l'avatar des scénarios ou membres des familles sont totalement discutables pour autant qu'ils ne soient pas dans le bottin !
Venez car plus on est de fous et plus on rit, non ? Chocolat et guimauves en cadeaux !
bonjour les YFTiens et pleins de calins pour vous ainsi que tout notre amour !
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Junie A. Hillsdone et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! ❝ Métier : Kinésithérapeute ❝ cupidon : Mmh ? J'ai du mal comprendre ❝ post-it : Hobby : Je suis un vrai rat de bibliothèque, donc si je ne suis pas chez moi, je suis à la bibliothèque du coin en train de lire un bon roman. J'aime cuisiner aussi et préparer le repas quand la famille vient manger. Je passe mon temps à regarder des séries aussi, je ne sors pas vraiment beaucoup et je ne fréquente pas de boîte de nuit. J'aime bien me promener dans le parc ou aller à la plage, sentir le sable chaud sous mes pieds, même quand c'est l'hiver. Le sport, je cours si nécessaire, sinon, non.
Patchwork : Elle commence toujours sa journée en vérifiant ses yeux et prend ensuite son traitement Prend seulement trois cafés dans la journée sinon c'est une pile énergétique Elle n'aime pas le chocolat amer ni le chocolat blanc Allume toujours la télévision quand elle met un pied dans son salon Ne passe pas une journée sans appeler son frère, Jack A un chat qui s'appelle Rouky, car il est roux Elle va sur la tombe de sa mère tous les ans Elle a perdu sa mère lorsqu'elle avait 7 ans, depuis c'est un cauchemar pour elle Junie déteste les roses Quand elle travaille, elle ne pense à rien d'autre que ses patients Sa plus grande fierté est d'avoir obtenu son diplôme en étant major de sa promo A une peur bleue de tous les insectes Ne peut s'empêcher à ce que tout soit bien rangé à sa place, maniacattitude ! Déteste la couleur blanche enfin de se retrouver dans une pièce entièrement blanche qui sent l'hôpital Est une fan des Disney et elle a du mal à le cacher En se couchant, elle refait les mêmes gestes que le matin en se levant, c'est devenu obsessionnel Au travail, ses cheveux sont toujours attachés, sinon une fois en dehors, ils sont libres comme l'air Elle a trop peur de l'amour, le vrai Son péché mignon sont les framboises ❝ pseudo : Trucpau ❝ crédits : Avatar : country girl.
Signature : Endless
Gifs : Moi/tumblr ❝ avatar : Keira Knightley ❝ présence : Présent(e) ❝ préférences : Rp Roses ❝ disponibilité : Closed ❝ autres comptes : Oliver, le photographe qui court après une nana trop hot Avery, jeune maman et trop amoureuse de son bf ❝ Points : 3338 ❝ Messages : 77 ❝ depuis : 23/05/2016 ❝ mes sujets : Bennett ▬ Melody ▬ Jared ▬ Mirana Modératrice en chocolat
| mot doux de Junie A. Hillsdone ► un Dim 17 Juil - 16:50 | | | Bennett & Junierendez-vous musclé
J’avais brisé les règles pour me rapprocher de lui, dès le premier rendez-vous j’avais vu en lui cette détresse… Et je m’étais tenue à l’écart de son besoin pour ne pas craquer comme je venais de le faire, pour ne pas briser les règles professionnelles qui me tenaient à cœur. Voilà aussi pourquoi je voulais mon propre cabinet, comme ça je pouvais avoir des liens avec mes patients, même si c’était différent. Je m’étais fait violence pour le rejoindre, pour faire ces simples gestes qui m’avaient coûtés. Je n’étais pas tactile, je ne faisais pas ce genre de choses, on ne me faisait pas ce genre de choses. J’avais appris à garder mes distances depuis la mort et de ma mère et depuis que je m’étais faite larguée par un mec car je bossais trop. Alors oui, le côté tactile, câlin et bisou, ça ne me branchaient pas mais là, je ne pouvais pas résister, Bennett avait besoin de quelqu’un. Il l’avait clairement dit et je ne pouvais pas passer à côté de sa demande… Alors quand j’avais tenu sa main dans un premier instant, j’avais senti ce genre de courant électrique vous traverse. Bon, pas de là à m’électriser les cheveux, mais assez de chaleur dans sa main pour m’en envoyer. Moi qui aie toujours les mains froides, ça fait du bien. Et après, je ne sais pas ce qui m’a pris, je l’ai pris dans mes bras et j’ai senti en lui quelque chose lâcher. Vraiment, je pensais que j’allais me faire repousser, mais non, bien au contraire. Non, il s’était relâché, ça se sentait à la façon de se tenir, de tenir ses épaules. Alors j’avais vraiment pris sur moi pour faire ce genre de choses et d’un côté ça ne me déplaisait pas. Non seulement c’était pour le bien être du patient mais il était aussi séduisant et touchant. Bennett me touchait dans son histoire, dans ce qu’il avait vécu, dans ce qu’il avait fait et enduré. On n’était pas si différent au final, il était tout aussi brisé que je l’avais été plus jeune. Je reconnaissais cette douleur et c’est pour cela que j’avais craqué, que je lui proposais mon aide et quelqu’un à qui se confier ou parler pour avancer dans la rééducation. Je me reculais un peu lorsqu’il reprit ses esprits, prêt à me parler enfin, ou me répondre du moins. Je l’écoutais avec une grande intention, scrutant le moindre fait et geste qu’il pouvait faire. Je souris face à sa réponse et hausse les épaules avant de répondre à mon tour avec un ton léger et rassurant à la fois. « Si je te le propose c’est que cela ne m’embête pas et que je pourrais t’aider autrement qu’en étant ton kiné attitré. » Oh oui, cela me permettrait de le voir plus souvent et peut être d’en apprendre plus sur lui, de le connaître, de savoir qui est vraiment Bennett Morrigan. Je croisais son regard, et je pus lire un peu de répit et de soulagement. Son regard était entraînant, c’était sûr, je pense que je pourrais m’y perdre si je ne quitte pas tout de suite ses yeux. Etait-ce le fait qu’il soit en détresse qui me donnait cette impression ou bien le simple fait que Bennett était un homme sacrément séduisant. Là, je devrais me gifler car ce n’est pas que ton patient Junie ! Mais je n’y peux rien, il me donne du fil à retordre depuis le début et je ne peux nier qu’à force, j’y ai pris une certaine habitude et que ça me plaît de me battre avec lui-même si ce moment qu’on vient de partager est tout aussi plaisant. Je souris malgré moi, sentant presque le rouge me monter au visage pour avoir des pensées de la sorte. Tournant la tête quelques instants, refaisant ma queue de cheval, je reprends mon souffle et réponds, en plantant de nouveau mon regard dans le sien. « Ca arrive. Je propose que tu te rachètes du coup ! » Je lui souris et me lève, pour rejoindre mon bureau, notant le prochain rendez-vous de la semaine prochaine. « Ca c’est notre rendez-vous de la semaine prochaine que je ne veux pas que tu loupes, sinon tu auras à faire à un de mes collègues. Maintenant, je te propose de sortir et d’aller boire un verre. » Accompagnant ma phrase d’un haussement d’épaule, je me tournais en continuant de parler. « J’ai brisé toutes les règles professionnelles avec toi, autant aller jusqu’au bout. Et je te l’ai dit, que je pouvais être là, si tu veux bien. » au fond, si je lui proposais mon aide c’était aussi pour moi, pour me donner une mission. Je ne supportais pas les personnes qui n’allaient pas bien. Mais là je craquais complètement. J’allais sortir, s’il le voulait bien, avec mon patient pour boire un verre. D’ailleurs, je ne lui avais pas demandé si ça lui allait. Me tournant vers lui, je croisais mes doigts ensembles et me sentis comme une adolescente de douze ans pour le coup. « Si tu veux bien, bien entendu. » Je lui offrais un sourire légèrement gêné d’avoir pu penser que c’était possible ce genre de chose. En fait ce n’était pas possible. Je sentis le stress monter et je me rassis sur mon siège en lui faisant face, prenant mon visage entre mes mains. « Mais non, ce n’est pas possible, je craque complètement ! Si je fais ça, je vais avoir des soucis… » Alors que j’en mourrais d’envie mais là, le stress ne me faisait pas aller mieux et me faisait perdre mes moyens et Bennett surtout, c’était lui qui me rendait comme ça. Jamais je n’aurais proposé à un patient d’aller boire un verre. Mais Bennett c’était différent, je ne pouvais dire pourquoi pour l’instant mais je voulais le voir en dehors du boulot, c’était certain. Non seulement pour l’aider mais aussi pour moi, pour avancer dans ma vie, pour sortir et ne pas rester vieille fille jusqu’à la fin de mes jours. Je relevais la tête vers lui et ouvris la bouche, me redressant et essayant de paraître assez détendue, alors que c’était tout le contraire. « Excuse moi, j’ai légèrement divagué sur mes propos. Mais en fait, je ne retire en rien ce que j’ai dit. » Ok, il allait voir que j’étais folle, c’était certain mais le côté professionnel de mon métier ne cessait de me mettre en garde alors que la détresse de Bennett me disait de poursuivre sur cette lancée pour l’aider. J’étais même sûre d’avoir mon ange et mon démon sur chacune de mes épaules pour peser le pour et le contre de cette situation… |
| | | Bennett K. Morrigan et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! i am not special i'm just a limited edition
| mot doux de Bennett K. Morrigan ► un Lun 25 Juil - 1:23 | | | Junie & BennettRendez-vous musclé
Une discrète grimace que Junie ne put voir en raison de nos postures respectives à ce moment précis apparut sur mon visage au moment où elle sembla insister sur le fait qu’elle pouvait m’aider autrement que de m’apprendre à marcher de nouveau, comme elle le faisait depuis la première fois que je l’avais rencontrée, dans ce même cabinet, d’une façon si formelle que soudainement, ce genre de contact, de paroles, me semblait si étrange qu’accepter me semblait absurde, et que sa façon de répondre me le semblait encore plus, d’où cette fameuse grimace. Qu’étais-je supposé faire après tout ? Je savais qu’en tant que patient, je n’avais pas vraiment de règles à suivre à proprement parler, ou bien, jamais on en m’en avait dressé une liste quelconque, parce qu’ayant gagné ma vie en suivant les règles, je l’aurais très certainement fait, avec un naturel déconcertant pour certains même, mais est-ce que j’avais envie de mettre la demoiselle dans l’embarras pour une bonne intention ? Avait-elle le droit de faire cela à la base ? Ne sachant trop peu quoi faire, je décidai de ne pas me prononcer sur ce sujet davantage, me disant que si jamais je ne me voyais pas prendre de décision sur ça, au moins, je pouvais lui présenter mes excuses sur mon comportement précédent. Ce n’était pas toujours chose facile à faire me concernant, mais je me disais que dans le cas présent, ce serait juste méchant de ma part. J’étais en tort et pourtant, alors que Junie aurait pu me laisser là, dans mon malheur, elle ne l’avait pas fait, donc pour moi, la moindre des choses à faire était de justement me faire pardonner pour mon comportement, comportement qu’elle ne semblait pas avoir apprécié non plus dans un premier temps, ce que je pouvais parfaitement comprendre parce que moi-même, je n’aurais pas accepté qu’on s’adresse à moi de la sorte en temps normal. Pourquoi je l’avais fait donc ? En raison de la frustration, de la rage, de la tristesse qui m’habitait depuis si longtemps, ce n’était pas plus compliqué que ça. Mais cela ne justifiait pas ce que j’avais fait, et des excuses ne le pardonnaient pas complètement, je m’en doutais bien. Mais là, tout de suite, je n’avais aucune idée de comment rattraper le coup, ce qui, clairement, n’était pas le cas de mon interlocutrice. Rapidement, elle sut me surprendre en m’imposant de me rattraper dans un premier temps, puis en trouvant le moyen à ma place en me sommant de ne pas rater notre prochain rendez-vous - ce que je n’avais pas l’intention de faire étonnamment, malgré ce qui s’était passé - et plus encore, elle me suggéra que nous allions prendre un verre ici et maintenant. Là, si elle avait voulu volontairement me désarmer, clairement, elle n’aurait pas pu faire mieux que là. Stoïque, je ne comprenais pas comment nous avions pu en arriver à ce point, ce point où j’avais pu passer à ces yeux du client particulièrement chiant - fort probablement - à celui avec qui elle proposait d’aller boire un verre. C’était au point que le fait de briser les règles n’était pas ce qui m’importunait - c’était ses affaires, pas les miennes après tout - mais plutôt ce fait. Me prenait-elle en pitié ? Me disait-elle cela parce que j’avais versé quelques larmes, parce que maintenant, j’étais bel et bien une personne faible pour elle ? Rapidement, je me fis violence pour ne pas songer de la sorte, parce que je savais que rapidement, je me sentirais insulté et clairement, ce n’était pas ce qui était le mieux en ce moment. Par contre, cela me faisait hésiter, à savoir si je devais accepter ou non pour le coup. La regardant dans les yeux, je me surpris à y chercher une réponse, encore une fois. Je me sentais quelque peu pathétique d’aller toujours chercher la réponse de son côté, mais pour tout dire, je ne savais pas faire autrement. Le contexte était désorganisé, rien n’allait comme prévu depuis le début de la journée, il fallait que je me rende à l’évidence que j’étais carrément paumé dans cette situation. Et comme pour le prouver, je me surpris à être limite soulagé au moment où Junie sembla soudainement réaliser les conséquences de ses gestes, ou plutôt de ses intentions dans le cas présent, paniquant tout à coup comme si ce n’était juste pas possible. Au pire, si jamais c’était le mieux pour elle comme pour moi, il n’y avait rien qui nous empêchait de faire comme si rien ne s’était dit. Je savais bien que ce ne serait clairement pas chose facile mais bon, peut-être qu’au fil du temps, ce serait pour le mieux. En revanche, puisque j’étais peu persuadé que ce n’était pas une bonne idée, encore et toujours, je ne dis rien, d’autant plus qu’avant que je puisse me faire une idée sur tout cela, Junie revint, changeant encore une fois son fusil d’épaule en disant que sa proposition, si je comprenais bien, tenait toujours. Alors là, elle venait complètement de me perdre et cette fois-ci, je laissai les politesses de côté pour secouer la tête en signe de confusion, ajoutant à ce geste un « Euh.. » particulièrement confus. Parce que si, elle, avait des idées qui me paraissaient bien arrêtées sur la question, de mon côté, je n’avais pas la certitude d’avoir la même confiance en ma personne. Je n’en étais pas fier, bien loin de là, et malheureusement pour moi, je ne fis rien pour améliorer ma situation. Après une brève réflexion, je n’eus que la lâcheté - me semblait-il en tout cas - de lui dire: « J’apprécie la proposition, vraiment… Mais je crois que ce serait mieux de… Prendre un certain recul. » Qu’étais-je en train de faire là, sérieusement ? Dans ma tête, j’essayais de jouer l’homme un peu plus mature, réfléchi, sage, mais je ne le sentais pas du tout, j’avais plutôt l’impression de faire n’importe quoi. À cet instant précis, j’avais limite envie de simplement sortir de la pièce et m’en aller, et comme si soudainement, j’avais retrouvé la force physique de le faire, j’appuyai mes mains sur mes cuisses, et je me hissai debout, toujours en considérant la jeune femme pour lui dire: « Merci… Pour tout… », me disant que limite, ce serait le moment pour moi de partir, parce que si j’avais eu la date de mon prochain rendez-vous, je pourrais tout aussi bien m’en aller maintenant, mais quelque chose m’en empêchait, comme si pour ne pas me gifler intérieurement, il me fallait prendre la peine d’attendre une réaction de Junie avant de quitter les lieux, parce que là, pour sûr, je m’en voudrais, et ce n’était pas quelques paroles et un « désolé » qui pourraient régler la situation. |
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