l'avatar des scénarios ou membres des familles sont totalement discutables pour autant qu'ils ne soient pas dans le bottin !
Venez car plus on est de fous et plus on rit, non ? Chocolat et guimauves en cadeaux !
bonjour les YFTiens et pleins de calins pour vous ainsi que tout notre amour !
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Invité et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! Invité
| mot doux de Invité ► un Ven 2 Oct - 1:25 | | | charlie & ariel panique au rayon boucherie, ça tombe bien... me reste plus qu'à aller à l'abattoir mais je ne serais pas une bonne viande, trop nerveuse. Une femme qui ne soit pas faite pour des hommes mais pour autant qui n’aime pas les femmes. Oui, je suis une femme étrange et je m’en rendais encore plus compte quand il disait ne pas connaitre une femme dans mon cas. Je ne savais pas quoi dire sur le coup. Pas du tout. J’étais comme muette en souriant assez difficilement quand j’entendais qu’il n’était pas non plus un homme à femme. Je secouais la tête en fronçant le nez comme je le fais à chaque fois que je soupçonne de mentir. Mais dans un sens… je n’étais pas si bizarre, je savais que j’avais mes raisons même si elles étaient personnelles mais je doutais que nous ayons les mêmes. Je me laissais tout de même aller à parler un peu trop de moi, peut-être pas à ce point. Non pas à ce point. Vraiment pas ce à point. Cependant parler de mon fils et avoir un avis sur des simples steaks était une chose bien possible. Je ne pus m’empêcher de rire en l’entendant me parler de ma grossesse. Je fronçais les sourcils en penchant la tête tandis que je remettais le steak en forme de dinosaure sur la pile en fronçant les sourcils. « Vous avez raison ! », soufflais-je alors simplement en haussant les épaules avant de prendre quelques steaks et viande d’un format normal. Je prenais aussi un paquet ou deux de brochettes en l’écoutant reprendre la parole. Tout naturellement, je relevais mon regard vers lui et je laissais un sourire s’esquisser sur mon visage tandis que la chaleur des frigos me faisait doucement frissonner. Elle refroidissait ma peau qui se réchauffait pourtant assez rapidement sous le soleil californien. Un peu surprise de ce qu’il me disait, ce conseil qu’il me donnait. Je fronçais les sourcils. J’avais un caractère assez étrange. Je pouvais ne pas apprécier certaines choses dites. Là, je ne comprenais pas pourquoi il me disait ça. Je riais nerveusement mais un rire doucement jaune. « C’est vrai que vous vous mêler de ce qui ne vous regarde pas ! », disais-je alors en fronçant les sourcils tandis que je mettais la viande dans mon caddy. Je me redressais en posant une main à ma taille. A la radio un peu trop fort, je pouvais entendre la voix de Dear Mom assez douce qui donnait un conseil à une femme en manque d’amour. Je fronçais les sourcils en l’entendant dire d’adopter un chiot et je roulais des yeux comme ces smileys blasés que l’on peut trouver sur skype parfois et qui me font rire car ils me font penser justement à cette tête que j’ai l’art de faire. C’était le genre de conseil que je n’aurais pas donnée car j’avais peur des chiens mais bon. C’était sûrement moins dégoutant que de lui dire d’adopter un zombie surtout que ces choses ça doit mettre du sang partout. Imaginez un peu, il va surtout essuyer votre cerveau avec des feuilles en papier mais je m’égare autant que le lever du soleil pendant une éclipse enfin soit. « Vous ne savez même pas quelle mère je suis et ça parait logique de ne pas forcer un enfant à faire ce qu’il ne veut pas faire ! », lui disais-je aussitôt. Bien sûr je n’allais jamais forcer mon fils à ne pas fêter Halloween pour l’automne prochain. Non mais quand même déjà que je le forçais à choisir le petit jésus pour la crèche de noël et à ne pas me faire de cadeau. Je secouais doucement la tête. « Tous les parents ne sont pas pareil, je n’ai pas reçue cette éducation et j’aime mon fils… », lui disais-je sans vouloir lui cirer les pompes en acceptant ce qu’il disait d’un hochement de tête. « Après tout je ne suis pas là pour acheter des conseils sur comment éduquer mon fils mais pour préparer le buffet de son barbecue qu’il m’a demandé… », lui soufflais-je d’un ton sarcastique en riant doucement. « J’ai beau être tombée enceinte à 18 ans et ne jamais avoir été prête pour devenir maman mais je m’en suis sortie sans vos conseils… et certes j’ai faite des erreurs mais jamais celle-ci et même si je la faisais ce n’est pas la pire chose qui pourrait lui causer des problèmes ! », lui disais-je avec franchise. Oh non. Je crois que c’était moindre comparé à tout ce qui se passait déjà dans sa tête. Mais je me noyais tout de même dans mes paroles, j’allais trop loin ? Peut-être. Je n’allais pas assez loin ? Peut-être aussi pourtant je n’étais pas aussi sur la défensive que je pourrais l’être. Il n’était pas méchant après tout, je le savais. J’aurais pu être plus sèche ? Je l’avais déjà été mais là, j’inspirais doucement. Je devais sortir de l’eau et après tout, je ne souffrais pas d’ablutophobie donc j’allais y arriver. Je posais mes yeux marron sur lui. « Rassurez-vous c’est le cadet des soucis de mon fils… Il n’a pas besoin de ça pour être triste… son père ou ce qui a été son géniteur est un monstre… capable de droguer une fille et profiter d’elle… donc franchement savoir que sa maman pourrait le forcer à manger des steaks en forme de dinosaure, il s’en balance… », lui disais-je aussitôt en me penchant pour prendre un paquet de chipolata. Cela m’avait échappé sous la frustration à tel point que je m’en pinçais les lèvres. Pourquoi avais-je balancée ça à un inconnu ? Oui, simplement par ce que j’ai un mauvais caractère. Voilà tout mais c’était bien plus que ça. Je commençais à assumer petit à petit ce passé. Je commençais à vouloir avancer. C’était difficile mais j’avais de plus en plus envie d’une vie normale. Pas une fille ou je ne pense pas à moi. Pas d’une vie où je me résume à mon fils et mon boulot. J’avais un blocage émotionnel. Un vrai blocage que je devais réparer. Comment ? Je n’en savais rien. Je me sentais juste cassée.
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| mot doux de Invité ► un Lun 2 Nov - 21:53 | | | Charlie & Ariel♥ Mon intervention de lui dire de ne pas le forcer à faire ce qu'il ne souhaite pas ne fut pas accueilli avec joie. Quand elle se redressa, une main sur une hanche, pour me dire que je ne mêlai pas de mes affaires je relevai un regard vers elle un peu surpris. Bon oui en même temps je l'avais cherché. Je me redressai à mon tour pour au moins me défendre que je ne voulais pas la blesser. J'ouvris la bouche mais je fus aussitôt coupé par une maman protectrice et surtout insulté de ma simple petite phrase.
Je posais les poitrines de poulet dans mon panier vraiment mal à l'aise de ce que j'avais dit. Cependant je ne pus échapper à son regard de feu. Et je m'estimai heureux qu'elle ne me gueule pas dessus. Je baissai la tête vers mes baskets et me pinçai les lèvres doucement et attendit la fin de sa tirade avant de me justifier devant la jeune femme. Elle fini sa tirade avec une confession lourde tellement que je me sentis assommé avec une masse. J'ouvris la bouche pour la refermer et me secouai la tête un moment.
- D'abord je m'excuse Ariel. Je ne voulais pas vous blesser, vraiment pas. Simplement... Moi mon paternel m'a inscrit à l'armée contre mon gré à l'âge de 18 ans j'ai haï ses années d'armée. J'ai encore de la rancoeur et nos rapports sont... disons tendus presque inexistants. Il me reproche de simplement me divertir avec le Blind. C'était simplement un petit conseil sans prétention et loin de moi l'idée de vous juger en tant que mère.
Je me tut me rappelant les nombreuse prise de bec entre moi et mon paternel me sommant de retourner dans l'armée, de rejoindre les rangs des gens mondains et faux. Je n'avais pas envie de cette vie là. J'avais envie de... vivre simplement.
- Je suis certain que vous êtes une mère merveilleuse. Arriver à élever un enfant seule et veiller à ce qu'il soit une bonne personne demande beaucoup de volonté et de sacrifices j'en suis conscient.
Je pris une profonde inspiration avant de continuer. Des mères seules j'en avais croisé des masses quand je partais en mission. Un souvenir d'une mère Palestinienne serrant son bébé contre elle en larmes et qui courait vers moi en me tendant son bébé dans sa langue me suppliant, enfin je le pense, de lui donner une vie meilleure. Je me rappelle des "Madame, je ne peux pas." ou encore "Madame, reprenez votre bébé". Elle me poussait son bébé contre moi avec le désespoir d'une maman qui abandonne la chair de sa chair pour que celui-ci connaisse une vie meilleure. Quand elle tourna le dos en larmes je fit un pas pour la rejoindre quand elle mit le pied sur une mine. Se souvenir me hantait souvent. Moi jeune capitaine d'escadron avec un bébé hurlant dans mes bras. Je dus aller le porter dans un orphelinat de la ville. Trop de bébés, trop de parents morts laissant des enfants orphelins.
- Puis pour le... géniteur de votre fils. Ce n'est pas un homme. Un homme ne traite pas une femme ainsi. Des pourritures il y en a partout mais de voir que vous avez, je le pense, remonter la pente pour donner une belle vie à votre fils vous honore.
J'attendis qu'elle me fasse face pour plonger mon regard dans le sien. Je lui fit un mince sourire pour me faire pardonner.
- On peut dire ce qu'on veut de moi mais jamais j'ai été irrespectueux envers une femme. J'ai une réputation qui me précède et pas nécessairement flatteuse mais si je peux me vanter de quelque chose c'est que je suis honnête. Et encore une fois je m'excuse si je vous ai blessée. |
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| mot doux de Invité ► un Sam 26 Déc - 13:06 | | | charlie & ariel panique au rayon boucherie, ça tombe bien... me reste plus qu'à aller à l'abattoir mais je ne serais pas une bonne viande, trop nerveuse. Je ne savais pas vraiment comment je devais réagir à tout ça. Non pas du tout. Je n’étais pas le genre de femme qui acceptait tout. Je n’étais pas le genre de femmes spécialement bonnes à vivre. Je pouvais avoir un bon caractère assez trempé mais je le cachais tellement qu’une fois éclatée, j’explosais mais avec une grande modération. Cette modération était là. Oui. Elle était là. C’est ce que je tentais de garder alors qu’il m’expliquait pourquoi il avait dit ça. Il semblait aussi simplement désolé mais je ne savais pas qu’en penser. Il était sympathique, oui mais une part de moi était refroidie même si je me contenais. Quand il me parlait du géniteur, je fronçais les sourcils. Je ne voulais pas vraiment en parler. Je me sentais assez mal à l’aise sur le coup en l’entendant. J’avais été confuse, peut-être un peu trop… enfin je ne sais pas. J’avais ironisé du coup avec cette histoire. Forcer les gens à faire ce qu’ils ne veulent pas était une chose que je connaissais et même si j’avais été qu’un pantin dans des mains brutes. « Merci ! », lui répondais-je alors tout de même quand il disait que cela m’honorait. Je tentais de me calmer. La viande dans le caddy. Je voulais reprendre une sorte de zenitude mais rien de facile pour moi. Je lui faisais face et il souriait. Me draguait-il ? Aucunes idées. J’étais tellement nulle pour ça et même si une fraise avait suffi à faire penser le contraire mais non, pas une femme facile. « Ce n’est rien mais je devrais vraiment finir mes achats, il doit bientôt rentrer ! », disais-je alors mais excuse fausse ou bonne ? Un moyen de fuir ? Je n’en avais aucunes idées car il y avait une part de réalité. Mon caddie semblait plein de bonnes choses et la caissière ne devrait pas tarder à me sourire avec un bonjour si elle est polie. Je prenais le pas en poussant la charrette, lui offrant un sourire assez nerveux. « Je suis ravie d’avoir pu vous rencontrer… », disais-je en pendant le « enfin je crois » et me pinçant les lèvres avant de continuer ma route, le regardant par-dessus mon épaule. « Passez une bonne journée ! », rajoutais-je avant de partir au loin pour la caisse. Peut-être l’y recroiserais-je, peut-être oui ou peut-être pas aussi. Je n’en savais rien mais il fallait vraiment que j’y aille mais que je m’échappe tout autant avant d'en dire trop ou pas assez. |
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