l'avatar des scénarios ou membres des familles sont totalement discutables pour autant qu'ils ne soient pas dans le bottin !
Venez car plus on est de fous et plus on rit, non ? Chocolat et guimauves en cadeaux !
bonjour les YFTiens et pleins de calins pour vous ainsi que tout notre amour !
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Invité et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! Invité
| mot doux de Invité ► un Lun 17 Aoû - 20:47 | | | Il m’amusait à me proposer de tout me prêter comme si j’étais pauvre ou comme si j’en avais un besoin vital. Je souriais en secouant simplement la tête car je n’avais juste pas le temps d’aller en acheter tout comme je n’avais pas encore eu le temps d’aller les utiliser donc dans un sens, ce n’était pas si grave. Il n’y avait encore rien d’urgent puis je prenais mon temps, tout simplement. Je n’étais pas trop prête à me presser pour finir par ne pas aimer mes choix. Je voulais faire les bons choix pour ma décoration ou même mon service de tasse à thé par exemple. « Si ça continue, tu vas vouloir emménager chez moi ! », disais-je en riant doucement alors que je me contentais juste de m’occuper du smoothie tandis que la conversation dérivait sur la distance entre New-York et ici mais je me contentais d’hausser les épaules à cette question qui n’était qu’une plaisanterie dans le fond mais quand même… ce n’était rien. Là-bas, je sortais et paf, je savais ou aller chercher quoi. Je gagnais un temps fou puisque je connaissais les rayons de chez Macy par cœur. Je souriais à sa proposition mais je la déclinais d’un hochement négatif de tête. « Ça ira ! », disais-je alors que je pensais surtout à la dernière fois qui s’était clairement soldée en un échec total. Oui, totalement même. Cela ne s’était pas du tout passé bine enfin si… au début mais j’en tenais un souvenir tellement agréable du début que je n’étais pas sûre qu’il soit bon de recommencer. Je voulais me dire que ce qui se passe sous le format d’un lapin reste dans le lapin. Il fallait aller penser à d’autres choses. Voila. Je riais en l’entendant me dire qu’il aimait la paille. « Même celle d’une grange dans mes cheveux, je m’en souviens ! », disais-je alors sérieuse et me pinçant aussitôt les lèvres à ce souvenir que je ne voulais pas vraiment évoquer d’une simple journée à la campagne. Pourquoi osais-je ce commentaire même à voix basse ? Oui, pourquoi. Je me contentais de parler de ce câlin et ce smoothie. C’était mieux mais gratuit ? Cela dépend. Je suis persuadée qu’il y a des métiers pour donner de l’amour aux autres. Ah bah oui, les putes mais ce n’est pas vraiment le même genre de câlins. « Sauf chez les péripatéticiennes ! », disais-je alors en riant nerveusement aussitôt. C’était mieux de parler de ça que de la paille puis bon, c’était un simple commentaire sans vraiment d’importance pour me mettre à l’aise mais je savais que je ne serais pas à l’aise et je me mettais trop à l’aise d’ailleurs que je m’en sentais mal. J’avais peur de retourner à nos habitudes que j’en pinçais à nouveau les lèvres alors qu’il goutait la boisson. Je l’écoutais en laissant dessiner un fin sourire. J’haussais une épaule doucement. « Je suis pleine de surprise ! », disais-je alors plus distante, plus pensive. J’attendais son tour terminé pour le breuvage. Je m’apprêtais à porter la seconde paille à mes lèvres alors qu’il commençait à reprendre la parole. Il me coupait net. Je détournais les yeux vers le sol en relâchant la paille. Je secouais doucement la tête alors qu’il venait tout juste de terminer de parler. « Non ! », disais-je alors en posant le verre tandis que je croisais les bras sous ma poitrine en relevant doucement mon regard vers lui. « Ce n’est pas vraiment ça ! », lui confiais-je aussitôt en soupirant. Je ne savais tellement pas quoi dire que je ne disais rien. Clairement rien. Les secondes passaient que je le regardais simplement sans traitres mots. Je soupirais doucement à nouveau alors que je me hissais un peu plus sur le bureau pour finir assise dessus. Je croisais les jambes en relâchant mes bras que je mettais sur le bureau en allant chercher les bords que je serrais doucement comme pour m’y agripper de peur de tomber ou simplement pour gérer mon self control. « Ce n’est pas toi non plus, c’est juste… mieux ainsi ! », finissais-je par dire alors que les secondes passaient doucement et je détournais à nouveau le regard rapidement pour le tourner vers les ovaires du mannequin. J’en prenais une pour la tourner nerveusement dans ma main alors que je relevais à nouveau le regard vers lui. « C’est juste mieux ainsi autant pour toi que pour Nathanael et même pour moi ! », rajoutais-je. « Je ne veux pas qu’il t’en veuille encore plus de te rapprocher de moi ou même de m’avoir vu sans lui dire et je ne veux surtout par qu’il pense que je suis là seulement pour toi… C’est bizarre mais je n’ai pas envie d’entraver à nos relations en entravant dans les vôtres mais c’est plus compliqué que ça car je… », je riais nerveusement aussitôt. « Je pense toutes les secondes, toutes les minutes à toi et pas de la façon dont je devrais penser à lui et c’est troublant car je te désire ! », murmurais-je comme pour ne pas qu’il l’entente. Je me senais assez honteuse de le dire de but en blanc. Je riais nerveusement. « Et mon seul soucis ne devrait pas de devoir m’empêcher de vouloir t’embrasser mais simplement de vouloir que notre fils veuille m’accepter dans sa vie avant de m’introduire dans la tienne ! », rajoutais-je alors simplement comme une explication que je m’en voulais de faire. Mais je m’en voulais. J’avais juste envie de partir en courant. Je voulais m’enfuir après ce que je venais de dire. Je voulais que ce chat de malheur entre pour me faire atchoumer à mort ou bien encore une fusillade pour me faire taire. Je voulais simplement me retrouver un barrage de secours. Je voulais juste ne pas avoir peur de sa réaction. J’en avais peur. « Mais pourquoi je dis ça… », disais-je alors en grimaçant et secouant la tête. « Fais comme si je n’avais rien dis… », disais-je aussitôt mais comment faire ça ? Je n’étais pas stupide. C’était trop tard. Je me mordais la lèvres. Il l’avait demandé, c’est de sa faute. |
| | | Todd L. Pilliwickle et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! i kiss better than i cook ♥
| mot doux de Todd L. Pilliwickle ► un Mar 18 Aoû - 15:58 | | | Emménager chez elle ? Drôle de proposition aux yeux du jeune homme qui ne put s'empêcher de rire doucement. Non pas qu'il se moquait de la blonde, loin de là. Vivre avec elle serait comme un retour aux sources, en essayant de ne pas reproduire les mêmes erreurs aussi. « Pourquoi pas ! Je ne suis pas si désagréable comme colocataire. » Fit-il en lui lançant un petit clin d'oeil avant que celle-ci ne se concentre sur sa préparation. Une préparation qui intriguait au plus au haut le jeune homme qui se demandait bien ce qu'elle pouvait bien préparer. En tout cas, cela avait l'air bon. Enfin pour le moment. Todd proposa alors son aide à la jeune femme quant à l'aider pour finir d'acheter les derniers trucs dont elle avait besoin. Mais la blonde refusa sa proposition, le brun haussant simplement les épaules. C'était son choix après tout, il n'allait pas le discuter. En même temps, la dernière fois qu'il l'avait aidé, cela ne s'était pas très bien passé à la fin. Un très bon début, mais un mauvais final. Alors il se montra compréhensif quant à son refus. Ayant fini son smoothie, Todd n'allait pas le refuser, même si pour cela, il allait devoir utiliser une paille. D'ailleurs, il adorait les pailles. Et pas que les pailles en plastique à en croire les dires de la blonde. Il ne put s'empêcher de rire lorsque cette dernière évoqua un souvenir. Un agréable moment que les deux avaient partagé lors d'une journée en campagne. Ils étaient jeunes à l'époque, ils faisaient certaines folies. « Aussi. D'ailleurs, je me rappelle que je te trouvais sexy avec de la paille dans les cheveux. » Rappela-t-il avec une légère pointe d'humour. Une belle époque pour Todd .. il avait moins de soucis que maintenant. En même temps, il n'était encore qu'un adolescent. Les deux jeunes gens se mirent alors à comparer les câlins avec les smoothies. Le rapport ? Aucun, c'était ce qui était génial. Maïwenn marqua un point en parlant des péripatéticiennes. Nathanaël devait tenir son intelligence de sa mère, car Todd était bien trop primitif dans le choix de ses mots. « Péripatéticienne est un drôle de mot quand même. Il n'y a qu'en médecine qu'on a des noms aussi complexes. » Dit-il avec une légère pointe d'humour. Mais trêve de bavardage, le brun avait une boisson à goûter et il ne fut pas du tout déçu, trouvant la préparation de la blonde vachement bonne. Pleine de surprise ? Comme avant. Elle n'avait pas changé sur ce point et heureusement car, c'était ce qui faisait en partie son charme. On ne s'ennuyait jamais avec Maïwenn. En tout cas, Todd ne s'était jamais ennuyé lui. Malheureusement cette bonne ambiance qui régnait dans la pièce, disparut quant le jeune homme posa une question à la blonde, voulant savoir s'il avait fait quelque chose de mal. Pourquoi pensait-il cela ? Tout simplement parce qu'il avait remarqué que la jeune femme se montrait distante avec lui. Et il n'aimait pas du tout ça. Alors il voulait avoir une explication. Et honnêtement, l'explication que lui fournit Maïwenn fut très inattendue. Todd n'avait pas ouvert la bouche depuis qu'elle avait dit son "non", même lorsqu'il y eut un blanc de quelques secondes. Il resta bouche bée quant à ce qu'il venait d'entendre. D'après ce qu'il venait de comprendre, elle était toujours amoureuse de lui, sauf que pour le moment, il ne pouvait rien se passer à cause de leur fils. Bon ok, c'était vraiment un résumé. Mais l'essentiel paraissait être là non ? Au final, elle voulait qu'il oublie ce qu'elle venait de dire. Mais pour Todd, c'était juste infaisable. Une part de lui semblait être aux anges, sachant maintenant qu'elle éprouvait les mêmes sentiments que lui. Mais savoir qu'elle voulait d'abord arranger les choses avec leur fils, le dépitait un peu. Etait-ce égoïste de la part du brun de penser ça ? Certainement oui. Mais depuis des années, son coeur souffrait de l'absence de Maïwenn et maintenant qu'il pouvait de nouveau aller mieux, un autre obstacle se mettait à travers. Pas obstacle, Nate ne serait jamais un obstacle. Disons simplement qu'il aimerait que la blonde pense autrement. Peut-être essayer de la convaincre ? D'abord, il devait prendre la parole, dire quelque chose au lieu de laisser Maïwenn avec ce silence qui devenait de plus en plus pesant. « Euh ... » Charmant comme premier mot après les aveux de la jeune femme. Todd se rattrapa bien rapidement. « Désolé .. je suis juste .. ému .. et sous le choc. Il y a un tas d'émotions qui se mélangent en moi d'un coup. » Avoua-t-il en faisant des cercles avec sa main droite devant son corps, comme pour interpréter ses paroles. « Nathanaël est un garçon intelligent. Je pense qu'il peut comprendre que ses parents soient encore amoureux et qu'ils aimeraient retenter une histoire. » En disant cela, le jeune homme venait d'exprimer indirectement ses sentiments envers la blonde. Mais il se montra plus explicite par la suite. « Lors de notre rencontre à l'hôpital, je t'en voulais encore, mais une partie de moi n'avait jamais cessé de t'aimer. Depuis notre rendez-vous au restaurant, cette partie de moi a pris le dessus et à chaque fois je me retenais de t'embrasser. Pourquoi ? Parce que je pensais que tu voulais qu'une relation amicale. Je t'ai toujours aimé Maïwenn .. malgré ce que tu as fait. » Lança-t-il avant de baisser doucement les yeux, se levant de son siège pour se poser devant la jeune femme. Prenant ses mains dans les siennes, il rigola nerveusement, ne sachant pas trop comment faire, agir. Il ne devait pas exister de méthode pour bien faire dans ce genre de situation. « Tu sais, même si dans l'avenir, on entame à nouveau .. une histoire, Nate pourrait penser que tu es là surtout pour moi que pour lui. Même peut-être que tu t'es servi de lui pour m'avoir. Je sais que tu es incapable de faire ça hein .. » Fit-il en esquissant un sourire qui se montra assez timide. « Je ne pense pas qu'il y ait de bonnes solutions dans notre cas présent. Il faut juste prendre des risques. Peut-être qu'on devrait sortir ensemble et le dire à notre fils, peut-être pas, attendant de voir comment se déroule ta relation avec notre fils. Peut-être qu'on devrait se marier ou pas. Peut-être qu'on devrait s'enfuir, prendre des vacances lorsque Nate sera à Harvard. » Car oui, pour le moment, Todd ne savait pas que son fils allait prendre une année sabbatique. « Je .. je ne vais pas te forcer .. si tu as besoin de temps ok .. » Finit-il par dire, se montrant compréhensible. De toute façon, il n'avait pas trente-six possibilités qui s'offraient à lui dans cette situation. Ce qu'il voulait lui ? Retenter quelque chose avec Maïwenn, mais on s'en fichait un peu. C'était à elle de décider et pas à lui. |
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| mot doux de Invité ► un Jeu 20 Aoû - 0:05 | | | Sexy avec une paille un instant et l’autre capable de rappeler qu’il y a des péripatéticienne partout. J’avais été amusée par le fait qu’il me dise que cela faisait médecine. Après tous les putes utilisent une médecine comme une autre pour soulager des hommes donc pourquoi pas mais non. Je ne fus que surprise cependant quand le sujet sérieux empiétait mais pourquoi mais pourquoi posait-il cette question ? J’étais tellement paniquée d’un coup comme le jour où l’on arrive aux examens devant notre feuille vierge et que l’on doit répondre à toutes les bonnes questions. C’est encore pire quand c’est un cauchemar et qu’on se retrouve nue. J’en disais trop, tellement trop. Mais mon dieu, pourquoi je disais ça ? Mais pourquoi mais pourquoi. Non mais j’allais arrêter aussi de me demander pourquoi ? Il devait oublier ça. Je lui demandais et je me pinçais les lèvres cependant le silence qui laissait sa marque dans le temps me paniquait un peu. Je détournais le regard vers mes doigts que je faisais un peu jouer ensemble par nervosité avant de relever mon regard vers lui quand il reprenait la parole d’un mot qui dans le fond n’en était pas réellement un. Je le laissais parler et avouer qu’il était ému. Un sourire triste se dessinait sur mon regard. Oui, triste. J’ignorais si c’était partagé ou même… j’ignorais tellement de choses. Des tas d’émotions ? Je ne savais que dire. Je restais silencieuse en ne sachant pas ou me mettre. Il me fallait une carte de l’endroit où je pouvais aller me poser. Oui, voilà. Ses mains parlaient en même temps, il m’imitait le mixeur des émotions ? Je n’en savais trop rien mais il y avait un côté amusant dans ces gestes. Il avait raison, notre fils était intelligent mais je fermais doucement les yeux en baissant mon regard. Oui, je ne me rendais pas compte de ce qu’il venait de dire tellement j’étais paumée mais je me rendais juste compte que j’ignorais réellement quoi faire. C’est quand il me disait tout simplement qu’une partie de lui n’avait jamais cessée de m’aimer que je relevais timidement le regard sur lui. Surprise, peut-être ou pas totalement mais mes yeux s’humidifiaient doucement. Plus il parlait de ses sentiments et plus j’étais perdue. J’inspirais doucement. J’avais peur de laisser ça entraver dans nos relations avec Nate. C’était malgré moi. Je savais que c’était mal d’être perdu ainsi. Il pourrait comprendre mais j’étais juste paniquée. Il se levait et je sentais mon cœur s’accélérer sous la peur de ce qu’il pourrait bien faire. Ses mains prenaient les miennes et cela s’accentuait. Je ne devais pas laisser mes émotions prendre trop le dessus au risque de perdre mon self control. Ça, j’en étais persuadée. Il riait nerveusement, un rire que je connaissais. Il était donc aussi nerveux que moi ? Devait-il aussi autant se contrôler ? Je l’écoutais, j’écoutais ses propositions avec attention. Je paniquais toujours et il n’arrangerait rien en me mettant encore de nouveaux doutes à la supposition qu’il pourrait m’en vouloir d’attendre aussi. Son sourire timide m’en fit décrocher un aussi. Au moins, il gagnait un sourire sous ma panique alors que mes mains tremblaient dans les siennes. Il n’y avait pas de solutions, c’était un fait. Et c’est quand il parlait de mariage que je paniquais un peu plus sur le coup. Bon on est d’accord que le mariage, c’est peut-être précipité. Je ne suis pas sûre que Nate serait d’accord en plus. Je riais cette fois nerveusement en le laissant parler de s’enfuir mais en fait : je commençais aussi à avoir envie de m’enfuir pour ranger mes pensées dans les bonnes cases et me remettre de mes émotions. Oui, mariage ? Tout ça faisait boule de gommes. Ne pas vouloir me forcer mais pourtant j’avais peur tout de même. Je baissais mon regard pour quelques secondes de silences avant de relever celui-ci un peu plus humide. Je lâchais rapidement ses mains en riant doucement, toujours nerveusement. « T’es conscient que tu viens de me parler de mariage ? », lui disais-je alors en riant doucement, un peu plus taquine sur le coup mais toujours avec la nervosité dans la voix. Elle tressaillait cette fois. Je ne savais pas quoi dire. Une larme coulait sur ma joue alors que mes émotions étaient tellement chamboulées. Je l’effacerais de ma main avant de relever mon regard vers lui, bien plus grand donc je pourrais presque m’en casser le cou vu que je suis assise sur le bureau. « Je ne veux juste rien gâcher… », soufflais-je alors. « L’idée même aussi de gâcher vos relations me met un frein… je pense que le moment où tu m’as présenté comme une amie devant lui… m’a effrayé. Tu lui as menti… tu ne lui as juste pas caché la vérité, tu lui as menti… et… », j’inspirais doucement. « Je ne veux pas te forcer à lui mentir à nouveau… tu n’as pas à payer le prix de mes erreurs ! », lui disais-je simplement en détournant le regard quelques secondes. « Mais tout ce que je sais c’est que je n’ai jamais arrêté de t’aimer, je n’ai jamais aimée personne d’autres que toi… et… c’est insupportable d’être là à me dire que je ne dois pas t’aimer… par ce que… », je soupirais doucement en le regardant dans les yeux. « C’est impossible ! », murmurais-je alors tout simplement sans vraiment chercher à savoir ce que je pourrais dire. « Je ne sais même pas quoi faire… », finissais-je par dire avec une grande sincérité. « Je ne veux juste blesser personne, je vous ai assez fais souffrir… j’en ai conscience… et pourtant j’ai remarquée sur la vie était trop courte… plus d’une fois ! », disais-je alors que je baissais le regard cette fois avant de le relever quelques secondes même pas après. Je le regardais bêtement dans les yeux et tirant légèrement sur sa main pour le pencher un peu plus vers moi. Oui, je prends les devants, mes amis et tout ça juste pour poser mes lèvres sur les siennes d’un baiser tout simple et chaste. Rien que ça, oui. Bah quoi ? Je fais la moitié du chemin, c’est déjà ça. |
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| mot doux de Todd L. Pilliwickle ► un Jeu 20 Aoû - 13:23 | | | La vie venait d'offrir une nouvelle surprise à Todd. Une surprise qui s'avérait être plutôt bonne en soit, vu que maintenant, le brun savait les sentiments ressentis par la blonde à son égard. Malheureusement, tout n'était pas si simple et Maïwenn semblait vouloir garder la situation présente pour ne pas froisser leur fils, ne voulant pas qu'il croit des choses totalement fausses. Un peu déçu, le jeune homme comprenait, malgré tout, le point de vue de Maïwenn. Celle-ci voulait faire les choses correctement, lui-même aurait fait la même chose. Mais dans la situation actuelle, il n'y avait pas de bonnes formules pour que les choses se passent à merveille. Ils devaient simplement prendre le meilleur choix possible qui s'offrait à eux en accord avec leu conscience, leur coeur aussi. Todd lista alors tout un tas de possibilités, évoquant même le mariage. Avait-il une envie de mariage ? Pas forcément, juste que cette possibilité lui était sortie de la bouche naturellement, sans même y avoir pensé auparavant. Bien qu'en réfléchissant à cela deux fois, il se voyait bien se marier avec la blonde. Celle-ci serait juste magnifique en robe blanche. Une vraie princesse. Mais il revint bien vite à la réalité, voyant que cette idée était plutôt de la folie qu'autre chose, cela n'arrangerait pas grand chose au final. « Serais-tu contre le mariage ? » Demanda-t-il avec un léger ton humoristique avant de reprendre la parole. « Pour être honnête avec toi, mes propositions sont sorties naturellement de ma bouche. Je n'ai pas réellement réfléchi avant de parler .. » Avoua-t-il avant de lâcher un soupir doucement. Il s'en voulait un peu d'avoir parlé de mariage, cela lui paraissait stupide dans le cas présent. Et pourtant, une partie de lui, son côté fou, trouvait que cette idée était l'une des meilleures qu'il ait pu proposer dans sa vie. Se marier avec Maïwenn sur une plage d'une île des Antilles serait magique non ? En tout cas, cela le serait pour Todd. La voix si douce de la blonde le ramena alors à la réalité, celle-ci expliquant alors ses craintes. Le brun avait l'impression que la jeune femme était perdue. Elle détournait souvent le regard et voyait ses yeux devenir de plus en plus rouges. Ecoutant alors ces paroles, il eut un pincement au coeur lorsqu'elle fit que l'aimer était impossible. Oui ce mot lui avait mal. Il n'eut le temps de répondre qu'il sentit ses mains dans les siennes, voyant qu'ils se rapprochaient l'un de l'autre. Puis, ses lèvres vinrent se coller à celles de Maïwenn, cette dernière lui donnant un baiser. Todd posa alors ses mains sur ces joues, prolongeant le baiser avant de se rendre compte d'une chose. Enlevant ses mains, il retira ses lèvres de sur celles de la blonde, se reculant d'elle. « Arrêtes .. s'il te plait .. » Lança-t-il en se reculant encore d'un pas en arrière, soupirant par la même occasion. « Tu .. tu dis toi même que m'aimer est impossible et la seconde d'après, tu m'embrasses. Tu me sors que tu veux prendre du temps par rapport à Nate aussi .. » Cela lui arrivait rarement, mais à ce moment précis, Todd ne savait pas comment agir, se sentant à son tour perdu. Il ne savait plus trop quoi dire. Presque une première pour monsieur moulin à paroles qui n'hésite jamais à sortir une vanne, même dans une conversation sérieuse. Mais là, le coeur n'était pas là pour vanner, se sentant trop mal pour sortir une bêtise. Il se rappela alors le fait que selon la blonde, il avait menti à leur fils. Lui n'était pas d'accord avec cela. Et il tenait à revenir dessus, voulant exprimer son opinion. « Je me sens perdu .. A t'entendre je suis devenu une autre personne car j'ai menti à notre fils. Chose que je n'ai jamais fait. Enfin pour moi, je ne lui ais pas menti. On est des amis .. avec une relation compliquée je te l'avoue. J'ai juste caché une partie de la vérité car selon moi, c'était encore trop tôt pour qu'il le sache. Je pense qu'il y a certaines vérités qui ne devraient pas être dévoilées, en tout cas, pas immédiatement. » Un point de vue que tout le monde ne partageait pas. Certains pensaient qu'il fallait être honnête, quel qu'en soit les conséquences. Pas Todd. Bien qu'il se fichait souvent des conséquences, il lui arrivait parfois de réfléchir à l'avenir, même si ce n'était qu'à court terme. Cacher la vérité à Nate était selon lui, la meilleure solution. Mais maintenant, il n'y avait plus à en débattre, leur fils étant au courant. « Je veux que tu saches que tu ne me changes pas. Je suis assez grand pour prendre des décisions et à les assumer. C'est vrai que je ne dois pas payer le prix de tes erreurs. Mais si ma relation avec Nate s'est dégradée, c'est ma faute avant tout. J'ai fait le choix de lui cacher la vérité. Je dois assumer mes erreurs aussi. » Todd voulait éclaircir ce point, ne voulant pas que la blonde se morfonde d'une chose dont elle n'était pas l'auteur. Même si en soit, le brun voulait que la situation devienne moins compliquée, il n'était pas naïf, sachant que pour le moment, c'était quasi impossible. « A y réfléchir, je pense .. que l'on devrait rester que des amis pour l'instant. Tu l'as dis toi-même, cela pourrait être néfaste pour Nate. La situation est bien trop compliquée pour qu'on l'envenime. » Le jeune homme se contredisait. Car, quelques minutes avant, il voulait tenter le coup avec Maïwenn, étant prêt à prendre ce risque. Et maintenant, ce n'était plus le cas. Qu'est-ce qui avait changé en si peu de temps ? Rien. Todd l'aimait toujours autant. Juste qu'il s'était rendu compte de la complexité de la situation et savait qu'il ne voulait pas d'une relation compliquée. « Je t'aime ... mais .. je crois que tu as réussi à me convaincre que pour le moment, c'est trop risqué nous deux. Ironique n'est-ce pas ? » Fit-il en riant nerveusement. Très ironique, les deux ayant comme interverti leur point de vue. Todd resta planté comme un poireau devant Maïwenn, ayant peur de sa réaction. Il ne voulait pas la faire souffrir, c'était pour ça qu'il voulait une relation simple. Pour le bien de tous. |
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| mot doux de Invité ► un Jeu 20 Aoû - 14:27 | | | Etais-je contre le mariage ? Je n’en savais rien à vrai dire. Je n’y avais pas pensée. Je ne m’étais jamais projetée aussi loin sauf dans des rêves ou des envies du futur. J’inspirais doucement en l’entendant dire que c’était sorti sans réfléchir avant d’être dans cette phase ou moi aussi je parlais. Perdue. Tellement perdue. Je ne contrôlais même plus les moindres mots ou les moindres gestes. Cela peut sembler dingue mais j’étais tellement… paumée. Ce contrôle ? Je l’avais perdu après moindres mots pas pourtant spécialement des plus futés. Un baiser. Tout simplement auquel il répondait mais cela n’était pas aussi simple. Non. Je savais que rien n’était simple. Tellement rien. J’étais perdue, je l’étais encore quand il me repoussait et je n’en pensais pas moins. Arrête ? J’arrêtais simplement en l’écoutais attentivement. Je détournais mon regard au fil de ses mots. Il avait raison. J’étais juste perdue. Je ne savais même plus quoi faire. C’était comme si une part de moi voulait une chose et la seconde toute autre chose. C’était flippant. Je me sentais nerveuse. Je le laissais parler mais je reprenais cet ovaire dans ma main pour le tourner à nouveau. C’était un bon gadget anti-stress après tout. Je l’écoutais ensuite me parler du fait que j’avais rappelée qu’il avait menti. Bien sûr ce n’était pas vraiment le bon mot. Ce n’était pas pareil puis c’était pour son bien mais non, je ne pensais pas le changer. Non. « Ce n’est pas ça ! Tu n’as pas changé, je ne te change pas… C’est juste les retombées… », murmurais-je alors pendant qu’il parlait et j’inspirais doucement en relevant le regard vers lui pour les vérités qui ne doivent pas être dévoilée. Je n’étais pas totalement d’accord. La franchise était une bonne chose surtout pour une relation saine de mon point de vue. Je ne savais même pas comment j’aurais réagi à sa place… à la place de Nate. En fait, je n’en savais rien. J’étais rebelle et lui, pas. J’inspirais et je le laissais me dire qu’il ne changerait pas. J’avais des millions de choses qui passaient dans ma tête. Tout ça juste par ce qu’il m’avait posé une question. Tout ça pour ça. Simplement pour ça. Il disait vouloir assumer ses erreurs mais dans un sens, je ne voulais pas l’entrainer à faire des erreurs car c’était au final toujours de ma faute. J’étais partie et revenue. Ce sont des effets de causes. Je me sentais juste coupable de tout ça. Je me mordais les lèvres pour me retenir de parler car j’avais juste envie de clarifier ça mais non. Je détournais le regard alors qu’il commençait à dire que l’on devait rester ami. Je le laissais parler mais c’était comme si je me déconnectais pour ne plus rien écouter. Je déposais alors l’ovaire dans son socle et je descendais alors du bureau. Je sentais cette boule dans mon ventre qui grandissait tout doucement. Elle grandissait oui. Dans le fond, ça me brisait un peu le cœur en mille morceaux de l’entendre dire. C’était con, tellement con car j’avais moi aussi voulue en rester là mais sans le vouloir. Ou en ne le voulant simplement pas assez, voilà tout. Je n’y mettais pas la conviction. Il me disait m’aimer, ça je l’entendais mais je me contentais de contourner le bureau et laisser mes talons frapper le sol. Sans un mot. Ironique. Je relevais le regard vers lui, un regard triste mais mélangeant une douce colère et une déception assez légère qui pouvait s’y lire. Je me sentais tellement idiote. Tellement. Je ne m’étais pas contrôlée, j’avais laissé mon impulsion parler d’un baiser. Je m’étais montrée faible et cette larme coulant le long de ma joue, je l’effaçais aussitôt sans vraiment pour autant vouloir la cacher mais je baissais tout de même mon regard en me reposant sur la chaise de mon bureau. Je relevais mes yeux bleus vers lui après quelques secondes de réflexions. Comme une girouette qui ne savait pas quoi faire. Je me relevais. Nerveuse, les mains tremblantes. Je le regardais simplement. « Je crois qu’on a fini cette conversation alors ! », disais-je sans vraiment vouloir dire qu’on n’avait plus rien à se dire, non. Ça aurait été un mensonge car j’en serais incapable. « Je préfère que tu t’en ailles ! », lui disais-je d’un ton las alors que j’inspirais doucement. C’était une chose dont je n’avais pas envie. Non. Je ne voulais pas ça mais je savais que s’il restait encore dans ce bureau, je n’allais pas aller mieux. Non. Je n’allais pas aller mieux ou peut-être que oui ou peut-être que non. Je n’en savais rien mais après tout ce qu’il venait de dire… je ne savais même pas quoi dire. Je savais que cette larme ne serait sûrement pas la première et je m’en voulais à moi-même. |
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| mot doux de Todd L. Pilliwickle ► un Jeu 20 Aoû - 15:56 | | | La conversation qu'avait Maïwenn et Todd, découlait d'une simple question dite par ce dernier. Il n'aurait jamais imaginé qu'en la posant, il arriverait à ce résultat. Les deux s'étaient avoué leur sentiment, mais la blonde n'était pas sure d'elle dans un premier temps. Elle pensait que leur amour était impossible pour le moment par rapport à Nate. Au début, le brun pensait totalement le contraire, mais au fil des paroles de la jeune femme, il émit la même idée qu'elle. Malheureusement, celle-ci venait de changer sa façon de penser. Autant dire que niveau coordination, c'était un gros zéro pointé. Todd s'en voulait de lui avoir dit qu'ils ferraient mieux de rester amis pour le moment. Ce n'était pas du tout ce qu'il désirait en plus au fond de lui. Mais la raison prit le dessus. Il ne comptait pas revenir en arrière, changer ses paroles. Malheureusement, la réaction de la blonde ne fut pas vraiment celle espérée par Todd. Il n'espérait pas vraiment une réaction précise. Mais il ne se doutait en rien qu'elle allait conclure cette conversation aussi brutalement, sans même dire quoique ce soit par rapport aux dires du brun. Maïwenn ne s'arrêta pas à dire que la conversation était finie. Non loin de là même. Elle voulut alors que Todd s'en aille, qu'il quitte son bureau. Le pensait-elle vraiment ? Le jeune homme n'en savait trop rien. Au fond de lui, il espérait que non, qu'elle ait dit ça sous le coup de la colère car elle n'avait pas accepté ses dires. Mais il n'était pas télépathe et ne pouvait donc pas lire les pensées de cette dernière. Restant bouche bée quant aux mots de Maïwenn, il afficha une mine choquée, n'en revenant pas de ce qu'elle avait dis. Il ne s'attendait pas qu'elle lui demande de partir car ça vaudrait mieux. Mais ça vaudrait mieux pour qui ? Elle ou eux deux ? Une question que Todd ne se gêna pas de poser. « Ca t'arrangerait que je m'en aille comme ça, tu n'aurais pas à affronter la réalité des choses non ? » Il émit alors un léger rictus avant de reprendre la parole. « Honnêtement, je trouve cela trop simple. On rencontre un problème et toi tu préfères le fuir au lieu de l'affronter. » Il prit une grande inspiration après qu'il ait dis le fond de sa pensée. Etait-il méchant envers Maïwenn ? Oui. Mais il lui en voulait un peu qu'elle lui ait demandé de partir. Il s'en voulait également d'avoir posé cette question qui avait débouché sur cette conversation. Il se rendit compte qu'il valait mieux se taire parfois, cela évitait bien des problèmes. En soit, il disait la vérité non ? La blonde préférait que Todd parte pour fuir le problème. Au final, le brun avait l'impression de retrouver l'ancienne Maïwenn et honnêtement, il se sentait déstabiliser sur le coup. Pouvait-il lui faire confiance ? Pouvait-il être à nouveau avec elle ? Vous lui aurez posé ces questions il y a de ça, quelques jours avant, il vous aurait dit oui. Mais là, au vu du comportement de la blonde, le brun n'en était plus aussi sûr qu'avant. Malheureusement. « Si tu rencontres un problème avec notre fils, tu comptes fuir aussi ? En fait .. tu n'as pas changé et j'en suis désolé ! » Fit-il sur un ton sec. Il se montrait méchant dans ses paroles, il en était conscient. Mais, il voulait la faire réagir, il voulait qu'elle lui dise qu'il avait tort, qu'elle n'était plus comme avant et qu'elle ne fuyait pas. Même si en soit, il allait avoir du mal à la croire, car le fait qu'elle veuille qu'il parte, montrait clairement qu'elle fuyait le problème. Il soupira alors, s'approchant de la porte, posant sa main dessus sans pour autant tourner la poignée. Avant qu'il ne franchisse cette porte, il voulait être sûr de la décision de la jeune femme. « Tu es sûr que tu veux que je parte ? » En demandant cela, Todd lui offrait une dernière chance. Il espérait que la situation allait changer de tournure, ne voulant pas être en froid avec Maïwenn. Malheureusement, la vie n'allait pas toujours dans le sens que l'on voulait. Il fallait agir en conséquence. En venant la voir, il avait imaginer un moment parfait avec elle, là où ils auraient rigolé, raconté pleins d'anecdotes du passé. Au lieu de ça, Todd eut tout le contraire. Son rendez-vous surprise fut une catastrophe jusque-là et honnêtement, il aimerait bien remonter le temps à ce matin pour effacer cette journée. Malheureusement, l'opération était impossible. Cela se serait si on pouvait remonter le temps. Mais bon tout n'était pas perdu après tout, cela dépendait de Maïwenn, la balle était dans son camp maintenant, à elle de prendre la bonne décision pour elle. Todd agirait en conséquence. |
| | | Invité et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! Invité
| mot doux de Invité ► un Jeu 20 Aoû - 16:25 | | | Je voulais juste être seule, je voulais être seule face à mes émotions et je ne demandais pourtant tellement pas grand-chose. Je lui demandais juste de s’en aller par ce que là, c’était trop pour moi. C’était trop de choses dans ma tête, trop de choses dans mon cœur. Je ressentais ce pic à glace s’y enfoncer petit à petit pour me déchirer le cœur morceau par morceau. Je lui demandais ça sans même ouvrir la porte sans même savoir si je le voulais réellement. Je ne m’attendais à rien de sa part au niveau de sa réaction. Allait-il partir ou pas ? Je n’en savais rien. Je ne savais même pas ce que je voulais mais je savais une chose : je n’allais pas tenir longtemps. Non. Je n’allais pas tenir. Je l’entendant me dire que je fuyais et je relevais mon regard vers lui en fronçant les sourcils. Ce regard noir que je semblais lui lancer n’était pas qu’un artifice. Oh non. Non. Non. Non. Il me disait que je fuyais ? J’avais déjà fuis et je savais à quoi cela ressemblait de fuir surtout que fuir quoi ? Une conversation qu’il semblait déjà avoir conclu alors que je n’étais même pas convaincue par mes propres pensées. Je riais doucement, nerveusement mais surtout jaune en passant une main sur le front. Je n’avais pas changée. Je relevais mon regard vers lui à nouveau toujours aussi noir. J’étais énervée. Réellement. Je lui en voulais vraiment sur ce coup. Je riais encore une fois jaune sans rien dire. Il me demandait si je voulais réellement qu’il parte en posant la main sur la porte. J’avais juste envie de fondre en larme sous cette émulsion d’émotion qui grandissait comme un volcan. Je détournais le regard en me pinçant les lèvres. Je tentais de me calmer mais c’était sans compter sa dernière question. Je tournais mon regard vers le sien, je voyais toujours rouge. « Après ce que tu viens de dire ? Oh oui ! », disais-je alors avec sincérité alors que j’approchais en contournant à nouveau le bureau pour aller lui faire face. Mon petit doigt se levant pour aller contre son torse. « C’est toi qui fuit… c’est toi qui fuit pas moi… tu n’as pas compris que je n’étais même pas convaincue par mes propres propos ? Pourquoi tu crois que je t’évite alors qu’il me suffirait juste de te repousser. Pourquoi tu crois que je ne t’ai même pas dis pourquoi je t’évitais en te disant juste qu’il ne se passerait rien d’autres. Non. Je suis perdue car je ne suis pas convaincue et que je n’arrive pas à m’en convaincre ou simplement à vivre avec cette envie que je refoule sans cesse. », je fronçais les sourcils. « Mais punaise, j’ai craquée… j’ai cédée, je t’ai embrassée comme une faible qui n’arrive même pas à faire ce qu’elle se disait devoir faire car je n’en ai pas envie. », disais-je en le regardant dans les yeux. « Je n’ai aucune envies de vivre sans toi… difficiles ou pas. Je ne suis pas revenue pour la facilité. Je sais que ça ne sera pas simple avec Nate et je serais déjà parti si je comptais abandonner… », disais-je en arquant un sourcil. « Je laissais tomber toutes les barrières… et tu m’as repoussé comme si je n’étais qu’un jouet à qui tu pouvais tenter de dire que tu m’aimais… », soufflais-je en baissant le regard pour le relever aussitôt. « Je ne te fuis pas non… je ne fuis pas non plus ! C’est toi qui fuis la difficulté… », disais-je d’une sincérité. « Si je fuyais… est-ce que tu crois une seule seconde que j’aurais pris le risque de te parler de mes sentiments ? », demandais-je alors en fronçant les sourcils à nouveau avant de secouer la tête. Je reculais doucement d’un pas. « Mais je t’en prie sort de là… car… non je ne fuis pas mais je n’ai juste pas envie de croiser ton regard à nouveau pour l’instant ! », je riais jaune à nouveau tout en haussant les épaules. « Tu as raison, … vaut mieux qu’on en reste là ! », la colère s’était tellement éprise de moi que je ne pleurais même pas. J’étais inerte comme éteinte et sans émotion. Je disais juste ce qui me passait sur le cœur. La vérité. Non. Je ne fuyais pas. |
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| mot doux de Todd L. Pilliwickle ► un Ven 21 Aoû - 13:51 | | | Une belle gaffe que venait de faire Todd en parlant avec sa colère au lieu de rester calme et raisonné. Même avant que la blonde prenne la parole, il s'était rendu compte du mal qu'il avait pu lui faire en prononçant ses paroles. Pourquoi l'avait-il fait ? Pourquoi l'avait-il dit surtout ? Il s'en savait trop rien, mais une chose était sûre : la poisse semblait être avec lui aujourd'hui. Peut-être qu'il ferrait mieux d'aller prier le bon Dieu chaque dimanche qui sait. Quoiqu'il en soit, il écouta attentivement les paroles de Maïwenn qui ne manqua pas de le choquer. Lui fuir ? Pourquoi fuirait-il ? Aucune raison ne le poussait à faire ça. Pas à sa connaissance en tout cas. D'un coup, on voyait vraiment que c'était un homme, un vrai. Il n'avait pas du tout compris les signes que lui avait lancés la blonde. Il se sentait légèrement stupide sur le coup, mais bon, les femmes n'avaient qu'à être plus explicites aussi. On ne pouvait pas tout comprendre dans la vie. Et puis, tout le monde savait que les hommes ne comprenaient rien aux signaux lancés par les femmes. Cela ne datait pas d'hier en plus. Continuant à l'écouter, Todd avait deux émotions distinctes qui ressortaient souvent : un coup il semblait triste puis l'instant d'après, il paraissait coléreux. Et au final, la conversation ne s'était pas du tout arrangée. Todd avait très bien compris que sa présence n'était plus désirée maintenant, mais avant de franchir la porte, il tenait à exprimer son opinion sur deux ou trois choses. Lâchant la poignée de la porte, il prit à son tour, la parole, regardant Maïwenn droit dans les yeux. Etait-il triste ou bien coléreux là ? Les deux en même temps. « Premièrement, je ne fuis pas la difficulté. Je trouve ça plutôt osé de ta part de dire ça. Car si j'aurais fui la difficulté, j'aurais fait adopter notre enfant. Si j'aurais fuit la difficulté, je n'aurais jamais pu construire mon hôtel, ni même tenir tête à mes parents. Nous avons tous eu des moments difficiles. Mais de là à dire que je fuis la difficulté, je n'accepte pas ! » Premier point fait, maintenant le deuxième. « Après tu me sors j'ai rien compris à tes signaux. Désolé j'ai envie de te dire. Désolé de ne pas avoir un QI hyper développé et de tout comprendre. Ok j'ai été stupide, mais la prochaine fois, sois plus claire. Enfin s'il y a une prochaine fois ! » Il ne manquait plus qu'un point qu'il voulait clarifier, des paroles qui l'avaient énormément blessé. « Concernant le fait que je te prenne soit disant pour un jouet à qui je peux dire je t'aime. Honnêtement ? Tu m'as vexé ! Comment peux-tu croire une seule seconde que je te prenne pour un jouet. Je n'ai jamais fais ça à qui que ce soit et tu serais la dernière à qui je le ferais. » Il s'arrêta net dans ses paroles, reprenant légèrement son souffle et son calme aussi. La conversation semblait être close et il était temps pour Todd de quitter la pièce. Rester là ne servirait plus à rien. Non, il ne fuyait pas. Il se retirait car c'était en soit, la meilleure solution. Il fallait savoir se retirer lorsque ça n'allait plus. A quoi cela servait-il d'aggraver une situation ? A rien de bon. « Salut ! » Fit-il tout simplement avant d'ouvrir la porte et de sortir de la pièce. Il ne jeta aucun autre regard à la blonde, refermant la porte derrière lui. Regardant autour de lui, personne ne le regardait. Ce qui voulait donc dire que personne n'avait dû entendre leur dispute. Car oui, à ce niveau, cela relevait d'une dispute leur échange de paroles. S'en allant vers l'accueil, sourire aux lèvres, il vint récupérer son chat et sortit rapidement du bâtiment. La journée venait d'être très éprouvante, Todd n'ayant pas pensé une seule seconde qu'il se disputerait avec la blonde. Et pourtant, cela venait de se produire. Comme quoi, la vie réservait bien des surprises. Arrivant à sa voiture, il mit le chat sur la banquette arrière, s'installant devant. Il ne démarra pas de suite la voiture, reprenant ses esprits. Comprenant alors ce qui venait de se produire, le brun s'en voulait d'avantage à mort. « Merde ! » S'exclama-t-il en donnant un coup sur son volant. Tournant alors la clé de contact, la voiture démarra et le jeune homme rentra directement chez lui. Il avait besoin de souffler, les prochains jours n'allaient pas être facile pour lui. FIN DU RP |
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