LULLABY @ikea ¬ il est temps de quitter les parents pour mieux recommencer.
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mot doux de Invité ► un Dim 16 Aoû - 11:06
Il est temps de quitter les parents pour mieux recommencer sa vie à deux.
Lullaby & Kate



Un mois et demi qu'on vivait ensemble avec Dylan. J'avais juste emménagé chez lui en ramenant l'ensemble de mes vêtements et quelques effets personnels dans le but de voir un peu comment nous allions redonner un sens à notre couple au début. Et je vous avoue que depuis un mois et demi, c'était le petit bonheur.Oui aussi étrange que cela puisse paraitre nous avions vraiment l'impression d'être heureux et cela faisait bien longtemps que ça ne nous était pas arrivé. Je montais rapidement dans la voiture. J'avais piqué un peu de groseilles, pris Leah par la main pour la déposer chez sa marraine et qu'elle puisse passer la journée avec le bébé Nora comme elle adorait l'appeler. En avant avec sa petite robe à fleur et ses petites sandales, elle était dans son siège auto. Dylan devait travailler sur un vernissage ce matin et forcément il irait récupérer Leah dans l'après midi je pense. J'avais fait mes piqûres d'insuline en conséquence pour être tranquille sur l'ensemble de la journée. J'avais envoyé un sms à Lullaby justement pour lui dire que j'avais besoin de quelques meubles et immédiatement l'idée d'Ikea avait fusé en même temps. Oh je n'avais pas besoin d'aménager l'ensemble de l'appartement mais au moins quelques meubles pour pouvoir se retrouver et avoir un minimum de rangement. En plus Leah grandissait à vue d'oeil et j'avais comme une envie de réaménagement de sa chambre. Une fois devant chez Lullaby et Aiden, je descendais pour aller détacher ma fille qui une fois effectuée, courait vers chez sa tante pour sonner comme une petite folle. Je n'avais pas vraiment eu l'occasion de l'emmener voir sa tante et son oncle au cours du dernier mois. Je tombais sur Lullaby après lui avoir fait la bise je dis Bon en voiture Simone en montrant le carrosse qui nous attendait en l'occurrence ma Mini Cooper vieille de 5 ou 6 ans mais que j'adorais au possible. En plus, contrairement aux autres voitures américaines, elle était petite et maniable. Tu n'en fais pas voir de toutes les couleurs à tonton, hein Leah dis-je en embrassant ma fille sur le front. Aussitôt elle courait chercher Nora qui faisait ses premiers pas depuis quelques temps, enfin même qui commençait à trottiner comme un petit lapin. Pour nous laisser entre soeurs.

On montait dans la voiture, je mettais mon CD d'adolescente dans la playlist pour nous remémorer les bons moments de cette période passée. Bon alors comment vas tu ? Il est bête d'aller s'enfermer dans un magasin en ce si beau temps ? Mais en même temps tu as vu les chaleurs c'est intenable, on dort sans les couvertures vu comment c'est en ce moment. Le soleil brille sans s'arrêter, mais tu vas dire dans quelques semaines on va se plaindre parce que nous avons froid n'est ce pas ? Mon petit monologue sur la météo actuelle. En même temps la canicule nous rendait un peu la vie compliquée. Enfin... Faire chaud en Californie l'été c'est un peu comme la neige en Alaska l'hiver c'est quelque chose de normal.

Le contact en route nous n'étions qu'à une vingtaine de minute d'Ikea qui se trouvait dans la zone industrielle de Pasadena entre Los Angeles et Pasadena en fait pour être exact. Bon et toi comment vas tu ? Mon nouveau petit neveu va bien ? Dylan ! Quel beau nom quand même. dis-je en rigolant. Mon neveu s'appelant comme mon compagnon je ne m'y attendais pas. Et puis après tout, il y en avait bien qui sortait avec des gens qui portaient le même prénom que son père. Ce qui pouvait être un peu déconcertant. Non pour être honnête je ne me voyais absolument pas sortir avec un homme qui s'appelait Holden ce serait un peu étrange comme situation. Ou pire. Thimothé. Là ce serait je pense la pire des choses qui aurait pu m'arriver. Un coup de Britney Spears qui passait à la radio Baby One More Time. Ca ne nous rajeunit pas tout ça, nous avions treize ans quand cette chanson est sortie !

Une fois arrivée, nous descendîmes de la voiture, pour partir A l'aventure Laby. dis-je comme une enfant qui allait pour la première fois dans un parc d'attraction. D'ailleurs en parlant de courses et en pensant aux courses, je pensais notamment à la vente VIP que Costco avait proposé au début du mois. Le 3 aout. J'étais allée faire un tour par curiosité, parce que Sexy McNews ne cessait de le râbacher à la radio à ce moment là. Oui, travailler à la radio ça a ses avantages. Mais aussi des inconvénients, notamment tomber dans les pièges de la consommation particulièrement. Mais leur offre sur l'électroménager était très intéressante. -40% sur les produits électroménagers m'avaient permis de me racheter un nouveau lisseur et surtout un nouveau lave linge parce que celui de Dylan nous avait malheureusement lâcher le lendemain de notre retour de New York. Les allers retours pour faire les lessives chez ma mère avaient eu raison de mon budget et notamment de ma faiblesse. Et puis il n'y avait pas eu que cela. On pouvait rajouter un article offert pour deux achetés sur l'alimentation. Le magasin était blindé de familles ou de couples venus profiter de la promotion du jour. J'avais la carte depuis plusieurs semaines maintenant j'avais découvert ce magasin lors de son ouverture et pour être honnête j'en étais complètement dingue. OK c'était du rabais mais bon. C'était cool.
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mot doux de Invité ► un Dim 16 Aoû - 15:40
kate & lullaby
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Quitter Dylan, le bébé bien sûr pour la journée allait être difficile à mes yeux. On pourrait presque se demander pourquoi mais je n’arrivais pas à être loin de mon fils. Aussi étrange soit-il alors que j’avais donnée de la distance à Nora pour qu’elle apprenne à être automne mais je ne saurais pas dire pourquoi. Étais-ce liée à sa naissance ou à la grossesse encore compliquée ? Il fallait avouer que j’avais nouée un contact bien plus tôt avec Dylan dans mon utérus. J’avais aussi moins de remords par rapport à la grossesse. Je me disais que ça jouait. Pourtant je les aimais tout autant mais j’étais incapable de le laisser. Ayant toute juste tirée le lait pendant sa sieste, j’avais la sensation de m’être faite arrachée le téton mais je devais donner un peu la chance à Aiden de s’occuper de lui sans m’avoir dans les pattes. Bien entendu, il n’allait pas pouvoir le faire allaiter mais bon. Tandis qu’il fallait que je rattache mon soutien à gorge conçu pour l’allaitement, je me dirigeais vers la chambre. Je devais m’habiller et non rester en soutif, shorty et kimono en satin. Déjà que je n’avais pas eue le courage d’enfiler mon jogging pour aller faire mon petit footing quotidien, je devais avouer ne pas l’avoir pour simplement enfiler une robe. J’étais épuisée de ces nuits courtes. Bien trop courte. Quand Nora était arrivée, elle faisait déjà ses nuits. C’était la première fois que je devais réellement connaitre ces moments tellement insupportable dans la vie d’une maman. Je n’étais même plus apte à réfléchir correctement par moment. Je n’avais dormi que 5 heures et toutes éparpillée. Une heure par-là, une autre par ici. J’étais lessivée. Tout comme un bon linge lessivé, je sentais par contre l’abricot. Mes cheveux lâchés le long de mon épaule, je me hâtais à faire une tresse sur le côté en brin d’épis. C’était long mais ça faisait son effet. Je retirais le kimono en allant vers le dressing et je posais celui-ci sur le fauteuil moelleux du centre avant d’attraper une simple robe que j’avais mise tellement longtemps pendant ma grossesse mais qui était surtout tellement pratique pendant l’allaitement. On ne sait jamais que Kate aurait envie de gouter mon lait dans un rayon. Ahah. Non, je pensais simplement logique. Dylan aurait faim à mon retour. Je me maquillais un peu et surtout pour cacher mes cernes et relever mon teint qui paraissait… momifié. J’enfilais aussitôt des ballerines bleu marine pour être assortie à la robe qui était donc par logique de la même couleur sauf qu’elle avait des petites fleurs éparpillées partout mais discrètes. J’aimais bien ce genre de motifs en ce moment. J’attrapais un gilet kimono assez léger que j’enfilais aussitôt alors que je sortais de la chambre. Je déposais rapidement un baiser sur la joue de Nora comme elle était réveillée et gambadait déjà partout pour en faire voir de toutes les couleurs à son père et ensuite un baiser sur les lèvres d’Aiden tandis que la fusée Leah se laissait déjà entendre, je sortais pour la laisser entrer une fois que j’étais parti donc je laissais juste la porte ouverte et j’allais aussitôt vers l’entrée ou était garée une jeune blonde qui m’appelait Simone. J’arquais aussitôt les sourcils en riant. « J’ai une tête à m’appeler Simone ? », disais-je alors que je souriais aussitôt. « Pauvre Aiden ! », soufflais-je tandis que je m’installais au côté passager sans vraiment faire attention à la musique qu’elle mettait car je l’écoutais surtout jusqu’au bout en riant doucement. « Ils ont la clim ! », disais-je alors pour le magasin et c’était une chose merveilleuse. La clim. Oh oui. « Je ne me plains jamais quand il fait froid ! », lui disais-je en souriant. « Épuisée mais ça va et toi ? », demandais-je tandis que j’augmentais simplement un peu le son de la radio en la laissant conduire tout en attendant de savoir comment elle allait. Je ne pouvais m’empêcher de rire alors qu’elle me demandait à nouveau comment j’allais et je penchais la tête en me pinçant les lèvres. « C’est sûrement mon désir inavoué d’être la maman de ton… futur et ex-mari ! », soufflais-je d’un ton léger avant de laisser échapper un rire de mes lèvres et entendant la chanson qui me fit arquer un sourcil. « Oula…, j’avoue même si elle avait l’air bien innocente à l’époque. », disais-je en souriant. « C’est surtout pour elle que le temps ne rajeunis pas. Elle fait 40 ans ! », disais-je sans même savoir l’âge qu’elle avait actuellement mais je ne m’en souciais pas tellement. J’attendais juste qu’on arrive pour ainsi aussi pouvoir faire quelques achats. Dans 2 jours, j’avais prévu une soirée pour Aiden comme c’est son anniversaire. Un petit truc en amoureux dans un bungalow en location qui était dans les bois de Pasadena. J’avais juste besoin d’un peu de bougie. Je descendais donc de la voiture. « On dirait presque un jeu de mots ! », soufflais-je alors que je la suivais vers l’entrée. Je me dirigeais vers le tourniquet de l’entrée en prenant une place alors que je l’attirais avec moi en attrapant sa main. C’était le genre de truc qui m’effrayait toujours à l’idée de ne pas y entrer à temps et rester coincée dans la porte qui ferme et ouvrent l’entrée. Une fois qu’il avait assez tourné pour nous guider dans le hall d’entrée, je tournais mon regard vers le restaurant et ensuite vers les jeux d’enfants. Je fronçais les sourcils en pendant la tête. « Et si on allait rapidement prendre un truc à grignoter ? Peut-être pas des frites et saucisses mais… », je laissais un sourire s’afficher au distributeur de pop corns comme au cinéma. « Merveilleux ! », m’exclamais-je alors que j’allais prendre un billet dans la poche de mon sac que je n’avais bien entendu pas oublié. Je la glissais dans la fente et j’attendais le plus gros de leur offre de pop corns. Un gros paquet en carton. Il se remplissait sous nos yeux et je laissais alors le caramel couler dedans avant de le prendre et le présenter à la jeune femme. « Sers-toi ! », lui disais-je aussitôt tandis que je marchais avec des pas légers vers l’entrée. « Tu cherches des meubles pour quels pièces ? Pour ma part, je n’ai besoin que d’accessoires de décorations pour une belle table ! », disais-je alors en fronçant les sourcils. « Et peut-être des pétales de roses, c’est cucul et romantiques mais ma vie sexuelle manque vraiment de romantismes en ce moment ! », je riais doucement. « On est tellement épuisé que ça se résume à s’endormir avant même d’y penser ! », disais-je sans secrets et fronçant les sourcils. « Tu as sûrement plus de chances que nous ! », rajoutais-je alors.
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mot doux de Invité ► un Dim 16 Aoû - 18:20
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Les nuits n’étaient jamais simple pour les jeunes mamans, nous avions vécu cela quand nous pensions enfin pouvoir avoir une nuit tranquille en fait, non. Bien au contraire, nous avions eu des nuits agitées jusqu’à ses un an. Je pense que ça avait eu raison de mon départ aussi en plus de tout un tas de complications que j’avais connu depuis le début de la grossesse. Quand je voyais que la grossesse de ma mère a plus de quarante ans s’étaient particulièrement bien passé et que moi… Moi, je n’étais définitivement pas faite pour être une femme je pense. J’aurai, peut-être, dû être un homme un petit garçon pour ma maman. C’était peut-être pour ça que c’était tellement compliqué à mes yeux. Mais non, enfin j’adorais avec une poitrine et même si les périodes n’étaient pas les meilleures moments dans le mois, saleté de mère nature. Non je ne parle pas de Dear Mom. Bien évidemment que non. Elle, elle savait donner des conseils, savait aussi nous consoler quand ça n’allait pas et même si je n’avais jamais pu mettre en avant ses précieux conseils pour me réconcilier avec Rhiannon, elle donnait des bons conseils. Pour tous les auditeurs, les sessions Dear Mom leur permettait de trouver une solution à leurs problèmes du quotidien. Ce n’était pas ce qui était de mieux. Mais au moins avec elle, on pouvait témoigner aussi de manière anonyme et de tout comprendre. Dear Mom était un peu la maman de tout le monde. Même pour ceux, qui en avaient une géniale, prévenante. Dear Mom n’avait pas de défaut et c’était l’atout de cette session de radio après tout. On savait donner aux gens un autre regard sur la vie sans faire de la psychologie à deux balles ou encore à essayer de se prendre pour des grands docteurs en savoir être. Non elle répondait simplement sur son vécu, une maman comme une autre. Sur ce qu’elle avait appris et surtout avec son cœur.  Oui, l’organe le plus important mais également, son cœur celui avec lequel elle pensait et non pas sa raison parfois. Cela ne semblait pas évident pour tous. Et pourtant. « Ce n’est pas ton second prénom, zut alors je l’aurais juré » dis-je en rigolant. Bon il était sûr que même sous le maquillage qu’elle avait mis, on remarquait les signes de la fatigue, sortir et prendre un peu l’air ne lui ferait pas de mal… Les températures n’arrangeaient rien aux nuits du bébé à mon avis. Déjà que ce n’était pas facile pour les adultes de faire refroidir les maisons alors pour un enfant… Qui plus est, un nouveau-né. Pauvre petiot. Même pas deux mois, déjà confronté à la dureté du climat californien. Et des parents exténués. « Mais non, il adore sa nièce tu vas voir. Ca va super bien se passer. Si on ne le retrouve pas accroché à une chaise avec les deux miss en train de jouer aux indiennes bien évidemment » Entrainer par furie Leah bien évidemment par qui d’autres. Nora était un peu trop jeune du haut de ses un an et demi, elle était plutôt du genre à suivre sa cousine aveuglement.

Leah était adorable il n’y avait pas à dire mais il était vrai qu’étant l’aîné des cousins et cousines de la famille Jones, elle se sentait un peu seule parfois pendant les réunions de famille que nous pouvions avoir. Il y avait beaucoup de bébés et peu de jeunes enfants avec qui elle pouvait jouer. Alors forcément comme Nora commençait à grandir et à marcher c’était sa plus grande joie. Je souriais d’autant plus quand elle me dit qu’ils avaient au moins la climatisation dans les magasins. Oui elle n’avait pas tort, même si le choc thermique était cruel derrière. Mais pas le choix. « La dure loi des nouveau-nés. Ca va, ça va. Leah est en forme mais elle fait ses nuits. » Je ne pouvais pas me plaindre de l’épuisement, comparée à ma sœur ce n’était pas grand-chose au final. « La mère de mon copain, si tu veux, ex-mari oui. Futur mari pas encore, je laisse la joie à Grace de se marier avant moi ! Ou à Andrew de découvrir les joies du sport de chambre » On va appeler cela comme ça. Pour ne pas choquer le jeune audimat qui lit potentiellement notre histoire. Je ne savais si depuis la dernière fois que je l’avais vu, c’est-à-dire un petit moment maintenant il avait enfin trouvé comment utiliser son petit oiseau et non avec sa main gauche ou droite. Je ne voulais pas vraiment en savoir plus sur ce genre de pratique de mon frère. « Non arrête elle ne peut pas avoir l’âge de ma mère quand même… Quoique, Google nous donnera la réponse mais plus tard, l’âge de Britney peut bien attendre quelques heures ! »
On arrivait, passer le tourniquet des portes en verre, il faisait déjà bien meilleur à l’intérieur. Un courant d’air frais qui faisait un bien fou et une pulsion alimentaire de la part de Lullaby. Je ne criais pas famine mais je n’étais pas forcément contre quelque chose à grignoter. Et une machine à popcorn semblait être placée à cet endroit pour nous. « C’est bon cela ! » dis-je en désignant les popcorns. Absolument mauvais pour mon taux de glycémie, mais au moins j’avais assuré le coup avec mon insuline dès ce matin. « Merci bien » je la remerciais où je piquais quelques billes de blé avec  du caramel. Quel bonheur, ce goût de sucré et de caramel. J’adorais cela même si ce n’était qu’un plaisir de quelques fois par mois même pas. « Ah oui ? Celle de ton salon ? Non, j’ai besoin d’un meuble de télé, Dylan a repris celui qu’on avait l’appartement à Los Angeles, et il est un peu vieux et je cherche des idées aussi pour la salle de bain et la chambre de Leah. Et on a une chambre d’amis qu’on souhaitait aménager aussi pour si jamais on a envie d’accueillir des gens et non pas de bébés en prévision. » dis-je avec un sourire de peur que ma sœur ait des idées saugrenues au sujet de mes désirs de maternité. « Ah pour ça je t’assure que nous n’avons jamais été aussi performants. En même temps avec Leah après sa naissance et même avant, on ne pouvait rien faire. Mais le mois qu’on a passé tous les trois à New York nous a permis aussi de comprendre pourquoi on était ensemble la première fois » dis-je avec un petit rire. « Mais ça reviendra, le petit va finir par faire ses nuits, ça ne dure pas éternellement et puis il fait chaud, le pauvre il subit encore plus » dis-je simplement avec un petit sourire à l’adresse de ma sœur comme pour la consoler en nous engageant dans le magasin avec les petits gadgets pour commencer « Et pourquoi vous ne partez pas dès que tu n’allaiteras plus Dylan, une semaine ? Laissez-nous les enfants. On pourra toujours te les garder et ça nous ferait plaisir dans tous les cas et toi ça te ferait un bien fou, un petit séjour en thalasso bien être. » Tiens une future idée cadeau peut être pour Noël pour pouvoir l’aider à se ressourcer un petit peu. Je regardais les petits objets. Des petites lampes pour lire un livre et ne déranger personne. Pleins de choses un peu étranges qu’on ne trouvait vraiment qu’ici.
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mot doux de Invité ► un Lun 17 Aoû - 18:08
kate & lullaby
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La dure loi, c’était sûrement ça qui faisait que j’étais épuisée. Je m’en amusais doucement en souriant alors qu’elle laissait sous-entendre ne pas vouloir se marier avant un moment mais aux « temps » qu’elles donnaient, je ne pouvais pas m’empêcher de rire sans pour autant en faire des commentaires. Oui. Grace, mariée ? Non, je ne la voyais pas encore avec une bague au doigt. Je voyais encore moins Andrew puceau avant une décennie et encore. 40 ans toujours puceau ça vous dis un truc, ou bien ? Non, peut-être pas mais bon quant à savoir l’âge de Britney, je riais doucement. « Je peux attendre plus que quelques heures ! », disais-je alors que répondre à cette question qui me semblait tellement badine n’était pas une priorité. En rentrant, je savais que j’aurais tellement de choses à faire comme nourrir le bébé, donner les bains, préparer le diner sauf si Aiden avait réussi à tout gérer ce dont je ne pensais pas être possible. Bien entendu, j’avais aussi quelques jours avant de terminer la fête pour son anniversaire donc bon. Après tout une fois le portique passé, tout ce que je voulais ou devais faire furent envolés en voyant le distributeur de popcorn que j’adorais tant quand j’entrais dans ce grand magasin. Nous aurions pu aller aussi chez Costoco, certes mais ce n’était pas pareil car on n’avait pas le popcorn et un choix aussi grand en mobilier. Puis bon j’ai déjà achetée des meubles chez Costoco et la qualité n’est pas réellement pareille après tout donc je souriais quand elle me remerciait, tout simplement en laissant sous-entendre que j’avais aussi besoin de décoration mais je secouais la tête quand elle me demandait si c’était pour mon salon tout en la laissant néanmoins parler sans même penser qu’elle ne veuille un autre bébé quand elle parlait d’une nouvelle chambre. J’en avais aussi pourtant je n’avais pas prévue de les remplir avant au moins deux ou trois bonnes années mais bon. Je lui laissais la parole. Amusée surtout par le fait qu’elle précise ne pas avoir prévue d’enfants. Ayant parlée de ma vie sexuelle, je riais quand elle en parlait aussi. Elle semblait bien plus à l’aise que dans le passé. Cela me faisait presque bizarre qu’elle m’en parle ouvertement. Et je souriais doucement, c’était beau à entendre. Punaise, je voulais aussi retrouver mon mari rien que pour une nuit mais à son idée, je secouais la tête négativement. Je ne me voyais pas partir loin de mon bébé et il allait allaiter encore pendant un petit moment mais ce n’était pas vraiment pour cela que je secouais la tête. « N’oublies pas que j’ai une nounou ! Non pas que je doute de tes performances de tantes mais déjà que je n’arrive pas à quitter Dylan alors si encore en plus… elle se retrouve congédier ! Je crois qu’elle me tuerait ! », disais-je alors que cette bouille d’amour était tellement adorée de tous mais il n’y avait même que moi qui pouvait le porter aussi souvent. Je n’arrivais pas à m’en défaire et c’était un miracle que je sois là. Il faut avouer qu’Aiden et Lenaelle me manipule beaucoup pour que je sorte et pour pouvoir avoir un moment avec le bébé mais bon. Alors qu’elle regardait les lampes, je regardais de mon côté ce fauteuil à bascule en osier qui semblait confortable et tellement parfait pour l’allaitement. Une part de moi le désirait mais une autre se disait que c’était un peu encombrant alors que le bébé avait déjà assez de choses dans sa chambre donc je me résignais à ne pas craquer en regardant le prix qui pourtant était raisonnable. Je me tournais vers elle en souriant. « Sinon tu as raison de faire une chambre d’ami après tout, j’en avais une sans même penser un jour devenir maman et j’en ai encore 3 sans même penser encore à un bébé de plus ! », je riais doucement à cette perspective en prenant une poignée de popcorn avant d'en manger un. « Je ne suis pas prête à en faire un autre ! », disais-je alors que je n’étais pourtant pas prête pour le second et il était quand même arrivé. J’étais prête à couper le zizi d’Aiden par contre mais ça serait problématique ? La fatigue me donnait envie de le castrer pour ne pas en avoir plus pourtant être enceinte commençait déjà à me manquer. C’est con mais c’est comme ça. Cette sensation même si la grossesse était pénible. « Sinon je ne veux pas décorer mon salon… je viens à peine d’emménager depuis 3 mois et demi donc on va éviter ! », disais-je en riant. « C’est juste un chalet que j’ai louée pour la nuit, celui des bois derrière chez papa ou on avait fêtée notre remise de diplômes. Je dois juste prendre de quoi faire la décoration de table ! », expliquais-je en la regardant avant de tourner mon regard vers les flèches pour trouver le rayon de la salle de bain comme elle semblait vouloir des idées. « Tu vois, je peux prendre du bon temps pour moi c’est surtout pour son anniversaire mais ça nous fera du bien ! », lui confiais-je alors que nous n’arrivions pas loin du rayon pour la salle de bain enfin les rayons. Il y avait des trucs de tous les coins comme une planche à l’effigie de la tête d’Iron Man. Je la regardais en louchant un peu. Quelle idée quand même. Non mais ils sont tordus les gens. On dirait plus une tête de robot à couvercle qu’autre chose. Mais bon. Je secouais doucement la tête. « Je ne ferais mieux pas de ramener ça à Aiden… », soufflais-je alors en étant persuadé qu’il la kifferait et qu’on aurait cette planche pendant deux bonnes années. « Se réveiller tous les matins et devoir faire pipi sur la tête d’IronMan, c’est bizarre comme besoin ! », soufflais-je en m’approchant plus vite des planches plus soft. « Tu as une idée de l’ambiance que tu aimeras ou du moins des couleurs ? », lui demandais-je tout naturellement.
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mot doux de Invité ► un Sam 22 Aoû - 17:50
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Lullaby & Kate



Quelques heures, voir quelques jours. Je me connaissais, je n’étais pas du genre à me jeter sur Internet pour trouver réponse à ma question. La technologie avait ses limites avec moi. Les trois quart du temps je m’énervais contre mon ordinateur quand j’étais en train de chercher les informations pour les concours radio par exemple. J’étais toujours dans les mêmes états lors de ce genre de concours. Vous savez un peu comme si c’était Noël une fois par mois, à chaque fois je tentais de gagner et à chaque fois, je n’étais pas loin mais ce n’était pas exactement cela. Mais bon avec Sexy, en même temps, ce n’était pas comme si j’étais sa patronne et que j’aimais le faire tourner bourrique en mode non-stop. Mais ce n’était pas un souci pour moi, il savait bien que je plaisantais les trois-quarts du temps. Je n’étais pas un tyran au boulot bien au contraire, je les laissais agir et faire ce qui les enchantait dans leurs programmes. Je partais du principe s’ils prenaient du plaisir dans leurs émissions et surtout dans leur métier en général, cela permettait une bonne ambiance au travail et donc, un bon ressenti au niveau de nos auditeurs. Et ça, c’était le plus important à mes yeux. Un bon ressenti, c’était une bonne audience et donc une bonne vision de KPCC. Bref que du positif et j’étais particulièrement fière du travail que je faisais. Nous restions une radio locale, mais je n’étais pas que pour mon boulot non plus. Le jour où je n’arrivais plus à gérer je le savais, j’arrêterais pour me consacrer soit à ma famille, soit à un autre métier. Aujourd’hui la philosophie est le changement, la possibilité de faire ce que nous voulons avec un peu d’ouverture d’esprit. Reprendre les études ? Non peut être pas, mon master me suffisait largement ce n’était pas la question, mais pourquoi pas faire une formation dans la cuisine pour ouvrir une ligne spéciale diabétique. L’idée était déjà lancée dans la tête, mais les produits aux Etats-Unis pour les diabétiques étaient encore chers, et les soins aussi. Beaucoup d’enfants diabétiques n’avaient accès facilement aux soins nécessaires pour traiter la maladie qui pourtant n’était pas compliquée. Il fallait juste savoir l’appréhender et savoir surtout la maitriser. Mais ce n’était pas dur, j’étais persuadée cela.

Une idée comme une autre, un accompagnement peut être ? Oui. Le système américain avait de nombreuses failles à ce niveau-là même si la réforme sur la santé prenait forme doucement. Lullaby me fit revenir à la réalité quand elle me parla de sa nourrice, il était vrai qu’elle avait une nourrice. Non je n’avais pas oublié. J’étais juste ailleurs. Lenaëlle. Oui c’était ça. J’étais vraiment à l’ouest depuis quelques jours. Il fallait que je me reprenne un petit peu et que j’arrête de rêver. « Je me réjouissais de garder ma filleule. Mais je ne suis pas sure que ta nourrice soit ravie que tu la mettes au chômage technique pour un caprice de la marraine » dis-je en rigolant. Quoi ? J’adorais mes neveux et nièces tous autant qu’ils étaient. Tant pis, je ferai passer mon caprice en passant l’après-midi avec ma petite sœur, ou le futur enfant de mes parents après tout. Ma mère n’aurait certainement pas de nourrice, je ne pensais pas. J’en savais rien pour être honnête je n’en parlais pas beaucoup en fait avec ma mère, depuis que j’étais partie à New York, j’avais enfin pensé à moi. A nous. A nous trois. Leah, Dylan et moi. Je piquais un panier pour faire mes petites emplettes. Tout irait bien pour moi, mais alors mon compte bancaire allait souffrir un petit peu. «  C’est une question de facilité aussi. Dylan a envie d’un autre enfant, Leah veut un petit frère ou une petite sœur, voire des petits frères et des petites sœurs. Donc c’est un pas en avant, sans pour autant rêver de maternité de mon côté. J’ai encore besoin à un peu de temps, mais ça reviendra je n’en doute pas. » Dis-je comme pour me rassurer. « Pour me rassurer, il n’y aura pas un berceau mais un clic-clac, ou un BZ. Avec une petite télé, tu sais celle qui était dans ma chambre et qui date de Mathusalem dans ma chambre chez les parents. Et les murs en vert anis. J’ai des envies de verts et de jaune ! » Dis-je naturellement pour parler de mes envies de décoration. « Boarf, deux mois et demi qu’on est dans la maison. Et j’ai déjà envie de tout refaire. En même temps, on a enfin vendu l’appartement à Los Angeles pour acheter cette petite maison à Pasadena, mais je trouve qu’il manque des choses encore et toujours. » Non il ne fallait pas me laisser emménager quelque part c’était une catastrophe. Même ma chambre étudiante, j’avais une tendance à tout remettre dans un ordre qui ne pouvait être que le mien. Mais c’était un tic. Pour me sentir vraiment chez moi. « Boarf c’est déjà bien et puis ça vous permettra de relâcher la pression un peu loin des enfants. Et de vous retrouver tous les deux lors de vos jeunes années. Même si c’est à, à peine 3 kilomètres de chez vous. Et puis je suis sure que ça lui fera plaisir et du bien de profiter d’une grasse matinée avec sa femme avec lui. » Dis-je avec un sourire. Je ne disais pas non plus que faire des enfants étaient un calvaire. Non mais il était nécessaire quand même de savoir prendre ses distances et de réfléchir à ce que nous faisions tous. Retrouver un peu nos jeunes années de folie. Celle où sur un coup de tête on partait pour un weekend voir plusieurs jours, sans se soucier du lendemain difficile. Quoiqu’un peu quand même. « L’enfer, Iron Man tous les matins. Non j’aurai l’impression de… Je ne veux même pas savoir de quoi j’aurai l’impression » Concernant les couleurs « Pour Leah, c’est déjà quasi tout trouvé, elle veut du rose et du bleu comme dans la reine des Neiges. Donc je cherche un truc que dans deux ans ce soit encore viable et que je n’ai pas tout à repeindre parce que le nouveau dessin animé sera noir et rouge, et qu’elle voudra se prendre pour Dracula. Bon tu me diras à 7 ans, je risque d’avoir des princesses encore pour quelques années. Puis pour la chambre d’amis, neutre, comme je te disais, je trouvais le vert anisé, un jaune clair sans être agressif une idée pas trop mal qu’en penses-tu ? » J’avançais doucement dans les objets insolite de la salle de bain pour tomber sur les canards en plastique qui étaient loin d’être un jouet pour enfant. Je souriais en le regardant, puis un écureuil. « J’ai trouvé le cadeau d’Aiden pour son anniversaire. Un joli petit à écureuil. Pour ses bains, pleins de frimousses non ? » Oui, oui j’étais en forme. Rien à redire là-dessus, notamment pour débiter un nombre incalculables de conneries à la seconde.

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mot doux de Invité ► un Jeu 3 Sep - 19:16
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Je souriais doucement en l’entendant me parler du fait qu’elle n’était pas sûre que Lenaelle apprécie mais j’avais une idée que je gardais cependant pour moi alors que je l’écoutais encore pour l’instant me parler de son couple enfin surtout d’un enfant dans son couple. Je restais attentive en l’écoutant jusqu’au bout. Je devais avouer la comprendre dans un sens. Après tout si elle était partie et qu’elle avait fui la maternité, ce n’était sûrement pas sans raisons donc je pouvais comprendre qu’elle veuille attendre d’être prête avant d’avoir besoin de les quitter après l’accouchement donc je me contentais d’acquiescer doucement. Je riais doucement alors qu’elle me découvrait les meubles de la pièce et je penchais doucement la tête. « Tu sais les bébés de toute façon, ça dort partout ! », disais-je en plaisantant. « Mais je te comprends ! », reprenais-je aussitôt sans attendre. J’étais d’accord avec elle, même. Je savais que j’avais également voulu attendre voir même des années avant d’avoir une seconde grossesse après mon agression. J’avais même été en conflit avec Aiden à ce sujet quelques semaines avant qu’on n’apprenne la grossesse de Dylan. Je souriais quand elle disait vouloir du vert et du jaune. « Oui, évites alors des enfants dans des chambres trop colorées, tu vas l’exciter le bébé qui n’excite. Mais c’est normal que tu veuilles encore en rajouter, c’est chez toi et tu cherches… à lui donner ta personnalité. Logique ! », disais-je en parlant de ce bébé dont elle n’était pas sûre d’être pressée d’en avoir envie mais aussi de la décoration de sa future maison. Je me rappelais encore avoir aussi tellement été difficile pour la décoration de la mienne. Du coup, je l’écoutais toujours. Relâcher la pression, c’était sûr. Je souriais doucement en la regardant. « Voila ! Puis il en a autant besoin que moi ! », disais-je alors que de l’avoir tout contre moi qui embrasse mon épaule à mon réveil au lieu d’un bébé qui me bave sur les seins faisait clairement plus rêver mais il fallait avouer que j’avais peur tout de même que cela ne soit qu’un rêve. Je me disais qu’on n’avait pas encore le droit pour ça mais je devais arrêter de penser ainsi. Oui, je devais arrêter de penser ainsi. Je passais alors rapidement devant les toilettes enfin non les rayons des toilettes et je commentais cette planche qui me perturbait un peu. Je souriais en l’entendant. Elle semblait tout autant perturbée que moi et je riais doucement en lui demandant quelles couleurs elle voulait. Je l’écoutais avec attention et j’hochais la tête tout simplement en notant alors dans mon esprit ce qu’elle cherchait. La reine des neiges, le grand classique. J’étais heureuse que Nora ne se rende pas encore compte de tout ce phénomène mais j’avais presque envie de cacher les dvd hors de sa vue pour éviter qu’elle ne me fasse aussi cette lubie. « Cela peut être bien sinon pour Leah, je préconise que tu fasses ça en étant raisonnable, des princesses mais pas trop afin qu’elle ne s’en lasse pas trop vite et que tu ne deviennes pas dingue à cette vue ! », disais-je alors que je ne savais pas combien de fois par jour on pouvait entendre la chanson sans avoir envie d’être délivrée de ce cauchemar. Je trouvais ça amusant après tout. Apple ne le faisait pas trop par chance mais je croisais souvent des mamans à la paroisse qui n’en pouvaient simplement plu. Je regardais alors les planches plus attentivement et je me tournais vers elle quand elle parlait d’Aiden. Je riais doucement en regardant l’écureuil. « C’est une mauvaise idée, il va plus jouer avec son écureuil qu’avec moi dans le bain… », disais-je avec une petite moue tandis qu’on avait déjà du mal à jouer ensemble alors si en plus on lui mettait un écureuil entre les mains ? Enfin il avait surtout sa lubie pour les stores en ce moment. Je m’en amusais. Je riais doucement en voyant aussitôt un petit singe, je devrais l’offrir à Kyle après tout ? Je souriais doucement en voyant aussitôt un petit chat. Je fronçais le nez et au mouton aussi. « Ils ont tous les animaux de la ferme, ou ? », demandais-je alors. « On pourrait offrir des jouets de bains à tout le monde et ça craint un peu… », lâchais-je en riant. « C’est peu original, non ? On remplace les chocolats par des petits jouets de bain pour noël ? », demandais-je enfin proposais-je pour être plus précise mais je reprenais aussitôt mon sérieux en la regardant. « Mais tu peux venir chercher Nora quand tu veux de toute façon ! », lui disais-je pour revenir au sujet de passer du temps avec elle. « Même si Dylan reste, Lenaelle ne sera pas au chômage puis on a Apple aussi donc ça va, elle a de quoi faire ! », disais-je en riant doucement.
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mot doux de Invité ► un Sam 26 Sep - 22:51
Il est temps de quitter les parents pour mieux recommencer sa vie à deux.
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Lullaby avait un gout important pour la décoration et le bien-être des enfants. J’étais une déco addict depuis l’âge de 15 ans je pense, toujours en train de chercher les dernières nouveautés dans les rayons d’Ikea ou de n’importe quel magasin de décoration. Et je pouvais recommencer encore et encore, jusqu’à ce que pour mes yeux à moi la pièce semble parfaite. Et pour ma princesse Leah, cela n’avait pas de prix. Ni de temps d’ailleurs. Je souriais quand ma sœur dit que les bébés dormaient partout. Concernant nos enfants il était vrai que nous n’étions pas à plaindre, bon à part les nuits que nous ne faisions pas en entier mais cela était un autre souci, ils n’étaient pas chiants bien au contraire. Leah avait toujours un bébé calme sauf quand elle avait faim, elle avait une fâcheuse tendance à alarmer tout l’immeuble dans lequel nous vivions avant. Maintenant ses cris étaient plutôt dû à la perte d’un doudou. Il était vrai que jusque maintenant je n’avais pas été de ces mères parfaites, j’avais eu mes problèmes peut être un peu plus dérangeant que les autres mais au moins cela me permettait de pouvoir respirer un petit peu dans un sens. Et surtout, dans un autre sens, aujourd’hui faire le point sur ma vie en tant que mère plus qu’en tant qu’épouse. Epouse, je n’avais pas été modèle mais disons que j’avais toujours été très respectueuse de mon mari tout comme lui avait été respectueux de moi, notre différence d’âge y était pour beaucoup certes mais, disons que c’était une autre vision des choses. J’étais plutôt douce et posée depuis que j’avais rencontré Dylan alors qu’avant j’aimais profiter de la vie, découvrir un peu ce que les autres avaient à me montrer sans dépasser la limite. Jamais je n’étais rencontrée avec quelqu’un de soirée, je défendais le sexe après le mariage contrairement à l’ensemble de mes frères et de mes sœurs mais, il était vrai que nous pouvions toujours nous amuser autrement. J’avais quand même eu des copains au cours de mon adolescence et de la faculté (sinon à quoi ça sert d’aller en fac aux Etats-Unis si ce n’est pas pour sortir avec quelques beaux garçons). Mais Dylan avait été différent, il avait su être patient et avant de me dire Amen à tout, il avait surtout su m’apprivoiser ce qui en somme n’avait pas été une chose évidence. Encore aujourd’hui je me posais souvent la question sur le pourquoi du comment, comment les gens se rencontrent et comment sait-on que c’est le bon. A cette question, je m’étais tout simplement répondu que les gens ne se rencontraient pas par hasard mais parce qu’il y avait une part qui avait été écrit quelque part dans un livre que seul un Haut Puissant connaissait et savait lire dans toutes ces coutures. Il était beau de savoir rêver surtout et de croire encore à ses rêves. Cette façon de voir les choses étaient romanesque certes, mais au moins elle nous permettait de croire encore un peu au bonheur. « Ah. Non merci, Leah est calme sauf quand elle perd Carotte, sa peluche Panpan qu’elle a appelé Carotte va savoir pourquoi. Là elle te réveille le cimetière qui se retrouve à au moins deux kilomètres de chez nous. Mais après comme tu dis, j’ai envie de leur donner ma personnalité aussi, enfin c’est assez étrange. Ce n’est pas la première fois que je vis avec Dylan, cela va faire… 7 ans je crois qu’on se connait. Et j’ai l’impression de tout redécouvrir, c’est étrange, cool comme sensation mais étrange quand même. Je ne saurais pas expliquer. » dis-je comme pour évoquer mes doutes. Etais-je en train de retomber amoureuse ? Peut être bien après tout. Je prenais une lampe pour éclairer mon livre le soir quand Dylan voulait dormir, cela me permettrait de continuer mes lectures favories.

« Non. Mais genre tu vois la housse de couette et peut être des stickers, après je ne sais pas trop encore mais une disposition de la chambre qui lui permettrait de jouer d’un côté et d’un autre le coin pour dormir. Autant profiter de la place qu’elle en a dans la chambre et à 5 ans, j’ai encore quelques années avant qu’elle me demande un lit deux places, je suis large. » Dis-je en rigolant. J’appréhendais la période de l’adolescence de Leah, j’avais un peu peur de comment tout cela pouvait tourner pour être honnête, serait-elle calme ou une adolescente rebelle ? Je n’en savais rien et on ne pouvait pas vraiment deviner avec autant d’avance. Ce serait bien trop simple. « Pour l’autre chambre tant qu’il n’y a pas de bébés ce n’est pas très grave. Et comme il n’y aura pas de bébés avant au moins deux ans, je peux la changer de couleur au moins quinze fois d’ici là. Tiens d’ailleurs, j’ai vu Andrew avec une fille l’autre jour, va-t-il décider de découvrir les secrets de l’amour ? » dis-je en rigolant et en parlant de mon petit frère, puceau et un peu trop joueur aux jeux vidéo, mais ma foi si c’était ce qui lui plaisait, nous ne pouvions pas passer outre n’est-ce pas ? Je regardais également tous les animaux de la ferme en prenant une petite vache dans mes mains pendant que Lullaby tenait un petit mouton. « Au moins cela mettrait un peu de joie et cela ferait certainement rire les gens » dis-je en rapport au Noel un peu spécial que nous avions passé en décembre dernier. Un peu étrange mais bon enrichissante aussi comme expérience. Disons que nous comprenons bien vite avec qui nous ne souhaitons pas passer Noël d’après, bien que, elle s’était comportée correctement sans faire de vague.

« Pour le moment je t’avouerai que je tente de rattraper le temps que je peux avec Leah pendant les vacances d’été mais après je serai ravie de la prendre un peu pendant mes jours de congé. Je lui laisserai Dylan promis. Oh et la petite Apple ça va d’ailleurs ? » Demandai-je, une petite qu’Aiden avait récupéré suite au décès du père de la petite.


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mot doux de Invité ► un Ven 23 Oct - 1:27
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Je souriais doucement en l’entendant parler de vouloir donner sa personnalité à Dylan et sa fille. C’était étrange comme vision des choses, j’en riais doucement mais l’écoutant tout autant me dire qu’elle trouvait ça étrange. En fait ça ne l’étais pas tant. Ah mes yeux, c’était même ce qui réveillait une passion sans cesse. Découvrir de nouvelles choses sur une personne. Il m’arrivait encore de découvrir de nouvelles facettes de mon mari pourtant l’on se connaissait aussi depuis 7 années et c’était ce qui était beau. C’était parfois pareil dans l’amitié comme dans la famille. On a beau connaitre une personne mais la partie qui rend magique c’est quand elle vous surprendra toujours sinon on s’ennuie au quotidien. Je lui demandais ses idées et écoutant ce qu’elle cherchait pour la chambre de sa fille, je notais ça au coin de ma tête en riant doucement sur la fin. J’imaginais la petite Leah dans un king size comme les princesses qu’on perd entre ses draps. Je regardais quelques petits gadgets de décoration en étant amusant de tout son discours pour l’autre chambre. Je trouvais qu’elle parlait énormément de bébés pour une femme qui n’en voulait pas et cela sonnait bien plus suspect que prévu. Elle changeait de conversation en me posant une question sur Andrew apparemment vu avec une fille. Je lui souriais simplement, toujours silencieuse et je me contentais d’hausser les épaules. Je lui montrais des décorations avec des formes d’animaux et je riais doucement quand elle disait que ça mettrait de la joie. Après notre dernier noël, c’était le cas de le dire car l’ambiance était aussi folle que pour un enterrement mais bon. « De toute façon, je pense que le noël qui arrive sera chez moi avec mon mari et mes enfants ! », lâchais-je en haussant les épaules tout doucement. Je devais avouer que ce n’était pas Joan le souci à noël pour moi mais plus Jane et l’ambiance globale. Je ne voulais plus vivre ça et cette ambiance hypocrite d’une fête alors me forcer à sourire ? Encore pire. Même si les choses étaient mises à plat avec Jane, je n’en restais pas moins encore froide à l’idée de ce genre de fêtes. Je préférais aussi rester avec ma famille que je construisais petit à petit pour au moins une année. Le premier noël de Nora avait déjà assez souffert d’une ambiance froide et insupportable. Pourquoi en rajouter ? Je lui parlais alors de Nora et lui annonçant qu’elle pourrait la prendre quand elle voulait contrairement à Dylan car je devais avouer ne pas être encore prête pour Dylan. Quand elle parlait d’Apple, je souriais doucement. « Elle va bien mais tu dois sûrement avec rencontrée Surie à la fête de naissance ! », lui disais-je alors en fronçant les sourcils. « Disons que c’est étrange et d’autant plus fatiguant d’avoir Apple et une adolescente à la maison, je pers parfois patience et mon énergie… », lâchais-je en tournant mon air résigné vers elle. « Oui, c’est possible et bien plus qu’on pourrait le croire de mettre à terre Lullaby… », lui disais-je en riant aussitôt avant de m’approcher d’elle en lui montrant ce gros nez qui servait de porte savon et sortait du savon de ses narines quand on poussait dessus. « Tiens, prends ça pour ta salle de bain ! », disais-je avant de froncer les sourcils. « Non j’ai encore mieux, ça sera un cadeau en fait… », lui annonçais-je en souriant tandis que je le mettais dans mon panier. Je ne rigolais pas et elle devait s’en douter. Je me demandais presque depuis quand Ikea faisait des conneries comme ça mais je ne cherchais pas du tout à comprendre. Je prenais son bras en l’attirant avec moi vers le rayon des enfants car ça sera plus simple ainsi. Je rentrais dans un rayon en lâchant son bras et souriant devant les stickers. « Bon tu veux des grands ou des petits… ? », lui demandais-je alors en riant. « Sinon pour séparer un coin dodo et un coin chambre comme c’est Grant, tu peux utiliser des cubes étagères, tu peux faire une délimitation comme un mur entre les deux espaces et ainsi elle pourra ranger quelques livres et jouet avec des bacs dans les cubes. En plus d’être pratique, c’est encore mieux pour montrer à l’enfant que là, on joue et là on dort. », lui disais-je en souriant. « C’est ce que j’ai fait pour Nora et elle adore même si elle est encore trop petite pour ouvrir les tiroirs après j’y mets surtout certains de ses vêtements donc mieux vaut pas… imagines les culottes partout… au milieu de ses lego… », je grimaçais doucement à mes mots en fronçant les sourcils. « Effrayant le ménage après. », murmurais-je presque avec des frissons dans le dos à cette image. « Mais Apple comprend un peu plus que les jouets c’est avant la sieste donc à voir si tu penses que Leah en a besoin mais l’avantage c’est que certains bacs pour ces cubes sont avec la sangle d’un côté et de l’autre donc esthétiquement, ce n’est pas trop mal ! », lui expliquais-je mais ce n’était des idées que comme des autres après tout.
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mot doux de Invité ► un Mer 18 Nov - 15:26
Noel, cela paraissait bien loin. Et pourtant ce n’était que dans 4 mois, un peu plus. Le dernier Noël avait été tellement particulier que j’appréhendais légèrement celui à venir, un peu comme si il était porteur à chaque fois de mauvaises nouvelles. Non ce n’était pas toujours le cas. Enfin c’est ce que je pensais. Disons que les nouvelles de Noël dernier, avait un peu chamboulé l’ordre familial, même si j’étais trps contente d’avoir désormais un nouveau petit frère et même si j’avais l’âge d’être sa mère. En même temps, j’étais bien allée à l’école avec mon oncle ce qui ne nous posait pas de souci. Enfin je pense, un peu étrange certes comme concept mais après tout… C’était quelque chose à voir. Non ce qui avait été un peu tout chamboule tout c’était un peu Joan. Enfin un peu, il y a encore un an elle me menaçait avec ses chiens. Aujourd’hui je ne dirais pas que j’ai changé d’avis sur son personnage, disons que mon jugement s’est certainement adouci. Je ne pouvais pas la blâmer éternellement et puis étais-je capable de renoncer définitivement à mon père biologique alors que j’étais la première à le chercher non ? Alors pourquoi je blâmerai Lullaby de tenter d’avoir une relation mère fille avec sa mère biologique ? Je ne pouvais pas. D’autant que Joan avait été là une partie de l’enfance de Lullaby contrairement à Thimothy. Il n’avait jamais cherché à me connaitre, ni même à savoir qui j’étais. Savoir que j’ai une petite sœur qui me ressemblait comme deux gouttes d’eau m’avait un peu réchauffé le cœur, aujourd’hui obtenir quoique ce soit de cet homme je m’en fichais, je souhaitais juste… avancer. En fait, mon problème était de ne pas savoir qui j’étais et d’où je venais. Ce que j’enviais à tous mes frères et sœurs, ils ne pouvaient pas comprendre cela. Elle haussait les épaules d’ailleurs quand je tentais d’avoir une conversation sur Andrew, mon frère dernier à avoir quitté la maison et je le suspectais d’être avec quelqu’un. « Tu sais quelque chose non ? Allez dis-moi ! De toute manière, je ne vois quasiment plus les autres depuis quelques semaines, je ne dirais rien. » Curieuse comme pas deux je ne pouvais pas lui en vouloir de ne rien me dire mais qui ne tente rien n’a rien comme le dicton le dit. Alors je tentais désespérément d’obtenir les informations tout en rajoutant un gadget supplémentaire dans mon panier. Enfin gadget… Une lampe multicolore, je ne savais pas encore pourquoi je l’utiliserai mais je l’utiliserai. « Nous ne savons pas encore, Dylan avait envie de le faire dans sa famille avec Leah et moi. Je pense que cela peut être une bonne idée au final, au pire je peux me séparer en deux. La famille de Dylan étant ici à Pasadena c’est simple. » On sentait qu’elle ne voulait pas le faire avec le reste de la famille. Premier Noël chacun de son côté cela allait faire un peu bizarre même si au fur et à mesure nombreux étaient les oisillons qui quittaient le nid. En même temps pour le premier Noël de Nora cela n’avait rien de très glorieux, alors peut être voulait-elle avoir une deuxième chance avec celui de Dylan. « Surie, oh oui. Je n’ai pas eu l’occasion de lui parler, je t’avoue qu’avec tout ce monde… Mais elle semble discrète. En même temps tu as 4 enfants à gérer, enfin 3 plus une adolescente ? Déjà qu’avec une petite fille de quatre ans et demi, je me demande comment je m’en sors alors 4 ! Tu es mon idole Laby. » Et c’était peu dire, je vous l’avoue. 4 enfants, et moi avec une seule, je tentais déjà difficilement de gérer l’école et mon boulot, enfin dès septembre. Sans oublier la danse. Ah oui parce que mademoiselle Leah a vu des photos de Grace dansant quand elle était petite et elle veut devenir danseuse maintenant. Ce qui ne m’inquiétait pas des masses en sachant qu’il y a quelque chose comme trois semaines après une journée au cirque elle voulait devenir dresseuse de lions. Je me disais qu’au moins danseuse, je ne risquais pas trop pour sa vie. « Oh mon Dieu, non mais Laby, ne me fais pas de cadeau, même si cet objet et des plus… étranges, non. Rocambolesque ? Inattendu ? Oui bon d’accord. » Cédais-je devant les yeux de ma sœur qui voulait dire que non, elle ne céderait pas. « Le plus drôle va être la tête de Dylan devant ça une fois que je l’aurai installé »

Je fus rapidement tirer vers le rayon enfant et notamment vers les stickers, il y en avait pour tous les goûts en passant par les flocons pour représenter certainement la reine des neiges, à un énorme sticker en forme de porte de château qui ferait certainement une excellente tête de lit pour ma princesse. Devant tout ce choix je semblais rapidement désarmée. « Tiens, les papillons là avec les fleurs. J’en veux de toutes les tailles, en fait. Enfin, une pour la tête de lit et puis, d’autre pour les murs en général pour meubler le vide. Des fleurs et des papillons, ou alors des flocons ? » Leah n’avait vu la neige qu’une seule fois, l’an dernier. Sinon c’était une légende à ses yeux. Une légende qu’elle avait vu dans la Reine des Neiges. « Avec l’école, elle a déjà cette notion. En fait depuis qu’elle va à l’école j’avoue qu’au niveau éducation je n’ai pas à me plaindre. Mais après pour la maman c’est vrai que les cubes peuvent être pratique et surtout l’aider à comprendre le rangement. Parce que ça elle le fait super bien à l’école, mais les barbies partout dans la maison pour elle c’est un rangement acceptable. Et peut être un bureau, elle adore dessiner. D’ailleurs, l’autre jour j’ai vu une couette sur Internet sur laquelle tu peux dessiner, enfin personnalisable, je vais voir si elle existe en taille 90cm mais je crois que je vais finir par la prendre cela serait rigolo non ? » dis-je avant de m’orienter vers les cubes de rangement. Il y en avait de toutes les tailles encastrables qui plus est, Ikea était donc mon sauveur.
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mot doux de Invité ► un Sam 26 Déc - 13:20
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Alors que Kate me demandait si je savais quelque chose pour Andrew, j’haussais juste les épaules. Je n’étais pas sûre mais je tentais surtout d’apprendre à garder des secrets ce qui était déjà assez bien compliqué à mes yeux. Je riais nerveusement en soupirant. Je ne disais rien. Je savais qu’elle allait comprendre que c’était pour éviter d’en dire trop ou de pas en dire assez et avoir les questions qui en demandent plus. Non, je ne devais rien dire même si je ne savais rien dans le fond. Je me pinçais doucement les lèvres en souriant. J’entendais alors ses plans pour son noël à elle et je me contentais de regarder les décorations du magasin en l’écoutant. Je prenais en main un porte-manteau pour les enfants que je regardais en fronçant les sourcils. La forme était un peu spéciale voir ambigu mais je le reposais aussitôt. « Elle est discrète ! », disais-je en parlant de Surie mais souriant. « Non, j’ai juste une nounou et un mari fantastique puis Joan bizarrement… aussi m’aide beaucoup ! », commentais-je en souriant alors que je parlais de ce cadeau et que j’écoutais aussi sa réaction. Dylan et la tête qu’il allait faire me faisait déjà presque rêver. Je riais doucement. « Mets une caméra ! », disais-je en prenant alors l’objet et une fois dans les rayons des enfants, je l’écoutais parler des papillons et des fleurs. Je riais en imaginant la chambre remplie par le simple « toutes les tailles ». Le mur enfin la peinture serait-elle encore visible ? Je n’en savais rien. « Des fleurs et des papillons… La reine des neiges sera démodée dans quelques mois… », lui répondis-je avec sincérité. Tous ces enfants y compris nous qui voulions des chambres de la petite sirène qui se sont soldés par une overdose assez rapidement pouvaient sagement prendre cette décision. Quand on grandi surtout bien plus vite qu’un portefeuille même si nous n’avions pas eue ce soucis quand nous étions jeunes. Je riais en l’écoutant parler de cette couverture et même de tous ses plans. Pourquoi ? C’était amusant. Il y a une année, elle aurait paniquée à l’idée de penser à ça après son départ de Los Angeles et la voilà en train de penser aux barbies qui trainent partout et tout. J’en souriais. Continuant de l’aider à faire son shopping en lui donnant des conseils peut-être pas toujours parfait mais on essaye quand même. Puis nous rentrions simplement chez nous pour sauver Aiden des monstres. C’était quand même mieux que de le laisser se débattre !
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