Invité et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! Invité
| mot doux de Invité ► un Jeu 17 Sep - 20:24 | | | C’était du n’importe quoi mais réellement du n’importe quoi. Le type velu s’amusait de moi alors que je voyais mon amie en danger mais en quelques secondes qui m’étaient semblé une éternité alors que tout était devenu au ralenti, je me retrouvais encore dans un toboggan avec mon fils devenu à nouveau une oie. Le toboggan tombait, tombait et tombait encore avant que nous atterrissions directement dans une montagne de feuille morte. Je nageais presque dedans alors que petit à petit, je trouvais pieds et j’allais récupérer mon oie redevenue un bébé pour le prendre dans mes bras. J’étais maintenant vêtue d’un bikini et je tournais mon regard vers Blythe pour me rendre compte qu’elle aussi. « Sexy ! », lui soufflais-je alors que c’est là qu’un bruit typique de cowboy se fit entendre. Un arbre de Cowboy arrivait. Parfois nus… et il y avait même des africains comme Kirikou qui arrivait en montrant son zizi à Blythe et faisant l’hélicoptère. « Coucou ! Je m’appelle Dylan mais tout le monde m’appelle Kirikou et toi ? », dit-il avec une voix enfantine mais après ça, nous entendions des rires joyeux et heureux dans notre dos. Je me retournais pour voir des fesses se dandiner et un corps finement musclé mais pas trop. Ce n’était donc pas un apollon mais un spaghetti qui avait fait de la musculation dimanche dernier. Il était tatoué comme… ah bah oui alors qu’il se retournait dans sa joie parmi les feuilles mortes en dansant, je reconnaissais le visage du cousin d’Aaron. Aiden. Non. Il jouait enjoué dans les feuilles avec la grâce d’une fée des bois alors que ça semblait être le plus beau joue de sa vie. En phase avec la nature, il s’allongeait avec le petit zigouigoui à l’air pour faire l’ange. J’inspirais doucement alors que je tournais mon regard sur Blythe. « On doit se mettre à poil, tu crois ? », lui demandais-je soudainement mais pourtant Kirikou enfin Dylan se son côté se mettait à poigner les fesses de Blythe pervers pour un si jeune âge. C’est à ce moment-là qu’Aiden la fée des bois arrivait avec des feuilles mortes à la main pour nous en mettre dans les cheveux comme s’il nous mettait une fleur de printemps pour nous rendre jolie derrière l’oreille. Non les feuilles mortes, c’est la vie mes amis. J’inspirais doucement quand il faisait ça et je me pinçais les lèvres pour refuser de regarder son kiki. Non mais ça ne va pas quand même ? Je me sentais gênée et je le laissais aller s’occuper de la feuille morte dans les cheveux de Blythe alors que je soupirais doucement en me sentant comme dans une dimension parallèle. « Je crois que c’est le truc le plus effrayant que j’ai vue pour l’instant… », disais-je en grimaçant comme avec dégout alors que j’avais horreur de ce crétin qui pensait que sa vie était une comédie musicale. Et voilà qu’il partait gaiement à nouveau dans ses feuilles en sentant comme une déesse dans un champ de blé. Il se mettait à chanter une chanson paillarde alors que je fronçais les sourcils en regardant mon ami. « Là, j’ai peur ! », m’exclamais-je tandis que je voulais bien retrouver le comte velu. |
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Kylian J. Hemsworth et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! P.S: If it is Austin, I still love you ♥
| mot doux de Kylian J. Hemsworth ► un Mer 23 Sep - 14:55 | | | Olivia & Blythe nous nous sommes perdues, avalées par un monde aux milles et une souffrances ou aux milles et une couleur mais ou sommes-nous si ce n'est dans nos rêves ? Je ne sus déterminer combien de temps la petite balade en toboggan dura, mais finalement, quand nous arrivâmes au bout, j’aurais voulu que celle-ci dure plus longtemps, histoire de ne pas tomber dans ce nouveau paysage encore plus troublant que tout ce que nous avions vu précédemment. Déjà, le fait d’être vêtues de bikini ne me mettait pas à l’aise, et je ne venais pas de l’inventer. En effet, je n’allais jamais à la plage, je ne mettais jamais de maillots de bains. Les sous-vêtements, aucun problème, mais dans un bikini, je me sentais exposée, à la vue de tout le monde, et cela avait pour don de me mettre mal à l’aise. Clairement, ce n’était pas ce monde étrange qui allait changer ce fait, et je le prouvai en lâchant un « Ta gueule. » parfaitement assumé à l’adresse de mon amie et ce, même si ce qu’elle venait de me dire était probablement un compliment. Je m’en moquais complètement, surtout que là, ce n’était pas du tout le moment de commencer à jouer les accros du shopping tandis que tout ce qui se passait devant nous n’avait rien d’un centre commercial ou d’une émission télé un peu ringarde où il fallait trouver son look parfait. En tout, cela semblait être le contraire. Tout faisait penser à quelque chose d’un peu primaire, voire bestial. Enfin, c’était plutôt un monde parfait pour les hommes : zizis à l’air, on fait ce qu’on veut, c’est la joie ! Enfin, c’était clairement la joie pour eux, parce qu’ils avaient un paradis du nudisme masculin où ils pouvaient laisser leur graine s’aérer sans se complexer. Oui, vraiment sans se complexer, parce qu’après que j’aie répondu à la question d’Olivia en affirmant : « Fais-le si ça t’amuse, mais je préfère être en bikini plutôt que de me promener nue frais dans cette… jungle. » un autre homme arriva, et si clairement, Olivia semblait mal à l’aise de le regarder dans son plus simple appareil, moi, j’en vins à la conclusion qu’il aurait pu se cacher, celui-là, parce que clairement, il n’avait rien d’impressionnant. Enfin… Peut-être était-ce parce que les fées des bois n’avaient pas intérêt à avoir de gros membres ? Je n’en savais rien, et pour être franche, je ne savais pas trop si je voulais le savoir, et Olivia non plus, clairement. En effet, elle me le fit comprendre quand elle me dit qu’elle avait vraiment peur. Moi, je n’en étais pas à ce point, quand même. Enfin, je ne disais pas que je materais des graines à la longueur de journée, mais nous avions vécu bien pire que cela plus tôt, quand même ! Cependant, bien décidée à ne pas continuer dans cet univers jusqu’à en devenir complètement cinglée, je pris la crainte d’Olivia comme un signal pour bouger, pris sa main, et je dis : « Viens, on se tire. » avant de chercher par où aller, me disant que n’importe quelle issue serait bonne pour quitter cet endroit. Pensant avoir trouvé une issue, j’entraînai mon amie vers la gauche, mais je me rendis compte que ce n’était qu’un cul-de-sac avec trois autres individus qui se faisaient aller la branche avec plaisir tout en chantant « I’m sexy and I know it ». Puis, je fis demi-tour, et c’est là qu’un chevreuil s’approcha, nous disant : « Suivez-moi, je connais le chemin. » Désespérée, je crus bon de le suivre, parce que clairement, il n’était pas assez généreux pour nous laisser monter sur son dos, et c’est avec lui que nous commençâmes à nous enfoncer dans un champ de maïs, passant au travers de tous les individus à poil. Limite, je les ignorais. La seule chose qui m’embêtait vraiment, c’était le maïs qui claquait sur ma peau encore presqu’entièrement dénudée en raison de la présence de mon bikini qui ne me gênait même plus à ce point. Je continuai alors à suivre le chevreuil, m’assurant qu’Olivia me suivait, obligée de courir pour garder la cadence, jusqu’à ce que je trébuche, m’affale par terre. Sitôt, je voulus me relever pour continuer, mais j’en fis incapable; j’étais coincée dans un paquet de boue collante et qui ne faisait que m’enfoncer. Paniquée à mon tour, je hurlai donc : « À l’aide ! » en sentant que je m’enfonçais de plus en plus, ayant peur que je disparaisse complètement et meure sous cette terre on ne peut plus dégoûtante. |
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Invité et oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais ! Invité
| mot doux de Invité ► un Ven 23 Oct - 4:41 | | | blythe & olivia nous nous sommes perdues, avalées par un monde aux milles et une souffrances ou aux milles et une couleur mais ou sommes-nous si ce n'est dans nos rêves ?
Cette situation était réellement étrange. Voir le zizi du cousin de mon petit copain ? Enfin même le voir nu était étrange ou le voir dans mes rêves. Je ne savais pas vraiment que c’était un rêve ce qui rendait la situation encore plus étrange que voir kirikou. Non mais je vous jure. J’inspirais doucement alors que Blythe avait mauvais caractère mais je ne m’en faisais pas mouche. Non. Ce n’était pas si grave car après tout, j’avais l’habitude. Elle avait peut-être ses règles dans mes rêves ? Peut-être. Elle souhaitait s’en aller mais cela ne menait à rien. Je la suivais avec le bébé dans mes bras. Je courrais avec elle vers cette issus sans fin car c’était… en fait un chevreuil qui croisait notre chemin et parlait. Normal. Il nous disait de le suivre et je n’étais pas vraiment emballée à l’idée de le suivre mais mon amie le faisait. On allait alors à dos du chevreuil et croisant donc les fous tout nus dont Aiden qui me saluait au loin en faisant l’hélicoptère. C’était troublant. Vraiment troublant. Je ne cherchais pas vraiment à en voir plus mais je voyais aussi d’autres personnes nues sur mon chemin, des inconnus de toutes formes. Le chevreuil s’arrêtait pour prendre le bébé dans ses bras en prétextant que j’irais plus vite et de lui faire confiance. Je le croyais et je le laissais prendre mon fils sans problèmes. C’est devant moi que Blythe chutait sur le sol et me faisait tomber par la même occasion tandis que je ne voyais pas le caillou devant moi alors que j’allais un peu plus vite en sa direction. Je lui tendais alors ma main pour l’aider à se sortir de là. Je tendais le bras tant bien que mal pour qu’elle l’attrape. Elle criait à l’aide mais elle ne semblait pourtant pas m’entendre. C’était assez effrayant. Mon cœur battait la chamade sous la peur de la perdre. Je ne savais pas quoi faire et je la voyais s’engouffrer dans la terre. « Attrapes ! », lui disais-je alors mais rien n’y faisait. Elle ne semblait pas m’entendre et les hommes tous nus se mettaient à faire la danse de la pluie autour de nous. La frayeur s’éprenait de moi et la terre s’agrandissait petit à petit autour d’elle pour arriver à moi. Je sentais ma poitrine s’enfonce dans celle-ci et au plus ça s’agrandissait et au plus je chavirais. Alors que j’attrapais sa main, plus rien. Le néant. Je me réveillais alors en sursaut dans ce canapé. Je regardais autour de moi et surtout vers elle qui dormait. La télévision allumée, j’allais chercher la télécommande pour l’éteindre. Je prenais alors un plaid pour le remonter sur celle-ci afin qu’elle n’ait pas froid. Je prenais ses jambes pour les étendre maintenant que je ne prenais pas la moitié du canapé et j’allais vers la chambre de Liam pour vérifier s’il dormait bien et surtout si il était là. J’ouvrais la porte et je souriais en le regardant à poings fermés dans la pénombre. Je refermais la porte en jetant un dernier coup d’œil vers Blythe qui semblait bien. J’allais dans ma chambre sans vraiment trainer des pieds et je m’écroulais sur mon lit comme une carpette. Je priais simplement pour ne pas refaire de rêves bizarres. Je voulais juste une bonne nuit si ce n’était pas trop étrange. |
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