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Lenaëlle G. Martins
Lenaëlle G. Martins
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❝ Métier : Nounou dévouée à la petite marmaille de Lullaby & Aiden
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❝ post-it : Lieux de vie : Pasadena (0-8 ans), Denver (8-20 ans), Austin (20-28 ans), Pasadena (28 ans, aujourd'hui).
Particularités : Ancienne alcoolique, maniaque du ménage, maîtresse d'un chat et d'un chien.
Love : En couple avec Jensen depuis décembre 2015, habite avec lui depuis le printemps 2016.
Animaux : Un chien & un chat
Passe-temps : Lire des romans de Nicholas Sparks, le Sudoku, le tricot, dessiner des chatons.
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❝ autres comptes : Kylian J. Hemsworth (feat. Jamie Dornan) - L'amoureux éperdu qui a décidé de redémarrer sa vie à zéro et peut-être récupérer sa fiancée du passé.
Jezabel M. Sanchez (feat. Sofia Vergara) - La Martha Stewart de sa génération qui aime sa famille plus que tout.
Bennett K. Morrigan feat. Julian Morris - L'ancien militaire qui tente de se définir dans cette nouvelle vie.
Breanna J. Hardy feat. Serinda Swan - L'actrice qui a quitté le rôle d'une vie pour arranger la sienne.
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mot doux de Lenaëlle G. Martins un Jeu 11 Fév - 20:21
Jensenaëlle
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Je me savais incertaine, je ne pouvais pas vraiment le nier, mais je ne pensais certainement pas que ce soit au point que non seulement, Jensen le remarque mais que de plus, il se permette de passer un commentaire à ce sujet pour tenter de me rassurer. Dans un premier temps, je fus quelque peu surprise, mais je n’en fus pas vexée. Pourquoi le serais-je après tout ? Cela me faisait du bien de savoir que je ne me trompais pas, que je ne faisais rien qui soit peut-être exagéré, des trucs comme ça, parce que pout tout dire, c’était probablement ce qui m’inquiétait le plus à ce point. La surprise, le fait qu’il soit content, je m’en étais assurée, alors pour cette partie, tout allait bien, mais la suite était encore à déterminer, surtout en ce qui concernait le fameux pyjama. En fais, j’étais d’avis que c’était ça qui me rendait la plus nerveuse, d’où le fait que malgré ses douces paroles, je demeurai tendue jusqu’à ce qu’il ouvre la boîte et que je voie son expression sur son visage. Celle-ci allait-elle être choquée ? Moqueuse ? Embêtée ? Au final, ce ne fut rien de tout cela; au contraire, il semblait heureux de ce cadeau, comme il me le fit comprendre ne me serrant une nouvelle fois dans ses bras. Maintenant plus que détendue, j’esquissai un large sourire en me disant que je n’avais pas besoin de lui dire qu’il pouvait l’enfiler, compte tenu que si j’étais allée le chercher pour le lui offrir au final, c’était pour qu’il le porte, après tout ! Je me reculai toutefois d’un pas pour lui laisser un peu d’espace, me disant qu’il irait à la salle de bains ou quelque chose comme ça, tandis que de mon côté, je m’occupais des chocolats chauds qui seraient prêts sous peu. Cependant, il ne le fit pas; il se contenta de simplement se dévêtir comme ça, dans le salon, sans tenir compte du fait que j’étais là. Je ne m’en rendis pas compte dans un premier temps, parce que je m’étais dirigée vers le coin cuisine, mais au moment où j’allais le prévenir que j’arrivais avec les boissons sous peu, je le vis de dos, vêtu que de son sous-vêtement, tandis qu’il terminait de se débarrasser de son pantalon. Ce que je fis ? Si j’avais été consciente de mon savoir-vivre, pour sûr je me serais retournée en attendant qu’il ait terminé de se changer, mais là… Je n’y arrivai juste pas. Discrètement, je le regardai enfiler le pyjama en me mordillant la lèvre inférieure, sentant mon coeur manquer un temps tandis que je me disais que, je ne pouvais pas le cacher… Il était quand même bien fait ! Cependant, je fis abstinence de tout commentaire, parce que là, il était certain que je serais éternellement gênée de cela, puis je me dépêchai de reprendre ma contenance lorsqu’il se retourna vers moi, le pyjama maintenant enfilé, et me demanda mon avis. Un petit sourire aux lèvres, clairement soulagée que j’aie choisi la bonne taille et qu’en plus, il lui aille très bien, je lui dis:  « Tu es parfait. » Enfin, je savais bien que je n’avais pas répondu exactement comme j’aurais dû le faire, mais je m’en moquais, parce que je me disais que mon propos disait ce qu’il avait à dire, voire plus encore. Non seulement, cela lui disait que le pyjama y allait parfaitement, mais par ce même propos, je sous-entendais que lui, était juste parfait. Cela faisait un moment que je me le disais, surtout depuis notre premier rendez-vous où je m’étais rendu compte que je n’avais rien à craindre avec lui, que j’avais compris que je venais de rencontrer quelqu’un qui serait capable de m'accepter pour qui j’étais, malgré mes habitudes bizarres et tout ce qui venait avec. Puis, la réaction qu’il avait eue à tout ce que j’avais préparé me l’avait confirmé, faisant en sorte que maintenant, je ne craignais plus de l’avouer. Cependant, parce que je ne voulais pas que la discussion devienne trop délicate, je décidai d'ajouter, d’un ton plus léger:  « Et en plus il fait ressortir tes jolis yeux ! » en riant doucement. Avais-je fait exprès pour ça ? Oui, peut-être un peu, mais bon, je ne le regrettais pas ! Suite à ces mots, les chocolats chauds furent prêts à servir, alors je ne me fis pas prier pour les verser dans deux tasses, ajoutant quelques guimauves sur le dessus et, parce que c’était les fêtes, une canne en bonbon dans la tasse. Je trouvais que cela donnait un petit goût tout simplement délicieux et au pire, si cela ne plaisait pas à Jensen, il pourrait toujours la retirer, la manger ou la jeter, à sa guise. Les tasses à la main, je les apportai et je les déposai sur la table basse en lâchant un petit:  « Et voilà ! » Sur ce, je me relevai, mais pas pour longtemps, le temps de simplement demander:  « Alors, que veux-tu regarder ? Un film ? Ou la télé, tout simplement ? »
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Jensen A. MacCallister
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mot doux de Jensen A. MacCallister un Lun 22 Fév - 0:27

Je m'étais pincé les lèvres en voyant son regard suie à ce qu'elle aurait pu prendre pour une critique. C'était bien loin d'en être une et si je m'étais permis de lui dire ça c'était juste dans le but qu'elle se rassure afin de se sentir plus à l'aise en ma compagnie sans se poser sans arrêt des questions, ça serait mieux pour elle et elle se permettrait peut etre un peu plus de spontanéité. Je m'excusais du regard en me mordillant la lèvre, je devrais peut être tourner 7 fois ma langue dans ma bouche avant de lui parler. Elle était sensible et je le savais en plus. Je ne pouvais que me sentir terriblement coupable, elle voulait être gentille et je trouvais le moyen de lui faire de la peine. Je me serais volontiers frappé la tête contre le mur la tout de suite mais bon, j'avais vu un sourire revenir sur son visage quand j'avais sorti le pyjama de son paquet. Elle était vraiment gentille avec moi, et cette adorable intention me faisait littéralement craquer. Personne n'avait jamais fait quoi que ce soit de ce genre pour moi, avant Lenaëlle. Cette femme allait changer ma vie, je le savais depuis que nous nous étions rencontrés et ça me convenait très bien. Je l'avais observé un moment, ce pyjama. C'était vraiment adorable, la taille semblait bien. J'avais décidé de le passer sans hésiter une seconde de plus en profitant du fait qu'elle soit dans la cuisine. Je crois que même si elle était restée dans le salon avec moi j'en aurais fait de même. Je n'étais pas vraiment quelqu'un de pudique, j'essayais d'avoir un corps agréable à regarder alors autant qu'il soit vu sans vêtements aussi. Biensur j'avais gardé mon sous vêtement, un minimum de pudeur était de rigueur quand même! Même si chez moi, ça m'arrivait de ne pas en porter en dessous du mon pyjama. C'était aussi ça, le bonheur de trainer à la maison. On peut s'habiller comme on veux. L'été, ça m'arrive aussi de dormir complètement nu. M'enfin, ça, ça ne regarde que moi et je ne tiens pas à étaler ma vie tout de même. J'avais passé tout de même le pyjama pour ne pas rester quasiment nu dans son salon tout le reste de la soirée même si j'étais plutôt bien, je n'avais pas trop chaud au moins. Je tirais le t-shirt pour qu'il tombe bien, l'arrangeant au niveau des épaules avant de me retourner vers la jolie blonde près de moi. elle était choue, avec ces rougeurs légères sur les joues. Moi en tout cas je trouvait ça vraiment craquant. Je m'avançais d'ailleurs pour déposer un petit bisou sur sa joue avec tendresse, me regardant en riant dans le miroir qui était présent dans le couloir avant de revenir me planter en face de la jeune femme que je remerciais du regard. « Je sais pas si je suis parfait, je ne pense pas d'ailleurs, mais je fais de mon mieux pour être agréable à regarder! Je crois que ton pyjama contribue beaucoup à ma soit disant beauté! » Lui signalais-je avec un petit sourire amusé, glissant une main douce dans ses cheveux, je n'avais pas envie de la lâcher. J'avais besoin d'elle, plus que d'habitude encore. Elle me faisait des compliments, c'était nouveau ça! J'appréciais beaucoup en tout cas. Non pas que je sois un de ces gars pas humbles pour un sou qui vivent par la flatterie des autres, pas du tout! J'aimais juste savoir que je lui plaisais et sentir ses yeux sur moi. Ca comptait à mes yeux, tout simplement. J'aurais pu l'attraper et l'embrasser tout de suite mais je décidais de prendre mon mal en patience, profitant simplement du moment à ses cotés. « Mes beaux yeux hein? Ben dis donc! T'es drôlement gentille  »  Je secouais la tête et m'asseyais sur le canapé pour prendre ma tasse et siroter le liquide, attrapant la canne dans ma bouche l'air de rien. J'adorais le sucre, je pouvais en croquer comme ça en plein milieu de la journée d'ailleurs mais la l'idée me plaisait assez je devais bien l'admettre. « Hmm un film peut être non? Celui que tu veux, je suis pas super difficile, j'aime tout ! »
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Lenaëlle G. Martins
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mot doux de Lenaëlle G. Martins un Lun 29 Fév - 14:26
Jensenaëlle
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Un haussement d’épaules fut, en mon sens, suffisant pour signifier à Jensen que si j’avais dit qu’il avait de beaux yeux, ce n’était pas seulement parce que je voulais être gentille, mais aussi parce que je le pensais vraiment. Moi ? Subjective ? Oui, c’était fort possible, je devais l’avouer, mais en ce moment, je m’en moquais bien. Si j’avais envie de lui dire qu’il avait de beaux yeux, qui pouvait m’en priver ? Franchement, je ne voyais personne pour le faire en ce moment, tandis que nous étions que tous les deux et visiblement heureux. Bien décidée à ne rien gâcher, je choisis de demander à Jensen ce qu’il voulait regarder. Après tout, c’était sa journée spéciale paresse, alors c’était à lui que revenait l’honneur, à mon avis. Sachant bien que les choix de réponses n’étaient pas très nombreux - émission trouvée au hasard, série ou film à mon avis - je demeurai quand même un peu hésitante quand il me proposa de regarder un film. Pourquoi ? Non pas parce que cela me gênait, que je trouvais ça trop long ou un truc du genre, mais plutôt parce que je me rendais compte qu’en fait, je n’avais pas un répertoire très garni lorsqu’il était question de films. Bien sûr, il m’arrivait d’en regarder hors de ceux que je mettais aux enfants quand je les gardais, mais bien souvent, je me contentais des mêmes, sans parler du fait que - et c’était probablement ça qui me chicotait le plus - ce n’était pas nécessairement des films à regarder avec un homme. Il fallait dire aussi que l’occasion ne s’était jamais présentée avant aujourd’hui. Par conséquent, la grande question se trouva à être : Allais-je trouver quelque chose susceptible de plaire au jeune homme ? Me mettant tout de suite à la recherche de cette réponse, je me relevai pour la dernière fois afin de commencer à fouiller dans l’étagère où je rangeais les quelques DVD que je possédais. Ce fut quelque peu déconcertant de me rendre compte que ceux-ci étaient essentiellement des comédies romantiques ou des classiques un peu barbants quand ils étaient vus trop souvent. Pourquoi ? Parce que c’était souvent ces films que je trouvais à rabais dans les boutiques, sans parler du fait que bien souvent le soir, surtout après avoir travaillé, je ne trouvais pas le courage de regarder quelque chose qui demandait un peu trop de réflexion. Soupirant légèrement en voyant la maigre pile, je me sentis quelque peu coupable de ne rien dire, alors par réflexe, je lâchai un peu convaincant:  « Eh bien… » tout en continuant de regarder ma petite collection. Puis, sachant très bien que je ne pouvais qu’accepter la situation, je finis par dire:  « J’ai… Rain Man, ou The Notebook ? » Évidemment j’étais pu convaincue de mes choix, mais qui le serait dans le cas présent ? Ce n’était pas comme si j’avais les derniers succès de l’année ou que je connaissais le film préféré de Jensen. Pourquoi ne lui avais-je pas demandé d’ailleurs ? C’était une question bien classique il me semble, non ? Avoir su, pour sûr que je lui aurais posée avant de le faire venir ici… Malgré tout, j’avais quand même sorti ces deux-là en me disant que Rain Man, c’était un classique universel et The Notebook… J’avais un faible pour ce film. Fan des romans de Nicholas Sparks qui inspiraient ces films, j’avais cette manie cliché de craquer complètement pour cette histoire touchante à souhait, qui donne envie d’avoir une belle histoire d’amour et vieillir auprès de l’être aimé. Cependant, parce que je ne voulais pas être celle qui oblige son cher et tendre cavalier à regarder des films qui ne lui font pas envie, je choisis d’ajouter par la suite, pour être sûre:  « Mais sinon on peut toujours chercher à la télé, je suis sûre qu’ils passent plein de films de Noël à ce temps-ci de l’année… » En fait, si je voulais utiliser des propos plus crus, je dirais qu’ils en passent carrément tout le temps, mais je ne pouvais pas me permettre de me montrer aussi sarcastique, considérant que je les aimais bien, ces petits films mignons. Avec un sourire, j’attendis donc la réaction de Jensen, ayant volontairement omis de dire que dans le pire du pire des cas, je pourrais également aller fouiller chez son frère et sa belle-soeur pour voir si j’y trouverais autre chose. Pourquoi ? Parce que pour être franche, je n’en avais pas vraiment envie. Peut-être étais-je un peu égoïste, mais même si cette journée venait d’être entamée, je voulais rester dans ce petit cocon qui était en train de se former entre Jensen et moi, parce que je m’y sentais bien, en sécurité et surtout heureuse.
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Jensen A. MacCallister
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mot doux de Jensen A. MacCallister un Mar 15 Mar - 14:33
A bien y réfléchir, personne n'avait jamais rien fait de semblable pour moi, ce genre de journée pour m'aider à me détendre quand je ne bossais pas. M'acheter un pyjama pour une journée devant la télé. Juste pour moi, et avec tellement de gentillesse que ça passait pour un rêve. Pas même ma fiancée à l'époque n'avait fait quelque chose de tel. Et pourtant, nous étions censés être proches et fous d'amour si nous voulions nous marier. Mais non, à bien y réfléchir elle était égoïste. Tout pour elle, du moment que je lui faisais des cadeaux c'était l'amour fou. Si j'avais le malheur de refuser quelque chose c'était les sanglots en me disant que je ne devais pas assez l'aimer. Et pourtant j'avais voulu l'épouser, parce que sur le coup je ne voyais pas tous ses défauts. C'est en rencontrant une femme adorable comme Lenaelle que je me rendais compte de ce que j'aurais pu louper si je métais retrouvé la bague au doigt. Aurais-je pu l'ignorer, et ne pas tomber fou amoureux comme je l'étais en ce moment.Sur le coup je restais totalement sur les fesses en me demandant comment un être si parfait pouvait exister, et surtout perdre son temps avec quelqu'un d'aussi banal que moi. N'était elle pas consciente du joyau qu'elle pouvait être? Une perle.. Ma perle, je l'éspérais. J'avais envie de lui parler des sentiments que j'avais pour elle mais le problème était toujours le même je ne savais pas bien comment le faire. J'avais peur du rejet, peur qu'elle ne me considère que comme un ami je suppose. Ce que je pourrais comprendre, après tout ça arrivait souvent. Les filles peuvent s'attacher à des garçons, en tant qu'amis et ensuite considerer comme impossible toute relation. Mais j'avais tellement envie de construire quelque chose avec elle.Elle, et rien qu'elle. Personne d'autre. Lena était mon évidence. Je sortais de mes pensées en secouant la tête vivement, la suivant du regard tandis qu'elle fouillait parmis ses DVD. Je n'étais pas spécialement difficile, bien au contraire d'ailleurs j'aimais à peu près tous les genres de films possibles que ce soit des anciens, des nouveaux, comédies ou films d'horreur. Puis bon, ce qui comptai le plus aujourd'hui pour moi c'était elle et pas ce qu'on regarderait à la télé de toute façon. « J'ai encore jamais vu The Notebook, mais j'en ai pas mal entendu parler. On pourrait le regarder si tu le connais pas par coeur.» C'était sans doute très féminin comme film, c'était du moins le point de vue de pas mal de gens. Mais j'aimais assez ce genre de films aussi. Comme PS:I Love you, qui est un de mes films favoris dans le genre. Je l'avais regardé avec ma petite soeur, et je pourrais pas dire le quel de nous deux était le plus chamboulé sur le coup et surtout ému. Pas super viril comme attitude, mais j'étais sensible c'était un fait. Elle devait sans doute se dire que je faisais tout ça pour lui faire plaisir et pourtant non, je ne me forçais jamais à quoi que ce soit, ou du moins pas pour mentir ou prétendre aimer des choses de toute façon. Comment quelqu'un peut nous aimer, si on prétend être quelqu'un d'autre? Je secouais doucement la tête en l'entendant, lui adressant un beau sourire. « Oui c'est certain même mais.. Pas besoin je t'assure, ça me va parfaitement. Les films c'est toujours les mêmes, surtout à Noël.» Et les films d'amour, ça réchauffe le coeur puis ça inspire aussi pas mal.Attendant qu'elle mette le film je prenais une gorgée de ma boisson tant que c'était chaud, ne me privant pas pour grignoter un cookie par la même occasion alors qu'un sourire satisfait se dessinait sur mes lèvres. M'installant bien à mon aise, je tapotais la place à mes côtés pour qu'elle vienne se mettre tout contre moi, m'emparant d'une couverture afin d'avoir bien chaud.La journée pouvait commencer.
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Jensenaëlle
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Il ne m’était jamais arrivé avant aujourd’hui de proposer à un homme de regarder un film romantique qu’on pouvait limite qualifier aussi de « cucul » ou bien destiné à un public exclusivement féminin. Non pas parce que je m’étais gênée précédemment, mais surtout parce qu’en toute vérité, l’occasion ne s’était jamais vraiment présentée. C’était surtout dû au fait que les années suivant mon divorce, je ne m’étais jamais sentie prête à faire confiance à un homme de nouveau. Profondément affectée par les mauvais traitements de mon ex-mari, du triste sort qu’il avait réservé à notre fille qui n’avait jamais vu le jour, j’avais toujours pris peur, je m’étais constamment recluse, pour finir par ne plus vivre comme je pourrais le faire. Mon arrivée à Pasadena m’avait poussé à changer cela, mais encore plus Jensen. Avec lui, je me sentais bien, je sentais que je pouvais atteindre de nouveaux sommets. Tomber amoureuse de nouveau ? Maintenant, j’y croyais, même si je n’en tenais pas mot, parce qu’évidemment, ce n’était pas parce que je me sentais confortable que pour autant, je ne sentais pas le besoin d’être prudente, de ne pas sauter à pieds joints en ne sachant pas si j’ai un élastique pour me retenir. Par contre, en ce moment précis, mes doutes, mes hésitations, mes propres craintes n’avaient pas d’importance. L’essentiel était de passer une journée avec Jensen, une journée faire pour lui, où son bonheur était ma priorité. Il fallait que j’avoue que c’était loin d’être une priorité qui apparaissait comme un devoir à mes yeux, c’était largement l’inverse. C’était un plaisir, une véritable joie pour moi de le voir heureux, et je me disais que je voudrais le voir ainsi constamment quand il était avec moi. J’espérais juste que pour le coup, le fait que je mette ce film ne ferait pas en sorte de l’embêter, l’endormir ou un truc du genre. Cependant, quand je vis qu’il avait réitéré sa réponse, même après que je lui ait dit dans un petit rire nerveux:  « Je ne le connais pas par coeur, mais j’ai lu le livre des tonnes de fois… » je me dis que je pouvais tenter le coup et au pire, il y aurait toujours moyen de changer pour un film de Noël ou quelque chose du genre. Et puis, comment aurais-je pu me raviser après avoir vu une nouvelle fois son magnifique sourire ? Pour moi, ce n’était juste pas possible de lui refuser quoi que ce soit avec cette bouille sublime. Lui souriant donc à mon tour, je n’attendis pas plus longtemps pour ouvrir le boîtier contenant le film - le bon film, c’était certain, parce que je ne supportais pas de savoir qu’il y avait eu des mélanges non-voulus - et l’insérer dans le lecteur DVD. L’invitation silencieuse que mon charmant invité me lança en tapotant les coussins lorsque je me fus relevée arriva juste à temps, et avec un sourire, je ne me fis pas prier plus longtemps pour m’installer non loin de lui. Évidemment, par question de principe pour moi, je ne m’étalai pas de tout mon long sur lui, me contentant de simplement m’asseoir à ses côtés, non loin, évidemment. Puis, télécommande en main, je mis le film en marche. Sans rien dire dans un premier temps, je commençai à regarder ces images que j’avais vues plus d’une fois, mais devant lesquelles je me mettais toujours à rêvasser. Ce couple qui tombait amoureux, malgré ce qui les séparait, malgré les circonstances… N’était-ce pas une histoire magnifique ? En tout cas, pour moi, ce l’était, et quand venait le temps de rêver à une histoire d’amour qui durerait pour toujours, avec un homme qui m’aimerait jusqu’à la toute fin… Je devais me déclarer coupable. Cependant, pendant longtemps, je m’étais dit que ce genre d’histoire ne se déroulait que dans les films, qu’il n’y avait pas moyen que j’aie une histoire comme ça dans la vraie vie… Inévitablement, je recommençai à y songer, mais cette fois-ci, je ne soupirai pas en chassant ces idées… Au contraire, je les sentis s’encrer dans mon esprit, puis je me retrouvai à regarder Jensen un instant, me surprenant à imaginer que nous regardions ce film avec dix ans, vingt ans de plus, avec la même tendresse, la même affection… Inutile de mentionner, c’était là une image magnifique qui me donna soudainement envie de me blottir un peu plus contre lui. Hésitante dans un premier temps, je finis par finalement céder et je me rapprochai quelque peu de sa personne, posant doucement ma tête sur mon épaule. Sitôt, j’eus l’impression que la position que j’avais adoptée précédemment, quoique confortable, n’avait pas lieu d’être. C’était ainsi, tout contre lui, que j’étais vraiment bien, que je me sentais en sécurité, que je me sentais heureuse… Jamais je pensais trouver un pareil confort, mais pour sûr, maintenant, je ne voulais pas le lâcher.
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Jensen A. MacCallister
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mot doux de Jensen A. MacCallister un Dim 27 Mar - 17:33
Cette journée était un assez bon début. Une première fois, quelque chose de vraiment nouveau. En attendant en tout cas je profitais de ce moment comme jamais tant c'était incroyable. Elle me donnait foi dans le genre humain tant c'était quelqu'un d'adorable. J'en oubliais toutes les attrocités commises par d'autres humains quand Lenaelle me faisait voir à quel point certains pouvaient être adorables. Elle était tellement parfaite. Comment pouvait elle faire tout ça pour un homme aussi banal que moi? Elle semblait tellement sensible, vulnérable. J'avais seulement envie de la protéger la tout de suite et c'était ce que je ferais sans doute si elle me laissait rester dans sa vie. C'était ce que je souhaitais, faire partie de sa vie de manière intégrante. Je la regardais avec reconnaissance, me regardant pour observer le pyjama qu'elle m'avais offert. C'était vraiment mignon, de plus en plus de minute en minute. Je me rendais compte combien je me sentais bien ici près d'elle. C'était comme être chez moi, mais en mieux. Je me sentais à ma place encore plus que dans mon propre salon. Et je ne pouvais pas m'empêcher de la contempler avec des yeux pleins de tendresse. J'aurais voulu lui dire pleins de choses en ce moment même mais pour le moment je ne trouvais pas encore les mots. J'éspérais juste que je saurais quoi lui dire d'ici la fin de la journée, elle méritait que je lui dise tant de choses, et puis j'avais besoin de me libérer l'esprit aussi en lui avouant tout ce que j'avais sur le coeur. Que du positif biensur, je voulais tout simplement lui dire à quel point je l'aimais. Mais j'avais aussi tellement peur de me faire rejeter par la femme que j'aimais le plus en ce monde. Alors évidemment, ça rendait les choses pas mal compliquées en ce moment même. La peur de lui dire les choses, mais également celle de ne rien dire et le regretter tout le reste de ma vie en me disant que j'avais fais le mauvais choix en étant un type lâche. Je me sentais détendu et étendais mes jambes avec un sourire heureux, posant mes yeux dans les siens en l'écoutant sans me lasser une seule petite seconde. « Ah bon? Ben dis donc, faudra surement que tu me le prêtes si le film me plait à moi aussi, tu veux bien? Allez, fais moi découvrir! » Lui lançais-je avec entrain, pressé de découvrir le film si l'histoire lui plaisait tant que ça. Je voulais juste connaitre tout ce qui lui plaisais, comme ça je pourrais mieux la comprendre et puis lui faire plaisir à elle aussi. C'était la moindre des choses après tout. Et c'était ce qu'on faisait par amour généralement, apprendre à connaitre l'autre. Je repliais mes jambes contre moi pour être à l'aise. Elle était à portée de main, tout près de moi. D'un seul mouvement de bras j'aurais pu l'enlacer, et l'avoir tout contre moi. Mais je ne voulais pas l'inquiéter du coup je prenais le temps sans la brusquer et c'était plutôt agréable comme ça aussi, en me contentant de sa présence. Nous aspirions tous à une histoire d'amour non? Une vraie belle histoire d'amour, aussi fabuleuse que celle des films de ce genre. Moi aussi je rêvais d'une déclaration d'amour sous la pluie, à de longs baisers pleins de tendresse sous les étoiles. C'était plutôt merveilleux ce genre de moments dans les films, les longs regards pleins de tendresse. L'évidence qu'on trouve dans les films, je la retrouvais chaque fois que je posais les yeux sur Lenaelle. Je tournais les yeux quelques instants vers Lena alors qu'une musique se faisait entendre. Ca aussi, ça arrive que dans les films. Les musiques qui vont terriblement bien avec le moment et le rendent encore plus mignon qu'il ne l'est. Malgré moi j'avais un sourire niais collé aux lèvres, tant à cause du film qui démarrait que par la présence de la jolie blonde. Je basculais ma tête tout contre la sienne quand elle la posait sur mon épaule, soupirant de bonheur sur le coup. Elle était enfin la, près de moi. Plus près de moi que jamais. C'était peut être bien le moment non? Je me mordillais légèrement la lèvre et passais ma main le long de sa joue pour remonter son visage vers moi, plongeant mes yeux dans les siens. « Tu sais quoi..? La vérité c'est que.. La plus belle histoire d'amour que j'ai envie de voir naitre, c'est.. la notre et pas celle d'un couple dans un film. Parce que depuis que je te connais tout a changé pour moi. Je t'aime comme j'ai jamais aimé personne, et comme jamais aucun personnage de film n'a du aimer l'autre. T'es mon évidence, et ce que je veux le plus au monde. Je veux faire de toi une femme heureuse, parce que chaque fois que t'es à mes côtés c'est magique. Et.. Si je t'ai rien dis c'est juste parce que j'ai peur de te perdre. Mais je peux plus garder ça pour moi tout seul. Alors..» Je me mordais légèrement la lèvre et m'approchais, appuyant mes lèvres tout contre les siennes en un long baiser plein de tout l'amour que je pouvais ressentir pour elle.
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Lenaëlle G. Martins
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mot doux de Lenaëlle G. Martins un Lun 28 Mar - 17:07
Jensenaëlle
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Je dus admettre que cela m’amusa et m’étonna que Jensen manifeste son désir de lire le roman lié au film si jamais ce dernier lui plaisait, mais je n’en fis pas tout un cas. Pourquoi ? Parce que je ne me voyais pas vraiment le lui reprocher, me disant que non seulement, cela me ferait un point en commun avec lui, mais de plus, que cela me prouvait, en quelques sortes, la sensibilité qu’il pouvait avoir et qui, je devais l’admettre, me plaisait énormément. Dès le début de notre fréquentation, j’avais compris qu’il faisait attention, ne ressentait pas le besoin de prendre toujours le dessus, et maintenant, j’étais d’avis que c'était ce qui faisait en sorte que je me sentais si bien avec lui, que pour la première fois depuis longtemps en sécurité avec un homme. Pendant maintes années, j’avais été on ne peut plus méfiante. Même au début, j’avais des craintes, mais aujourd’hui, je me rendais compte qu’avec Jensen, ces craintes n’avaient plus raison d’être. Il faisait plus attention à moi que quiconque ne l’avait fait depuis des années, depuis mon enfance si je considérais que le seul à s’être comporté ainsi avec moi était mon paternel. Ce sentiment de sécurité, de bien-être, était essentiel pour moi, et c’était ce qui me faisait comprendre, en ce moment précis, installée dans ce canapé, que ce jeune homme pour qui j’avais tout préparé ça, comptait énormément pour moi, probablement plus que quiconque. Mais est-ce que c’était la même chose pour lui ? Vu comment la journée se déroulait, je me disais que oui, même si je n’en avais pas encore eu la confirmation claire et concrète. N’osant pas m’avancer pour le coup, je me contentai d’aller en quête d’un indice et ce, sans m’en rendre compte, en posant ma tête sur son épaule. Pour mon plus grand bonheur, il sembla plutôt réceptif à ce simple geste, puisqu’il posa à ton tour sa tête sur la mienne, m'arrachant un petit sourire. Sur ce, je tentai de reporter mon attention sur le film, mais pour tout dire, je n’arrivai pas vraiment à me concentrer sur ce qui se disait, ce qui se déroulait à l’écran. Je ne bougeais pas, je regardais toujours cette histoire d’amour magnifique, que tout le monde rêve d’avoir, mais au fond, je ne faisais qu’à penser à comment j’étais bien, à comment je voudrais que cette journée ne se termine jamais, ou bien avoir la certitude que je pourrais répéter l’expérience à un moment ou un autre, avec Jensen et personne d’autre. J’en venais même à me dire que si c’était ainsi que Jensen voulait passer toutes ses journées libres, alors je ne me ferais certainement pas prier pour l’exaucer… Puis, au moment où je me disais que je ne devrais pas, encore une fois, commencer à voir trop loin, même si clairement, il était de plus en plus difficile de résister, la caresse délicate du doigt de mon beau cavalier me tira de mes pensées. Inévitablement, je plongeai mon regard dans le sien, n’ayant à cet instant que d’yeux et d’oreilles pour lui, et lui seulement. Nous n’étions pas dans un paysage à couper le souffle, ni sous la pluie, rien de tout cela, mais pourtant, j’eus l’impression que ce moment était plus beau que n’importe quel film que j’avais pu voir, n’importe quel roman que j’avais pu lire - et des romans à l’eau de rose, j’en avais lu des tonnes. Alors qu’il y a quelque temps, j’aurais probablement été prise de panique devant une telle déclaration, encore et toujours parce qu’avant de rencontrer Jensen, je ne me voyais pas sauter à pieds joints dans une nouvelle histoire d’amour, là, je ne sus que m’en montrer émue. Mon coeur commença à battre plus fort, soudainement rempli d’amour pour cet homme que j’affectionnais depuis un bon moment maintenant, pour qui j’avais envie de tout faire, avec qui je voulais passer mon temps, avec qui je voulais vieillir… Et là, j’avais cette certitude, cette confirmation que c’était réciproque. Puis, alors que je me disais qu’il ne saurait probablement pas me rendre plus heureuse que par ces mots, il approcha son visage du mien, et comme si c’était la chose la plus naturelle du monde, nos lèvres se scellèrent en un tendre baiser, ce genre de baiser si délicieux que j’eus l’impression pendant un instant que le monde autour de nous n’existait pas. Il n’y avait que nous deux, nous deux dans le plus beau des mondes, un monde rempli de bonheur et d’amour. D’accord, peut-être était-ce un peu cliché, mais… Ne voulait-il pas la plus belle histoire d’amour qui soit ? En tout cas, moi je savais que c’était ce que je voulais également. Cependant, compte tenu du baiser que nous étions en train d’échanger, je ne sus pas lui dire dans l’immédiat, mais je lui fis savoir aussi bien que possible en répondant à son baiser avec tendresse, en venant même à me blottir un peu plus contre lui, passant mon bras libre autour de son épaule pour le garder contre moi. Le mieux dans tout cela, c’était que rien de tout cela me paraissait inconfortable, au contraire; c’était comme si ce baiser aurait dû arriver il y a longtemps, comme si nous étions destinés à être ensemble, comme actuellement. Pourquoi avait-il fallu tant de temps pour se trouver ? Je n’en savais rien, mais une chose était certaine à présent, c’était que je ne voulais plus perdre une seule seconde. À bout de souffle au bout d’un moment, je rompis le baiser, gardant toutefois mon visage contre celui de Jensen, un sourire aux lèvres, des étoiles plein les yeux. Émue, maladroite, je ne sus pas lui offrir un discours aussi merveilleux que celui qu’il m’avait fait, et je m’en sentais quelque peu coupable, mais j’espérai rattraper le coup en lâchant avec une sincérité qui me rendait limite vulnérable, mais qui ne me dérangeait pas au final:  « Tu ne me perdras pas… Je ne veux pas que tu ailles où que ce soit… Je veux encore te rendre heureux… Je veux passer du temps avec toi… » Je me rendis compte que dans mon petit discours bien à moi, j’étais sur le point de lui dire "Je veux vieillir avec toi, qu’on ait des enfants, qu’on soit heureux" mais je me rendis compte que pour le coup, c'était un peu exagéré et pour sûr, je ne voulais pas gâcher le moment. Je finis donc par dire, limite les larmes aux yeux tant j’étais heureuse, heureuse et amoureuse:  « Je t’aime aussi Jensen… »
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mot doux de Jensen A. MacCallister un Sam 16 Avr - 21:13
Elle me faisait rire parfois dans la façon qu'elle avait de me regarder, elle semblait surprise de certaines de mes réactions comme si elle s'attendait à autre chose venant de ma part. Au fon c'était plutôt plaisant l'idée de surprendre la personne qui me plaisit, ça prouvait qu'elle avait encore beaucoup à apprendre à mon sujet! Puis j'éspérais bien la surprendre en bien. Hé oui j'avais beau être un homme, aimer être viril, j'admettais bien volontiers aimer les belles histoires d'amour comme celles dont semblait parler ce film qu'elle venait de lancer. Puis étant fan de lecture aussi, dans le genre bonne soirée lecture au coin du feu, si je pouvais me plonger un peu plus dans l'histoire en lisant le livre dont il était tiré c'était tout bénéfice. Je lui jetais quand même un petit regard amusé à mon tour en réponse au sien. Quelle belle journée en prévision, elle avait des idées fabuleuses. C'était sans doute déjà, et de loin, la journée la plus agréable que j'ai pu passer. D'habitude je travaille ou alors je me retrouve tout seul dans mon chez moi. Une journée avec Lenaelle qui prend soin de moi, que demander de plus hm? J'aurais bien des idées mais chaque chose en son temps, pour le moment j'étais déjà l'homme le plus heureux du monde et je ne permettrais à personne d'en douter et c'était peu de le dire. J'aimais assez bien l'air que je voyais sur son visage, elle avait l'air aussi heureuse et épanouie que moi en ce moment même. Je m'avançais pour déposer un rapide petit bisou sur sa joue  avant de me remettre bien en place pour regarder le film, gardant ma tête tout contre la sienne. Je pouvais sentir l'odeur de son shampoing, et celui de son parfum qui remontait vers mon nez, que je pouvais me sentir bien! J'aurais eu tant de choses à lui dire, et j'avais envie d'ouvrir mon coeur mais j'avais du réfléchir un petit moment quand même pour trouver les mots justes. Avouer son amour ne se résume pas à un je t'aime quand les sentiment sont aussi grands.Dans les films il suffisait parfois pourtant de ces deux mots.. Je t'aime. Ca semble bien simple. Parfois sinon la déclaration était remplacée par un long et langoureux baiser sous la pluie pour couper court à des mots qui justement n'en disent pas à ça. Mais malgré mes études dans le médical je me sentais comme un homme de lettres parfois et donc à défaut d'être poète je voulais au moins lui ouvrir mon coeur dans les formes avec une vraie déclaration d'amour dont elle se souviendrait et ce même si au final c'était un râteau que je prendrais. Je ne voulais pas être un homme parmis d'autres, puisque je me doutais parfaitement que je n'étais pas le premier à craquer pour la jolie blonde. Elle était parfaite. Comment un homme normalement constitué aurait il pu passer à côté d'elle sans la remarquer? Inconcevable.
Puis si comme moi elle aimait les films d'amour, ce qui semblait bien être le cas, elle avait déjà du voir des centaines de déclarations d'amour toutes plus belles les unes que les autres puisqu'elles n'étaient pas spontanées mais scénarisées, ce qui permettait généralement aux choses de sortir bien plus facilement sans que les sentiments ne viennent faire trembler la voix, serrer la gorge, faire monter le rouge aux joues alors que les yeux peuvent être à la limite du larmoiement. Ouai j'étais ce genre d'homme et je n'en avais jamais eu honte. Je reprenais mon souffle d'ailleurs une fois tous ces mots sortis. Peut être pas comme je le souhaitais mais je ne pouvais pas être plus sincère dans mes paroles. Tout n'était que la pure et stricte vérité. L'expression même de mes sentiments. Pour ne rien vous cacher, je me sentais un peu en apné la tout de suite à attendre sa réaction. Mon coeur battait la chammade et mes yeux scrutaient chaque centimètre carré de son beau visage, cherchant la moindre réaction. Qu'est ce que c'était angoissant! Je ne pouvais pas attendre plus longtemps et j'avais décidé d'en avoir le coeur net en l'embrassant, afin de la faire réagir. Soit positivement, soit en me repoussant et alors je comprendrais. Je ne me vêxerais pas, c'était son choix et je le respectais d'ailleurs. Mais non rien ne se passait de négatif, nous nous embrassions comme j'avais tant de fois rêvé de le faire. Je passais mes bras autour d'elle en une étreinte tendre et chaleureuse. Même en y réfléchissant bien je ne me souvenais pas avoir déjà connu un jour quoi que ce soit de semblable. Lenaëlle était mon exception. Ma préférence à moi comme le dit la chanson. Je sentais son corps chercher le contact du mien, et je me sentais totalement heureux. Pleinement comblé. J'en aurais presque pleuré de bonheur sur le coup. J'avais de moi même détaché nos lèvres pour lui donner finalement une chance de parler, passant ma main sur sa joue avant de remettre ses cheveux bien en place derrière son oreille, plongeant mes yeux dans les siens. Quand enfin j'avais pu entendre le son de sa voix je m'étais légèrement mordu la lèvre, les yeux pétillant de bonheur. J'avais vraiment du mal à le croire mais c'était comme un rêve qui se réalisait. « C'est vrai.. Tu m'aimes? Tu m'aimes vraiment? Toi, aussi géniale que tu es..? Tu peux avoir envie d'offrir ton coeur à quelqu'un d'aussi singulier que je le suis? » Murmurais je doucement, serrant la main de la jolie jeune femme dans la mienne en nouant nos doigts ensembles, la rapprochant de moi pour lui faire un calin. Je souriais grandement , hochant la tête. «  J'éspère bien ne jamais te perdre, je tiendrais pas. T'es la meilleure chose qui me soit arrivé. Tu me combles la tout de suite, et .. Wow.. Je me sens sur un petit nuage. Je suis sur que pleins de belles choses nous attendent maintenant! Tu verras. Je te comblerais de bonheur. Tu seras ma reine.  »
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Lenaëlle G. Martins
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mot doux de Lenaëlle G. Martins un Lun 18 Avr - 13:31
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Jensen me demanda limite de confirmer ce que je venais de lui dire comme si mes propos ne lui semblaient pas réel alors que pour tout dire, c’était plutôt moi qui avais l’impression que ce n’était pas réel. Non pas que je ne croyais pas ce qui était en train de se passer, mais parce que j’avais le sentiment que les propos du jeune homme étaient trop parfaits pour être réalistes. Si mon m’avait demandé si un jour je pensais qu’on dirait de moi que j’étais géniale alors que je me trouvais devant un homme parfait qui se disait singulier, je répondrais pour sûr par la négative, parce que personnellement, je ne pensais pas que j’étais si géniale que ça. J’avais mon histoire, remplie d’erreurs, remplie de regrets avec lesquels je tentais de vivre, malgré lesquels je voulais continuer de progresser à petit pas même si pour le coup, aujourd’hui, ce n’était pas un petit pas que je faisais, mais ce qui me semblait être un saut dans le vide, un saut dans le vide qui ne me faisait plus peur, qui me faisait sentir légère, qui me faisait sentir bien. Ce qui me fit comprendre que tout cela ne saurait être plus vrai, que ce rêve était en fait une réalité, ce fut au moment où je m’osai à poser mes doigts sur la joue de Jensen, tout en douceur, et que je pus sentir le contact de sa peau sous ma main, ce contact si doux malgré sa petite barbe naissance qui lui allait, en mon sens, à merveille. Puis, je lui confirmai ce que je lui avais dit dans un hochement de tête et un sourire qui se rompit au moment où je lui dis, avec une sincérité qui m’émeut moi-même:  « Tu n’as rien de singulier Jensen, crois-moi… » Si je ne m’étais pas arrêtée là, j’étais persuadée que j’aurais pu passer des heures à lui dire pourquoi je tenais un tel propos. Comment je pensais qu’il était attentionné, doux, romantique. Je serais peut-être même allée à lui dire qu’il était le premier à me redonner confiance en l’amour, au fait d’être heureuse avec quelqu’un d’autre pour la première fois en dix ans, alors que clairement, cet espoir s’était éteint en moi depuis longtemps maintenant. Mais parce que je ne voulais évidemment pas gâcher le moment, je me contentai de ne rien dire, puis de me serrer contre lui quand il m’accueillit de nouveau dans ses bras. Lovée contre sa poitrine, je considérai nos doigts entrelacés de façon si simple, si naturelle, puis je l’écoutai sans rien dire, affirmer que j’étais la meilleure chose que je lui sois arrivée, sa promesse de me combler de bonheur à laquelle je voulais croire. En fait, je ne voulais pas qu’y croire, j’y croyais, je croyais chacun de ses mots, sans méfiance, sans aucun doute. Je n’avais pas envie de douter, je n’avais pas envie de me méfier. Je voulais simplement profiter du moment, de ce moment en particulier si précieux, si touchant que je me surpris à commencer à voir nos mains ensemble de façon plus embrouillée. Non pas que j’avais une faiblesse ou quoi que ce soit, simplement parce que je me rendais compte que mes yeux commençaient à se remplir d’eau, de larmes d’émotion, de bonheur, ce bonheur que je croyais perdu à tout jamais. Il n’y avait rien de mal à ça à mon avis, mais malgré tout, je fermai momentanément les paupières de sorte à chasser ces larmes, histoire de ne pas semer aucune confusion. Cela fit en sorte que je servis très certainement un regard brillant, plus brillant qu’à l’habitude, j’en avais conscience, mais je m’en moquais très bien. Je demeurai ainsi à considérer mon bien-aimé un petit instant, puis à voix basse, je lui dis:  « Pourrais-tu être plus parfait que tu ne l’es en ce moment ? » Suite à mon propos je ris doucement, histoire de signifier que c’était une blague et que par ces mots, je voulais simplement lui signifier que j’étais tout simplement aux anges, qu’il était ma perfection, voilà tout. Au fond, peut-être que ce propos n’était pas une blague ? Peut-être que Jensen était tout simplement parfait, parfait pour moi ? Je n’avais aucun mal à y croire en ce moment, pour être honnête. Par contre, je sentis que mes mots n’étaient pas suffisant pour exprimer à quel point j’étais aux anges, moi aussi, et que je voulais également lui promettre que je ferais mon possible pour le rendre heureux, que cette journée que je lui avais organisé, ce n’était que le début de ce que je voulais faire pour le combler. Histoire de pallier à ce qui semblait être pour moi un manque, je relevai mon visage, puis ce fut à mon tour d’approcher mes lèvres des siennes pour y déposer un baiser avec tout autant d’amour que le premier, mais peut-être avec un peu plus de passion et d’intensité, parce que je savais maintenant que je n’avais pas à crainte de me faire rejeter ou quoi que ce soit. J’avais maintenant la confirmation que nous étions faits pour être ensemble, que nous avions envie de l’être, et je n’avais pas besoin de plus en ce moment pour être heureuse. En ce moment, Jensen faisait absolument tout mon bonheur, et je ne voulais certainement pas que ça change, pas maintenant, pas plus tard, plus jamais en fait.
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Jensen A. MacCallister
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mot doux de Jensen A. MacCallister un Dim 8 Mai - 18:37
J'avais beaucoup de mal à comprendre que je pouvais l'intéresser du coup je ne pouvais pas m'empêcher de lui demander confirmation même si ça devait lui sembler totalement stupide. Pouvait on vraiment m'aimer encore? Est ce que je vallais le coup? Je m'étais tellement de fois posé les questions après m'être fait planter par ma dernière fiancée qui avait préféré faire de moi un cocu avant l'heure, heureusement. Me marier pour divorcer dans la foulée ne m'intéressais pas franchement comme projet dans la vie. Je voulais une relation sincère, pleine d'amour. Quelque chose de romantique. Et j'attendrais la bonne personne pour me marier une seule et unique fois dans ma vie. Un mariage avec une femme unique avec qui fonder une famille et me sentir bien. Mais si on me quittais ou on préférais quelqu'un à moi c'était peut être bien parce que je n'en vallais pas le coup. Mais pourtant elle avait fait tout ça pour moi, elle était tellement adorable et redoublais de gentilles attentions. J'avais du mal à réaliser qu'on puisse avoir envie de faire quoi que ce soit pour moi. La dernière personne qui avait pris soin de moi ça devait être mon grand frère quand j'étais gamin, ensuite les filles que j'avais fréquenté c'était plutôt moi qui redoublais de petites attentions. Lenaelle était différente, de plusieurs manières d'ailleurs. C'était une exception. J'avais appuyé ma joue tout contre sa main, fermant les yeux à cette tendre caresse. C'était tellement agréable comme contact. J'aurais voulu que ça ne cesse jamais d'ailleurs si possible. Je soupirais en posant ma main contre la sienne pour faire durer un peu plus, un sourire étirant mes lèvres. « C'est vrai c'est ce que tu penses? Je te trouve unique toi aussi. T'es une perle Lena.» Lui soufflais-je en toute sincerité, mes yeux dans les siens. Un doux feu me consumait la poitrine en ce moment même alors que mon coeur battait plus fort que jamais. C'était le bonheur parfait. Je me sentais heureux près d'elle et la journée devait continuer, c'était une necessité. Chaque minute qui passait me semblait mieux que la précédente. J'aurais pu passer la journée et la nuit entière à lui dire toutes les raisons qui avaient fait que mon coeur se mette à battre pour elle. Que ce soit l'éclat de ses yeux, le son de son rire, la beauté de son sourire. J'aimais la voir jouer avec les gamins quand elle travaillait pour mon frère. Elle était gentille de nature, elle n'avait pas à se forcer. Elle avait juste un coeur immense comme on en voyait peu. J'aimais le son de son voix, la douceur de sa peau. Sa sincerité, son enthousiasme. Avec elle j'ouvrais simplement mon coeur, je lui disais les choses comme elles étaient. Je savais qu'elle avait déjà beaucoup souffert dans la vie, alors je serais bien le dernier à vouloir lui faire le moindre mal en faisant mal les choses ou en la décevant. Ce que je voulais vivre avec elle était tout ce qu'il y avait de plus serieux. Je voulais qu'elle en soit absolument certaine. Mais a son regard je pouvais voir qu'elle croyait en moi, et c'était surement la plus belle chose que je puisse voir. Je me penchais pour déposer un petit bisou sur sa joue en voyant ses yeux fermés un bref instant, bon sang qu'elle pouvait être belle! Dans nos yeux brillaient une lueur nouvelle, celle d'un nouvel espoir naissant à partir d'un amour partagé. La vie nous donnait à tous les deux une nouvelles chance d'être heureux. Je ne comptais pas la laisser filer, pour rien au monde même. Nous tenterions cette chance à 100% et j'avais un bon pressentiment. Ca se passerait bien! Je n'avais pas d'inquiétude, nous nous connaissions déjà bien quand même et je savais qu'elle me correspondais de bien des façons. Qu'est ce qui pourrait se montrer rédhibitoire? « Je suis loin d'être parfait alors je suppose que je peux faire mieux! »

Je posais ma tête tout contre la sienne, nouant nos doigts en soupirant de bonheur. Je ne prétendrais jamais être parfait, ce n'était pas mon genre de frimer ou me voir mieux que je l'étais. Généralement c'était plutôt le concret, mon opinion de moi même avait vite tendance à virer au négatif. Trouver les mots pour décrire le bonheur que je ressentais aujourd'hui me semblait impossible en tout cas, tout ce que je peux vous dire que les regards longs et amoureux que nous nous lancions n'avaient besoin d'aucun mots. Et quand nos lèvres se joignaient j'étais sur un petit nuage, dans notre bulle rien qu'à nous. Car oui, à partir de ce jour, nous étions devenus un Nous. Et si l'histoire venait de débuter, je savais que chaque jour à venir écrirait la suite de cette belle histoire d'amour qu'aucune histoire disney ne saurait égaler.


FIN
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