Invitéet oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais !
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mot doux de Invité ► un Ven 23 Jan - 23:16
cordélia & caleb
qui dit que les amoureux ont une date pour fêter l'amour ?
C'est un peu en avance, je le sais mais je n’étais pas vraiment réellement fan de la saint-valentin. C’était surtout une journée commerciale. Depuis que nous étions fiancés, nous avions toujours le souvenir de la bagarre après ce moment qui était censé être pour nous deux. Nous avions toujours l’impression que ce moment avait été interrompu même si nous avions pu fêter ça. J’avais en ce moment tellement de choses dans la tête depuis que j’avais lu la lettre de mon père. Réellement beaucoup de choses. J’étais stressé, totalement et réellement stressé. Un peu trop. Bien entendu, je ne voulais pas vraiment le montrer. Disons que j’avais tout ça en tête et ça faisait boom car je ne savais pas si j’étais prêt à laisser entrer mon père dans ma vie même si c’était seulement passager. J’ignorais encore le pourquoi de sa maladie et je m’en fichais. J’inspirais doucement en tournant mon regard vers la porte de Cordélia. Je me trouvais devant chez elle. J’avais toutes ses choses dans l’esprit pourtant je voulais les mettre de côté pour lui offrir une belle soirée, une belle nuit. Devant sa porte, je déposais donc un bouquet de fleur et une boite cadeau en carton. Dans cette boite, il s’y trouvait une clé électronique de chambre d’hôtel de Los Angeles. Une 5 étoile. Los Angeles n’était pas vraiment loin, même pas une demi-heure de Pasadena dès que nous quittons la ville. Une fois que tout était posé devant, je quittais l’appartement assez fier. J’avais choisi les fleurs favorites de la jeune femme, des Lys. J’avais laissé une enveloppe au centre du bouquet qui lui disait « Bonjour jeune femme, ici votre admirateur secret pas secret… je vous donne rendez-vous à cette adresse pour 18 heures. Prends une valise pour le weekend… Je te kidnappe avec la douceur des fleurs mais sans chocolats… on aura le temps d’en manger… Tu trouveras d’autres surprises une fois sur place pour commencer ouvre le cadeau ! », avais-je écris à la main. Quand j’arrivais au premier étage, je payais un adolescent pour qu’il aille frapper à la porte de la jeune femme avant de partir en courant. Je montais alors dans la voiture. Je m’étais fait beau mais tout en allant dans le simple. J’avais juste mis un jeans et une chemise. Rien d’excentrique. J’allais à l’hôtel pour finir par préparer la chambre. J’avais demandé une suite nuptial mas j’avais surtout prévu de m’arranger avec quelques employés comme c’était une surprise. Je leur avais demandé de lui réserver une table de massage mais aussi une petite place au spa. Sur le lit de la chambre, encore une note : « Te voilà arriver mais patience, je suis juste un peu en retard. Pour m’attendre, rends-toi au spa et fais-toi plaisir… tu as tout illimité… enfiles ce peignoir et prévois ton bikini ! », avais-je écris. Après des heures de danse pour ce vendredi, elle méritait bien de se faire cajoler un peu ? Bien sûr, elle ne savait surement pas que le masseur n’était d’autres que moi, c’est l’avantage qu’elle ait la tête enfouie dans le trou mais ça c’était encore en prévision. Là, j’attendais surtout comme un con avec les masseuses à jouer aux cartes. Comme quoi, c’est con d’être un homme mais faut être bien patient.
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mot doux de Invité ► un Dim 25 Jan - 18:50
Parce que, qui dit que les amoureux ont une date pour fêter l'amour ?. Caleb & Cordélia
Je n'en pouvais plus. C'était aussi simple que ça. En ce moment, j'enchaînais les répétitions de danses, les cours et mon nouveau boulot au café. C'était assez fatiguant. Mais je prenais du plaisir dans ce que je faisais, c'était déjà pas mal. En ce vendredi après-midi, j'étais rentrée depuis seulement une heure et j'avais à peine eu le temps de prendre ma douche lorsque quelqu'un frappa à ma porte. En serviette, j'allais ouvrir, pensant découvrir Caleb de l'autre côté. Mais à la place de cela, il y avait... Le vent, le vide, le néant ou tout simplement le couloir. Il n'y avait personne. C'était pourtant bizarre, je n'avais pas encore d'hallucination auditive. Du moins... Pas que je sache. Baissant les yeux. Je remarquais enfin le paquet qui était par terre. Ah bah voilà tout s'expliquait maintenant ! Je me baissais pour ramasser ce truc. Il y avait des fleurs aussi. Des lys. C'était mes fleurs préférées... Une seule personne pouvait s'en souvenir. Ça sentait le Caleb tout craché. Enfin, ça sentait bon la fleure, mais je savais que tout cela venait de mon fiancé. J'embraquais tout ce qu'il se trouvait devant ma porte et déposais le tout sur la table de ma cuisine. C'était une manœuvre assez complexe comme je devais tenir le coin de ma serviette pour ne pas la perdre. Mais j'arrivais tout de même à destination sans lâcher quoi que ce soit. Me posant sur un de mes tabourets, j'attrapais l'enveloppe au centre du bouquet et l'ouvrais doucement. Je riais, il était con ce type. Qu'est-ce qu'il avait bien pu me préparer ? Que me réservait-il ? Curieuse, je m'emparais de la boîte sans ménagement. L'ouvrant, je découvrais une clé électronique à l'intérieur... Clé, adresse, valise... Cela ne pouvait dire qu'une chose : hôtel. Je me mordillais légèrement la lèvre, excitée. J'étais trop contente, on allait pouvoir passer du temps rien que tous les deux. On avait eu le temps de se rattraper après le coup de la bagarre, mais ce n'était pas pareil. Là, c'était... Romantique. Ça l'était toujours avec Caleb, mais voilà quoi... Je sautais sur mes pieds et fonçais dans la salle de bains finir de me préparer. Avec mes affaires pour les weekend, j'arrivais quelques heures plus tard à Los Angeles. Le bus est invention merveilleuse qui permet de voyager sans avoir à se préoccuperer d'où garer sa voiture. Même si j'avais mis un peu plus de temps que ce que j'aurais mis en conduisant moi-même, j'arrivais avec de l'avance devant l'hôtel. Et Oh Mon Dieu quel hôtel ! Ce n'était pas n'importe lequel. Un cinq étoiles. Quand il décidait de faire les choses en grands, il ne faisait pas semblant... J'avais vraiment un petit ami en or. Que dis-je ! Un fiancé en or. J'avançais jusqu'à l'accueil, l'hôtesse me regardait bizarrement. Bah quoi ? Elle avait quelque chose contre mon jean et mon pull, la dame en tailleur ? Je soupirais avant de lui demander. "Pouvez-vous m'indiquer l'étage de cette chambre ?" Elle me répondait avec son air arrogant et son minois d'enfant de cœur auquel j'avais envie de mettre une claque, tandis ce qu'un groom se chargeait de mon sac. Je le suivais jusque dans la chambre. Enfin... Jusque dans la suite. Car c'était immense. J'allais rapidement faire le tour des lieux lorsque je fus enfin seule. Waw... Je n'en revenais pas... Caleb était vraiment devenu fou... Mais ? Où était-il ?. "Caleb ? " Pas de réponse. J'étais peut-être trop en avance... Mais c'était à cet instant que j'arrivais dans la chambre. Il y avait encore une note, sur le lit cette fois. Il me faisait jouer à la chasse au trésor, c'était assez drôle. Descendre au spa ? Mais... Je ne voulais pas me faire masser, je le voulais lui... Mais non, il fallait que je l'attende. Et puis il n'avait pas payé tout ça pour rien... Je nouais mes cheveux en queue de cheval avant de chercher mon bikini dans mon sac. Une chance qu'il soit toujours à l'intérieur, je n'aurais jamais pensé à le prendre sinon. Je l'enfilais ainsi que le peignoir. Il était vraiment trop doux en passant. Puis j'allais au spa. C'était rare que je me rende dans ce genre d'endroit, mais si monsieur le voulait... Une fois là-bas, je donnais le numéro de notre suite et on m'indiquait la direction d'une salle, apparemment, j'avais réservé un massage. Je n'étais pas au courant, mais soit, ça allait être chouette. Je m'installais sur la table de massage après avoir retiré le peignoir pourtant si confortable. Puis, je fermais les yeux avant pour attendre patiemment que l'on prenne soin de moi.
electric bird.
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mot doux de Invité ► un Sam 28 Fév - 21:20
cordélia & caleb
qui dit que les amoureux ont une date pour fêter l'amour ?
J’étais tranquillement installé en train de jouer aux cartes. Dolce me battait, la peste. Je voulais gagner à ce poker et surtout par ce que mes bonbons à la fraise y sont en jeu. C’est une situation de vie ou de mort. Je ne voulais pas vivre sans mes bonbons doté de ce bon gout fruités. Je voulais pouvoir les sucer avec passion pour profiter de ma petite gâterie de l’après-midi. Et oui, je suis un homme qui aime les bonbons roses. Je vous en pose des questions, moi ? Enfin disons que j’étais surtout très impatient de voir la jeune femme arriver. Je savais que je ne serais pas là pour la Saint-Valentin à cause du boulot mais n’étais-ce pas si grave que ça ? L’amour, on le fête tous les jours et je voulais juste être avec elle 356 jours par années, je m’en fichais bien du reste. On ne pouvait pas être amoureux seulement le 14 février. C’est pourquoi j’avais organisé cette soirée enfin ce weekend mais aussi par ce qu’il y avait eu un souci lors de ma demande en fiançailles bien qu’elle n’était pas si mal jusqu’à ce que mon ex arrive avec mon fils. C’est normal. C’est alors qu’une des masseuses arrivait par derrière enfin derrière moi mais pas… cochon parlant. Non mais oh, c’est une masseuse et en plus, je crois qu’elle doit sûrement avoir des poils sur les bras ce qui conclut que je ne suis pas trop sûr de son sexe mais on s’en fiche. Homme ou femme, pas d’importance mais elle manquait cruellement d’élégance. Je penchais doucement la tête en la regardant. J’attendais juste de savoir ce qu’elle voulait car après tout, elle me regardait et elle semblait aussi blanche qu’un cachet d’aspirine. Un petit sourire par pure et simple courtoisie pour éviter qu’elle ne veuille me manger au diner. Non pas qu’elle soit un hippopotame avec l’appétit d’un ogre mais elle avait plus l’allure d’une sorcière musclée mais fine. Aussi féline qu’un léopard. Ou pas, elle devait avoir plus de grimoire que de croquettes pour chat chez elle. « Je crois que votre fiancée est arrivée ! », je souriais doucement en l’entendant. Oh oui, j’étais comme un petit garçon à qui on présentait un pantomime et qui s’émerveille. Bah quoi ? Vous ne moquez pas. Je sais que j’étais une nouille quand j’étais enfant et que je m’émerveillais d’un mime. Je me levais alors en souriant doucement à la seconde jeune femme qui était pour sa part bien plus sexy mais un peu trop. La lingerie en dentelle sortait de son uniforme. Tant qu’on n’y voyait pas non plus ce qu’ils enfermaient, ça ne me dérangeait pas mais je ne voulais voir sous la lingerie que d’une seule femme pour l’instant. Depuis qu’elle avait dit oui, je ne voyais que par elle comme un amoureux transit. « On remet ça ! », disais-je en lui souriant doucement alors que je les regardais ensuite tous les deux. « Merci ! », rajoutais-je plus timidement en étant vraiment redevable. Je me rendais alors vers la salle de massage après un dernier signe de main. Je n’étais pas réellement nerveux. Pas du tout même. Je mettais un peu de parfum bien masculin mais pas le mien que j’avais prévu avant d’entrer. Pourquoi vouloir être si vile et lui laisser croire qu’un autre homme la masse ? Simplement par taquinerie. J’entrais dans la pièce sans dire un mot tandis que j’approchais en regardant aussi celle-ci être à moitié habillée dans un bikini. Je contemplais son dos et surtout le bas de son dos en me perdant un peu dans mes pensées typiquement masculines. Je retrouvais rapidement mes esprits tout en appuyant sur l’interrupteur pour tamiser la pièce. Je mettais alors un peu de musique relaxante enfin c’était un CD qui était au début basé sur de la musique relaxante. Je me rapprochais sans un mot et je prenais l’huile pour massage tout comme Dolce me l’avait montrée. J’en mettais sur mes mains que je frottais ensuite. Je suivais alors le programme qu’elle m’avait donné. On commence par les pieds et les mollets. Délicatement, on masse ceux-ci en prenant son temps. Je cherchais aussi en même temps les nœuds pour y rester un peu plus longtemps et je remontais petit à petit à ses jambes. J’évitais d’aller trop haut pour ne pas me ramasser une gifle… ça serait con. Le clown en moi riait à cette idée alors que je gardais aussitôt mon sérieux. Je m’appliquais réellement pour ce massage. Je voulais simplement la voir décoller dans un autre univers. C’est une métropole s’il y a des nuages partout, partout ? Je n’en étais pas certains. Une fois les jambes terminée, j’allais me laver les mains pour changer d’huile. Cette fois, je passais à une huile plus forte à la lavande. Je penchais doucement la tête alors que je posais mes mains sur ses épaules. Je m’occupais de son dos avec un sérieux inébranlable. Bonjour, je suis l’intello du massage mais je m’appliquais réellement. Je descendais le long de sa colonne tout en profitant aussi pour laisser échapper une ou deux caresses assez tendres sur son dos. Du bout des doigts. Voilà que ça devenait amusant d’être ici sous couverture. Celle d’un anonyme qui masse ma fiancée. En voilà une couverture mais j’étais ce salopard qui voulait tenter de lui laisser penser que cupidon était un con pour ne jamais lui avoir présenté les mains de ce masseur. Je souriais doucement alors que je trouvais ce petit nœud en passant. Je la massais un peu plus et laissant ce massage descendre dans le bas de son dos, presque au bord du bikini. Non, je ne voulais pas réveiller de feu ardent mais ça faisais partie du programme. Et là, c’était sa chanson favorite qui passait sur le CD. Je continuais sans me laisser déconcentrer pour l’instant et toujours sans mots. Allait-elle se rendre compte qu’il y avait un souci ? S’en était-elle déjà rendu compte ? Je n’en savais rien.
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mot doux de Invité ► un Sam 7 Mar - 18:30
Parce que, qui dit que les amoureux ont une date pour fêter l'amour ?. Caleb & Cordélia
Depuis que j'étais fiancée à Caleb. Je vivais comme sur un nuage. Je travaillais toujours autant, que ce soit pour l'université ou en danse, je gardais toujours la même vie. Mais dans ma tête, je me sentais légère, aimée. Je me sentais comme dans un roman, et même si j'avais toujours ce pied sur terre, je ne savais pas où poser l'autre. Il était tellement bien en suspend dans les étoiles, quelque part entre la planète Mars et celle de Venus. Tout ça pour dire que mes fiançailles m'avaient plongée dans un état tellement... Beau, malgré l'intervention de Nikki ce jour-là. Je m'en étais remise et si elle n'était pas contente. Et bien, je m'en fichais. Car moi, j'étais heureuse avec mon Caleb. On était bien ensemble. Ou du moins, je le pensais. "Aimer, ce n'est pas se regarder l'un l'autre, c'est regarder ensemble dans la même direction". Avait dit un jour un auteur dont je ne connaissais pas le nom ou plus. Et pour une fois. Je comprenais ce qu'il voulait dire par là. Avec mon homme, on s'était enfin mis d'accord. Il nous en avait fallu du temps, une évolution lente, des oui, mais surtout des nons aussi. Mais on y était enfin. Je crois... Que je me faisais maintenant à l'idée de vivre avec lui toute ma vie, qu'il allait partager son futur avec moi... Alors oui, on regardait dans la même direction si je peux déjà le dire : pour le meilleur et pour le pire. Enfin... Aujourd'hui semblait particulièrement s'être tourné vers le meilleur. Monsieur m'avait préparé, je ne savais quelle surprise et je me rendais dans ce si bel hôtel de LA. Je n'avais pas pu résister à son invitation, la faute aux fleurs surement ou peut-être était-ce grâce à la promesse que cela avait insinuée. Mais en réalité, je ne pouvais jamais lui résister de toute façon. Mais c'est de la déception qui était apparue sur mon visage alors que j'arrivais dans cette chambre et qu'il n'était pas là. Je soupirais en laissant au groom son pourboire avant de me diriger vers ce lit. Là, je trouvais son mot et mon sourire refit surface. Franchement ? Qu'avait-il bien pu me préparer ? Descendre au spa... C'était tout à fait dans mes cordes, mais où était-il ? Déjà là-bas ? Sans m'attendre ? Cela me paraissait bizarre de sa part, mais je suivais tout de même ses indications. Je passais ce bikini que j'avais miraculeusement emporté avant de mettre un des peignoirs de l'hôtel pour finir par descendre à l'étage indiqué sur la petite carte. Je me retrouvais rapidement dans une salle de massage à la lumière tamisée. Je me demandais encore et toujours où se trouvait mon fiancé et me retenais de lui envoyer un petit message sur son téléphone portable. Mais je savais qu'il avait un plan, je le connaissais assez bien pour savoir qu'il aimait préparer ce genre de chose. Je ne voulais pas tout mettre en l'air parce que je n'étais pas assez patiente et beaucoup trop curieuse. Je prenais donc sur moi pour me poser calmement sur cette table spéciale. Mettant la tête dans le trou, sur le ventre, j'attendais en fermant les yeux. Distraitement, j'entendais la porte s'ouvrir puis se refermer. Quelqu'un venait d'entrer et à l'odeur, c'était un homme. Mais apparemment pas le mien, je soupirais. Ce genre de parfum Rock'n'roll, trop fort, ce n'était pas son genre. Pourtant, ces mains qui se posaient sur mes jambes, je semblais les reconnaître, mais je n'en étais pas certaine. C'était peut-être le fruit de mon imagination, je voulais tellement mon Caleb, mon doudou, que je l'imaginais peut-être. Il s'agissait surement d'un simple masseur comme il devait y en avoir plusieurs ici. Je me laissais allé au contact de ses doigts auxquels on devrait donner le prix Nobel de la douceur. En plus, cette huile de massage qui avait la douce odeur de la citronnelle me transportait. Il avait aussi cette musique à laquelle je m'abandonnais pour vraiment me détendre. Je fermais les yeux...Et m'endormais. Non, je n'avais pas la bouche ouverte, mais je faisais quelques petits bruits assez significatifs. Ce n'était pas non plus des ronflements, mais je n'en étais tout de même pas loin. Je rêvais de balançoire et d'Elvis Presley aussi... N'allez pas vous demander pourquoi... Je n'en savais rien moi-même. J'étais à fond dans mes songes que me tortillais sur la table de massage. Ce qu'il en advenait du masseur ? Je n'en avais que faire, je dansais avec le roi du rock dans ma robe vintage et puis c'est tout. C'était le parfum ! Voilà pourquoi je rêvais de ce type. Je finis par me réveiller en sursaut sans plus savoir où j'étais alors que ma chanson préférée se terminait. Pourquoi passait-elle dans un salon de massage d'ailleurs ? Je mis quelques secondes à me rappeler de l'endroit où je me trouvais avant de me détendre à nouveau. Qui aurait cru que les massages étaient si soporifiques ? Je soupirais. Les mains étaient toujours là, mais sur mon dos à présent. Mon dieu... Quelle honte, je m'étais endormie. Qu'allait-il penser ? Je ne voulais même pas le savoir et le laissais faire ce que je pensais être son travail. Sauf que cette fois, les mains se faisaient caressantes. Il jouait à quoi le gugusse ? Il en profitait pour me peloter ou... ? Je me redressais d'un coup pour lui dire de se calmer. "Vous vous amusez à quoi exactement ?" Mais en me redressant, je sentais le haut de mon bikini se faire la malle et glisser par terre... "Merde !" Je croisais les bras sur ma poitrine pour me cacher un peu en me mettant en position assise. Je rougis à l'idée de ce type qui devait me prendre pour une dingue exhibitionniste. Sauf que je le regardais enfin dans la lumière tamisée et reconnaissais rapidement Caleb. "C'était toi depuis le début !?" Demandais-je en le regardant. Je lui souris doucement. "Vous êtes très doué de vos mains Monsieur Hemingway..." Lâchais-je en décroisant les miennes pour venir les poser sur son visage pour l'attirer à moi et déposer un chaste baiser sur ses lèvres. Puis je reculais pour aller récupérer mon haut et le remettre gentiment.
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mot doux de Invité ► un Lun 16 Mar - 16:53
cordélia & caleb
qui dit que les amoureux ont une date pour fêter l'amour ?
Un massage, je venais de prendre quelques heures à masser cette jeune femme. Je n’étais clairement pas qualifié pour ça. Ma formation ne s’était étendue que sur une demi-heure de temps ou j’avais écouté ses femmes avec attention. Parfois l’une et l’autre parlaient en même temps et je devenais fou. C’était comme un ping pong des explications. Heureusement qu’un cours de journalisme n’est pas avec deux professeurs sinon je n’aurais jamais obtenu mon diplôme. Enfin soit, là, je prenais mon savoir à bon entendeur en action. Je m’étais mis à la masser du pied au dos. J’allais aller à la nuque après des caresses et un peu plus de douceurs. Non, je ne la pelotais pas, j’étais juste dans le bas de son dos et non pas ses fesses donc j’étais encore sage bien sur l’envie de lui taper les fesses pour la faire réagir me travaillait mais c’était mon côté abruti qui voulait ça. Je penchais doucement la tête… et c’est à ce moment-là que je fus poussé à reculer alors qu’elle se redressait assez vite, trop vite. Je levais les mains comme un abruti en état d’arrestation mais c’était plus fort que moi. Un réflexe ou un truc du genre mais bon. J’inspirais doucement encore silencieux alors qu’elle me demandait ce à quoi je m’amusais. Elle en perdait même son haut. Abasourdi, je ne perdais bien sûr pas de temps à regarder ses mandarines enfin… plus gros que des mandarines. Elle avait un fruit que je connaissais assez bien par ce que voilà, je suis admirateur de ses deux petits fruits. C’est une grappe à la Cordélia que j’aimais mais que j’appréciais beaucoup tout en restant chaste, voyons. Oui, oui, je compare ses roploplos à des fruits car c’est plus classe que de dire : ses seins bien que la poitrine soit classe aussi comme mot. Mais chut, fermes-là. C’était ce que je pensais en me figeant alors qu’elle disait un gros mot et cachait sa poitrine de ses bras. « Mais euh… », disais-je alors déçu en faisant une moue comme un petit garçon puni. Je ne pouvais plus me rincer les noeils. Vous comprenez mon désarroi. Totalement triste mais sérieux, je voulais voir ses roploplos encore mais j’avais le temps. La soirée n’était pas du tout terminée. Oh non. Pas du tout, du tout. Je souriais doucement en penchant la tête. Elle me demandait si c’était moi depuis le début et ça réveillait une envie de moquerie en moi. Ne cherchez pas, je suis un homme qui passe son temps à faire des singeries et c’était mieux que de passer son temps à chanter du Elvis Presley, non ? Je laissais cette jeune femme poser les mains sur mes joues et ce baiser tendre sur mes lèvres tout en souriant doucement. Encore silencieux, je la laissais reculer et attraper son haut. Comme un gentleman, je la contournais toujours calme. « Laisses-moi t’aider ! », disais-je alors tout simplement tandis que le posais mes mains sur les siennes pour rattraper les attaches du maillot. Je l’attachais alors avec un calme fou presque impressionnant. Non, je n’allais pas m’endormir mais j’étais juste zen. J’attachais alors son maillot et je passais la main pour attraper le peignoir qu’elle portait. « Non, ce n’était pas moi, c’était une file indienne de masseur… fais gaffe, le second devrait arriver… C’est une sorte de partouze du massage ! », lâchais-je alors pas du tout sérieux mais surtout amusé. « Arrêtes, je suis sûr que tu t’es endormie en plus… t’as rien dû sentir… sinon tu m’aurais arrêté plus tôt ! », disais-je pour laisser penser que j’avais été cochon ou je ne sais quoi alors que ce n’était pas vrai mais c’était un moyen pour moi de savoir si elle était réellement éveillée ou autre. Je savais une chose : endormi ou non, les nœuds sont quand même là d’où le fait que nous pouvons dormir mal par moment. Je lui mettais alors le peignoir par-dessus l’épaule en la laissant s’occuper des manches. Gentleman, je vous jure. Un peu de romantisme dans ce bas monde ne fait jamais de mal et non. Une fois qu’elle fut revêtue, je coupais la musique en reprenant le disque. Oui, c’était un vieux poste qui lisait encore des disques et pas des clés usb. La technologie, vous voyez. J’allais alors chercher sa main en la guidant avec moi vers la porte. « Suite du programme, mademoiselle O’Brady future Hemingway… », soufflais-je en la guidant vers une autre porte qui était un peu plus loin dans le couloir. Je mettais ma main avant qu’elle ne soit devant la porte sur ses yeux. Je cachais surtout s’écriteau. C’était écrit : Jacuzzi avec une étiquette : réservé sur la porte. Toujours la main sur ses yeux, j’avais une seule de libre. J’ouvrais cette porte en entrant et tout en la guidant. Dans un coin, un chariot avec les petits plats favoris de mademoiselle. A côté, un jacuzzi avec les bulles en marche donc le bruit lissait une symphonie dans mes oreilles. L’eau était éclairée par des lumières bleus mais cela changeait dans un fondu de couleurs pour devenir violet et parfois roses. Tout dans une ambiance tamisée avec une musique de fond relaxante. Je n’étais pas vraiment sûr que cela puisse lui plaire mais je prenais le risque. Dans le fond, qui n’aime pas un moment calme dans un jacuzzi ? Si c’était le cas, elle était un alien tout comme sa mère. Je fondais tellement d’espoir pour Cordélia. Je priais qu’elle ne tourne pas comme sa maman tellement effrayante. Je préférais qu’elle prenne exemple sur sa sœur. Ahah. Sur le bord, deux verres de champagnes vides avec un seau de glaçons qui contenait deux bouteilles de leur meilleur champagne. Elles étaient encore fermées mais elles n’attendaient que l’ouverture. Il y avait une douce odeur sucrée dans l’air. Je ne saurais dire vraiment quelle était cette odeur. La vanille ? Peut-être. L’eau devait être aromatisée ? L’eau d’un jacuzzi se mange ? Aucunes idées enfin elle se boit plus vite. Un idiot à maybe fait tomber un thé dans l’eau ? Ahah. « Prête ? », c’est pourtant sans attendre sa réponse que je retirais mes mains de ses yeux. Pourquoi mes mains ? Je n’avais plus de trou pour lui mettre sa tête afin de garder des surprises.
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mot doux de Invité ► un Mar 7 Avr - 13:14
Parce que, qui dit que les amoureux ont une date pour fêter l'amour ?. Caleb & Cordélia
J'adorais les massages, comme tout le monde surement, mais celui auquel j'avais droit était étrangement soporifique. Peut-être était-ce à cause de la musique ? Ou de la lumière tétanisée... Heu... Tamisée plutôt. Je ne savais pas ce que j'avais, mais je m'endormais tout simplement. Lorsque je me réveillais, c'était seulement pour découvrir que l'homme qui passait ses douces mains sur mon corps depuis un moment était en fait Caleb. Il y avait pire comme réveil, vous ne trouvez pas ? Le fourbe, il s'était joué de moi depuis le début et je n'avais rien compris. Bon, ok, j'avais roupillé tout du long, mais ce n'était tout de même pas une raison. Je me redressais donc pour venir fixer mon amoureux avec tendresse. Ce que je n'avais pas prévu, c'était de perdre mon haut de maillot bain. Mes deux œufs au plat se retrouvaient à découvert. Je frissonnais, mais je ne me sentais pas gênée du tout. Caleb les connaissait bien ces deux-là, ils le rendaient même fou parfois. Tellement de nuits torrides, nous avions déjà passé... J'esquissais un grand sourire tout en venant l'embrasser sans me préoccuper une seule minute de me rhabiller. J'adorais taquiner la perche souvent rigide qui se trouvait dans son joli pantalon. Je finis tout de même par reculer. Et oui... Quelqu'un pourrait arriver d'un moment à l'autre. Après tout le lieu était plus ou moins public et je ne voulais pas prendre le risque d'être découverte à moitié nue sur une table de message. Ou à moitié nue tout court en fait. Je ne montrais mon corps qu'à Caleb ! Nah ! Il ne montrait sa quéquette qu'à moi ! Nah ! J'en avais de la chance. Je me baissais donc pour attraper mon haut, me contorsionnant un peu au passage. "Merci." Je le laissais prendre les attaches du maillot alors que je plaçais tout simplement le tissu sur mes petites montagnes. Je passais ensuite le peignoir qu'il me tendait. C'était tellement agréable, si doux... Je me baissais donc pour attraper mon haut, me contorsionnant un peu au passage. Je riais en l'entendant parler de partouze de massage... Il ne manquerait plus que ça. Je m'inquiétais ensuite de ce qu'il avait bien pu faire alors que j'étais tranquillement dans les bras de Morphée. Je laissais mon imagination divaguer... "Monsieur Hemingway... Vous n'auriez pas osé faire certaines choses avec mon corps alors que je dormais ?" Quelle chose, comme... Des bêtises. Mais chut, il aurait même pu m'assassiner que je ne m'en serais même pas rendu compte. Seulement mon chouchou n'était pas capable de me faire une chose pareille, je l'espérais tout de moins. Bref. Nous n'allions pas nous éterniser sur cette conversation dans cette salle de massage encore longtemps. Je le suivais donc vers cette fameuse suite du programme en le tenant pas la main. "Qu'est-ce que tu m'as encore préparé ?" Demandais-je en sachant pertinemment qu'il n'allait pas me divulguer la suite de son plan, je le suivais donc comme si j'étais son esclave. Dans tous les cas, j'allais avoir la réponse à cette fameuse énigme dans quelques minutes. Il mettait alors sa main devant mes yeux. Je ne voyais plus rien, logique, c'était le but. J'avais l'impression d'avoir un masque de nuit sur la tronche. C'était assez perturbant, mais j'étais tout de même excitée par ce qu'il avait bien pu manigancer. Sans savoir encore où je me trouvais, j'entendais des bruits des jets d'eau ? C'était assez perturbant, mais j'étais tout de même excitée par ce qu'il avait bien pu manigancer. "Toujours prête..." J'ouvrais finalement les yeux et découvrais ce spectacle avec émerveillement. Il avait vraiment fait preuve de créativité encore une fois. Mon homme était génial, j'avais tellement de chance de l'avoir. Je retirais mon peignoir histoire de pouvoir me glisser dans l'eau chaude tranquillement. Seulement, j'avais envie de rire pour une fois. J'avançais un peu tirant Caleb avec moi vers l'eau puis d'un coup, je le poussais. Je n'avais pas besoin d'avoir fait du kung fu pour parvenir à la faire tomber. Doucement quand même, car je n'étais pas une personne de violente et je ne voulais pas qu'il se fasse une entorse, mais il se retrouvait tout de même tout habiller dans le jacuzzi. Je reçus d'ailleurs de nombreuses gouttes d'eau dans le visage. Je lui tirais la langue avant de retirer aussi mon maillot. Mon triangle des Bermudes était à découvert, oui, j'avais envie de me balader nue aujourd'hui. Mon triangle des Bermudes était à découvert, oui, j'avais envie de me balader nue aujourd'hui. Je portais la mienne à mes lèvres en le regardant barboter.
electric bird.
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mot doux de Invité ► un Lun 11 Mai - 0:08
cordélia & caleb
qui dit que les amoureux ont une date pour fêter l'amour ?
Elle m’embrassait alors qu’elle était à moitié nue ? Pas bien mais vraiment pas bien cependant je restais calme et sage comme une image. Un gentil Caleb qui avait rangé sa « perche » dans son tiroir. Enfin façon de parler. Je ne voulais pas gâcher la soirée et j’étais le genre de monsieur qui savait se retenir mais bon pas toujours bien sûr. Je me retenais donc tranquillement mais je laissais échapper un rire alors qu’elle me demandait simplement si je lui avais fait certaines choses quand elle dormait. Je secouais la tête en souriant. Je ne disais pas non, il n’y en avait pas besoin. Ce n’était pas mon genre, voyons. Ce n’était qu’un massage tout simplement. Je la guidais cependant aussitôt à la suite du programme. Je ne répondais pas à sa question quant à savoir ce que je faisais dans ces lieux. Non, je ne voulais tout simplement pas y répondre par ce que j’étais peu doué pour les énigmes. Je n’étais pas capable de laisser passer l’information totalement. Je ne le pouvais tout simplement pas. Je souriais doucement. Toujours prête ? Je retirais mes mains de ses yeux tout naturellement. Je la laissais aller s’installer mais ? Hey alors que je n’étais pas encore changé, elle m’attirait pour me faire tomber dans l’eau. Je ne savais pas vraiment quoi faire du coup car j’étais habillé enfin presque et mon portable quant à lui était encore dans ma poche. Mince. Mince. Mince. Et mince. Je ne voulais cependant pas bouder mais je faisais tout de même une moue qui se dissipait alors qu’elle se mettait nue. Je la regardais faire en riant. « C’est soirée nudisme ? », demandais-je d’un ton taquin tandis que je regardais la bouteille de champagne. Je prenais ma coupe et j’en buvais une gorgée avant de la déposer sur le bord du jacuzzi. Je fouillais dans mes poches pour prendre mon téléphone mais bien malin quand même de ne pas l’avoir retiré de suite mais bon. On est con un jour, on est con toujours comme on pourrait le dire. Je le posais sur le bord du jacuzzi en grimaçant. « Il m’en faudra un nouveau, je crois sauf si le miracle existe et je n’y crois pas ! », disais-je en souriant doucement avant de retirer ma chemise. Je n’allais pas gâcher la soirée pour un téléphone. Elle était bien plus importante que ça et pas qu’un peu. Je retirais boutons par bouton, lui offrant même un petit déhanchement qui me rendait surtout plus con que sexy. C’était un peu ridicule à mes yeux mais peut-être pas aux siens enfin… je m’en fichais. Fallait bien s’amuser quand même ? Je retirais aussitôt le jeans trempé qui me collait à la peau mais vraiment. « Tu me le paieras un jour, c’est horrible de retirer un pantalon trempé ! », disais-je avec cette moue tandis que je reprenais ma coupe de champagne. J’étais en short de bain bien heureusement que j’avais pensé à tout mais oui, à tout. Un short sous un jeans d’ailleurs n’est pas une bonne idée. Je vous le déconseille dans l’avenir mais il faut bien ça pour garder le mystère, non ? Je souriais doucement en allant m’installer face à elle. Oui, face à elle. J’attrapais aussitôt sa main pour la rapprocher de moi et la glisser sur mes genoux. Non pas pousser mais glisser. Je souriais doucement en penchant la tête. « C’est beaucoup mieux ainsi ! », soufflais-je en allant déposer mon visage au creux de son cou. Je laissais un baiser m’échapper contre sa peau. Sa peau si douce et parfumée. Je restais ainsi quelques secondes avant de reculer pour la regarder dans les yeux. La coupe de champagne dans la main que j’avais occupée, l’autre l’avait attirée. Je lui souriais doucement. « Tu as passé une bonne semaine ? On n’a pas beaucoup eu l’occasion de se voir ! », disais-je avec une petite moue. « Il serait peut-être temps qu’on parle d’emménager ensemble un jour ! », disais-je d’un ton naturel mais ça m’échappait un peu. Ce n’était pas une proposition totalement réfléchie car j’ignorais ce qu’elle en pensait mais cela sortait tout seul. J’ignorais même ce que Reed en pensait ou même si c’était une bonne idée.
Invitéet oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais !
Invité
mot doux de Invité ► un Sam 16 Mai - 20:32
Parce que, qui dit que les amoureux ont une date pour fêter l'amour ?. Caleb & Cordélia
Je ne savais pas vraiment ce qu'il m'avait pris lorsque j'avais poussé Caleb dans l'eau. C'était un élan de... Connerie qui m'avait prise tout à coup. Et puis ça m'amusait aussi de le surprendre un petit peu. Après tout, il était au petit soin avec moi depuis déjà une bonne heure. Et c'était comme ça que je le remerciais ? Oui... J'avais un point de vue assez original sur ce qu'était la reconnaissance, mais ce n'était pas nouveau. J'étais complétement folle et il le savait depuis bien longtemps. Pourquoi il m'avait demandé ma main dans ce cas ? Et bien parce qu'il était encore plus fou que moi ou de moi. En fait, je ne savais pas trop, c'était surement les deux. Enfin bref, je le regardais là dans l'eau tout en retirant mon peignoir et pas que mon peignoir en réalité. Je me laissais aller et quittais carrément tout ce que j'avais sur le dos. On était que tous les deux, cette fois, la porte était fermée à clef et je ne craignais pas de voir quelqu'un entrer sans prévenir. C'est pour cette raison que je me mettais vraiment à l'aise. Je souriais doucement à Caleb avant de le rejoindre pour venir nous servir nos deux coupes de champagne. Il avait vraiment pensé à tout même à la bouteille, franchement cet homme était en or. "Ouais ! Je suis contre tous les vêtements aujourd'hui." Répondis-je. Habituellement, je n'aimais pas trop me balader nue, mais l'ambiance dans laquelle nous étions... Cette intimité me mettait dans un drôle d'état et je trouvais qu'être nue n'était pas déplacé pour le coup. Il ne semblait pas s'en plaindre et je continuais de sourire tout en le rejoignant dans l'eau. Sauf que je fis la moue quand il sortait son téléphone de sa poche... Je baissais les yeux vers cette chose qui était trempée alors qu'elle n'était claire pas faite pour aller dans un jacuzzi. "Oups..." Je m'en voulais de ne pas y avoir pensé avant. Ce je pouvais être bête parfois. Je battais même le record de la bêtise pour ça. "Je suis désolée, j'aurais dû réfléchir. Tu pourras prendre le mien si tu veux." J'étais vraiment irrattrapable comme fiancée, la pire de toute en réalité. Je m'installais dans le coin ma coupe à la main et le laissais retirer sa chemise. Je l'observais et profitais simplement du paysage en sirotant ma boisson. Je riais même en le voyant se déhancher. Ce qu'il était sexy, là à galérer pour retirer son pantalon imbibé d'eau. Grimaçant, j'allais l'aider en tirant sur le bout pour décoincer son pied. "Je suis curieuse de voir comment tu t'y prendras pour me le faire payer." Dis-je avec un étincelle de défi dans le regard. J'étais franche, j'avais hâte de subir sa vengeance. Mais pour l'heure, il revenait s'asseoir et je lui laissais une place en le regardant face à moi. Je me laissais guider à lui, suivant sa main qui s'emparait de la mienne et je grimpais sur ses genoux doucement. Je me calais les jambes sur le côté comme une cavalière amazone. Le baiser qu'il déposait dans mon cou me fit frissonner dans le bon sens du terme et je souriais comme une enfant de deux ans. Une de mes mains glissait dans son dos et allait se poser dans la chute de ses reins. On était bien. Je soupirais d'aise avant qu'il ne recule. Je portais ma coupe à mes lèvres l'écoutant doucement. "Tu sais très bien que mes journées sont tristes quand je ne te vois pas." Lâchais-je franchement. "Mais sinon oui... C'était une semaine normale dans le meilleur des mondes et toi ?" Je haussais les épaules avalant une nouvelle gorgée, j'écoutais la suite et manquais de m'étouffer. "Je... Oui, ce serait une bonne chose !" Répondis-je hésitante. Je ne m'attendais pas à ce qu'il me le propose, mais au fond, j'y pensais depuis quelque temps. On ne pouvait pas vraiment continuer de vivre chacun dans notre appartement. Surtout que je supportais de moins en moins de me coucher toute seule dans mon lit le soir en sachant qu'il n'était pas loin. Je me surprenais souvent à caresser ma bague dans le noir alors que j'attendais patiemment que Morphée m'accepte dans ses bras. Pouvoir être près de lui chaque nuit, chaque soir, chaque matin, ce serait... Le bonheur. "Tu veux que je vienne ? Car ce serait avec plaisir. " Je ne savais pas trop s'il y avait assez de place pour moi dans son appartement, mais nous voyais mal dans le mien. Surtout que là, je serais la seule à devoir bouger, dans le cas contraire, il y aurait aussi les affaires de Reed à déménager... Je pensais soudainement au petit garçon. "T'es sûr que ça ne dérangera pas ton fils ?" Je ne voulais pas qu'il soit perturbé, mais à vrai dire, on s'entendait plus ou moins bien tous les deux donc pourquoi il s'y opposerait ? Je souriais de plus belle en pensant à ce que ça allait être de vivre avec ces deux bonhommes. Je ne voyais aucun point noir au tableau. "On peut aussi se trouver un nouveau chez-nous ?" C'était une proposition comme ça, j'explorais toutes les possibilités dans ma tête... Ce serait aussi envisageable. Tout reprendre du début dans un nouvel appartement ou peut-être même une maison qu'on achèterait tous les deux ? C'était une bonne idée aussi. Tout à fait réalisable. Dans tous les cas, plusieurs options s'ouvraient à nous pour nous mettre en ménage, il n'y avait plus qu'à en choisir une. Je frissonnais excitée à l'idée de vivre dans le même endroit que Caleb. Je venais même l'embrasser sur la bouche. Doucement, je descendais dans son coup, puis sur sa clavicule avant de revenir à ses lèvres. Mes mains se firent un peu plus aventureuses et ma respiration s'accéléra. Je me laissais aller dans ses bras, laissant les choses partir en brioche à sa guise. Je m'abandonnais à son contact simplement. La dernière pensée cohérente qui m'effleurait l'esprit à cet instant, ce fut que ce n'était que le début. Et que bientôt, on allait vivre ensemble sous le même toit pour le meilleur et pour le pire.
electric bird.
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Invité
mot doux de Invité ► un Lun 6 Juil - 17:02
cordélia & caleb
qui dit que les amoureux ont une date pour fêter l'amour ?
Une surprise, voilà ce qui était au programme enfin non diverses surprises. On peut prévoir de toute façon des millions de choses mais tout peut basculer comme un château de carte. Alors qu’elle venait de mouiller mon téléphone, une part de moi s’en fichait réellement et elle proposait que j’utilise le sien. Ça m’amusait mais revenons au principe de la soirée. Des mots simplement dit, une proposition pas vraiment préparée mais qui m’échappait tout naturellement. Habiter ensemble ? Une idée alléchante et peut-être brusque ? Je ne pense pas et de toute façon, je n’avais jamais aimé aller trop vite. Oui, je n’aimais pas ça et je sentais que c’était le bon moment car j’avais déjà faite l’erreur une fois de trop, une fois d’assez. Je ne voulais pourtant pas la brusquer. Vraiment pas. Mon naturel parlait de lui-même. Je souriais en l’entendant me demander si je voulais qu’elle vienne. « Non, je ne veux pas, je proposais ça par politesse ! », disais-je d’un ton moqueur. Je plaisantais bien entendu. Je voulais qu’elle vienne et mon petit rire le montrait tandis que je secouais la tête quand elle me demandait si cela ne dérangerait pas Reed. « Il t’aime bien, je pense et il veut que je sois heureux puis je suis sûr qu’avoir une femme avec lui l’aiderait dans sa croissance ! », disais-je alors d’un argument totalement crédible car vivre entre homme n’était pas bon. Je ne voulais pas le transformer en garçon peu digne de confiance qui laisse trainer ses chaussettes partout et se gratte les couilles sans gênes. Non. Je n’étais pas ainsi sûrement par ce que j’avais vécu avec deux femmes et enfin le Truc Muche et moche de ma mère. Je m’en fichais de lui, tellement. Je souriais en l’entendant. « Tes désirs sont des ordres ! », disais-je purement et simplement à l’idée d’aller vivre dans un chez nous. C’est vrai que mon studio n’était pas géant même si c’était assez grand pour trois. Son baiser me fit sourire alors qu’elle laissait en plus ses lèvres se balader sur mon buste. « Merveilleux, je devrais sortir de ma lampe plus souvent ! », disais-je en plaisantant alors qu’elle réveillait le farfadet. La vilaine ! Surtout qu’ils sonnaient les cloches ces deux potes. Je vous jure. Je me retrouvais presque choqué par ce manque de pudeur. Je riais doucement. Et ses mains. « Ah non… » et tout partait en pâtisserie avec quelques secondes d’intervalles. La coquine. Je me laissais assouvir à ses désirs. Et le futur laisser sa marque d’une nuit ancrée de désirs et folies. Bonjour les capotes, nous revoilà.
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