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mot doux de Invité ► un Lun 6 Avr - 5:42
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telle un rêve qui se réalise, le prince
charmant apparait mais tout semble
tellement réel, il est beau, elle est belle...
ils sont amoureux mais ne peuvent pas
vivre heureux, c'est leur réalité !
Oh non, mon dieu. Oui, mon dieu. J’avais fait un rêve tellement étrange. Je ne savais pas réellement comment réagir. Je m’étais levée avec l’idée étrange que ce rêve pourrait me perturber pour la journée. Je n’arrivais plus vraiment à être positive en ce moment. Je n’y arrivais plus du tout pour ainsi dire. Je ne savais pas réellement comment cibler ma vie… bien, mauvaise, bonne ou même l’avenir mais s’il se terminait comme dans mon rêve ? Je ne payais pas cher de la peau de l’homme que… j’aimais ! Oui ces mots. J’avais réalisée après avoir envoyée ce message que c’était sorti. Forte heureusement… je n’avais pas l’impression qu’il s’en était rendu compte et c’était peut-être mieux ainsi ? Je priais tellement pour que cela soit le cas. Dans l’autre cas, cela voulait dire qu’il s’en foutait tellement, totalement. Une fois prête avec Rosie aussi, j’avais filée en direction du fifty shake. Nous étions bien entendu suivie mais ça devenait tellement habituel que je préférais ne plus m’en rendre compte. Je paradais devant l’ouverture pour avoir simplement mon super milkshake à la cerise. J’avais faim. Tellement faim. Un rien me faisait penser à mon rêve par contre ou plus vite un cauchemar. Tout dépendait du point de vue car tout le début était magique. Mon histoire dans un dessin animé qui les regroupaient tous. C’était beau et féerique mais la fin était horrible, ignoble et tellement… J’en avais des frissons en y pensant. Je revoyais l’image et je me torturais l’esprit. La jeune serveuse semblait remarquer que cela n’allait pas car elle m’offrait un cookie mais cela ne suffisait réellement pas à calmer mes angoisses. Je devais pourtant car le boulot m’attendait. J’amenais alors Rosie à l’école tout aussitôt. Je n’avais pas encore prise toutes les habitudes que je devais réellement avoir mais bon, ce n’était pas vraiment grave ? Enfin si c’était totalement grave. Je ne devais pas vraiment me lasser flageller par les assistants sociaux mais je savais seulement avoir ma routine. J’en étais habituée. Je m’étais aussitôt rendue vers mon laboratoire. J’avais réellement besoin de trouver une solution car je devais m’habituer à me balader en voiture pour être une bonne tante mais je n’aimais réellement pas ça. Je m’y sentais comme dans une boite à conserve et ce n’était pas agréable du tout. Sur la route, je m’arrêtais un peu au supermarché car j’avais des petites courses à faire. Une fois au laboratoire, je me garais. Le sachet en papier à la main avec mon milk-shake dans l’autre et mon sac à l’époque… je me rendais vers l’entrée. A cette heure… j’étais souvent seule. Il n’y avait personne dans les alentours. Pas une mouche. Je désactivais alors l’alarme avant de me rendre compte qu’elle l’était déjà. Mes guignols de gorilles garés à l’entrée, je les laissais attendre comme deux chimpanzés sans vraiment tourner mon attention vers eux. Je rentrais alors dans le bâtiment en laissant mes talons aiguilles frapper le sol. Mon slim et mon chemisier noir m’allait comme un gant mais les talons n’allaient réellement pas m’aider à sauver des gens ou courir en cas de problèmes. Pas vraiment effrayée pour autant, je me disais qu’une autre personne était arrivée plus tôt. Je me rendais alors vers la porte de mon laboratoire. Il n’y avait qu’un bête bouloir à traverser mais… c’est là que je sentais une main autour de mon poignet. Un peu de milkshake se renversant malencontreusement. Je laissais ce ah…. De surprise échapper aussitôt. Je relevais alors le regard. Je me retrouvais coincée entre deux murs à côté d’une plante que je pouvais faire basculer rien qu’en bougeant mon pieds. « C’était plus facile de dire bonjour ! », soufflais-je alors que c’était trop tard, j’étais attrapée. Je souriais doucement en le regardant attentivement et je buvais tout simplement une gorgée de mon milk-shake. « J’ai gâchée un peu de ce nectar… », disais-je aussitôt en baissant le regard vers la flaque. « Tu crois qu’un arbre de milk-shake va pousser ? », demandais-je tellement naturellement avec un joli sourire. J’avais beau être perturbée par mon rêve… devant lui… plus rien n’existait même si je m’inquiétais réellement. Je me rapprochais légèrement et j’apposais mes lèvres sur les siennes. Je me sentais comme une adolescente qui est refusée de voir un garçon et le fait en cachette.
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Alvin R. Prescott
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❝ Métier : Ancien agent du FBI, qui fut un temps bodyguard, maintenant sans emploi
❝ cupidon : Veuf et même si parfois ses pensés vont à sa défunte femme, son coeur est prit par Melody
❝ post-it : Lieu de naissance, New Jersey → Né d'un père alcoolique et d'une mère battue, je connus la violence physique très jeune. → À six mois, j'ai fuis avec ma mère le New Jersey pour ma propre protection. → Je n'ai jamais vécu bien longtemps dans une ville. → À 5 ans, ma mère se fit assassiner par mon père qui nous avait retrouvé. Je suis retourné vivre chez ma tante. → Je suis fils unique, mais ma tante a adoptée une petite fille lorsque j'avais dix ans, Liv. → Je n'ai jamais revu mon père depuis qu'il a tué ma mère, je suppose qu'il s'est fait arrêter. → Je suis tombé amoureux d'une infirmière urgentiste et deux ans plus tard nous étions marié. → Après notre mariage on a déménagé à Pasadena. → Même si j'étais un bourreau de travail, j'ai toujours sut rester fidèle. → Après six années de mariage, elle a été assassiné par mon coéquipier. → J'ignorais et j'ignore toujours qu'elle avait une liaison avec celui-ci. → Je ne suis pas très habile avec les enfants. → J'ai découvert que mon coéquipier était un flic véreux et faisait affaire avec la mafia. → On me soupçonne d'avoir assassiné ma femme. → Le FBI m'a suspendu jusqu'à preuve du contraire. → Je suis donc rendu un flic ripou, alors que je n'y suis pour rien. → Je vais tenter de blanchir ma réputation ! → J'ai kidnappé la copine de mon coéquipier pour trouver une façon de faire éclater au grand jour la vérité. Seulement, ce n'est pas si facile que ça...
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mot doux de Alvin R. Prescott un Lun 6 Avr - 7:19
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telle un rêve qui se réalise, le prince
charmant apparait mais tout semble
tellement réel, il est beau, elle est belle...
ils sont amoureux mais ne peuvent pas
vivre heureux, c'est leur réalité !
Endormi dans la chambre d’hôtel que Todd m’avait loué, je me cachais sous mon oreiller, alors que je rêvais d’une chose étrange. J’arborais de petite dent, j’étais grassouillet, mais surtout velu. J’avais tout de la marmotte type. Poussant un râlement, je me retournais sur moi-même gardant ma tête toujours plongée sous l’oreiller. Environs deux minutes passèrent et j’envoyais voler celui-ci valsé contre la porte. Je n’étais pas prêt à mourir en suffoquant sous cet oreiller rempli d’acariens. Ça aurait bien été la goutte faisant déborder le verre ! En plus, ça aurait donné une raison de plus de satisfaire Edward, chose que je ne pouvais concevoir. Fictivement, je le voyais mort. Un petit plaisir coupable, disons. Je me redressais dans ce lit qui n’était pas le mien, me passant une main dans les cheveux je regardais l’heure. Je me devais de sortir de mon terrier, après tout j’avais fini par trouver quelque chose sur la clé USB et le désir de le partager avec Melody faisait bouillir tous mes sens. Je me levais donc, me dirigeant vers la salle de bain. Une mèche de cheveux taquinait mon visage et je la repoussais accompagnant mon geste d’un bâillement. Je prenais une douche vite fait et ressortais dégageant une odeur de pâquerette dut un shampoing de l’hôtel. Une odeur peut plaisante, mais je n’en faisais pas tout un plat non plus. Todd avait ses raisons d’acheter ces produits, chose que je préférais ne pas prendre en considération dans tout ceci. Je me penchais devant le miroir, me décidant à mettre mes lentilles de contact. Seulement, j’en perdais une qui me glissait du doigt pour atterrir quelque part. « Flûte ! », soufflais-je en regardant autour de moi. Comme si j’avais que ça à faire. Je tentais de la retrouvais, mais rien. Poussant un soupire, je prenais mes lunettes de vue. Et vêtu comme il se devait, je jetais un regard à mon horaire ou plutôt à son horaire qui était bien plus prévisible que le mien. Je sortais de l’hôtel encore paisible à cette heure si matinale et je me dirigeais vers son laboratoire. J’ignorais si elle se trouvait déjà sur les lieux, mais pour passer inaperçu, je m’étais collé une fausse moustache. J’allais ainsi passé incognito avec mes lunettes, la moustache et une casquette des Lakers. Je n’avais rien du chic de d’habitude, mais c’était aussi un peu le but. Je m’arrêtais dans un Mcdo pour m’acheter un macmuffin et un café noir format x-large. C’était bien une chose que j’essayais de faire, manger. Et pourtant, je ne trouvais pas la faim, après une petite bouchée je me sentais déjà ballonné. Voyant un homme dans assis sur le trottoir, je lui tendais mon repas lui souriant alors qu’il m’ensevelit d’une montagne de remerciement. Je faisais de même avec un autre un peu plus loin, lui donnant mon café que j’avais à peine bu. Au moins, je faisais la journée de deux personnes. J’arrivais finalement devant l’établissement, un peu exténué puisque je marchais beaucoup plus que j’usais de ma voiture. Pour tout dire, je l’avais caché dans un garage pour éviter qu’elle soit remarquée. Je piratais le code d’entré et me glissais à l’intérieur, elle ne devait pas être encore arrivé puisque je n’avais pas aperçu les sbires de ce cher Edward. Je me dirigeais vers son laboratoire, puis j’entendais des talons claquer sur les tuiles du plancher. Je me cachais dans une branche du couloir et lorsque je voyais cette chevelure blonde passer près de moi, je lui attrapais le poignet. Je la glissais entre moi et le mur, la regardant sans porter attention à son milkshake qui se faisait la mal de son verre de carton. Je lui souriais sentais ma peau se tendre sous la fausse moustache. « Bonjour. », disais-je dans une sorte de murmure. Puis, elle me parlait de son milkshake, me faisant dévirer mon regard clair vers la petite flaque rosée sur le sol. Devais-je répondre à cette énigme ? Ce n’était pas vraiment une énigme non plus… Je la regardais approchant mes lèvres, j’allais lécher la commissure de ses lèvres où se trouvait un peu de shake à la cerise. « Hum. » Mais… OH. MY. GOD. Qu’est-ce qui m’avait pris de faire cela ? Je devenais aussitôt rouge, j’avais été l’esclave d’une pulsion étrange. Pourquoi l’avais-je léché ainsi ? Ça n’avait rien de torride comme moment, ce n’était même pas de la tendresse, c’était tout simplement grotesque et j’avais surtout l’air d’être en rut ! « Euh… Ce n’est… », commençais-je avant de cacher mon visage avec ma main. L’envie de m’assassiner sur le champ se faisait ressentir. Je poussais un soupire. « Je voulais simplement goûter… Voir si ça méritait un arbre… Je suis désolé. », disais-je accablé par mon geste vulgaire. J’aurais mieux fait de l’embrasser ça aurait fait moins bestial.
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mot doux de Invité ► un Mar 7 Avr - 1:18
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telle un rêve qui se réalise, le prince
charmant apparait mais tout semble
tellement réel, il est beau, elle est belle...
ils sont amoureux mais ne peuvent pas
vivre heureux, c'est leur réalité !
Un mur, un couloir, mes talons contre le sol. On ne pense pas toujours à ce qu’il pourrait arriver quand on va simplement au boulot. On ne pense pas à un rendez-vous avec l’homme de nos désirs. On ne pense pas à ça, non tout simplement pas. Je me sentais prise en sandwich entre lui et du béton. Je ne pouvais pas nier le fait que c’était réellement agréable. Je me sentais juste proche de lui et même si j’étais un peu ailleurs à cause de mon rêve, j’étais tout simplement rassurée de le voir ici… sain, sauve, vivant et un en morceau. Je m’étais laissée attrapée sans vraiment broncher. Je ne voulais bêtement pas broncher ? Pourquoi ? Il n’y avait réellement pas de raisons à râler d’être avec lui. Il était pourtant moustachu et ça m’amusait un brin. On aurait dit Mario Bros à vrai dire. Cela avait un côté distrayant à la situation un brin amusante alors que je lui disais que bonjour aurait suffi. Son sourire m’en dérobant un aussitôt. Je le regardais avec une sorte de tendresse. Je me contentais de blaguer sur le sol sale, tout simplement. Pourquoi ? Aucunes idées, c’était peut-être nerveux ? C’était sûrement la raison à cette façon étrange de le saluer. Dans le fond, j’aurais pu l’embrasser mais j’avais réellement peur de le troubler. Je me sentais tellement étrange car il semblait quant à lui souvent se retenir, cela me désarmait. Je ne savais pas sur quel pied danser par moment. C’était bizarre. Un coup il me disait adieu et l’autre coup, il était près de moi. Jamais aussi proche. C’était la situation qui s’y prêtait, il n’y était pour rien mais j’étais aussi dans la même situation. Un jour effrayée de le perdre sans même comprendre. J’avais réalisé ses mots et je priais pour qu’il ne l’ait pas remarqué. Au plus profond de moi… que voulais-je ? Je n’en savais rien. Je ne savais pas si je voulais qu’il l’ait reçu… ce message sous toutes ses formes. Je prenais une profonde inspiration. Je ne savais pas quoi dire. Je ne savais pas du tout quoi dire. Je me rapprochais simplement de ses lèvres. Je voulais ressentir son souffle chaud sur ma peau. Je voulais ressentir ses frissons, sa présence. Cela peut sembler tellement romantique, peut-être sucre mais il m’ensorcelait tout simplement mais il me manquait encore plus. Depuis combien de temps ne nous étions plus vus ? En fait pas si longtemps mais ce n’était qu’un regard, qu’un frôlement et des gestes de loin ou encore des messages nocturnes quand je n’arrivais pas à fermer les yeux sas avoir besoin de lui. Trop long. Plus vraiment de moment, plus vraiment de mots depuis un mois. Ma peau l’appelait, mes lèvres l’appelaient et j’avais simplement cette attraction en moi qui ne me laissait aucunes retenues. Hésitante, il me surprenait de son côté à me lécher mes lèvres. Je souriais doucement à ce geste quelque peu étonnant mais qui me dérobait tout de même un frisson. Je m’en fichais que cela soit tellement étrange. Cela m’amusait, j’en riais doucement alors qu’il laissait ce « hum » lui échapper. Je l’entendais s’en vouloir ou du moins se sentir gêner ou même cacher son visage entre ses mains. C’était tellement lui. Un peu timide dans le fond. C’était amusant car j’étais ainsi mais lui, il l’était aussi donc cela faisait un duo de choc pourtant chez mon père… aucuns de nous n’étions timides dans le fond. Je me baissais alors, déposant mon sac sur le sol et gardant le milk-shake dans ma main. Je posais alors ma main libre sur son poignet avant de l’attirer vers moi en dérobant cette main de son visage. Je lui souriais tendrement en me rapprochant alors que je déposais une main sur sa joue, en détachant maladroitement la moustache sous ce geste. Je caressais sa joue en approchant et laissant mes lèvres aller rencontrer les siennes pour un baiser que je rendais quelque peu torride en souriant, je lui mordillais doucement les lèvres en reculant aussitôt. Je riais doucement en plongeant mes yeux dans les siens. « Je voulais simplement te gouter… », soufflais-je alors en haussant les épaules. « Bien meilleur que ce milk-shake. », murmurais-je avant d’aller chercher sa main pour lui sourire. Bien plus timide d’un coup. « Je… », je prenais une profonde inspiration en baissant doucement le regard vers le sol et riant nerveusement. « Je suis contente que tu sois là…, c’est enfin… », je riais à nouveau. Ce rire cristallin mais nerveux dont je pouvais parfois avoir réellement l’art pourtant ce n’était pas drôle. Oh non. Ce n’était pas drôle mais tellement ainsi. Je ressentais encore l’envie de l’embrasser. Je voulais bêtement être cette femme contre lui, nue ou pas. Je voulais sentir ses mains contre ma peau. Je voulais provoquer des frissons chez lui. Je voulais lui remuer l’échine mais je ne pouvais pas dans ces lieux. Je le savais pertinemment. Je devais mordre sur ma chique et j’ignorais même si nous avions beaucoup de temps. Je remontais mon regard à ses yeux. Je plongeais à nouveau dedans et je me rapprochais légèrement en déposant un baiser chaste au coin de ses lèvres. « C’est tellement rare d’être aussi proche de toi… », murmurais-je alors en prenant une profonde inspiration. « … que j’ai… », je riais doucement. « J’ai juste eue soudainement envie de toi ! », et là, hop… je rougissais comme une pucelle mais il fallait avouer qu’il était le deuxième homme avec lequel j’avais couché. Je reculais doucement en secouant la tête. « Je suis désolée, je ne devrais pas dire ça… on a plus urgent… que enfin… on est… tu es en danger et moi… je te dis juste que je te désire… », je me sentais un peu ridicule tout de même de lui avoir dit ça. Comme ça, pouf. Je reculais en regardant rapidement s’il n’y avait personne dans le couloir.
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Alvin R. Prescott
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mot doux de Alvin R. Prescott un Dim 12 Avr - 8:45
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charmant apparait mais tout semble
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vivre heureux, c'est leur réalité !
C’est en franchissant l’interdit, que je pouvais m’octroyer un moment de plénitude. Quelque chose que je n’avais pas souvent en ce moment. Certes, j’étais au calme dans une chambre d’hôtel, mais je ne ressentais pas ce sentiment de calme. Ce moment de ma vie que je voulais doux et paisible. C’était sans y comprendre, que je trouvais le moyen de ressentir cela avec elle. Bien que j’aie des informations à lui transmettre, j’avais d’autant plus envie de la voir. De sentir ce simple effleurement de ses doigts sur ma peau. De ses lèvres sur les miennes. Je ne pouvais plus omettre que sans elle, je n’étais qu’un marchand de sable sans sable, du bacon sans cochon, un rameau sans tulipe… Je l’avais donc rejoins à son lieu de travail, lui faisant la surprise de mon arrivé en la piégeant entre moi, ma moustache trompeuse et le mur derrière elle. Puis, j’avais fait cette chose que jamais, au grand jamais, je m’aurais cru capable de faire. J’étais embêté par ce geste physique, mais tellement peu glorifiant. Me cachant avec ma main, je tentais de dissimulé cette coloration rosé qui était apparu sur mes joues. Mais à son contact, je la laissais guider mon corps, comme si je n’avais été qu’une simple poupée de chiffon. Fermant un œil, alors qu’elle retirait la fausse moustache. Je ne pouvais pas me douter que j’allais ressentir cette douleur vive comme un passement qu’on retire d’un coup sec. Seulement, en récompense, j’avais droit à un baiser. Je me laissais aller prenant son visage entre mes mains pour partager ce moment comme il se le devait. J’avais tant rêvé de ce moment, de ce contact, que la chimère s’envolait une fois qu’elle assouvissait celle-ci. Il n’y avait aucune innocence dans ce baiser, mais ça m’allait très bien. Je ne ressentais pas de gonflement dans mon pantalon, ni précipitation. J’avais un contrôle parfait, ce qui me laissait pleinement le temps de lui redonner ce qu’elle m’offrait. Je portais mon regard dans le sien, souriant à ses paroles. « Je doutes que je sois aussi bon que la cerise. », disais-je en plaisantant, alors que j’avais retrouvé mes esprits. Je la regardais, comme j’avais appris à le faire depuis que je la connaissais. Je désirais toujours cette femme, bien qu’on ait échangé un moment ensemble, rien n’avait changé. Je voulais encore entendre ses sons émaner d’elle. Je désirais encore sentir son corps contre le mien, que ce soit avec ou sans sexe. Tout ce que je souhaitais c’était de la tenir dans mes bras sans avoir à me soucier de qui pouvait bien arriver dans notre dos. « Je t’avais dit que je reviendrais. » Cette promesse datait d’un mois, mais je n’avais pas sur faire mieux. Trouver les moments pour l’aborder ainsi n’était pas chose aisée. Je faisais donc de mon mieux, la croisant, effleurant sa peau lorsque se le pouvait. Un regard échangé, un petit mot sur une serviette de papier sous sa tasse de thé. Des choses que je voulais discrète et rien qu’à nous. Seulement, ça n’avait rien de comparable à cette proximité. Je répondais une nouvelle fois à son baiser, bien que celui-ci était plus doux, je n’en laissais pas une seconde d’inattention. Je voulais savourer chacun de ses moments. Elle prononçait des mots, qui eurent tôt fait de me faire sourire. Je la regardais passant ma main dans ses cheveux, alors que sa timidité était bel et bien visible. « On a bien le droit de s’accorder un moment à nous. », accompagnant mes mots d’un ultime caresse. Je la prenais dans mes bras, elle ressentait tout comme moi ce désir. Un désir ardent. Mais tout comme elle, je savais que ce n’étais pas l’heure ni l’endroit. Je la regardais un instant, avant de me laisser aller à un moment plus privilégié. J’allais caresser sa cuisse d’un geste qui me faisait frémir d’envie. Envie surtout d’elle. Je laissais mes doigts courir sur le tissu qui couvrait son échine. Certes, nous n’étions pas dans un motel, mais ma convoitise commençait à avoir raison de moi. « Eh bien, je vois qu’on peut faire ça n’importe où maintenant… » Pourquoi fallait-il qu’il arrive toujours à ce moment ? Je relâchais Melody pour me retourner et à peine avais-je le temps de lui faire face, que je recevais une décharge de teaser. Sentant tous mes muscles se crisper, je me vidais de mon air, me laissant tomber à genoux.
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mot doux de Invité ► un Sam 2 Mai - 17:31
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Parfois l’on éteint la lumière simplement pour ne pas voir le monde qui nous entoure et on rêve simplement qu’elle pourrait ne jamais se rallumer. Des caresses, des lèvres. Je l’embrassais avec l’impression que ça serait pour peu de temps. Combien de temps ? 5 minutes, 10 minutes ou même un peu plus ? Mais ce n’était pas pour longtemps. Cela allait s’arrêter tout comme toutes les bonnes choses ont une fin. Cet homme ? Je ne voulais pas me l’avouer mais je l’aimais. Je l’avais dit avec ces doigts bien plus perspicace que mes lèvres pourtant celles-ci semblait les prouver de ce baiser chaleureux. La cerise. Oui, il était aussi bon que la cerise car mince, j’aimais cet homme bien plus que je n’aimais les cerises. On ne peut pas éprouver ces papillons grouillant dans notre ventre en mangeant un fruit. Quoique mais non. La vie est courte mais ces instants le sont encore plus. Je ne voulais pas qu’il s’arrête. Je souriais doucement. « Oh si ! », soufflais-je simplement. Cette sincérité. J’aurais pu simplement lui dire : je n’aime pas la cerise autant que je t’aime mais avait-il vu ses mots ? Les avaient-ils compris ? Je n’en savais rien. J’étais pétrifiée à l’idée que non mais à l’idée que oui aussi. Il avait dit qu’il reviendrait. Cette promesse que j’avais par moment oubliée de croire. Volontairement ? Oui, peut-être. Je voulais me protéger. Cet homme était une cure pour moi. Une cure qui avait changé ma vie. Il m’avait fait ouvrir les yeux. Je devais reprendre en main ce qui m’était de droit : mon destin. Les gens s’évertuaient à vouloir faire des choix pour moi. Il s’y était évertué en me disant aussi adieu mais des mots ne sont que des mots. Les actes sont bien plus. Il était là. Il était revenu et en ce moment-même… je ne voulais pas qu’il me lâche. Non. Je voulais qu’il me garde là. Bon dans une chambre ça serait mieux mais on prend ce qu’on a et pas ce qu’on veut dans notre situation. Encore un baiser, oui, ces lèvres me parlaient. A mes yeux, elles étaient comme le monde… je voulais voir le monde à travers nos baisers. Cela peut avoir un côté romantique et un peu triste à la Roméo et Juliette. Allions-nous finir tous les deux morts ? Je priais pour que non. Après tout dans tous les contes de fées… Il y a la princesse, le prince et ils vécurent heureux avec des enfants. Etais-je prête pour les enfants ? Ce n’était pas pour maintenant. Je laissais sa main glisser à mes cheveux alors que je souriais doucement. Un moment à nous. Tellement. L’univers en avait contre nous. Réellement. Je me sentais comme un poupon à qui tout le monde refusait la sucette sous prétexte que ses dents en prendraient un coup. C’est sans avoir le temps de rajouter un mot que je me laissais enivrer par ses bras autour de ma taille. Je fermais doucement les yeux, laissant ses mains me faire frissonner de la tête aux pieds. Une sensation que j’aimais tellement. Nous n’étions pas du tout dans le lieu. Pas l’endroit mais peut-être le bon moment alors qu’il faisait tout simplement calme. Oscar devait encore être dans sa cage. Il n’allait pas arriver en costard comme James Bond pour nous espionner et puis de toute façon… ? Les primates font aussi l’amour et ils doivent savoir ce qu’est la séduction, l’envie et toutes ces choses que l’on pourrait qualifié de bestiale. L’être humain n’en reste pas toujours une bête et les animaux sont des êtres vivants. On vient de toute façon tous du singe. Je voyais bien de la ressemblance entre Oscar et mon voisin, Noah. C’est alors que je m’attardais à aller retrouver ses lèvres pour laisser cette envie pointer le bout de son nez sans savoir si nous irions au bout mais j’étais en pleine rébellion. Je m’en fichais d’être possiblement surprise. Je ne devrais pas m’en foutre. Cette voix me ramenait à la planète terre. Non pas la planète des singes mais bien la terre alors qu’Alvin me relâchait pour… se faire électrocuter. Je ne réfléchissais pas plus longtemps. Je portais la main à mon pied pour retirer mon talon aiguille. Non. Je n’allais pas laisser Edward faire ce qu’il voulait avec Alvin. Non mais merde et si je voulais être la princesse au cheval plan qui sauve le jouvenceau ? Je m’en fichais bien des préjugés ou des égos. Je frappais un bon coup avec mon talon dans l’œil de cet homme qui était logiquement mon fiancé. Le jour où il avait fait sa demande, je n’avais pu rêver du mariage pendant seulement une heure avant de devenir une autre femme. L’aimais-je ? Non mais l’avais-je aimé ? Énormément sauf que ce n’était qu’un mirage… J’avais rêvée de cette robe ou même de choisir une demoiselle d’honneur. Un rêve futile comparé à mon présent. Je me sentais naïve mais ça m’était passé par-dessus la tête depuis bien des mois. Je voulais juste être heureuse. Oui, voilà. Je frappais Edward de ce talon avant d’attraper le teaser qu’il avait dans les mains. Crédible ? Peut-être pas mais je ne voulais plus le laisser faire. J’en avais marre que ma vie ne se résume qu’à être la victime de mon père et de cet abruti. Cet enfoiré de première. Le teaser en main. Je me chargeais de lui montrer ce que cela faisait. Oui, je me chargeais de ça avant d’être poussée au sol en m’écroulant comme un vulgaire tee-shirt sale qu’on lance de l’autre côté de la pièce. Glissant doucement même sur ce sol bien lisse. Le poignet légèrement douloureux. Je me redressais alors en le regardant. « Tu es le diable en personne… », soufflais-je de mes mots remplis de rage. Il me regardait. Ses yeux sombres que je ne lui connaissais tellement pas avant qu’Alvin ne rendre dans ma vie. Du mensonge. Tout était du mensonge. Des faux semblants. Des apparences. « Oh non, Melody… c’est ton père le diable et je ne suis que son sous-fifre… », disait-il alors en me souriant. « Si elle gêne, tues-là… voilà ce qu’il m’a dit. Purement et simplement. Fais-le comme tu as tué… ah oui, ton frère… celui dont le deuil a été tellement compliqué. Oh pauvre Melody, elle pleure… elle se sent mal… elle a perdu son grand frère… la pauvre petite fille… la pauvre jeune femme… », il riait doucement. « Elle n’a que ce qu’elle mérite ! », disait-il alors que je me redressais en fronçant les sourcils. L’avantage c’était que j’arrivais à détourner l’attention d’Alvin pendant quelques instants. Oui, je l’espérais. « Continues… », disais-je alors inerte. « Tentes de me détruire, tentes… c’est ce que tu sais ? M’écraser comme une mouche en utilisant mes émotions ? », je riais doucement à mon tour. « Tu me fais pitié… », je lui cachais aussitôt au visage. Oui, paf. C’est ce que donne une tigresse ? Une femme en colère ?
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Alvin R. Prescott
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Melvin ▬ telle un rêve qui se réalise, le prince charmant apparait mais tout semble tellement réel, il est beau, elle est belle... ils sont amoureux mais ne peuvent pas vivre heureux, c'est leur réalité ! Tumblr_nx5yr7bp2e1rqmy9yo5_250
❝ Métier : Ancien agent du FBI, qui fut un temps bodyguard, maintenant sans emploi
❝ cupidon : Veuf et même si parfois ses pensés vont à sa défunte femme, son coeur est prit par Melody
❝ post-it : Lieu de naissance, New Jersey → Né d'un père alcoolique et d'une mère battue, je connus la violence physique très jeune. → À six mois, j'ai fuis avec ma mère le New Jersey pour ma propre protection. → Je n'ai jamais vécu bien longtemps dans une ville. → À 5 ans, ma mère se fit assassiner par mon père qui nous avait retrouvé. Je suis retourné vivre chez ma tante. → Je suis fils unique, mais ma tante a adoptée une petite fille lorsque j'avais dix ans, Liv. → Je n'ai jamais revu mon père depuis qu'il a tué ma mère, je suppose qu'il s'est fait arrêter. → Je suis tombé amoureux d'une infirmière urgentiste et deux ans plus tard nous étions marié. → Après notre mariage on a déménagé à Pasadena. → Même si j'étais un bourreau de travail, j'ai toujours sut rester fidèle. → Après six années de mariage, elle a été assassiné par mon coéquipier. → J'ignorais et j'ignore toujours qu'elle avait une liaison avec celui-ci. → Je ne suis pas très habile avec les enfants. → J'ai découvert que mon coéquipier était un flic véreux et faisait affaire avec la mafia. → On me soupçonne d'avoir assassiné ma femme. → Le FBI m'a suspendu jusqu'à preuve du contraire. → Je suis donc rendu un flic ripou, alors que je n'y suis pour rien. → Je vais tenter de blanchir ma réputation ! → J'ai kidnappé la copine de mon coéquipier pour trouver une façon de faire éclater au grand jour la vérité. Seulement, ce n'est pas si facile que ça...
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mot doux de Alvin R. Prescott un Ven 19 Juin - 20:08
alvin & melody

telle un rêve qui se réalise, le prince
charmant apparait mais tout semble
tellement réel, il est beau, elle est belle...
ils sont amoureux mais ne peuvent pas
vivre heureux, c'est leur réalité !
Mes nuits avaient bercées par ces rêves de la savoir là entre mes bras, caressant sa peau sans même prendre le temps de penser à ce qui pouvait nous arriver. Je rêvais de chose pratiquement impossible, dans ce présent qu’était aujourd’hui, cette liberté d’être ensemble n’existait tout simplement pas. C’était une idyllique qui se forgeait dans nos espoirs. Pourtant, je ne pouvais laisser ces rêves de côtés, les oublier pour tourner la page sur un nouveau chapitre. Nos chemins s’étaient croisés, peut-être pas dans les meilleurs circonstances, mais maintenant ils étaient composés de moment rien qu’à nous. Des moments qui avaient fait naître des sentiments, et bien plus encore. Je ne voulais pas laisser se détruire. Je n’avais pas envie d’échouer, tout ce dont j’avais envie c’était de mettre un pied devant l’autre pour ainsi poursuivre ce train jusqu’à la gare terminale. La fin serait-elle heureuse ou tout au contraire couverte de lacérations, de saignement si puissant qu’une fois de plus j’allais me retrouver inonder d’eau salée qui représenterait une forme quelconque de tristesse. Du moins, si je trouvais une fois de plus la force de pleurer. Il me faudrait très certainement plus qu’un sourire pour me redonner envie à cette vie. Mais pour l’instant, je me concentrais sur ses lèvres, son corps près de mien. Mélangeant nos souffles dans une union symphonique. J’avais toujours du mal à établir ce que j’éprouvais réellement pour elle, ce n’était pas chose facile. J’étais peut-être aussi quelque peu têtu, n’assumant pas tout à fait que j’étais prêt à faire un pas vers l’avant. Tout ce dont j’étais certain, c’était qu’elle était mon petit rayon de soleil Californien qui égaillait ma journée qu’il pleuve ou sous une chaleur exténuante du Sud. Je glissais ma main sur sa peau, cajolant ainsi chaque parcelle que je pouvais caresser. Je n’avais pas besoin de savoir si sa culotte était mouillée pour comprendre qu’elle désirait cela autant que moi. Ça pouvait paraître pervers de vouloir le faire ainsi dans un racoin du couloir, mais j’en avais que faire. C’était après tout quelque chose d’humain, il n’y avait pas de mal à cela. Seuls les gardiens de sécurité pourraient profiter d’une émission coté dix-huit ans et plus dans leur locaux. J’étais attentif à chacun de ses mouvements, réceptif à d’autre, je la désirais et je ne me gênais pas pour lui faire sentir. Je l’embrassais avant d’entendre cette voix tellement exécrable. Je me retournais pour lui faire face, mais j’avais à peine regardé son visage que je sentais une décharge électrique parcourir mon corps, rendant celui-ci aussi raide qu’un hamster les quatre pattes en l’air. Je ne puais tout simplement pas, enfin si peut-être le petit cochon grillé. Je m’écroulais sur le sol, ne sentant plus de force dans mes jambes. Mon cœur battait d’une chamade tellement forte que je n’arrivais pas à le calmé. Je fermais les yeux tentant de reprendre le contrôle de mon corps qui venait de m’échapper. J’aurais voulu hurler, mais je n’en avais pas la force, l’humidité de mon œsophage s’étant envolé. Je restais étendu sur le carrelage frais du couloir. J’ignorais ce qui se passait autour de moi. J’espérais tout de même que Melody avait pris la fuite, qu’elle avait simplement fuie sans se retourner. Je ne pouvais pas expliquer ce ressentiment, mais j’étais envahi par la peur qu’il pouvait lui arriver quelque chose et que je ne puisse rien n’y changer. J’attendais que mon rythme cardiaque revienne un peu plus à la normal, ouvrant finalement les yeux. Je prenais une respiration plus poussé que ce que j’avais imaginé, emplissant mes poumons d’air. Grimaçant, je rassemblais le peu de force qui me restait pour me relever. M’aidant de quelque façon, je me redressais portant mon regard sur Melody et son fiancé. J’entendais la voix d’Edward, toujours si attachante celle-là, qu’elle donnait presque envie de le faire sauter avec une petite grenade amical… ou non. Les mains sur les genoux, je reprenais mon souffle. Les mots qu’il utilisait pour parler à celle qui devait partager sa vie me glaçaient le sang. Comment pouvait-il parler ainsi ? Je ne pouvais m’empêcher de me demander qu’est-ce que Katherina avait trouvé à ce type ou bien Melody ! Après tout elle avait accepté sa demande en mariage, ce n’était donc pas rien. Me tenant derrière lui, j’avançais à pas de souris et je passais mon bras autour de son cou. Mes lèvres collé à son oreille et ma main sortant son fusil glissé à l’arrière de son pantalon, je laissais cette rancœur m’échapper. « Tu devrais vraiment apprendre à fermer ta gueule. » Je resserrais mon emprise autour de sa gorge, pointant le canon de son arme sur sa tempe. « Vas-y Alvin tire ! » J’appuyais un peu plus l’arme sur son crâne, glissant mon doigt sur la gâchette. Je détestais cet homme, mais au fond de moi je ne voulais pas devenir comme lui. « Vas-y ! QU’EST-CE QUE TU ATTENDS ! » Je me mordais la lèvre, jetant un regard à Melody. Et sans en dire plus, je le frappais sans ménagement avec le frein de son arme. Je délaissais mon emprise le laissant s’écrouler sur le sol. Je poussais un long soupire. Le silence était revenu. Je regardais son corps à mes pieds, avant de relever mon regard vers la jeune femme. « Tu n’as rien ? » Je bougeais mes doigts, sentant encore cet engourdissement. Mon regard revenait sur Edward. « Y faut qu’on se débarrasse de lui avant qu’il ne reprenne conscience. »
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mot doux de Invité ► un Dim 21 Juin - 19:55
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telle un rêve qui se réalise, le prince
charmant apparait mais tout semble
tellement réel, il est beau, elle est belle...
ils sont amoureux mais ne peuvent pas
vivre heureux, c'est leur réalité !
Les mots peuvent vous retourner et vous prendre en traite. Ils vous bouffent de l’intérieur. Parfois bien choisis mais ils vous font souffrir même quand vous pensez être forte. Les mots sont créés pour émouvoir. Des étales parfois futiles mais qui ont toujours leur effet. J’avais beau me dire que cela ne m’en faisait pas. Je restais forte en affrontant ce type rien que quelques instants pour prendre l’avantage ou le laisser prendre. Je ne saurais dire si je suis forte. Le suis-je ? Plait-il ? Je n’en savais rien. Je ne m’étais jamais sentir forte mais rebelle. Je ne me laissais pas marcher sur les pieds, certes mais je n’en restais pas moins fragiles et émotionnelles sous cette carapace. Le savoir était suffisant. Là, je ne voulais rien montrer tout comme je ne voulais pas pleurer pour leur faire plaisir mais pleurer par ce que cela fait un bien fou par moment. Savoir que notre père accepte si facilement notre mort peut être une chose troublante. Elle peut vous glacer le sang. Je ne savais pas vraiment si c’était vrai ou pas mais j’étais persuadée de ne pas vouloir le savoir. Alvin était persécuté par ces hommes qui étaient autre fois les seuls à sembler être mon avenir, mon présent et mon futur. Je ne savais plus pourtant ou m’y situer avant même que cet homme aux yeux n’entre dans ma vie. Je sentais ces battements sous ma poitrine alors qu’Alvin agissait. Je vivais cette image troublante. Cela serait sûrement rassurant de savoir que deux hommes se battaient pour moi ? Dans le fond, ce n’était pas vraiment pour moi. Je ne savais même pas si c’était pour elle. Leur rivalité était plus profonde dans un sens. Il le voulait. Il voulait qu’Alvin tire et je ne savais que dire. Figée dans l’instant en me demandant s’il allait le faire ou non. Allait-il le faire ? Je n’en savais rien. Mes mains tremblaient alors que ce matin ? Je voulais juste le voir et me plonger dans ses bras pour une danse de sensations. Des frissons peut-être pleins d’Œstrogène ou pas. Je voulais aussi juste me dire : je suis libre alors que ce n’était que dans mes rêves. Je voulais me plonger dans un mensonge. Je prenais une profonde inspiration avant de retenir ma respiration. Les secondes semblaient des minutes alors qu’il me regardait. Que devais-je faire ? Que devais-je dire ? Je ne savais même pas ce que je voulais qu’il fasse ou ce qui me semblait judicieux. J’étais juste effrayée. Ce monde, ces émotions… ce n’était pas moi. Je n’étais qu’une bête scientifique qui passait ses journées libres derrière un ordi avec une souris à la main. Ou presque. Je voulais dire un truc… mais quoi ? Je n’en savais rien. Je retenais toujours ma respiration avant qu’il ne frappe Edward sans vraiment se retenir. Une part de moi voulait courir pour m’éloigner d’eux et peut-être ne pas voir ça ou ne pas voir lequel allait tomber dans un éboulement. Je restais de marbre. Je ne disais rien. Mes lèvres tremblant doucement tandis qu’il se rapprochait. J’avais eue peur. Bien plus que je ne pouvais l’admettre. J’avais voulue ne pas le montrer mais cela se voyait de plus en plus au fils des secondes. Ce regard qu’il me posait me rassurait mais pas assez. Ne rien avoir ? Je voyais ses doigts et je n’arrivais pas à en décoller le regard. Je secouais doucement la tête surtout comme un robot. Je n’avais rien mais étais-ce possible que j’ai quelque chose… autre part que physiquement ? Cela faisait tellement longtemps que je souffrais de l’intérieur. Rien de nouveau. Nous devions… quoi ? Je ne savais pas quoi faire. Comment… ? Je n’étais pas vraiment douée pour ça. « Il y a la cage du singe… elle peut contenir deux hommes... enfin pas toi avec si possible ! », disais-je alors d’une voix doucement tremblante. C’est quand la porte de l’entrée s’ouvrit bien qu’elle ne soit pas dans ce couloir que je sursautais silencieusement en tournant mon regard vers le couloir. « Dans mon laboratoire ! », soufflais-je alors que je lui montrais maladroitement la porte un peu plus loin. Je prenais une profonde inspiration en ne sachant pas vraiment quoi faire… Devais-je l’aider à tirer ou pas ? J’avais peur de toucher Edward. C’est étrange mais je commençais clairement à voir les choses… plus clairement et me rendre compte que ce n’était pas une blague. On risquait ma vie. Je l’aidais alors… le tirant un peu vers le laboratoire avec Alvin. J’ouvrais la porte mais à peine ouverte, je sentais… « J’ai… », je courrais alors naturellement vers les toilettes de mon bureau. J’avais juste cette nausée contrôlée par ce qu’on appelle la peur. J’ignorais que c’était seulement ça mais bon. Je n’y pouvais rien pourtant. Cette nausée passant comme une lettre à la poste. Je me redressais en me regardant devant le miroir. Je me rinçais la bouche plusieurs fois. Je transpirais mais je m’occupais de me laver le visage avec le savon posé à côté. Je rabattais mes cheveux lâchés qui avait été tenu par une main lors de ma nausée dans une queue de cheval avant de laisser mon visage se rafraichir. Je regardais alors la trousse de secours mais Oscar entrait dans la salle de bain en ouvrant la porte. Il me prenait la main pour m’attirer vers le laboratoire. L’inconnu endormit l’intriguait. Il voulait qu’on aille voir. Il se hissait en s’accrochant à ma manche pour monter dans mes bras et je sortais avec une charge dans les bras à qui je ne pouvais rien refuser. Un singe accroché au coup et les mains bien moins tremblantes. Je m’approchais à nouveau des deux hommes. « Il y a de l’adhésive dans mon tiroir… enfin… un gros rouleau ! », disais-je alors soudainement en me demandant… comment je pouvais penser ainsi. Je m’arrêtais aussitôt dans mes pensées. « Qu’est-ce qu’on va faire ? », demandais-je aussitôt. Bon oui. Qu’allions-nous faire ? Ils doivent attendre qu’il sorte. Ils doivent même savoir tous qu’il est là. On ne pouvait pas le garder là. Je ne savais pas. J’étais paumée. J’étais juste perdue et mon bon sens était porté disparu.
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Alvin R. Prescott
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mot doux de Alvin R. Prescott un Lun 12 Oct - 22:16
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Entre Edward et moi, il y avait toujours eu quelque chose. Rien de bien bisournours quand on y pense. Je l’accueillais toujours chez moi avec les bras ouverts, on se taquinait, mais au final tout cela n’était subterfuge. J’avais eu du mal à me convaincre qu’il avait pu la tuer, mais cette réalité qui n’avait rien de féérique m’avait vite ouvert les yeux. Il n’était pas l’homme que j’avais connu simplement une chimère qui venait de retrouver son aspect d’origine. Affrontant son regard, je me sentais capable de tirer, mais cette crainte de me retrouver à n’être que son propre reflet me dissuada bien vite. Je le frappais donc avec mon arme, c’était plus simple même si tôt au tard il finirait par se réveiller. Il était évident qu’il serait de mauvais poil, mais qu’importe, pour l’instant on devait juste se débarrasser de lui. Plus facile à dire qu’à faire, comment se débarrasser d’un corps adulte sans que personne ne le remarque. Autant dire que c’était peine perdu, mais je gardais un faible espoir. Bougeant mes doigts, je me dirigeais vers Melody. Me suggérant de mettre son fiancé en cage, je me surprenais à sourire. Elle avait le don de m’étonner cette fille et c’est bien quelque chose qui me plaisait. « Tu as de sacré idée. » disais-je avant d’entendre la résonnance d’une porte se refermant. Relevant l’arme, je regardais dans le couloir. D’un geste rapide, je retirais le chargeur pour voir s’il y avait bien des balles. Celui-ci semblait plein et remettant celui-ci dans l’arme, je me tournais vers Melody qui me montrait son laboratoire du doigt. Acquiesçant, je revenais vers la belle au bois dormant, passant mes bras sous ses aisselles, je me préparais à le tirer jusqu’à la salle. Il n’était pas particulièrement léger, mais n’avait rien d’un éléphant non plus. Malgré les craintes qu’elle semblait avoir, Melody vint tout de même m’aider, transportant plus rapidement le corps d’Edward jusqu’à la porte du labo. Je n’avais pas le temps de réagir, la voyant partir en courant je laissais retomber Edward au sol. Le pauvre, il aurait une jolie bosse à son réveiller, mais je m’en foutais. J’étais pris que d’une envie suivre Melody pour voir si tout allait. Seulement, le souvenir de la porte se refermant me fit revenir à l’homme étendu sur le sol. Debout près du corps, je regardais mon ancien coéquipier avec un dédain bien visible. L’ordure. Je n’avais envie que d’une chose, l’assigner de coup de pied, mais je me réservais cette idée. Prenant son bras, je le tirais sans vraiment le ménager, ne portant pas attention à sa tête qui frappait chaque recoin qu’elle trouvait sur son chemin. Essoufflé, je relâchais finalement son bras me relevant pour voir Melody sortir portant un singe dans ses bras. Voilà une autre bête dont je n’étais pas certain d’avoir une grande affinité. Elle m’indiquait où je pouvais trouver de l’adhésif et je me dirigeais aussitôt pour aller chercher le rouleau. Farfouillant dans le tiroir, je relevais la tête la regardant. « Je vais commencer par l’attacher et le foutre dans cette cage, après je verrais bien. » disais-je en mettant la main sur le ruban. « Voilà. » Je me dirigeais vers Edward toujours étendu par terre, le relevant j’allais lui taper les mains dans le dos, puis les pieds et lui bâillonnait la bouche. Une fois ficeler comme un saucisson, je le mettais sur mon épaule pour le faire entrer dans la cage. Je n’avais pas le temps de l’y mettre qu’on ouvrait la porte. Deux hommes vêtus de noir nous regardait et j’échappais leur patron sur le sol. Oups. Reculant, je faisais signe à Melody de partir ou du moins se cacher. L’un des MIB tournait sa tête vers la chimiste et son singe et j’en profitais pour sortir l’arme que j’avais glissée dans ma ceinture de pantalon. « Hey, je suis ici ! Elle n’a rien à voir dans tout ça ! » disais-je entre mes dents, je savais bien que j’aurais plus de mal à me défendre dans cet endroit sans tout détruire, mais bon. Le mec se retournait pour me regarder, il semblait sur le point d’attaquer. Relevant mon arme vers son visage, je retirais le cran de sécurité. « Dis-moi on te paye bien pour ce boulot. » Il ne semblait pas apte à plaisanter. Tant pis. Tout allait se jouer ici et maintenant, on se serait presque cru dans un vieux far west d’Eastwood. J’avais au moins la chance d’être capable de garder mon sang-froid, mais l’homme devant moi ne semblait pas en être capable. Je voyais son visage se déformer sous la rage et avant que j’aie pu faire quelque chose le singe sautait sur l’homme qui laissa un coup de feu retentir. Je n’avais pas la moindre idée d’où avait atterrit la balle, mais je ne ressentais aucune douleur. Poussant un soupire, je regardais l’homme puis le second. « Désolé les mecs, mais je peux pas vous laissez ainsi. Trop risqué. » En deux coups, je leur tirais dans les jambes, les voyant tomber. Mon regard se porta finalement sur Edward par terre, du sang coulant de sa tête. Voilà la balle perdue. Je regardais Melody, affichant un air désolé. « Appel les secours, je peux pas rester. » disais-je avant de m’approcher d’elle posant mes lèvres sur sa joue. « Dis simplement qu’ils t’ont attaqué et qu’ils se sont fait ça entre eux. » Je la regardais, avant de me diriger vers Edward, lui retirant l’adhésif et quittant la pièce sans me retourner.
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et oui, j'habite a pasadena tout comme toi
et peut-être que je te saluerais !


Melvin ▬ telle un rêve qui se réalise, le prince charmant apparait mais tout semble tellement réel, il est beau, elle est belle... ils sont amoureux mais ne peuvent pas vivre heureux, c'est leur réalité ! Empty
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Melvin ▬ telle un rêve qui se réalise, le prince charmant apparait mais tout semble tellement réel, il est beau, elle est belle... ils sont amoureux mais ne peuvent pas vivre heureux, c'est leur réalité !


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