HARDY, Breanna ▬ There are worst things I could do
l'avatar des scénarios ou membres des familles
sont totalement discutables pour autant qu'ils ne soient pas dans le bottin !
Venez car plus on est de fous et plus on rit, non ?
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bonjour les YFTiens
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HARDY, Breanna ▬ There are worst things I could do


→ YOUR FAMILY TREE :: la naissance et les actes et vous avez une famille :: A chacun ses papiers relous :: Ils sont validés
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Breanna J. Hardy
Breanna J. Hardy
et oui, j'habite a pasadena tout comme toi
et peut-être que je te saluerais !
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❝ Métier : Actrice.
❝ cupidon : Il a pris mon coeur et l'a déchiré en mille morceaux.
❝ post-it : Lieux de vie : Pasadena, Paris, Hambourg, Londres, Pékin, Los Angeles. Et ça, c'est sans compter les voyages un peu partout dans le monde, souvent pour des raisons humanitaires !
Études : Politique et relations internationales, à UCLA.
Particularités : Tatouage d'un oiseau bleu sur la cheville droite, polyglotte (anglais, français, espagnol, allemand).
Enceinte depuis le début du mois de juillet. Mais ce n'est pas la nouvelle la plus joyeuse qui soit...

❝ pseudo : Mayiie
❝ crédits : (c) Mayiie & Tumblr
❝ avatar : Serinda Swan
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❝ autres comptes : Lenaëlle G. Martins - Julianne Hough
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mot doux de Breanna J. Hardy un Mer 20 Juil - 17:10
Breanna Jaclyn Hardy
  I’m not exactly the best example for healthy grieving.
  featuring Serinda Swan, je suis un lien de famille prédéfini
Prénom ► Breanna Jaclyn Selon ce qu'on m'a dit, au départ, mon prénom devait être que Bree. Mes parents y ont ajouté le Anna parce que ma tante, qui portait ce prénom, est décédée quelques semaines avant ma naissance, du coup ils ont cru bon de l'ajouter. Parce qu'évidemment, il n'était pas question de changer mon second prénom, minutieusement choisi en l'honneur de la première dame Jaclyn Kennedy. Mais de toute façon, les gens m'appellent davantage Bree que Breanna. Age ► Trente-trois ans. Date de naissance ► 27.03.1983 lieu de naissance ► Pasadena, Californie, USA. métier ► J'ai fait mes études en politique avec une mineure en relations internationales, mais ma vie professionnelle a pris un tout autre tournant. Depuis ma sortie de l'université, soit depuis dix ans maintenant, je suis actrice. J'ai commencé avec des petits rôles, puis des rôles plus importants dans plusieurs films. Au mois de janvier dernier, j'ai décroché le rôle principal d'une série qui devait être lancée cet automne. Je viens de mettre fin à mon contrat pour cette série afin de prendre une pause et revoir mes choix et orientations de carrière. origines ► Américaine pure souche, donc plusieurs générations. love ► Actuellement, je suis célibataire. Plus jeune, j'ai eu quelques relations, mais depuis maintenant dix ans, je ne peux pas dire que j'ai eu une vie amoureuse stable. Je n'ai jamais aimé exposer mes relations en public, même si bien souvent, c'était fait contre mon gré, et je n'ai pas voulu imposer ça à qui que ce soit. Maintenant, je me dis que pour le moment, peut-être que c'est mieux comme ça. hobby ► faire du jet-ski, aller à la salle de sport, regarder les actualités au niveau international, aller au théâtre, faire des sushis maison. le plus beau souvenir ► Il ne s’agit pas d’un souvenir en particulier, mais un amas de souvenirs que je pourrais placer dans la catégorie « ces moments tout simples qui deviennent spéciaux avec le temps ». Ce jour où mon père est venu me chercher à l’école avec ma soeur pour aller manger une glace, se permettant d’être papa et non ambassadeur pendant une petite heure, ce jour où grand-père a passé près de deux heures à me parler de son jeune temps, une bataille de riz pendant la préparation de sushis avec mon frère. Tous ces moments, bien souvent liés à ma famille, sont réconfortants, et sont ce que je considère comme les plus beaux dans ma mémoire. le souvenir que vous voulez effacer ► Je ne peux pas dire que c’est le soir où ce réalisateur a abusé de moi après m’avoir droguée, parce que je ne m’en souviens déjà pas. Ce dont je me souviens toutefois, c’est le lendemain matin, quand je me suis réveillée, quand j’ai compris avec un peu de déduction ce qui s’était passé. Ce que je voudrais effacer, c’est ce regard pervers qu’il avait envers moi, la fierté dont il s’enorgueillit par après, me disant que je ne pourrais rien faire contre ça, parce que je ne me souvenais pas, parce qu’aux yeux de tous, je semblais consentante et tout ce qui venait avec. Ce sentiment horrible qui m’a habitée à ce moment, et qui m’habite encore aujourd’hui, pour sûr je voudrais l’effacer. Pour sûr je voudrais effacer cette soirée à tout jamais, parce qu’elle m’a complètement brisée. qualités ► Perfectionniste, rêveuse, généreuse, indépendante, bosseuse, sociable, loyale. défauts ► Exigeante, solitaire, superficielle par moments, colérique, méfiante, a de la difficulté à faire confiance aux gens, discrète. autres petites choses ► J'ai un tatouage représentant un oiseau bleu sur la cheville droite. Pourquoi ? Parce qu'il fut un temps où un marin qui avait voyagé 5000 miles s'en faisait tatouer un sur la poitrine. Puisque j'ai beaucoup voyagé, j'ai cru que cela était représentatif. - Je parle quatre langues couramment, soit le français, l'anglais, l'espagnol et l'allemand, et je ne suis pas fermée à l'idée d'en apprendre d'autres. Je comprends vite fait le mandarin, mais il me faudrait beaucoup plus de pratique. groupe ► Red Door.
Ma famille ressemble à une ruche. Chaque personne travaille de son côté pour faire un tout solide, voire indestructible. Ce que je veux dire par là, c’est que pour moi, chaque personne que comporte le clan Hardy est différent, j’ai une relation différente avec chacun. Mon grand frère est celui dont je suis la plus proche, avec ma soeur, c’est compliqué, mais je suppose que nous nous aimons malgré tout. Mes trois frères, ce sont ceux que j’aime embêter comme materner de temps à autre quand j’en ai l’occasion. Mon père est celui que j’ai toujours grandement admiré, au point que je suis convaincue que jamais je n’aurais su faire son métier et ma mère, cette épaule pour me réconforter et me supporter quand j’en avais besoin, comme c’est toujours le cas aujourd’hui. Malgré la taille important de notre marmaille, comme certains aiment nous appeler, tous et chacun sont uniques, et nous sommes très liés. Tout ce que je peux espérer, c’est qu’un jour, si jamais je viens à fonder ma propre famille, non seulement j’espère que cela ne viendra pas altérer mes relations avec ma famille de naissance mais de plus, j’espère pouvoir être aussi proche d’eux que mes parents l’ont été de nous, malgré cette vie professionnelle qui nous n’a pas donné l’occasion de nous voir aussi souvent qu’on le voulait parfois. Enfin, c’est ce que j’espère tout simplement, je crois que je suis bien loin d’être au stade d’avoir une vie amoureuse stable et une vie de famille qui le serait tout autant. En tout cas, pour le moment, je ne me vois pas vraiment avoir un enfant, lui offrir une vie particulièrement chamboulée et tout ce qui vient avec.
Peu de gens connaissent cette histoire, mais je connais la personne qui se cache derrière Sexy McNews. Enfin, nous ne sommes pas de grands amis et on ne se parle pas chaque jour, mais on s’entend assez bien quand même. Nous nous sommes rencontrés à l’université, pendant une soirée. Il était en première année et moi en dernière. Nous avons discuté, il m’a fait des avances, mais ça n’a jamais abouti. Pourquoi ? Je ne me souviens pas trop, j’avais bu, c’est encore un peu flou, mais on a fini par en rire et nous nous sommes échangés nos numéros. Évidemment, aujourd’hui, il se fait un plaisir fou de parler de ma personne à la radio, mais cela ne me gêne pas, tant qu’il reste dans la limite du raisonnable. Parfois, pour m'assurer que ça ne dégénère pas, je me permets de lui fournir des tuyaux en les tournant à mon goût. Inutile de dire que ça, ça m’amuse beaucoup, puisque je ne crois pas que personne soit au courant. Enfin, de mon côté, je ne l’ai pas dit à qui que ce soit. Ou peut-être ai-je été grillée parce que je lui ai déjà donné des places pour les premières de mes films afin qu’il gâte ses auditeurs ? Je ne sais pas, mais cela ne me gêne pas, ça ne m’a jamais mis dans l’embarras, pour le moment en tout cas.
Quand on fait un effort, il est possible d’écouter KPCC à Los Angeles, mon lieu de résidence jusqu’à tout récemment. Pourquoi je décide de l’écouter en voiture ? Parce que je le peux, et parce que bien souvent, cette station me rappelle mon enfance, me rappelle le fait que la nounou faisait tout pour l’écouter aussi, même quand nous étions à l’étranger. Je l’écoute aussi, et en particulier Dear Mom, parce que ça me donne l’impression d’avoir encore des racines en ces lieux, même si je l’ai quitté pendant longtemps avant de revenir. Je me rappelle ces jours où je ne me sentais pas à l’aise à Pasadena, peu de temps après mon retour, ces jours où la voix réconfortante de Dear Mom me faisait sentir à la maison. Au final, j’ai pris l’habitude de l’écouter, mais sans plus. Simplement pour avoir une voix confortante, sans toutefois demander conseil de quelconque façon. Comment pourrais-je faire une telle chose sans m’exposer, après tout ? Enfin, je sais que ses conseils sont anonymes, mais je sais que je pourrais être grillée d’une façon ou d’une autre, alors je préfère m’en abstenir.
J’aime…
Les margaritas : C’est en fait une des seules boissons alcoolisées que je bois, pour tout dire. Enfin, quand il n'est pas possible d'en avoir une, je prends un verre de vin blanc, limite rosé - pas rouge - mais autrement, je prends un margarita. Je ne suis pas difficile sur la saveur, mais un original, classique, sans artifices, c’est toujours ce qu’il y a de mieux.
Les Krispy Kreme : Compte tenu de mon métier, je fais attention autant que possible à mon alimentation. Je n’ai pas vraiment de mal à le faire, parce que jamais je n’ai été difficile et jamais je n’ai mal mangé, mais quand vient le temps de manger un Krispy Kreme, je ne peux faire autrement que craquer. Je fais mon possible pour ne pas en prendre chaque jour, mais parfois, je ne peux m’empêcher de craquer et m’adonner à ce petit plaisir de la vie qu’est de manger ce beignet glacé si délicieux.
Donner au suivant : La générosité a toujours fait partie de nos valeurs familiales. Toutefois, jamais je ne me suis sentie obligée de le faire, parce que pour moi, c’est naturel. Lorsque je vais faire des voyages humanitaires, que ce soit pour aller aider à construire une école que j'ai financée ou autre, ma récompense, ce n’est pas le fait qu’on me dise généreuse ou un truc du genre. C’est de voir le sourire de ces gens que j'ai aidé. Ces sourires font véritablement mon bonheur.
Les sports nautiques : J’ai toujours aimé me baigner et aller à la plage. Toutefois, depuis un peu plus de dix ans, soit depuis que je suis rentrée aux États-Unis, j’ai développé un intérêt pour la natation, le ski nautique, le jet-ski, bref, tout ce qui se fait sur l'eau et dans l’eau. Mon prochain objectif est de prendre le temps de suivre un cours de plongée sous-marine. Je ne sais pas à quoi m’attendre de ce côté, mais l’idée m’excite malgré tout, parce que je sens que je vais aimer, qu’importe si je sais dans quoi je m’embarque ou pas.
Voyager : J’ai beau avoir un lieu de résidence fixe aujourd’hui, ne pas changer de pays quelques fois par décennie, mais il n’en demeure pas moins que je n’ai jamais perdu la piqûre du voyage, aller découvrir de nouvelles choses, m’imprégner de la culture, de la langue d’un nouvel endroit. Même le simple fait de faire ma valise, aller à l’aéroport m’amuse, aussi ridicule cela puisse être. Clairement, je ne cesserai pas de voyager, qu’importe ce qui se passe dans ma vie maintenant, dans six mois ou dans six ans.

Je n’aime pas…

Les vers de terre : Plus que le simple fait de ne pas aimer, il s'agit pour moi d’une véritable phobie. Oui, j’ai terriblement peur de ces petites choses gluantes pourtant inoffensives. Pourquoi ? Je ne sais pas. Pourrais-je me contrôler ? C’est possible, mais quelque chose me dit que je n’y parviendrai jamais. Cela vient du fait que ma soeur a fait tomber un ver de terre sur mon visage quand j’étais plus jeune et depuis ce temps, je ne peux pas les voir. Inutile de dire que jamais je ne prendrai plaisir à pêcher un jour.
Les paparazzis : Je me sais exigeante, parce que je sais ce que je veux, mais jamais je n’ai été, en mon sens, une pimbêche chiante qui prend les gens de haut. Pour cette raison, jamais je n’ai voulu faire partie de ces gens qui renvoient promener les paparazzis. Par contre, ils m’ont tellement cherchée, embêtée à vouloir tout savoir de ma vie privée, que j’ai fini par être blasée et les détester. Je veux bien collaborer parfois, mais quand il n’y a pas de compromis dans les deux sens, ça ne peut pas le faire, pas pour moi en tout cas.
Chanter en public : On me dit que j’ai une voix potable, mais j’ai bien du mal à y croire. Voilà pourquoi cela ne me plait pas d’être obligée de chanter pour un rôle, parce que je sais que tout le monde va l’entendre. Évidemment, quand je n’ai pas le choix, je le fais, mais disons que je préfère de loin m’en tenir à chanter sous la douche ou dans ma voiture.
Les destinations ultra-touristiques : Le cliché typique voudrait que j’apprécie ces complexes hôteliers tout inclus, luxueux, où il ne faut pas faire quoi que ce soit. Dans certains endroits où tous sont riches, je suis d’accord, mais dans des pays plus défavorisés, ça ne fait que me dégoûter. Je sais bien que je ne peux pas faire grand-chose contre ça, mais jamais je serais en mesure d’appuyer une telle chose. Il y a tellement plus à certains pays que les hôtels de luxe, des gens qui ont besoin d’argent, qui ont besoin de nourriture, que pour moi, ce n’est juste pas possible d’appuyer une telle entreprise, surtout quand les plus défavorisés n’ont rien au bout de tout ça.
Les olives noires : Autant j’adore les olives vertes, les olives noires, je n’y arrive pas. Je me sais contradictoire, voire un peu ridicule pour le coup, mais tous les goûts sont dans la nature, n’est-ce pas ? Dans mon cas, c’est toujours vert, jamais noir pour le coup.
Pseudo ► Mayiie. Prénom ► Marilyne Age ► Vingt-cinq ans Pays ► Montréal, Canada fréquence de connexion ► Tous les jours comment as-tu trouvé le forum ? ► Sous une frite ? Tout à fait ! Trois choses à savoir sur toi ► Hibou, Backstreet Boys, Sushis veux-tu un parrain ? ► Je crois pas que ce soit nécessaire. HARDY, Breanna ▬ There are worst things I could do 1649812033 Une dose d’amour ► HARDY, Breanna ▬ There are worst things I could do 327658377 HARDY, Breanna ▬ There are worst things I could do 327658377 HARDY, Breanna ▬ There are worst things I could do 2883564238 HARDY, Breanna ▬ There are worst things I could do 327658377 HARDY, Breanna ▬ There are worst things I could do 327658377

 
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mot doux de Breanna J. Hardy un Mer 20 Juil - 17:11
1983, Pasadena, Californie, USA C’était un soir de mars, il faisait froid dehors, ma mère n’en pouvait plus d’avoir des contractions, puis de pousser. Mon père, lui, était exaspéré de voir ces murs d’hôpital qu’il avait vus trop souvent pendant le mois, en raison de la maladie de sa soeur qui s’y était retrouvée, grandement malade, et qui y avait finalement laissé son dernier soupir. Et pourtant, l’exaspération cessa de se faire voir, de se faire sentir, au moment où le médecin m’extirpa du ventre de ma mère, annonçant au couple qu’ils avaient une fille. Tandis que je criais, poussant mon premier souffle, ma mère me posa contre elle, m’appelant par mon prénom pour la première fois. C’était un beau moment, un moment magique comme dans les films, je n’en doutais pas une seconde, même si de mon côté, je ne m’en souviens pas. Qui se souvient de sa naissance, après tout ? Ou même carrément des premières années de sa vie ? Peut-être certaines gens, mais je ne peux pas prétendre faire partie du lot. Ce que je peux prétendre savoir, c’est ce qu’on m’a raconté, comme on m’a raconté la réaction que j’ai eue quand deux ans plus tard, ma soeur a vu le jour, cette petite soeur qui, semble-t-il, je voulais utiliser comme poupée. Cette petite soeur qui me faisait pleurer quand elle pleurait, cette petite soeur à qui je voulais apprendre à aller sur le pot tout comme moi, alors qu’elle, elle n’avait même pas un an. Il existe peut-être des traces de tout cela, des photos, des vidéos, mais dans ma tête, ils sont comme si j’étais un personnage de ce film de ma vie, et non pas dedans à proprement parler. Est-ce que c’était la même chose pour Hugh, mon grand frère ? Pour être franche, je n’ai jamais pris la peine de lui demander, les histoires de mes parents et de la nounou de l’époque étant, en mon sens, bien assez.
1988, Paris, France Si je ne me souviens pas vraiment de mes premières années de vie, je me souviens par contre de ce jour où, quand j’avais cinq ans, maman nous a dit que nous devions faire nos valises, ou du moins, aider à les faire. Faire des valises, à cinq ans, je ne savais pas ce que c’était. Que devait-on mettre dedans ? Est-ce que Sally, ma poupée préférée, allait avoir du mal à respirer dans la valise ? Confuse, j’écoutai ma mère dire qu’en fait, il fallait prendre nos affaires, toutes nos affaires, parce que nous allions déménager. Enfant, quand on ne sait pas ce que ce mot veut dire, il devient plus que terrifiant. À l’époque, il voulait dire quitter la maison où j’étais née, quitter les quelques amis que j’avais réussi à me faire à la maternelle. L’idée ne me plaisait pas, surtout pas d’autant plus que je devrais apprendre une nouvelle langue, apprendre à parler français. Lorsque nous arrivâmes en France, clairement, je n’avais pas envie de le parler. Je n’aimais pas cette façon que les mots sortaient de ma bouche, je n’aimais pas cette façon que les gens avaient de me regarder quand j’essayais de parler. Et pourtant, je réussis à m’y faire. Comment ? Essentiellement en profitant du fait que deux ans plus tard, j’avais appris à lire, ce qui n’était pas le cas de Gwen et Vince à l’époque. Je pouvais lire, je pouvais leur lire des histoires, je pouvais me pratiquer à prononcer les mots et m’améliorer, en plus de prendre plaisir à le faire. En effet, je suis encore persuadée aujourd’hui qu’il n’y a pas meilleure version que celle que j’avais adapté du conte « Les Trois Petits Cochons » lorsque j’avais sept ans.

1990, Hambourg, Allemagne Alors que je commençais tout juste à m’habituer au fait de vivre en France et non à Pasadena, il fallut que je refasse encore une fois mes valises pour déménager en Allemagne, cette fois-ci. À sept ans, ce ne fut pas vraiment un déchirement comme celui que j’avais ressenti lors de notre premier départ, mais plutôt une frustration. En deux ans, je n’avais pas eu le temps de me faire autant d’amis que lors de mes cinq premières années de vie, mais puisque la transition avait été plutôt difficile dans un premier temps, j’étais frustrée de devoir recommencer alors que les choses commençaient à aller un peu mieux, à mon avis. Mais ça, c’était que mon avis de petite enfant, rien à voir avec une réflexion profonde et hautement philosophique. Par contre, si évidemment, s’installer dans une nouvelle ville n’était pas des plus simples, en Allemagne, pour moi, ce fut différent. Environ un an après mon arrivée, j’ai fait la connaissance de cette fille, Angela. Elle était la première à avoir voulu se lier d’amitié avec moi après que je sois débarquée de France, avec un mon accent un peu étrange qui partait dans tous les sens malgré la pratique que j’avais pu y mettre précédemment. Plus encore, la mère d’Angela était comédienne et à l’époque, tenait le rôle principal dans une pièce de théâtre que sa fille pouvait aller voir autant de fois qu’elle souhaitait - quand il n’y avait pas d’école le lendemain, bien sûr. Un soir, elle me proposa de m’y emmener. Ne sachant pas trop à quoi m’attendre, j’acceptai malgré tout. Après tout, j’avais le choix entre ça et passer une soirée à la maison avec deux petits frères qui pleuraient presque constamment - parce que Dwight s'était rajouté à la marmaille entre-temps. Au final, je me congratulai d’avoir accepté son invitation. C’est en voyant cette fameuse pièce, peu connue, mais que je crois encore magistrale aujourd’hui, que j’ai eu le coup de coeur pour les arts de la scène. Je suis tombée amoureuse avec l’idée de pouvoir personnifier une autre personne, lui donner une vie. La possibilité de voir un tas de gens applaudir, saluer une performance me faisait rêver. Au final, cette pièce, je l’ai vue environ huit fois. À la fin, je connaissais les répliques presque par coeur, tellement qu’Angela me l’a reproché. Dommage que notre amitié se soit finie sur une telle mauvaise note, quand même, parce que même si j’étais petite, je l’appréciais bien, et clairement, je ne voulais pas qu’elle m’en veuille. Au contraire, j’aurais bien voulu lui faire savoir ma reconnaissance de m'avoir fait découvrir ce milieu pour lequel j’avais eu le coup de coeur et qui me faisait à présent dire « Quand je vais être grande, je serai une actrice. »
1997, Londres, Angleterre Nouveau déménagement, nouvelle vie à reconstruire. Mais cette fois-ci, alors que nous étions en train de nous préparer pour aller en Angleterre, je me sentais beaucoup moins bouleversée à l’idée de changer de pays. Plus encore, j’étais surexcitée à l’idée d’aller à Londres, parce que j’avais réussi à convaincre mes parents de m’envoyer dans une école avec un programme d’arts dramatiques extrêmement bien développé. Évidemment, on m’avait prévenue que ce programme me prendrait plus de temps après les cours et tout ce qui venait avec, mais plutôt qu’être une source de doute pour moi, ce fut une source de certitude encore plus solide. Plus de temps à l’école signifiait pour moi moins de temps à la maison, donc moins de temps avec trois gamins qui tournaient en rond, un grand-frère un peu chiant. La seule chose qui m’embêtait, c’était le fait que de lire les nouvelles avec mon père serait plus difficile, mais il n’était jamais là, alors je supposais que ça ne devait pas lui plaire. À quatorze ans, en pleine crise d’adolescence, ma famille avait pris quelque peu le bord. J’aimais toujours chaque membre qui la composait, mais disons que j’en étais au stade où sortir était toujours une éventualité plus qu’intéressante. Pour cette raison donc, combiné avec le fait que je pourrais vivre pleinement ma nouvelle passion, j’embrassai pleinement cette expérience. Ce fut à ce moment que je compris que lorsque je disais « Quand je serai grande, je serai actrice », ce n’était pas qu’un rêve d’enfant, ce genre de chose qu’on dit à sa famille pour faire joli dans une conversation. À partir de ce moment, quand je disais que j’allais devenir actrice, je le pensais, et même si j’avais beau avoir appris à aimer les voyages, rencontrer plein de gens, le jeu avait pris le dessus et ce, de loin. Rêve d’adolescente qui tente de se faire une simili-indépendance ? Même à l’époque, je savais que pour moi, c’était beaucoup plus que ça.

1998 Pékin, Chine Les voyages faisaient partie de ma vie à présent, je l’avais pris pour acquis à l’époque. Pourtant, lorsque vint le temps de quitter l’Angleterre après à peine deux ans suite à notre arrivée, j’eus beaucoup de mal à le supporter. Je venais d’avoir quinze ans, je me retrouvais dans un pays encore plus étranger à tout ce que j’avais vécu avant, j’avais le sentiment que ma famille s’était liguée contre moi pour ne pas me laisser vivre mes rêves, d’autant plus que ma mère, elle, elle restait derrière. Je savais que c’était pour donner naissance à mon petit frère et que voyager dans sa condition aurait été dangereux, mais je ne réfléchissais pas à grand-chose quand venait le temps des autres. Je pensais à mon propre malheur, je me morfondais sur celui-ci, je me prenais des réprimandes parce que j’étais égoïste, parce que j’allais à l’encontre de ce que ma famille tentait de promouvoir, que ce soit en privé ou en public. Lors de nos premières semaines de vie à Pékin, j’envoyais promener ces valeurs, ces belles qualités, ce qui s’était résulté en plusieurs disputes, avec Hugh, Vince, Dwight, mais surtout Gwen. Je ne sais pas si c’était vraiment contre elle directement ou le fait qu’elle est la seule fille de la famille avec moi, mais j’avais toujours l’impression que tout était plus simple pour elle. Si elle faisait quelque chose de mal, ce n’était pas grave. Si moi, je faisais un truc similaire, c’était le drame. Une partie de moi savait que ce n’était pas à elle que je devrais en vouloir, mais à l’époque, je n’y pouvais rien. Du coup, n’ayant pas le programme d’art dramatique pour m’en sortir, parce que je n’avais rien trouvé de bien là où j’étais et que je ne me sentais pas prête à intégrer une école entièrement chinoise, où tous parlaient mandarin, je cherchai d’autres issues pour m’éloigner. Sans trop y penser, je joignis un groupe d’aide humanitaire au lycée, faisant du bénévolat de temps à autres, prévoyant de faire un voyage dans les contrées plus pauvres du pays. Par cette expérience, ce fut de moi-même que j’appris à renouer avec ce qu’était la générosité, le fait de s’ouvrir aux autres. C’est en aidant les sans-abris, en allant dans un quartier pauvre pour aider à réparer des maisons, apporter des vivres à des enfants dans le besoin, qu’indirectement, je renouai avec ma famille, avec la mission principale de mon paternel, que je compris que ce que j’avais boudé, je pouvais l’apprécier malgré tout. La frustration devint moins grande, la transition d’adolescente à jeune adulte, plus sereine. Je m’étais trouvé un nouveau champ d’intérêt qui semblait plaire à tous, me permettant ainsi de terminer mes études dans cette contrée lointaine sans trop de problème, au bout du compte.
2001 Pasadena, Californie, USA Si la fin du lycée avait été des plus simples, d’une certaine façon, le choix de mon université pour l’année suivante fut des plus complexes. Ayant voyagé à travers le monde pendant toute ma vie ou presque, je ne sentais pas avoir d’attache ou que ce soit. Je ne connaissais pas assez de gens pour avoir des références solides et surtout, je ne savais pas où je pourrais avoir ma place. Bien sûr, je mourais d’envie de m’inscrire en art dramatique, mais encore fallait-il passer une audition, avoir une base que je n’avais pas vraiment. Mon expérience à Londres n’était pas suffisante, et mon recul des arts de la scène à Pékin ne m’aidait pas. D’un autre côté, la politique internationale m’intéressait, mais je ne savais pas trop à quoi m’en tenir. Au bout du compte, je laissai le destin décider, et le destin choisit de m’envoyer à UCLA. Politique ou art dramatique, le contact que mon père avait dans les plus hauts rangs de l’université pourrait me permettre de choisir, à condition que je me soumette aux règles de l’école. Quelques lettres de recommandation, une audition pour l’art dramatique. Me disant que je n’avais rien à perdre, j’avais prévu de me rendre à cette audition. J’avais répété, maintes et maintes fois, à en saouler tous ceux qui se trouvaient autour de moi, en particulier mes grands-parents chez qui je vivais temporairement, avant la rentrée scolaire. Puis, le matin de cette audition qui devait avoir lieu dans l’après-midi, alors que je répétais mon monologue une dernière fois dans le sous-sol de la maison, j’entendis un bruit fort et sourd. Légèrement paniquée, je montai à l’étage, voyant mon grand-père étalé sur le sol, en train de convulser. Je criai, tentait de l’appeler, il ne réagit pas. Sitôt, j’appelai les secours, puis je me rendis à l’hôpital avec mon grand-père. Verdict : ACV. Il se devrait d’être plusieurs semaines à l’hôpital. Et bien sûr, il était hors de question que je quitte son chevet à ce moment critique pour aller à une audition, alors je laissai passer ma chance, mettant ma famille en premier, me résignant à accepter une place d’étudiante en politique internationale à temps plein.

2006 Los Angeles, Californie, USA J’avais fini par apprécier le programme de politique internationale, adorer m’impliquer dans les diverses voyages humanitaires qui nous étaient ouverts. J’étais également fière de recevoir mon diplôme, quatre ans après mon entrée à l’université. Par contre, quand vint le temps d’entrer sur le marché du travail, je me rendis compte qu’il y avait un vide. J’avais peut-être les contacts, mais je n’avais pas la prestance ni l’envie de devenir assistante de sénateur, représentante aux États-Unis, membre d’une association non-caritative. Cette dernière éventualité était pour moi la plus probable, mais jamais je n’ai aimé être attachée à une chose, alors être obligée de m’en tenir qu’à cela me chicotait. Puis, alors que je tournais en rond, une offre apparut, comme un signe du ciel, un cadeau de Dieu pour lequel il m’était arrivé secrètement de prier. En effet, un de mes amis avait obtenu un poste sur la production d’un film, et il me glissa un mot comme quoi ils tenaient des auditions pour un rôle secondaire, mais tout de même présent. Au début, je ne sus que faire, parce que cela faisait longtemps que je n’avais pas fait quoi que ce soit de ce côté, mais parce que je savais que ce n’était pas la fin du monde si je ne réussissais pas, je décidai de m’y présenter, sans trop d’attentes, bien décidée à ne pas me faire de faux espoir. L’audition se déroula probablement mieux que je ne l’aurais pensé, parce que si moi, j’avais été quelque peu perturbée de me retrouver devant des visages neutres, comme si j’avais mal fait, de leur côté, ils ont dû m’apprécier suffisamment pour m’appeler quelque temps après pour une seconde audition, avant d’officiellement me donner le rôle. Limite, à ce point, c’était à ne pas y croire. Je remerciai le ciel pour m’avoir donné cette chance, me lançant de tout coeur dans le projet, choisissant à ce moment de simplement voir où tout cela allait me mener, profiter du moment présent plutôt que de me chercher désespérément un avenir.
2016 New York, New York, USA Ce premier film auquel j’avais participé dix ans précédemment avait connu un succès encore plus important qu’anticipé, me permettant d’être invitée à une nouvelle audition pour un autre projet, pas très gros non plus. Les petits projets devinrent plus gros, les tapis rouges devinrent un lieu familier, les autographes, chose naturelle, prendre des photos, une habitude. En somme, ma carrière avait décollé, je pouvais être considérée une célébrité. J’avais des paparazzis à ma porte parfois, ma vie privée était exposée dans les magasines, mais j’avais de la reconnaissance par rapport à mon travail, je me mettais dans la peau d’une nouvelle personne à chaque jour. Bref, j’avais retrouvé ce rêve que j’avais quand j’étais en Allemagne, à regarder la mère d’Angela jouer sa pièce de théâtre. J’ai aimé chaque rôle que j’ai pu jouer jusqu’à ce jour, mais celui que j’avais obtenu au début de l’année, représentait pour moi le rôle parfait, une véritable consécration. Non seulement, c’était la première fois que je participais à une série comme personnage principal, que je pourrais vivre au travers de ce personnage mais de plus, cette série était basée sur la politique et les relations internationales, domaine dans lequel je baignais encore malgré ma carrière d’actrice au travers des nombreux voyages humanitaires auxquels j’ai participé pendant ce temps. C’était à croire que limite, ce rôle était fait pour moi, alors pour sûr, je n’avais pas pu cracher sur cette opportunité en or. Je savais que l’emploi du temps ne me permettrait pas de faire des films en même temps, mais après dix ans de carrière, j’étais d’avis que je pouvais me le permettre. Dès le premier jour de tournage, j’ai pleinement embrassé le personnage, j’étais persuadée que ce serait un franc succès. Comme de fait, la présentation du pilote à un public-cible se déroula on ne peut mieux. Cette réception étant un véritable bonheur, je n’étais rien contre l’idée de fêter le tout. Dans la demeure du réalisateur, en banlieue de New York, une fête prit place. Étaient invités les acteurs de la série, une partie de l’équipe, tous ceux qui avaient fait en sorte que cette série serait un succès. Cela promettait d’être une soirée incroyable, qui allait marquer le début d’une collaboration solide, et je suppose que ça en était une, soirée incroyable. Le problème, c’est que je ne m’en souviens pas. Je me souviens d’avoir bu un verre, dansé un peu, mais après, c’est le flou total. J’étais redevenue ce nourrisson à qui il faut raconter les choses pour qu’il puisse s’en faire des souvenirs vagues, et ces souvenirs, j’aurais préféré ne jamais les imaginer, et surtout moins les vivre, inconsciemment ou pas.

Aujourd'hui, Pasadena, Californie, USA Trois jours après la fameuse fête, j’ai quitté la série, j’ai fait mes valises et je suis partie de New York non pas pour revenir dans ma demeure à Los Angeles, mais à Pasadena. Les premiers jours, je me suis installée chez mes grands-parents, le temps de me trouver un endroit pour habiter, un endroit qui changerait totalement de cette grande villa que j’habitais précédemment. Je n’ai plus envie d’être Breanna Hardy, celle qui devait tenir le rôle principal de la série de l’heure cette automne. Je ne voulais plus être qui que ce soit. Je voulais redevenir cette gamine de cinq ans que j’étais en ces lieux, je voulais avoir l’impression d’être protégée du reste du monde. J’avais envie de revenir en arrière, ne jamais prendre part à cette fameuse soirée, prétexter que j’avais autre chose de prévu, m’inventer un faux petit-ami pour supposer que j’allais le retrouver. Je ne faisais pas un caprice de star à ce point, je ne pensais pas en tout cas. Était-ce comme ça que les gens réagissaient quand ils étaient violés ? Même s’ils n’en ont jamais eu conscience ? Je ne saurais le dire, parce que je n'en ai parlé à personne depuis les évènements. Peut-être que c’est trop frais, peut-être parce que chaque fois que je me dis que je devrais le dire à quelqu’un, n’importe qui, j’ai l’impression qu’on ne va pas me croire, comme il me l’a dit quand il m’a raconté ce qui s’était passé, que nous avions passé la nuit ensemble, que pour une fois, j’étais consentante alors que cet homme, ce réalisateur pour qui je pensais être simplement une actrice parfaite pour le rôle qu’on me donnait, je l’avais toujours repoussé, m’étant toujours fait un point d’honneur de ne pas mélanger travail et vie privée. En bref, il m’avait droguée, puis avait profité de la situation. Pouvais-je vraiment dire que c’était du viol ? Pouvais-je aller voir les autorités alors que je n’avais pas de preuve à proprement parler, que je ne pouvais même pas raconter ce qui s’était passé ? Je suis complètement perdue, et j’ai besoin d’être seule avec moi-même, parce que je ne sais plus qui je suis, je ne sais plus qui je veux être et surtout, je ne sais pas qui pourrait m’aider à ce point.
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Jade H. Braxton
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Sam S. Steadworthy
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❝ Métier : Agent animalier au sein du refuge de Pasadena et professeur de chant pour des personnes défavorisées.
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petit plus ► il se sous-estime énormément et cela lui arrive de déraper parfois. - il zappe souvent l'autorité - il ne veut pas grandir, comme Peter Pan - pense que les films et séries font passer des messages, des leçons de vie - écoute des musiques diverses, pensant que la diversité est quelque chose de bien dans beaucoup de domaines - aime le sport et avoir un beau physique - raffole des chips au barbecue - se goinfre de pots de glace lors d'une rupture amoureuse - aime passer du temps vers le sapin pour Noël - voit un psy - a perdu le nord en fumant des joints avec son frère jumeau, mais a vite stopper à cause d'une overdose d'un de ses amis. - monte une chorale avec les jeunes adolescents et adultes qui sont inscrits à ses cours de chant
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mot doux de Sam S. Steadworthy un Mer 20 Juil - 17:32
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Gwen J. Hardy
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Ce que t'es belle sister HARDY, Breanna ▬ There are worst things I could do 2204221452 HARDY, Breanna ▬ There are worst things I could do 2204221452 HARDY, Breanna ▬ There are worst things I could do 2204221452 Serinda te va trop bien HARDY, Breanna ▬ There are worst things I could do 327658377
En plus j'adore ta fiche HARDY, Breanna ▬ There are worst things I could do 3242940552 HARDY, Breanna ▬ There are worst things I could do 4160615825 Tu as bien cerné mon idée que je me faisait de la soeur de Gwen HARDY, Breanna ▬ There are worst things I could do 2305309151
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Lenaëlle G. Martins
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mot doux de Lenaëlle G. Martins un Mer 20 Juil - 20:35
Parce que je suis cool comme ça Cool

et bienvenue à toi
te voila enfin validé ? Tu as été patient mon enfant ?
maintenant il va falloir te mettre au parfum
Car oui bah en fait après ta fiche, tu sues donc tu sens pas bon. Non, je plaisante, tu sens très bon. En fait, tu sens même trop bon *s'approche et sent*. Je te fais peur ? COURS ! Bon un peu de sérieux... oui, je sais, c'est difficile mais faut pas nous ne vouloir.
your family tree est je ne vous le cacherais pas, énorme ! Oui, énorme. Il est grand et on peut parfois s'y perdre mais je vais tenter de vous résumer ça rapidement. Tout d'abord maintenant que tu es validé, c'est cool, c'est fun et bien tu peux créer ta fiche de lien ? Par le pied de Maryline. Ensuite, parfait mais si tu faisais aussi le check up de toutes tes demandes par la bouche de Fabiola ? Tu pourras demander un métier, un rang, une habitation enfin tout ce que tu veux. Tu verras, il y a pleins de choses. Et ensuite tu as peut-être une famille à créer ? Suis les instructions en regardant le [url=message de cr%C3%A9ation]ici[/url] et si tu veux faire un scénario, c'est par [url=fff]bras d'Alice[/url] ! Tu peux aussi te faire un flash rp, c'est sur les fesses de Lily. Souvent, nous faisons des animations et sache que tu auras des messages privés et le lien à ce moment-là. On a beaucoup de choix et on aime vous divertir. Du coup maintenant on va t'inviter dans le flood, les jeux et ? Ah oui... parles de toi dans les jupons de Margaux ! On sera à l'écoute ! 1, 2, 3... Micro !

PS : Petite information pratique pour tagger une personne : @"pseudo" Voilà ♥️
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