l'avatar des scénarios ou membres des familles sont totalement discutables pour autant qu'ils ne soient pas dans le bottin !
Venez car plus on est de fous et plus on rit, non ? Chocolat et guimauves en cadeaux !
bonjour les YFTiens et pleins de calins pour vous ainsi que tout notre amour !
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Invité et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! Invité
| mot doux de Invité ► un Mer 2 Sep - 23:51 | | | aaron & olivia The oldest and strongest emotion of mankind is fear, and the oldest and strongest kind of fear is fear of the unknown Une matinée comme les autres ? Mais oui, c’est ça. C’est vraiment ça. Ou pas. Non mais ou pas. Je n’avais pas vraiment passée une bonne journée. Je m’étais levée et tout allait bien. J’avais été à la radio pour mon émission de la matinée mais j’avais eu la flemme de chercher des vêtements donc j’avais opté pour une robe. Pas besoin de trop fouiller et c’était une douce façon de flemmarder dans le fond ? La solution facilitée. J’avais juste l’impression d’être comme un lézard dans un bocal avec cette robe bien trop flottante qui n’allait pas spécialement à ma morphologie. Non pas que j’avais grossis mais la robe oui. Je devrais peut-être la faire rétrécir mais bon. Je n’étais pas vraiment une gloutonne. Pas du tout même. Je mangeais à ma faim mais sein. J’évitais le coca-cola en ce moment également. Parfois sous l’impulsion, je mangeais du riz mais ça commençait un peu à me gonfler en ce moment ces repas trop sain. Le mois de septembre qui voulait qu’on prenne soin de notre ligne n’allait pas aider. On devait surveiller et diminuer les sucres ? Ils allaient réellement me gonfler eux aussi. Ils jouent au yo-yo avec nos corps ? Enfin presque. Présente au travail, j’avais simplement mangée le melon que j’avais pris avec moi. Ni plus, ni moins. Un fruit et du melon à la fois. Si le melon est frais, c’est encore mieux. La prochaine fois, je couperais des brocolis pour faire une soupe avec des crottes de nez à Liam pour assaisonnement ? Délicieux, je vous jure. Tellement même. Après le boulot, j’étais juste rentrée. Une vie équilibrée ? Non car je devais aussitôt repartir après m’être changée pour aller au studio cette fois pour l’émission. Une routine que j’avais mais qui prenait beaucoup de mon temps. Il y avait juste une réunion puis ma dispute avec Henry avait fait tombée de l’encre. J’avais aussitôt été faire un peu de rangement après m’être occupée de Liam pour une petite heure mais j’avais trouvé ce jeans à Aaron. Un numéro de téléphone dans sa poche apparemment d’une fille au prénom que je voyais dessus. Bizarrement et même si j’avais confiance, cela m’énervait. Cela réveillait mon sang chaud d’une mexicaine prête à le manger tout cru s’il avait osé. Je m’étais ramenée à l’heure là-bas, regardais en passant mon agenda pour voir en plus que j’avais un retard de 2 jours. Mon dieu. Ce n’est que deux jours mais ça suffisait à me paniquer avec le ça et plus ça et ensuite ça. Je n’avais donc pas oubliée de contraceptif pourtant ? Comment ? Non mais comment ? Je m’inquiétais bien trop pourtant je ne devrais réellement pas. Des millions de choses qui me mettaient en colère malgré moi à cause de la peur. J’avais été équilibré mon comportement pendant la réunion. On s’entrainait un peu à bien fixer le cadran pour le tournage du lentement. Ensuite nous vivions un moment magiques quand le producteur nous faisait offrir des mojitos. Nous avions tous l’un des meilleurs de ma vie mais ma tête tournait bien assez vite alors que je ne tenais pas l’alcool. Nous faisions une petite enchère sur celui qui partirait en dernier alors que j’étais dans le droit de partir plus tôt pour aller au restaurant ou Aaron devait m’attendre (j’improvise). J’étais donc déjà prête. Je m’étais changée avant de partir pour la réunion. J’allais donc en direction du restaurant. Je marchais assez vite et je checkais mes messages sur mon portable. Je le remettais aussitôt dans mon sac, cherchant alors un dollar pour le serveur à l’entrée afin d’avoir une meilleure table mais je laissais mon fichu stylo tomber sur le sol. Je soupirais doucement tandis que je me penchais. Je laissais ma petite culotte en dentelle rouge se laisser voir aux yeux de tout le monde. Et heureusement que je n’avais pas de gaz. Imaginer l’aspect de ma robe si j’en avais. Elle allait encore se lever un peu plus pour montrer mes fesses. Non d’un fessier. Je soupirais doucement en me reculant d’un pas alors que j’étais un peu trop loin du stylo mais c’est à ce moment-là que je cognais un truc ou une personne… ce n’était pas dur en tout cas. Ou mon fessier est trop mou pour s’en rendre compte ? Non mais oh. Je me relevais en prenant le stylo et je me sentais un peu con. « Oups ! », disais-je alors que je me retournais pour regarder cette personne qui n’était qu’autres que mon rencard de la journée. Je sentais plusieurs choses monter en moi mais je devais me retenir. Oui, voilà. Je devais les garder pour moi. « Désolé… le diagnostic est assez facile pour les symptômes de la maladresse… Freud dirait simplement que je dois revoir la structure de mon enfance… », disais-je alors que j’avais souvent imaginée une vie différent mais bon. Je ne me rendais pas compte que si je n’avais pas de dessous, on aurait vu ma partie intime. Je passais alors la main sur mon arcade sourcilière en me pinçant les lèvres. Je me mettais alors sur la pointe des pieds en plongeant la main dans la poche avant de son jeans juste pour… voir. C’était une façon de me rassurer qu’il n’ait pas encore le numéro de téléphone d’une femme dans sa poche. Peut-être qu’il fait une collection ? On ne sait jamais. |
| | | Aaron B. Maccallister et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! Un petit plus MY LIFE TREE: Heroes don't wear capes they wear dog tag ♥
| mot doux de Aaron B. Maccallister ► un Jeu 29 Oct - 16:28 | | | aaron & olivia The oldest and strongest emotion of mankind is fear, and the oldest and strongest kind of fear is fear of the unknown Cette routine était une qu’Aaron n’aurait jamais pensé apprivoiser, et pourtant. La différence était mince et pourtant béante. Il s’agissait de petits détails qui trahissaient bien vite entre une vie de célibat et celle de jeune père. Des achats biens ciblés, des nuits un peu plus courtes et épuisantes, des détours particuliers et des bribes de conversation qu’Aaron n’aurait imaginé articuler. Voilà, c’était sa vie. Rien de bien traumatisant en fin de compte. Son fils était toujours en vie, il devait faire un travail correct dans son rôle. Evidemment, Olivia était là pour maintenir le bateau à flot, mais tout de même. Cela ne voulait pas pour autant dire qu’Aaron était à cent pour cent serein, mais le jeune homme avait appris à se détendre un peu plus sur le sujet. Chaque jour passé à la base militaire du coin sonnait malgré tout comme un terrible compte à rebours. C’est qu’on lui en faisait au passage, des petits remarques insinuant bien qu’un jour viendrait où sa présence sur le terrain serait requise. On lui avait fait comprendre qu’il avait gagné une certaine marge grâce à l’arrivée d’un bébé dans sa vie, mais l’armée américaine n’allait pas être éternellement clémente. Un jour allait venir où il allait laisser femme et enfant derrière lui et prier pour le mieux. Mais cela ne servait à rien de se rendre malade à ce sujet en attendant. S’il lui arrivait parfois de manquer l’adrénaline de l’action et la camaraderie viscérale et fraternelle des camps, Aaron se plaisait bien à entraîner les nouvelles recrues, pleine d’espoir et de bonne volonté comme lui à l’époque, et de rentrer tranquillement chez lui en fin de journée. Ce jour là, Aaron et Olivia avaient prévu un petit moment en tête à tête qui s’était fait désirer depuis la naissance de Liam. Lui qui était pour l’improvisation de moments plus intimes, se voyait l’herbe couper éternellement sous le pied de par la présence de leur petit garçon. Le tue l’amour ultime. C’est pourquoi il fallait désormais coordonner ces moments, et c’est chez les parents d’Aaron que le bambin allait passer la nuit. Sa mère lui avait glissé un regard ô combien compatissant quand il lui avait demandé cette faveur, et Aaron aurait franchement préféré vivre sans témoigner du sous-entendu ‘tu vas pouvoir enfin t’envoyer en l’air mon fils’ de sa mère. Non merci. Les deux compagnons s’étaient même fixé un petit restaurant en début de soirée, et après un détour par chez eux pour prendre une douche et se changer, c’est là-bas qu’Aaron se dirigea. Le jeune Maccallister n’aurai su dire qu’il allait arriver avant Olivia, mais il en eu bien vite la réponse. Non loin de voir sa compagne l’attendre gentiment devant le restaurant ou déjà assise à une table, c’est son postérieur qu’il aperçu en premier. Non, cette description ne fait décidemment pas justice à la scène : Olivia était penchée en avant, d’une manière particulièrement obscène et injustifiée pour la situation publique dans laquelle elle se trouvait, et la seule chose que l’on pouvait voir à la ronde était la dentelle rouge de ses sous-vêtements. Aaron n’était évidemment pas le seul à avoir remarqué la position de la jeune femme, mais par contre il estimait être le seul à avoir le droit de regarder ! Un homme à sa droite avait abandonné la fouille d’un dollar de son portefeuille pour se rincer l’œil à loisir et Aaron n’hésita pas à le bousculer de l’épaule au passage pour le faire sortir de sa transe. Aaron était en mission, rejoignant rapidement Olivia jusqu’à se placer juste derrière elle pour obstruer la vue. Une toute autre fois, la plaisanterie sur sa maladresse l’aurait amusé, mais pas aujourd’hui. Aaron était un homme jaloux, ce n’était pas un secret pour quiconque le connaissait, et il n’appréciait guère qu’Olivia se donne en spectacle de la sorte, volontairement ou non. « Et quel est l’avis de Freud sur l’exhibitionnisme ? » rétorqua-t-il en tirant légèrement sur le pan de sa robe, bien qu’une fois redressée, celle-ci couvrait suffisamment l’anatomie de la jeune femme. Le mot exhibitionnisme était un peu fort mais que voulez-vous, il était agacé. Dans le même temps, un serveur leur indiquait leur table, et Aaron glissa un bras autour de la taille d’Olivia avant de suivre le serveur, histoire de bien faire comprendre à quiconque se faisait des idées, que la maladresse d’Olivia n’était pas une danse de la séduction pour attirer du mâle : elle est déjà prise, merci beaucoup. |
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| mot doux de Invité ► un Dim 20 Déc - 23:07 | | | aaron & olivia The oldest and strongest emotion of mankind is fear, and the oldest and strongest kind of fear is fear of the unknown Je ne savais pas quelles émotions je ressentais. Je ne savais pas grand-chose à vrai dire. Je me sentais tellement de choses à la fois même si ce n’est pas un bon anglais mais bon. On ne peut pas me reprendre car ce sont mes pensées et crotte. Enfin bref, les fesses presque à l’air sous un tissus léger, je ne m’étais pas vraiment rendue compte de la situation enfin à moitié. Je parlais de Freud. Pourquoi ? Je n’en savais rien mais cela m’aidait de raconter ça, badinement comme si je parlais de la pluie et du beau temps alors qu’une part de moi était en colère. Il mettait les pans de ma robe correctement en parlant de l’exhibitionnisme et je penchais la tête en fronçant les sourcils. Je me pinçais les lèvres, me retenant de lui demander ce qu’il penserait de l’infidélité mais ça, c’était une autre chose. Pourtant j’avais la main dans sa poche pour me rassurer assez idiotement qu’il n’y en a pas des tonnes. J’étais folle d’être jalouse. Oui, je l’étais. Pourquoi ? Ce n’était qu’un numéro après tout. Moi aussi j’ai des numéros parfois mais je ne les garde juste pas dans ma poche. Je les jette dans une poubelle et basta mais bon. BASTA. Non pas basta pour lui apparemment. Je ne disais rien pourtant, je le laissais entourer mon épaule et m’accompagner vers l’entrée. Un serveur nous accostait aussitôt. « Bonsoir, a quel nom est votre réservation ? », demandait-il avec ce ton presque snobe. Je le regardais et je regardais alors Aaron avant de le regarder aussitôt. « Bradford, je pense ou MacCallister ! », disais-je alors qu’effectivement, j’avais carrément oubliée à quel nom je l’avais passé. Cette réservation était presque passée depuis 2 mois ce qui était assez long pour ma mémoire. J’inspirais doucement, silencieuse. Je plongeais la main dans mon sac pour y mettre le stylo que je tenais encore. Le serveur nous invitait d’un geste galant de la main… à le suivre. Je fis donc cela en traçant le pas avec Aaron collé à moi comme un garde du corps. Je relevais le regard vers lui en fronçant les sourcils. « Tu as peur que je m’envole ? », lui demandais-je alors amusée mais… crispée à la fois. Je ne savais pas vraiment comme expliquer ce que je ressentais. Non toujours pas et cela n’allait pas venir par magie. Le serveur nous installait à une table calme, un peu dans l’ombre mais surtout romantique. Il poussait ma chaise. « Je vous en prie ! », disait-il en me proposant de m’assoir avec élégance, je fis donc cela en lâchant monsieur possessif. Je prenais la serviette pour l’installer sur mes genoux. Un réflexe que j’avais toujours dans les grands restaurants et j’attendais qu’Aaron soit installé pour prendre la carte des vins. Relevant mon minois quelques instants vers le sien. Je fronçais les sourcils. « Tu as passé une bonne journée ? », demandais-je simplement en tentant de ne pas me montrer trop froide, trop… je ne sais quoi. |
| | | Aaron B. Maccallister et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! Un petit plus MY LIFE TREE: Heroes don't wear capes they wear dog tag ♥
| mot doux de Aaron B. Maccallister ► un Sam 2 Jan - 18:11 | | | aaron & olivia The oldest and strongest emotion of mankind is fear, and the oldest and strongest kind of fear is fear of the unknown Commencer leur petit en rendez-vous en tête à tête sur cette note n’était franchement pas idéal, alors Aaron se força mentalement à calmer son agacement et à respirer un bon coup. S’envoyer des piques pendant tout un repas n’allait servir à rien et rentrer chez eux dans une humeur de chien pour s’occuper d’un bambin c’était franchement suicidaire ! Alors non. Calmons le jeu. Mais pas tant que ça, puisqu’Aaron gardait un bras autour des épaules de sa compagne, faisant tout un cinéma pour établir que oui, ils étaient en couple, pour ceux qui se poseraient la question ! Olivia et lui arrivèrent devant un serveur qui leur demanda le nom de la réservation. Non qu’Olivia semblait avoir oublié. Se retenant de lever les yeux au ciel, il écouta la jeune femme délivrer les deux noms potentiels. C’était l’un ou l’autre de toute manière, le serveur n’avait pas intérêt à être lourd ! Mais la chose passa comme une lettre à la poste et ils furent rapidement prier de suivre le serveur jusqu’à leurs tables. Ils avaient à peine quelques pas lorsqu’Olivia lui fit une remarque sur l’attitude possessive qu’il démontrait. Aaron ne savait pas comment interpréter son ton. Il y avait une touche de taquinerie là-dedans, mais le fond de sa pensée semblait bien plus froid. Aaron se força à retirer son bras de son épaule. « Quoi, je ne peux pas te toucher ? » rétorqua-t-il dans un ton tout aussi vague, se mordant la langue quelques secondes plus tard en réalisant que ça n’était pas l’attitude à adopter. Ça allait vite péter s’ils continuaient à se chercher mutuellement. Ils arrivèrent enfin à leur table et Aaron pris place, observant d’un regard plat le serveur qu’il faisait son galant en aidant Olivia à s’asseoir. Ok, il ne faisait que son métier, mais Aaron n’était franchement pas d’humeur. Il ne pouvait pas juste s’en aller directement, que lui et Olivia puisse tenter d’avoir une conversation posée et normale pour remettre ce dîner sur la bonne voie !! Enfin, après ce qui semblait être mille courbettes et politesse surjouée, l’employé s’en alla et ils se retrouvèrent à deux. Aaron s’empara du menu sur la table, histoire de donner une occupation à ses mains. Il laissa son regard glisser un instant sur les plats, n’enregistrant absolument rien, avant de relever les yeux sur Olivia lorsque celle-ci s’exprima. Ok. C’était une question simple, basique, sûre. Le ton n’était pas encore super, mais Aaron savait qu’il n’aurait pu espérer mieux étant donné les circonstances. « Ça a été, la routine » répondit-il, tandis que son cerveau lui hurlait qu’une conversation avec sa compagne ne devrait pas être aussi maladroite et gênante. « Et toi ? Il s’est passé quelque chose de particulier ? », et franchement, il n’essayait même plus d’être subtil. Car Olivia ne pouvait décemment pas être de mauvaise humeur uniquement car il s’était montré un peu trop possessif. Quelque chose d’autre avait dû se passer aujourd’hui pour qu’elle soit aussi distante. Avait-il oublié une date importante ? Oublié de faire la vaisselle ou une connerie du genre ? Aaron préférait qu’ils crèvent l’abcès tout de suite, plutôt qu’ils se forcent à être civils envers l’un l’autre pendant tout le repas. Les disputes ça arrive. On boude et hop, une journée plus tard tout rentre dans l’ordre. Ça n’était pas la première fois que ça leur arrivait et ça n’allait certainement pas être la dernière. |
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| mot doux de Invité ► un Ven 8 Jan - 22:33 | | | aaron & olivia The oldest and strongest emotion of mankind is fear, and the oldest and strongest kind of fear is fear of the unknown Que pouvait-il faire ? Que ne pouvait-il pas faire ? Je me sentais éprise de doutes pour moi-même. Des doutes confinés dans mon esprit qui ne voulaient pas vraiment m’échapper. Plusieurs doutes grandement installés qui me disait de réagir, de sourire. Je ne savais pas vraiment quoi faire tandis que je contemplais cet homme qui était le mien mais qui me semblait s’être échappé pour un numéro. Que pensais-je ? Non, ce n’était pas possible. Je lui demandais comment c’était passé sa journée alors que nous étions à table. Une question qui me semblait tellement naturelle mais tandis qu’il me répondait que c’était juste la routine… je ne pouvais pas m’empêcher de me demander si dans sa routine… cela impliquait des numéros d’autres femmes aux détours des rues. Je me sentais tellement stupide de penser ça. Je me sentais tellement dingue surtout mais pourquoi pas après tout ? J’avais le droit de me poser des questions et je n’étais pas impulsive pour rien. Cela me rongeait de me retenir. Vraiment. Je le regardais me demander comment c’était passé ma journée. Je le regardais qui tentait même de me sonder. Il n’était pas subtil. Non. Il voulait savoir ce qui clochait et ça, je le sentais mais je ne savais même pas si j’étais capable de dire un mot sans exploser donc je préférais me pincer les lèvres et rester silencieuse. Non pas pour l’ignorer mais pour ne pas me donner en spectacle. Je reposais mon regard sur la carte en me demandant ce que j’allais bien pouvoir commander. Une spécialité de la maison avec une sauce au pesto ou serais-je plus folle ? Pourtant cela ne semblait pas être assez intéressant pour mon esprit qui se focalisait encore sur ce qui n’allait pas. Je relevais le regard vers lui, une fois. Un soupire en accompagnement. Autant qu’on parle d’un menu même si ce n’est pas celui dont vous voudriez que je parle. Non, je n’aime pas du tout dire ça ce soir. Pas du tout. J’inspirais cette fois, reposant à nouveau le regard sur la carte et à nouveau sur lui avec un nouveau soupire. Ça devait tellement être agaçant. Enfin je crois. Je reposais mon regard sur la carte à nouveau, tapant doucement de la pointe du pied contre le barreau de la table par nervosité. Je serrais la main sur la carte, la cramponnant au point où elle faisait un petit bruit sur le cuir peut-être faux de la couverture. Des mots, je retenais des simples mots. J’haussais les épaules. « Mouais… c’est peut-être ma routine en fait… t’as une bonne récolte de numéros de femme dans ta routine ? Combien par jour ? », demandais-je de but en blanc, relevant mon regard un peu noir du haut de la carte avant de la poser sur la table. Je la refermais alors en mettant mes coudes sur celle-ci, joignant mes mains avant d’y poser le menton. Je le regardais avec insistance. « Ou devrais-je paraitre cinglée en fouillant toutes les poches dans la lessive ? Peut-être celle de notre fils aussi… je suis sûre que la planque est meilleure ! », disais-je alors que j’étais gentille pour le moment. Sarcastiquement gentille et je me sentais même un peu ridicule mais comme on dit : le ridicule ne tue jamais. Enfin je crois. Je lui souriais, ce sourire forcé tandis que le serveur arrivait avec une bouteille de vin. « Notre meilleur cru pour vous ! », disais-je alors en nous souriant. « Je suis un grand fan ! », disait-il alors que je fronçais les sourcils. « Vous pouvez lui laisser votre numéro mais je ne suis pas sûre que vous soyez son type… quoique maintenant avec son cousin… je ne peux rien jurer ! Essayez quand même ! », disais-je alors, mauvaise ? Moi, non. Le serveur semblait quand même un peu perdu. Il ne disait rien et se contentait d’ouvrir la bouteille de vin et verser un peu de boisson dans les verres sauf que je n’avais pas vraiment remarquée que cela pourrait être de moi qu’il serait fan. « Je disais ça car je regarde toutes vos émissions, vous êtes magnifiques ! », disait-il simplement avant de regarder Aaron. « Vous aussi mais vous n’êtes pas mon genre non plus ! », je grimaçais doucement, me sentant un peu idiote. Bon d’accord, beaucoup mais je me sentais toujours en colère aussi. Cela n’allait pas s’arranger. Je lui en voulais du fait que je me sente idiote, maintenant c’est bon, je suis bonne à enfermer donc on va arrêter d’en rajouter ? Peut-être pas, je levais les yeux en regardant le serveur. « Je peux avoir votre numéro ? », demandais-je alors pour chercher la petite bête. C’était juste pour le chercher car je n’en voulais pas du tout mais je voulais juste lui rendre l’appareil comme ça on serait quitte ? Oui enfin je voulais juste l’énerver à mon tour.
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| | | Aaron B. Maccallister et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! Un petit plus MY LIFE TREE: Heroes don't wear capes they wear dog tag ♥
| mot doux de Aaron B. Maccallister ► un Sam 30 Jan - 15:27 | | | aaron & olivia The oldest and strongest emotion of mankind is fear, and the oldest and strongest kind of fear is fear of the unknown Olivia comment à s’adonner à un concerto de gestes nerveux qui commençait sérieusement à lui taper sur le système. Le souffle de ses soupirs, le battement de son pied contre la table, Aaron se sentait fulminer derrière son menu. Pourquoi ne lâchait-elle pas juste le morceau au lieu de faire durer le supplice et de les énerver mutuellement. Aaron lui avait tendu une perche pour qu’elle se livre à lui et il attendait douloureusement qu’elle le fasse. Ils seraient incapables d’apprécier ce repas s’ils ne passaient pas d’abord par cette étape. Aaron ignorait réellement ce qu’elle pouvait bien avoir à lui rapprocher. Il essayait de fouiller sa mémoire pour une bêtise ou un oubli qu’il aurait pu commettre, mais rien dans les derniers jours ne faisait tilt. Cela ne pouvait pas avoir à faire à Liam, sinon elle ne se serait pas gênée pour le dire, maman lionne comme elle était. Mais quoi alors, bordel. Aaron posa le menu sèchement contre la table, optant pour fixer Olivia jusqu’à ce qu’elle se décide enfin à lâcher le mot. Ce qu’elle ne tarda pas à faire, imitant son geste et abandonnant toute prétention de lecture, rencontrant son regard brutalement. Et Aaron ne s’était franchement pas attendu à ça. Il eut l’étrange réflexe de vouloir rire, et ses lèvres se contractèrent un instant pour se retenir. Alors c’était ça ? Aaron était partagé entre le soulagement et l’agacement. Soulagé car il ne s’agissait que d’un vulgaire bout de papier qu’il n’avait jamais mis à profit. Agacé car il n’aimait pas où cette conversation pouvait potentiellement aller. Car s’il n’avait pas commis d’acte impardonnable depuis qu’il était revenu à Pasadena (et ça faisait un peu plus d’un an quand même, alors hein !), il ne pouvait pas en dire autant pour le passé un peu plus lointain. Mais s’il ne se vendait pas lui-même, Olivia n’avait aucun moyen de déduire de son infidélité passée à cause d’un simple numéro de téléphone. « Ça t’arrive souvent de fouiller dans mes poches ? » claqua-t-il en réponse, et franchement, Aaron n’avait jamais eu de tact, trop perdu dans son orgueil pour faire la chose correcte et ramper à ses pieds pour la convaincre qu’il n’avait rien fait de mal. S’il ne s’inquiétait pas trop pour l’instant, il n’apprécia pas du tout la remarque qui suivie. Liam n’avait rien à faire dans une telle conservation. « Arrête de dire n’importe quoi, tu es complétement parano » pesta-t-il, même s’il savait qu’elle usait de sarcasme et ne devait pas penser un instant qu’il était capable d’une telle chose. Du moins il l’espérait. « C’est qu’un numéro, ça ne signifie rien » commença-t-il à se justifier, histoire de mettre fin à cette dispute absurde, mais dû se stopper net à l’arrivée du serveur. Aaron n’était pas du tout fan de laver son linge sale en public. Aaron avait envie de lui faire gober sa bouteille de fin, et son ton gaga devant Olivia achevait de l’agacer au plus haut point. Comment pouvait-il ne pas remarquer la tension entre Olivia et lui, et faire la chose décente et foutre le camp ? Ce genre de situation est gênante, aucune personne normalement constituée ne s’attarderait à leur table, mais c’était sans compter sur ce stupide serveur ! Aaron le fixait lourdement du regard, presque ahuri par son attitude et son culot. C’était bien entendue la situation idéale pour qu’Olivia enfonce le couteau dans la plaie, l’embarrassant par la même occasion. « Olivia... » injecta-t-il, cherchant à la dissuader de continuer dans cette voie. Bien sûr, elle ne l’écouta pas et c’est maintenant Aiden qu’elle trainait dans cette conversation. Wow, elle aurait écrit slut sur son front que ça n’aurait pas été plus clair. « C’est ce que tu penses vraiment ? [/color]» claqua-t-il, au diable la présence du serveur, se sentant dangereusement monter en pression. Et l’autre qui leur servait du vin comme si de rien était. Aaron aurait pu le frapper. Il eu le culot de répondre à Olivia, la complimentant, et s’adressant même à lui comme s’il avait son mot à dire. Aaron était livide. « Dégage » dit-il d’un ton sec en pointant un doigt vers les cuisines. Mais Olivia n’en avait pas fini avec le serveur, oh que non. Aaron pivota la tête brutalement vers Olivia lorsqu’elle demanda au serveur son numéro. Ok, ça suffit. Ça devient du grand n’importe quoi. « Olivia, arrête tout de suite tes conneries, ça ne m’amuse plus ! » gronda-t-il. « C’était qu’un stupide numéro que j’ai oublié de jeter, pas besoin de nous donner en spectacle pour ça ! ». Aaron n’avait honnêtement rien prévu de faire avec ce numéro. Oui il l’avait glissé dans sa poche. Oui il aimait toujours savoir qu’il pouvait plaire. Etait-ce un crime ? Non. Non car Aaron s’était promis de ne plus jamais tromper Olivia, et pour le moment il avait tenu sa promesse. Mais Aaron n’était pas quelqu’un de très fin dans ce genre de situation, et le pousser à bout n’était jamais une bonne idée. Il était impulsif et jaloux, une combinaison mortelle qui pouvait lui faire dire et faire faire des choses qu’il pourrait regretter. Et on lui demandait pourquoi il ne se mariait pas ! |
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| mot doux de Invité ► un Dim 14 Fév - 20:30 | | | aaron & olivia The oldest and strongest emotion of mankind is fear, and the oldest and strongest kind of fear is fear of the unknown Est-ce que cela m’arrivait de fouiller dans les poches ? Non mais ces mots me mettaient un peu hors de moi pour une raison qui… vas savoir me semblait superficielle dans un sens mais qu’importe. Depuis quand ne pouvais-je plus juste faire la lessive ? Roh et puis merde. Je soupirais doucement en le regardant. Cela ne signifiait rien ? J’haussais les épaules. J’étais aveuglée. Je ne savais pas si je devais le croire ou pas mais c’était mon fichu caractère qui prenait le dessus. Sang chaud. Oui, merci papa pour m’avoir offert ça. Ce caractère qui a fini par blesser la famille que l’on avait. Maintenant j’étais aussi impulsive ? Allais-je finir comme lui ? Oh non, je ne voulais même pas y penser. Je laissais mes mots échapper. Je laissais même le serveur entraver dans la discussion. Le pensais-je vraiment ? Dans un sens, non. J’étais juste effrayée de voir mon avenir devenir le passé de maman ou simplement de voir mon fils grandir dans un chaos. J’étais effrayée de n’être qu’un couple qui rejoindra les statistiques des infidèles. Un couple parmi tant d’autres et j’étais même incapable de savoir si je pourrais lui pardonner ça. J’en étais incapable. Là, j’avais juste peur soudainement que tout soit réel. J’avais peur de tellement de choses mais de peu de choses à la fois. J’étais pétrifié. Je serrais les dents sans lui répondre. J’allais peut-être trop loin en demandant le numéro du serveur ? Peut-être. Je n’en savais rien. Je regardais Aaron dire au serveur de dégager. Il ne semblait pas content. Non. Il me grondait comme si j’étais un enfant. Je devais arrêter ? J’écarquillais les yeux en tournant mon regard vers lui. Je fronçais les sourcils et je l’écoutais. Je fronçais les sourcils. Je me redressais en posant les mains à plat sur la table. Ma paume sentait la froideur du couteau. Je plongeais mon regard dans le sien. « Ah oui et comment tu sentirais-tu si ça avait été moi qui avait gardé un numéro d’un type qui m’a dragué ? », demandais-je avec sincérité à cet homme qui me disait de ne pas me donner en spectacle. J’étais persuadée dans un sens que si c’était lui, ça aurait pu ne pas être plus joli. J’haussais les épaules en le regardant. « C’est peut-être pas prêt d’arriver car je les refuse sans même les prendre ! », ajoutais-je simplement d’un ton qui laissait présager une sorte de tristesse mais dans le fond… je pouvais le comprendre enfin je voulais essayer de lui donner un peu raison pour mettre de l’eau dans mon verre enfin… Je voulais équilibrer mais ça me semblait tellement difficile. Je baissais le regard, regardant donc la table et je me redressais avant de me rassoir. « Je me donne peut-être en spectacle mais oui, je suis jalouse et ça m’obsède… et je crois que je ne suis simplement pas à l’aise avec l’idée d’être la seule à pouvoir montrer que tu m’appartiens… », je riais nerveusement. « Peut-être pas avec ses mots mais… », je soupirais doucement. Je savais ce que je voulais dire. Je savais que ce n’était pas une question d’object et d’appartenir à une personne mais j’étais tellement… dans tous mes états que je ne savais pas vraiment quoi dire à part ça. Oui et pourtant qu’est-ce que je disais ? Pas grand-chose. « On reste là où on rentre ? », disais-je en buvant une gorgée de mon verre de vin. Je me sentais assez regardée… comme si tout le monde avait les yeux tournés sur moi. J’ignorais si c’était le cas. Je l’ignorais réellement et encore heureux que je n’avais pas été plus explicite. J’aurais pu balancer mon verre à son visage mais je m’étais calmée. Pourquoi ? Dans un sens, j’étais encore un peu… dans le doute. Je ne serais pas expliquer pourquoi pourtant. Je n’en savais rien. Je me calmais mais je n’étais pas totalement calmée pour autant. Je me sentais comme une pile électrique d’un jouet qui attendait qu’on le remettre juste sur ses pattes avant de recommencer à chanter. Je soupirais doucement. « Et désolée d’avoir attiré l’attention sur nous, j’ai peut-être été loin mais j’ai le droit de t’aimer quand même et de péter les plombs à l’idée… de te voir avec une autre… », je soupirais doucement, oui, je m’excusais. Je n’avais peut-être pas à le faire ? Je n’en savais rien. J’en ressentais le besoin même si je me sentais comme une folle en ce moment-même. |
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| mot doux de Aaron B. Maccallister ► un Ven 18 Mar - 21:27 | | | aaron & olivia The oldest and strongest emotion of mankind is fear, and the oldest and strongest kind of fear is fear of the unknown Ce n’était ni le moment ni l’endroit. Aaron ne cessait de se le répéter depuis qu’ils s’étaient assis, mais la chose était hors de portée à présent. Inutile de faire marche arrière, le ton de leur voix s’était élevé bien trop loin et déjà la plupart des regards étaient rivés vers eux. Ceux plus pudiques, se tenaient bien droits dans leurs chaises, forçant une conversation pour se retenir d’écouter celle moins discrète des autres. Aaron avait été formé à garder la tête froide, un sang-froid impeccable censé cadrer ses objectifs et ses hommes. Aaron était un bon soldat. Donnez-lui une mission et il ne laisserait aucun élément extérieur l’empêcher de la réaliser. Mais dans la vie de tous les jours, Aaron n’avait pas cette même maîtrise. Prendre de la hauteur et calmer le jeu n’était pas son fort dans ce genre de situation ou tous ses instincts primaires semblaient prendre le dessus. Telle une bête sauvage défendant son territoire, il ne pouvait pas laisser couler l’intervention du serveur, et encore moins la supposition que venait de lui faire Olivia. Si les rôles étaient inversés ? Oh. Oh Aaron se serait bien gardé d’attendre ne serait-ce qu’une minute avant de confronter la jeune femme. Sa réaction aurait sans doute été bien plus disproportionnée que celle d’Olivia et ça ils le savaient bien tous les deux. Aaron ne répondit pas, conscient de n’avoir rien d’intelligent à dire, et lui renvoya un regard peu impressionné. Aaron savait Olivia trop respectable pour le tromper impunément et s’il aurait dû se réjouir de l’entendre lui confirmer qu’elle rejetait systématiquement les numéros qu’on lui glissait, cela l’agaçait tout de même de savoir que d’autres hommes l’accostaient pour cette raison. Brutalement, l’image d’une bague autour de son annulaire lui traversa l’esprit, preuve irréfutable et tangible qu’elle n’était pas sur le marché. Aaron savait qu’un statut de femme mariée ne suffisait pas toujours à calmer les ardeurs de certains, mais c’était quelque chose. Aaron balayer cette pensée futile tout aussi rapidement. Il n’était pas un modèle de romance, mais même lui savait que demander à Olivia de l’épouser juste pour pouvoir assouvir sa jalousie maladive était franchement limite. Non pas qu’il n’avait pas d’autres raisons pour le faire. Il l’aimait, malgré sa manière très absurde de le montrer. Le mariage n’était juste pas une étape qu’il se sentait prêt à passer. Et vu les problèmes récents qu’ils avaient, c’était tout aussi mieux de ne pas se précipiter là-dedans. Aaron leva un regard presque surpris lorsqu’Olivia verbalisa sa propre tendance possessive. Surpris n’était pas exactement le bon terme. Il la savait jalouse, d’un caractère sanguin et passionné, mais c’était toujours agréable à entendre d’une certaine manière. Olivia avait néanmoins fait le premier pas. Elle avait choisi d’adopter un ton plus calme, de s’expliquer plus rationnellement, et Aaron se pencha un peu plus en avant sur sa chaise, plantant son regard dans le sien. « Je comprends ce que tu veux dire » dit-il, parce qu’il ressentait le même besoin, décuplé. Aaron avait plus de mal qu’Olivia à faire retomber la pression immédiatement. Il sentait encore les prémices d’une lourde colère sous sa peau, prête à jaillir à la moindre provocation. Ou une autre parole du serveur plus probablement. « Et tu n’as rien à prouver, ok ? Je suis avec toi, personne d’autre ». Ce n’était même pas un mensonge. Ça l’avait été dans le passé, mais en cet instant précis il n’aurait pu être plus sincère. Olivia lui proposa de rentre et Aaron hésitait. C’était gênant de rester en sachant qu’ils s’étaient donnés en spectacle, mais une part de lui était également déçu d’abandonner l’idée de cette sortie en tête à tête qu’ils avaient attendus depuis longtemps. « On peut aller autre part si tu veux ? » proposa-t-il, même s’ils avaient peut-être tous deux perdu l’envie d’un dîner à l’extérieur. Peut-être rentrer chez eux au calme était une meilleure solution ? Aaron voulait tout de même laisser une option à Olivia. Aaron s’étonna de voir Olivia s’excuser pour son attitude. Il tendit le bras pour recouvrir sa main de la sienne sur la table. « [color=goldenrod]C’est pas grave…mais si la prochaine fois tu me demandais des explications plutôt que de m’accuser d’infidélité en public, ce serait mieux » dit-il dans une tentative idiote d’alléger l’atmosphère. Il ne réalisa qu’à près de la maladresse d’avoir sous-entendu le fait qu’il y aurait une prochaine fois.
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| mot doux de Invité ► un Sam 26 Mar - 23:15 | | | aaron & olivia The oldest and strongest emotion of mankind is fear, and the oldest and strongest kind of fear is fear of the unknown Les mauvaises décisions, les mauvais choix. Ce moment où on fait la chose à ne pas faire. Parfois c’est grave et d’autres fois futile comme ne pas choisir le bon chemin en allant au boulot et se retrouver dans les embouteillages. Mauvais choix futiles. Quel était cependant la situation si l’on choisit stupidement de se faire passer pour des lions dans le chapiteau d’un cirque. Au centre. Prêt à être regardé par tout le monde pendant qu’ils font le spectacle. Voilà ça, voilà tout. Il me comprenait, bien mais non, il ne devait pas totalement me comprendre ? Je n’en savais rien. Il me comprenait, c’était déjà ça. Je n’avais cependant pas le courage d’en savoir plus. Demander pourquoi il me comprenait et chercher plus de détails. Après tout, pourquoi ? Je n’en savais rien. Je n’avais rien à prouver, c’était un fait. Je soupirais doucement alors qu’il disait être avoir moi. Parfois c’était étrange mais j’en doutais. Sûrement par ce que j’avais cette psychose simplement. Je ne voulais cependant plus rester là comme un fauve ou un singe. Comme vous voulez. Je ne voulais plus être ce pantin simplement prêt à être mangé par les serveurs ou les clients. Je ne voulais pas non plus être cette femme qui allait encore lire sur twitter qu’une journaliste de la télévision et la radio pétait des plombs dans des restaurants. C’est bien ma veine. Il me disait qu’on pouvait aller autre part, j’haussais les épaules en me levant. « Qu’importe… je n’aime pas ces regards ! », disais-je d’un ton neutre et pourtant parfois le calme semblait s’être échappée. Il faisait tictac pour revenir. J’avais beau avoir tentée de me calmer au possible, le sang bouillonnait encore un peu dans mes veines. Je voulais me lever, m’enfuir, je sentais encore le regard de cette vieille bique derrière lui. Je ne la regardais pas, je le sentais, c’était tout. Je n’avais même pas besoin de tourner mon regard vers elle. A quoi bon, c’était presque écrit comme en lettre néon. Il couvrait ma main avec la sienne. Je le regardais me dire que ce n’était rien. Peut-être ou peut-être pas. Je n’en savais rien. Étais-ce grave de ma part d’avoir pétée un plomb ou plus profond que ça ? Aucunes idées. Pourtant cela ne m’échappait pas ce « prochaine fois ». Non, cela ne m’échappait pas du tout. Je riais nerveusement. « Tu veux dire quoi par prochaine fois ? », lui demandais-je toujours calme mais les doigts de ma main libre tapotait frénétiquement contre la nappe de la table. J’inspirais doucement. « T’as encore combien de numéro dans tes poches ? Je dis ça, je ne dis rien mais s’il doit y avoir une prochaine fois, autant que je sache si ça sera tous les jours pour éviter les restaurants ! », disais-je avant de laisser un rire nerveux m’échapper. Nerveuse ? Je voulais laisser mes mots sortir comme une plaisanterie pourtant au fond de moi ? Cela n’était pas réellement une plaisanterie. Enfin à moitié. J’inspirais doucement en détournant mon regard de lui, l’y reposant aussitôt avant d’inspirer à nouveau. « Je crois que ça n’est pas encore calmé… enfin pas assez… on devrait y aller avant que ça ne recommence, non ? », demandais-je en le regardant avec attention. Je voulais savoir, savoir s’il pensait qu’il fallait y aller maintenant et s’il y avait des raisons pour qu’on y aille ou si on pouvait rester sans risquer de redevenir des bêtes de foire. Étais-ce un test ? Peut-être, je n’en savais rien. Tester sa température ou la réponse qu’il pourrait donné que je ne voudrais peut-être pas entendre ? Je n’en savais rien, je ne réfléchissais pas réellement en disant ça. Pourtant je n’attendais pas de réponses de sa part que je me levais en lâchant sa main. J’allais simplement vers la sortie. Je crois que j’avais bien trop peur de recommencer. La pression n’était pas facile à évacuer avec le regard qu’il posait sur moi. Il ne fallait pas non plus être idiot pour savoir qu’on peut rapidement démarrer. Devenir dingue, s’engueuler. Trop rapidement, là en était la preuve. Peut-être est-ce que je suis insortable. Peut-être. Tout semblait plus calme depuis la naissance du bébé. Enfin presque. J’ouvrais la porte du restaurant, sortant comme une voleuse. Tout ce que je me disais c’était que les regards étaient partis. Je glissais mes mains gelées dans les poches de ma veste tandis que je me posais contre un des murs du restaurant, entre deux vitres donnant sur la rue. Je soupirais doucement. Je me sentais tellement ridicule d’être sortie. Tellement ridicule mais j’en avais besoin. J’en avais réellement besoin. Je secouais doucement la tête, soupirant aussitôt. J’étais épuisée, c’était fatiguant d’être possessive, jalouse mais surtout d’être une femme qui bosse trop avec un enfant. Ce n’est pas facile. Non. |
| | | Aaron B. Maccallister et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! Un petit plus MY LIFE TREE: Heroes don't wear capes they wear dog tag ♥
| mot doux de Aaron B. Maccallister ► un Sam 2 Avr - 16:26 | | | aaron & olivia The oldest and strongest emotion of mankind is fear, and the oldest and strongest kind of fear is fear of the unknown Aaron s'empêcha de soupire de soulagement lorsqu'Olivia accepta de quitter le restaurant. Il serait bien évidemment resté si cela avait été son souhait, loin de lui l'envie de la brusquer davantage, mais il aurait passé son temps à compter les minutes jusqu'à ce qu'ils s'en aillent. Même s'ils s'étaient calmés, Olivia et lui étaient repérés et le regard des clients ne pouvaient s'empêcher de revenir périodiquement sur eux, attendant presque à ce qu'ils se remettent à hurler de tous les côtés et ne voulant pas en perdre une miette. Aaron n'allait pas leur donner cette satisfaction. Mais ce qui réjouissait Aaron le plus avec ce détournement de situation, c'était de savoir qu'il n'allait pas avoir à supporter le serveur plus longtemps. Aaron n'était pas sûr de pouvoir se retenir de lui en mettre une jusqu'au dessert. Aaron réalisa en même temps qu'Olivia son erreur lorsqu'il laissa sous-entendre qu'il y aurait une prochaine fois. Il n'aurait pu choisir une meilleur formulation. Aaron devrait vraiment apprendre à la fermer au moment opportun. « Mais rien, c'était une façon de parler » s'empressa-t-il de dire, irrité. Ils n'allaient pas remettre ça! Et ça n'avait été qu'une façon de parler en plus! Il ne voulait rien dire par là! Mais évidemment qu'Olivia ne manquait pas l'occasion de s'accrocher à ces mots. C'était trop gros pour laisser passer. Olivia prenait ça d'une façon étrange, entre humour plat et furie contrôlée. Pas une bonne combinaison. « Il n'y a pas d'autres numéros, arrête de voir le mal partout » la supplia-t-il. Ne pouvaient-ils pas tirer un trait sur tout ça? Rentrer à la maison et se calmer une bonne fois pour toute? Olivia sembla le rejoindre la dessus. Du moins sur le fait qu'ils seraient plus confortable à s'engueuler dans l'intimité de leur domicile s'ils venaient à rechuter. « Oui c'est une bonne idée, allons-y » confirma-t-il, peut-être trop rapidement, avide d'échapper à cette conversation et de ce qu'elle pouvait révéler. Il se leva à son tour pour la suivre. Elle lâcha sa main brusquement et il ne pouvait même pas lui en tenir rigueur. Elle le précéda vers la sortie. Aaron lui, pris le temps de rassurer le maître d'accueil qu'ils n'avaient rien à reprocher au restaurant en tant que tel. Quoique. Aaron posa un regard noir sur le serveur lorsqu'il le croisa en chemin. Il aurait aimé le bousculer et lui faire tomber les assiettes qu'il avait dans les mains, mais il n'avait pas besoin de se faire remarquer une fois de plus. Eh, un jour il le croiserait peut être dans la rue. Lorsqu'il sorti du restaurant, il chercha Olivia du regard un instant. Elle était adossée contre une vitre, l'air fermée et misérable. Il avait causé ça. Aaron soupira un instant, s'approchant d'elle. « Et si on rentrait à la maison, au calme, et qu'on oubliait tout ça? » proposa-t-il, souhaitant passer à autre chose le plus vite possible. Ils n'avaient jamais été un couple qui restait digne sous la dispute. Leurs désagréments étaient toujours mesquins, et comme le montrait l'épisode dans le restaurant, ça n'était jamais bien beau. Ils avaient tous les deux exagéraient aujourd'hui et il était peut être mis de glisser tout ça sur le tapis et de reprendre leur vie normale. |
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