l'avatar des scénarios ou membres des familles sont totalement discutables pour autant qu'ils ne soient pas dans le bottin !
Venez car plus on est de fous et plus on rit, non ? Chocolat et guimauves en cadeaux !
bonjour les YFTiens et pleins de calins pour vous ainsi que tout notre amour !
|
|
| |
| |
---|
Lenaëlle G. Martins et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! Un petit plus MY LIFE TREE: There's no safer place for youthan here with me
| mot doux de Lenaëlle G. Martins ► un Jeu 10 Déc - 14:41 | | | Jensenaëlle My love is all I have to give
Lors de notre premier rendez-vous officiel, si je pouvais le dire ainsi, Jensen m’avait fait un aveu qui m’avait profondément marquée, sans que je m’explique pourquoi; il ne lui arrivait jamais d’avoir une journée de congé où il pouvait simplement garder son jogging et son t-shirt, se poser devant la télévision et prétendre ne rien faire. Après, je ne savais pas si c’était ça, sa définition exacte de « ne rien faire », mais enfin, il avait laissé sous-entendre que pour lui, l’idée n’existait pas dans son quotidien. Je n’étais pas du genre à prôner la paresse, mais j’étais quand même d’avis que de temps en temps, ce n’était pas plus mal, passer une journée tranquille, sans devoir se dire « Oh ! Je dois faire ceci, et celà ! » et ne pas se soucier de quoi que ce soit. Hakuna Matata quoi. Du coup, était-ce parce que justement, je trouvais ça triste que son métier ne lui permette pas ? Oui, c’était fort possible, mais quoiqu’il en soit, j’en étais venue à avoir cette idée de lui offrir ce genre de journée et ce, même si cela faisait un moment qu’il m’en avait parlé, et que je me doutais bien qu’à ce point, il ne se souvenait même pas m’avoir dit un truc pareil. Je me disais qu’au pire, on pourrait toujours sortir, aller quelque part, faire comme si cette idée n’avait pas existé. Bien sûr, si cette éventualité se concrétisait, cela me gênerait un peu, mais j’avais appris au fil du temps que je n’avais pas à être gênée avec Jensen et ce, même si j’étais maladroite, même si parfois j’avais des ratés, parce que j’en étais venue à comprendre qu’il m’acceptait malgré tout, et je ne pourrais pas m’en montrer plus heureuse. Effectivement, c’était la première fois depuis longtemps que je me sentais appréciée pour qui j’étais, et que plus encore, en retour, je pouvais aimer moi aussi. Plus qu’heureuse, je comptais en profiter autant que je pouvais, et cette journée était faite exprès pour ça, et aussi pour faire une surprise à Jensen, évidemment.
Au préalable, j’étais allée faire une petite folie, c’est-à-dire que je m’étais surprise à tenter de lui trouver un pyjama, ou du moins, une tenue confortable, histoire que mon coup soit juste parfait. Après, je ne savais pas si je me verrais obligée de le lui donner tout de suite, même si pour cela, je n’étais pas encore sûre de mon coup, me disant que je verrais bien et qu’au pire, je pourrais en faire usage plus tard. Puis, le matin même, j’avais tout fait pour mettre mon plan à exécution. En me levant, j’avais arrangé le salon de sorte à ce qu’il soit plus « confortable », dans le sens où j’ajoutai couvertures et coussins supplémentaires, histoire qu’on puisse vraiment s’installer et ne pas y bouger. Ensuite, j’avais mis la main à la pâte et j’avais préparé des cookies maison de même que des petits gâteaux, encore une fois parce que le jeune homme m’avait dit qu’il en raffolait. D’accord, je savais bien que ce n’était pas bon pour la santé, mais pour une journée, qu’est-ce que ça changerait ? Et puis, ce n’était pas comme si c’était une journée comme les autres… En tout cas, pas pour lui ! Finalement, pour ajouter une petite ambiance des Fêtes à tout cela, parce que mine de rien, Noël approchait lentement, mais sûrement, alors autant marquer le coup, non ? D’autant plus qu’en fait, la préparation de cette période de l’année était ce qui me servait d’excuse pour l’attirer chez moi et lui faire la surprise. En effet, dès que je crus que tout était prêt, je pris mon téléphone, et je lui envoyai un message qui disait « Bonjour toi ! Je suis vraiment désolée de te déranger pendant ta journée de congé mais… Je galère à accrocher les lumières au sommet du sapin ! Est-ce que ça te gênerait beaucoup de venir m’aider ? Je te revaudrai ça, c’est promis ! » Puis, une fois que le message fut envoyé, je me mis en l’attente d’une réponse. Pour tout dire, j’étais impatiente, mais également stressée, parce que pour le coup, j’espérais vraiment que ça allait marcher. C’était fort probablement la première fois que je me donnais du mal ainsi pour faire plaisir à quelqu’un mais franchement, cela avait valu le coup. Je ne regrettais rien et plus encore, je ne serais qu’heureuse si Jensen venait à être content lui aussi. |
| | | Jensen A. MacCallister et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais !
| mot doux de Jensen A. MacCallister ► un Dim 20 Déc - 13:43 | | | Le boulot, le boulot, le boulot. C'était parfois à se demander si je ne vivais pas exclusivement pour ça même. Pas un seul moment de répit ces derniers temps et je ne comptais plus les heures. Visiblement, l'hôpital manquait de médecins. Je voulais être un bon pédiatre, la pour mes patients. Du coup oui, les heures supplémentaires se faisaient nombreuses et je rentrais chez moi totalement sur les rotules. Même le week end les médecins devaient être prêts à bosser, les gens n'arrêtaient pas d'être malades pour qu'on puisse se reposer après tout, ce qui était logique. Rien n'était plus triste pour moi que de voir des touts petits enfants malades, avec des parents souvent dépassés qui ne savaient mettre de mots sur les pleurs désespérés de leurs enfants. J'étais la pour essayer de les aider de mon mieux, et ça me faisait vraiment plaisir de le faire d'ailleurs. Moi aussi j’espérais bien avoir des enfants un jour, et j'enviais mon frère d'en avoir déjà 2 à cajoler. En attendant, je tenais à être un super tonton la pour les gâter et veiller sur eux. La veille j'étais rentré totalement sur les rotules, les traits tirés jusqu'au plancher, les yeux vraiment fatigués et j'avais à peine pris le temps de me déshabiller avant de me laisser tomber dans mon lit, mon service s'était terminé au beau milieu de la nuit donc je n'avais plus pu tenir, j'étais beaucoup trop fatigué pour ça. La semaine n'avait pas été douce, des bons mais aussi des moins bons moments. Et devoir annoncer aux parents des très mauvaises nouvelles on a beau dire on ne peux jamais s'y faire. Et si pendant le boulot on doit essayer de rester impassible, ce n'est pas pour autant qu'une fois chez soi on peut s'empêcher de craquer. J'avais besoin de sortir, de prendre de l'air, de penser à autre chose au plus vite mais en attendant j'avais juste voulu dormir. Depuis ma sortie avec Lenaëlle je n'avais pas pu souffler. Ma jolie Lena.. Elle me manquait déjà d'ailleurs, c'était fou comme sensation non?
Le réveil avait été assez difficile, et j'étais sorti du lit en baillant aux corneilles. Me trainant dans la cuisine, j'avais passé du nutella sur du pain de mie, embarquant une tasse de thé et un verre de jus d'orange avant d'aller m'étaler dans le salon devant la télé pour pouvoir manger mon petit déjeuner tranquillement. En me frottant les yeux, je mangeais avec appétit, attirant un plaid sur mon corps encore chaud à la sortie du lit pour rester bien à l'aise devant les dessins animés et autres petites émissions du matin. Je n'étais jamais compliqué, et ce n'était pas franchement mon genre de regarder les infos. C'était barbant! Un vrai gamin pour ce genre de choses, je n'avais pas changé, jamais. Et je ne changerais sans doute jamais d'ailleurs. C'était chouette, le jour ou j'aurais des gamins je pourrais manger des mielpops avec eux tout en regardant Pokemon. Du coup pour profiter de ma journée de repos rien qu'à moi j'étais bien décidé à ne pas bouger de sur mon canapé, et j'avais regardé un épisode après l'autre, les yeux à moitié fermés, me frottant doucement les yeux en soupirant. Que ça pouvait faire du bien de ne rien faire. Juste penser à moi pour une fois. Rester confortablement en place et me reposer pour pouvoir reprendre le boulot paisiblement. Dans la foulée j'avais pris le dimanche, le jour suivant pour pouvoir avoir plusieurs jours à la maison pour une fois en attendant Noël ou les médecins avaient aussi droit à des moments à eux, nous alternions plus facilement. Tant mieux. Si je n'avais pas de famille à moi j'éspérais bien quand même pouvoir gâter tous mes proches ce jour ci. Recevant un sms, je souriais jusqu'aux oreilles en voyant que ça venait de Lenaëlle. Pas de question à se poser sur ce coup, elle valait toutes les journées télé du monde! Elle voulait me voir, et je ne comptais pas vraiment la faire patienter et louper une occasion de la retrouver. « J'arrives tout de suite, avec grand plaisir ne te fais pas de soucis pour ça! Le temps de me préparer et je suis à ta porte! » J'avais couru dans la salle de bain pour me raser, coiffer mes cheveux, prendre une douche rapide avant de passer un jean et un pull fin puis ma veste par dessus avant de filer en direction de chez la jeune femme. Je frappais à sa porte sans plus attendre, un grand sourire aux lèvres à l'idée de la retrouver.
|
| | | Lenaëlle G. Martins et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! Un petit plus MY LIFE TREE: There's no safer place for youthan here with me
| mot doux de Lenaëlle G. Martins ► un Mar 22 Déc - 19:31 | | | Jensenaëlle My love is all I have to give
À mon grand bonheur, il ne fallut que quelques secondes pour que j’aie une réponse sur mon téléphone. En fait, c’était surtout tant mieux, pour tout dire, parce que me connaissant, il n’aurait pas été beau de me voir commencer à stresser de ne pas recevoir de réponse, même si je n’avais pas complètement écarté la possibilité que cela arrive. Après tout, Jensen aurait pu avoir d’autres plans, avoir été demandé à travailler un jour de plus, ou aurait pu être également encore au lit, qui sait ? J’avais beau commencer à le connaître un peu mieux, il n’en demeurait pas moins que je ne connaissais pas toutes ses habitudes et surtout, jamais je n’avais perturbé la journée de congé de quelqu’un de la sorte avant aujourd’hui. En quelques sortes, c’était un grand test, test qui, pour le moment, marchait à merveille, puisque le jeune homme, en plus de me répondre rapidement, m’avait répondu par la positive, et ça n’aurait pas pu me ravir davantage. Excitée comme une gamine, je lui répondis frénétiquement: « Super, tu es un ange ! Je t’attends, à tout de suite ! » À partir de ce moment, j’ignorais totalement le temps qui m’était imparti pour m’assurer que tout soit parfait, mais parce que je refusais d’être prise de court par un invité trop rapide pour se préparer ou quelque chose comme ça, je décidai de tout de suite poser mon téléphone sur le plan de travail de la cuisine, et me dépêcher à tout préparer. Pour sûr, j’en avais fait énormément pendant les jours précédents voire même ce matin, mais certaines choses restaient quand même à finaliser afin que tout soit parfait pour moi. Premièrement, ma tenue. C’était un peu étrange de dire que je devais me préparer pour ça, mais je voulais que tout soit impeccable, alors ma tenue comptait dans les préparatifs. Évidemment, celle-ci ne fut pas vraiment difficile à trouver; un jogging gris clair, et un haut blanc, voilà qui était parfait. Pour être honnête, outre mes pyjamas, c’était pas mal la seule chose que je pouvais qualifier de confortable que je possédais. Ce n’était pas mon genre de traîner après tout, alors pourquoi m’envahir avec des vêtements que je ne porterais pas de tout façon ? Enfin pour le coup, je ne pouvais pas nier l’utilité de ceux-ci, c’était sûr et certain. Ensuite, je retournai à la cuisine, histoire de mettre les cookies et gâteaux préparés dans des assiettes que je déposai sur la table basse du salon. À portée de main, donc pas besoin de se lever pour aller les prendre, comme de vrais paresseux, n’était-ce pas le but de l’exercice, après tout ? Finalement, quand j’eus déposé les assiettes au salon, je m’assurai que le pyjama que j’avais emballé se trouvait bien sous le sapin - qui était déjà entièrement décoré depuis un moment maintenant en réalité - et je profitai des quelques minutes qui me restèrent pour replacer les coussins et couvertures. D’accord, cette dernière partie était un peu débile, vu que le but n’était pas de vendre la beauté de mon canapé, mais c’était plus fort que moi, j’étais faite comme ça. Heureusement, je n’eus pas le temps de m’adonner à mon perfectionnisme légendaire quand il était question de rangement bien longtemps, puisqu’à un moment donné, un bruit sourd se fit entendre à la porte, typique de quelqu’un qui y frappe. Furtivement, je jetai un oeil par la fenêtre, et je sentis mon coeur s’emballer de joie et de nervosité quand je me rendis compte que c’était mon bel invité qui attendait l’autre côté. Ne voulant pas le faire patienter dehors trop longtemps, je me précipitai pour tourner la poignée, ouvrir la porte, et l'accueillir avec un grand sourire - et les joues un tantinet rosies parce que j’étais contente de le voir, quand même ! Ensuite, je lui fis la bise furtivement, et je dis: « Bonjour toi ! Merci encore d’être venu à ma rescousse aussi rapidement ! Viens, entre ! » Sur ces mots, je me décalai aussitôt de la porte pour le laisser entrer. Pourquoi ne pas lui avoir fait un bisou un peu plus travaillé ou quoi que ce soit ? Certainement parce que j’étais si excitée à l’idée de lui montrer ma surprise - qu’il allait comprendre, je l’espérais bien - que je ne voulais plus attendre, surtout que c’était sur le point de se concrétiser. J’attendis donc qu’il pénètre dans ma petite demeure, et se retrouve directement dans le salon, exactement là où se situait le sapin, le canapé, les coussins et les petites douceurs à manger. |
| | | Jensen A. MacCallister et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais !
| mot doux de Jensen A. MacCallister ► un Dim 27 Déc - 19:32 | | |
J'avais été plutôt ravi qu'elle pense à moi pour ce genre de choses. Ça prouvait que j'avais une place dans sa vie non? On ne fais pas appel à nimporte qui quand on a besoin d'aide. Je voulais être celui à qui elle pensait chaque fois qu'elle avait besoin d'aide. Chaque fois qu'elle avait envie de sortir avec quelqu'un.. Ou chaque fois qu'elle avait envie de papoter un peu. Sans même se voir, si elle voulait me parler j'étais la pour écouter. C'était aussi à ça que servaient les téléphones non? En tout cas j’espérais bien pouvoir passer un peu de temps avec elle si déjà j'y allais, c'était bien sympa les journées de congé mais une journée avec elle ne serait que plus appréciable puis elle m'avait manqué depuis notre petite soirée au restaurant donc autant faire d'une pierre deux coups. Je voulais me rapprocher d'elle, et je n'abandonnerais jamais cette idée tant que je n'aurais pas au moins pu embrasser ses lèvres. Un ange, elle m'avait dit que j'étais un ange. Et ça me faisait terriblement plaisir comme surnom ou comme petit compliment. Mais non, je voyais ça comme étant totalement normal. Je m'étais dépêché de me préparer pour être vraiment prêt et surtout présentable. Je n'allais quand même pas m'y pointer en pyjama histoire de ne pas avoir à me re changer en rentrant. Quelle impression ça lui donnerait surement? J'avais même fais l'effort de me parfumer. Je me trouvais plutôt pas mal en me regardant dans le miroir, pas mal en tout cas pour un pédiatre fatigué qui avait passé la totalité de sa matinée devant des dessins animés comme un gamin. Hésitant à emmener quelque chose à grignoter ou à boire, j'avais finalement préféré m'abstenir. Si ça se trouve elle avait autre chose de prévu de toute façon et n'avait besoin d'aide que pour ça. Ramener quelque chose ça obligeait généralement à se faire inviter et je ne voulais pas du tout m'incruster ou lui sembler collant déjà que je lui avais clairement fait comprendre au cours de notre dîner à deux qu'elle me plaisait. Plus que ça.. Que j'avais des sentiments envers elle. Le stress me gagnait d'ailleurs, comme chaque fois que je m’apprêtais à la voir. Je me sentais comme un véritable gamin, un adolescent qui découvrait l'amour. Quand enfin je m'étais retrouvé devant chez elle j'avais tourné un peu en rond, révisant milles et unes façons de lui dire salut pour ne pas passer pour une quiche puisque généralement c'est quand je me retrouvais en face d'elle que ma bouche oubliait comment parler. Prenant mon courage à deux mains, je m'avançais jusqu'à son joli petit chez elle que j'adorais. C'était vraiment un bel endroit, elle était bien tombé en trouvant cette place la. Je pouvais entendre ses pas à l'interieur et machinalement je basculais d'un pied sur l'autre. J'avais hâte de la revoir, et la simple perspective de la savoir pas trop loin suffisait à me rendre vraiment heureux. Elle était la, et nous allions nous retrouver. Quand enfin j'avais posé mes yeux sur son visage d'ange, mes yeux s'étaient mis à pétiller. Et ça je n'avais pas besoin de les voir pour le savoir, j'avais cette sensation au plus profond de mon être qui suffisait à me le dire. J'aurais du mettre un costume de prince charmant pour le coup vu qu'elle considérait ça comme un sauvetage. C'était avec grand plaisir si elle voulait être la demoiselle en détresse que je devais sauver. Du moment que notre fin aussi se termine par cette belle et bien connue phrase.. ils se marièrent, et eurent beaucoup d'enfants. Allez savoir après tout ce que l'avenir pouvait nous réserver, en tout cas les choses semblaient aller de mieux en mieux pour nous. « Oh ben inutile de me remercier ça me fait vraiment plaisir de pouvoir t'aider Lena. Au nom de Noël il n'y a rien que je puisse refuser. Surtout pas te refuser d'ailleurs, tu le sais bien non? » J'étais entré en déposant un petit bisou sur son front avec tendresse, chassant une mèche de ses cheveux blonds que je rangeais derrière son oreille, bien à sa place pour ne pas cacher son beau visage. Pas à pas, je me retrouvais dans son salon que je regardais avec la bouche grande comme un O. Ca avait l'air vraiment bien préparé, merveilleusement préparé d'ailleurs. « Wow. C'est magnifique. Tu as.. Quelque chose de prévu? Je veux pas te retarder si tu attends quelqu'un hein! Je t'aide et.. Je file. Je suis déjà tellement content de te voir! » Comment aurais-je pu seulement imaginer qu'elle fasse quelque chose de si beau pour moi?
|
| | | Lenaëlle G. Martins et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! Un petit plus MY LIFE TREE: There's no safer place for youthan here with me
| mot doux de Lenaëlle G. Martins ► un Sam 2 Jan - 15:00 | | | Jensenaëlle My love is all I have to give
Pour toute réponse au propos de Jensen comme quoi il n’aurait pas su me refuser un tel service, je me contentai de hausser les épaules en souriant doucement. En effet, j’avais cru bon de faire preuve d’un peu de retenue pour le coup, parce que me connaissant, je lui aurais très certainement dit que c’était trop mignon ce qu’il venait de me dire. Enfin, ce n’était pas comme si c’était faux; c’était effectivement très mignon, ce qu’il venait d’affirmer là. Je ne me rappelais pas que qui que ce soit depuis un bon moment maintenant, et cela faisait plaisir d’avoir quelqu’un qui viendrait sans poser de questions. Pour sûr, je ne comptais pas abuser de la bonne volonté de Jensen, jamais je ne pourrais me permettre de faire une chose pareille, mais pour aujourd’hui, c’était tout simplement parfait, alors je n’allais pas m’en plaindre. Et puis, d’une certaine façon, je me disais que peut-être c’était pour cela que je n’avais pas répondu avec des mots, parce que je ne voulais pas griller la surprise, pas tout de suite. Évidemment, j’étais consciente que je ne pourrais pas le faire mariner pendant longtemps, parce que vu la petitesse de mon cottage, le salon devenait évident bien rapidement, sans parler du fait que je ne voulais pas lui cacher, mais je voulais, bien sûr, qu’il voit le tout de lui-même avant que je dise quoi que ce soit. Et cela arriva très rapidement, exactement comme je le voulais, à croire que les évènements s’emboîtaient à la perfection; sa réponse positive et rapide, son arrivée, le fait que maintenant, il considérait les lieux… Il manquait plus que sa réaction, à présent, et encore une fois, celle-ci ne tarda pas à se manifester. Pour mon plus grand plaisir, il sembla apprécier toute l’installation, mais contrairement à ce que je pensais, il pensa que j’attendais quelqu’un d’autre que lui et que pour le coup, il dérangeait. Pendant un instant, je me demandai si je ne devrais pas paniquer, si mes intentions n’avaient pas été assez claires, si j’avais raté quelque chose dans la préparation de tout cela, mais j’avais décidé que non, ce n’était pas le temps de paniquer, pas alors que tout allait pour le mieux, parce que ça ne ferait que provoquer un malaise. À la place, je me contentai de rire doucement, le regarder tendrement et lui dire: « Je n’attendais personne d’autre que toi… » Oui, j’avais décidé de garder le mystère encore un petit instant. Pourquoi pas, après tout ? Ce n’était pas comme si j’avais l’intention de le faire mariner encore bien longtemps, je ne pourrais pas trop le faire. Enfin, sauf si j’avais effectivement décidé de lui dire que j’attendais quelqu’un d’autre, mais encore une fois, parce que les blagues de longue durée, ce n’était pas vraiment dans mes cordes, je préférais ne pas m’aventurer, surtout pas alors que je voulais faire plaisir à cet homme qui réussissait à me rendre si heureuse par sa simple présence, son sourire, et son regard qui le faisait ressembler parfois à un enfant, mais qui était si adorable et irrésistible. Puis, décidant que c’était le moment, je gardai le silence quelques secondes, et je finis par dire, plus que sérieusement, même si j’avais quand même un sourire ravi aux lèvres: « Quand nous sommes allés au restaurant, tu m’as dit que tu n’avais pas souvent l’occasion de passer une journée à ne rien faire, rester sur le canapé et regarder la télévision… » Nous avions partagé bien d’autres choses ce fameux soir, y compris le fait qu’il aimait les cookies et pensait comme moi que c’était meilleur avec du lait, des trucs comme ça, mais il allait voir que j’avais pensé à ces détails plus tard. Pour le moment, l’essentiel était de résumer le plus gros, et c’est ce que je continuai de faire en ajoutant: « Du coup, je me suis dit que j’allais t’en préparer une… Donc j’ai inventé une excuse bidon pour te faire venir ici et… Voilà ! » C’est là que je mis fin à mon petit discours, attendant de voir comment Jensen allait réagir tout en me mordillant la lèvre inférieure, sentant mon coeur battre plus fort qu’à la normale. De nervosité ? Oui, en partie, mais de plaisir aussi, parce qu’il me faisait plus que plaisir de finalement dévoiler ce sur quoi j’avais travaillé pendant un bon moment maintenant. À présent que le tout se concrétisait, je devais admettre que j’étais fière de tout cela, j’étais contente de m’être démenée pour cela et que le temps que j’avais pris pour le faire ne comptait plus maintenant, ou plutôt, ne compterait plus si jamais Jensen venait à être ravi de tout cela. J’espérais vraiment que ce soit le cas, que je ne me sois pas plantée de quelconque façon, ou que ce soit complètement ridicule. Inutile de mentionner que j’appréhendais grandement sa réaction pour le coup, même si je en pouvais pas le forcer à me dire quoi que ce soit, évidemment. |
| | | Jensen A. MacCallister et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais !
| mot doux de Jensen A. MacCallister ► un Mer 13 Jan - 20:15 | | |
J'étais heureux de pouvoir faire quelque chose pour elle, cette fille était un ange et lui être utile était plaisant, de quelque manière que ce soit et même si ça consistait uniquement à déposer une étoile sur le sommet de son sapin de Noël, d'ailleurs cette periode de l'année n'était elle pas propice aux rapprochements? Elle était censée être magique! Alors peut être que la magie nous pousserait l'un vers l'autre ou qu'une branche de gui nous pousserait à nous embrasser pour la première fois. Je me connaissais bien et de ce point de vue la je n'étais pas bien courageux, surement par peur d'être repoussé par Lenaëlle. Je croyais avoir compris que je lui plaisais moi aussi mais est ce que c'était suffisant? Elle comme moi avions un passé amoureux plutôt chaotique et je pouvais comprendre qu'elle n'ai peut être pas envie de s'engager à nouveau. Je ne pourrais pas lui en vouloir au fond même si avec elle j'avais envie de me lancer serieusement dès maintenant, et sans peur aucune. C'était beau chez elle, petit mais vraiment cosy! Ca lui ressemblait, j'aurais pu deviner en voyant une multitude d'appartements lequel était celui de ma jolie blonde favorite. C'était vraiment à son image, soigné, bien décoré, chaleureux. On s'y sentait instantanément bien. Comme en sa compagnie. Elle était souriante, douce, si gentille. Un ange. J'avais regardé son salon en me mordillant la lèvre, ça semblait être confortable tous ces coussins, ces couvertures. Je ne pouvais m'empêcher de me demander pour qui tout cela était prévu non sans une pointe de jalousie tout de même. J'étais un homme possessif et jaloux de base, non nous n'étions pas ensembles mais tout de même.. Je n'avais pas envie de la voir avec quelqu'un d'autre! Du coup j'éspérais plutôt qu'elle attende une copine pour une sorte de journée pyjama et télé entre filles. Je me promettais de ne pas trop tarder, faire ce que je lui avais promis de faire avant de la laisser si elle attendait quelqu'un d'autre plus tard. J'avais préféré le lui demander pour qu'elle me dise franchement ce qu'il en était pour qu'il n'y ai pas d'ambiguïté et que je ne lui traine pas dans les pattes. J'avais doucement penché la tête sur le côté en l'entendant, me demandant si du coup je comprenais bien. C'était peut être pour elle toute seule après tout donc je n'allais pas croire qu'elle m'invitait je préférais ne pas me réjouir trop vite! Les femmes, c'est vraiment complexe par moment, c'est l'experience qui parle. « Bon ben c'est une bonne nouvelle alors j'avais peur de déranger! Ca me fait plaisir! Je suis content de te voir t'as même pas idée. » Je lui avais déjà fait comprendre à quel point elle illuminait mes journées, ma belle Lenaëlle.. Un sourire de sa part, le son de sa voix et j'étais le plus heureux des hommes quand je la croisais. Je devrais venir la voir avant chaque journée de travail pour passer un moment avec elle et me ressourcer pour toute la journée, être en forme et surtout d'humeur radieuse. J'avais l'impression que sur ce point nous étions assez similaires, nous nous regardions parfois, et d'un coup nos sourIres semblaient se répondre tout naturellement. Avec elle c'était un peu le ying et le yang. Nous nous complétions d'une certaine façon. « Oui c'est vrai, c'est un peu le cas! J'ai vraiment pas souvent de congés, l'hopital manque de médecin assez souvent et je préfère laisser les congés à ceux qui ont une famille, ou les week end prolongés. Je peux comprendre qu'ils ont envie de voir leurs enfants, leurs femmes, leurs maris. Mais la, j'avais bien besoin d'un peu de détente! Alors je trainais sur le canapé quand tu m'as écris. » Je riais un peu en passant une main douce sur sa joue, trop content de la retrouver pour retenir ce petit geste tendre. C'était comme ça, j'étais tendre et tactile avec les gens que j'aime. Et elle.. Aucun doute que je l'aimais par dessus tout. Je me mordais la lèvre en l'entendant et l'attirais dans mes bras pour la serrer fort, posant ma tête tout contre la sienne en soupirant de bonheur, ma main glissant dans ses cheveux du bout des doigts pour ne pas risquer de tirer dessus sans faire exprès. Je prolongeais de moi même l'étreinte avant de me reculer, un grand sourire collé aux lèvres, jusqu'aux oreilles. « Mais t'es un ange toi! Vraiment! C'est pas croyable ça! T'as fais ça pour moi? T'as aménagé tout ton salon rien que pour moi? T'es.. T'es adorable.. personne a jamais fait quoi que ce soit du genre pour moi et ça me touche énormément. C'est une merveilleuse surprise! Merci ! Wow.. J'en reviens pas. » Je me mordillais la lèvre en me passant une main dans les cheveux, vraiment sous le choc mais vraiment ému qu'elle ai fait tout ça pour moi. C'était incroyable, elle s'était pris le temps et ça juste pour me faire plaisir et me permettre de souffler. Ma journée n'aurait pas pu être meilleure.
|
| | | Lenaëlle G. Martins et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! Un petit plus MY LIFE TREE: There's no safer place for youthan here with me
| mot doux de Lenaëlle G. Martins ► un Lun 18 Jan - 23:12 | | | Jensenaëlle My love is all I have to give
J’eus un léger moment de panique au moment où Jensen m’avoua être déjà en train de flemmarder chez lui devant la télévision au moment où je lui avais envoyé un message. Pourquoi ? Parce que pour sûr je me disais que j’avais gâché sa journée, même s’il ne le laissait pas paraître, ou bien encore je me disais que tout ce que j’avais fait était inutile, parce que même s’il avait dit au restaurant qu’il ne pouvait s’octroyer une journée pareille, ou bien rarement, c’était quand même faisable. Avais-je été idiote de penser une telle chose ? Peut-être que oui, peut-être que non, mais maintenant, je ne pouvais plus vraiment revenir en arrière; il avait tout vu, je l’avais fait venir ici, alors autant lui avouer jusqu’au bout… Arrivant finalement à la fin de mon aveu, de l’histoire bidon de sapin et tout, j’attendis sa réaction, particulièrement anxieuse, sachant que je ne pouvais pas revenir en arrière. Bien sûr, j’espérais encore et toujours qu’il soit content, parce que sinon, je me sentais particulièrement mal à l’aise et… Il me prit dans ses bras. Avant même que je n’arrive au bout de ma pensée dans ma tête, il me prit dans ses bras, me surprenant grandement par son geste auquel je ne m’attendais pas du tout. Cependant, une fois la surprise passée, je me rendais compte que je ne pouvais pas vraiment m’en plaindre; non seulement, ça devait être signe que ça lui plaisait, mais en plus, être dans ses bras de la sorte, je n’allais pas le cacher, ça me faisait un bien fou, à un tel point que je ne savais pas le décrire. C’était comme si je n’attendais que ça, me blottir dans ses bras, comme si c’était la chose la plus naturelle du monde, comme lui tenir la main, le regarder, le sourire… Et le rendre heureux aussi, au bout du compte. Parce qu’en plus de ce geste, il ne tarda pas à me signifier qu’il était content de ce que j’avais fait, à un point que je n’aurais pas pu m’imaginer. Je n’avais pas fait grand-chose après tout, mais en l’écoutant parler, en regardant ses yeux s’illuminer, j’avais l’impression de lui avoir donné la lune. Est-ce que c’était ça, le bonheur qu’on ressentait quand on faisait plaisir à quelqu’un ? Comme si je n’arrivais pas à y croire, je me surpris à lâcher un petit: « C’est vrai, ça te plait ? » alors que ma conscience savait très bien que c’était débile de poser la question ainsi… Qu’est-ce que je voulais qu’il fasse de plus pour m’exprimer sa reconnaissance, après tout ? Il en avait déjà fait bien assez comme ça, si ce n’était pas plus que je n’aurais pu demander. Reprenant alors ma contenance, je lui offris un sourire brillant de joie, et je lui dis: « Je suis trop contente, vraiment ! » Et là, si nous avions été dans un film, ou dans un roman à l’eau de rose, à la Nicholas Sparks, ça aurait probablement été le moment de l’embrasser, mais parce que je me devais de garder quand même un peu de retenue, je me contentai de simplement le regarder, toujours avec ce regard rempli de bonheur, et j’ajoutai dans un petit rire: « Eh bien… installe-toi ! » Évidemment, il était prévu dans mes plans que je me pose dans le canapé avec lui, parce que je n’allais quand même pas faire le ménage tandis qu’il regardait la télévision - quoique ce serait l’image du petit couple marié… Enfin bref, après lui avoir désigné le canapé rempli de coussins, dans le même coin où se trouvait la table basse avec une partie de ce que j’avais préparé à manger, j’ajoutai: « Et ne te gêne pas pour te servir ! » Après tout, cette nourriture n’était pas une décoration, quand même ! Finalement, dans mon plan, je me rendis compte que tout allait à merveille, malgré mon bref instant de panique, et il ne manquait que deux choses; à boire, et voir si j’allais lui offrir ce fameux pyjama ou non, ou bien si j’attendais un peu… Bien trop excitée que tout marche au final, je choisis de combiner les deux, et je lui demandai et affirmai d’un seul coup: « Tu veux un chocolat chaud ? Et si tu ne te sens pas parfaitement confortable, préviens-moi ! Je veux être sûre que tout soit parfait ! » en lui souriant, surexcitée comme une vraie gamine. |
| | | Jensen A. MacCallister et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais !
| mot doux de Jensen A. MacCallister ► un Mer 27 Jan - 12:39 | | |
Oh je n'avais nullement été dérangé à l'idée de partir de chez moi, bien au contraire d'ailleurs! Biensur j'adorais ne rien faire devant la télé, mais j'aimais encore plus voir Lenaëlle en me disant que j'avais tout le temps parce qu'aujourd'hui je ne travaillais pas! Elle ne devait surtout pas se sentir coupable, parce que si ça ne tenait qu'à moi je ne voudrais que des journées comme ça, pour pouvoir venir la voir comme je le voulais, pouvoir l'emmener faire des chouettes sorties, être tous les deux. J'avais besoin d'elle, et je n'avais pas envie d'attendre plus longtemps pour pouvoir me rapprocher d'elle, peut être enfin me jeter à l'eau pour lui faire comprendre mes sentiments. Et pour tout ça, ce genre de moment à deux était plus que primordial. Pour se rapprocher et partager des choses surtout. En tout cas, c'était important pour moi. Et visiblement si elle avait fait appel à moi c'était bien que ma compagnie lui était tout aussi agréable, et ça suffisait à me rendre heureux. Alors quand j'avais vu tout ce qu'elle avait préparé pour moi, dans son immense gentillesse sans bornes je m'étais empressé de la serrer tout fort dans mes bras, enfouissant mon visage dans sa chevelure brune, cette femme était un ange ce n'était même plus à prouver et pourtant elle arrivait encore à me surprendre comme en ce moment même. A ce niveau la c'était de la magie. Je soupirais en déposant un gros bisou sur son front, ma main caressant sa joue droite qu'un sourire étirait. Je me mordillais la lèvre en secouant doucement la tête. J'avais eu beaucoup de peine à la relâcher, tant je me sentais complet chaque fois que je l'avais dans mes bras, cette femme était merveilleuse je ne pouvais pas dire autre chose, c'était le premier mot qui me venait à l'esprit chaque fois que je pensais à elle tout simplement. Je regardais tout autour de nous une nouvelle fois, subjugué par la beauté de cet endroit. Elle s'était clairement donné du mal, qu'est ce que ça serait le jour de mon anniversaire si elle faisait déjà ça sans raison précise? J'allais devoir encore attendre quelques mois pour découvrir ça, je ne prendrais un an de plus que le 14 avril. Tant mieux d'ailleurs, je vivais déjà assez mal le fait d'avoir passé les 30 ans, donc fêter les 32 n'aiderais pas! « T'aurais pas pu me faire plus plaisir je te jure! C'est.. Wow.. J'ai du mal à réaliser que t'as fais tout ça pour moi! » Tout naturellement j'avais attrapé sa main dans la sienne comme j'avais déjà eu l'occasion de le faire, nouant nos doigts quelques instants. J'aurais presque aimé l'embrasser mais pour le coup ça aurait été moins romantique de le faire dans un moment de remerciement. Je voulais faire les choses bien, et tout devait être.. Parfait. Je voulais qu'elle s'en rappelle avec des étoiles dans les yeux, du moins si elle attendait ce moment tout comme moi. Si ça se trouvait je me prendrais juste le rateau du siècle, je n'en avais aucune idée et c'était bien ça qui m'angoissait d'ailleurs! « Merci princesse, c'est génial! » J'avais déposé un énorme bisou bien bruyant sur sa joue avant de me laisser tomber bien volontiers dans le canapé rendu super moelleux par tous les coussins et les couvertures, je l'attirais avec moi pour l'avoir tout près de moi et hochais vivement la tête en jetant un coup d'oeil à toutes les bonnes choses à manger, me mordillant la lèvre. « Aucune erreur, y'a tout ce que j'aime. Non mais dis donc serais tu la femme parfaite? J'en ai jamais douté mais la tu gagnes 500 points au moins! » Je secouais doucement la tête et passais mon bras autour d'elle pour la garder contre mon torse avant de réfléchir un peu en l'entendant. Qu'est ce qui pourrait me manquer pour être totalement à l'aise et sans manquer de rien? « Hmm un chocolat chaud je veux bien! J'aurais du emmener mon jogging et un sweat, je me suis bien habillé pour venir te voir, j'allais pas débarquer en caleçon ou quoi alors.. Voila ! Mais être mieux qu'en ce moment même ça risque d'être difficile. J'ai la plus jolie fille du monde rien que pour moi, un salon super confortable, de la nourriture.. Je suis comblé franchement. Manque plus qu'un énorme calin et je pars plus d'ici faudra que tu me supportes! »
|
| | | Lenaëlle G. Martins et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! Un petit plus MY LIFE TREE: There's no safer place for youthan here with me
| mot doux de Lenaëlle G. Martins ► un Ven 29 Jan - 2:15 | | | Jensenaëlle My love is all I have to give
Pourquoi avais-je douté un seul instant que cette petite surprise puisse foirer de quelconque façon ? J’avais plusieurs raisons d’être anxieuse à cette idée, je ne pouvais pas le nier en ce moment, mais je trouvais celles-ci plus bêtes les unes que les autres maintenant que je me rendais compte que ma petite surprise, à peine entamée, se passait encore mieux que je n’aurais pu l’imaginer. Jensen en était heureux, c’était là l’essentiel, mais plus encore, il réussissait à me rendre heureux par ses réactions. Je me doutais bien que ce n’était peut-être pas volontaire, j’espérais même que ce ne le soit pas, que tout cela vienne du fond du coeur, mais qu’importe, l’essentiel pour moi était que ça me touchait grandement, que chacun de ses mots faisaient battre mon coeur un peu plus fort. Après tout, comment faire autrement quand la personne pour qui vous vous étiez démenée vous disait que vous pourriez être la femme parfaite pour lui ? Franchement, je ne me voyais pas réagir autrement. Je ne disais pas par là que j’étais parfaite, j’étais bien loin de l’être, mais parfaite pour lui ? Je devais admettre que l’idée ne me déplaisait pas, mais pas du tout. Enfin, encore fallait-il que pour que ce soit concret, que ce soit véritable, tout soit absolument parfait, qu’aucun détail ne manque, mais pendant un instant, alors que j’étais là, blottie dans ses bras, à savourer le bonheur que je pouvais ressentir à cet instant précis, je n’y songeais pas vraiment. Je me sentais si bien, pour sûr je ne me ferais jamais prier de rester comme cela pendant un bon moment. Il ne me fallait pas grand-chose pour être heureuse, certains diraient, mais je m’en moquais bien. Si je pouvais trouver ce bonheur dans des choses aussi simples, alors je ne dirais pas non, bien loin de là. Cependant, parce que je voulais justement aller au bout de tout cela, m’assurer que tout soit absolument parfait, je crus bon de me redresser pendant un instant, puis lui proposer un chocolat chaud, probablement la meilleure boisson pour accompagner le tout. Enfin, si jamais il voulait autre chose, je n’allais pas l’en priver, mais selon ses dires, le chocolat chaud lui convenait. Puis, avant même que je n’aie le temps de me rendre à la cuisine pour commencer à le préparer, tout s’enchaîna merveilleusement bien; il vint me dire qu’il regrettait quelque peu son choix de tenue, n’ayant pas pu se préparer à cette éventualité… J’appréciais le fait qu’il ait effectué un effort pour moi, encore plus qu’il me qualifie comme étant « la plus jolie fille » - j’en avais rougi, eh oui, encore un peu ! - mais ce que je retins, c’est que contrairement à la normale, je ne me sentis pas coupable de cela, bien au contraire. Tout s’imbriquait à la perfection, et même la chose qui me faisait encore hésiter un peu ne me faisait plus hésiter à présent. Sans attendre plus longtemps, je dis, d’un ton que je voulus quelque peu mystérieux: « Eh bien… Je crois que je pourrais régler ça… » Comme si je voulais faire durer le suspense, je fis exprès de ne pas me précipiter sur ce qui pourrait arranger la situation immédiatement. À la place, je continuai mon chemin jusqu’à la cuisine pour faire chauffer ce qui servirait à préparer les chocolats chauds, et une fois que ce fut fait, je lançai: « Je reviens tout de suite ! » et je me précipitai dans les escaliers pour accéder au pallier qui me servait de chambre. J’attrapai la boîte dans laquelle j’avais emballé le pyjama, puis je redescendis un peu plus lentement, mine de rien encore un peu nerveuse de la lui offrir. Il fallait l’avouer, ce n’était pas le cadeau le plus génial du monde, mais bon… Peut-être que pour le coup, ça lui plairait vraiment, vu les circonstances ? Je l’espérais bien, en tout cas. Sachant que je ne pouvais pas vraiment revenir en arrière, je retournai au salon, puis je dis à Jensen: « Je ne savais pas trop si je devais te le donner ou non, j’avais peur que ce soit un peu… stupide, mais… voilà ! » Sur ces mots, je lui tendis la boîte, et clairement, parce que j’étais la plus nulle pour faire durer un suspense trop longtemps, je ne pus m’empêcher de m’exclamer: « J’espère qu’il sera à ta taille ! » avant de me reculer d’un pas, puis lui laisser l'occasion de finalement ouvrir la boîte, espérant de tout coeur que ça ne viendrait pas tout gâcher ce qui se passait pour le moment on ne peut plus magiquement.
|
| | | Jensen A. MacCallister et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais !
| mot doux de Jensen A. MacCallister ► un Sam 6 Fév - 8:59 | | |
Elle doutait bien trop d'elle même, Lenaelle.. Comme si chaque chose qu'elle faisait, elle se sentait obligé de le remettre en question de peur de mal faire. Pourtant ce qu'elle avait organisé aujourd'hui ne pouvait que me plaire, ce n'était pas possible autrement! Totalement impossible. C'était un acte si.. Adorable! Elle avait pensé à moi, au fait que je bosse beaucoup. Et c'était bien vrai que je m'étais plaint de ne pas avoir de jour de libre assez souvent pour me détendre. Et du coup je n'aurais pas pu rêver mieux en cette journée par contre, c'était mieux que nimporte quoi que j'aurais pu faire aujourd'hui. Cette blonde magnifique était aussi gentille et intelligente qu'elle était belle et incarnait à mes yeux la perfection.Elle était enfait tout ce dont je pourrais rêver chez une femme, et je ne m'étais pas privé pour le lui dire. Voila pourquoi je l'aimais tant, elle était la femme faite pour moi. Et aujourd'hui je devais le lui dire directement, lui dire ces quelques mots si puissants qui pourraient tout changer. En bien ou en mal, selon ce qu'elle attendait de notre relation de son côté. Je ne pouvais pas le savoir, et c'était plutôt dur à prévoir mais bon je ne demandais qu'à voir. Je souriais légèrement en fermant les yeux quand elle se retrouvait dans mes bras, jouant avec ses cheveux du bout de mes doigts, comme je me sentais complet en ce moment même, c'était inoui. C'était magique quasiment. J'avais l'impression de ne manquer de rire. J'étais exactement ou je devais être, à ses côtés et nul part ailleurs. J'avais finalement daigné la relâcher pour qu'elle puisse nous préparer à boire, un bon chocolat chaud ne se refusait jamais! Ca aurait surement fait plus adulte de demander un café noir bien serré, mais il préférait un bon chocolat bien sucré! De toute façon, même à 50 ans il mangerait encore des chocapic devant les dessins animés dès qu'il en aurait le temps, c'était quelque chose qui ne changerait pas de toute mon existence. Je m'étais lourdement étalé dans le canapé avant de hausser un sourcil en la voyant avec ses beaux yeux pétillants de bonheur et ce sourire sur son visage. Ben tiens? Qu'est ce que j'avais bien pu dire qui l'enchantait à ce point? Je haussais un sourcil en l'entendant alors. Regler ça? Sans vouloir la vêxer je doutais de rentrer dans un de ses vêtements, même dans un de ses survêtements amples. Elle était quand même bien fine en comparaison à moi, une petite femme frêle, alors que de mon côté j'étais grand et pas fichu comme une brindille avec des muscles par dessus le marché. Je riais simplement et haussais les épaules en attendant de voir ce qu'elle me préparait, elle ne cesserait jamais de me surprendre de toute façon. « Pas de soucis je t'attends la c'est promis! Qu'est ce que tu me réserves encore hm? T'es pas croyable toi. » Je croisais mes bras contre mon torse, jetant un petit coup d'oeil à mon portable pour m'assurer que je n'avais eu aucun sms ou appel avant de couper celui ci, aujourd'hui je refusais d'être dérangé je voulais rester auprès de Lena et me reposer. D'une manière ou d'une autre je sentais que je me souviendrais longtemps de cette journée la. J'éspérais en bien d'ailleurs mais il y aurait du bon dans tout ça c'était certain. Le moment présent suffisait amplement à m'en convaincre. Je rangeais mes mains dans mes poches finalement avec une petite moue pensive, essayant d'entendre ce qu'elle faisait la haut mais ça n'avait pas été long comme elle revenait déjà près de moi. Je me levais alors en la voyant en possession d'une boite, de plus en plus curieux de la tournure que prenaient les choses. Je passais une main sur sa joue. « Arrête de douter comme ça de toi.. S'il te plait. Soit sure de ce que tu fais! Tu fais tout bien, cette surprise est géniale. Et je suis sur ça le sera aussi! » Je déposais un bisou sur sa joue pour la remercier avant d'ouvrir la boite pour découvrir un pyjama composé d'un t-shirt assez ample et d'un bas en coton classique. C'était assez joli, mais l'intention était plus que mignonne. Elle avait pensé à tout. Je riais en me relevant pour la serrer une nouvelle fois. « Merci! Maintenant c'est parfait! Je l'essaye de suite! » Sans pudeur je me déshabillais devant elle jusqu'à me retrouver en boxer, pliant soigneusement mes vêtements avant de passer ceux qu'elle m'avait offert parfaitement à ma taille bien que j'ai un peu de marge. « Alors? Il me va bien? »
|
| | | Contenu sponsorisé et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais !
| mot doux de Contenu sponsorisé ► un | | | |
| | | |
Sujets similaires | |
|
| Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |
|