Jamie D. Coppermanet oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais !
❝ Métier : Cancérologue, professeur en recherche et écrivain scientifique ❝ cupidon : Ce n'est jamais simple, les contes de fée ça n'existent pas pour un adulte. ❝ post-it : Né à Toronto le 30 août 1977, dans une famille dysfonctionnelle ▬ A perdu sa sœur aînée lorsqu'il avait 6 ans, c'est ce qui le mènera à faire le choix d'être cancérologue ▬ A étudié à McGill en médecine ▬ A une mémoire eidétique et est aussi daltonien ▬ A apprit le français, mais il est maintenant rouillé ▬ A publié un livre au début de sa carrière, parlant de recherche sur le cancer, il est reconnu dans son domaine pour son travail acharné et ses réussites ▬ Apprenant qu'il allait perdre son visa, il s'est marié avec une de ses étudiantes, omettant certain détail sur leur relation ▬ coureur de jupon, il ne croit pas à la fidélité, à l'amour avec un grand A et encore moins au mariage ▬ Il ne se montre pas comme il est vraiment, car pour lui l'image compte beaucoup, mais il ne donne pas facilement sa confiance ▬ Est insomniaque et ses nuits ne dépassent jamais plus de 4 heures lorsqu'il arrive à dormir
Fan de Taylor Swift, il dit qu'elle lui amène un grain de folie ▬ Est un cordon bleu et n'aime pas manger au restaurant sauf s'il est contraint ▬ N'a pas la dent sucrée ▬ Sportif, il pratique le tennis, le golf, la voile et fait un jogging par journée ▬ Ne supporte pas One Direction, les séries télévisées, le shopping et l'hiver ▬ son livre favori est Moby Dick
❝ pseudo : monocle. ❝ crédits : @avatar tag /@gif tumblr ❝ avatar : Daniel Gillies ❝ présence : Présent(e) ❝ préférences : Rp Roses ❝ disponibilité : Disponible, suffit de venir me voir ♥ ❝ autres comptes : AIDEN ▬ (a.levine) le papa qui accepte tous les caprices de sa femme. GRANT ▬ (g.gustin) l'handicapé des sentiments envers les femmes ! oui, il les aime, mais il ne sait pas comment leur dire. CARTER ▬ (a.kendrick) la nouvelle maman amoureuse de l'homme qu'elle a marié à vegas. ALVIN ▬ (m.bomer) le papa qui ne comprend rien au fait d'avoir des enfants avant le mariage. JONAS ▬ (r.amell) l'étudiant qui ne s'amuse qu'avec les plaisirs de la vie. DEVON ▬ (k.graham) la jeune femme qui rêve de liberté et de se reconstruire une vie bien différente de celle qu'elle a toujours connue. GWEN ▬ (s.johansson) la jeune femme qui ne connait rien à l'amour.
mot doux de Jamie D. Copperman ► un Jeu 17 Déc - 23:43
lidwyn & jamieNe nous laissons pas submerger par les histoires des autres, vivons simplement la notre
Noël approchait à grand pas, sept jours avant que les enfants ouvrent leurs cadeaux se trouvant sous le sapin. Quant à moi, j’avais d’autre chose en tête, savoir ma femme en prison avait un peu le don de casser l’ambiance festive. Je n’avais pas la moindre idée si j’allais passer cette soirée avec elle ou je la passerais plutôt à l’hôtel avec une quelconque compagnie. Peut-être même une soirée entre cousin, qui sait ! Pour l’heure, j’étais en congé et avant que mon éditrice pète un câble pour les chapitres que je tardais à rédiger, je me décidais à me mettre à l’ouvrage. Manquant de documentation, je prenais la décision d’aller à la bibliothèque, ça ne pouvait pas vraiment me faire de mal. Voir des gens, même si c’était une vieille derrière son bureau qui imposait un silence constant, me semblait plus agréable que d’être encore seul dans cette chambre à repenser à Calixta. Mais quelle idée j’avais eu de raconter sa vie, notre vie ? En tout cas, ça enthousiasmait fortement mon éditrice. Mon portable sonnait, alors que je sortais de l’hôtel, décrochant je retenais le soupire qui désirait tant s’échapper de mes lèvres. « Salut Terry. » disais-je finalement en entendant la voix de la jeune femme à l’autre bout. « Ça ne va vraiment plus Jamie, Noël approche et je n’ai pas eu un chapitre depuis que tu es retourné dans cette ville. » Voilà le reproche, je le sentais venir. Passant ma main dans mes cheveux où une fine pluie tombait doucement sur Pasadena, couvrant les épaules de mon veston de délicates gouttes d’eau. « Si tu saurais te montrer patiente et tu avais attendu quelques heures je t’en aurais fait parvenir. » répondais-je en hélant un taxi. Il eut un moment de silence, me faisant hausser un sourcil. « Mais c’est génial ! J’attends cela avec impatience. » Comme si je ne le savais pas déjà. Elle continuait de parler, mais je n’écoutais que d’une oreille. Vraiment cette femme lorsqu’elle n’était pas devant moi, j’avais un mal fou à supporter ces conversations. Bon, il fallait se le dire, on ne parlait pas que de mon roman lorsque j’étais encore à New York. Arrivant finalement devant la bibliothèque, je payais ma course tout en raccrochant pour me diriger vers cet antre de livre en tout genre. Je pourrais bien m’en louer quelques-uns au passage, sachant que j’allais bientôt manquer de lecture. Franchissant la porte, je secouais doucement la tête pour en retirer les gouttes d’eau s’y étant accumulé. Un lissage de cheveux et je me dirigeais vers une table non occupée, y déposant mon sac contenant mon pc et retirant mon veston pour le laisser sécher sur le dossier de la chaise où je prenais place. Pendant que mon pc s’allumait, je roulais les manches de ma chemise jusqu’à mes coudes. Je tapais mon mot de passe sans regarder mon écran ni même mon clavier, habitude tout comme le fait que mes doigts savaient simplement où taper. Je cherchais dans mon sac quelques notes que je m’étais prise sur un calepin, il y avait des choses qui ne changeait pas. J’aimais écrire à la main bien avant de prendre le temps de le faire à l’ordinateur. Un clique et word était ouvert, une page blanche. J’ignorais par où commencer. Les minutes défilaient et une heure plus tard, je n’avais écrit que trois petits mots. C’était insupportable, me levant, je me décidais à aller marcher entre les rayons pour trouver un peu d’inspiration pour commencer ce nouveau chapitre. Dénouant ma cravate, j’empruntais une allée contenant des romans fantastiques. Ce n’était pas ceux que je préférais, mais Calixta, elle, elle les aimait. Je devais puiser mes idées dans les souvenirs de que j’avais de ma sœur. Poussant un soupire, j’entendais un bruit. Me baissant, je jetais un coup d’œil entre les livres, voyant dans la rangé voisine une jeune femme. Quel homme j’aurais été si j’étais resté là planter devant un exemplaire de Twilight à ne rien vouloir voir ? Je sortais donc de la rangé, allant appuyer mon épaule sur l’étagère voisine. « Vous avez besoin d’aide ? » demandais-je à cette brune minuscule. Un sourire s’étirant sur mes lèvres en la regardant, j’avais toujours eu un faible pour les femmes menues.
Invitéet oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais !
Invité
mot doux de Invité ► un Dim 20 Déc - 19:28
Lidwyn & Jamie
Ne nous laissons pas submerger par les histoires
des autres, vivons simplement la notre
Lidwyn comme chaque matin, c’était levée avait pris un bol de céréales avec du lait ainsi qu’un jus d’orange avant de se diriger vers la salle de bain où elle prit une douche plus ou moins rapide. Je dis plus ou moins, car tout le monde sait que quand on a de long cheveux à shampouiner cela prend du temps, voir beaucoup de temps. Lidwyn avec toute la bonne volonté du monde finissait par rester une heure et demie dans la salle de bain. Enfin passons comme c’était bientôt Noël, elle avait eu droit à un jour de congé. Ce n’était donc pas pour se rendre à son travail que Lidwyn se faisait belle non… Mais où allait-elle de si bonne heure alors ? me demanderez-vous. Et bien, elle avait envie de connaître un peu plus la ville de Pasadena et de découvrir la bibliothèque.
Lidwyn aimait lire, s’instruire, mais aussi se balader dans les rayonnages et sentir l’odeur des vieux livres. La jeune femme était attachée à cela. Alors qu’en ce moment - à l’ère du numérique - tout était disponible sur une tablette. Lidwyn était l’une des survivantes qui croyait en l’âme des livres et qui aimait tourner les pages de ceux-ci. La jeune femme c’était bien sûr renseignée sur l’endroit exact où était située la bibliothèque, elle avait pris ensuite le métro et un bus afin de s’y rendre. Car la bibliothèque était située à l’ouest de la ville, quand elle descendit du bus une fine pluie était en train de s’abattre sur la ville. Malheureusement, elle n’avait pas pris de parapluie, son téléphone se mit soudain à sonner. Elle le chercha un instant dans son sac avant de le trouver et de décrocher.
- Allo ?, demanda-t-elle, car elle n’avait pas eu le temps de lire le numéro qui était affiché. - Darwyn, c’est Premila, dit sa meilleure amie à l’autre bout du fil. - Ca fait, longtemps comment tu vas ?, lui demanda-t-elle heureuse d’entre la voix de celle-ci. - Bien, mais toi comment vas-tu ? - Bien, j’ai un travail, un appartement enfin je suis en colocation, mais tout se passe bien pour moi…, lui répondit-elle joyeusement. - C’est super pour toi… Je voulais te demander si tu comptais rentrer pour les fêtes ?
Lidwyn n’avait même pas songé à rentrer chez elle pour fêter Noël en présence de sa meilleure amie et d’Harry. En fait si elle voulait être tout à fait honnête envers elle-même, c’était parce qu’elle n’était pas encore prête à affronter son père.
- Non, je n’ai pas encore les moyens de prendre un billet d’avion…, lui mentit-elle. - Tant mieux, lui répondit immédiatement Premila, ce qui étonna légèrement Lidwyn, parce que c’est moi qui vient à Pasadena, lui dit-elle. - Non ! Tu es sérieuse ?, s’écria la jeune femme brune, presque tout le monde qui se trouvait dans la rue se retourna alors vers elle. - Oui et j’aurais deux surprises pour toi, lui dit-elle. - C’est géniale, tu viens quand ?, lui demanda-t-elle en souriant jusqu’aux oreilles. - Je serais là, du 23 au 29 décembre et ne t’inquiètes pas je logerais à l’hôtel avec Harry, lui dit-elle. - Tu es prévoyante… - Comme toujours, bon je te laisse on se voit le 23, bisous. - Bisous, lui répondit-elle légèrement sous le choc de la nouvelle.
Il fallait qu’elle en parle à Baby, elle allait composer son numéro quand elle se rendit compte de l’heure, elle abandonna l’idée de lui faire part de la nouvelle. Il fallait qu’elle trouve deux autres cadeaux pour le coup, mais bon ça attendrait bien l’après-midi pour cela. Elle rentra dans le bâtiment et se dirigea directement vers l’accueil pour demander des renseignements.
- Excusez-moi, vous avez des livres de cuisine dans le coin ?, demanda-t-elle à la jeune femme. - Oui, dans l’aile sud section deux vous ne pouvez pas les rater, il y a une grande pancarte pour vous l’indiquer, répondit la jeune femme en souriant.
Lidwyn trouva quelques livres de cuisine, cinq pour être exacte qu’elle prit dans ses bras, puis elle se dirigea vers l’allée centrale ou des tables étaient mises à disposition des lecteurs. Elle leva les yeux et lu une pancarte sur laquelle était indiquée roman fantastique. Lidwyn aimait ce genre de roman, elle se dit qu’elle pourrait en emprunter un, une fois qu’elle aurait terminé de lire, les livres de cuisines qu’elle avait entre les mains.
Comme elle ne connaissait pas grand-chose, des goûts culinaires américains, elle se renseignait là où elle le pouvait. Elle inscrit quelques recettes des livres qu’elle avait trouvés dans son livre qu’elle complétait au fur et à mesure. Une fois, qu’elle eut finie, au lieu d’aller les déposer sur un des chariots, elle s’attarda dans le rayon des romans fantastiques. C’est alors qu’un homme fit irruption près d’elle, ce qui la fit légèrement sursauter et lui demanda si elle avait besoin d’aide.
- Je… euh oui, lui répondit-elle légèrement intriguée, je cherche les Harry Potter, vous ne les auriez pas vu ?, lui demanda-t-elle en le regardant droit dans les yeux.
L’homme était élégant et il dégageait une aura particulière, tout comme l’homme qu’elle avait rencontré sur l’île. Elle le regarda un moment avant de détourner à nouveau son regard vers les livres face à elle.
(c) crackle bones
Dernière édition par Lidwyn Darcy le Mar 22 Déc - 4:17, édité 1 fois
Jamie D. Coppermanet oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais !
❝ Métier : Cancérologue, professeur en recherche et écrivain scientifique ❝ cupidon : Ce n'est jamais simple, les contes de fée ça n'existent pas pour un adulte. ❝ post-it : Né à Toronto le 30 août 1977, dans une famille dysfonctionnelle ▬ A perdu sa sœur aînée lorsqu'il avait 6 ans, c'est ce qui le mènera à faire le choix d'être cancérologue ▬ A étudié à McGill en médecine ▬ A une mémoire eidétique et est aussi daltonien ▬ A apprit le français, mais il est maintenant rouillé ▬ A publié un livre au début de sa carrière, parlant de recherche sur le cancer, il est reconnu dans son domaine pour son travail acharné et ses réussites ▬ Apprenant qu'il allait perdre son visa, il s'est marié avec une de ses étudiantes, omettant certain détail sur leur relation ▬ coureur de jupon, il ne croit pas à la fidélité, à l'amour avec un grand A et encore moins au mariage ▬ Il ne se montre pas comme il est vraiment, car pour lui l'image compte beaucoup, mais il ne donne pas facilement sa confiance ▬ Est insomniaque et ses nuits ne dépassent jamais plus de 4 heures lorsqu'il arrive à dormir
Fan de Taylor Swift, il dit qu'elle lui amène un grain de folie ▬ Est un cordon bleu et n'aime pas manger au restaurant sauf s'il est contraint ▬ N'a pas la dent sucrée ▬ Sportif, il pratique le tennis, le golf, la voile et fait un jogging par journée ▬ Ne supporte pas One Direction, les séries télévisées, le shopping et l'hiver ▬ son livre favori est Moby Dick
❝ pseudo : monocle. ❝ crédits : @avatar tag /@gif tumblr ❝ avatar : Daniel Gillies ❝ présence : Présent(e) ❝ préférences : Rp Roses ❝ disponibilité : Disponible, suffit de venir me voir ♥ ❝ autres comptes : AIDEN ▬ (a.levine) le papa qui accepte tous les caprices de sa femme. GRANT ▬ (g.gustin) l'handicapé des sentiments envers les femmes ! oui, il les aime, mais il ne sait pas comment leur dire. CARTER ▬ (a.kendrick) la nouvelle maman amoureuse de l'homme qu'elle a marié à vegas. ALVIN ▬ (m.bomer) le papa qui ne comprend rien au fait d'avoir des enfants avant le mariage. JONAS ▬ (r.amell) l'étudiant qui ne s'amuse qu'avec les plaisirs de la vie. DEVON ▬ (k.graham) la jeune femme qui rêve de liberté et de se reconstruire une vie bien différente de celle qu'elle a toujours connue. GWEN ▬ (s.johansson) la jeune femme qui ne connait rien à l'amour.
mot doux de Jamie D. Copperman ► un Lun 21 Déc - 9:00
lidwyn & jamieNe nous laissons pas submerger par les histoires des autres, vivons simplement la notre
Encore une journée où je devais repenser à ma sœur. Une journée où de vieux souvenirs venaient me hanter encore et encore. Certains s’afféraient à penser aux derniers préparatifs pour le réveillon de Noël et moi, j’étais assis devant mon ordinateur dans la bibliothèque de la ville à regarder cet écran à la page blanche. À chaque fois, que je m’installais pour écrire ce nouveau livre les souvenirs qui remontaient à la surface me créait un blocage. J’étais idiot de vouloir persévérer dans l’écriture de ce livre. Seulement, mon acharnement me ramenait toujours sur Terre. Poussant un soupire, c’était plus qu’inutile que je m’attarde devant cet écran où j’avais peine à aligner deux mots d’affilés. Me levant je décidais de me changer les idées, mais aussi trouver la force de puiser dans mes souvenirs meilleurs de ma sœur. Depuis mon enfance, j’avais toujours aimé les romans d’aventures, contrairement à elle qui avait un faible pour les romans fantastiques ou de romance. Je commençais donc par enfiler dans une allée catégorisée livre fantastique. Je n’avais pas vraiment fait gaffe à l’allée que je choisissais, entrant dans celle contenant surtout les dernières lettres de l’alphabet. Je parcourais les titres du regard jusqu’à entendre un bruit, comme si quelqu’un échappait des livres. Remarquant la présence d’une femme dans l’allée voisine, je me dirigeais vers celle-ci. Je n’avais pas dit un seul mot encore qu’elle sursautait. Je faisais si peur que cela ? J’allais me vexer si c’était le cas. En tout cas, cette fille semblait plus que craintive si elle sursautait à chaque fois que quelqu’un passait dans une allée près d’elle. Mais tel un gentleman, j’offrais mon aide. C’était plus fort que moi. Toutefois, je m’attendais à trouver des livres sur le sol, j’avais du mal entendre ou peut-être que c’était dans une autre allée. Qu’importe. Je posais mon regard sur la brune, croisant mes bras sur mon torse. Au moins, je n’étais pas venu pour rien, car elle acceptait mon aide. Harry Potter… J’avais une tête à lire ce genre de livre ? Haussant les épaules, je m’approchais d’elle. « Désolé, je ne suis pas vraiment un grand lecteur de roman de ce genre. Mais je peux vous aider à les trouver. » disais-je en lui adressant un sourire aimable. Levant la tête, je cherchais les H. Ça ne me prit qu’un instant pour trouver la saga qu’elle cherchait, sur la tablette la plus haute qui soit se trouvait les sept volumes du sorcier. Je ne les avais pas lus, mais comme tout le monde j’en avais un minimum entendu parler. Je me rapprochais d’elle, étirant le bras j’allais chercher les deux premiers tomes, avant de me reculer pour lui tendre. « Vous désirez les autres ? » demandais-je, car à moins qu’elle ait cherché un marchepied il y avait peu de chance pour qu’elle se rendre jusqu’à eux. Autant profiter d’un homme, non ? J’étais désormais assez proche d’elle pour la voir, regardant chacun des traits de son visage. « Vous vous faites toujours aussi belle pour venir à la bibliothèque ? » Eh non, je n’avais jamais vraiment eu ma langue dans ma poche, j’étais du genre franc dans la plus part des circonstances. On savait toujours à quoi s’attendre avec moi, seul un fou pourrait en douter. Bon j’avais aussi mon lot de mensonges, mais ça c’était pour tout autre chose. Je la regardais, laissant un sourire planer sur mes lèvres, avant de regarder les livres qu’elle tenait dans ses mains. Des culinaires Américains, mon sourire s’élargie. Livre, nourriture, cuisine, ce bout de femme avait quelques atouts – et je ne parle pas physique, qui me plaisait bien. « Je ne vous conseille pas ce livre de Thomas Keller, les recettes ne sont pas terribles. » disais-je en relevant mon regard vers, croisant mes prunelles sombres avec les siennes. Généralement, j’aimais improviser dans mes recettes, mais il m’arrivait parfois de suivre ces recettes et ça adonnait que j’avais déjà testé quelques-unes de ce livre sans grand succès.
Invitéet oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais !
Invité
mot doux de Invité ► un Mar 22 Déc - 4:19
Lidwyn & Jamie
Ne nous laissons pas submerger par les histoires
des autres, vivons simplement la notre
L'homme lui dit qu'il était désolé parce qu'il n'était pas vraiment un grand fan de ce genre de romans, cependant il était d'accord pour l'aider à les trouver.
- Merci, lui dit Lidwyn en affichant un joli sourire.
Lidwyn se retrouva soudain coincée entre les étagères remplies de livres et le corps de l'homme qui lui faisait face. Celui-ci essayait d'atteindre les romans de la saga Harry Potter, il y arriva sans trop de mal et fini par lui donner les deux premiers tomes. Il poursuivit la conversation en lui demandant si elle désirait les autres volumes.
- C'est très gentil à vous mais, non ça ira, je vais commencer à relire les deux premiers, lui dit-elle en affichant toujours un sourire aimable à l'homme.
L'homme était toujours aussi proche d'elle et semblait la scruter ce qui lui fit baisser les yeux vers ses livres. Il reprit la conversation, en lui demandant si elle se faisait toujours aussi belle pour aller à la bibliothèque. Lidwyn releva alors les yeux vers les prunelles noisette de l'homme face à elle.
- Je… et bien c'est-à-dire que… vous essayez de me séduire ? lui demanda-t-elle en le fixant à présent.
Lidwyn n'était pas habituée à ce que des hommes la complimentent, généralement c'était même l'inverse. Certains hommes l'avaient même fuit dans le passé.
- Vous savez dans une conversation normale, vous vous seriez d'abord présenté avant de me complimenter sur ma façon de m'habiller, lui dit-elle en continuant de le regarder. Ensuite, je vous aurez répondu que je me nomme Lidwyn et que je suis Anglaise. Il est donc normal pour moi de sortir ainsi vêtue, même pour aller au supermarché, car nous ne sommes jamais à l'abri d'une rencontre déterminante dans notre vie, lui expliqua-t-elle en affichant un sourire sur son visage.
L'homme reprit ensuite la parole en lui disant qu'il ne lui conseillait pas le livre de Thomas Keller, car les recettes n'étaient pas terribles. Lidwyn regarda les bouquins qu'elle avait toujours entre les mains, cependant elle ne pouvait pas voir celui dont l'homme parlait. Elle avait bien lu le nom de l'auteur sur la couverture toutefois elle ne se souvenait plus lequel c'était.
- Je vais vous croire sur parole, lui dit-elle en le regardant. Mais je vais quand même tester, si jamais ça n'est pas bon, je n'aurais qu'à changer de recettes, lui dit-elle en souriant.
Lidwyn testait toujours les recettes qu'elle recopiait avant de les faire manger à quelqu'un. Elle ne voulait surtout pas empoisonner les personnes auxquelles, elle tenait, ainsi que ses clients.
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Jamie D. Coppermanet oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais !
❝ Métier : Cancérologue, professeur en recherche et écrivain scientifique ❝ cupidon : Ce n'est jamais simple, les contes de fée ça n'existent pas pour un adulte. ❝ post-it : Né à Toronto le 30 août 1977, dans une famille dysfonctionnelle ▬ A perdu sa sœur aînée lorsqu'il avait 6 ans, c'est ce qui le mènera à faire le choix d'être cancérologue ▬ A étudié à McGill en médecine ▬ A une mémoire eidétique et est aussi daltonien ▬ A apprit le français, mais il est maintenant rouillé ▬ A publié un livre au début de sa carrière, parlant de recherche sur le cancer, il est reconnu dans son domaine pour son travail acharné et ses réussites ▬ Apprenant qu'il allait perdre son visa, il s'est marié avec une de ses étudiantes, omettant certain détail sur leur relation ▬ coureur de jupon, il ne croit pas à la fidélité, à l'amour avec un grand A et encore moins au mariage ▬ Il ne se montre pas comme il est vraiment, car pour lui l'image compte beaucoup, mais il ne donne pas facilement sa confiance ▬ Est insomniaque et ses nuits ne dépassent jamais plus de 4 heures lorsqu'il arrive à dormir
Fan de Taylor Swift, il dit qu'elle lui amène un grain de folie ▬ Est un cordon bleu et n'aime pas manger au restaurant sauf s'il est contraint ▬ N'a pas la dent sucrée ▬ Sportif, il pratique le tennis, le golf, la voile et fait un jogging par journée ▬ Ne supporte pas One Direction, les séries télévisées, le shopping et l'hiver ▬ son livre favori est Moby Dick
❝ pseudo : monocle. ❝ crédits : @avatar tag /@gif tumblr ❝ avatar : Daniel Gillies ❝ présence : Présent(e) ❝ préférences : Rp Roses ❝ disponibilité : Disponible, suffit de venir me voir ♥ ❝ autres comptes : AIDEN ▬ (a.levine) le papa qui accepte tous les caprices de sa femme. GRANT ▬ (g.gustin) l'handicapé des sentiments envers les femmes ! oui, il les aime, mais il ne sait pas comment leur dire. CARTER ▬ (a.kendrick) la nouvelle maman amoureuse de l'homme qu'elle a marié à vegas. ALVIN ▬ (m.bomer) le papa qui ne comprend rien au fait d'avoir des enfants avant le mariage. JONAS ▬ (r.amell) l'étudiant qui ne s'amuse qu'avec les plaisirs de la vie. DEVON ▬ (k.graham) la jeune femme qui rêve de liberté et de se reconstruire une vie bien différente de celle qu'elle a toujours connue. GWEN ▬ (s.johansson) la jeune femme qui ne connait rien à l'amour.
mot doux de Jamie D. Copperman ► un Jeu 24 Déc - 9:40
lidwyn & jamieNe nous laissons pas submerger par les histoires des autres, vivons simplement la notre
Les goûts littéraires étaient quelque chose de tellement différent pour chacun, pour ma part j’étais trop terre à terre pour aimer les histoires de sorcier, vampire ou tout autre chose dépassant un certain réalisme. Bien que je ne fusse pas un lecteur de ces romans, ça n’allait pas m’empêcher d’aider une fille. « Il n’y a pas de quoi. » répondais-je à son merci, tournant mon regard sur l’étagère pour y chercher les fameux livres. En cherchant, j’avais considérablement diminué la distance entre elle et moi. Elle pouvait se sentir prisonnière, mais pour ma part ça ne me dérangeait jamais d’être collé à une femme. Après tout, je n’étais pas en train de balader mes mains sur son corps. Elle s’en remettrait très vite d’une proximité telle que celle-ci. Et puis, elle devait en avoir vu d’autre ou senti… Au choix ! Enfin trouvé, je prenais les premiers volumes avant de lui tendre. « Comme vous le souhaitez. » Je n’allais pas non plus la forcer à prendre les autres si elle ne le voulait pas, même si ça ne m’aurait pas déranger de récupérer les volumes disponibles. Surtout que la taille des volumes me semblait peu, j’avais beau avoir une vie chargée et active, lire un roman de plus de mille page en pratiquement une journée était plus simple qu’on pouvait le croire. J’étais un lecteur rapide qui ne tournait pas les coins ronds et je me souvenais de chaque mot lu. Mais qu’importe, je préférais toujours une femme à un livre. C’était incontournable. Et je ne manquais pas de complimenter celle qui se trouvait devant moi. Une timide. La voir baisser le regard eut l’effet de me faire sourire, mais mon compliment eut l’effet escompté. Elle réagissait, fini le regard baissé, maintenant on se regardait mutuellement. Un rire s’échappait de mes lèvres, la séduire. « Si je désirais vous séduire vous le sauriez, c’était qu’un compliment. » Si on ne pouvait plus dire à une femme qu’elle était belle, autant dire que le monde serait bien fadasse. Mon sourire s’étirait alors qu’elle poursuivait sur une sorte de défensive. Finalement, je m’amusais bien à la regarder se justifier. Je me retenais pour ne pas rire d’avantage, ne désirant pas paraître impoli. Mais depuis quand avions-nous besoin de se présenter pour complimenter quelqu’un ? Je me voyais mal dans la rue abordé une fille en lui tendant la main, disant mon prénom pour ensuite lui dire que son décolleté l’avantageait. Je préférais bien plus m’attarder sur la vue que de me présenter. Cette brunette ne devait pas se faire aborder ainsi souvent ou sinon elle vivait dans un autre monde. J’haussais les sourcils, bien que je découvrais son prénom, j’avais aussi droit à sa nationalité. Me dirait-elle aussi la taille de son bonnet ou la couleur de ses sous-vêtements ! Choses qui m’intéressaient d’avantage que le fait de savoir qu’elle puisse être Anglaise, après tout son accent était évident. D’une certaine façon, je commençais presque à me demander si elle ne me prenait pas pour un con. Oulà, cette fille devait regarder un peu trop de film à l’eau de rose ou lisait des romans d’amour, car faire une rencontre déterminante dans le genre de circonstance qu’elle disait, était chose rare. Coup de foudre à Nothing Hill, ce n’était qu’un film. Je répondais tout de même à son sourire, après tout je n’étais pas le genre de mec à me montrer discourtois envers une femme. « Eh bien ce ne doit pas être tous les jours faciles de prendre le temps de se mettre aussi belle pour une possible rencontre qui n’a peut-être pas lieu d’être. Chapeau. » disais-je en laissant mon sourire s’étirer. Je n’avais pas pu me retenir, c’était plus fort que moi, mais ne croyant pas en l’amour, c’était impossible de me faire à l’idée qu’une femme pouvait mettre autant de temps à chaque jour dans l’espoir de rencontrer l’homme pour elle. « Et puisqu’il semblerait qu’il faut se présenter par chez vous pour dire un compliment à quelqu’un. Je m’appelle Jamie. » rajoutais-je avant de porter mon attention sur autre chose que les romans, les livres de recette. Une fois de plus, je disais ce qui me traversait l’esprit en reconnaissant l’un des livres qu’elle tenait dans ses mains. Tous les goûts étaient dans la nature, elle pouvait très bien aimer ces recettes, mais ayant un palet disons raffiné, j’avais eu du mal à apprécier cette cuisine. « Vous n’êtes pas obliger de me croire, après tout peut-être qu’elles vous plairont. Pour ma part, ce n’est pas le genre de cuisine que je préfère. » disais-je en haussant doucement les épaules. Lui adressant un nouveau sourire, je regardais l’étagère. « Bon, je fus ravi. » Je n’allais l’importuné plus que cela, surtout qu’elle ne semblait pas enclin à vraiment engager une conversation. Forcer une femme ce n’était pas dans mes habitudes et je savais me retirer lorsqu’il le fallait. Je tournais les talons, m’attardant néanmoins en regardant les étagères pour trouver le roman favori de ma sœur : Le magicien d’Oz. Passant mes doigts sur mes lèvres avant de me mordre l’intérieur de la joue. « Où est-il… » me disais-je à moi-même en cherchant cet ouvrage pour enfant.
Invitéet oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais !
Invité
mot doux de Invité ► un Mar 29 Déc - 16:52
Lidwyn & Jamie
Ne nous laissons pas submerger par les histoires
des autres, vivons simplement la notre
Lidwyn avait les mêmes goûts littéraires que sa mère, celle-ci avait souvent la tête dans les étoiles. Ce que Lidwyn avait toujours admiré chez elle, son imagination. Bien évidemment ce n'était pas le goût de tout le monde et ça Lidwyn le savait bien. Car, certains voisins n'appréciaient pas le faite qu'elle raconte des histoires sans queues ni tête à sa petite fille, ce qui ne l'avait pas empêché de continuer, bien au contraire. Ce que la jeune anglaise avait toujours admirait chez sa mère, c'était sa persévérance, d'ailleurs elle espérait au fond d'elle avoir cette caractéristique.
La jeune femme sortit de sa torpeur quand l'homme lui dit qu'il n'y avait pas de quoi, sur le fait de l'aider à trouver les volumes des Harry Potter. Il s'approcha ensuite d'elle à quelques millimètres de son visage, pour la première fois Lidwyn ne détourna pas son regard, de toute façon l'homme ne semblait pas la voir se concentrant sur le fait qu'il devait pendre le livre. Elle put donc le détailler, il était assez séduisant, hélas il devait aussi être au courant de cet état de fait. Les hommes qui étaient sur de leur pouvoir de séduction étaient les plus pénibles. Car ceux-ci étaient persuadé que toutes les femmes pouvaient tomber à leurs pieds.
Il prit les deux premiers volumes et lui tendit en lui répondant que c'était comme elle le souhaitait. Lidwyn crut lire dans le regard de l'homme que les volumes, n'était pas si volumineux que cela. Cependant, pour la jeune femme ça l'était, parce qu'avec son travail, elle n'avait pas vraiment le temps de lire des romans, quand elle rentrait le soir c'était surtout pour se coucher. Après tout, qu'est-ce qu'elle savait de la vie de cet homme et qu'est-ce qu'il savait lui de la vie de cette jeune femme brune.
L'homme lui dit ensuite que s'il désirait la séduire, elle le saurait et que c'était juste un compliment. Lidwyn sentit ses joues la bruler, la jeune femme était désormais écarlate. Elle aurait bien aimé être une souris ou quelque chose de plus petit pour pouvoir disparaitre à cet instant. L'homme poursuivit en lui disant que ce n'était pas tous les jours faciles de se faire belle pour une possible rencontre, qui n'aura pas lieu.
- C'est bien les hommes, à penser de cette façon. Toutefois, toute occasion est bonne pour qu'une femme se mette à son avantage, lui répondit-elle en le regardant. Pas seulement, pour une rencontre amoureuse, je ne suis pas si optimiste que ça, lui dit-elle en souriant. Je parlais aussi des rencontres professionnelles.
Elle doutait un peu que cet homme la croit, mais après tout qu'est-ce qu'il pouvait bien connaitre d'elle. Il ajouta que comme il semblait que d'où elle venait il fallait se présenter avant de faire un compliment à quelqu'un, il lui dit qu'il s'appelait Jamie. Il continua en lui disant qu'elle n'était pas obligée de le croire sur le livre de recettes et que peut-être les recettes lui plairont en définitives, cependant en ce qui le concernait, il n'était pas vraiment fan de ce genre de cuisine.
- Je suis pâtissière, chez "Ohana", vous pourriez y passer et me dire ce que vous pensez de mes recettes, lui suggéra-t-elle en le regardant.
L'homme lui dit qu'il avait été ravis de faire sa connaissance, elle ne savait pas si c'était ironique ou relativement vraie.
- Moi, de même, lui dit-elle en le regardant.
La jeune femme parti à la recherche d'un chariot pour déposer les livres dont elle n'avait pas besoin quand elle entendit l'homme se demander à haute voix où était le livre qu'il cherchait.
- Vous cherchez quoi ?, lui demanda-t-elle en se dirigeant de nouveau vers lui. Si vous cherchez un classique comme Alice aux pays des merveilles ou le magicien d'Oz, il y a de forte chance qu'il soit emprunté, lui dit-elle en le regardant. Mais, ils l'ont peut-être en réserve, au cas où, lui dit-elle en le regardant.
(c) crackle bones
Jamie D. Coppermanet oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais !
❝ Métier : Cancérologue, professeur en recherche et écrivain scientifique ❝ cupidon : Ce n'est jamais simple, les contes de fée ça n'existent pas pour un adulte. ❝ post-it : Né à Toronto le 30 août 1977, dans une famille dysfonctionnelle ▬ A perdu sa sœur aînée lorsqu'il avait 6 ans, c'est ce qui le mènera à faire le choix d'être cancérologue ▬ A étudié à McGill en médecine ▬ A une mémoire eidétique et est aussi daltonien ▬ A apprit le français, mais il est maintenant rouillé ▬ A publié un livre au début de sa carrière, parlant de recherche sur le cancer, il est reconnu dans son domaine pour son travail acharné et ses réussites ▬ Apprenant qu'il allait perdre son visa, il s'est marié avec une de ses étudiantes, omettant certain détail sur leur relation ▬ coureur de jupon, il ne croit pas à la fidélité, à l'amour avec un grand A et encore moins au mariage ▬ Il ne se montre pas comme il est vraiment, car pour lui l'image compte beaucoup, mais il ne donne pas facilement sa confiance ▬ Est insomniaque et ses nuits ne dépassent jamais plus de 4 heures lorsqu'il arrive à dormir
Fan de Taylor Swift, il dit qu'elle lui amène un grain de folie ▬ Est un cordon bleu et n'aime pas manger au restaurant sauf s'il est contraint ▬ N'a pas la dent sucrée ▬ Sportif, il pratique le tennis, le golf, la voile et fait un jogging par journée ▬ Ne supporte pas One Direction, les séries télévisées, le shopping et l'hiver ▬ son livre favori est Moby Dick
❝ pseudo : monocle. ❝ crédits : @avatar tag /@gif tumblr ❝ avatar : Daniel Gillies ❝ présence : Présent(e) ❝ préférences : Rp Roses ❝ disponibilité : Disponible, suffit de venir me voir ♥ ❝ autres comptes : AIDEN ▬ (a.levine) le papa qui accepte tous les caprices de sa femme. GRANT ▬ (g.gustin) l'handicapé des sentiments envers les femmes ! oui, il les aime, mais il ne sait pas comment leur dire. CARTER ▬ (a.kendrick) la nouvelle maman amoureuse de l'homme qu'elle a marié à vegas. ALVIN ▬ (m.bomer) le papa qui ne comprend rien au fait d'avoir des enfants avant le mariage. JONAS ▬ (r.amell) l'étudiant qui ne s'amuse qu'avec les plaisirs de la vie. DEVON ▬ (k.graham) la jeune femme qui rêve de liberté et de se reconstruire une vie bien différente de celle qu'elle a toujours connue. GWEN ▬ (s.johansson) la jeune femme qui ne connait rien à l'amour.
mot doux de Jamie D. Copperman ► un Sam 30 Jan - 9:42
lidwyn & jamieNe nous laissons pas submerger par les histoires des autres, vivons simplement la notre
La séduction, il y en avait pour tous les goûts. On pouvait aimer une façon plus qu’une autre, je m’amusais souvent de ces diverses « techniques » pour arriver à mes fins, mais pour une fois, je ne tentais rien. Je n’étais pas dans cette bibliothèque dans le but de me farcir quelqu’un, mais pour le travail. Bon, généralement ça ne me posait pas de problème quant à passer quelques minutes dans les bras d’une femme, mais si je ne voulais pas me faire enquiquiner par mon éditrice, je devais pondre un chapitre ou deux. Et je devais bien admettre que le fait qu’elle puisse lire des romans fantastiques me freinait. Je ne pouvais pas l’expliquer, mais bon, tout cela pour dire que je n’étais pas en train de flirter. Ce que je ne me gênais pas pour clarifier, me laissant jouir de sa réaction. L’embarras, elle s’était donc fait cette idée à tort et à travers. Elle me voyait donc comme un goujat, bon elle n’avait pas tort, mais ça je me gardais bien de le préciser. Préférant de loin regarder ces joues d’un rose éclatant, c’était quelque chose que j’aimais bien voir sur les femmes. Elle me semblait vulnérable et ça me plaisait. Je riais, elle avait tout de même une opinion bien fermer sur les hommes. Elle pensait quoi, que nous on était toujours parfait en nous levant ? Trimer une barbe c’était autant un ouvrage, mais on le faisait pour nous non pas pour une potentiel rencontre. Je n’avais que reprit ses mots et ça semblait la décourager. Pourtant, je n’étais pas l’initiateur de ces paroles. Je laissais mon sourire s’étirer, approchant mon visage du sien, brisant littéralement une barrière. « Et je n’ai pas à me plaindre de cet effort que vous faites. » Je me reculais, glissant mes mains dans mes poches et passant ma langue sur ma lèvre, non pas dans un geste séducteur, mais simplement pour les humecter. « Eh bien, une femme qui n’est pas optimiste quant à l’amour. Vous semblez pourtant le genre de femme à croire à celui-ci. » Peut-être que je me trompais, mais elle n’avait pas l’air de quelqu’un contre ce sentiment, avec sa timidité, je la voyais très mal ouvrir les cuisses sans éprouver un quelconque sentiment. Après, le look prude c’était aussi quelque chose d’attirant, si j’avais voulu me montrer vulgaire à cet instant j’aurais mordu ma lèvre à cette simple idée, mais je n’en fis rien. Je la laissais plutôt se présenter et j’en faisais de même avec un petit commentaire quant à son étrange vision des relations humaines. Se présentait-elle à chaque inconnu qu’elle rencontrait ? Personnellement, non. Puis, j’amenais le sujet sur les livres qu’elle tenait, enfin sur un en particulier. Elle me confiait être pâtissière, je ne pouvais pas dire pourquoi, mais je trouvais que ça correspondait bien à cette image qu’elle dégageait. « Je ne suis pas quelqu’un qui a la dent sucré, mais merci pour l’offre. » répondais-je poliment à l’offre qu’elle me faisait, je savais qu’une pâtissière ne se résumait pas qu’aux choses sucrés, mais la simple odeur d’un gâteau pouvait m’être insupportable et de toute façon je préférais cuisiner pour les gens plutôt qu’inversement. J’aurais pu être un bon chef cuisinier, mais j’avais choisi de faire carrière dans un autre domaine. Pourtant, malgré mon horaire surchargé je trouvais toujours le temps pour cuisiner, même si en ce moment je rêvais de pouvoir faire mes propres repas plutôt que de commander au room service. Voyant que la conversation n’avait plus lieu d’être, car je n’allais pas lui demander son pedigree tout de même, je la saluais avec courtoisie. Lui adressant un sourire en coin, est-ce qu’elle avait été heureuse de faire ma connaissance, je ne savais pas trop, mais je n’en avais pas grand-chose à faire. Passer mon temps à me dire si tel ou tel personne m’appréciait n’était pas quelque chose que je faisais généralement. La laissant, je me dirigeais un peu plus loin pour continuer quant à moi ma recherche. Dans ma recherche, j’avais parlé à voix haute, comme si la réponse viendrait à moi ainsi. Bon c’était un peu trop espérer, mais j’entendis la voix de Lidwyn qui me demandait ce que je cherchais. Tournant la tête vers elle, je me redressais, laissant mes doigts retomber le long de mon corps. À ses mots qui suivirent, je ne cachais pas mon ahurissement. « Vous êtes devin ? » demandais-je sans passer par quatre chemins, comme avait-elle pu en deux titres nommer celui que je cherchais. Je passais ma main sur ma mâchoire, tournant mon regard vers les livres. « Je cherche bien Le magicien d’Oz, j’aurais espéré trouver au moins un exemplaire de la saga, mais comme vous dites ils doivent tous être emprunter. » Je passais ma main dans mes cheveux, poussant un soupir, avant de ramener mon regard vers la jeune femme. Un sourire. « Je ferai sans, même si ça aurait pu m’aider dans ma rédaction. » Mon sourire s’étirait, alors que je reportais mon regard vers la tablette qui se trouvait au niveau de mon regard.
Invitéet oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais !
Invité
mot doux de Invité ► un Lun 1 Fév - 14:08
Lidwyn & Jamie
Ne nous laissons pas submerger par les histoires
des autres, vivons simplement la notre
L'homme lui dit qu'il n'avait pas à se plaindre des efforts que les femmes faisaient, car Lidwyn prit sa réflexion pour les femmes en générale et non pour elle seule. Jamie se recula en glissant ses mains dans ses poches, alors que Lidwyn plaça une de ses mèches derrière son oreille. Il poursuivit en lui disant qu'une femme qui n'était pas optimiste envers l'amour c'était assez bizarre, car elle semblait être le genre de femme à croire à celui-ci.
- C'est quoi pour vous une femme qui croit en l'amour ?, lui demanda-t-elle en le regardant.
Elle voulait vraiment savoir à quoi, cet homme pouvait bien penser. En fait, elle voulait surtout savoir pourquoi cet homme qu'elle ne connaissait pas pouvait croire qu'elle était désespérément à la recherche de quelqu'un. Une femme ne pouvait donc pas vivre seule, il fallait qu'elle se trouve quelqu'un pour combler le "vide" de son existence. Il est vrai que Lidwyn aurait aimé qu'un homme entre dans sa vie mais, pas de cette manière, en lui disant presque qu'elle était pathétique de se maquiller et de bien s'habiller. Si c'était sa façon de draguer, il fallait qu'il revoie un peu sa manière de faire, du moins c'est ce qu'elle pensait à ce moment-là.
Ensuite Lidwyn lui proposa de passer à la pâtisserie "Ohana", l'homme rétorqua qu'il n'était pas quelqu'un qui avait la dent sucrée mais, il la remercia tout de même pour son offre.
- Je ne fais pas que des pâtisseries sucrées, lui dit-elle sans le quitter des yeux. Mais je peux comprendre qu'on n'aime pas ce genre de chose, lui dit-elle sans vraiment penser ce qu'elle venait de lui dire.
Elle ne savait pas pourquoi – peut-être parce qu'il lui avait dit qu'il n'avait pas la dent sucrée justement – mais elle n'appréciait pas vraiment cet homme. En voyant qu'il cherchait un livre sur les étagères, elle avait sorti deux titres que tous les enfants ou presque adorait à savoir "Alice aux pays des merveilles" et "le magicien d'Oz". Après réflexion, elle aurait pu aussi lui dire "Peter Pan", "Robinson Crusoe", "Mary Poppins" ou encore "le livre de la jungle". Toutefois, dans les bibliothèques qu'elle connaissait, elle savait que le plus grand nombre de roman était ceux d'"Alice aux pays des Merveilles" et ceux du "Magicien d'Oz", car il était aux programmes de nombreuses écoles primaires du moins en Angleterre. Même si à présent "Harry Potter" avait également sa place parmi ses deux titres. Après qu'elle eut cité ses deux titres pour les raisons que j'énonce plus haut, l'homme lui demanda si elle était devin. Ce à quoi Lidwyn répondit :
- Non, c'est juste par déduction.
Elle lui sourit et allait lui demander si elle avait raison au moins pour l'un de ses titres, quelque fois que Jamie se moquerait d'elle. Mais, il ne se moquait pas, il lui dit qu'il cherchait "le magicien d'Oz" et qu'il espérait trouver un exemplaire de la saga. Il ajouta qu'il devait être tous emprunté comme elle lui avait si gentiment fait remarquer. L'homme finit par ajouter qu'il ferait sans ce roman, même s'il aurait l'aider dans sa rédaction. Lidwyn allait laisser cet homme tranquille quand une idée lui vient à l'esprit.
- Pourquoi, ne pas vous louer le film ?, lui demanda-t-elle en le regardant. Si vraiment vous en avez besoin pour écrire une rédaction, lui dit-elle alors qu'elle sentait son sac vibrer. Bien sûr, ce je vous laisse à vos recherches, bonne chance.
Lidwyn sourit avant de poser sur une table à roulettes, les livres dont elle n'avait pas besoin ensuite, elle se dirigea vers le comptoir de la bibliothèque afin de louer ses livres.
(c) crackle bones
Jamie D. Coppermanet oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais !
❝ Métier : Cancérologue, professeur en recherche et écrivain scientifique ❝ cupidon : Ce n'est jamais simple, les contes de fée ça n'existent pas pour un adulte. ❝ post-it : Né à Toronto le 30 août 1977, dans une famille dysfonctionnelle ▬ A perdu sa sœur aînée lorsqu'il avait 6 ans, c'est ce qui le mènera à faire le choix d'être cancérologue ▬ A étudié à McGill en médecine ▬ A une mémoire eidétique et est aussi daltonien ▬ A apprit le français, mais il est maintenant rouillé ▬ A publié un livre au début de sa carrière, parlant de recherche sur le cancer, il est reconnu dans son domaine pour son travail acharné et ses réussites ▬ Apprenant qu'il allait perdre son visa, il s'est marié avec une de ses étudiantes, omettant certain détail sur leur relation ▬ coureur de jupon, il ne croit pas à la fidélité, à l'amour avec un grand A et encore moins au mariage ▬ Il ne se montre pas comme il est vraiment, car pour lui l'image compte beaucoup, mais il ne donne pas facilement sa confiance ▬ Est insomniaque et ses nuits ne dépassent jamais plus de 4 heures lorsqu'il arrive à dormir
Fan de Taylor Swift, il dit qu'elle lui amène un grain de folie ▬ Est un cordon bleu et n'aime pas manger au restaurant sauf s'il est contraint ▬ N'a pas la dent sucrée ▬ Sportif, il pratique le tennis, le golf, la voile et fait un jogging par journée ▬ Ne supporte pas One Direction, les séries télévisées, le shopping et l'hiver ▬ son livre favori est Moby Dick
❝ pseudo : monocle. ❝ crédits : @avatar tag /@gif tumblr ❝ avatar : Daniel Gillies ❝ présence : Présent(e) ❝ préférences : Rp Roses ❝ disponibilité : Disponible, suffit de venir me voir ♥ ❝ autres comptes : AIDEN ▬ (a.levine) le papa qui accepte tous les caprices de sa femme. GRANT ▬ (g.gustin) l'handicapé des sentiments envers les femmes ! oui, il les aime, mais il ne sait pas comment leur dire. CARTER ▬ (a.kendrick) la nouvelle maman amoureuse de l'homme qu'elle a marié à vegas. ALVIN ▬ (m.bomer) le papa qui ne comprend rien au fait d'avoir des enfants avant le mariage. JONAS ▬ (r.amell) l'étudiant qui ne s'amuse qu'avec les plaisirs de la vie. DEVON ▬ (k.graham) la jeune femme qui rêve de liberté et de se reconstruire une vie bien différente de celle qu'elle a toujours connue. GWEN ▬ (s.johansson) la jeune femme qui ne connait rien à l'amour.
mot doux de Jamie D. Copperman ► un Jeu 25 Fév - 23:13
lidwyn & jamieNe nous laissons pas submerger par les histoires des autres, vivons simplement la notre
Devrais-je entrer dans le débat concernant l’amour ? Pour être franc, c’était le genre de chose qui m’exaspérais. Pourquoi les femmes se devaient toujours d’en savoir plus ? Et qu’est-ce qu’elle avait à faire de mon idée sur celles-ci ? Je n’avais rien contre quelqu’un qui n’était pas optimiste vis-à-vis de l’amour, après tout on avait tous notre vision quand à celui-ci. Seulement, en la regardant je le voyais mal faire sans. Essayant du mieux que je pouvais pour cacher mon agacement quant à sa question, je poussais un soupir. « Et pour vous qu’est-ce que serait le contraire ? » Il y avait une énorme différence entre elle et moi, pas besoin de la connaître pour savoir, qu’elle devait être seule, mais pas forcément mieux dans sa peau de célibataire. Par sa timidité, je pouvais très bien voir qu’elle n’était pas épanouie. Car si ça avait été le cas, elle serait d’avantage attirante. Est-ce qu’elle me faisait pitié pour autant ? Non, elle faisait le choix de vivre ainsi et je n’avais rien à lui redire. On était tous les deux en train de construire une image l’un de l’autre, et j’étais persuadé qu’elle n’avait pas une meilleure opinion de moi. Mais encore là, je n’en serais pas affecté, à quoi bon. Ce n’était qu’une rencontre futile dans nos vies, on en serait pas chamboulé et on continuerait notre chemin comme si celle-ci n’avait jamais eu lieu. Je retournerai à ma vie d’homme marié et elle à ses pâtisseries. Après tout, ce n’était pas comme si on avait eu une liaison torride dans ces rayons de la bibliothèque, je n’avais été qu’une aide. Ni plus ni moins. On n’allait pas non plus se lier d’amitié, car à bien y regarder on avait rien en commun. Elle aimait les pâtisseries, alors que je préférais la finesse d’un plat. « Je ne suis pas idiot, je sais qu’il existe des pâtisseries sans sucre. Mais la simple odeur d’un gâteau, m'est insupportable. Alors ma place n’est certes pas dans une pâtisserie. » Elle pouvait me prendre pour un con de ne pas aimer les pâtisseries, mais je ne voyais rien d’intéressant à se goinfrer dans le sucre ou dans un quelconque dessert. Ma priorité n’était pas la même, car au bout de la ligne je faisais bien plus attention à ma santé et je pigeais le sucre dont mon corps avait besoin dans des fruits et non dans quelque chose de transformé. Et suite à cette irritation à son égard, car c’est ce que je commençais à ressentir, je m’éloignais en la saluant. Je pensais qu’on en resterait là, et peut-être que ça aurait été mieux ainsi. Revenant à la charge, sans doute en voyant que je cherchais un ouvrage, je ne cachais pas mon étonnement en la voyant me citer l’ouvrage que je cherchais, tout du moins un volume de cette saga populaire. « Une déduction ? Est-ce que j’ai une tête à lire un livre pour enfant ? » Mon ton était resté calme, car pour être tout à fait franc, je trouvais cette rencontre de plus en plus pénible. J’aurais mieux fait de passer mon chemin, moi qui avait voulu être galant, je me retrouvais avec une femme qui lisait dans les pensées des gens… Et de là à ce que je dise une telle chose, je devais être bien atteint, ne croyant aucunement à ce genre de don. Mais passons outre, laissant mon agacement de côté, car rester sur cette émotion n’allait pas m’aider à rédiger mes chapitres, je lui avouais bel et bien chercher le Magicien d’Oz. D’accord, elle avait vu juste, mais je ne pouvais m’empêcher de trouver ça étrange sachant que dans une bibliothèque, il y avait des milliers de livre, que je me trouvais dans la section W et que par conséquent il n’était pas le seul ouvrage commençant par cette lettre. Sans oublié que j’avais dit ne pas aimer les livres fantastiques. À croire, que je l’avais écouté d’avantage qu’elle ne l’avait fait à mon propos. J’allais retourner à ma table pour travailler, lorsqu’elle parla encore. Haussant un sourcil, je poussais un soupir. En quoi un film pouvait m’aider, si je venais à la bibliothèque c’était pour le ressentiment qu’un livre pouvait avoir sur les gens. J’avais davantage d’affection pour les livres que pour les films. Mais je ne pris pas la peine de lui répondre, de toute manière à quoi bon lui dire que je recherchais ce livre parce que l’histoire avait une valeur sentimentale et me reliait à ma défunte sœur qui se retrouvait à être le sujet même de mon roman. Non, elle n’avait pas besoin de savoir cela. J’esquivais un sourire, la regardant s’éloigner en me disant que cette rencontre resterait étrange à mes yeux. Lorsqu’elle quitta mon champ de vision, je poussais un soupir, portant une nouvelle fois mon regard sur les livres. Un petit son de toux me fit relever la tête. « Pardon, j’ai entendu que vous cherchiez le Magicien d’Oz, vous auriez plus de chance de trouver un exemplaire dans la section junior. Se sera illustré cependant. » Je relevais mon regard sur une jeune femme, et laissant un sourire apparaître sur mes lèvres, je me tournais vers elle. « J’adore les illustrations. » disais-je avant de la voir sourire en retour. Finalement, peut-être que c’était un bien pour un mal cette rencontre avec l’étrange femme qu’était Lidwyn.
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