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mot doux de Invité ► un Sam 20 Juin - 2:02
surf Day
on sort la planche et on se maintient
La plage, le surf. Je voulais tellement surfer et j’avais l’impression que ça faisait des décennies que je ne m’y étais plus attardée. Bien sûr, ça allait changer, ça changeait. Je m’étais mise à m’y rendre en déposant Sebastian avant avec ses amis. Je voulais juste participer à la compétition comme j’aimais le faire tous les ans ou presque sauf que ça faisait deux années que je n’avais plus eue le temps. Je ne voulais pas vraiment gagner. Je voulais juste participer en plus. A ma poupe, une banane géante alors que j’avais posé mes affaires. Je pensais que tout allait bien se passer. Le sunshine faisait bronzer mon épaule tandis que mon bikini dessinait ma silhouette émaciée avec une bonne perfection mais pas trop. Mon corps était assez modeste. Je n’étais pas une déesse mais la chimio m’avait faite perdre quelques rondeurs et surement pas celle de la dinde de Thanksgiving qui m’en faisait prendre chaque année pour s’emmagasiner dans mon petit popotin. Mais bon, là n’était pas le sujet. Oh non. Je n’étais pas vraiment du genre superficiel à exhiber mon corps. Je laissais ça à Sasha en général mais je ne nous trouvais pas nous plus comme des bimbos. Nous avions une silhouette naturelle et rare ce que j’aimais assez pour ma part. Le sujet important est cet opportuniste qui se trouve face à moi. Ce chien. Une boule de poils inconnus que je devais avouer ne pas forcement porter dans mon cœur alors que j’étais effrayée. Totalement. C’est assez marrant de voir une détective paniquée devant cette chose sans défense et Sophia y prenait souvent du plaisir. Je criais à l’aide mais personne ne venait dans un premier temps. « Aidez-moi ! », ne pouvais-je pas m’empêcher d’hurler à nouveau alors que j’avais l’impression que j’allais me faire dévorer par cette chose semblablement nerveuse qui en voulait réellement à mon paréo. Personne pour s’occuper de la pauvre demoiselle en moi. C’est à une ombre qui s’approchait que je reconnaissais alors ma sœur. Pas difficile comme elle me ressemble comme deux gouttes d’eaux me diriez-vous mais bon. Je lui souriais doucement alors qu’elle me disait être sur un cheval blanc. Elle lançait ses tongs et je riais nerveusement à l’idée d’être une de ses tongs en le voyant croquer dedans. « Si c’était ton cheval… blanc, je ne suis pas sûre que tu les récupéreras… elles vont se faire bouffer et j’ai presque de la peine pour elle ! », m’émouvoir pour une tong ? A mon air triste sur le regard… on pourrait rapidement avoir la sensation que je suis réellement sérieuse mais dans le fond, c’est le cas. J’étais sérieuse. Réellement. Je me redressais un en en tournant mon regard vers ma planche alors que je retirais mon paréo avant de le rouler en boule dans mon sac. Je ne voulais pas qu’un autre petit bonhomme ne s’en occuper et le mange comme un muffin à la myrtille sinon je comptais bien en faire de la tarte à la rhubarbe enfin… non de la tarte au chihuahua. Je prenais alors mon lunette de soleil pour les placer sur mon front tandis qu’elles avaient un peu glissée avant de voir le chien s’en aller avec les lunettes. Et son maitre est où ? Cela ne pisse pas partout sans surveillance ? Songeuse, je secouais doucement la tête en pensant à ça avant de relever le regard vers Sophia en lui souriant. « Merci… mon héro ! », disais-je d’un ton romanesque et antique avant d’approcher pour une étreinte légère et un baiser sur sa joue. Habiter dans deux maisons différentes était comme… vivre à des années lumières à mes yeux. « Comme tu vas ? », disais-je avant de reculer doucement. « Tu viens me voir me prendre une raclée ou tu viens enfin me proposer d’apprendre à surfer ? », lui demandais-je alors par curiosité. « Enfin comme une pro… », disais-je d’un ton taquin alors que je m’attendais déjà à recevoir des moqueries pour mon agresseur. « Ou non… ne me dis pas que tu as fait ton apprentissage dans mon dos et que tu veux participer contre moi… », soufflais-je alors faussement paniquée. « Par ce que dans tous les cas, faut que j’immortalise avec quelques photographies ! », rajoutais-je comme une emmerdeuse prête à dégainer son appareil photo. « Ou alors tu voulais juste bronze comme un mollusque sur le sable ? », rajoutais-je aussitôt. J’ignorais réellement quelle était la bonne réponse. Je regardais rapidement autour de moi tout de même pour calculer le degré d’Œstrogène. Je remarquais cette femme en train de se doucher alors qu’un homme la regarde avec le regard… Oui celui où il a une image presque érotique ou il aimerait bien frôler son corps avec des glaçons pour mesurer la chaleur. « Pervers à 10 heures ! », disais-je aussitôt en souriant doucement tandis que je me penchais pour reposer correctement ma planche bien poncée.
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mot doux de Invité ► un Sam 20 Juin - 12:09
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Le monde, lorsqu'on y réfléchissait à deux fois, était sans pitié, cruel parfois. Cela pouvait se montrer par les sujets dont parlaient Abraham avec sa nouvelle connaissance qu'était Sharlee. Piquer des animaux pouvait être un acte cruel pour certaines, et être malade dans ce monde, n'offrait aucune pitié. Cela se vérifiait avec Sharlee qui n'avait personne dans sa vie à cause de sa cécité. Abraham trouvait ça plutôt nul de la part des garçons de ne pas sortir avec une fille car elle était aveugle. Le monde ne tournait plus aussi rond qu'on pouvait le penser. Le blondinet écouta alors les propos de la demoiselle, la comprenant. Et le fait qu'elle soit dans le vrai fit un pincement au coeur chez Abraham qui était dépité de voir le monde dans lequel il vivait. Oh bien sûr, il y avait de belles choses sur Terre, mais il y en avait de mauvaises qui se montraient de plus en plus. Le monde n'avait pas changé, comme pouvait le dire certaines personnes, il était devenu juste moins attrayant. «  Moi ? » Fit-il en rigolant avant de reprendre la parole pour ajouter : « Enfin je suis un peu foufou aussi. Tu as de la chance car les personnes saines d'esprits se font de plus en plus rare. Ce qui veut dire que tes chances de trouver un mec augmentent. » Une explication pas des plus brillantes, mais cela allait peut-être redonner espoir à Sharlee qui sait. Concernant le fait qu'elle ait deux enfants, il ne voyait pas le problème. C'était vrai que les hommes se montraient parfois réticents face à une femme ayant des enfants, ayant peur de devoir se battre contre le père pour avoir une place dans la famille. « Oui enfin ce sont des jumeaux aussi. Alors bon avoir des jumeaux à vingt-trois ans, je ne vois pas le problème. Ce n'est pas comme si tu avais cinq enfants quoi. » Fit-il en lâchant un léger rire. Lorsque le blond lui demanda si elle avait quelqu'un en vue, elle répondit que non. Avoir quelqu'un en vue était difficile pour une aveugle. Abraham rigola, n'ayant pas vraiment pensé à ça. En tout cas, Sharlee ne semblait pas avoir perdu le sens de l'humour malgré sa situation. Ce qui était bon signe. « Haha très drôle ! Tu m'as bien eu ! » Plus autant confiance en elle qu'avant ? Voilà donc le problème et peut-être qu'Abraham pouvait apporter son aide. Ce n'était pas non plus le tombeur de ses dames, l'expert en séduction, mais il pouvait toujours essayer de l'aider à avoir de nouveau confiance en elle, enfin autant qu'avant. Même si cela n'allait pas être facile. « Si tu veux, je peux t'aider à avoir de nouveau confiance en toi. Sors avec moi pendant une journée en ville, et tu verras que tu auras changé de point de vue sur toi-même après ça. » C'était une proposition assez osée en soi, car ils venaient tout juste de se rencontrer. Mais le feeling passait plutôt bien entre eux, alors pourquoi ne pas organiser une autre rencontre ? Si on lui avait dit ce matin en levant qu'il allait faire la rencontre d'une fille comme Sharlee, il n'y aurait pas cru. Venant alors à parler des prénoms des deux bébés de la demoiselle, celle-ci expliqua alors son choix. Plutôt intelligent, Abraham se demandait s'il aurait eu cette histoire. Lui serait parti plutôt sur une liste de prénoms pour fille et pour garçon en attendant de découvrir le sexe du bébé. Mais choisir des prénoms unisexes, bonne idée ! «  Pourquoi tu ne voulais pas savoir le sexe du bébé ? Enfin si c'est pas trop indiscret. » Si un jour, il venait à être père, il voudrait savoir le sexe du bébé. Mais bon il fallait aussi voir si la mère allait être d'accord aussi. Mais cela ne le concernait pas pour l'instant, n'ayant personne dans sa vie, lui aussi. Les deux allaient alors dans l'eau pour nager un peu, voulant offrir un peu de plaisir à la demoiselle. Etre aveugle devait lui interdire certaines choses, certains plaisirs comme par exemple la nage. Allez donc nager lorsque vous y voyez rien. Cela serait de la pure folie, voire du suicide même. Alors qu'ils s'éloignaient peu à peu de la plage, Sharlee s'agrippa comme un koala le ferait à une branche de bambou, à Abraham qui rigola plutôt qu'autre chose. Elle ne lui avait pas fait mal, fort heureusement. Après quoi elle vint alors à monter sur son dos pour la rassurer un peu de ne plus avoir pied. Et après quelques brasses, le blondinet lui proposa de nager toute seule. Sharlee accepta, lui demandant quand même de la prendre par les mains. Bien sûr, il n'allait pas la laisser nager toute seule de suite. La laissant quitter son dos, il vint alors à lui prendre sa main. « On va nager un peu pour voir si tu es à l'aise. Au premier problème tu me le dis ok ? » Fit-il en esquissant un sourire à son intention avant de commencer à nager. Cela semblait plutôt bien se passer. Abraham paraissait heureux sur le coup. Cette expérience avec la demoiselle lui rappelait surtout son petit voyage en Afrique, lorsqu'il aidait les populations pour telle ou telle chose. Il se sentait humain de venir aider autrui, trouvant ça normal même. Mais la normalité était devenue une question de point de vue, chacun ayant sa propre définition du mot. En tout cas, il passait un bon moment avec elle et cela lui faisait plus que du bien.
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mot doux de Invité ► un Lun 22 Juin - 16:57
Les trajet en voiture n'était vraiment mais alors vraiment pas ma tasse de thé même lorsque j'étais au volant. C'était bien plus pratique que d'emprunter diverse bus et autres moyens de transport mais disons que j'étais plus ou moins malade en voiture. Les effets étaient atténués lorsque j'étais au volant mais j'avais hâte d'arriver. Par chance notre destination n'était pas si loin que ça et j'allais parfaitement pouvoir géré sans me retrouver avec une migraine. Tant mieux d'ailleurs car je ne me voyais pas vivre simultanément un mal de tête et le grand soleil ou alors je finirais noyé au large. Le surf Day en valait le coup après tout et puis j'étais content de pouvoir passer du temps avec mon ami que je ne voyais pas suffisament à mon gout. Mais nous avions tout deux notre propre emploi du temps et des choses à gérer de nos côtés, c'est ça la vie mais il était hors de question que je me rende à l'événement sans lui et je pense que c'était pareil en retour.

Nous nous installions donc sur le sable avec bonne humeur et le sourire aux lèvres. La journée s'annonçait vraiment bonne et je savais que j'en garderais un très bon souvenir. Je fus amusé qu'il me propose de participer à la compétition vu comme je m'étais ridiculisé l'an passé. Je ne tenais pas sur une planche et je voudrais bien évité de faire une démonstration de mon non-talent à tous les gens présents. Ce souvenir eut pour effet de le faire sourire, moi-même je le prenais à la rigolade car je sais que le ridicule ne tue pas et puis j'avais l'habitude qu'il m'arrive ce genre de chose. " J'en suis sûr, j'ai été inoubliable ! Non et puis je sais à peine me mettre debout sur une planche!" Mais si Levi, lui souhaitait y participer je deviendrais le meilleur cheerleader. Façon de parler mais je ne voulais pas qu'il s'empêche d'y participer simplement parce que je n'y allais pas. Je le voyais alors réfléchir avant de me dire que non et qu'il passait sa chance pour cette année. " T'es sur ? " Il avait au moins raison en disant que nous allions rire en voyant les gens se gameller. En plus ce qui et plus drôle c'est que ce n'est pas moi qui fait finir à la mer après m'être fait assommer par ma planche. Finalement après m'être dévêtu pour savourer pleinement la sensation du soleil sur mes épaules déjà rouge et m'être mit une paire de lunette de soleil je lui demandais ce qu'il voulait faire. Je le laissais choisir de toute façon nous avions le temps de faire plein de chose aujourd'hui. Celui-ci après avoir légèrement réfléchi se releva suivi par mon regard. " Bonne idée, j'veux bien de l'Ice Tea s'il te plait" Il n'avait pas eu une si mauvaise idée, une bonne boisson bien fraiche n'allait pas nous faire de mal au contraire, peut-être allait elle encore plus nous donner de l'énergie pour affronter cette chaleur et nous éclater. Je le suivais du regard se dirigé vers le stand tandis que je me prenais de la crème solaire pour me protéger d'éventuelle brulure supplémentaire. Non, car j'avais déjà reçu plusieurs remarque et surnom du genre crevette ou écrevisse je n'allais pas aggraver mon cas. Il ne lui fallu que très peu de temps avant de revenir et de m'envoyer ma boisson que je réceptionnais correctement. "Merci ! " J'entendais sa question alors que venais de boire quelques gorgées de ma boisson. Liam va bien , il a hâte d'être en vacance, ce petit n'a que trois ans et n'aime déjà pas l'école je crains le pire pour dans dix ans" Je plaisantais bien-sur tout peut changer mais je trouvais cela étonnant vu qu'Emily et moi même étions tout deux d'excellent élèves. " Et le boulot... Bah ça va aussi même si avec les grosses chaleurs on a de plus en plus de clients. C'est bien ça fait plus de pourboires . Et toi alors le boulot ça va bien ? Les cours sont déjà fini ou pas encore ?" Je n'étais plus au lycée depuis déjà un an et j'avais du mal à me dire qu'une année s'était déjà écoulée , le temps passe vite et j'allais bientôt reprendre mes études ce qui m'avait un peu manqué. " Ah oui ?" avais-je d'abord répondu tandis que le jeune brun m'annonçait qu'un nouvel arrivant de son âge vivait chez lui, en réalité cette réplique était idiot car je le savais déjà. " En fait je suis déjà au courant, j'ai eu l'occasion de rencontré Julian au café et de sympathisé avec. Il est plutôt gentil mais il a son caractère. " J'appréciais énormément Julian du peu que je le connaissais et il n'y avait pas de doute, avec le temps nous deviendrons de grands amis enfin s'il reste à Pasadena. Et comment ça se passe la cohabitation entre vous?" Les deux n'avaient pas le même caractère et je sais que Julian ne se plaisait pas chez les Delgado donc je me disais que cela ne devait pas forcément être simple.
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mot doux de Invité ► un Sam 27 Juin - 3:32
En voyant qu’il y avait une compétition de surf, Thalie s’était dit que c’était la meilleure occasion de sortir un peu de la ville, et de se faire plaisir et bronzer sur une vraie plage, pour une fois. De plus, sans pour autant être passionnée, la blonde aimait voir les surfeurs prendre les vagues comme des pros, les voir sortir des rouleaux et surtout lorsqu’ils font leurs pirouettes. Elle avait réussi à négocier avec Kyle pour y aller seule et en bus et était partie avec son sac de plage sur l’épaule. Elle avait mis ses écouteurs sur les oreilles pendant tout le long du voyage, sachant que celui n’était pas court. Une fois arrivée à la plage, elle ne perdit pas de temps pour retirer ses vêtements pour ne garder que son bikini. Au programme de la journée, elle avait prévu de bronzer, et regarder les abdos des participants à la compétition. Elle installa sa serviette de bain sur le sable chaud, et se précipita pour s’asseoir dessus afin qu’elle ne s’envole pas, ou se retrouve ensevelie suite à un coup de vent. Elle s’aspergea d’huile solaire au monoï afin de ne pas prendre de coup de soleil, et creusée par le voyage, elle décida de s’acheter une glace au thé glacé, son arôme préféré. Elle retourna s’asseoir et regarda autour d’elle s’il n’y avait pas des gens qu’elle connaissait, tout en suçant intensément son sorbet. Elle remarqua au loin sa supérieure, Ariel qui semblait galérer avec son paréo et un chihuahua accroché à ce dernier, et alors qu’elle allait l’aider, celle-ci fut rejointe par son exemple reflet. Un peu troublée, elle vint à s’en demander si celle qu’elle prenait pour Ariel était bien elle, et elle se félicita de ne pas être allée, ou elle aurait encore vécu un moment gênant, pour changer. Une fois sa glace engloutie, elle sentit que la chaleur commençait sérieusement à lui chauffer le crâne, c’est pourquoi elle se décida à aller se refroidir dans l’eau salée, bien que l’on ne puisse pas dire qu’elle soit aussi fraîche qu’une piscine de glaçons, de pénétrer dans l’eau lui faisait du bien. Une fois mouillée jusqu’aux épaules, elle retourna s’étendre comme une baleine échouée sur sa serviette, utilisant son sac comme coussin et ses écouteurs encore vissés dans les oreilles. Le son à fond, elle n’entendait rien autour, et se mit à chanter fort « Shake it off », de Taylor Swift, sans complexe. Alors qu’elle entamait le deuxième couplet après avoir chanté de bon cœur un « 'Cause the players gonna play, play, play, play, play and the haters gonna hate, hate, hate, hate, hate, aby, I'm just gonna shake, shake, shake, shake, shake, I shake it off, I shake it off. Heart-breakers gonna break, break, break, break, break, and the fakers gonna fake, fake, fake, fake, fake. Baby, I'm just gonna shake, shake, shake, shake, shake. I shake it off, I shake it off!», accomapgné d’une danse des épaules, elle se rendit compte que le gamin d’à côté la regardait assez étrangement, c’est pourquoi elle s’arrêta net avant de se remettre comme elle était, et de repartir dans ses rêveries.
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mot doux de Invité ► un Dim 28 Juin - 5:10
Les deux boissons fraîches que je venais d’acheter en main, je revenais vers l’espace où nous nous étions installés précédemment, Wyatt et moi. Je lui lançais son Iced Tea, qu’il réceptionnait sans problèmes tandis que je m’asseyais à nouveau sur le sable. Machinalement, j’enfonçais mes pieds dans le sable chaud tout en interrogeant mon ami sur les derniers événements mouvementant sa vie. Bien vite, il m’avouait que son fils se portait bien ainsi qu’il était impatient d’être en vacances. Il manifestait ensuite ses craintes pour les années à venir sachant que sa progéniture ne semblait déjà pas apprécier l’école, ce à quoi je ne pus m’empêcher de rire légèrement, avant de taquiner, narquois : « Tu m’avais pas dit qu’il y avait eu un inversement de berceaux à la naissance de Liam. » Je savais que Wyatt était un bon élève, il m’avait d’ailleurs filé un sacré coup de main à plusieurs reprises pour mes devoirs de lycée. Et puis, non seulement il excellait à l’école, il aimait aussi faire des études, ce qui était plutôt peu fréquent, quand on y pensait. A l’heure actuelle, combien de lycéen prennent vraiment plaisir à avoir des cours une bonne partie de la journée puis des leçons à la pelle pour le lendemain ? Pas énormément, franchement. Moi-même, je n’en étais pas friand, bien que j’aspirais tout de même à faire des études supérieures.

« Et le boulot... Bah ça va aussi même si avec les grosses chaleurs on a de plus en plus de clients. C'est bien ça fait plus de pourboires. Et toi alors le boulot ça va bien ? Les cours sont déjà fini ou pas encore ? » Je hochais la tête distraitement. Le boulot se passait bien, les cours étaient terminés – Dieu Merci -. Je semblais presque libre comme l’air, jouissant d'une oasis en plein désert, bien que je voulais tout de même accomplir certaines choses durant l’été et me consacrer davantage au sport, qui s'était rapidement vu relégué au second plan avec le lycée. « Ils sont finis. » répondis-je simplement, tout en ouvrant mon sac à dos et commençant à farfouiller son intérieur. Je me stoppais dans mon mouvement, croisant le regard de Wyatt. « D’ailleurs, tu reprends quand tes cours, toi ? » Je dénichais mes lunettes de soleil et les extirpais de mon sac afin de les glisser sur mon nez. La chaleur se faisait déjà pesante, mais le plus désagréable était vraiment de passer son temps à plisser les yeux pour ne pas qu’ils brûlent.

J’évoquais la présence de Julian à la maison, sans réellement entrer dans les détails. Ce n’était pas vraiment la chose la plus palpitante qui pouvait arriver dans mon quotidien, étant donné que mon foyer demeurait une famille d’accueil, et ainsi son rôle était d’héberger des enfants plus ou moins en permanence. Une place se libérait, un nouvel enfant pointait le bout de son nez. Je m’étais demandé si mon père cesserait cette activité lorsque mon autre père était décédé, mais il n’avait jamais été question que les Delgado perdent ce statut de famille d’accueil. Je perçus Wyatt mordre à l'hameçon légèrement, avant de m’avouer qu’il avait déjà rencontré le jeune homme. Je lançais un regard étonné à mon ami, avant de lui lancer une poignée de sable sur les jambes. « T’aurais pu me dire ça plus tôt, quand même ! » Wyatt le qualifiait de plutôt gentil bien qu’avec un caractère bien propre. Oui, c’était une manière polie de le définir, j’imagine. Je l’entendais me demander comment se passait la cohabitation, ce à quoi je restais silencieux un moment. Je savais que je pouvais faire confiance à Wyatt et que ce que je lui dirais ne risquait pas d’arriver aux oreilles de mon nouveau camarade de chambre. Toutefois, se faire une opinion sur l’adolescent s'avérait surtout… Difficile. « Pas très facilement, si tu veux tout savoir. » J’enfonçais négligemment mes doigts dans le sable, pensif. Suivant toute attente, Julian ne voulait pas vivre chez moi. Contre toute attente, il voulait retourner chez lui. Rien que vis-à-vis de ces deux faits, nous nous opposions. Mais ce n’était pas sa personnalité qui me gênait ou le fait que je m’accorde bien ou pas avec lui. C’était davantage sa motivation à se surpasser en bêtises en tout genre pour se faire virer de chez les Delgado. « Il enchaîne les faux pas. Il veut retourner chez lui. » Je tournais la tête vers l’océan, où une compétition de débutait déjà. Plusieurs sportifs arborant fièrement le slogan de leurs sponsors se précipitaient vers les vagues, impatients de les surfer. Après quelques secondes de silence, je reprenais : « Il lui faut du temps pour s’y faire. » Ce qui était, certes, compréhensif. Mais tout de même, son attitude avait tendance à m'inquiéter. Jusqu'où irait-il pour partir de chez moi ?
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mot doux de Invité ► un Mer 1 Juil - 20:38
Levi avait eut une bonne idée en proposant d'aller prendre des boissons, il faisait bien chaud et un rafraîchissement n'était pas de refus. Mon ami ne fut cependant  vraiment pas long à revenir pour mon plus grand plaisir, au moins je ne restait pas seul trop longtemps sur ma serviette de plage. J'avais réceptionné parfaitement ma boisson tout en le remerciant. Le jeune brun à coté de moi me posait quelques questions sur ma vie en ce moment mais celle-ci n'avait rien de bien extraordinaire se composant principalement de mon boulot et de mon fils. Un quotidien bien monotone qui ne faisait pas rêvé grand monde. Je lui parlais notamment de Liam qui ne semblait vraiment pas apprécié l'école à mon plus grand malheur. On avait pas encore commencé les devoirs en plus. Je lui lançait un regard amusé suite à sa remarque suite à la naissance de Liam. " Ça doit être ça!" Je plaisantais dessus mais en soi, je n'avais pas à me plaindre car mon fils était un enfant assez calme et sage, avec son petit caractère certes mais nous aurions pu avoir pire. C'est vrai que les études ou on aime, ou on aime pas et que pour ma part même si je n'étais pas un intello non plus, j'appréciais cela et que je m'en sortais plus que bien et c'était pareil pour Emily la mère de Liam. Enfin bref, je lui posais ensuite quelques questions sur son boulot et les cours après lui avoir parlé un peu du mien. Tout semblait aller pour lui aussi, que demander de plus dans ce cas ? Je l'observais farfouiller dans son sac en me demandant avec curiosité ce qu'il pouvait bien chercher. Un rien pouvait attisé ma curiosité, je me concentrais cependant à nouveau sur min camarade lorsque celui me demanda quand je reprenais les cours. " En septembre normalement même si maintenant je ne vais plus passer mes journées assis sur une chaise." Par chance j'avais été diplômé au lycée et à défaut d'avoir le temps de débuté des études de médecine j'allais tenté de devenir infirmier. C'était un bon compromis.  Le sujet dériva par la suite grâce à Levi, sur l'arrivée d'un nouvel adolescent dans sa famille. Ce n'était pas la première fois mais disons que cette fois le sujet m'intéressait vraiment pour la simple et bonne raison que j'avais déjà rencontré l'adolescent en question et que j'avais même sympathisé avec. Je me décidais alors à lui avouer que je le connaissais déjà ce qui n'était pas non plus un secret d'état mais je riais en voyant la mine étonné de mon ami puis sa réaction. [colo=#00ccff]" Bah tu m'as pas demandé et puis je me voyais mal t'appeler juste pour te dire que je l'avais rencontré "[/color] Disons surtout que cela ne m'était pas venu à l'esprit enfin je pensais qu'ils en auraient parlé entre eux. En tout cas, je lui donnais mon avis sur la personne  avant de lui demander comment cela se passait chez eux. Je connaissais les deux adolescents et je savais que leur caractère n'était pas vraiment similaire. Je ne le quittais alors pas du regard lorsque celui-ci restait silencieux avant qu'il ne m'avoue que ce n'était pas forcement facile. Levi m'expliquait que Julian enchaînait mes bêtises pour pouvoir retourner chez lui. Je savais que l'adolescent n'avait qu'un souhait: De retourner vivre avec son père. Levi ajoutait cependant qu'il lui fallait du temps pour si faire. Je hochais doucement de la tête tout en observant l'eau et les quelques surfeurs déjà présent avant d'ajouter. " Il a perdu tous ses repères, il se calmera en s'en faisant de nouveau ici" Je savais que Levi pouvait le comprendre même s'il n'aurait pas forcément réagi ainsi, ils n'ont simplement pas le même tempérament. Je jetais un regard aux environs pour voir un peu les gens présents et je remarquais Thalie de loin. J'aurais pu aller la saluer mais j'étais bien sur ma serviette et elle ne semblait pas m'avoir vu. Peut-être plus tard. "En tout cas tu verras je suis sur que vous finirez par vous entendre" C'était peut-être trop optimiste comme affirmation mais j'en étais sûr. Il fallait juste que Julian comprenne que les gens de Pasadena ne sont pas ses ennemis.
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Sophia A. Steadworthy
Sophia A. Steadworthy
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❝ Métier : agent immobilier (ancien cancérologue, spécialisée en pédiatrie)
❝ cupidon : le cupidon a utilisé une flèche cassée sur mon coeur. Mon mariage est un échec.
❝ post-it : maniaque - accroc à la cafeïne - rancunière - ancienne complexée - manque de confiance dans les histoires d'amour - gourmande - maladroite - aime passer du temps seule pour se balader - grande supportrice de sport - adore faire du tricot quand elle est frustrée. - a vécu pendant plusieurs années à NY - en procédure de divorce qui s'éternise - possède un carlin nommé Kim - vient de s'installer dans un appartement non loin de l'hôpital - dévastée par la mort de son petit frère (se referme sur elle-même) - a acheté un revolver pour se défendre - le 31 octobre, un homme s'est introduit chez Sophia, elle le tue en légitime défense mais est arrêté pour un procès - a fait un séjour en prison de 31/10/15 au 26/01/16 - a été acquittée lors de son procès le 26 janvier ) - a perdu son travail de cancérologue à l'hôpital - vient de commencer une thérapie pour reprendre sa vie en main - a été embauchée par sa meilleure amie pour être agent immobilier
❝ Age : 32
❝ pseudo : undercover
❝ crédits : Thanks to Same old love
❝ avatar : emily vancamp
❝ présence : Présent(e)
❝ préférences : Rp Pâquerettes
❝ disponibilité : je suis actuellement disponible
❝ autres comptes : une scénariste intransigeante (c. accola) - une artiste fauchée (j. anniston)
❝ Points : 4476
❝ Messages : 1864
❝ depuis : 23/12/2014
❝ mes sujets : HOLDEN + JAMIE + COMMÉMORATION + FAMILLE + LIBRE
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mot doux de Sophia A. Steadworthy un Sam 4 Juil - 22:40
Amusée par la peur de ma sœur, je n’eu aucun remord à sacrifier ma tong. Après tout, je savais que la peur de ma sœur était réelle et sérieuse pour elle, même si elle était ridicule pour moi. Faut dire que ma sœur a vraiment des peurs à la con. Un exemple au hasard, la peur de Julia Roberts. Non mais ma sœur hurle dès qu’elle voit la pub pour le parfum avec Julia. Comment voulez-vous que je la prenne au sérieux dans ce genre de situation ? C’est littéralement impossible. Ariel bien qu’avant de me remercier se plaignit du sort de mes chaussures ce qui me fit arquer un sourcil. « Je peux les reprendre si tu es si triste. Mais j’ai bien peur qu’il s’intéresse à nouveau à ton popotin rebondit. » dis-je avec un éclat de rire. Ce genre de connerie me faisait rire moi-même car j’avais moi aussi ce même popotin bien qu’avec un peu plus de cellulite sans doute.

Alors qu’elle me remerciait de manière bien trop cérémoniale mais sur le ton de la plaisanterie, je pris une pose de super héro, le visage lever vers le ciel en signe de fierté. « Tu ne crains plus rien en ma présence beauté. » dis-je avec une voix faussement masculine. Si je n’étais pas douée pour une chose, c’était bien pour les imitations. J’étais cependant heureuse de revoir ma sœur. Nous avions toutes les deux déménager et je devais reconnaître que j’avais pris rapidement l’habitude d’être souvent avec elle. Alors lorsque je du revivre toute seule avec ma chienne, je ressentis un manque. Manque qui cependant disparu quelque peu lorsque je fus obligée de revoir trop régulièrement mon époux. Je ne comprenais pas son désir absolument de vouloir sauver notre mariage.

Un moulin à parole se déclencha alors face à moi. Ariel parlait comme si elle n’avait pas assez de temps pour me dire tout ce qui lui passait par la tête. D’une certaine manière, cela devait être en effet le cas. J’eu un regard amusé face à temps de blablaterie qui cessèrent lorsqu’elle observa un gros dégelasse en train de mater. Je posais à mon tour mon regard vers cet homme. « Et dire qu’il y a des enfants sur cet plage. » dis-je dans un long soupir. « D’une, tu sais très bien que tu ne me feras jamais monter sur ce genre de truc. » dis-je en pointant de manière dédaigneuse la planche de ma sœur. Je détestais tout ce qui était sport nautique. J’avais bien trop peur de l’eau pour cela. « En revanche, prendre un bain de soleil tout en étant ta supporter est une chose qui est dans mes cordes. » Dis-je fièrement.

Je regardais autour de moi et je pouvais voir toute l’agitation pour ce concours. Je devais bien avouer que c’était une chose qui me dépassait totalement. Je n’avais jamais été une grande compétitrice. J’étais le genre de personne qui préférait largement la coopération à l’écrasement d’autrui. Autant vous dire qu’il est bien difficile de me faire regarder le Survivor. « Alors, tu penses t’en sortir ? » dis-je avec un regard légèrement inquiet. Je savais qu’Ariel avait repris du poil de la bête, mais il restait que j’avais tout de même peur qu’elle se fasse mal. C’était tellement facile de se faire mal dans ce genre de sport. Pourquoi les gens ne pouvaient-ils pas se contenter de faire du point de croix comme moi ?
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mot doux de Invité ► un Dim 5 Juil - 0:33
Curieux, j’interrogeais mon ami de quelques années sur la reprise de ses futurs cours. Wyatt possédait une vie plutôt mouvementée, et il fallait avouer qu’il jonglait également avec beaucoup plus de responsabilités que ma personne. Jadis, j’avais eu énormément à gérer. Depuis que j’étais chez les Delgado, je pouvais enfin souffler. Ou du moins, j’avais appris à souffler, et désormais, j’étais beaucoup moins anxieux que ce que j’avais été auparavant, ou même à mon arrivée à Pasadena. Au début de mon adolescence, j’avais vraiment été quelqu’un d’à vif, et honnêtement, j’avais toujours fait partie de ceux qui se vengent sur leur propre personne plutôt que des autres lorsque quelque chose n’allait pas. A mes yeux, même si je n’étais pas coupable de ce qui se déroulait dans ma vie, j’étais toujours à me blâmer. Et puis, il fallait dire que mes parents d’accueil jetaient aussi souvent la faute sur moi, plutôt que leurs enfants biologiques. J’écoutais Wyatt m’annonçait que normalement il débutait sa formation en septembre, ce à quoi je le questionnais, presque machinalement : « T’as hâte ? ». Personnellement, j’avais plutôt hâte d’en finir avec le lycée, bien que le fait que je ne savais pas encore précisément quoi faire une fois mon diplôme du secondaire en poche me ravisait à vouloir aller trop vite.

Puis, le sujet de conversation s’orienta vers Julian, l’enfant que ma famille adoptait. Avec un père assistant social, manifestement, héberger des mineurs constituait plus ou moins notre quotidien. Ce n’était pas quelque chose que je vivais mal en soit, ça avait été ma vie depuis tellement d’années que maintenant, c’était une normalité à mon regard. Toutefois, il fallait toujours s’adapter à de nouvelles personnalités, de nouvelles problématiques. Concernant Julian, le sujet était à la fois sensible, et menaçant. Je reprochais, taquin, à mon interlocuteur de ne pas m’avoir informé de sa rencontre avec le Evans, ce à quoi il me rendit que je ne lui avais pas demandé et qu’il ne se voyait pas m’appeler juste pour ça. Certes. Un peu grognon, bien que j'étais d'accord avec lui, je rétorquais : « Bah quand même. » A vrai dire, j’aurais préféré l’apprendre par lui que par Julian, mais en l’occurrence, je venais tout juste de l’apprendre, ce qui en soit n’avait pas de quoi s’éterniser. Wyatt m’interrogeait sur comment ça se passait, ce à quoi je réfléchis longuement, avant de répondre assez superficiellement. Je n’étais pas réellement tenu au silence ou autre, le comportement de Julian n’était pas confidentiel. Mais je n’aimais pas vraiment parler de ça, j'intériorisais un peu le fait que quelqu’un aille mal et donc réagisse mal. Même si ça m’agaçait un peu, lorsque ça attaquait directement mon père.

Distraitement, j’entendais mon ami annoncer qu’il se calmerait lorsqu’il se ferait de nouveaux repères, et qu’il était sûr que nous finirions par s’entendre. Je haussais négligemment les épaules, faisant filer du sable presque bouillant entre mes doigts. « Oui, comme tu dis. » Je marquais une pause. C’était un peu comique, tout le monde pensait plus ou moins la même chose, ce à quoi je me ralliais aussi. Et puis, à force de vivre ensemble, nous n’aurions pas vraiment le choix, de s’accorder, j'imagine. Mais dans tous les cas, ce n'était pas vraiment un sujet de conversation qui m'enthousiasmait, par les difficultés qu'il y avait en ce moment entourant Julian et le reste des Delgado vivant avec lui. C'était sans doute d'ailleurs pour cela que j'étais plutôt monosyllabique face à mon compagnon. Un fin sourire finit par étirer mes lèvres, bien que celui-ci disparut alors que je demandais, une certaine inquiétude dans mon ton : « Tu as des nouvelles, de Summer ? »
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mot doux de Invité ► un Dim 12 Juil - 12:38
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Mon popotin rebondi ? Je laissais mon regard tourner vers mon épaule et regarder mon popotin pendant un instant alors qu’elle disait que je ne craignais plus rien. Je reposais mon regard sur elle sous cette vague de compliments. Popotin rebondi ? Beauté ? Qu’avais-je fais pour autant d’amour ? Je souriais doucement en penchant la tête. Tout me semblait être étrange autour de moi. Il y avait peu de surfeur. Peut-être était-il trop tôt ? Et par là, j’entendais ceux qui participaient à la compétition. L’avantage étant que gagner contre soi-même, c’est assez facile au final. Je me laissais alors détendre au flux de ma parole alors que certaines vagues m’appelaient, je parlais. Tout simplement. J’en avais tant besoin. Oui, je vous l’assure. Et je riais alors que ce pervers la regardait mais surtout en l’entendant. Qu’aurais dit si c’était mon fils ? Sincèrement, je n’en avais aucunes idées. Je me contentais d’être amusée en lui souriant. Je me demandais tout de même comment j’aurais réagie si mon fils était là et se demandait quoi mais dans un sens, il était grand. Les enfants de nos jours comprennent des choses beaucoup plus jeune que nous à notre époque. « Désolée, tu vas être choquée à vie ! », lui disais-je en prétendant qu’elle était belle et bien une enfant. Ce n’était pas vrai bien entendu, je la taquinais juste. Je peux. Elle n’hésite pas à me taquiner de ma peur des chiens. Je roulais néanmoins des yeux pour le fait qu’elle ne monterait jamais sur une planche. J’étais intimement convaincue que j’arriverais à la convaincre mais son programme n’était pas mauvais non plus. Il fallait l’avouer. Je n’étais pas toujours prête à lézarder sur la plage. Je finissais rapidement par trouver le temps long mais on s’y fait. Je penchais doucement la tête sur le côté. « J’avoue, chouette programme ! », soufflais-je alors qu’elle me demandait si j’allais m’en sortir après avoir contemplée autour d’elle. J’haussais les épaules. Il n’y avait pas encore grand monde et j’exagérais sans nul doute en pensant que j’allais me battre contre moi-même. Je regardais quelques surfeurs que je connaissais de noms ou de vues et j’allais à côté d’elle en prenant la paire de lunette posée dans mon sac. Je l’utilisais comme doigts pour lui montrer un surfeur. « Stephen Jenkins, pas vraiment le roi du surf mais un peu sournois… Je ne le crains pas sachant qu’il a tellement la tête gonflée comme une pastèque que ça se retournera contre lui ! », disais-je en pointant alors vers sa sœur. « Carole Jenkins… elle, elle est redoutable. Elle est casse-cou et bien plus posée que son frère mais elle peut rester 10 minutes dans l’eau pour chercher, LA vague ! », disais-je en insistant sur le la. « Je la regarde souvent quand je m’entraine et elle a fait plusieurs cover de magazine sur le surf. Le pire c’est qu’ils ne sont même pas de Pasadena… », je riais doucement en haussant les épaules. « Ce sont les plus redoutables mais un jour, ça les feront tomber ! », disais-je alors persuadée qu’à force de vouloir faire la une, on tombait. J’en avais souvent vu vouloir prendre des bonnes vagues et tomber sur la roche en glissant de la planche. Même si on est entrainé, on n’est pas en sécurité. Je reculais aussitôt en lui souriant. « Papa les aurait battu sans soucis et c’est comment encore qu’il appelait les gens aussi prétentieux ? », lui demandais-je alors en riant doucement tandis que je mettais la main sur mon front en réfléchissant. C’était un juron qui ne me revenait pas du tout. Il n’en disait pas des masses mais il était différent quand il servait. L’esprit de compétition le faisait souvent parler tout comme pour Mael. Ils étaient un peu pareils. Parfois je refusais d’assumer que je pouvais aussi être agressive sous la compétition mais je crois qu’on l’est tous un peu dans le fond. En fait, je pouvais parfois me souvenir des choses philosophiques qu’ils ne disaient comme nos confidences. Je m’en souvenais toujours, oui mais là ? Je devais avouer que j’avais du mal à m'en rappeler. « Tu t’en souviens ? », lui demandais-je en souriant. « Un jour, j’arriverais à te faire surfer ! », ajoutais-je aussitôt comme une affirmation et sans appels. J’en étais persuadée et même sous la force.




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Sophia A. Steadworthy
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❝ Métier : agent immobilier (ancien cancérologue, spécialisée en pédiatrie)
❝ cupidon : le cupidon a utilisé une flèche cassée sur mon coeur. Mon mariage est un échec.
❝ post-it : maniaque - accroc à la cafeïne - rancunière - ancienne complexée - manque de confiance dans les histoires d'amour - gourmande - maladroite - aime passer du temps seule pour se balader - grande supportrice de sport - adore faire du tricot quand elle est frustrée. - a vécu pendant plusieurs années à NY - en procédure de divorce qui s'éternise - possède un carlin nommé Kim - vient de s'installer dans un appartement non loin de l'hôpital - dévastée par la mort de son petit frère (se referme sur elle-même) - a acheté un revolver pour se défendre - le 31 octobre, un homme s'est introduit chez Sophia, elle le tue en légitime défense mais est arrêté pour un procès - a fait un séjour en prison de 31/10/15 au 26/01/16 - a été acquittée lors de son procès le 26 janvier ) - a perdu son travail de cancérologue à l'hôpital - vient de commencer une thérapie pour reprendre sa vie en main - a été embauchée par sa meilleure amie pour être agent immobilier
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mot doux de Sophia A. Steadworthy un Mer 22 Juil - 14:39
J’eu une moue amusée face à la comparaison de ma sœur. Cependant, cela n’enlevait pas en effet le sentiment d’être choqué par un comportement aussi désagréable. Qui pouvait bien prendre plaisir à regarder cela ? Je me demandais toujours ce qui pouvait se passer dans la tête d’un type pour qu’il en vienne à penser qu’il pouvait séduire. Je n’étais pas d’un naturel très fan de la plage, je devais bien l’avouer et cela pour deux raisons. A cause du sable et à cause de toute cette population de dragueur vraiment lourd. J’allais donc assez rarement à la plage durant les journées de repos de la majorité de la population. Je préférais largement m’amuser ailleurs comme dans une piscine. Il restait cependant, que parfois, rien ne pouvait remplacer l’air marin de la mer… logique n’est-ce pas ?

J’écoutais alors ma sœur me décrire ses adversaires principales. Un homme avec des chevilles de toute évidence énorme et sa sœur plus humble mais sans doute trop sûre d’elle. Cela me faisait plaisir de voir Ariel s’enthousiasme à l’idée de les battre. Elle avait la niaque. Tout cela n’aurait pas été possible il y a de cela encore quelques mois alors que la maladie rongeait le moral de ma sœur triplette. En parlant de sœur, je me disais qu’il serait peut-être temps que je reparle un peu à la troisième des triplettes. Je n’avais vraiment plus de nouvelles. Faut dire qu’elle était aussi assez spéciale et bien que je l’adorais, certains traits de sa personnalité me dérangeaient quelque peu.

Ariel rappela à notre mémoire l’habitude rare d’utiliser les jurons dans des situations particulières comme cela. J’eu un sourire nostalgique à la pensée de mon père. Il me manquait énormément. J’aurais tellement aimé que la dernière de ma sœur puisse le connaître, lui et notre mère. J’avais conscience de la chance que nous avions de pouvoir les connaître. Cependant, je le concède, ils sont partis trop tôt, beaucoup trop tôt et on laisser un vide immense dans notre cœur, un trou béant difficile à combler même après les années. « Je ne m’en souviens plus. » dis-je en baissant le regard avec un léger sourire.

Elle changea finalement de sujet persuadée qu’elle arriverait à me faire un jour monter sur une planche. J’eu un large rire. « Ariel, Ariel, Ariel. Tu es têtue tu sais ? Mais je suis sans aucun doute aussi têtue que toi. » Je n’ai jamais été très à l’aise dans l’eau et mon équilibre pouvait se réduire au néant car je n’avais pas besoin d’être ivre pour tomber lorsque je me met sur une jambe, le coude posé sur le genoux et le pousse sur le nez. « Cela commence quand ? » demandais-je finalement assez impatiente de voir les exploits de ma sœur.
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