l'avatar des scénarios ou membres des familles sont totalement discutables pour autant qu'ils ne soient pas dans le bottin !
Venez car plus on est de fous et plus on rit, non ? Chocolat et guimauves en cadeaux !
bonjour les YFTiens et pleins de calins pour vous ainsi que tout notre amour !
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Alvin R. Prescott et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! ❝ Métier : Ancien agent du FBI, qui fut un temps bodyguard, maintenant sans emploi ❝ cupidon : Veuf et même si parfois ses pensés vont à sa défunte femme, son coeur est prit par Melody ❝ post-it : Lieu de naissance, New Jersey → Né d'un père alcoolique et d'une mère battue, je connus la violence physique très jeune. → À six mois, j'ai fuis avec ma mère le New Jersey pour ma propre protection. → Je n'ai jamais vécu bien longtemps dans une ville. → À 5 ans, ma mère se fit assassiner par mon père qui nous avait retrouvé. Je suis retourné vivre chez ma tante. → Je suis fils unique, mais ma tante a adoptée une petite fille lorsque j'avais dix ans, Liv. → Je n'ai jamais revu mon père depuis qu'il a tué ma mère, je suppose qu'il s'est fait arrêter. → Je suis tombé amoureux d'une infirmière urgentiste et deux ans plus tard nous étions marié. → Après notre mariage on a déménagé à Pasadena. → Même si j'étais un bourreau de travail, j'ai toujours sut rester fidèle. → Après six années de mariage, elle a été assassiné par mon coéquipier. → J'ignorais et j'ignore toujours qu'elle avait une liaison avec celui-ci. → Je ne suis pas très habile avec les enfants. → J'ai découvert que mon coéquipier était un flic véreux et faisait affaire avec la mafia. → On me soupçonne d'avoir assassiné ma femme. → Le FBI m'a suspendu jusqu'à preuve du contraire. → Je suis donc rendu un flic ripou, alors que je n'y suis pour rien. → Je vais tenter de blanchir ma réputation ! → J'ai kidnappé la copine de mon coéquipier pour trouver une façon de faire éclater au grand jour la vérité. Seulement, ce n'est pas si facile que ça...
❝ pseudo : monocle. ❝ crédits : angel180886 @vava / tumblr @gif / strawberry insane @sign ❝ avatar : Matthew Bomer ❝ présence : Présent(e) ❝ préférences : Rp Roses ❝ disponibilité : 1 à 2 rp encore ❝ autres comptes : AIDEN ▬ (a.levine) l'ambulancier qui veut aider son prochain, mais ne s'aide pas lui-même. GRANT ▬ (g.gustin) L'homme à la tête d'adolescent pré-pubère. CARTER ▬ (a.kendrick) la maman qui ne s'est pas quoi penser du père de son enfant. JONAS ▬ (r.amell) le pro du spacecake, wesh ! DEVON ▬ (k.graham) la métisse qui retrouve son passé abandonné. JAMIE ▬ (d.gillies) l'homme qui ne comprend pas le sens du mot amour et encore moins de celui de la fidélité. GWEN ▬ (s.johansson) celle qui raffole de la nourriture américaine et vendrait son âme pour un hot-dog !
anciennement : baptist ▬ parti travailler en Afrique ❝ Points : 3186 ❝ Messages : 1428 ❝ depuis : 23/02/2015 ❝ mes sujets : melody ▬ commémoration love it's some shit but it's the life
| mot doux de Alvin R. Prescott ► un Lun 7 Sep - 0:36 | | | melody & alvin Cette fois on met carte sur table devant bébé farine L’homme que j’aime. C’était bel et bien les mots que j’avais entendu, mais je voulais qu’elle les redise. Me redressant, alors que j’avais manqué de me casser la gueule en un instant à cause des petites pertes de bébé farine. C’est joli comme nom, bébé farine. J’allais peut-être finir par m’habituer à le dire. Même si je n’étais pas capable de dire que c’était ma fille, mon enfant. Je relevais mon regard vers elle, je la vexais mais ce n’était pas mon intention loin de là. J’avais simplement envie de l’entendre redire ces mots, même si je n’avais pas répondu à ses autres paroles. J’aurais pu en profiter pour lui proposer de vivre dans ma maison un peu plus grande que la sienne. On avait tout deux, deux étages, mais Katherina avait choisi la nôtre en fonction d’une possible famille qui ne verrait jamais le jour. Elle n’allait pas m’en vouloir si je prenais notre maison pour y habité avec la nouvelle famille que je me construisais. Je me sentais embarrassé en voyant ses larmes couler sur ses joues, je venais de la faire pleurer et ce n’était pas ainsi que j’allais me sentir mieux. Je m’approchais d’elle, glissant mes mains sur ses cuisses. Remontant les mains jusqu’à son visage, caressant ses joues et croisant mon regard avec le sien. « Je ne voulais pas te faire pleurer. Bien sûr que je t’écoute. J’avais simplement envie de t’entendre dire que je suis l’homme que tu aimes. » J’appuyais mon front contre le sien, souriant. « Et je serais sans doute jaloux peu importe l’écureuil qui te tournerait autour. » J’accompagnais mes paroles d’un baiser sur son front, puis descendant sur sa paupière, la seconde, caressant ses joues de petits baiser furtif jusqu’à arriver à ses lèvres. « Et je suis sure que n’importe quel Princesse aurait été jalouse en me voyant. Mais je suis ta princesse et j’attendais que tu viennes me sortir de ma tour d’ivoire tout simplement. » Souriant contre sa peau, j’allais cueillir ses lèvres. « Je t’aime. » avouais-je pour la première fois. Oui, je le disais pour la première fois, je le pensais aussi réellement depuis quelque temps même si j’avais peur de sa réponse. J’étais simplement amoureux. Amoureux d’une femme qui attendait mon enfant. En pensant cela, je glissais mes mains sur son ventre. |
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| mot doux de Invité ► un Lun 7 Sep - 0:51 | | | melody & alvin Cette fois on met carte sur table devant bébé farine Je ne savais pas comment je me sentais mais j’avais l’impression qu’il se moquait de moi à me demander de répéter autant dire que j’avais clairement l’air stupide mais je l’assumais pourtant. Je pleurais comme une idiote. J’étais idiote. Je sentais ses mains sur mes cuisses et boudeuse, j’aurais pu le repousser mais je n’y pensais pas tant mes idées s’obstinaient à se demandant ce qu’il voulait que je répète car je ne comprenais rien. Ses mains arrivant à mes joues et ses yeux à mon regard. Je l’écoutais avec cette petite moue enfantine alors qu’il me disait qu’il voulait juste entendre que je l’aimais. Ma bouche formait un petit O qui sortait d’un murmure par la même occasion. Autant dire que je me sentais stupide et encore plus par ce que je pleurais pour rien. C’est de sa faute aussi. C’est de la faute de son têtard qui savait où aller. Non mais pourquoi il avait mis un GPS à mon ovule aussi ? Non mais je vous jure quelle idée. Je faisais une petite moue mais pas une moue de tristesse alors qu’il disait qu’il serait jaloux de tous les écureuils qui pourraient me tourner autour. N’espérons pas trop non plus car les tamias, c’est poilu et ça transmet des maladies. Je n’étais pas prête à devenir Zoophile en plus. Je le laissais déposer ce baiser sur mon front et je relâchais mes bras avec lassitude sur mes cuisses en laissant retomber sur mes épaules alors que ses lèvres ma chatouillaient réellement que les pinçait avant qu’il y arrive pour retenir le rire. Oui, c’était que ma peau était vachement sensible. Je posais mon regard sur lui avec une petite moue mais je ne pouvais plus retenir mon léger rire à la connerie qu’il disait. Je ne me sentais pas comme une chevalier ou qu’importe. Je n’étais pas Mulan non plus. Je répondais au baiser avant de sourire. Bon d’accord et puis merde, c’est bon à entendre surtout après tout ce qu’on venait de vivre. C’était mélodieux oui de dire je t’aime à une Melody, c’est Mélodieux et je vous zut. Je sentais ses mains glisser sur mon ventre et je souriais. « Moi aussi, je t’aime princesse ! », disais-je en riant aussitôt. « Tu ne le savais pas ? », lui demandais-je alors que j’haussais les épaules en entendant Sexy McNews encore présent. Je me penchais pour attraper le téléphone que je coupais aussitôt en fronçant les sourcils. « Tu me devras un milkshake… c’est à cause de toi que je suis idiote et que je pleure pour rien… oui, à cause de toi et de ton têtard… », lui disais-je en fronçant les sourcils. Je me rapprochais aussitôt de ses lèvres à nouveau en souriant. « Tu peux le répéter ? », demandais-je d'un air taquin. |
| | | Alvin R. Prescott et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! ❝ Métier : Ancien agent du FBI, qui fut un temps bodyguard, maintenant sans emploi ❝ cupidon : Veuf et même si parfois ses pensés vont à sa défunte femme, son coeur est prit par Melody ❝ post-it : Lieu de naissance, New Jersey → Né d'un père alcoolique et d'une mère battue, je connus la violence physique très jeune. → À six mois, j'ai fuis avec ma mère le New Jersey pour ma propre protection. → Je n'ai jamais vécu bien longtemps dans une ville. → À 5 ans, ma mère se fit assassiner par mon père qui nous avait retrouvé. Je suis retourné vivre chez ma tante. → Je suis fils unique, mais ma tante a adoptée une petite fille lorsque j'avais dix ans, Liv. → Je n'ai jamais revu mon père depuis qu'il a tué ma mère, je suppose qu'il s'est fait arrêter. → Je suis tombé amoureux d'une infirmière urgentiste et deux ans plus tard nous étions marié. → Après notre mariage on a déménagé à Pasadena. → Même si j'étais un bourreau de travail, j'ai toujours sut rester fidèle. → Après six années de mariage, elle a été assassiné par mon coéquipier. → J'ignorais et j'ignore toujours qu'elle avait une liaison avec celui-ci. → Je ne suis pas très habile avec les enfants. → J'ai découvert que mon coéquipier était un flic véreux et faisait affaire avec la mafia. → On me soupçonne d'avoir assassiné ma femme. → Le FBI m'a suspendu jusqu'à preuve du contraire. → Je suis donc rendu un flic ripou, alors que je n'y suis pour rien. → Je vais tenter de blanchir ma réputation ! → J'ai kidnappé la copine de mon coéquipier pour trouver une façon de faire éclater au grand jour la vérité. Seulement, ce n'est pas si facile que ça...
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| mot doux de Alvin R. Prescott ► un Lun 7 Sep - 1:13 | | | melody & alvin Cette fois on met carte sur table devant bébé farine C’était étrange de dire que j’étais amoureux, mais je devais bien être franc avec moi-même. J’étais amoureux. Pourtant, je n’avais pas dit ces mots à quelqu’un d’autre que Katherina. Après tout ce ne sont pas des mots qui se disent aussi facilement que l’on pense. Enfin, je n’étais pas le genre de mec à le dire à tout va pour attirer une fille dans mon lit. Il fallait plus pour que je dise ces mots. Et voilà, je venais de les dire sans prendre le temps d’y penser. Ils étaient sortis après que mes mains et mes lèvres se soient baladés sur elle. Je me sentais presque comme ces personnes nymphomanes, étais-je aussi enceinte ? Non. Je ne voulais pas, perdre mes abdos serait un sacrilège ! Mon sourire s’étirait à ses mots, laissant mes mains caresser son ventre. C’était la première fois que je touchais réellement celui-ci, je ne le touchais jamais vraiment. En fait, j’évitais le plus possible de le toucher. Ça rendait la chose trop réaliste à mon goût. Mais en avouant mes sentiments ça me semblait plus normal. Je ne pouvais pas expliquer ce que je voulais dire, mais ça me facilitait l’esprit. Je n’avais pas de remord ou de malaise maintenant. « J’en doutais… Enfin, je ne savais juste pas à quoi m’attendre. » avouais-je en détournant le regard. Certain on de la difficulté à passer par-dessus la vie de célibat pour retrouver la vie de couple. Moi ça avait été plutôt simple. Je la suivais du regard, alors qu’elle fermait le téléphone. « Je te les offres si tu veux, je me suis pas tellement milkshake. Et puis, tu disais souvent les réponses avant moi. Ça te revient de droit. » Je croisais mon regard azuré avec le sien. « Et puis n’accuse pas mes têtards… C’est grossier et puis je n’aurais jamais imaginé que… Enfin… » C’était cette fois moi qui fronçais les sourcils la regardant. « Je dois dire que se sont mes têtards qui te ton fond pleurer. » Je souriais, passant mes mains sur ses joues, caressant sa peau. « Je t’aime. » J’embrassais sa joue. Puis je répétais le même manège, encore et encore. « Qu’est-ce qu’on fait de bébé farine ? » |
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| mot doux de Invité ► un Lun 7 Sep - 1:29 | | | melody & alvin Cette fois on met carte sur table devant bébé farine A quoi m’attendre ? Je souriais en l’entendant. S’attendait-il à ce que je l’aime pour son corps ? C’était amusant comme idée. Après tout ce qu’on avait vécu, c’était normal qu’il redoute. Je souriais doucement en laissant alors mes mots s’entendre à propos du milkshake. Je relevais mon regard vers lui alors qu’il disait qu’il me revenait de droit. Je laissais mon regard se plonger dans le siens en l’entendant offusquer que j’accuse ses têtards mais sentant aussi la difficulté qu’il avait pour dire les choses comme elles le sont : ses têtards me font pleurer, je suis enceinte. Une chose difficile à dire apparemment mais pourtant tellement logique. Réellement. Elle coulait de source. Je lui souriais en posant mon regard dans le sien alors que je penchais ma tête. Je laissais ses mains caresser ma peau, un geste simple mais reposant après ces offuscations. Je laissais ces mots caresser encore mes oreilles et je souriais. Farine ? Qu’est-ce qu’on faire du bébé farine ? Je tournais mon regard vers le paquet et ensuite vers mon ventre puis à nouveau vers le paquet puis mon ventre et puis finalement sur lui. En fait… Je ne savais pas s’il parlait du bébé ou de la farine. Je fronçais les sourcils en le regardant. « Ça dépend… », je riais nerveusement en sachant que j’allais m’apprêter à dire des choses qui n’étaient pourtant pas encore totalement dite. « Tu parles de ce sac de farine que j’ai fait sourire et rendu triste ? », demandais-je en fronçant les sourcils en regardant le sac. « Ou… », je baissais le regard vers mon ventre en le désignant des deux doigts. « Ce têtard mélangé à mon ovule… quoique non ce bébé, désolée… c’est grossier ! », disais-je en riant moqueuse sur le coup mais c’est avec le cœur, voyons. Je lui souriais doucement. « Pour la farine, on peut en faire un gâteau mais pour le bébé, tu sais… on ne peut plus rien faire à part l’aimer… », disais-je en fronçant les sourcils alors qu’il pointait sa main sur ma peau. « Il propose déjà un give me five en plus, elle a l’air totalement d’accord ! », disais-je ne haussant les épaules et je relevais le regard vers lui. « Pour moi aussi c’est perturbant… », lui disais-je avec sincérité. Je savais qu’il avait du mal à s’y faire ce qui était logique. « Surtout qu’il… est… », j’inspirais doucement. « Encore là, dehors… », et j’étais sûre qu’il savait de qui je parlais. Je ne me sentais juste pas en sécurité. |
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| mot doux de Alvin R. Prescott ► un Lun 7 Sep - 1:51 | | | melody & alvin Cette fois on met carte sur table devant bébé farine Mon regard se posait sur le sac de farine, alors qu’elle me faisait part des choix qui s’offrait à moi. Je regardais le sac qui semblait content. Étrangement, je le sentais mal ce bébé anonyme fait de poudre blanche et dont les expressions se faisaient décrire par des mots. Puis, je portais mon regard sur ce ventre rond qui avait grossi avec tant de rapidité. Je ne savais pas trop quoi en penser, pourtant j’écoutais chacun de ses mots. Elle revenait à parler d’Edward, ce qui me fait déglutir en y repensant. J’avais passé mon temps à me préoccuper de l’enfant oubliant presque cet homme pour qui j’avais une aversion indiscutable. « Oubli… Pour l’instant, on est tous les deux ensembles dans ta cuisine. On parle de farine, de têtard et d’ovule. Je ne pense pas qu’il va débarquer ici et s’en prendre à nous. » disais-je en lui souriant. « Et puis, je parlais du sac de farine, là sur la table. Je ne sais pas, si j’ai envie de mettre d’autres têtards dans le corps de ma copine – au diable la grossièreté ! Je sais pas, mais je n’ai pas envie qu’il me regard avec son sourire d’enfant heureux. Imagine qu’il se mette à pleurer, on va devoir nettoyer de la colle. » Je souriais, en me disant que ce que je disais n’avait pas de sens. Je devais avoir sniffé bébé farine un peu trop. Oui, voilà. J’avais sans doute sniffé de la colle. J’embrassais son cou, repoussant ses cheveux pour l’embrasser un peu plus. « Et puis, laisse-moi le temps. Je l’aimerai sans doute, même si pour l’instant j’ai du mal. Je ne pensais pas devenir père. Je n’ai jamais parlé d’enfant avec ma femme et voilà que dans quelques semaines je serai papa d’une fille. C’est un peu trop à assimiler. Mais ça ne veut pas dire que je ne suis pas prêt à faire des efforts. Et tu pourras toujours compter sur moi. », continuais-je tout en me reculant pour la regarder. Plongeant ma main dans la jarre de cookie, en prenant un. « Si tu veux je peux mettre en vente ma maison, ça nous fera de l’argent et ainsi on pourra voir ce qu’on fait pour l’arrivée de notre fille. » Je l’avais dit. J’avais dit notre fille. En plus de lui confier que je l’aimais voilà que j’affirmais être futur papa. Je croquais dans le cookie avec un petit sourire en coin. |
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| mot doux de Invité ► un Lun 7 Sep - 2:10 | | | melody & alvin Cette fois on met carte sur table devant bébé farine Lui, oui, lui. Il me disait d’oublier mais j’avais peur qu’il ne sorte d’un placard. C’était tout ce qu’il faisait. Il arrivait au moment où je ressentais cette pointe de bonheur. La sensation étrange que j’avais à chaque fois que mon cœur s’emballait comme en ce moment qui me donnait celle d’une fille, une femme qui ne se sent pas bien à la peur. Oui, j’avais peur. Parler têtard et ovule, je souriais en réprimant mes peurs pour ne pas gâcher le moment mais elles étaient là. Je le laissais continuer et ne pouvait pas réprimer un rire alors qu’il disait vouloir mettre d’autres têtards en jurant le diable. Je faisais un rictus à ces propos et souriant en tournant le regard vers le sac de farine alors qu’il en profitait pour assiéger mon cou (avec un seul p) qui déclenchaient des frissons. Mon corps s’en fichait royalement que bébé farine ne soit là à nous regarder. Je souriais en l’entendant. Je ne doutais pas du tout de son aptitude à pouvoir être là pour moi. J’avais doutée à un moment mais depuis quelques semaines, tout semblait bien mieux. Je ne redoutais qu’une seule personne mais on devait faire comme s’il n’existait pas, c’était mieux ainsi. Il nous avait assez pourris la vie et je redoutais aussi mon père. Tellement. « Je n’en doute pas… », disais-je alors que ses baiser cessaient quand il prenait un cookie et parler de vendre sa maison. Je laissais une moue se dessiner, j’aimais bien être son objet enfin son pose-bisous. Je souriais doucement en tournant le regard vers le four. « J’ai un fond de tarte au four et deux pizzas mais forte heureusement, je l’ai baissé pour qu’on puisse… papoter ! », lui disais-je en fronçant les sourcils alors que je déplaçais mes jambes dont l’une qui faisait une petite flexion pour passer à côté de lui et descendre de l’îlot. Je prenais la manie pour le four et j’allais chercher le fond de tarte puis ensuite les deux pizzas bien délicieuses que je sortais une fois qu’elles paraissaient bien cuitent. J’étais à temps. Je tournais mon regard vers lui en prenant une serviette pour la balancer sur le sac de farine en souriant. « C’est mieux ? », lui demandais-je alors en souriant. « Pour ce qui est de ta maison, ce n’est pas un soucis d’argent… », lui disais-je en riant doucement. « Mais de place… Je n'avais pas prévue non plus de devenir maman avant... longtemps... je l'avais envisagée, je le voulais mais... pourtant pas au point ou ça pourrait arriver et j'ai l'impression d'avoir tout ratée d'une grossesse... mais je ne sais même pas ou elle va grandir... », rajoutais-je avant de piquer le cookie dans sa main et d’en croquer un bout. « Notre fille ne pourra pas dormir pendant toute sa vie entre nous deux sinon… elle ne risque jamais de grandir ! », lui murmurais-je. « Ou elle risque de s’en aller avec toi à Vegas ! », rajoutais-je en riant. |
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| mot doux de Alvin R. Prescott ► un Lun 7 Sep - 2:35 | | | melody & alvin Cette fois on met carte sur table devant bébé farine Un doux arôme s’élevait dans la cuisine, mais je n’avais pas grand-chose en tête autre qu’elle. Je lui avouais mes ressentis vis-à-vis de ce que je voyais. Je lui parlais de la maison. Mais elle ne disait rien, quittant l’îlot pour aller sortir tarte et pizza du four. « Papoter. » répétais-je avec un léger sourire. Je croquais une nouvelle fois dans le biscuit. Suivant la serviette, je voyais le sac de farine psychopathe être cacher. Au moins, ainsi je ne sentais plus son regard sur moi. Avait-il réellement un regard posé sur ma personne ? Je devenais de plus en plus parano. Elle s’inquiétait pour Edward et quant à moi, je m’inquiétais pour un sac de farine. Croiser celui-ci dans une ruelle sombre me donnerait très certainement une chair de poule incroyable. Non, je ne voulais pas rester seul avec lui. Il devait rester en surveillance constante. Oui, constante ! Internez-moi ! « Eh bien en la vendant, on pourra regarder pour une autre. Je devrais en tirer un bon prix ou sinon on regarde pour rénover ici. De toute façon je ne suis pas prêt de retourner vivre là-bas. » Même si j’y avais été pendant quelque temps, je ne me sentais toujours pas chez moi là-bas. Trop de souvenir, trop de chose envahissait mes pensées. Je la laissais manger ce qui restait de mon cookie. « Tu parles de quelle fille ? », répliquais-je en pointant du doigt le sac de farine. J’allais peut-être souvent remettre cela sur le tapis. Et au finale, elle allait peut-être vraiment accoucher d’un sac de farine. Le voir dire papa me perturba aussitôt. Peut-être était-ce le vernis à ongle, enfin l’émanation, qui me faisait penser à des choses étranges. Je passais mes bras autour d’elle, appuyant mon menton sur son épaule alors que je regardais la pizza dont le fromage qui continuait de répandre son gras. « On en refera un, si tu veux. » Je devais être souffrant pour lui parler de cela. « Enfin, tu aimerais en avoir combien ? Comme tu y as déjà pensé, tu dois avoir une petite idée, non ? » Pour ma part, je ne savais pas. J’ignorais si j’en désirais un autre ou dix, mais je pouvais bien lui demander cela. |
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| mot doux de Invité ► un Lun 7 Sep - 2:53 | | | melody & alvin Cette fois on met carte sur table devant bébé farine Quand je l’entendais répéter le verbe papoté, je souriais et je sortais tout du four avant de reprendre la parole. Je penchais doucement la tête en l’écoutant. Rénover, vendre, papoter, manger, tellement de verbes qui s’embrouillaient dans mon esprit. Tout était nouveau, tout était un enchainement que je n’avais pas prévu. Tout était une sorte de bien nouveau après tous les mauvais nouveaux mais des nouveaux qu’il fallait bien réfléchir car cela ne nous concernait pas que nous deux mais nous trois et quatre si je devais compter Rosie. Dans le fond, je n’avais pas eue le choix de devenir tutrice et marraine de cette enfant. Cela m’était tombé dessus du jour au lendemain comme cette grossesse. Tout me tombait dessus comme Jazz. J’en avais encore des bleus métaphoriquement parlant. Quand je parlais d’une fille mariée à Vegas, je riais à cette question qu’il me posait en regardant le sac de farine. Je secouais la tête en fronçant les sourcils tandis que son menton se posait sur mon épaule. Je tournais mon visage en l’écoutant, déposant un baiser sur sa jour alors qu’il me proposait d’en faire un autre ou même qu’il me demandait combien j’en voulais. « Hummmm… », disais-je alors hésitante en riant. « On peut aller au supermarché en acheter des dizaines et les ranger dans le placard ! », disais-je avant de me retourner dans ses bras pour lui faire face et passant les bras autour de son cou. Plus sérieuse dans le regard que je plongeais dans le sien. Je souriais doucement. « J’y ai pensée, oui mais jamais en chiffre. On peut simplement avoir déjà celle-ci ? », lui proposais-je en fronçant le nez. « C’est déjà un bon début, non ? », lui demandais-je alors en allant déposer un baiser sur ses lèvres. « Surtout que si tu m’en fais un aussi rapidement à chaque fois avec un but, on devrait ne plus arriver à les compter avant d’avoir l’âge à ne même plus arriver à ce souvenir de leurs prénoms ! », murmurais-je contre ses lèvres en souriant avant de jouer doucement avec comme je savais si bien le faire en ce moment. Oui, je m'en amusais car c'était efficace en plus. « Mais tant que là, c’est possible de juste s’entrainer… sans faire l’équipe de foot ! », lui proposais-je en haussant les épaules. « T’as faim ? », demandais-je alors en tournant mon regard vers les pizzas. « Elles ont l’air délicieuse ! », soufflais-je en reposant mes yeux bleus sur les siens. |
| | | Alvin R. Prescott et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! ❝ Métier : Ancien agent du FBI, qui fut un temps bodyguard, maintenant sans emploi ❝ cupidon : Veuf et même si parfois ses pensés vont à sa défunte femme, son coeur est prit par Melody ❝ post-it : Lieu de naissance, New Jersey → Né d'un père alcoolique et d'une mère battue, je connus la violence physique très jeune. → À six mois, j'ai fuis avec ma mère le New Jersey pour ma propre protection. → Je n'ai jamais vécu bien longtemps dans une ville. → À 5 ans, ma mère se fit assassiner par mon père qui nous avait retrouvé. Je suis retourné vivre chez ma tante. → Je suis fils unique, mais ma tante a adoptée une petite fille lorsque j'avais dix ans, Liv. → Je n'ai jamais revu mon père depuis qu'il a tué ma mère, je suppose qu'il s'est fait arrêter. → Je suis tombé amoureux d'une infirmière urgentiste et deux ans plus tard nous étions marié. → Après notre mariage on a déménagé à Pasadena. → Même si j'étais un bourreau de travail, j'ai toujours sut rester fidèle. → Après six années de mariage, elle a été assassiné par mon coéquipier. → J'ignorais et j'ignore toujours qu'elle avait une liaison avec celui-ci. → Je ne suis pas très habile avec les enfants. → J'ai découvert que mon coéquipier était un flic véreux et faisait affaire avec la mafia. → On me soupçonne d'avoir assassiné ma femme. → Le FBI m'a suspendu jusqu'à preuve du contraire. → Je suis donc rendu un flic ripou, alors que je n'y suis pour rien. → Je vais tenter de blanchir ma réputation ! → J'ai kidnappé la copine de mon coéquipier pour trouver une façon de faire éclater au grand jour la vérité. Seulement, ce n'est pas si facile que ça...
❝ pseudo : monocle. ❝ crédits : angel180886 @vava / tumblr @gif / strawberry insane @sign ❝ avatar : Matthew Bomer ❝ présence : Présent(e) ❝ préférences : Rp Roses ❝ disponibilité : 1 à 2 rp encore ❝ autres comptes : AIDEN ▬ (a.levine) l'ambulancier qui veut aider son prochain, mais ne s'aide pas lui-même. GRANT ▬ (g.gustin) L'homme à la tête d'adolescent pré-pubère. CARTER ▬ (a.kendrick) la maman qui ne s'est pas quoi penser du père de son enfant. JONAS ▬ (r.amell) le pro du spacecake, wesh ! DEVON ▬ (k.graham) la métisse qui retrouve son passé abandonné. JAMIE ▬ (d.gillies) l'homme qui ne comprend pas le sens du mot amour et encore moins de celui de la fidélité. GWEN ▬ (s.johansson) celle qui raffole de la nourriture américaine et vendrait son âme pour un hot-dog !
anciennement : baptist ▬ parti travailler en Afrique ❝ Points : 3186 ❝ Messages : 1428 ❝ depuis : 23/02/2015 ❝ mes sujets : melody ▬ commémoration love it's some shit but it's the life
| mot doux de Alvin R. Prescott ► un Lun 7 Sep - 3:15 | | | melody & alvin Cette fois on met carte sur table devant bébé farine La tenant entre mes bras, je portais mon regard sur les pizzas tout en ayant le menton appuyé sur son épaule. Je posais une question, que je regrettais presque aussitôt, mais trop tard elle était posée. Mes sourcils se froncèrent à ses dires, placard. « Quoi ? » soufflais-je à mi-voix pour moi-même. Je ne comprenais pas, mettre des enfants dans des placards, corder comme des sardines. Autant adopté des chinois, en plus on pourra les faire travailler pour pas cher. Bonjour humour à deux cents… Je m’abstenais donc de tout commentaire avant qu’elle me prenne pour le premier des débiles et qu’elle demande une injonction d’éloignement. « Non, mais on sait jamais. » répondais-je à sa question avant qu’elle se retourne pour me faire face. Je croisais mon regard avec le sien. « Mais je suis d’accord commençons par un. » Un sourire s’anima sur mes lèvres, alors qu’elle me parlait d’une grande famille. « On pourra toujours appeler celui-ci One. Et ainsi peu importe le nombre qu’on aura on pourra toujours suivre la constante. » Tant que je me retrouvais pas à jouer au foot avec eux. Ça finirait très certainement en catastrophe avec moi, autant me prendre pour un ballon ! « Mmh. » Je regardais les deux pizzas. « Pas autant que toi, dommage que Rosie ne soit pas encore coucher. » avouais-je en affichant une petite moue. « Il va nous falloir une grande maison, juste pour que Rosie puisse avoir une chambre loin de la nôtre. » Je la taquinais en souriant, me reculant pour aller chercher trois assiettes, couteaux et fourchettes. « Rosie. Viens manger. » disais-je par habitude, alors que j’entendais la jeune fille marcher au-dessus de nos têtes. « Je crois que c’est le côté le plus désarment d’un couple qui ont des enfants… Fini les déjeunés surprises au lit avec le cours de yoga intégrer. » J’affichais une moue en mettant la table. Je me regardais tout à coup mon accoutrement. « Euh… Je devrais peut-être aller me vêtir. » avouais-je en riant. |
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| mot doux de Invité ► un Lun 7 Sep - 3:34 | | | melody & alvin Cette fois on met carte sur table devant bébé farine Il semblait surpris à l’idée d’aller au supermarché, lui qui oubliait alors la farine enfin les sachets de farine mais je me contentais de lui faire face avec sérieux et je souriais en fronçant les sourcils quand il disait avec raisons qu’on ne savait jamais. Je souriais, on était d’accord sur le fait de commencer par un seul et je laissais échapper les prénoms pour un vieil âge alors que je riais doucement. One ? Je secouais la tête en fronçant des sourcils. « Hummmm non… », lui disais-je alors que ce prénom ne me tentait pas vraiment. Bien que cela soit court mais numéroter des enfants ? C’était assez amusant de parler avec lui d’avenir. C’était dans le fond rare qu’on en prenne le temps ou même qu’on s’y autorise ou du moins de mon côté. Tout semblait tellement loin et tellement récent à la fois. Je savais que notre passé sombre n’était qu’à un mètre de nous. Je le savais et cela me paniquait déjà bien assez. Je lui demandais alors s’il avait faim et je souriais doucement. « Cela n’avait pas l’air de te déranger il y a quelques minutes ! », disais-je en riant doucement tandis que j’observais sa moue. Je penchais la tête en entendant les pas de Rosie et je le laissais s’occuper de dresser la table tandis que j’allais poser les pizzas au centre. J’allais au frigo pour sortir le jus de fruits en riant alors qu’il parlait de désagrément de couples avant de penser à se changer. J’allais vers la buanderie ou je sortais un pantalon à lui qui semblait sec mais pas repasser mais ce n’était rien avec cette matière. Je revenais et je lui tendais en souriant. « Toi et moi, un couple, c’est tellement agréable déjà à entendre alors qu’on n’était… enfin j’étais fiancée… aux yeux des autres ! Et toi, un assassin... », je riais doucement. « Au pire, on ira les laisser chez mon père… il s’en fera une joie ! », je me pinçais aussitôt les lèvres pour cette blague de mauvais gout et je riais en relevant le regard. « Bon d’accord, mauvaise idée et pas drôle en plus ! », disais-je en approchant et lui volant un baiser. « J’ai deux sœurs qui se feront un plaisir d’être baby sitter sinon Sarah-Jane… On s’arrangera… même si dans le fond, l’école reprend dès demain… je peux venir me glisser dans le lit avant ton réveil, tu ne verras que du feu ! », lui disais-je avec une moue enfin ça dépend de quel yoga… celui des cafards n’était pas mal aussi à l’hôtel mais ce n’était pas le yoga dont tu parlais… », lui disais-je alors que Rosie arrivait et qu’elle le regardait. « Bah t’es plus maquillé ? », disait-elle en faisant une moue. Elle grimpait sur le tabouret pour s’assoir sagement en se servant un verre de jus de fruits. Assez débrouillarde. « De quoi vous parlez, vous voulez faire du yoga dans le lit ? Je peux venir ? », demandait-elle innocente ! « Maman elle faisait souvent du yoga devant les feux de l’amour ! », je faisais une grimace. Quel choix de feuilletons à regarder. |
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