis désolée, je n'aurais pas dû te dire ça. > D’une main, je lui retirais la sienne de ses yeux et délicatement, je passais ma main sur sa joue frottant ses larmes avec mon pouce « Hey, regarde-moi. > Je l'obligeais à me regarder dans les yeux et je poursuivais < Tu n’es pas chez toi ici, Holden, donc tu peux lâcher prise. Si tu as besoin de pleurer, fais-le. Et ce n'est certainement pas en gardant tout en soi, que tu arriveras à avancer. Je connaissais suffisamment cet homme pour m'apercevoir qu'il allait mal alors, si je pouvais l'aider, autant essayer, non?
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mot doux de Holden J. Jones ► un Sam 13 Sep - 14:15
you stepped over the line
featuring - Joan
Holden pouvait déjà voir les scénarios plus dépravés les uns que les autres traverser l’esprit de Joan. Il n’aurait rien dû dire. Titiller la curiosité de son ex-femme, elle qui semblait avoir un investissement malsain dans sa vie de couple avec Jane, n’avait pas été la stratégie la plus maligne. Il s’attendait donc à ce qu’elle pose des questions, qu’elle gratte la surface de son mutisme pour découvrir les tristes profondeurs de son mariage. Elle n’en fit rien, et Holden ne cacha pas sa surprise. Puisqu’Holden n’allait certainement pas s’étendre sur le sujet de lui-même, il considéra le problème réglé. A croire que Joan était sur sa lancée, elle réussit de nouveau à le surprendre en offrant vulgairement une oreille attentive. Holden esquissa une grimace suite à sa tournure de phrase, ne souhaitant pas le moins du monde entendre les prouesses orales de son ex-femme. Elle semblait elle-même gênée par ses paroles et Holden sentit un sourire étirer ses lèvres, amusé. C’était étrangement apaisant de l’entendre dire cela, sans doute parce qu’il avait l’impression de n’avoir personne à qui parler, et parce que cela représentait une sorte de trêve entre Joan et lui. Une amitié future restait improbable, et ce n’est de toute manière pas quelque chose qu’ils espéraient, mais pour le bien être de sa famille, et surtout pour Lullaby et Rhiannon, c’était une bonne chose d’être capable de maintenir une conversation sans se sauter à la gorge.
Holden hocha la tête. Elle avait raison, ça ne servait à rien de vouloir réécrire le passé. Il fallait s’en défaire et apprécier le bon qui en était sorti malgré la fin plus brusque. Le reste n’était que des bons sentiments dont on doute parfois de l’honnêteté. Holden se contenta d’hausser l’épaule devant l’analyse de Joan. « Peut-être oui » dit-il, incapable de la joindre dans sa certitude. S’il avait depuis sa rencontre avec Jane découvert une toute autre signification de la passion amoureuse, il était impossible de prédire comment leur couple aurait tenu sans l’infidélité de Joan. Ils auraient pu murir, changer et faire de leur famille quelque chose de plus fonctionnel et harmonieux. De toute manière, il était inutile de se poser la question. Holden était très satisfait de sa vie actuelle malgré les soucis récents qui semblaient le poursuivre, et il espérait que son ex-femme se plaise également dans sa propre situation.
Il était encore possible de voir dans les yeux de Joan son scepticisme face à ses mots, et cela ne servait qu’à le perturber d’avantage. Durant leurs brefs échanges à l’enterrement de Luke, Holden avait également cru sentir que son ex-femme s’octroyait le monopole de la douleur, comme si Holden ne pouvait décemment souffrir autant qu’elle. Maintenant qu’il savait qu’elle et Luke avaient passés des moments ensembles après s’être réconciliés, leur relation spéciale avait peut être hotté de son esprit que Luke était également son fils à lui. Jamais dans l’esprit d’Holden il n’avait séparé sa famille en deux sous une idéologie d’avant/après Joan. Luke était son fils au même titre que Ken ou Andrew. Il était son tout premier garçon et sa mort n’aurait pu être plus supportable que celle d’un autre. Il n’avait cependant pas la force d’être en colère puisque la culpabilité semblait l’étouffer. Il entendit le frêle bruit de vêtements qui se plissent avant de sentir les mains de Joan se poser sur ses cuisses. Il se laissa faire lorsqu’elle révéla son visage. Il fuyait son regard, presque honteux de se laisser de nouveau aller à sa peine alors qu’il avait pensé l’avoir maitrisé. Il rencontra néanmoins ses yeux sous sa demande. C’était presque étrange d’entendre Joan parler ainsi, et également horriblement familier. Cette situation était bien loin de celle qu’il s’imaginait lorsqu’il avait frappé à la porte de Joan, rouge de colère. « Merci, mais je pense avoir assez pleuré comme ça » lâcha-t-il dans un faible rire humide. Il resta un instant silencieux histoire de reprendre face. Finalement, il dit : « Je regrette beaucoup de choses Joan. Je n’accepterais sans doute jamais la manière dont j’ai géré ma dernière conversation avec Luke, et tu peux me détester autant que tu veux, mais j’ai besoin que tu saches que j’ai tout essayé ». L’idée que Joan pense le contraire le rendait juste malade. Il avait besoin qu’elle lui dise qu’elle le croyait, même si ce n’était qu’un mensonge. Parce ce que c’était une chose quand il était le seul à s’accabler, mais que quelqu’un soit du même avis ? Soudainement ce n’était plus de l’auto-flagellation mais une terrible possibilité.
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Invité
mot doux de Invité ► un Mar 16 Sep - 20:26
« Peut-être oui » Wouah, je n'étais plus amoureuse de lui, mais l'entendre dire ces mots me blessaient toute de même. Il aurait été prêt à me quitter pour elle ? Tout compte fait, j'avais bien fait de lui dire que je l'avais trompée - même si, je n'avais jamais voulu commettre cette adultère - mais peut-être que c'était un signe du destin, qui dit ?. L'oublier avait été une période douloureuse pour ma part, mais je préférais tenter de l'oublier que de me dire en longueur de journée « et si » ... Oui, et si, je lui avais réellement dit la vérité, est-ce qu'il m'aurait pardonnée ? Je n'en sais rien, et je ne préférais même le savoir. De toute façon est-ce que cela aurait changé quelque chose ? Je suis loin d'être une bonne mère, ou encore une bonne épouse. Je ne suis pas douée pour ce genre de choses, et franchement, j'ignorais comment les gens faisaient pour rester avec une personne aussi longtemps.
JOAN _ « Donc nous avons bien fait de nous séparer alors »
De toute manière, l'un de nous deux aurait un jour déposé les papiers du divorce sur la table. Et effet, j'avais eu l'opportunité d'une carrière à New York, et en plus, cela m'avait permis de reconstruire une nouvelle vie, une nouvelle étape, et oublier ce que j'avais vécue à Pasadena. Et sincèrement, si , j'aurais proposé Holden de me suivre, si nous étions encore mariés, je ne crois pas qu'il aurait accepté. Depuis toujours sa vie était ici alors je ne voulais pas tout bousculer dans sa vie.
« Merci, mais je pense avoir assez pleuré comme ça » Il avait tant pleuré que ça ? Je ne disais pas que j'étais insensible face à la mort de mon petit bébé, mais je ne crois pas avoir pleuré autant. En fait, que cela puisse paraître étrange, mais, j'ai toujours cette sensation qu'un jour il reviendra. C'était totalement idiot de penser à ca, mais, en réalité, c'était grâce à cela que j'arrivais à tenir les deux bouts.
Alors que je me trouvais toujours auprès de lui, je ne m'écartais pas pour autant. Ne pensez pas une seule seconde que j'étais en train de le séduire ou encore tenter une manoeuvre déplacée. Je pourrais le faire et rien ne me l'empêchait, mais, est-ce le bon moment ? Nous étions en pleine conversation concernant notre fils, et je dois dire que parler de lui, me faisait du bien. Je n'avais pas l'habitude de parler avec quelqu'un d'autre de Luke, alors autant en profiter, non ?
JOAN _ « Je n'ai pas cette impression-là pourtant. » Qu''il pleure ou pas, c'était sa décision, et ce n'était pas moi qui allais l'obliger à pleurer. Il m'intriguait quand, il m'avouait qu'il n'acceptait pas la dernière conversation avec Luke ? Quelle conversation ? « Tu t'es disputé avec lui avant son départ? » Si c'était le cas, alors cela devait être juste horrible pour lui. J'agrippais son menton de mes doigts afin de l'obliger à me faire face. Sadiquement, j'enfonçais mes ongles sur sa chair « Oui, tu as tout essayé, sauf de le protéger » Je me redressais doucement, me penchant vers lui. Ses lèvres roses n'étaient plus qu'à quelques centimètres des miennes. « Ma méchanceté ne n'empêche pas d'être miséricordieux pour toi. Tu es le père de mes enfants, alors je ne souhaiterais pas qu'il t'arrive malheurs ; Holden » Rien que pour être plus chienne que je ne l'étais déjà, je l'embrassais. Regardons maintenant sa réaction ....
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mot doux de Holden J. Jones ► un Ven 19 Sep - 17:32
you stepped over the line
featuring - Joan
Holden ne pouvait pas gagner. Joan ne cessait d’admettre que la façon dont les choses s’étaient achevées avaient peut être été pour le mieux. Et pourtant, à chaque fois qu’il s’accordait à cette pensée, Joan semblait être légèrement irritée par sa réponse. Il fallait savoir ! Tout cela commençait à lui donner une migraine. Il n’avait pas envie de s’attarder plus longtemps sur leur passé. Ça n’avait aucun intérêt et semblait les mettre tout les deux de mauvaise humeur. Holden avait bien assez de soucis sur ses épaules comme ça. « J’en sais rien Joan » soupira-t-il, agacé. Qui aurait pu prédire comment les choses auraient évoluées ? Personne. « Mais c’est comme ça ». conclut-il, essayant de faire passer dans sa voix son souhait de cloitre le sujet ici. Cependant, au choix, il préférait mille fois s’attarder sur cette discussion que replonger dans le traumatisme de la mort de Luke. Joan, elle, semblait décidée à en parler, et Holden n’avait pas la force de l’en dissuader. Ce qu’elle pense de son débit lacrymal, Holden n’en avait rien à cirer. Chacun gère sa peine à sa manière, et Holden estimait avoir besoin de passer outre l’étape du deuil où un simple souvenir suffisait à lui apporter les larmes aux yeux. Bien évidemment que Joan allait s’attarder sur ce détail….Holden soupira, laissant sa tête basculer en avant un instant pour ne pas avoir à retourner son regard. « Oui » avoua-t-il. « Il n’a pas apprécié que j’essais de le décourager à s’engager » continua-t-il faiblement. Il préféra arrêter les explications ici. Lui dire que les derniers mots échangés avec son fils avaient été « tu me déçois » lui déchirais les entrailles. C’était sa honte la plus profonde, son regret le plus lourd, et il avait la fierté de garder ça rien que pour lui. Il n’avait pas besoin du jugement des autres en plus du sien. Joan lui attrapa le menton et il grimaça un instant en sentant ses ongles s’enfoncer dans sa peau. Il secoua la tête, agacé, pour se déloger de son emprise. Il n’était pas un gamin à réprimander ! Il failli exploser quand elle lui dit qu’il n’avait pas réussis à le protéger. Mais quel culot ! Facile de reporter la faute sur une autre ! Si elle avait joué son rôle de mère jusqu’au bout et pas juste qu’on bon lui semblait peut être les choses auraient-elles tournées autrement. Il était sur le point de riposter quand ses lèvres s’étalèrent sur les siennes. Il accusa la surprise pour le fait qu’il lui fallu quelques secondes avant de la repousser. Il se leva, mettant encore plus de distance entre eux. « Qu’est-ce qui te prends ?! » pesta-t-il en passant une main sur sa bouche. « Tu m’accuses presque de la mort de notre fils et tu m’embrasses dans la foulée ? Ça te semble être un raisonnement logique ». Il était énervé et pas qu’un peu. Il en avait assez qu’elle joue avec lui. Avec sa femme. Avec sa vie. Il était temps qu’il s’en aille !
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Invité
mot doux de Invité ► un Lun 22 Sep - 10:45
« Mais c'est comme ça » Pour dire ça, alors je lui donnerais bien un bon conseil, c'est de se taire. Sur ce coup, je ne savais pas quoi lui répondre, et de toute manière, tout cela n'était que du passé, et il était largement temps qu'on tourne la page. Personnellement, je l'avais tournée avant même que j'avais franchi le sol de l'aéroport de New York. L'amour que j'éprouvais pour lui, avait été sincère - à un certain moment - J'étais jeune, et qu'une idiote. J'avais cru que je pourrais trouver en lui, une aide, de l'amour, sur qui je pouvais m'appuyer. Mais visiblement, je me suis réellement trompée sur son compte. À quoi cela sert un mari qui n'était même pas fichu de protéger sa femme, et que le moindre souci causé, il préfère choisir la solution la plus facile ? Franchement, je n'avais pas la réponse, et cette manie que j'avais à collectionner les hommes à tour de rôle étaient justement d'éviter de reproduire la même situation. Mon mariage a été un désastre, et je n'étais pas heureuse. J'avais besoin d'un vrai mari, et non pas, d'un donneur de sperme ... Quoique, si Holden savait réellement la vérité à ce sujet, que je tombais exprès enceinte, je crois qu'il m'en voudrait.
Alors ainsi, il avait quand même essayé de décourager mon fils de ne pas s'engager à l'armée ? Et bien, s'il avait baissé les bras aussi vite qu'il avait fait auparavant, en essayant même pas de sauver notre mariage, cela ne m'étonnait pas qu'il soit parti.
JOAN _ « Tu as essayé » Ajoutais-je ironiquement. « Si tu as essayé, comme tu as essayé de sauver notre mariage, je peux comprendre pourquoi il est parti. » Je lâchais un soupire, OUAIS il n'avait pas tenté de faire quoi ce soit pour sauver réellement mon mariage au lieu de cela, il m'avait remplacé par cette chienne de Jane, alors, forcément cela ne m'étonnait pas qu'il ait remplacé mon fils par une bâtarde, ou ses fils. « Je ne devrais pas t'en vouloir, ni même Jane mais ... je n'y arrive pas. JE suis désolée. »
Alors que j'avais planté mes ongles dans sa petite chair si douce, et si tendre que je pouvais lire sur son visage une petite douleur. Je profitais de cette occasion de distraction, pour venir l'embrasser. Je savais bien qu'il allait me repousser, mais qui ne tente rien n'a rien, n'est-ce pas ? Cependant, il n'avait pas fallu quelque seconde pour qu'il me repoussait manquant de peu de tomber sur mes fesses.
Qu'est-ce qu'il m'avait pris ? Bah, je ne savais déjà pas moi-même alors lui répondre, j'aurais du mal. Je me levais à mon tour, et j'ajoutais :
JOAN _ « JE ... Je ne sais pas.... » Faut-il un moment logique pour embrasser un homme ? Vu la situation tristounette qu'on était en train de vivre, je pensais vraiment que ce raisonnement était valable. « Tu devrais t'en aller, cela vaut mieux » Sur ces paroles, je préférais m'éclipser dans une autre pièce.
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mot doux de Holden J. Jones ► un Dim 28 Sep - 15:28
you stepped over the line
featuring - Joan
Holden ne comprenait pas vraiment ce qu’il se passait en cet instant précis. Il posait les yeux sur son ex-femme et se demandait comment la jeune femme dont il était tombé follement amoureux il y a de longues années de cela avait pu tourner aussi amère. La cruauté avait toujours été une attitude qui rendait le pasteur perplexe. Il n’y avait rien à y gagner si ce n’est une sorte de satisfaction tordue qui ne dure pas bien longtemps. Joan semblait avoir adopté ce sentiment. Holden pouvait comprendre les difficultés de leur passé et la rancœur qui avait pu en naître, mais il été presque horrifié par le plaisir malsain qu’elle avait à l’accuser de la mort de son fils. A l’entendre, c’est comme s’il avait planté un couteau dans la poitrine de Luke. Il essayait de ne pas trop se laissait attendre, de se raccrocher au fait que cela devait être la douleur qui l’a faisait dire de telles choses, mais il avait de plus en plus de mal à se contenir. Joan se moquait ouvertement de lui, doutant chacun de ses mots avec une certitude qu’elle ne pouvait se vanter d’avoir. Elle n’avait pas été là. Comparer sa discussion avec Luke avec leur mariage était si bas qu’Holden sentit un rire d’incrédulité naître dans le fond de sa gorge. Et puis elle s’excusa. Joan passait du chaud au froid et Holden était persuadé qu’il allait péter un câble s’il restait une minute de plus dans cette maison. « Non tu ne devrais pas ! » rétorqua-t-il, ahuri. « Tu te rends compte de ce que tu dis ? », mais il n’attendait pas de réponse. Joan était complètement à côté de ses baskets et Holden le réalisait particulièrement en cet instant. A croire que Luke était son fils à elle et uniquement à elle, comme si Holden ne pouvait décemment pas l’aimer autant qu’elle. Comme s’il aurait pu ne pas donner tout ce qu’il avait pour son fils aîné. Ca le rendait malade. Elle n’avait aucune idée. Aucune idée.
Toute cette discussion n’avait pas du tout tournée comme Holden l’avait espéré. Le sujet d’origine avait été oublié et celui en cours ne lui plaisait pas du tout. Le point de chute fut sans doute le baiser surprise de Joan. Holden fut satisfait de voir qu’elle semblait tout aussi surprise que lui par ce qu’elle venait de faire. Elle l’incita à s’en aller et il ne pouvait qu’être du même avis ! « C’est mieux oui… » dit-il, mais elle s’éloignait déjà vers une autre pièce. Dans un dernier soupir, Holden pris la direction de la porte, se sentant exténué. Et la journée n’était pas finie.
FIN
Spoiler:
J'ai mis fin, mais si tu veux conclure avec un autre sujet pour ta part, tu peux ^^
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