l'avatar des scénarios ou membres des familles sont totalement discutables pour autant qu'ils ne soient pas dans le bottin !
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bonjour les YFTiens et pleins de calins pour vous ainsi que tout notre amour !
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Nathan Coalman et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais !
| mot doux de Nathan Coalman ► un Ven 5 Aoû - 16:01 | | | Il était environ neuf heure quand Nathan se réveilla. Il avait passé une très belle nuit de sommeil, enfin! Cela lui avait fait énormément de bien et il fallait avouer qu'il en avait eu de besoin. Le jeune Coalman avait travaillé jusqu'à deux heure du matin, mais ces quelques heures de sommeil avait tout changé pour le DJ. Nathan sorti de son lit et alla prendre une bonne douche chaude dans laquelle il resta de longues minutes avant de sortir. Il se sécha et enfila un short de bain noir et blanc, ainsi qu'un chandail à manches courtes blanc. Il avait décidé de se rendre à la piscine. D'après la météo, il allait faire très chaud et cela allait lui faire du bien d'aller à la piscine, afin de se rafraîchir. Nathan mangea rapidement des céréales et but un café, comme à son habitude. S'il ne buvait pas son café du matin, il pouvait être bête et cela n'était jamais beau à voir, il fallait bien l'avouer. Nathan était quelqu'un de très gentil et doux avec tout le monde, mais, quand il était en colère, il pouvait être une personne totalement différente. Une fois qu'il termina de manger, il lava sa vaisselle et la rangea à sa place habituelle. Nathan alla se brosser les dents et mis, dans un sac, une serviette et des lunettes de soleil. Aussi drôle que cela pouvait paraître, il n'avait pas besoin de mettre de la crème solaire. Il bronzait facilement et il en était très heureux, surtout en été. Il n'aimait pas être blanc comme lait. Le jeune homme sorti de chez lui, barrant la porte.
Il embarqua dans sa voiture et roula jusqu'à la piscine de Pasadena. Il y avait également des glissades et c'était un endroit familial et très agréable pour passer de beaux moments. Nathan roula quelques minutes avant d'arriver. Il se stationna et alla s'installer à une chaise qui se trouvait autour de la piscine. Il y avait déjà beaucoup de personnes, mais cela n'était pas surprenant, quand on voyait la température de la journée. Le soleil était au rendez-vous et cela rendait Nathan très heureux. Le jeune homme s'assit sur la chaise et, alors qu'il regardait autour de lui, il vit une femme qu'il reconnu entre mille. C'était Breanna, une actrice qu'il aimait bien. Il n'en croyait pas ses yeux. Il voyait cette femme, qu'il avait vu dans des films, qui était là, à quelques mètres de lui. Nathan se demandait s'il allait lui parler ou s'il restait planté là, comme un idiot. Il décida de prendre son courage à deux mains et d'aller la voir. Peut-être qu'elle ne voulait pas se faire déranger, mais il s'en fichait. C'était maintenant ou jamais. « Sal... salut... je suis désolé de vous déranger, mais je voulais vous dire que je vous admire et j'adore vos films... » Bon, il était un véritable idiot, mais il s'en fichait. Il venait de parler à Breanna et c'était le plus important. |
| | | Breanna J. Hardy et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! Administratrice d'amour
| mot doux de Breanna J. Hardy ► un Lun 8 Aoû - 13:30 | | | Nathan & BreannaRencontre à la piscine[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Rester enfermée chez moi la plupart du temps avait beau me mettre en sécurité, parce que seuls les gens en qui j’avais entièrement confiance connaissaient mon adresse et même mon nouveau numéro personnel, il n’en demeurait pas moins qu’au niveau psychologique, c’était loin de m’aider. Rester chez moi me permettait aussi de me reposer, tenter de calmer ces nausées qui ne cessaient de m’embêter à tout moment, mais je commençais à comprendre que c’était loin d’être l’idéal. En effet, rester chez moi à ne parler à personne me laissait seule avec mes pensées, ces souvenirs horribles que je tentais parfois de mettre en ordre avec ce dont je ne me souvenais pas, comme ces souvenirs qui étaient bien clairs dans ma tête, tellement que j’avais l’impression de revivre la scène dans mon salon, ma chambre, à n’importe quel moment de la journée. En somme, j’étais en train de me demander si je ne devenais pas dingue, mais je n’avais pas le courage de demander à qui que ce soit de me venir en aide, me donner un diagnostic. Ça, je n’étais pas prête à le faire, bien loin de là. Pendant tout ce temps, je m’étais donc contentée de faire avec, mais aujourd’hui, je compris que ce n’était plus possible. Seule devant la télévision, j’en étais venue à me frustrer toute seule, puis finalement comprendre que là, tout de suite, j’étais toute seule pour rendre ma vie encore plus infernale qu’elle ne pouvait l’être et que pour le coup, si je voulais que les choses s’améliorent, même si ce n’était pas l’idéal - l’idéal serait que rien de tout cela ne soit jamais arrivé - il fallait que ce soit moi qui bouge et personne d’autre. Peu convaincue de mon initiative par contre, ou du moins, pas autant que je l’aurais voulu, j’avais quand même réussi à me bouger, puis décider de me rendre à la piscine pour y passer un peu de temps. Me baigner chez moi n’était pas possible pour le moment, puisque je devais encore la faire construire, mais de toute façon, si j’en avais eue une à ma disposition, je n’étais pas persuadée que je l’aurais utilisée. Voir des gens, dans l’espoir de rester incognito, ne pouvait pas me faire de tort, et peut-être me ferait constater que je n’étais pas la seule à connaître des malheurs dans ma vie. Enfin ça, je le savais déjà, mais clairement, j’avais besoin qu’on me le rappelle. Puisque n’importe quel sport impliquant d’être dans l’eau faisait partie de mes préférés, c’était de façon machinale que je préparais mes affaires pour la piscine à présent, parce que je le faisais si souvent que je savais par coeur quoi y mettre. Lorsque mon sac fut prêt, je ne fis qu’enfiler mon maillot de bain par-dessous une robe de plage blanche, placer un chapeau sur ma tête, des lunettes sur mes yeux, puis je me rendis à la piscine de la ville où je me rendais souvent quand j’étais petite. Évidemment, celle-ci avait changé en plus de vingt-cinq ans, mais l’emplacement, lui, avait toujours été le même. Sitôt sur place, je trouvai une chaise longue dans un coin reculé, parfaite pour moi, parce que ça me permettrait de me détendre à l’abri des regards potentiellement indiscrets. Je ne prenais pas pour acquis que quelqu’un allait venir immédiatement m’aborder, mais j’avais tant l’habitude que j’y songeais tout naturellement, sans me forcer. Bien sûr, une fois allongée sur la chaise, je tentai de ne pas trop y penser afin de finalement me changer les idées une bonne fois pour toutes, mais à peine eussè-je le temps de le faire que soudainement, une personne parla, non loin de moi, voire même trop près pour qu’il s’adresse à qui que ce soit d’autre. Haussant les sourcils, je regardai alors le jeune homme, se fondre en compliments et en admiration, avec un air un peu idiot sur le visage. Pour sûr, je n’avais pas envie de cela à la base aujourd’hui, mais là… Vu son comportement, je trouvais ça limite mignon. Je me permis donc de sourire, puis je dis: « Oh et bien, merci… », m’arrêtant là en me rendant compte que pour le coup, je ne savais pas comment m’y prendre. Normalement, c’était les enfants qui m’abordaient de la sorte, sauf que là, le jeune homme n’avait rien d’un gamin, alors je me doutais bien qu’il ne voulait pas que je lui propose un autographe ou une photo… Ou peut-être que si ? C’était plutôt à lui de me le dire pour le coup, sauf si à tout hasard, sa mère était dans les parages pour le demander à sa place. |
| | | Nathan Coalman et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais !
| mot doux de Nathan Coalman ► un Dim 14 Aoû - 16:53 | | | Nathan se retrouvait devant Breanna, cette femme qu'il admirait tant. Bon, il fallait avouer que la situation était étrange, puisqu'il n'était pas un enfant et il agissait en parfait idiot qui bafouait devant une femme absolument magnifique. Nathan sourit doucement, passant une main dans ses cheveux. Que pouvait-il lui dire en retour? Il avait l'impression de perdre la parole, comme s'il ne savait plus comment parler, ce qui était idiot, parce que, habituellement, il parle comme une pie, toujours en train de parler et de raconter des conneries, mais il voulait se contenir devant cette ravissante femme qui était une bonne actrice avec un grand talent. Nathan ne voulait pas que Breanna prenne peur et qu'elle lui impose une injonction d'éloignement contre lui. Cela serait ridicule. Il voulait bien faire, mais ça ne s'avérait pas être de tout repos. « Je suis désolé, j'ai l'impression d'être un parfait idiot. Vous voulez sûrement être tranquille, ce que je comprendrais. » Ses paroles n'étaient pas si pire qu'il se l'était imaginé. Il était de moins en moins stressé devant Breanna, alors tout devrait bien aller par la suite. Du moins, c'est ce qu'il se disait. Nathan pourrait parler encore et encore, mais il ne voulait pas ennuyer Breanna et la mettre mal à l'aise, surtout qu'elle devait déjà l'être, puisque les gens la regardaient fixement, tout comme Nathan le faisait. Il devait se calmer un peu. Le soleil était tellement chaud que Nathan se demandait pourquoi il n'avait pas mis de crème solaire. Il allait probablement être rouge comme un homard et il allait énormément souffrir, sans aucun doute. Nathan aurait alors besoin de Carter pour qu'elle lui mette de l'aloès, afin de se soulager un peu. Le jeune homme était perdu dans ses pensées, si bien qu'il se rendit compte, après plusieurs minutes de silence, qu'il était toujours devant Breanna, la regardant comme un idiot. Il se secoua la tête, riant alors nerveusement. « Ce silence était très... malaisant. Je m'appelle Nathan, au fait. » Pourquoi venait-il de dire son prénom? Peut-être qu'elle s'en fichait éperdument et qu'elle avait mieux à faire que d'entendre un idiot de 29 ans qui disait n'importe quoi. |
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