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Melvin ▬ ferme les yeux et imagine que je suis là près de toi


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Alvin R. Prescott
Alvin R. Prescott
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❝ Métier : Ancien agent du FBI, qui fut un temps bodyguard, maintenant sans emploi
❝ cupidon : Veuf et même si parfois ses pensés vont à sa défunte femme, son coeur est prit par Melody
❝ post-it : Lieu de naissance, New Jersey → Né d'un père alcoolique et d'une mère battue, je connus la violence physique très jeune. → À six mois, j'ai fuis avec ma mère le New Jersey pour ma propre protection. → Je n'ai jamais vécu bien longtemps dans une ville. → À 5 ans, ma mère se fit assassiner par mon père qui nous avait retrouvé. Je suis retourné vivre chez ma tante. → Je suis fils unique, mais ma tante a adoptée une petite fille lorsque j'avais dix ans, Liv. → Je n'ai jamais revu mon père depuis qu'il a tué ma mère, je suppose qu'il s'est fait arrêter. → Je suis tombé amoureux d'une infirmière urgentiste et deux ans plus tard nous étions marié. → Après notre mariage on a déménagé à Pasadena. → Même si j'étais un bourreau de travail, j'ai toujours sut rester fidèle. → Après six années de mariage, elle a été assassiné par mon coéquipier. → J'ignorais et j'ignore toujours qu'elle avait une liaison avec celui-ci. → Je ne suis pas très habile avec les enfants. → J'ai découvert que mon coéquipier était un flic véreux et faisait affaire avec la mafia. → On me soupçonne d'avoir assassiné ma femme. → Le FBI m'a suspendu jusqu'à preuve du contraire. → Je suis donc rendu un flic ripou, alors que je n'y suis pour rien. → Je vais tenter de blanchir ma réputation ! → J'ai kidnappé la copine de mon coéquipier pour trouver une façon de faire éclater au grand jour la vérité. Seulement, ce n'est pas si facile que ça...
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mot doux de Alvin R. Prescott un Dim 12 Avr - 8:43
melody & alvin

ferme les yeux et imagine que je suis là près de toi
Un large sourire apparaissait sur mes lèvres, alors qu’elle me disait s’être préparé ce repas que pour elle. Je n’en doutais pas, après tout je m’étais invité. J’étais apparu comme le Morphée à la tombée de la nuit. Je ne cherchais pas vraiment à la voir d’aussi près. Simplement, parce que de la savoir ainsi à côté de moi me retournait. Ça créait dans un mon bas ventre une ribambelle de sensation. Joie. Douceur. Inquiétude. Désir. Tristesse. Ainsi, je ne savais plus comment gérer tout cela. Je voulais tant être avec elle, revoir ce sourire qui avait si souvent foulé son visage. Pourtant, je ne me sentais pas en droit de le demander. J’osais tout de même lui prendre le poignet pour l’attirer à moi. Je voulais sentir son corps près du mien. La chaleur qu’elle pouvait dégager, tout comme celle que je pourrais lui transmettre. Mes bras autour d’elle, mon menton lové dans le creux de son cou, je venais de dire des mots. Des paroles, que je croyais plus que tout. Aurais-je pu m’en sentir capable en d’autre moment ? Je ne pouvais l’affirmer, mais voilà, ainsi collé à elle j’avais déballé un torrent de sentiments. Tous ces mots n’étaient pas trompeurs, bien que je les dise après lui avoir dit adieu. J’avais regretté ces paroles à l’université, mais je suis humain. Et l’erreur est humaine. J’avais tout fait pour tenter de l’oublier, mais je réalisais peu à peu, que je devenais une coquille vide sans elle. Je sentais le contact de ses mains sur mon échine, me fermant les yeux. Ce geste aussi futile soit-il, j’appréciais cette sensation qu’il créait en moi. Avais-je oublié Katherina ? Non, elle hantait encore mes pensées, mais j’arrivais à me laisser bercer par d’autres émotions. J’apprenais simplement à revivre à ses côtés. Mon cœur trouvait la force de battre encore pour une personne. Une chose que je n’aurais jamais crue possible en d’autre temps, bien avant de la connaître. C’était peut-être cela qui m’avait fait fuir. Cette perception différente que j’avais désormais. Il y avait six ans, j’avais fait des vœux de fidélité. Aujourd’hui, j’étais veuf et malgré cela au lieu de me remettre en question, j’avais laissé l’animosité vers Edward naître. Ainsi, j’avais pu faire sa rencontre, une rencontre pour le moins étonnante. Je la serrais un peu plus contre moi au fur et à mesure qu’elle parlait. Elle semblait toute aussi perdue que je pouvais l’être, mais devions-nous rester seul dans cette brume ? « Laisse refroidir, on pourra toujours réchauffer au four micro-onde. » Je l’avais laissé parler, sans prendre la peine de l’interrompre. Je n’en voyais pas la nécessité, commencer à l’entrecoupé de mes mots, n’aurait servi à rien. « Je n’ai pas l’intention de partir, enfin je devrais repartir si je veux garder mon avantage sur eux. Mais je compte bien revenir. » En disant ces mots, j’embrassais sa clavicule d’un baiser chaste. « Peut-être que justement, en te disant adieu, j’ai pu réfléchir. J’ai compris certaine chose, des choses que j’avais besoin de comprendre loin de tout ceci. Melody, j’ai besoin de toi à mes côtés. Tout comme toi, j’ignore ce que l’on n’est, mais je sais que loin de toi… Je trouve plus la force pour surmonter tout cela. Tu es ce petit rayon de soleil qui réussit à percer la pénombre de vie. Tu n’es en aucun cas un poison, Edward l’est bien plus. » J’avais murmuré la dernière partie de ma phrase. Je défaisais mon emprise autour de sa taille, prenant son menton entre mon pouce et mon index. Puis, je faisais tourner son visage vers le mien. « Je me fous, qu’ils essaient d’entrer ce soir. J’ai réellement envie de rester avec toi. Sentir ton contact et te regarder dormir au petit matin. Et s’ils viennent, je ferai comme dans la salle de bain, je trouverai une cachette. Et cela même si je dois me transformer en Croque Mitaine sous ton lit. » J’embrassais la commissure de ses lèvres d’un baiser qui se voulait d’une grande innocence. « Qui est douillet d’ailleurs, ça change des planchers ou des lits d’hôtel. Mais bon, je ne veux pas non plus te forcer. Si tu désirs que je parte, après ce repas… » Je prenais un temps de pause, croisant mon regard céruléen avec le sien. « Je partirai, mais je compte bien revenir. » Cette fois, j’embrassais ses lèvres comme j’en avais rêvé ces derniers jours. Entourant son visage de mes mains, je laissais ma gourmandise l’emporter sur l’état d’esprit saint. J’approfondissant ce baiser au-delà de mes espérances. Je ressentais un chamboulement dans mon bas ventre. Cette femme avait un pouvoir sur moi, que je ne saurais décrire. Pourtant, je n’avais pas peur de lui, tout au contraire. Je désirais le connaître et surtout le vivre. Et pour cela, j’avais besoin de l’avoir dans ma vie et même si cette histoire finirait aussi tragiquement que Roméo et Juliette.
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mot doux de Invité ► un Ven 17 Avr - 18:36
alvin & melody

ferme les yeux et imagine que je suis là près de toi
Cette situation était étrange. Perdue ? Ce mot collait-il réellement ? Avait-il une vraie alchimie avec la situation ? Je ne savais pas comment décrire ce que je ressentais ou non. Dites-moi que je suis une imbécile et je vous croirais car dans le fond, j’avais besoin qu’une personne me dise ce qu’il se passe. J’avais besoin de savoir ce que je ressentais car j’étais incapable de mettre des mots sur mes émotions. J’étais incapable, tout simplement mais effrayée à la simple idée qu’il s’en aille pour ne pas revenir. J’avais peur, oui. Tout simplement. L’être humain ne sait jamais jusqu’où son cœur peut aller. Jusqu’où peut-il laisser sa peau souffrir ou sa peur lui déchirer les entrailles ? Quelle était mon seuil de tout ? Quel était mon seuil par amour. Qu’étais-je prête à faire ? Pourquoi même parlais-je d’amour ? Je me disais que cela paraissait tellement fou. Avant de le rencontrer, je me persuadais encore que j’aimais Edward. Peut-être étais-je pitoyable à ce moment-là. Happée par les manigances de mon cœur qui me manipulait ? Je ne voulais pas être seule. Je l’avais aimé, réellement aimé mais cela s’était peut-être estompé ? J’avais changée et ça personne ne pourrait me contredire. Cela m’avait clairement empêchée de l’épouser depuis 6 années. J’étais devenue une autre femme dès l’instant où l’on a retrouvé le corps inanimé de Cameron. Je n’avais été personne sauf un souvenir du passé. J’étais devenue cette fille qui voulait vivre comme toutes les personnes que l’on croise. Cette fille qui voulait réaliser les vœux de son frère. Une fille indépendante qui n’a besoin de personnes pour vivre sauf d’elle-même. J’avais voulue être cette fille pourtant Alvin me donnait l’impression de redevenir petit à petit cette jeune fille romantique, avide d’amour, de sensations fortes et qui pourrait se battre pour sentir son cœur battre. Cette fille qui se bat contre le bonheur et pas juste contre le calme. Non. D’habitude, j’aurais fuis la tempête et je me serais enfermée dans mon quotidien pour ne pas souffrir, ne pas perdre ou simplement tellement de choses. Je ne voulais pas souffrir pourtant je m’en fichais. Je voulais juste être avec lui comme cette jeune femme qui avait rejoint Cameron sur les quais… Je l’avais regretté mais j’avais peur de le regretter à nouveau. Dans le fond, je m’étais arrêtée de vivre et il m’avait rallumé. Je me confiais et je voulais tout autant m’éloigner et arrêter ces confidences comme pour étouffer le poussin dans l’œuf mais cela n’était pas réellement une bonne idée. J’avais beau vouloir chasser les idées noires, je n’y pouvais rien. Elles étaient là. Je ne pouvais pas juste m’endormir dans ses bras et arrêter de ronfler pour une fois. Mais non, je ne ronfle pas. Laisser refroidir disait-il… mais j’avais faim tout de même. Je l’écoutais repartir tout en me glissant à nouveau dans mes songes. Ses mots griffant mes émotions avec tendresse. Je l’écoutais attentivement comme si mon monde avait besoin d’être sauvé par sa voix. Son baiser sur ma clavicule, chaste mais ça m’allait. Je suivais ses mots. J’entendais ceux-ci. Il me disait tellement de belles choses mais devais-je y croire ? J’avais tant été manipulée, trahie… on avait jouée de moi comme l’on joue avec un ballon gonflé. J’avais passé ma vie à organiser tout afin de ne pas être le dindon de la farce et pourtant ? Je n’avais pas échappée à la cruauté des miens tout comme un pauvre renard mangé par un animal. Il tournait mon visage vers lui et totalement à sa merci, je me laissais faire sans même réagir. Je buvais ses mots tellement affectueux, tellement vraie et même si j’avais mal au cœur à me refermer pour me protéger. Vouloir protéger mon cœur n’était pas efficace car rien que le vouloir faisait mal. La confiance. J’avais confiance en lui pourtant j’ignorais à la fois si je pouvais avoir confiance en ma confiance. C’est minable dans le fond, pas très malin. Avait-il raison de s’en foutre qu’ils entrent ? Je me disais que non. Je le laissais pourtant embrasser mes lèvres alors qu’effrayée, je n’étais pas convaincue par l’idée. Je souriais alors qu’il me disait que cela changeait. « Et mon canapé… », Précisais-je alors qu’il y avait dormi quelques nuits au début. Je le laissais terminer… il allait revenir. Il ne voulait pas me forcer. Il ne me forçait pas à être avec lui, non. Ils me forçaient à avoir peur d’être avec lui et pour lui ou peur qu’il s’en aille pour ne pas revenir. C’était étrange comme peurs. Toutes contradictoires dans le fond. Mais non, faible alors qu’il déposait ses lèvres contre les miennes. J’y répondais à ce baiser. Au fil de son approfondissement, j’approfondissais d’autant plus. Je me tournais, pivotant de mon flan pour me laisser glisser contre lui. Je laissais mon poids le pousser au matelas, m’allongeant alors que PAF. Bah le télécommande était en dessous. Elle allumait la télévision sur Big mama qui défilait. Cet agent du FBI infiltré. On entendait ce bruit du film. Les sirènes… les courses poursuites d’un homme en costume de mamie. Je souriais doucement contre ses lèvres en ouvrant les yeux dans un instant de réalisation. Oui, je réalisais ce qu’il venait d’arriver. Je tournais mon regard vers l’écran rapidement avant de le tourner à nouveau vers lui. « Désolée… », je fronçais doucement le nez. « Je faisais des plans, des enquêtes pour savoir… quel était ton monde, le vôtre qui n’est pas le mien et c’est tout ce que j’ai trouvée dans mes dvds… », soufflais-je en riant doucement. C’était pitoyable. Je l’avouais. « Et j’ai appris à me battre en regardant un film de Jennifer Lopez ! », disais-je alors en étant assez fière de moi. Je lui souriais aussitôt en retrouvant peu à peu mon sérieux alors que le film défilait dans mes oreilles. « C’est mignon ce que tu dis… », soufflais-je en penchant doucement le regard alors qu’une de mes mains se glissait le long de sa peau. Un geste affectueux mais surtout… vitale. J’avais besoin de ce contact. « Regarder ce film m’a cependant montré que les apparences peuvent souvent être trompeuse, on peut être fort, courageux et tout ce qu’on veut mais ce n’est pas en se cachant dans un costume qu’on n’est jamais retrouvé… Est-ce que me regarder dormir, être avec moi vaux réellement le coup de te perde ? », demandais-je alors un peu à moi-même. Je penchais doucement la tête en le regardant. « Puis le croque-mitaine n’existe pas… », disais-je en souriant doucement. « Et j’ai très faim… », rajoutais-je avant de reprendre ce baiser pour l’approfondir un peu plus. Je reculais pourtant une dizaine de secondes après en le regardant. « Mais pas de toi… », disais-je en lui tirant la langue. Un mensonge ? Oui, un mensonge. Tellement mais je le taquinais avant tout. Je voulais chercher une sorte de légèreté car cette morosité était tellement… elle ne m’aidait pas à y voir clair. J’étais perdue.
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mot doux de Alvin R. Prescott un Ven 8 Mai - 21:39
melody & alvin

ferme les yeux et imagine que je suis là près de toi
Mes bras autour d’elle, je laissais les mots et mes désirs s’écouler de mes lèvres sans retenu. Je ne cherchais pas à cacher une fois de plus ce que j’avais désespérément tant désiré cacher en moi. Je ne pesais pas mes mots, je les laissais simplement venir au gré de mes sentiments. Je pouvais la faire fuir, par mes mots, mais peu importe. Ils avaient tout simplement besoin d’être dit, et c’était sans doute plus pour me convaincre qu’elle. Après tout je ne comprenais pas la moitié de ce que je ressentais à son égard. Je n’avais ressenti des papillons pour une femme qu’il y a un peu plus de six ans, alors que j’avais fait la rencontre de celle qui allait devenir ma femme. Et pourtant, aujourd’hui, je les sentais naître en moi remuant à un point tellement que j’avais de plus en plus mal, et surtout lorsque j’étais loin d’elle. Je concluais mes paroles avec un baiser que je désirais audacieux, tout en n’ayant rien des pelles que peuvent se faire les adolescents. Glissant mes mains sur ses joues, j’échangeais ce baiser avec elle. Mes lèvres tentèrent de découvrir ce que je n’arrivais pas à comprendre et plus encore. Je laissais mon corps réagir au moindre de ses mouvement, elle se tournait me poussant à m’étendre et c’est docile que je me laissais retomber mollement sur son matelas. Un bruit. Et il ne fallut qu’un instant avant d’entendre un boucan. Alors qu’elle rompait ce baiser, j’ouvrais les yeux la regardant. Penchant ma tête vers l’arrière je tentais de regarder ce qu’elle regardait. Mes sourcils se froncèrent en voyant une mamie jouer les gros dures. Je n’avais pas la moindre idée de ce qu’était ce film ou cette émission. Car à part the Notebook, je ne connaissais pas grand-chose au film. Et ce dernier, je le connaissais surtout parce que c’était le favori de Katherina. Je reportais mon regard sur elle, cette femme qui n’avait rien de celle que j’avais marié. « Ce n’est pas grave. », disais-je avant qu’elle ne mène à bien ces explications. Elle désirait connaître mon monde, mais je ne trouvais pas que celui-ci valait tant la peine d’être connu. Certain avait la chance de vivre comme des agents paisibles, alors que d’autre avait une vie plus tumultueuse. D’une certaine façon, je rêvais de ce calme si désirant. Déposer les armes, mais en ce moment rien ne m’était promit. Je retenais un rire, en la voyant si fière de savoir ce battre en regardant J.Lo. Tout d’un coup, je me sentais attirer par cette curiosité de la voir se battre et surtout de voir si c’était réellement vrai qu’elle pouvait se défendre. Je passais une main dans ses cheveux encore un peu humide, glissant une mèche de ses cheveux derrière son oreille. « Et si je te disais que demain n’existe pas, tu te poserais toujours cette question ? », demandais-je en retroussant le coin de mes lèvres. « Demain, n’est pas encore écrit. Le destin n’a pas de pouvoir si on désir de vivre notre comme on l’entend. Et je n’ai pas envie de lui donner une raison de plus de nous séparer simplement parce les toutous de ton père ou Edward se trouve non loin de nous. J’ai envie d’être égoïste et de penser à moi, à nous, avant les autres. » Elle me disait avoir faim et je souriais, passant mes bras autour de son corps. « Pas de moi. », répétais-je en retenant un rire amuser. Je laissais ma tête retomber sur le matelas. « Ça tombe bien, vu que je n’étais pas venu pour cela. Mais tout d’un coup, je ne croyais plus capable de résister à tout ceci. Mais si tu n’as pas faim de moi, ce sera plus facile de gérer. », continuais-je en souriant. Je devais bien l’admettre, je n’étais pas là pour ça. Mais simplement pour la prendre dans mes bras, pour la voir et m’accorder un moment en sa compagnie. Je me relevais sur mes coudes, haussant un sourcil en la regardant. « Alors on mange ? », disais-je en souriant. Je me redressais tout en la gardant lover contre moi. « Interdiction de me faire manger ! », plaisantais-je tout en trempant mon doigt dans la sauce avant de badigeonner le bout de son nez et de l’embrasser à ce même endroit. Je gouttais, sapant, avant qu’un sourire s’élargisse sur mes lèvres. « Pas mal. », commentais-je en la regardant amusé.  
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mot doux de Invité ► un Mar 26 Mai - 16:13
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ferme les yeux et imagine que je suis là près de toi
Un film aussi nul pouvait-il m’aider à devenir une femme forte ? Devais-je être forte pour le mériter ? Je me demandais tellement si je faisais ça pour être la femme parfaite pour lui ou me sentir simplement apte à me défendre. J’ignorais qu’elles étaient mes réelles motivations et pourtant. Je n’avais pas pu faire autrement que de lui dire simplement que je pouvais me battre mais cette question ? Oui, cette question. Valais-je réellement la peine qu’on se batte pour passer du temps avec moi ? Manquais-je soudainement d’estime de moi ? Sûrement. Je ne voulais simplement pas accepter le fait d’être la personne qui pourrait le mettre en danger. Cette personne, oui. Je ne voulais pas risquer son mal alors que je ne voulais pas non plus qu’il s’en aille. Idiote ? Sûrement mais je voulais tout autant profiter de sa présence. Je devais paraitre comme une girouette. Je me sentais comme une girouette alors que mon cœur parlait avec la raison pour penser autant avec le cœur que ma tête. Toute une logique cette phrase. Tellement. Et je souriais en l’entendant me poser cette question pourtant elle laissait un doute. Je ne savais pas quoi répondre. Devais-je agir avec honnêteté ou romantisme ? Je n’avais pas la clé à ce succès. Une partie de moi était effrayée tout simplement de l’avenir pour tellement de raisons. Je prenais une profonde inspiration en secouant doucement la tête sans portant donné de réponses. Je me contentais de l’écouter. Demain peut-il être un autre jour ou ne pas exister ? C’était un peu la question qui valait un million de dollars ou presque. La mèche de mes cheveux replacée derrière mon oreille. Je me contentais de laisser sous-entendre que mon ventre criait famine alors que ses mots étaient dans mon esprit. Oui, ils étaient là alors que je précisais ne pas avoir faim de lui, je riais à sa réaction. « Ah bon ? Plus capable de résister ? », demandais-je alors soudainement. Je le voyais comme une sorte de défi mine de rien mais non. J’étais affamée. Je ne mangeais pas des masses et je devais admettre que mon poids n’avait pas changé pourtant j’avais cette faim qui me criait de faire plus attention à mon corps. Je me redressais doucement quand je le sentais se mettre sur les coudes en l’entendant. On mange ? Bonne question et je riais aussitôt. Docile, je me laissais attirer vers lui. « Mince, je voulais te donner la fourchée ! », disais-je avec une petite moue. Une petite moue, oui, voilà tandis que j’avais le nez tout badigeonné de sauces. Et il allait me lécher le nez ? Je riais en le sentant juste l’embrasser. Aurait-il osé ? « Me manger et manger sur moi, c’est pareil ? », demandais-je par curiosité avant de déposer un baiser sur son buste. Je laissais mes lèvres frôler sa peau jusqu’à son oreille en souriant. « Bonne digestion ! », disais-je en riant aussitôt. « J’avais envie de gouter ! », disais-je alors que je prenais la fourchette de l’une des assiettes que je fournissais assez bien de quelques bouchées. Je la portais avant d’avoir vérifié qu’elle n’allait pas goutter sur les draps. Je la portais aussitôt vers lui en souriant. « Allez, ouvres grands la bouche… », disais-je avant de changer le chemin pour mener la fourchette à la mienne. Je souriais doucement, le grand sourire taquin, un peu joueur. Un bon moment, pensé à lui, oublier tout le reste. Je voulais lui offrir ce moment et même si j’étais réellement effrayée. Je voulais tout simplement faire ça pour lui. Je voulais juste penser à lui avant de penser à mes peurs. Tout en simplicité, tout en légèreté. « Tu m’as interdit donc je mange pour moi-même ! », lui annonçais-je tout simplement. Je reprenais une fourchée en la garnissant à nouveau. « Tu la veux ? », lui demandais-je en souriant doucement. « Ou je te laisse faire ? », demandais-je alors que je posais mes yeux bleus dans les siens. « Ou alors on change de menu ? », proposais-je avant de rire aussitôt mais non, je finissais de m’appliquer en reposant mon regard sur l’assiette. Je rajoutais un peu de légumes et je l’approchais. Pour moi ? Pour lui ? Telle était la question.
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❝ post-it : Lieu de naissance, New Jersey → Né d'un père alcoolique et d'une mère battue, je connus la violence physique très jeune. → À six mois, j'ai fuis avec ma mère le New Jersey pour ma propre protection. → Je n'ai jamais vécu bien longtemps dans une ville. → À 5 ans, ma mère se fit assassiner par mon père qui nous avait retrouvé. Je suis retourné vivre chez ma tante. → Je suis fils unique, mais ma tante a adoptée une petite fille lorsque j'avais dix ans, Liv. → Je n'ai jamais revu mon père depuis qu'il a tué ma mère, je suppose qu'il s'est fait arrêter. → Je suis tombé amoureux d'une infirmière urgentiste et deux ans plus tard nous étions marié. → Après notre mariage on a déménagé à Pasadena. → Même si j'étais un bourreau de travail, j'ai toujours sut rester fidèle. → Après six années de mariage, elle a été assassiné par mon coéquipier. → J'ignorais et j'ignore toujours qu'elle avait une liaison avec celui-ci. → Je ne suis pas très habile avec les enfants. → J'ai découvert que mon coéquipier était un flic véreux et faisait affaire avec la mafia. → On me soupçonne d'avoir assassiné ma femme. → Le FBI m'a suspendu jusqu'à preuve du contraire. → Je suis donc rendu un flic ripou, alors que je n'y suis pour rien. → Je vais tenter de blanchir ma réputation ! → J'ai kidnappé la copine de mon coéquipier pour trouver une façon de faire éclater au grand jour la vérité. Seulement, ce n'est pas si facile que ça...
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❝ autres comptes : AIDEN ▬ (a.levine) l'ambulancier qui veut aider son prochain, mais ne s'aide pas lui-même. GRANT ▬ (g.gustin) L'homme à la tête d'adolescent pré-pubère. CARTER ▬ (a.kendrick) la maman qui ne s'est pas quoi penser du père de son enfant. JONAS ▬ (r.amell) le pro du spacecake, wesh ! DEVON ▬ (k.graham) la métisse qui retrouve son passé abandonné. JAMIE ▬ (d.gillies) l'homme qui ne comprend pas le sens du mot amour et encore moins de celui de la fidélité. GWEN ▬ (s.johansson) celle qui raffole de la nourriture américaine et vendrait son âme pour un hot-dog !

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mot doux de Alvin R. Prescott un Ven 19 Juin - 20:04
melody & alvin

ferme les yeux et imagine que je suis là près de toi
Les contes de fée étaient faits pour être simple, mais la vie n’avait pas les mêmes bases. On ne pouvait pas se fier à ce qu’on voyait dans ces contes pour guider nos choix, nos gestes et nos mots. Ç’aurait été tellement plus simple si ç’avait été le cas. Et malgré tout ce que je pouvais croire ou dire, je restais ouvert d’esprit. Sachant que la vie pouvait se terminer sans qu’on s’y attende, je prenais la décision de la vivre à fond. C’était peut-être une erreur de ma part, mais je n’avais tellement vu de personne partir sans que j’aie le temps de leur dire au revoir. Je ne désirais plus lui dire ces mots, mais je ne voulais pas non plus regretter ce que je n’aurais pas pu vivre à ses côtés. Certes, je savais que je devais rester vigilant, inutile d’attirer l’attention sur nous, coupant de court ce moment. J’étais prêt à vivre cette soirée avec et peu importe le genre de soirée qu’elle désirait. Et si c’était simplement manger, alors soit ! Manger se sera. Je m’amusais, jouant de ses mots pour dire que je n’allais pas non plus la croquer. Soyons tout de même raisonnable ! L’envie de me manquait pas, mais je restais un gentleman et si on me disait non, je comprenais la signification. Je n’étais pas de ceux qui croit que non veut dire oui et que oui veut dire non. Penser ainsi n’était qu’une attrape qui finalement causait plus d’ennui à tous ceux qui le vivaient. Je me mettais sur mes coudes, plongeant mon regard dans le sien, décrochant un petit sourire amusé. Je rajoutais une couche de plaisanterie, désireux d’une atmosphère plus douce sans prise de tête, ainsi je lui mettais de la sauce sur le bout du nez avant d’embrasser cette parcelle de peau. J’aurais pu qualifier sa sauce de succulente, mais je préférais jouer l’homme plus difficile. Celui qui semble indifférent, alors qu’il serait le premier à faire le pas. J’agissais ainsi dans le but de voir ses réactions, profiter de ses mimiques pour graver chaque instant dans ma mémoire. Je ne voulais n’oublier aucun d’eux. « Disons, que je voulais tester le mélange de saveur. » Ça faisait presque pervers dit ainsi, mais je suis comme tout le monde. J’ai ma petite part de mec pervers en moi. Je ne peux pas être ce Prince qu’on voit dans les contes de fée. Au moins, un sourire apparaissait sur son visage et je considérais que j’avais réussi ma mission. Je ne voulais pas voir cette moue. Pas tant que je serais présent avec elle. Elle embrassait mon torse, laissant mes lèvres s’étirer doucement dans mon amusement de la voir agir. Je la laissais faire son petit manège, je savais que mes paroles l’amèneraient à s’amuser. Je gardais tout de même silence, la voyant faire l’avion, sans bruit, dans ma direction. Sans broncher, je la laissais manger cette part. Même si je ne me nourrissais que très peu en ce moment, et surtout très mal, je ne sentais pas tant la faim m’envahir. « On ne t’as jamais appris qu’on ne doit pas jouer avec la nourriture ! » Bien entendu je la taquinais, la laissant mangé cette seconde bouchée. Bougeant un peu sous elle, je me redressais faisant bien attention pour pas qu’elle ne tombe. Je la regardais me laissant envahir par un sentiment de légèreté. « Vaut mieux manger avant que ça soit froid. » J’embrassais sa joue, prenant la seconde fourchette piquant les dents de métal dans un légume. Elle avait préparée quelque chose de beaucoup plus élaborer qu’une vulgaire pizza au jambon. Je restais silencieux, mangeant tout ce que mon ventre voulait bien avalé. En fait, j’avais surtout l’air de l’oiseau picorant d’un peu de tout avant d’être gavé comme une oie. J’avalais la dernière bouchée, avant d’embrasser sa joue. « C’était très bon. » Je n’avais pratiquement rien mangé, mais c’était suffisant pour moi. Bien qu’on ait plaisanté sur la nourriture, je me sentais plus léger de l’avoir laissé manger comme elle le désirait. Je passais mes bras une nouvelle fois autour de sa taille, appuyant mon menton sur son épaule. « J’ai toujours été un peu plus dessert que plat principal. » Ma main se glissait doucement sous son haut, caressant sa peau du bout de mes doigts. J’allais taquiner son cou de mes dents.
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mot doux de Invité ► un Lun 22 Juin - 21:53
alvin & melody

ferme les yeux et imagine que je suis là près de toi
Derrière ses yeux bleus, je riais en l’entendant se lâcher. Mine de rien, on avait jamais réellement pu montrer ces parts de nous. Nos vices et les amusements de nos mots parfois crus. En l’entendant, je souriais. J’apprenais une nouvelle facette de cet homme dont je ne me rendais pas encore compte du crime qu’il avait commis. Tout le monde l’accusait d’avoir tué sa femme mais pourtant je n’avais qu’un seul crime à lui reprocher et c’était positif dans un sens bien que tellement effrayant dans un autre. Il avait volé mon cœur. Le crime de l’amour. Je ne m’en rendais pas compte pourtant c’était clair comme de l’eau de roche. Je n’allais pas le dire, je n’allais pas l’avouer, je n’allais pas le penser mais j’allais me contenter de le sentir à ce cœur qui s’affolait. Je fermais doucement les yeux pour profiter de ce moment mais je les rouvrais aussitôt. Mes lèvres à son torse pour quelques douceurs avant de le nourrir. Oui, l’avion. Cette chose que nos parents font quand nous sommes petits dans le simple but de nous amuser. Oui quand nous refusons de manger deux ou trois brocolis car c’est vert et pas joli. Je souriais alors qu’il me disait de ne pas jouer. « Hum hum… ma maman après qu’elle me fasse l’avion et que je balance la fourchette… », disais-je en secouant doucement la tête. Maman d’ailleurs ? Oui, par respect, je ne l’appellerais jamais : mère. Je sais que cela fait enfantin mais j’avais encore des dents de lait quand elle est tombée malade. « Mais tu sais… sa purée était vraiment infecte à l’époque… », continuais-je d’un ton naturel alors que je le laissais manger sa bouchée en me calant pour le laisser se redresser. Je reprenais une fourchée mais cette fois pour moi. Je la mangeais en hochant la tête alors qu’il me disait de manger tant que c’était chaud enfin… quelque chose dans le genre. Moi et la pression, vous savez. Ce baiser sur ma joue me fit sourire. Je prenais de plus en plus d’assurance avec lui et pourtant nous avions commencés ainsi mais le nombre de fois où il m’avait repoussée n’avait pas aidée. Je me sentais de plus en plus à l’aise. Je mangeais à mon tour en le regardant picorer comme un zozio (j’allais mettre comme un zizi). Je restais appliquée pour ne pas tâcher mes draps même si je m’en fichais dans le fond. D’habitude, je me serais levée pour les changer mais je ne voulais pas bouger d’un pouce. Je m’en fichais tout simplement. Clair et net. Je penchais doucement la tête en souriant. Je regardais dans la direction de son visage alors qu’il me disait que c’était bon. C’était agréable. Edward ne m’avait jamais complimenté et je cuisinais toujours chez lui. Jamais ici. Il venait tellement rarement que s’il y avait un tiroir pour lui, il devait y avoir des toiles d’araignées dedans et peut-être un raton laveur… Je finissais aussi mon assiette mais pas toute avant de sentir ses bras autour de ma taille et je riais à ce qu’il disait. Je tournais mon visage vers sa joue pour y déposer furtivement un baiser avant que sa main ne glisse sous le haut de mon pyjama. Ses dents à mon cou, je riais doucement avant de prendre le plateau pour le porter à la table de nuit. Je me retournais légèrement sur mon flan sans vraiment décoller de l’étreinte. Je laissais ma main glisser sur son bras, du bout des doigts en rejoignant ses lèvres. Ce baiser doucement passionné, laissant échapper le manque que son absence avait provoqué d’un simple baiser. Ces envies encore là après notre soirée chez mon père. Je laissais mes lèvres se calmer en reculant légèrement. Un sourire se dessinant. « Ah bon ? », demandais-je alors que je fronçais les sourcils. « Tu as une idée du désert que tu voudrais prendre ? », le questionnais-je tout naturellement mais plus sérieusement… ou presque. Je laissais mes jambes passer par-dessus les siennes pour les placer en pont à la hauteur de ses cuisses. « Je peux être une charlotte russe… », disais-je alors que je caressais son torse, laissant une main filer dans son dos. « Red velvet…., pudding au chocolat… oh oui, je suis un pudding à l’anglaise… ! », je posais alors mes lèvres à nouveau sur les siennes en chuchotant contre. « Un brownies au chocolat… un fraisier bien croquant… », je souriais doucement avant de reprendre ses lèvres rapidement et riant alors contre celle-ci. « Vive le régime… », disais-je alors amusée. Il fallait avouer que punaise ? Bonjour les calories mais je m’en fichais bien. Après tout ? On s’en fiche des calories. Je souriais, laissant calmement mes lèvres dérouler les envies qui pointaient doucement le bout de leur nez.
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Alvin R. Prescott
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mot doux de Alvin R. Prescott un Mer 19 Aoû - 6:57
melody & alvin

ferme les yeux et imagine que je suis là près de toi
Un repas gourmand que j’avais simplement mangé du bout des lèvres. Non pas qu’il n’était pas apprécier, mais seulement je manquais d’appétit. Je la complimentais sur sa cuisine, quelque chose qui me changeait de ces repas pris dans des restaurants pas trop chers. De la cuisine fait main, me manquait terriblement en fait. Ce n’est pourtant pas cela qui me retenait pour plaisanter et dire que je préférais de loin les desserts. Je souriais au contact de ses lèvres sur ma peau, la laissant se retourner, tandis que mes mains poursuivaient leur chemin sur sa peau. C’était une sensation agréable, quelque chose que je devais bien avouer me manquait. La laissant mener la barque, je ne disais souriant simplement à son énumération de diverses gourmandises sucrées. J’embrassais ses lèvres lorsqu’elle me donnait la chance de le faire. « Ça tombe bien, ce lui que je préfère brûle facilement des calories. » J’étais devenu un véritable pervers avec ce genre de phrase à deux balles sortis tout droit des plus mauvais porno. Non pas que je croyais que ma soirée finirait dans une éventualité pareille. Elle n’allait très certainement pas sortir les sous-vêtements en dentelle, me lécher l’oreille en me soufflant les pires insanités. De toute façon ce n’était pas mon genre de fille, je ne pouvais même pas dire quand datait mon dernier visionnage d’un porno. Peut-être mon adolescence. Étais-je vraiment en train de penser porno, alors qu’une femme sublime était à califourchon sur moi. Je laissais mes lèvres partager ce baiser, alors que mes mains relevaient le haut de son pyjama. Mes doigts caressant sa peau avec de doux effleurement. Je laissais le tissu retomber sur le sol dans un silence absolu. Mes doigts dessinaient dans son dos des motifs aléatoires sur sa peau, alors que je poursuivais cet échange de salive en laissant nos langues danser au rythme d’une chanson  sensuelle. Je croisais son regard, affichant un sourire, avant de laisser mon dos retomber mollement sur le matelas. Je la regardais, désireux de lui faire partager ces envies que j’éprouvais à son égard. Je savais que notre première fois n’avait pas été des plus magiques dans le bureau de son père. Avec tous ces gens faisant du fox trot ou de la valse viennoise vêtues de leur robe Dior ou Versace. Cette fois, on n’avait aucun bruit de fond et personne pour nous interrompre si on oubliait ces gorilles en bas. Je laissais mes mains descendre jusqu’ la chute de ses reins. « De toute façon tu restes un bien meilleur dessert à mes yeux. » concluais-je finalement en entreprenant de passer aux choses sérieuses. Une main sur son ventre, je la laissais remonter jusqu’à son menton avant de l’attirer jusqu’à moi. Il n’y avait finalement pas besoin de plus pour créer un peu de magie dans cette vie rocambolesque. Mais je ne pouvais toujours pas dire ce sentiment que je ressentais en étant présent près d’elle. Je ne l’avais tellement pas éprouvé dans ma vie, que le décrire en quelques mots me semblait impossible. Fermant les yeux, je l’embrassais une unième fois prolongeant ce moment de conte de fée pour la durée d’une nuit.
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