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mot doux de Invité ► un Jeu 26 Mar - 15:53
Même si Noah avait parfois un problème avec sa famille ou du moins, comment elle était. Parce que bon, il mentirait s'il disait qu'il n'était pas entouré de gens bien. Ses nouvelles "mères" étaient peut-être des lesbiennes, mais cela ne faisait pas d'elles de mauvaises personnes. Elles sont attentionnées et ont toujours été là pour Noah lorsqu'il en avait besoin. Cependant, ayant été victime de moqueries au primaire, cela l'avait poussé à croire que tout cela n'était pas normal. Il avait remis en question les gens qui l'entouraient et encore aujourd'hui, c'était le cas. Le jeune Dawson ne s'était jamais vraiment confié à sa tante sur comment il se sentait face à leur famille. En même temps, il ne voulait pas les faire chier avec ça, surtout qu'elles avaient accueilli son frère et lui les bras ouverts. Disons qu'il aurait pu se retrouver dans un orphelinat ou dans une famille où la vie aurait été moins facile. Et puis, se confier n'était pas vraiment son truc. Parler, il pouvait le faire pendant des heures, mais lorsqu'il s'agissait de sentiments, il devenait plus discret. La seule personne à qui il réussissait à s'ouvrir était Summer. Auparavant, il avait son frère, mais depuis que ce dernier a quitté la maison, tout avait changé entre les deux frères Dawson. Cela pouvait sembler gamin de sa part de ne pas vouloir laisser partir son frère, mais il avait ses raisons. Son frère était ce qui le rapprochait le plus de sa vie à New York, de lorsque leur parent était toujours en vie. Il était le seul qui pouvait réellement comprendre ce que vivait Noah. Malgré cela, il est parti et l'a laissé. Maintenant, il est trop occupé pour prendre de ses nouvelles. Et lorsqu'il fait des efforts, Noah est trop rancunier pour lui laisser la chance. Enfin, le jeune est un peu compliqué quand il le veut. Il veut son frère, mais quand il l'a, il le rejette. Tout est logique dans sa tête, faut pas s'inquiéter. N'ayant pas son frère pour lui donner des conseils d'homme, il s'était tourné vers Caëlan, le cousin Barrow. D'ailleurs, les deux s'étaient donné rendez-vous au parc pour ce faire une petite partie de basket. Étant deux fans de sport, ça leur arrivait de passer quelques soirées à regarder des matchs de hockey, ce qui faisait un peu de bien à Noah. Christian n'était pas trop le mec sportif, du coup, le plus jeune des Dawson se trouvait souvent seul devant la télé à regarder des parties. Au moins, il pouvait compter sur son cousin pour lui tenir compagnie. Le jeune avait quitté la maison vêtue d'un t-shirt et d'une paire de short. Vêtement de sport quoi! Jouer en jeans n'était pas vraiment confortable et avec la chance qu'il avait, un faux mouvement et hop! Pantalon déchiré... Drôle, mais pas quand tu es la victime. Bien entendu, Piper lui demanda direct où il allait comme ça. Sa troisième mère semblait contente d'entendre qu'il allait jouer avec son neveu. Même qu'elle semblait fière... Bref, skate sous les pieds, il roula jusqu'au parc où il retrouva Caëlan déjà sur le terrain. À son tour, il y mit les pieds et regardait son cousin tirer au panier. « Barrow shots... and Barrow scoooores! » s'exclama-t-il en enchaînant avec des bruits de foules en délire.Faut bien un peu d'encouragement. Il s'approcha de son cousin et lui fit une poignée de main amicale. Il n'allait quand même pas lui faire la bise, ça serait bizarre. Ça briserait l'ambiance de virilité (oui, il y en a une!). « Hey mec, ça roule ? » Dans sa façon de parler, on pouvait tout de suite voir la différence lorsque Noah s'adressait à un mec et une fille. Quoique même avec les filles, il ne se gênait pas d'être très à l'aise. « Maintenant, prend des notes, le pro est arrivé. » Un peu trop sûr de lui - même s'il plaisanta -, il prit le ballon entre ses mains et tira au panier. « Booya! » lâcha-t-il en levant les mains dans les airs tel un vainqueur lorsque le ballon passa dans l'anneau de métal sans problème. Pour ça, il remerciait ses cinq années passées dans l'équipe de basket de son lycée.
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mot doux de Invité ► un Lun 30 Mar - 14:56
Noah& Caëlan  
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Sors ! Voilà, j'avais droit à un tas de remarque du style qu'il fallait que je bouge de chez moi. Que je cesse de déprimer, que je reprenne du poil de la bête. C'était très facile à dire, mais point à faire. C’était demander l'impossible à mon humble avis. Jamais je ne pourrais revenir l'homme que j'étais avant. Il y avait eu une évolution, certes cette dernière n'était pas la meilleure que j'aurais pu subir, mais je faisais avec comme tout le monde. Ma vie était devenue monotone avec tout ça et je n'avais guère le choix d'avancer avec. Sinon, je pouvais toujours allez me la jouer à ça le clown à une fête pour détruire le gâteau, jeter la crème fouetté sur les personnes ayant reçu une invitation. Puis crever les ballons devant les mômes qui fondraient en larme de crocodile en moins de deux. Mais, je n'étais pas cruel, alors ce n'était que des vœux qui pourraient me donner l'envie de reprendre goût à la vie. J'avais un tas de chose à faire pour récupérer la vie que je désirais. Des efforts, des batailles à gagner, c'était un peu jouer aux chaises musicale ou faire une chasse au trésor on se serait jamais quand ce jeu manquant d'adrénaline cesserait. Enfin, je faisais un tas d'effort ! J'acceptais de sortir, de profiter un peu des plaisirs de la vie en allant prêt de la grande roue quand le monde n'était pas trop présent, je venais surtout pour manger des churros ou encore des barbes à papa. Durant ma jeunesse c'était pour regarder les filles passer en patin dans une tenue rose bonbon et de les draguer. C'était fini ce temps-là. Je glissais ma main dans mes cheveux, je me préparais pour sortir, espérant ne pas sursauter au premier coup de klaxon qui pourrait avoir dans la rue me donnant envie d'aller me cacher dans les robes Corolla de ma mère. Je voulais arriver tôt, mais j'allais prendre comme bien souvent des passages qui n'allaient pas raccourcir mon chemin, mais le rallonger, histoire d'éviter la foule. Cela était ridicule, mais je l'étais. On me connaissait avec mes manies et aussi mes superstitions, mais avouons que depuis mon accident d'avion que je pilotais et mes deux nouvelles phobies ma vie était devenue très compliqué à vivre. Voire impossible pour mes proches. Je ne voulais pas rester dans cette vie en pagaille, mais je ne parvenais pas à décoller mes fesses de ces peurs, je ne me sentais pas prêt à les combattre. J'avais un peu honte de l'homme que j'étais devenu ! Mais, je devais faire dans l'ordre, comme parler avec mon fils dont je venais de découvrir l'existence et le fait qu'il vivait dans ma ville. Enfin, je ne l'avais vu que deux fois et je lui avais offert un bout de mon passé avec cette peluche qui pourrait devenir son doudou quoi qu'à dix ans, il n'avait pas besoin de ça ? Enfin, ce petit ourson contenait un polaroid de sa mère et moi durant cette époque antique où nous étions heureux. J'étais arrivé au parc, laissant mon regard se poser sur la mare aux canards, alors que j'observais par la suite le monde, pas beaucoup et vu l'heure cela était tout bonnement normal. Je souriais un peu avant de m'emparer de la balle en plastique rebondissant qui traînait. J'allais vérifier si j'étais encore un peu rouillé ou bien si j'étais toujours aussi doué. Après tout, je n'avais pas cessé de m'entraîner chez moi à faire du sport ou encore à courir à des heures où j'avais juste la chance de croiser une girafe échappé d'un zoo. Je commençais à dribler tout en shootant plusieurs fois avant d'entendre la voix de mon petit cousin, qui l'était plus par le cœur que par le sang. Pour le coup, je me retournais après avoir shooté. Je le saluais rapidement version virile, mais j'avais aussi envie de faire chier Noah. Je venais le prendre dans mes bras. " Ah je sais que t'aime ça ! " Ou pas, justement. Je rigolais. " Ça va et toi ? " Je pouvais être moi avec ma famille et cela me faisait un bien fou à tel point que je me sentais bien rien qu'en les voyants. " Il est où, je le vois pas ! " Je cherchais le joueur pro, bien sûr il parlait de lui, mais si lui était joueur professionnel alors moi j'étais la pompom girl la plus sexy du monde. " Oh tu veux voir qui maitrise de nous deux ? On se fait un petit un contre un, le perdant offre le repas ? " Je rattrapais le ballon faisant quelques rebonds sur le béton en ne quittant pas mon cousin du regard avant de lui lancer sans prévenir la balle sur lui.
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mot doux de Invité ► un Dim 12 Avr - 6:23
Bien que je ne lui ai jamais dit, Caëlan a toujours été comme une sorte de modèle pour moi. Nous avons tous cette personne - que ce soit de la famille, une célébrité ou peu importe - à qui nous voulons ressembler plus tard. Pour moi, c'était lui. Oui, j'avais mon frère pour me montrer la route vers la masculinité - ce qui était très nécessaire dans cette maison remplie de femme - et cela ne changeait pas le fait que je ne respectais pas mon frère. Il était cool lui aussi, mais pas aussi cool que le cousin. Le beau gosse qui a tout pour lui et qui peut sûrement avoir toutes les filles qu'il désire dans son lit. Plus jeune, je voulais devenir comme lui. Même si nous avions que six ans de différence, je le vénérais. Je ne lui ai peut-être jamais dit, mais je n'ai pas vraiment été subtile non plus. À chaque fois qu'il était en visite à la maison, je le collais peut-être un peu trop (en fait, je collais tout le monde). Pressé d'aller faire une partie de basket avec lui pour qu'il me montre quelques-uns de ses trucs. C'est à lui que je dois mon talent pour ce sport. Enfin bref, dorénavant, cette période de "groupie" est derrière moi. J'étais enfin devenu un (petit) homme. Bah ouais, niveau grandeur on ne m'a pas vraiment gâté. On fait avec. J'ai droit à quelques blagues de temps en temps, mais ça ne semblait pas être un turn-off pour les filles, alors ça ne me cause pas problème. Caël m'avait pris dans ses bras avant de lâcher une de ses conneries comme je les aime tant. Je répondis à son étreint en le serrant plus fort. « Mmmm... j'en veux plus! » lâchais-je comme une femme satisfaite. Je n'étais pas gay, mais mon cousin avait une belle gueule et je ne me gênais pas de plaisanter sur ce fait. « Tout va bien quand t'es la mon chou. » Peut-être que parfois je poussais trop la connerie, mais ça restait quand même drôle. Là où il y a de la gêne, il n'y a pas de plaisir! Bien entendu, à chaque fois que je voulais me la jouer cool, il devait rétorquer. Cela ne m'empêchait pas de tirer au panier et faire un swish. Like a boss! Je venais de prouver mon point. Il m'avait peut-être tout appris, mais l'élève surpasse le maître (ou pas, mais un jour... un jour.) Ce dernier avait rattrapé le ballon et dribblait le ballon tout en faisant un marcher avec moi. « Pas besoin de le voir, je le sais déjà. Par contre, vu qu'il y a de la bouffe gratuite en jeu, je veux bien te le montrer. » Je parlais souvent comme si je pesais trois cent kilos et que sans bouffe, je n'avais pas de but dans la vie. Une chose qu'il faut savoir à mon sujet est que pour la bouffe, je suis prêt à tout. C'est ma kryptonite. « Le gagnant choisit le resto. Si tu me paies un truc, je veux un repas qui en vaille la peine. » Contrairement à moi, il avait de quoi payé un bon resto. Tandis qu'avec moi, il pouvait dire bonjour au Big Mac. J'étais en position défensive, prêt à lui voler le ballon, jusqu'à ce qu'il décide de me lancer le ballon de dessus comme un débile. Il s'écrasa sur mon torse pour ensuite tomber sur le sol en rebondissant. Euh okay ? « What the fuck! C'est quoi ton problème ? » Ça n'avait pas fait mal. Enfin, si, mais en tant qu'homme qui se respect, je le gardais pour moi. Un homme qui chiale à la douleur, c'est comme une femme qui se brise un ongle. J'arquais les sourcils en levait les mains, tentant de comprendre son envie soudaine de m'utiliser comme cible. Une nouvelle technique de déstabilisation ? Dans tous les cas, ça fonctionnait. « Si tu voulais jouer au ballon chasseur, tu n'avais qu'à le dire. » À mon tour, je pris le ballon entre mes mains et lui lança avant de faire plusieurs pas arrière. Le regard concentré sur mon cousin, je n'avais pas remarqué le petit trou qu'il y avait dans l'asphalte et mon pied s'y était accroché causant ma chute. J'avais tenté de reprendre mon équilibre et me remettre sur mes jambes comme si rien ne s'était produit, mais je devais être honnête avec moi. Je bouffais trop pour être capable de stopper ma chute. Mon coccyx heurta le pavé et se fit bien ressentir, tandis que le reste de mon corps s'était laissé tomber sur le sol. Heureusement, mon premier reflex avait été de mettre mes mains derrière ma tête pour la protéger. Avoir une commotion était la dernière chose que je voulais. Cela ne prit pas de temps avant que mes mains se posent sur mon cul en se tournant sur le côté. Une belle grimace arborait mon visage, décrivant très bien ce que je pouvais ressentir en ce moment. Le fail! « Aucun... commentaire... » lâchais-je en tentant de retrouver mon souffle. Caël devait sûrement se marrer devant la scène. En même temps, comment ne pas rire ?

HS: j'ai changé au "je" je préfère mdrrrr
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mot doux de Invité ► un Ven 8 Mai - 20:18
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J’aimais réellement mon cousin. Non pas que je n’aimais pas les autres. J’avais une relation différente avec Noah et forcément je le protégeais un peu plus que les autres touts comme ma petite sœur. C’était ainsi et il était vrai que je ne pourrais pas l’expliquer à vrai dire. Mais, j’aimais vraiment être proche de lui. J’étais loin d’être ronchon quand j’étais avec lui, ce malgré mon accident, autant dire que c’était vraiment bien. Toutes les idées brumeuses étaient parties pour le coup, je pouvais enfin m’amuser. Quand je le voyais je n’avais plus l’impression d’être un judas ou encore un troll. Enfin, c’était assez compliqué pour le coup, je n’arriverais pas à m’expliquer comme je me sentais avec lui. C’était peut-être que quand je le voyais je me prenais une pelle ? Aucune idée, et pourquoi j’irais remuer mes méninges ? Cela ne servirait à rien mise à part à me rendre esclave de mes pensées. Pour le coup, ‘en avais pas besoin tout au contraire. Je devais profiter de cette métamorphose pour m’amuser. Un sourire de décoration était installé sur mon visage, alors que je serrais un peu plus fort mon cousin à ses mots. On aurait dit un poupon dans mes bras. Je mordais un peu ma lèvre avant de rire aux éclats. J’avais toujours aimé passer du temps avec lui et fêter, même si actuellement j’avais un gros problème avec les foules, alors j’évitais de faire la fête. Aucune fée ne pourra changer cela, personne n’y arriverait. En tout cas j’en doutais lamentablement. Comme un connard, j’étais plein de jurons quand je n’arrivais pas à contrôler la situation ce qui était le cas depuis un long moment. J’étais comme un chat qu’on faisait saliver devant sa gamelle de croquette. J’étais démuni, loin d’être épanoui tel un papillon venant d’éclore telle une petite fleur. « Je vais plus te lâcher, tu verras, comme ça tu en auras tout plein ! » Je pouvais devenir gluant s’il le désirait réellement, cela ne me dérangeait pas pour le coup. Quand il voulait. Je le regardais. « Je le savais que tu m’aimais ! » Je rigolais un peu embrassant le haut de son crâne en passant ma main dans sa crinière, oui il était comme un étalon mal coiffé. Le pauvre. Je le regardais avant d’observer les alentours, il n’y avait pas trop de monde, ce qui était assez bien pour le coup, ça m’éviterait de faire des spéculations ou de fuir les interventions de quiconque voudrait se ramener pour jouer. En ce moment, j’aimais bien les duos, ce qui me faisait souvent sortir des routes toutes tracés de ma vie ! J’évitais mes bandes d’amis ce qui ne l=plaisait pas forcément, j’allais finir par devenir une baleine à chier si je continuais à m’éloigner d’eux de la sorte. Une framboise sauvage, je vivais seul, voilà ce que j’étais devenu. Loin de mes triomphes. « Toi et la bouffe en même temps ! Mais, j’aurais dû préciser que tu n’aurais droit qu’aux carottes et rien de gras comme la mayonnaise. » Soufflais-je pour l’embêter un peu. Il était comme moi pour la bouffe. Moi, je me sentais tellement bien avec de la nourriture à gogo que je pourrais oublier le mal être qui me poursuivait quand il y avait du monde. Enfin, tant qu’on ne me faisait pas manger du pain au pavot c’était tout bonnement horrible pour le coup. Les graines restaient coincées dans mes dents, j’en avais horreur. « Monsieur a des gouts de luxe, j’en suis sûre ! Puis qu’une donzelle ! » Disais-je en rigolant un peu, il était un peu comme une nymphe de la nourriture celui-là. Je l’écoutais après lui avoir lancé le ballon. Je secouais la tête. « Rattrapait, voilà ce qu’il fallait que tu fasses ! » Il faisait son petit Justin bieber, il avait sa tête quand il faisait du boudin, enfin c’était mon impression, que je ne lui dirais jamais, le pauvre ce n’était pas un compliment pour ma part. « Alors joue au lieu de pleurer ! » Je le taquinais ! On était quelques fois un peu brut, mais autant dire que ça n’allait pas trop loin pour le coup. Je croisais mes bras sous ma poitrine attendant ce qu’il allait faire, avouons que je n’espérais qu’une chose qui se bouge un peu. Heureusement pour mon cousin, je me doutais qu’il était plus doué à enfiler une capote qu’à réagir. Je souriais à cette idée, un peu stupide, mais bonne. Je l’observais m’attendant nullement à cette scène désastreuse qui allait se produire. J’eus un petit moment d’inquiétude, oui très petit, en même temps c’était mon cousin, je n’avais pas envie de le voir blessé ou autre. Je secouais la tête. « Même pas un petit ? » j’en avais plus d’un, mais il avait dit aucun commentaire ce qui me faisait royalement chier pour le coup. Je m’en approchais pour l’aider à se relever ! Je tendais mes mains pour qu’il les prenne. « Je pense que tu vas devoir débourser de l’argent dans un restaurant prestigieux ! » Disais je pour le narguer !il était censé me prouver qu’il était meilleur ? Raté.
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