Invitéet oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais !
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mot doux de Invité ► un Lun 1 Déc - 7:23
lulla & dylan
M'man en fait je viens pas du laitier, ni de tonton Aaron
« M’man j’y vais ! », avais-je hurlé en enfilant mon hoddy qui se trouvait sur le lit de pépé. Je sortais de la pièce en mettant la capuche sur ma tête. J’entrais en collision avec Riley qui me regardait avec un air d’étonnement. Je poussais un soupire passant ma main dans cette chevelure sombre lui mettant bien plus la tête en épi qu’autre chose. Il rouspétait, mais trop tard, je me rapprochais déjà de la porte de sortie. J’ouvrais celle-ci, contrairement à d’habitude il faisait un peu plus chaud en cette période. Pourtant, je me couvrais tout de même d’une veste sachant que la nuit la température pouvait changer radicalement. Regardant mon portable, une loque, un dinosaure de l’électronique, mais pa’ m’en avait promit un de nouvelle génération pour Noël, mais je devais attendre le 25 pour l’avoir en ma possession. Walter venait tout juste de m’envoyer un sms, j’avais à peine levé le regard de ce petit écran que je voyais sa voiture se parcker sur le rebord du trottoir. Je montais au devant, laissant échapper une musique infernal en ouvrant la portière. « Hey ! », disais-je pour simple formulation de salutation. « Joe, m’a dit que Rosie était là, c’soir. » Je lui jetais un regard, retirant ma capuche. « Et ? », répliquais-je grognon. À 17 ans, on n’a pas forcément envie de dire qu’on est amoureux d’une fille. Même si c’était ma copine, je n’en parlais jamais sérieusement devant mes amis. Je restais distant, me montrant indifférent. Je commençais à m’intéresser aux filles depuis un moment, mais je me montrais tout de même froid en présence des boys. Ce qui ne lui plaisait pas particulièrement et elle me l’avait fait sous entendre il y a deux jours. Je n’avais pas cherché à lui parler, pourquoi faire ? Les femmes sont de véritables furies lorsqu’elles ne sont pas d’humeur, suffit de voir ma mère ou ma sœur Nora. J’ai appris à éviter la confrontation, voilà tout. Remontant mes pieds sur la boîte à gang, je regardais les phares de la voiture qui reflétaient sur la chausser. « Bien, c’tout... » J’étais plus avancé... Non pas du tout ! Je regardais les maisons décorées de lumière. Tout le monde semblait fêter en famille, mais je considérais que j’en avais passé l’âge depuis longtemps. On arrivait devant une demeure où la musique résonnait jusque dans la rue. Dehors des gens de mon âge buvaient comme des trous. J’entrais à la suite de Walter, allant instantanément me chercher un verre de bière. Je saluais quelques potes, puis mon regard se posait sur elle, Rosie. Elle discutait avec des amies, mais je n’avais pas le courage d’aller lui parler. Joe me tentait un shooter de jell-o, avec tout la grâce qu’il m’était donné d’avoir, je tentais de faire couler ce jell-o alcoolisé dans ma gorge. J’en étais à mon dizaine quand je commençais à ressentir un certain feeling. Ça ne paraît pas ainsi, mais ça tape à un moment donné. En plus, j’avais bu trois bières et on avait fait un concours de shooter à la vodka. En fait, j’avais plus toute ma tête. Walter, toujours prêt de moi, me faisait signe pour que je le suive jusqu’au sous-sol où une épaisse fumée envahissait la pièce. Je me mettais à rire, produisant un bruit horrible dont j’avais le secret. Je retrouvais Rosie, assise sur un canapé et j’allais m’asseoir à ses pieds le plus naturel du monde, tout du moins pour un mec complètement bourré. Elle embrassait mes cheveux et me tendait un joint. Dans ce genre de soirée, on ne restait pas longtemps fâché. J’ignorais la durée de mon séjour dans ce sous-sol, mais je remontais les escaliers avec difficulté c’était Joe et Walter qui me supportait pour me faire sortir de la maison. J’avais une sorte de nœud au ventre et alors que mes pieds foulaient l’herbe, Rosie m’interpellait. « Dylan ! » Je me retournais, pour lui faire face, mais je tenais à peine sur mes pieds. Je la regardais en me passant une main sur la nuque. « Zouiiiii... » Un langage propre à mon état d’adolescent en pleine recherche de soi-même qui a abusé de l’alcool et de la drogue dans une seule et unique soirée. Un joli papillon de nuit passait derrière elle. « Y faudrait qu’on parle. » Quand une fille commence par ce genre de phrase ce n’est jamais bon signe. Je l’écoutais parler, mais rien n’entrait véritablement entre mes deux oreilles. Autant dire que ce qu’elle me disait ne me faisait ni chaud ni froid. Après, l’avoir laissé parler et un baiser furtif, je partais vers chez moi à pieds. J’ignorais comment me rendre chez mes parents, mais j’arrivais à bon port. Je cherchais mes clés dans mes poches, rien à faire je ne trouvais nulle trace de ce bout de ferraille. Prenant un caillou dans le parterre de fleur de ma mère, je balançais celle-ci sur ce que je croyais être le carreau de la porte. Dans la réalité, mes clés étaient bel et bien dans ma poche, ce n’était pas un caillou que je prenais, mais un nain de jardin atroce que mémé MacCallister avait offert à ma mère lors du dernier noël. On l’affichait que lorsqu’on savait qu’elle allait venir chez nous. Il salaud y pesait une tonne, normal puisqu’il était en fonte. Et je le balançais en plein dans la fenêtre du salon. Un lancé horrible, mais je sautais tout de même de joie. Passant par-dessus le rebord de la fenêtre, car oui dans mon monde de bisounours et d’arc-en-ciel en chocolat, on sautait l’obstacle pour passer le seuil d’une porte. M’écrasant comme une larve au sol, je poussais un juron. « Zelda ! » C’est ça qu’en on est geek depuis l’enfance. Je me relevais et j’entendais un crack. Avançant le pied, je me rendais compte que mon pied était plus lourd à soulever et j’envoyais valser quelque chose contre le mur. Le tout avant de perdre pied et de m’étaler de tout mon long dans quelque chose d’épineux. J’entendais un fracas, alors que je reculais pour reprendre pied tombant sur le dos, j’allais inconsciemment briser la table basse en verre de ma mère. Je me retrouvais sur le dos, tel une pauvre tortue sur sa carapace au lieu de ses pattes. Je poussais un grognement, avant de me retourner sur le ventre et de battre les bras croyant littéralement que j’étais entrain de me noyer. « M’maaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaan j’me noie !!!! », criais-je dans la maison sans me soucier que je pouvais réveiller tout la maisonnée.
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mot doux de Invité ► un Lun 1 Déc - 8:14
lulla & dylan
M'man en fait je viens pas du laitier, ni de tonton Aaron
La fleur de l’âge était bien derrière moi et pourtant en bonne O’Brady, j’étais encore bonne pour faire pâlir les petits jeunes. Bien loin d’être une cougar, j’aimais bien me mettre en valeur. Le corps affriolant… bon d’accord, j’arrête d’espérer être encore canon car à 46 ans… je commence à cacher quelques cheveux gris avec des colorisations capillaires mais je l’assume assez bien enfin presque. Disons que je le cache à tout le monde. C’est la seule chose qui me stresse car je suis heureuse de bien vieillir. Je vieillis même bien. Le sourire dessiné alors que j’allais me coucher. Les enfants étaient restés chez mon père et Jane. Ils dormaient depuis un moment sûrement. Relevant le drap, je m’allongeais, seule dans mon lit bien douiller. Je ne voulais pas dormir de suite et pourtant bien que je prenais mon bouquin pour lire quelques pages avec les lunettes sur les yeux, je finissais par sombrer. La fatigue m’emportant après une longue journée. Mes yeux clos, je ne voyais pas les heures défiler. Quelle heure était-il ? Je n’en savais rien tandis que le premier BOUM se fit entendre. Ce premier boum assez bruyant mais pas encore assez… le second… lui c’était bien plus rude et, c’était bon. J’étais réveillée… soupirant, j’ouvrais les yeux. Sentant cet obstacle avec mes lunettes sur le front. Je prenais mon bouquin en marquant la page. Je ne savais pas ce qu’il se passait. Pas du tout même et je ne tentais même pas de me poser la question. Je quittais les draps en allant en direction de la porte. J’attrapais alors une batte de baseball. Pourquoi ? Pour me défendre, nigauds, on ne sait jamais. Je ne voulais pas vraiment tomber sur des hommes armés et j’étais une femme, une dame sage d’âge mur. Assez pour riposter en cas de bagarre. Ou pas, j’allais me faire laminer s’il avait une arme mais au moins, je protégerais mes petits même si j’étais seule. Je protégeais qui ? Les fourmis de la fourmilière d’un des enfants ? Sûrement, oui. Je m’avançais dans les couloirs quand j’entendis… ZELDA avec la voix de mon fils. J’arquais aussitôt un sourcil en baisant un peu mon arme alors que j’avançais vers les escaliers avec bien moins d’idées de bagarre sans vraiment de but. Je regardais rapidement à droite et à gauche dans le noir… mais dans le noir, imbécile de Lullaby. Je descendais alors petit à petit les escaliers en tâtant les marches avec mon pied. J’entendais à ce moment-là qu’il hurlait à mon aide… en se noyant ? Comment ça ? Mais… euh dans le salon ? Il y a de l’eau dans mon salon ? Ce n’est pas un aquarium. J’arquais à nouveau un sourcil en me demandant ce qu’il foutait et surtout au vacarme qu’il produisait. Une fois à la dernière de la vingtaine de marches. J’allais en direction du mur à droite. J’avais réellement du mal à trouver quoique ce soit. Tu veux voir quoi dans le noir ? Un renard qui passe ? Je levais les yeux en tâtant alors le mur pour trouver la lumière. BINGO, dans ma tête, c’était le jackpot… mais bon, voir son fils se prendre pour un mollusque sur le sol. Ce n’est pas gagner au lotto. J’inspirais doucement en le regardant. Un air un peu plus sévère sur mon visage. « DYLAN MACCALLISTER… POURRIEZ-VOUS ARRETER DE FAIRE LE PHOQUE PAR TERRE ? », criais-je alors avec sérieux quand je disais ça et autant vous dire que ce n’était pas facile pour moi mais ils m’en faisaient tellement voir de toutes les couleurs que je finissais par m’habituer à ça. Il faut dire que devenir mamie à 45 ans… c’était loin d’être la chose que je voulais le plus au monde mais c’était néanmoins arrivé. Et oui, malheureusement pour moi, j’étais mamie d’une jolie petite fille aux joues rosées mais là ? Je regardais Riley et surtout les dégâts qu’il avait fait ainsi que le paquet écrasé sur le mur. Zut, Aiden n’allait pas aimer voir son cadeau dans cet état… et dire que c’était fragile en plus. Je soupirais en reportant mon attention vers Dylan et le regardant attentivement. Je m’approchais et me baissant pour le regarder plus attentivement. « Il n’y a pas d’eau dans un salon, grand malin ! », lui expliquais-je alors en soupirant doucement. Face à son visage qui était à moitié au salon, j’attrapais alors son menton… Je remarquais ses yeux rouges. Pas franchement heureuse de les voir ainsi. Je soupirais en me relevant et ne disant point un mot, je me contentais de passer une main dans mes cheveux. « DEBOUT ! », disais-je alors d’un ton un peu plus autoritaire. Oui, Lullaby MacCallister ne rigole pas. Faut bien que j’essaye d’avoir un peu d’autorité parfois, non ?
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mot doux de Invité ► un Lun 1 Déc - 9:25
lulla & dylan
M'man en fait je viens pas du laitier, ni de tonton Aaron
Battant des bras comme un oiseau qui cherchait de l’altitude ou comme simplement un Dylan échoué, je tentais de rester en vie. Chose ardue, et vous ne pouvez pas imaginer à quel point. J’entendais alors le roi souris approcher dans la noirceur de la maisonnée endormie. Si mon père me trouvait dans cet état, j’allais dormir dans la niche du chien à sa place. Skipy aurait alors la chance de pouvoir dormir sur mon lit. Je continuais de nager, tentant de sauver ma vie de la terrible noyade qui planait sous moi. J’allais même jusqu’à retenir mon souffle, gonflant mes joues comme d’immenses ballons remplis d’air. La lumière s’ouvrait, m’aveuglant par la même occasion, je fermais donc les yeux poussant une plainte qui me faisait perdre mes réserves d’air. Ces précieuses réserves de poches d’air, disparues... J’ouvrais un œil voyant ma mère une batte de baseball en main. C’était un peu mieux que l’attendrisseur de viande ! Alors, qu’elle haussait le ton, je me mettais malencontreusement à rire. Ce son horrible de mec bourré. Mon rire était particulier une fois saoul, je gloussais comme un phoque. Ça rit un phoque ? Je l’ignorais, mais mon rire ressemblait trait pour trait à un bruit de ce mammifère marin. Pourtant, intérieurement je savais que je ne devais pas rire, mais c’était plus fort que moi. Je me sentais euphorique, débordant de joie et d’allégresse. Cette eau cristalline ne semblait pas bouger et pourtant, je sentais la noyade approcher. C’était hélas que du verre, le verre de la table brisé que je prenais pour un étang d’eau assez profond pour m’y noyer. Le con ! Je n’allais pas aggraver mon cas ! Si bien, que je tentais de canaliser ce rire, alors qu’elle empoignait mon menton. Je n’avais rien à cacher, j’étais tout ce qui avait de plus clean. Voyons ! Bon je ne ressemblais pas à Nora au niveau du caractère, ni à tonton Andrew ou bien tonton Kennedy. Non, j’avais tout du MacCallister type, suffisait de regarder mon père ou tonton Aaron pour comprendre de qui je tenais tout cela. Je ne menais pas la vie facile à mes parents, pas depuis que j’avais apprit que Nora était enceinte. J’avais alors changé, commençant à me trouver une identité. Identité qui se trouvait sur un chemin sinueux. J’avais troqué mes consoles pour des sorties avec des potes, j’avais commencé à fréquenter des clubs et rencontrer des nanas. Je ne draguais pas à tout va, mais je chassais quelques fois. Elle m’ordonnait finalement de me mettre debout, retenant un éclat de rire, je me roulais au sol. Le bruit du verre se brisait sous mon poids. C’était amusant, le prochain jeu à la mode ! C’est moi qui vous le dis, foie de MacCallister. Si vous n’êtes pas satisfait, allez voir mon père y vous remboursera ! Quelques tentatives bénignes, je réussissais à me remettre sur pied. Ma mère, malgré son âge faisait encore tourner les têtes et tout particulièrement celles de mes amis. Moi, je la trouvais jolie, mais surtout menue et frêle. Ça devait être ça qui avait attiré mon père vers elle, parce qu’avec son caractère, moi j’aurais prit mes jambes à mon cou ! Je la regardais, déposant une main sur ma hanche, tortillant mon corps de façon anormal et pour moi c’était bien droit. Si la police m’avait fait marcher sur une ligne pour tester mon taux d’alcoolémie, je me serais retrouvé dans le faussé sans leur aide. « Bonzour m’man. T’es zolie, mais la pro-sainte fois oubli pas le za d’p.i.z.a.m.a ! » En gros, dans ma tête j’étais certain que ma phrase avait du sens, que mes mots voulais dire la bonne chose. C’était pas tout à fait ça ! Je levais les pouces pour l’encourager, déferlant mon halène d’alcoolique. « T’es zoeule ? », disais-je en regardant à droite puis à gauche, grattant mon dessus crâne avec férocité. « ZOYEUX NOWEL ! » Bin oui c’était venu tout seul et sans raison, levant les bras dans les airs, je semblais heureux. Puis, je tournais la tête vers mon désastre. « T’a étééééééééééééééééééééééééé ziiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiilaine ! S’pouur za qu’pa’ NOWEL à zétuire zèbre... zoolander.... zoleil... non... zarbre ! Zapin ! ZARTH VADOR !!! » J’étais paumé devant cette scène grotesque ! Oh une jolie fée verte ! « Tu zevrait peeeeeeeeeeeeeeeeeeenser à faire zépette cette zézeétte ! », disais-je en pointant la fenêtre du salon que j’avais brisé sans m’en rendre compte.
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mot doux de Invité ► un Lun 1 Déc - 10:23
lulla & dylan
M'man en fait je viens pas du laitier, ni de tonton Aaron
Et il rigolait ? Non mais sérieusement ? Il rigolait alors que je haussais le ton ? Il était un fait que j’étais beaucoup plus autoritaire avec lui qu’avec Nora et les plus jeunes. Pourquoi ? Je n’en savais rien, il était rapidement devenu mon fils, mon tout. Mon petit garçon et j’étais plus difficile alors qu’avant plus facile avec lui. J’étais rapidement déçue par lui. Aussi rapidement qu’heureuse ou satisfaite. Avant il était un simple geek qui connaissait mieux que moi la magie d’un ordinateur et progressivement, il était devenu bien différent. Il me rendait tout simplement folle même si là, je ne m’étais jamais autant montrée autoritaire. En fait, j’avais laissée du leste pour ne pas trop le monter contre moi et garder une sorte de proximité. Au fond du mois, j’étais une maman un peu trop bisounours, un peu trop protectrice et un peu trop câline. Une maman poule même si parfois je devenais une maman tigre avec un caractère féroce. Et il riait, lui. Je ne savais pas du tout comment le prendre. Perplexe et les mains à ma taille. Je le regardais se redresser enfin surtout tenter de se redresser ce qui était un spectacle bien sûr très amusant à suivre. Je regardais ses moindres faits et gestes et finissant par soupirer quand il était enfin debout. Je ne voulais pas vraiment en savoir plus sur ce qu’il avait pris… mais j’étais déjà en train de me demander ce qu’il allait prendre enfin en parlant de punition bien sûr et je l’écoutais attentivement, toujours d’autant plus perplexe. Je le laissais parler en arquant un sourcil et soupirant alors qu’il m’embrouillait totalement. Autant dire que je comprenais la moitié mais je ne cherchais pas vraiment à comprendre. La colère ne me donnait pas envie de faire des efforts. Pas du tout, je n’avais pas envie d’écouter toutes les conneries qu’il disait car il me rendait dingue. La maman en moi se sentait tellement déçue. Je fronçais doucement le nez en le laissant même parler de zèbre, Zarth Vador ou je ne sais quoi. J’inspirais doucement en hochant la tête. Je le regardais attentivement. « Tout ce que j’ai compris c’était que j’étais jolie… merci Dylan ! Et puis… je ne suis pas nue, Dylan… si tu étais sobre… et sains, tu le verrais, poussin. », disais-je en donnant un petit signe de main du genre… capitaine. Je le saluais bien entendu. C’était un truc que j’avais pris en habitude au fil des années quand je voulais user de sarcasme. Je ne le quittais pas du regard. Il était totalement achevé. J’inspirais doucement en secouant doucement la tête et le regardant rapidement avant d’avancer vers le sapin alors que je tentais de le relever. Bon cependant je n’étais pas nue mais j’étais en nuisette. L’une de celles que je m’autorise à porter quand je suis seule et que j’attends qu’Aiden rentre du boulot. Le genre de nuisette spéciale retour de nostalgie aux nuits douteuses. J’inspirais légèrement en penchant la tête. Je me rapprochais alors de lui, mettant la main dans la poche ou se trouvaient toujours ses clés. Les habitudes d’une maman attentive qui prête toujours attention aux détails et au pire si je me loupe, je regarde dans l’autre poche. Logique. Une fois les clés entre les mains, je soupirais en posant le regard sur lui et haussant les épaules. « Je les garde, tu es puni de sorti pendant la fin des vacances… », soufflais-je alors d’un ton sérieux mais calme même si je bouillonnais et mes yeux commençaient à le témoigner peu à peu. « Et si tu crois que c’est tout ce que tu auras, ce n’est que le cadet de tes soucis ! », rajoutais-je aussitôt en soupirant doucement. Je ne savais pas encore quel serait sa grande et grosse punition mais une fois les clés dans ma main, je les pendais à mon droit en lui montrant comme un trophée et lui offrant un sourire sournois. « Tu diras à ton père que tu as tué son cadeau de noël ! », disais-je en penchant doucement la tête et la hochant alors haussant. « Ou plus vite que tu as cassé la vitre ? », demandais-je à celui-ci en riant doucement. Je ne voulais pas vraiment la réponse à cette question mais je me demandais réellement ce qu’il préférait car dans tous les cas, il allait devoir aussi lui faire face. Je riais nerveusement en levant la main un peu plus haut alors que je me retournais avant d’aller vers la cuisine avec les clés en main. Je prenais un pot en céramique avant d’ouvrir le couvercle. Je mettais les clés dedans et le refermant pour le remettre sur l’armoire. J’allais alors vers le frigo tandis que je prenais une brique de lait. Je le refermais aussitôt en allant chercher un verre avant d’y verser du lait et le poser sur le plan de travail. Je prenais un deuxième verre et répétant l’opération. « Prends un peu de laitage et vas dormir… », disais-je d’un ton mélangeant un peu de déception, un peu de retenue d’une colère.
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mot doux de Invité ► un Jeu 18 Déc - 7:34
lulla & dylan
M'man en fait je viens pas du laitier, ni de tonton Aaron
Idiot ? Sûrement, mais pour l’instant je n’avais pas la tête à me poser autant de question existentiel. Tout du moins, c’est ce que je croyais, mais je ne savais pas la moitié des choses que ma mère pensait. En même temps le jour où j’allais comprendre les penser, je serais aux anges d’être devenu un x-men surpuissant et enfin j’aurais trouvé un but à ma vie de terrien. Je me tenais debout devant elle, mais tout ce dont j’avais envie c’était de rire à gorge déployée. Que voulez-vous j’ai l’alcool rieur ! C’est toujours mieux que morose ou suicidaire. Elle me disait ne pas être nue et j’en étais bien heureux. Voir ma mère nue n’était pas un souhait à réaliser dans ma vie. Bon je devais l’avoir déjà vu étant super jeune, mais aujourd’hui c’était différent j’avais seize ans. J’étais presque un homme, un vrai avec des poils au menton et me dire que voir ma mère en tenue d’Ève m’allumerait. Ouais, bin quoi je reste un mec en pleine découverte de ses pulsions sexuelles, même un furby papillotant des cils pouvait me faire bander. Inutile de vous raconter mes matins ressemblent à quoi, et bien entendu je déteste quand ma mère entre dans ma chambre alors que Gepetto disait toujours coucou. Par chance, avec l’alcool il allait rester endormi pendant un certain temps. L’alcool ne lui fait généralement pas à lui aussi. Tout cela pour dire, que je n’aurais pas dit non à un bas de pyjama sous ce qu’elle portait, car même saoul ça me semblait trop sexy. C’est à ce demander si elle n’attendait pas papa noël vêtue de cette manière, parce que à voir mon père parfois ça m’amène à me dire qu’elle aime les ours barbu. Alors qu’elle se dirigeait vers le sapin, je croisais mes yeux pour regarder le bout de mon nez où se trouvait un petit troll en pleine escalade. Je le saluais, avant de sursauter lorsque je sentais sa main dans la poche de ma veste. Ce n’était pas une violation de vie privé ? Ou bien le viol de ma poche ? Faudrait que je demande à mémé Joan ce qu’elle en pense, car elle en connait un rayon sur les violes ! Elle retirait la dignité de ma poche, enfin mes clés. « CHUBACCA ! Elles zétaient là ! », disais-je à voix haute, pendant qu’elle glissait l’anneau de métal les regroupant autour de ses doigts. J’affichais une moue de mécontentement, ouais je n’étais pas du tout content qu’elle me les vole. « Hey t’as pô l’droit ! », disais-je en croisant mes bras contre mon torse. Toute la puissance de la tactique du gamin boudeur, manquerait plus que je croise mes jambes et que je boude en plein milieu du salon. Le hic, elle ne semblait pas d’humeur à me voir tenter quoique se soit pour sauver mes apparences, bien qu’il n’y avait plus grand-chose à sauver. Aussitôt qu’elle parlait de mon père, il n’existait qu’une envie qui m’animait celle de sauter par la fenêtre briser. Elle disait que c’était de ma faute, LA MENTEUSE ! On m’avait toujours dit que le mensonge c’était mal, que le Père noël ne viendrait pas me porter de cadeau si j’avais été vilain. Le mensonge c’était donc être vilain. Ma mère devait pas recevoir beaucoup de cadeaux cette année, à moins que monsieur Coca-Cola était déjà passé et c’était trop tard pour lui retirer ses cadeaux ! L’arnaque je vous jure ! Déjà qu’elle m’accusait d’avoir brisé le cadeau du manitou, la bonne blague. Je ne serais pas assez fou pour faire ça, j’suis sure c’est une vengeance du Père Noël parce que mon père à oser zieuter Maman sexy Noël. De vous à moi, le déguisement que j’ai trouvé une fois dans les affaires de ma mère, devait être utilisé à certaine chose dont je préfère ne pas connaître les détails. Tout ce que j’espère secrètement, c’est qu’il n’est pas la cause de ma naissance parce que se serait sur les bois d’un cerf en plastique que le voisin mettait sur son terrain que j’allais m’empaler si je découvrais cette fameuse tragédie. Déhanchant son croupier, elle prenait la direction de la cuisine et c’est abordant une moue, que je me décidais à la suivre mettant mes mains dans mes poches. Elle avait caché mes clés et je me mordais l’intérieur de la joue de mécontentement. Elle avait tout le pouvoir, c’est ma mère, mais tout de même un 24 décembre c’est chiant. Je m’écrasais si ce n’est pas pour dire évacher sur un tabouret près qui se trouvait autour de l’îlot central de la cuisine. Je sautillais sur place durant qu’elle versait du lait dans un verre, puis un second. Je ne savais pas trop si j’allais réussir à avaler ce liquide blanc. Je regardais le verre et une fois de plus ma langue se dénouait sans qu’elle me demande son avis. « M’man, j’ai mis une fille en cloque. » Je trempais mon doigt dans le lait, avant de commencer à écrire mon testament sur le comptoir. J’étais un âne de lui dire ainsi, mais existait-il un meilleur moment ? J’en doute, quoiqu’à jeun n’aurait sûrement pas été une mauvaise hypothèse, mais bon voilà je n’avais pas su tourner ma langue sept fois avant de le dire. Je venais de signer mon arrêt de mort, mais bon j’avais bien vécu. D’ailleurs comment pouvais-je affirmer cela ? Ah oui, Rosie m’avait dit cela pendant qu’une fée verte passait derrière elle et que j’avais eu envie de danser et me rouler dans l’herbe. Mon cerveau a une capacité étonnante, j’en suis émerveillé. C’est seulement dommage que je le découvre que maintenant. Cher peuple de la Terre, je tiens à vous dire allez vous merde ! Et le premier qui pourra survivre à mes parents et bien le zut du paradis !
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mot doux de Invité ► un Dim 1 Fév - 2:01
lulla & dylan
M'man en fait je viens pas du laitier, ni de tonton Aaron
Non mais et comme si j’allais lui demander son avis pour lui prendre ses clés ? Bon d’accord, il était jeune et il avait le droit de faire ses erreurs car on apprend de ses erreurs mais justement… on apprend de ses erreurs et il fallait lui apprendre d’une façon ou d’une autre. Une punition ? je n’étais pas vraiment douée pour ça mais les clés dans ma main, je n’écoutais pas le fait qu’il pensait que je n’avais pas le droit et j’allais dans la cuisine pour les cacher. Je lui servais aussi un verre de lait. Il fallait avouer que j’étais clairement douée pour cacher des choses dans la cuisine mais surtout douée pour les perdre. Le soir de la conception de Dylan, c’était la zapette que j’avais retrouvée seulement 3 jours après… et n’oublions pas que j’avais aussi cherchée pendant trois jours sans vraiment me souvenir de l’endroit où je l’avais planquée. Mais chut. Ce gamin… qui était à ce moment-là seulement une petite graine avait bien grandi. Je le regardais approcher de la cuisine tandis que je finissais de me serviette mon verre de lait à mon tour. Une fois le verre servit, j’allais mettre la bouteille dans le frigo. Je fermais aussitôt la porte quand j’entendis… ce qu’il me disait. Non ? J’avais mal entendue ? Je devais avoir mal entendue et non pas qu’avec l’âge… j’ai du mal à entendre mais… bon, voilà. Je devais clairement avoir mal entendue. J’arquais un sourcil en le regardant jouer dans le verre de lait avec son doigt. Manquerait plus qu’il le lape comme un chat mais bon. J’inspirais doucement. Je ne le quittais pas du regard sans même dire mots. Non mais en fait. Je ne savais clairement pas quoi dire. Non mais c’était… non mais oui, j’en perdais mes mots et mes pensées. Nora nous l’avais fait… mais lui ? Mon petit garçon ? Je le regardais dans les yeux, le bras se levant et la main partant pour une belle gifle. Oh oui, j’étais en colère. Vraiment en colère car qu’une de mes filles tombent enceinte trop tôt, ok… mais un garçon aussi intelligent qui se trouve être con pour en mettre une enceinte ? Cela n’allait plus non et son état n’était pas pour arranger les choses. Je le regardais aussitôt ma main partie pour cette gifle. Non, je ne m’en voulais pas et même si c’était loin d’être mon sport favori… une bonne gifle ne fait jamais de mal. Non ? Je soupirai doucement en le regardant toujours. « Mais tu es idiot ? », lâchais-je alors en arquant un sourcil. Bon dieu mais ils tenaient ça de leurs grands-parents mais pas des enfants. J’avais attendant au moins mes 27 ans pour ma part et encore, j’aurais pu attendre plus longtemps dans l’optique que j’avais à l’époque avant d’attendre Nora mais là. Je ne savais vraiment pas quoi dire. Je ne le savais tellement pas que je savais quoi faire. Ce coup de l’autre main lui balançait le lait sur la tête. Ça, je savais le faire. Je le regardais alors qu’il était… en lait. Il ne manquait que le cacao pour le chocolaté un peu. Je soupirais doucement en posant le verre vide et levant alors les deux avant-bras devant moi dans un élan d’exaspération alors que je grognais doucement. « Punaise Dylan… », lâchais-je alors avant de descendre mes avant-bras. Je les posais de part et d’autres de l’îlot central en me tenant en appui. Je lui détournais le regard. Je trouvais mes pieds bien plus jolis en cet instant si précieux et c’est peu dire. « Ta sœur n’a pas été un exemple pour toi ? Tu vois bien qu’elle peine à finir ses études tout en étant maman. Elle n’a plus vraiment de jeunesse et… », je soupirais doucement en tournant rapidement mon regard vers lui. « Tu es tellement con… mais… comment… », je soupirais doucement en détournant aussitôt mon regard pour le poser sur la photo de famille… ou l’on voyait le bébé de Nora aussi. Elle datait du début de décembre. « Tu… », je soupirais doucement. « Vas-t-en… vas ou tu veux, vas dans ta chambre… pars, fais ce que tu veux Dylan mais hors de ma vue ! », lâchais-je dans un élan de déception dans la voix mais son état n’allait surement pas aider. Je soupirais doucement, en fait… je me demandais si c’était à cause de nous… à cause de ses parents. Oui enfin après Nora… maintenant Dylan. On devait le mériter ? Ils étaient tellement jeune et nous peut-être qu’on était tellement con ? De mauvais parents ? Sûrement. Cette frayeur me donnait la larme à l’œil alors que je détournais mon regard de cette photo pour le tourner vers lui. Je ne cachais pas mes émotions. Je refusais clairement même de les cacher. « Vas te coucher ! », répétais-je alors en détournant à nouveau le regard. Un ton autoritaire mais peut-être que je ne l’avais pas assez été ? Peut-être aurais-je dû être moins gentille ou plus ? J’étais la maman cool et conciliante mais… jusqu’à ce que je ne le soit plus.
Contenu sponsoriséet oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais !
mot doux de Contenu sponsorisé ► un
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