Grant W. Milleret oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais !
❝ Métier : Compositeur de musique de film et jeux vidéo en essor, DJ réputé du plump club et professeur privé de musique ❝ cupidon : Mon cœur est aussi myope que mes yeux, il lui faudra plus qu'une prescription pour qu'il voit ce qui l'entour ! ❝ post-it : ❝Life, he realize, was much like a song. In the beginning there is mystery, in the end there is confirmation, but it's in the middle where all the emotion resides to make the whole thing worthwhile. Né dans le Nebraska ▬ A grandit à Pasadena ▬ A fait le lycée en internat dans le Michigan, il ignore que c'est pour fuir la famille de sa mère ▬ A étudié à la Berklee College of Music à Boston pendant l'Université ▬ Un véritable prodige de la musique ▬ Reconnu dans le domaine de la musique, il est une célébrité en tant que DJ et sur les réseaux sociaux ▬ Une catastrophe avec les filles ▬ Myope comme une taupe, mais les lentilles lui donne des migraines ▬ Déteste la noix de coco, le gel de douche parfumé, les étiquettes qu'on peut donner aux personnes... ▬ Aime faire l'idiot, raffole de la pizza hawaïenne ▬ Connaît toutes les répliques de films qu'il considère comme des classiques du cinéma par cœur ▬ Était jusqu'à ses vingt-six ans puceau, mais voilà qu'il a atteint la ligue majeur... Même si en amour il reste un flop ! ▬ Fin juin 2016, il se fait agresser par un fan de sa meilleure amie chez elle durant une tempête
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❝ pseudo : monocle. ❝ crédits : @vava chounette @gif tumblr ❝ avatar : Grant Gustin ❝ présence : Présent(e) ❝ préférences : Rp Roses ❝ disponibilité : Demandez ♥ [CLOSED] ❝ autres comptes : AIDEN ▬ (a.levine) l'ancien soldat qui se console en parlant aux écureuils. CARTER ▬ (a.kendrick) celle qui parle avec les aliens, mais qui ont pas pu l'avertir de se méfier de vegas ! ALVIN ▬ (m.bomer) l'agent du fbi qui tente de sauver sa vie avec des moyens quelques peu compromettant. JONAS ▬ (r.amell) l'étudiant qui vit de câlin et de spacecake ! DEVON ▬ (k.graham) la magicienne qui fuit sa famille. JAMIE ▬ (d.gillies) le cancérologue qui souhaite sauver les gens comme sa soeur. GWEN ▬ (s.johansson) la jeune femme qui a vécu un peu partout.
sharlee & baptistt'aurais pu me dire que c'était pour aujourd'hui j'aurais amené des gants !
Portant mon regard sur mon portable, je regardais l’heure tout en poussant un soupire. J’avais promis d’aller de passer la chercher. Je me sentais un peu mal vis-à-vis d’elle. Pourquoi ? Parce qu’elle avait essayé de me joindre, mais je n’avais jamais répondu à ses appels. Trop occuper à jouer l’étalon, me laissant monter telle une vulgaire monture, par une pure étrangère. J’aurais dû répondre à ce coup de fil, surtout que Sharlee est enceinte. Bien qu’on ne soit plus ensemble depuis bien des années, je suis proche d’elle, même si les papillons ne sont plus. Enfilant une chemise à carreaux, je prenais mes clés quittant mon appartement inanimé. Puis, une fois à ma voiture, je prenais la route de son appartement. Je la textais une fois devant la porte, l’attendant appuyer contre mon Jepp. Je regardais le temps, car bien qu’elle soit rendu aveugle, qu’elle pouvait se cloitrer chez elle. J’avais bien l’intention de la faire sortir. Chaussé de mes santiags, un chapeau de cowboy sur ma tignasse brune, je laissais le soleil refléter sur mon écran de portable. Il n’annonçait pas d’orage ou de pluie et la canicule n’allait qu’augmenter. C’était tout de même une belle journée de mai et j’avais bien l’intention de l’amener dans un ranch. Bon, je savais qu’elle ne pourrait pas monter à cheval, pas avec son look de baleine. Elle ne pourrait pas non plus voir ces jardins fleuris, mais au moins je savais qu’elle pourrait les sentir. Je la voyais sortir de son appartement et je souriais. Me redressant, je quittais mon appui pour me diriger vers elle. Sur le chemin me menant à elle, je me penchais pour cueillir quelques marguerites. « Salut. », disais-je en laissant percevoir dans mon ton de voix mon enthousiaste d’être là. Je sais que je suis ne suis pas le mec le plus parfait, que je fais beaucoup de tort autour de moi, surtout avec les filles. Pourtant, j’arrive à être quelqu’un de passablement bien avec les personnes que je juge assez important pour être ce qu’ils attendent de moi. Et je n’ai jamais été exécrable avec Sharlee, c’est seulement les allât de la vie qui m’ont séparés d’elle. Étrangement, j’étais plutôt fidèle avec elle, mais je suis parti pour la fac. Nos chemins se sont séparés pour se retrouvé il y quelques mois. Elle n’a pourtant pas changé, aucune métamorphose, à part, qu’elle a vieillie et qu’elle a perdu la vue. Mais ce n’est pas important, si ? « Tu vas bien ? », demandais-je sachant très bien que c’était la question à un million. Je n’allais pas aller loin avec cela, mais en même temps je voulais m’enquérir d’elle. Comment elle allait, mais aussi comment ce portait ce futur poupon dans ce ventre bien rond. Même énormément rond. Je ne savais pas vraiment depuis quand elle était enceinte, mais à la voir c’était pour bientôt. J’ouvrais la portière de mon quatre roues motrices tout en me passant une main sur la nuque. « Attention à la marche. », disais-je en l’aidant à monter. Qu’elle le veuille ou non, je n’allais pas me gêne pour lui donner un petit coup de pouce. Mais intérieurement, je me sentais comme une vraie truite de vouloir l’amener dans un ranch alors que je voyais clairement que ce petit troll désirait sortir à tout prix. Ayant la vitre abaissée, je prenais appui sur celle-ci regardant la brunette. Je lui tendais le petit bouquet composé de trois quatre marguerites. « Pour toi. » Ça n’avait rien de romantique, seulement amical. J’allais derrière le volant, mettant le contact, je me dirigeais vers le ranch. « C’est pour quand ? », demandais-je en parlant bien entendu de la naissance. « Ah oui, je nous ai préparé un pique-nique pour me faire pardonner de l’autre fois. », disais-je en fronçant le nez. Je me sentais toujours aussi mal, mais j’allais tenter de me racheter.
Invitéet oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais !
Invité
mot doux de Invité ► un Dim 3 Mai - 9:06
Baptist & Sharlee
C'est le moment de chanter : C'est l'histoire de la vie!
Le noir, j’étais toujours entourée de ce monde noir, ma vie était comme un saut en élastique, je ne savais pas vraiment où j’allais et encore moins si j’étais sur la bonne route. Je n’étais pas encore sûre d’être prête à être une maman, je ne savais pas grand-chose à vrai dire, sauf que ce petit poupon qui se tenait dans mon ventre faisait naître des papillons à chaque petit coup qu’il me donnait. J’étais tombée amoureuse de l’idée d’avoir un enfant, je n’étais pourtant pas sûre d’être assez forte pour le gérer. Cécité plus maternité n’étaient pas forcément le parfait duo, mais avec l’intervention de mes proches, qui se la jouaient plutôt bonnes fées, je me sentais bien. Une grande famille comme dans la série Friends. J’étais posée sur le transat que j’avais installé sur ma petite terrasse. Je me sentais bien, les rayons du soleil caressant ma peau, je devais sortir avec Baptist, aucune idée de pourquoi exactement, mais je n’avais pas refusé. Peut-être que je devrais lui en vouloir de m’avoir laissé allongée sur le sol ? Mais, après tout il avait sa vie puis j’allais bien et mon fils Madison aussi. On allait bien. On était fort et rien ne pourrait nous empêcher de nous rencontrer. Bien plus impatiente qu’auparavant, j’étais plus confiante avec cette grossesse. Bref, j’étais heureuse de passer un petit temps avec Baptist, même si je devais faire attention, malgré ma chute, le placenta était toujours bien attaché et le bébé n’avait aucun problème, mais comme toute femme arrivant à terme, je devais faire attention. Mon téléphone taquina mon ventre arrondis de quelques vibrations qui me firent rire, je me levais, non sans peine. J’étais comme une baleine échouée, j’avais du mal à relever mon corps quand j’étais en position allongée. Un jour, j’allais rester allongé sans pouvoir me relever. Enfin, dix minutes après ce sms de Baptist me disant qu’il arrivait, j’allais le rejoindre à la porte évitant de me prendre le chat, qui jouait surement encore à mettre ses croquettes partout dans l’appartement. Ce petit Koda était un cas. Je souriais un peu avant d’ouvrir la porte tout en caressant mon ventre. « Salut ! » Je ne savais pas comment allait se dérouler cette journée, mais malgré le petit accident de quand j’étais tombée, j’avais toute confiance en Baptist. Je ne savais pas pourquoi, car il était un peu gamin dans le fond, mais il était en droit de vivre sa jeunesse ? Je l’aurais sans doute fait sans ces deux événements, j’étais comme lui quand on s’était quitté, j’avais commencé à m’amuser. La preuve, cela m’avait laissé avec un joli petit ventre. J’avais subit de grosse métamorphose au niveau du physique, mais je m’en fichais, je pourrais toujours retrouver mes formes, d’avant, puis, je ne me faisais même plus de faux espoir pour les hommes. Qui voudrait d’une aveugle ? Enceinte ou d’une maman ? Ça serait prendre un boulet dans sa vie ! Une fois le pied dehors, je pouvais sentir tous les parfums se mélanger, les fleurs, le vent, oui ce dernier avait une odeur, je pouvais sentir que c’était un air marin qu’on avait aujourd’hui. La douce odeur du sel, je sentais aussi le parfum de Baptist, j’avais pris l’habitude qu’il me taquine l’odorat. Je souriais aux mots de Baptist. « Je fais attention ! » Je le sentais m’aider, je me débrouillais seule, oui parfois j’avais des ratés, je me loupai m’étalant sur le sol comme un cow-boy étant tombé de sa monture après avoir perdu ses étriers pendant un rodéo. J’avais moins de risque de me faire écraser par un taureau, m’enfin. Puis, au pire ça ne ferait que déloger Madison qui n’avait pas l’air de vouloir sortir avant la date prévue. Je tournais la tête en direction de Baptist, de cette voix qui venait de me guider. « Merci ! » J’eus un petit moment de nostalgique. Non pas de notre ancien couple avec Baptist, cela aurait pu, mais c’était vieux, enfin je ne sais pas. C’était les couleurs qui me manquait, il m’avait offert de petite fleur, que j’avais fini par glisser dans mes cheveux, je ne savais plus déterminer dans mes souvenirs la couleur exact des marguerites et avouons que cela me rendait mal. Me mettait à mal. Je ne serais même plus dire exactement les petites mimiques ou les traits de Baptist. J’avais le besoin de toucher à présent. Je touchais souvent mon visage pour voir comment j’étais, me remémorer mon être, c’était déboussolant. « Dans une semaine ou deux. Madison ne veut pas encore sortir. » Disais-je en souriant amusée tout en répondant à sa question. « Te faire pardonner ? » Je savais de quoi il parlait, mais après tout il était libre de vivre sa vie et de ne pas répondre à mes messages ou autre ? Je n’étais pas sa copine ou autre, alors je n’avais qu’à appeler quelqu’un d’autre sur qui j’étais sûre de pouvoir compter ? Dans le fond, je ne lui en voulais pas et j’avais toujours confiance en lui, mais ça ne serait pas lui que j’appellerais à présent en cas de pépin. Je sentais l’automobile bouger ce qui chatouillait mon estomac, je souriais alors que la vitesse de la voiture, qui n’était pas excessive créer ce petit courant d’air qui me mettait bien à cause de la chaleur présente à Pasadena. « Alors on va faire quoi ? » je n’étais pas sûre qu’il me l’ait dit. J’avais juste accepté de sortir pour profiter de la journée. Mais s’il y avait un piquenique, c’était sans doute un endroit sympathique.
luckyred.
Grant W. Milleret oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais !
❝ Métier : Compositeur de musique de film et jeux vidéo en essor, DJ réputé du plump club et professeur privé de musique ❝ cupidon : Mon cœur est aussi myope que mes yeux, il lui faudra plus qu'une prescription pour qu'il voit ce qui l'entour ! ❝ post-it : ❝Life, he realize, was much like a song. In the beginning there is mystery, in the end there is confirmation, but it's in the middle where all the emotion resides to make the whole thing worthwhile. Né dans le Nebraska ▬ A grandit à Pasadena ▬ A fait le lycée en internat dans le Michigan, il ignore que c'est pour fuir la famille de sa mère ▬ A étudié à la Berklee College of Music à Boston pendant l'Université ▬ Un véritable prodige de la musique ▬ Reconnu dans le domaine de la musique, il est une célébrité en tant que DJ et sur les réseaux sociaux ▬ Une catastrophe avec les filles ▬ Myope comme une taupe, mais les lentilles lui donne des migraines ▬ Déteste la noix de coco, le gel de douche parfumé, les étiquettes qu'on peut donner aux personnes... ▬ Aime faire l'idiot, raffole de la pizza hawaïenne ▬ Connaît toutes les répliques de films qu'il considère comme des classiques du cinéma par cœur ▬ Était jusqu'à ses vingt-six ans puceau, mais voilà qu'il a atteint la ligue majeur... Même si en amour il reste un flop ! ▬ Fin juin 2016, il se fait agresser par un fan de sa meilleure amie chez elle durant une tempête
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❝ pseudo : monocle. ❝ crédits : @vava chounette @gif tumblr ❝ avatar : Grant Gustin ❝ présence : Présent(e) ❝ préférences : Rp Roses ❝ disponibilité : Demandez ♥ [CLOSED] ❝ autres comptes : AIDEN ▬ (a.levine) l'ancien soldat qui se console en parlant aux écureuils. CARTER ▬ (a.kendrick) celle qui parle avec les aliens, mais qui ont pas pu l'avertir de se méfier de vegas ! ALVIN ▬ (m.bomer) l'agent du fbi qui tente de sauver sa vie avec des moyens quelques peu compromettant. JONAS ▬ (r.amell) l'étudiant qui vit de câlin et de spacecake ! DEVON ▬ (k.graham) la magicienne qui fuit sa famille. JAMIE ▬ (d.gillies) le cancérologue qui souhaite sauver les gens comme sa soeur. GWEN ▬ (s.johansson) la jeune femme qui a vécu un peu partout.
mot doux de Grant W. Miller ► un Ven 8 Mai - 21:26
sharlee & baptistt'aurais pu me dire que c'était pour aujourd'hui j'aurais amené des gants !
Loin d’être l’homme parfait, je savais encore accepter mes erreurs. Avais-je commis une erreur en ne lui répondant pas ? Non. Et pourtant, je me sentais coupable de ne pas l’avoir fait. Je voyais la vie comme une énorme plateforme de jeu et parfois, je ne désirais tout simplement pas retourner à la réalité et vivre comme un adulte. On me le reprochait souvent, mais je continuais tout de même à faire à ma tête. Aussi têtu qu’une mule. J’avais donc fait l’effort de nous préparer un pique-nique moi-même. Addon c’était moquer de moi, alors que je m’étais coupé en épluchant des légumes et j’avais préparé des pizzas maison froides avec un clafouti aux framboises. Pour un mec qui ne cuisinait presque jamais, j’étais plutôt fier de moi. Je n’allais pas m’en vanter, si ce que j’avais fait se trouvait à être immangeable, je pourrais toujours accuser l’épicerie. Le seul petit hic, c’est que ce faire livrer quelque chose n’allait pas être facile si c’était un flop. Je l’avais guidé jusqu’à la place passager, avant de me mettre derrière le volant. Je ne pouvais m’empêcher de me demander comment était la vie dans le noir. « Tu as décidé de l’appeler Madison, moi qui croyait que tu l’aurais appelé Baptist. », disais-je en plaisantant, j’étais tout de même étonné qu’elle soit encore enceinte, enfin qu’elle n’avait pas accouchée. Ça devait peser lourd et à un certain moment être une baleine ne devait pas être des plus agréables. « Oui, me faire pardonner. Même si tu vas me dire que ce n’était rien, je me sens quand même coupable de ne pas avoir répondu. C’est sûrement idiot, mais je m’inquiète quand même et cela peu importe ce que tu diras. » Je savais qu’elle ne voyait pas mon expression et c’était peut-être mieux ainsi. J’avais légèrement froncé mes sourcils broussailleux. Il faut choisir nos batailles, mais aussi être auprès de ceux qui ont besoin de nous pour leur combat. Je n’avais pas su être près d’elle et je m’en voulais. Et je ne voulais pas être combattant à ses côtés parce qu’elle était aveugle ou parce qu’elle était mon ex. Non, je voulais simplement parce qu’elle était Sharlee. Cette jeune femme courageuse, qui transmettait celui-ci sans même s’en rendre compte. Je remontais mon chapeau de cowboy sur mon front. « J’aimerais dire que c’est une surprise, mais bon tu le découvriras bien assez tôt. », disais-je en prenant finalement mon chapeau, que j’allais déposer sur sa tête. J’appuyais sur l’accélérateur, brulant un feu jaune. « Je sais que tu ne peux pas monter à cheval, je ne suis pas idiot. Mais je me suis dit que cet endroit pourrait être plaisant. Après tout, c’est tranquille tout comme animé. » Je roulais sur la route encore un moment, avant de tourner sur un chemin de terre. L’odeur du fumier des canassons était assez forte, je stationnais mon jeep dans une place libre non loin de l’entrer. J’ouvrais la portière et j’haussais un sourcil en voyant un cabot me regarder. Je déposais un pied sur le sol terreux et je voyais sur le visage de la bête sa dentition s’afficher. Il grognait et j’allais me diriger vers mon amie, lorsque celui-ci se mit à courir vers moi en jappant. N’attendant pas, je me mettais à courir pour fuir ce chien qui me coursait, glissant je tombais sur le cul. Une sensation chaude coulait alors dans mon dos et je voyais le chien passer près de moi fier de m’avoir pissé dessus. Je me levais, poussant un soupire, au moins je savais que Sharlee n’avait pas vu la scène. Je revenais près d’elle. « Aucun commentaire. » Même moi je pouvais sentir cette odeur d’ammoniaque. Je retirais ma chemise avant d’ouvrir la valise pour y prendre le panier de pique-nique et un t-shirt propre dans mon sac de sport. Je me changeais en vitesse. « Je sais qu’il y a un lac pas trop loin, si ça ne te dérange pas de marcher, on peut essayer de se rendre dans ce coin-là. », disais-je en prenant sa main de ma main libre. Une fois de plus ça n’avait rien d’autre d’évocateur pour moi, mais ainsi j’étais au moins sûr de ne pas la perdre de vue.
Invitéet oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais !
Invité
mot doux de Invité ► un Lun 11 Mai - 21:04
Baptist & Sharlee
C'est le moment de chanter : C'est l'histoire de la vie!
Je ressemblais à Pocahontas. J’avais laissé mes cheveux en arrière et fait une stresse qui était placé sur mon front. Je pourrais sans doute avoir peur d’être avec Baptist ? Mais ce n’était nullement le cas, je serais plus capable de lui donner ma vie qu’à l’un de ces cow boy qui se la jouait à crier Yippy-kay-yeah ! À tue tète juste pour se rendre intéressant quand ils n’étaient pas occupé à tenter d’attraper avec leur lasso les cornes des taureaux. Enfin, pour le coup, j'étais loin de penser à l’accident qui m’avait mis à terre quand Baptist n’avait pas pu répondre. Je ne pouvais pas lui en vouloir de ça à mon humble avis, mais ce n’était que mon ressenti, je savais que d’autre m’en voulait de pas les avoir appelé en premier, m’enfin. C’était comme ça, dans ma chute, où je m’étais retrouvée planté comme une plante au milieu d’une plantation j’avais appelé le premier numéro me venant à l’esprit. C’était donc le fait d’avoir envoyé tant de texto à Baptist, en même temps il me faisait la lecture de me magasine. Enfin, je rigolais un peu à sa plaisanterie, mordant un peu ma lèvre, alors que je fermais mes paupières qui ne changèrent rien au fait que j’étais dans une pénombre totale. Je laissais tout bonnement l’odeur du pollen envahir mon être me volant un petit sourire, j’aimais tellement apprécier ces petits instants qui auparavant n’auraient même pas eu le plaisir de me voler un sourire ! Rien que l’odeur de la verdure ou des potirons jamais je n’avais pris le temps de prendre ce petit plaisir, non, j’étais bien trop occupée avec mon travail et à rendre ma vie splendide, maintenant je profitais de ces instant important tant de bénéfice à ma vie. « Non, le pauvre, il ne pourrait pas égaler les bêtises du grand ! Il serait complexé ! » Répondais-je pour le taquiner ! J’avais déjà les prénoms de mes enfants en tête depuis que j’étais en âge de me baigner sans rien sur moi sans que personne ne trouve ça louche ou déplacé. J’avais toujours aimé les prénoms que ma mère avait en tête : Madison, Sharlee et Jersey ! Madison était pour une fille, mais cette fois si c’était moi qui décidais de le mettre pour un petit garçon, je l’avais déjà vu et j’aimais tellement les prénoms mixtes. Enfin, je souriais un peu avant de poser ma main sur mon ventre quand je sentis un coup. J’avais hâte de pouvoir serrer mon fils dans mes bras. Je savais que je n’aurais pas le plaisir de le découvrir grâce à ma vue, mais je pourrais le faire du bout des doigts et cela était tout aussi bien pour le coup. Bon, il en venait sur le sujet qui m’avait traversé l’esprit au tout début de cette sortie, à peine montée dans la voiture. Pour le coup, je ne savais même pas quoi dire, quoi que je dise, j’avais surtout l’impression que cela ne servirait à rien. « C’était rien … quoi que tu faisais à ce moment Baptist cela ne me regarde pas ! Tu ne peux pas toujours répondre à mes appels … tu as une vie... puis tu n’es pas mon copain ou son père ! » Disais-je pour désigner mon enfant. Alors, je pouvais comprendre qu’il ne m’avait pas été d’une grande aide ce jour-là, il n’y pouvait rien et j’en avais totalement conscience. « Enfin, je t’en veux pas. Et je vais bien, je le jure ! » Je souriais. « Pourquoi tu t’inquiètes ? » Demandais-je curieuse de savoir les raisons, mais je savais déjà que la cécité devait être l’une d’elle, mais petit à petit j’avais pris le pli, certes, je n’aimais pas vraiment la situation, mais je la supportais. Je n’allais pas finir en compote après avoir vécu tout cela, j’allais aller bien ! Cela m’avait même rendu plus forte certainement. « Une surprise ? Je veux savoir ! Je suis trop curieuse ! » Les surprises et moi cela fait forcément beaucoup ! J’avais du mal à ne pas tenter de savoir ce qui m’attendait ! Encore plus depuis que j’étais dans le noir ! Ce qui était forcément compréhensif, non ? Je sentis quelque chose se poser sur le dessus de mon crâne, autant dire que pour le coup, je me sentais un peu bizarre, mes deux mains allèrent se poser sur ce chapeau laissant un sourire sur mes lèvres. « Oh, attend on va autre ranch ? » Je n’étais pas sûre d’avoir raison, mais avec ce chapeau sur ma tête autant dire que je pensais qu’à ça comme réponse ! Je l’écoutais souriant. « Vaut mieux pas sinon tu devras m’accoucher … tu me verras plus jamais comme une fille sexy... déjà que là je suis juste immonde et grosse ! » Disais-je. L’odeur ne pouvait plus me tromper. Je savais qu’on allait s’amuser, même si la dernière fois que j’y avais été j’étais voyante et que monter à cheval était possible, ce n’était pas ma cécité qui m’en empêché, mais bien ma grossesse pour le coup, j’étais bientôt sur le point de bourgeonner alors hors de question de monter à cheval, de toute façon c’était proscrit depuis le début du troisième trimestre. Le fumier venait me taquiner l’odorat, mais pas de problème, j’avais l’air de plutôt bien le supporter, heureusement, car autant dire que l’odeur des poissons elle me donnait envie de vomir et généralement je ne me retenais pas. Je restais là immobile attendant que Baptist vienne me récupérer, je sentais mes santiags s’enfoncer de la terre bouilleuse, alors que le soleil réchauffait mon minois. Aucune idée d’où était Baptist. Autant dire que je n’entendais que quelques rires autour de moi et un chien japper. Je ne savais même pas ce qui se passait, je n’avais que quelques mots que je percevais, j’y arrivais avec grand mal, c’était un peu une rumeur. Il était enfin là me demandant de ne dire aucun commentaire, mais je n’avais rien vu, mais je comprenais directement ce qui se passait. « Non, je peux pas rester silencieuse ! Mais tu pus ! Tu veux me faire accoucher avec cette odeur ou quoi ? » Demandais-je à moitié sur le ton de l’humour. « On y va ! » Disais-je, je me souvenais qu’il avait parlé d’un étang, autant dire que Baptist, allait me maudire. Je marchais avec lui tranquillement. « Alors dis-moi, monsieur le don juan, comment est ta vie sexuelle ? » Quoi ? J’étais pas en manque … mais peut être qu’un peu dans le fond et ce n’était pas moi qui allait attirer les mecs avec mon bidon et ma situation. Je marchais m’accrochant bien à Baptist. Une fois à un endroit propice, je souriais un peu. « Tu m’emmènes tremper mes pieds ? » je le laissais donc faire, alors qu’une fois les pieds dans l’eau après avoir ôté mes bottes tout en tenant toujours la main de mon ami, je le tirais vers l’eau entendant un gros splach.
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Grant W. Milleret oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais !
❝ Métier : Compositeur de musique de film et jeux vidéo en essor, DJ réputé du plump club et professeur privé de musique ❝ cupidon : Mon cœur est aussi myope que mes yeux, il lui faudra plus qu'une prescription pour qu'il voit ce qui l'entour ! ❝ post-it : ❝Life, he realize, was much like a song. In the beginning there is mystery, in the end there is confirmation, but it's in the middle where all the emotion resides to make the whole thing worthwhile. Né dans le Nebraska ▬ A grandit à Pasadena ▬ A fait le lycée en internat dans le Michigan, il ignore que c'est pour fuir la famille de sa mère ▬ A étudié à la Berklee College of Music à Boston pendant l'Université ▬ Un véritable prodige de la musique ▬ Reconnu dans le domaine de la musique, il est une célébrité en tant que DJ et sur les réseaux sociaux ▬ Une catastrophe avec les filles ▬ Myope comme une taupe, mais les lentilles lui donne des migraines ▬ Déteste la noix de coco, le gel de douche parfumé, les étiquettes qu'on peut donner aux personnes... ▬ Aime faire l'idiot, raffole de la pizza hawaïenne ▬ Connaît toutes les répliques de films qu'il considère comme des classiques du cinéma par cœur ▬ Était jusqu'à ses vingt-six ans puceau, mais voilà qu'il a atteint la ligue majeur... Même si en amour il reste un flop ! ▬ Fin juin 2016, il se fait agresser par un fan de sa meilleure amie chez elle durant une tempête
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❝ pseudo : monocle. ❝ crédits : @vava chounette @gif tumblr ❝ avatar : Grant Gustin ❝ présence : Présent(e) ❝ préférences : Rp Roses ❝ disponibilité : Demandez ♥ [CLOSED] ❝ autres comptes : AIDEN ▬ (a.levine) l'ancien soldat qui se console en parlant aux écureuils. CARTER ▬ (a.kendrick) celle qui parle avec les aliens, mais qui ont pas pu l'avertir de se méfier de vegas ! ALVIN ▬ (m.bomer) l'agent du fbi qui tente de sauver sa vie avec des moyens quelques peu compromettant. JONAS ▬ (r.amell) l'étudiant qui vit de câlin et de spacecake ! DEVON ▬ (k.graham) la magicienne qui fuit sa famille. JAMIE ▬ (d.gillies) le cancérologue qui souhaite sauver les gens comme sa soeur. GWEN ▬ (s.johansson) la jeune femme qui a vécu un peu partout.
mot doux de Grant W. Miller ► un Lun 15 Juin - 6:37
sharlee & baptistt'aurais pu me dire que c'était pour aujourd'hui j'aurais amené des gants !
Le fait qu’elle me rappelle que je n’étais pas son copain ou bien le père de son fils me fit afficher une moue. Non que je le souhaite, en fait, je ne pouvais pas dire… Elle et moi c’était du passé, certes on avait remis le couvert il y a quelque mois, mais c’était tout. De toute façon, tout comme avec Kailani, je n’étais pas le mec pour ces filles. Pour aucune d’elles d’ailleurs, mais ça je pouvais bien me le garder. Je pouvais composer avec le fait que je serais sans doute ce même mec dans dix, immature, un peu Goofy et toujours autant coureur. Je pouvais sans doute reprendre ma vie en main, mais je n’avais pas la moindre idée de comment faire pour arrêter d’être ce chieur attiré par les femmes. Je préférais garder cette étiquette que j’avais forgée, plutôt que de changer. C’était bien moins exténuant ainsi. Bien qu’elle me demande pourquoi j’étais inquiet, je ne trouvais pas les mots. Il y avait-il une réelle raison ? Je ne savais pas, peut-être me sentais-je simplement coupable auprès de certaine personne et je tentais de racheter mes fautes avec elle. Ou simplement je voulais faire acte d’entraide et je n’avais pas su être à la hauteur. En fait, j’étais plus apte à être une déception que le prince arrivant sur son cheval blanc. Je devais rester moi-même et puis voilà tout. « Je l’ignore… », disais-je finalement en me mordant la lèvre comme si j’avais trop parler, alors que pourtant je n’avais rien dit. J’aurais pu faire une apostrophe, mais encore je n’en voyais pas l’utilité. J’étais fait pour être attentif et non être écouter, de toute manière, je ne parlais jamais de moi et ça avait toujours été ainsi. Même les gens proche de moi ne savait bien que ce que je voulais dire et je m’arrangeais bien pour taire mes sentiments. Je vivais bien avec cela et je ne voyais rien à redire, sauf peut-être ces derniers temps. L’approche de la trentaine commençait déjà se faire sentir, vingt-sept ans… Plus que trois années et voilà. Ce devait juste être ça une crise de la trentaine prématurée. Gardant mon regard posé sur la route, je souriais à sa question. Même si je savais qu’elle aimait bien découvrir avant l’heure, je n’avais pas l’intention de vendre la peau de l’ours avant de l’avoir tué. Elle allait devoir se montrer patience et elle le découvrirait bien assez tôt. Lorsqu’elle mit le doigt sur notre destination, mon sourire s’élargit, je savais qu’elle ne le voyait pas, mais c’était plutôt à mon avantage. Dans l’ignorance de mon inquiétude, il y avait sans doute sa cécité, même si je n’y avais pas pensé sur le coup. Je ne voulais pas y penser, à quoi bon ? Tenir de tel propos, en disant m’inquiéter pour elle, mais aussi pour le fait qu’elle ne voyait plus, n’allait certainement pas lui ramener la vue. Je ne pouvais que taire encore une fois mes doutes, laissant l’inquiétude voguer sur ce navire de silence. Tout ce que je pouvais faire c’était affronter cela avec elle, ou tout du moins tenter, mais comme elle l’avait dit : Je ne suis pas son copain ni le père de son enfant. Il y a bon nombre de personne derrière elle pour la soutenir. Alors pourquoi à cet instant précis, j’avais envie d’être devant lui tendant la main pour lui dire que tout allait aller pour le mieux. Je passais une main dans mes cheveux. Je riais à ses propos. « Tu doutes de mes talents de sage-femme ! » Me passant la main sur le menton, je lui jetais un bref coup d’œil. « Tu peux m’expliquer en toute les femmes enceintes se trouvent grosse ? Vous n’êtes pas grosse, vous donnez la vie. Et puis, les formes n’ont jamais tué personne. » Je disais cela, mais j’étais bien le premier à sauter sur une fille aussi mince qu’une ficelle. C’était superficiel, je le savais, mais qui ne profiterait pas des corps Californiens ? J’avais une réputation à garder intacte. Je l’assumais pleinement et qu’importent les réactions des autres. « Et je te ferais remarquer, que c’est mon travail de faire accoucher les femmes et pour l’instant j’ai pas changé de bord. Tu seras sexy même en accouchant. » On arrivait finalement, et descendant de mon jeep, je ne m’attendais pas à devenir l’antilope chassée par le lion. Qui pour le coup était un vulgaire chien, bien remonter contre ma petite personne. Autant dire, que l’animal ne semblait pas m’aimer… Même si je fuyais à toute jambe, il tenait bon jusqu’à ce que je m’étale sur le cul. Il m’aspergeait de son urine, donnant à mon parfum un nouvel arôme loin du déodorant aphrodisiaque. Je revenais vers mon amie, retirant ma chemise à carreau, que je mettais en boule. J’allais lui faire subir un bon nettoyage ou sinon, elle finirait tout simplement à la corbeille. « J’y suis pour rien ! Comme si ça me plaisait de sentir ÇA ! », disais-je en soulignant bien le ça et me laissant légèrement emporter. J’avais l’impression de sentir l’aquarium sale depuis des années, autant dire que même moi ça me levait le cœur. Je passais un t-shirt propre, mais je savais que je puais toujours. Si je pouvais seulement vendre mon âme pour une douche ! « Ouais. », continuais-je en me résignant, de toute je ne pouvais rien faire. Je marchais à ses côtés, l’aidant quand j’en ressentais le besoin. Elle me posait alors une question qui me faisait froncer les sourcils… Qu’est-ce que je pouvais répondre à cela. « Euh… En ce moment c’est plutôt mort… Le boulot me prend trop de temps. Mais l’été arrive, donc les conquêtes estivales aussi. » J’ignorais le pourquoi de cette question, mais je ne pouvais pas non plus me cacher. Mon travail se retrouvait ma priorité, je devais bien porter une attention à ma carrière, ainsi je n’aurais pas un échec dans tout. On arrivait à l’étang, alors que j’avais du tué bien des mouches avec mon odeur. Je déposais le panier de pique-nique, me disant que j’avais bien envie d’une de ses pizzas au jambon quand elle me demandait d’aller se tremper les pieds. Je me dirigeais vers celui-ci, la soutenant. J’avais tourné la tête pour voir passer une fille en trikini et comme si Sharlee l’avait senti, je me retrouvais en moins de deux dans l’eau. J’avais pu retenir ma respiration à la dernière seconde lorsque j’avais senti mon corps basculer. Je sortais de l’eau en prenant une respiration bruyante. « T’es chanceuse d’être enceinte ! », lui disais-je tapant ma main dans l’eau, envoyant une vague sur elle. J’étais désormais mouillé de la tête au pied. Je lissais mes cheveux sur ma tête, revenant sur le rivage. « T’étais vraiment obliger de faire ça ? » Je n’avais pas de short de bain et finir en nudiste pervers sans façon ! Je la regardais, allant chercher sa main pour la faire sortir de l’eau. Revenant vers le panier contenant notre petit snack, je retirais mon t-shirt que je tordais bien comme il faut. Puis je le regardais, avant de lui lancer au visage. Au moins, il y avait du bon, j’allais bronzer et avoir ce teint halé qui me donnait l’apparence cubain et qui avait son charme.
Invitéet oui, j'habite a pasadena tout comme toiet peut-être que je te saluerais !
Invité
mot doux de Invité ► un Ven 19 Juin - 16:48
Baptist & Sharlee
C'est le moment de chanter : C'est l'histoire de la vie!
Il l’ignorait, pourtant on agissait rarement sans prendre la peine de préparer son discourt ? Enfin à mon humble avis. Il devait le savoir, mais il n’avait pas envie d’y croire ? Enfin c’était sans doute ça autant dire que je n’allais pas le force à se confier à moi, encore plus depuis que j’étais songeuse à propos de ma grossesse et que mon enfant n’allait plus tarder à arriver. J’étais dans la dernière ligne droite, autant dire qu’avec la chaleur j’étais bien heureuse de pouvoir bientôt dire ouf. Que mon fils vienne me rejoindre dans mes bras et que je cesse d’être une emmerdeuse en quémandant de me trimballer dans un monokini, mais avec l’impression que j’avais d’être grassouillette autant dire que, je ne voulais pas me promener face aux autres ainsi. C’était comme être fan des Jonas Brother, autant le faire discrètement. Alors, je restais en bikini cachant mon ventre derrière un paréo, malgré les degrés élevés. En tout cas, j’étais bien contente d’être avec Baptist, je ne savais pas ce qu’il avait prévu et c’était bien vrai que cela me faisait transpirer que d’être dans le flou total. En tout cas, je savais que je n’aurais pas besoin d’une ambulance si je me cognais avec Baptist ayant un bon apprentissage des premiers secours grâce à son travail. Je m’éventais avec un éventail pour tenter de me jeter un petit coup d’air froid, car la voiture commençait à ralentir alors que je souriais à Baptist, ne sachant pas s’il me regardait, mais je lui offrais malgré tout. « Non ! Mais je suis ton ex et en plus de ça une femme enceinte et aveugle ! Rien qui ne donne à aucun homme envie de moi ! Plus personne ne voudra me surfer » Pour rester poli au lieu de dire qu’on ne voudrait plus me mettre dans un lit. Jusqu’à présent, j’y pensais énormément à ma vie de femme et cette vie érotique que je pouvais avoir avant. La sensation d’être désirée était loin de moi, je n’allais plus plonger dans un lit pour avoir chaud par envie, ma vie amoureuse ou encore sexuelle allait être un désastre, je devrais sans doute faire avec sans me mettre à pleurer, mais quelques fois c’était compliqué, je sentais que je n’étais pas loin de l’éboulement des larmes. « Car nous sommes grosses ! Oui c’est beau de donner la vie … mais quand tu es célibataire, plus aucun mec te regarde ou te drague et personne ne te donne l’impression d’être désirable... alors ouai on doit perdre confiance en soi ! » Autant dire que pour ma part, je ne pouvais même pas chercher à voir qui me regarderait vu que j’étais aveugle, ma cécité n’aidait en rien, mais je devais faire avec, comme tout le monde. Après tout, je ressemblais peut être à ce Freddy Krueger à présent ! J’aurais qu’à me venger sur les lasagnes au saumon et épinard ou sur des tartes à la rhubarbe, je n’allais pas m’en aller pour aller mieux ? Non, alors j’allais m’accrocher et vivre que pour moi, même si j’allais souvent y penser quand je serais comateuse le soir ou le matin dans mon lit. J’éclatais un peu de rire à ses paroles, je serais sexy ? Je n’avais plus qu’à devenir opportuniste avec Baptist si j’étais tant en manque que cela ? Non, je ne pourrais même pas y penser. Même si j’étais énormément et voir sans doute plus attacher à lui qu’au père de mon fils qui n’avait pas daigné me donner de nouvelle après que je lui ai appris la nouvelle pour l’enfant. Je m’en doutais, mais je ne voulais pas garder cela pour moi. Il avait disparu, je ne savais pas s’il avait été eu un retour direction le combat ou même gradé pour y retourner ou si il n’avait aucune envie de me voir. Pour moi c’était fini d’être infirmière sur le terrain, déjà que je ne pouvais plus traiter les urgences avec mon coéquipier depuis mon accident, donc je n’étais plus rien sauf une future maman. En y regardant bien, il ne me restait plus grand-chose pour être moi. « Ce n’est pas toi qui va m’accoucher alors pas de risque que tu me rudoies pour pas que je t’approche après ! » Je souriais un peu finissant par sortir de la voiture, me cognant le genou à la portière, j’allais finir avec une ecchymose autant dire que ça allait être douloureux si je me tapais encore un bleu. Je finissais par me la jouer un goguenarde pour le coup me la jouant moqueuse avec Baptist, mais avec gentillesse pour le coup. « J’aurais aimé avoir le nez bouché pour le coup » Disais-je amusée alors que je me sentais plutôt en sécurité pour le coup avec le jeune homme à mes côtés qui faisait attention à chaque brindille que mes pieds pouvaient croiser en se posant sur le seuil. J’avais ressenti l’attitude du jeune homme, il avait été surpris par ma question, je pouvais le comprendre, mais ce n’était pas parce qu’il était mon ex que je ne pouvais pas m’inquiéter de son avenir, lui qui était joueur, sans cesse à célébrer, j’étais pareille, mais j’avais eu quelques petites choses dans ma vie qui m’avait fait évoluer : grossesse plus cécité rien de tel pour changer un peu. « Quoi zéro conquête ? » Ouai, c’était étonnant ou alors il s’était assagit ? Aucune idée, mais il n’allait m’émouvoir avec si peu malgré mes hormones. Je finissais par quémander d’aller dans l’eau pour tremper mes pieds. J’avais mon maillot de bain donc j’aurais pu aller me baigner, mais j’avais une petite idée en tête histoire de pouvoir déguster son panier à piquenique sans avoir envie de vomir. Je venais de pousser Baptist dans l’eau m’arrachant un beau petit sourire, mais je savais que j’allais déclencher un ruminement chez lui pour qu’il puisse se venger, j’en étais sûre, puis je n’étais pas du style à saluer après une vengeance, je voulais redonner la monnaie de la pièce. « Je sais ! » Disais-je en me pavanant un peu alors que je caressais mon ventre. « Au moins pas besoin de douche extérieur pour ne pas sentir encore ton odeur. » Je souriais alors qu’il reprenait ma main me faisant marcher sans doute vers notre repas, j’espérais avoir des muffins à la myrtille c’était ce dont je raffolais depuis quelques temps. Je me prenais quelques choses dans la figure et vu comme c’était mouillé sans doute son haut. « Hey !! T’arrête oui. » Je le cherchais avec mes mains en marchant tombant sur lui ? Mais quand je remontais jusqu’à son torse je sentais un nœud papillon « Pardon ! » Disais-je comprenant que ce n’était pas Baptist.
luckyred.
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▬ sharlee&baptist ◗ t'aurais pu me dire que c'était pour aujourd'hui, j'aurais amené des gants ! ▬